CONSEIL MUNICIPAL du 1 er septembre 2015

Président de séance : Pierre DESTIC ETAIENT PRESENTS : Pierre DESTIC, Michèle SAINT-CHAMANT-KIEFFER, Jean-Pierre BOUDOU, Flora GOUZOU, Didier CLARETY, Jean-Pierre ROUDAIRE, Françoise CHAMP, Bernard GIOVANNI, Didier DUHEM, Jean-Michel MOMMONT, Marie- Paule CEZERAC, Anne BORDES, François GARCIA, Aymeric DARAQUY, Stéphanie BLIN, Anne-Laure CANCES, Yves COUCHOURON, Patrick MOULèNE, Bruno LUCAS, Dominique BIZAT, Bernadette BECO ABSENTS REPRESENTES : Hervé NEUVILLE représenté par Flora GOUZOU, Nadia GUEZBAR représentée par Pierre DESTIC, Anne VENULETH représentée par Dominique BIZAT ABSENTS : Christine AUDUBERT, Frédéric MAZOT, PRESENTS EN COURS DE SEANCE : Héléna OKULSKI, Aymeric DARAQUY Secrétaire de séance : Anne-Laure CANCES

Approbation du compte rendu de la séance précédente.

COMPTE RENDU DES DECISIONS PRISES EN VERTU DE L’ARTICLE L 2122-22 du Code Général des Collectivités Territoriales

OBJET : Attribution du Marché de Prestations Intellectuelles : « Mission de Maîtrise d’œuvre relative à l’Aménagement d’un bâtiment communal – Création d’un espace public à SAINT –CERE »

Article 1 er : Après examen des offres par la collectivité le marché public de Prestations Intellectuelles en procédure adaptée (articles 28 du code des marchés publics), est attribué à l’entreprise mieux-disante suivante : GROUPEMENT Atelier de ST CERE Mathieu BENNET et associés – ATELIER DU ROUGET- BREHAULT - SETERSO - SIGMA Mandataire : Atelier de ST CERE Mathieu BENNET et associés - 8 Rue des Roubinets - 46 400 SAINT CERE - 804 112 843 00018 - N° SIRET : 447 995 416 00032 Article 2 : le montant de la commande s’élève à un total 42 750.00€ HT avec un pourcentage de rémunération de 9.50% Article 3 : Le présent marché composé des pièces suivantes : Acte d’engagement, CCAP, est conclu à compter de la date de notification du marché. Article 4 : Monsieur le Maire est autorisé à signer le présent marché avec les entreprises retenues après avoir au préalable informé les entreprises ayant candidatés et qui n’ont pas été retenues.

OBJET : FORMATION ELU

Article 1 er : Une commande a été passée à l’association FORMATION CONDORCET – 75007 - pour la formation d’un élu moyennant la somme de 535.00 € TTC. Article 2 : Monsieur Bruno LUCAS va participer à un séminaire des élus à La Rochelle du mercredi 26 au vendredi 28 Août 2015

OBJET : Attribution du Marché de Prestations Intellectuelles : « Mission de Contrôle Technique pour l’Aménagement Médiathèque »

Article 1 er : Après examen des offres par la collectivité le marché public de Prestations Intellectuelles en procédure adaptée (articles 28 du code des marchés publics), est attribué à l’entreprise mieux-disante suivante : DEKRA RUE GERARD MIALET - ZI BEAUREGARD - 19 100 BRIVE LA GAILLARDE Article 2 : le montant de la commande s’élève à un total 4 380 .00€ HT€ HT. Article 3 : Le présent marché composé des pièces suivantes : Contrat, est conclu à compter de la date de notification du marché. Article 4 : Monsieur le Maire est autorisé à signer le présent marché avec les entreprises retenues après avoir au préalable informé les entreprises ayant candidatés et qui n’ont pas été retenues.

OBJET : Attribution du Marché de Travaux : « Optimisation de la filière de traitement du Saut Grand »

Article 1 er : Après examen des offres par la collectivité le marché public de Travaux en procédure adaptée (articles 28 du code des marchés publics), est attribué à l’entreprise mieux-disante suivante : VGS ZI du Pommiers 46 400 SAINT CERE Article 2 : le montant de la commande s’élève à 40 590.00 € HT soit 48 708.00 € TTC

1 Article 3 : Le présent marché composé des pièces suivantes : Acte d’engagement, BPU, DQE, CCAP, est conclu à compter de la date de notification du marché. Article 4 : Monsieur le Maire est autorisé à signer le présent marché avec les entreprises retenues après avoir au préalable informé les entreprises ayant candidatés et qui n’ont pas été retenues.

ALIENATION DU CHATEAU DE CARENNAC Membres en exercice : 27 Membres présents : 20 Absents représentés : 3 Votants : 23 Votes : abstention :2 contre :3 pour : 18

RAPPEL : Le dossier concernant la levée de la clause d’inaliénabilité du château de Carennac a été jugé. Le jugement rendu le 22 février 2013 par le Tribunal de grande instance de constate que la clause d’inaliénabilité est réputée non écrite et qu’en conséquence, la commune de SAINT-CERE est libre de disposer du bien.

Compte tenu de ce jugement par délibération en date du 19 novembre 2013, le conseil municipal * délibérait et : - considérant l’avis des domaines fixant la valeur vénale de l’immeuble à la somme de 455 000€ - considérant l’intention de la commune de Carennac de conserver la propriété de cet édifice * décidait de vendre à la commune de Carennac l’ immeuble cadastré section AE n° 277 et 115 d’une contenance totale de 1 852 m² château du XVIéme siècle moyennant la somme de 90 000 € ( somme correspondant aux frais engagés par la commune de SAINT-CERE sur ce bâtiment depuis la donation de M FRAUZIOL) et proposait un échelonnement de la dépense sur 5 ans

Par délibération en date du 10 octobre 2014, le conseil communautaire du « Haut » délibérait et actait le principe d’un achat du château avec une répartition entre commune de Carennac et communauté de commune Haut Quercy dordogne ( 2/3 pour la communauté de commune soit 63 000€ et 1/3 pour la commune de Carennac soit 27 000€).Le conseil communautaire émettait le vœu que cette acquisition soit réalisée en 2015 par la communauté de communes Causse Vallée de la Dordogne, qui devait se substituer aux communautés fusionnées, dont Haut Quercy Dordogne.

Par arrêté préfectoral du 14 février 2014 , la Préfecture a autorisée à compter du 31 décembre 2014, la fusion des communautés de communes du Pays du Haut Quercy Dordogne, du Pays de Martel, du Pays de Souillac , du Pays de , du Pays de et du Pays de SAINT-CERE et la création d’une nouvelle communauté de communes dénommée « et Vallée de la Dordogne » CAUVALDOR.

N’ayant pas de suite à la demande d’aliénation, la commune de SAINT-CERE a pris l’initiative de mettre en vente auprès d’agence immobilière le château.

Entre temps la communauté de communes CAUVALDOR a émis le souhait de se porter acquéreur moyennant la somme de 98 000 € de l’intégralité du château. Cette proposition doit être validée au cours d’un prochain conseil communautaire.

Le Conseil Municipal, après en avoir délibéré, - retire sa délibération en date du 19 novembre 2013 - autorise l’aliénation à la communauté de communes CAUVALDOR l’ensemble immobilier cadastré section AE n° 277 et 115 d’une contenance totale de 1852 m² correspondant au château de Carennac propriété de la commune de Saint Céré moyennant la somme de 98 000 €. - Décide que les frais d’acte et géomètre si nécessaires seront à la charge de l’acquéreur. - Autorise Monsieur le Maire à signer tous documents et actes correspondants

Vote : 18 pour : Pierre DESTIC (Nadia GUEZBAR), Michèle SAINT-CHAMANT-KIEFFER, Jean-Pierre BOUDOU, Flora GOUZOU (Hervé NEUVILLE), Didier CLARETY, Jean-Pierre ROUDAIR E, Françoise CHAMP, Bernard GIOVANNI, Didier DUHEM, Jean-Michel MOMMONT, Marie-Paule CEZERAC, Anne BORDES, François GARCIA, Stéphanie BLIN, Anne-Laure CANCES, Bruno LUCAS 3 contre : Patrick MOULèNE, Dominique BIZAT (Anne VENULETH) 2 abst : Bernadette BECO, Yves COUCHOURON

Monsieur MOULèNE vote contre car il trouve anormal de brader le patrimoine sachant que l’évaluation des domaines fixe la valeur vénale de l’immeuble à 455 000 €. Il considère que si la vente avait été faite à CARENNAC le prix de 98 000 € pouvait se comprendre, compte tenu des moyens d’une commune avec 400 habitants, par contre pour CAUVALDOR (représentant 37 000 hab.), une valeur plus importante aurait du être proposée. M. MOULèNE précise qu’il se doit de défendre les « intérêts des Sérénus et non de Liébus »

2 M. DESTIC rappelle l’histoire de ce château : il n’a pas été acheté mais a fait l’objet d’un don à la Commune de SAINT- CERE en 1962 par M. FRAUZIOL. Il aurait pour sa part souhaité que la commune de CARENNAC devienne propriétaire du Château et acte avec CAUVALDOR une participation pour son entretien. Le but n’est pas d’en faire une affaire commerciale mais simplement d’en faire une opération blanche pour la Commune de SAINT-CERE, puisqu’avec les 98 000 € demandés tous les frais engagés sur le château depuis la donation seront remboursés ; CAUVALDOR étant un établissement public, CARENNAC une collectivité publique, il trouverait indécent de demander un prix différent.

ARRIVEE DE Aymeric DARAQUY

CONVENTION D’ACHAT D’EQUIPEMENTS PROFESSIONNELS Membres en exercice : 27 Membres présents : 21 Absents représentés : 3 Votants : 24 Votes : abstention : 4 contre : 1 pour : 19

La commune de SAINT-CERE a acheté sur la demande d’un client, la propriété de biens d’équipement mobiliers à usage professionnel en vue de les donner en usage à ce dernier. L’intervention de la commune va permettre une installation rapide d’une profession médicale en forte demande de la population à la maison médicale (un cardiologue). Il est convenu qu’en contrepartie, le client professionnel s’engage à exercer à la Maison de Santé Pluridisciplinaire de SAINT-CERE (propriété de la communauté de commune CAUVALDOR) pour une durée de 5 ans et à rembourser la totalité de la valeur TTC des équipements nécessaires à son installation, sur une durée de 4 ans trimestriellement à terme échu à compter du 1° octobre 2015. Le montant de chaque échéance est fixé à 406.80 €. A la demande du client, la durée pourra être revue à la baisse uniquement. De même le client pourra à tout moment procéder à un remboursement du capital restant dû sans pénalité. Le transfert de propriété au client se fera automatiquement à l’issu du paiement. En cas de non paiement partiel ou total, les équipements resteront propriété de la commune de SAINT-CERE. Le client doit assurer le bien tout en le maintenant en bon état.

Liste des équipements DIANA PRADA Tous les équipements sont fournis neufs et en parfait état de fonctionnement

FOURNISSEUR EQUIPEMENT DETAIL PRIX TTC TOTAL TTC Ordinateur HP PRODESK 490 G2 1 272.98 € Microsoft office 2013 business 261.87 € IPL Informatique LASERJET PRO 200 Mfp 177 fw 302.40 1 923.25 € livraison et installation 60.00€ frais de déplacement 26.00 € guéridon 2 plateaux 65 X 40 cm 131.56 € négatoscope époxy 1 page 39 X 45 cm 147.16 € divan d’examen électirique 2 parties 2 041.71 € 3 460.43 € Confort Médical ECG3 pistes CARDIMAX ASEPT 1 140.00 € Avec interprétation et écran LCD lecteur Prium 3S Ingenico (lecteur classique fixe) 225.00 € ICT formation au logiciel 400.00 € 1 125.00 € formation aux fonctions avancée e-label et DMP 500.00 €

Coût total TTC 6 508.68 €

Le Conseil Municipal, après en avoir délibéré, autorise l’acquisition des équipements professionnels par la commune de SAINT-CERE - approuve les termes de la convention d’achat et de location de ces équipements professionnels avec le professionnel : DIANA PRADA jointe à la présente délibération. - prévoit le transfert des crédits correspondants qui seront repris dans la décision modificative adoptée au cours de la séance Imputation Intitulé Dépenses Recettes Opération 186 – Acquisition matériels professionnels 2183/21-186- 510-5 Matériels professionnels 5 600.00 € 1641/16-01-0 emprunt 5 600.00 €

3 Vote : 19 pour : Pierre DESTIC (Nadia GUEZBAR), Michèle SAINT-CHAMANT-KIEFFER, Jean-Pierre BOUDOU, Flora GOUZOU (Hervé NEUVILLE), Didier CLARETY, Jean-Pierre ROUDAIRE, Françoise CHAMP, Bernard GIOVANNI, Didier DUHEM, Jean- Michel MOMMONT, Marie-Paule CEZERAC, Anne BORDES, François GARCIA, Aymeric DARAQUY, Stéphanie BLIN, Anne-Laure CANCES, Bruno LUCAS 1 contre : Patrick MOULèNE 4 abst : Bernadette BECO, Yves COUCHOURON, Dominique BIZAT (Anne VENULETH) :

M. MOULèNE ne trouve pas normal que la commune se substitue aux fournisseurs de matériel médical (il aurait fallu préconiser un achat en leasing). Il trouve inéquitable cette décision par rapport aux autres professions libérales.

M. DESTIC lui rappelle la difficulté de trouver les médecins français qui souhaitent s’installer en campagne et la difficulté des médecins étrangers (roumain) à investir dans du matériel médical. Il précise que CAUVALDOR prend à sa charge une partie de l’investissement et la Commune de SAINT-CERE l’autre partie. Il ne fait pas partie de ceux qui veulent que CAUVALDOR paie tout. Il informe par ailleurs le conseil de l’investissement personnel de certains élus dont il fait partie, qui par leur propre moyen sont allés récupérer ce matériel et l’ont installé à la maison médicale.

Depuis le 31 août, la maison médicale accueille 2 médecins généralistes, 2 infirmières libérales, 1 podologue. Dès le 15 septembre arriveront 1 cardiologue et 1 ophtalmologue. Des contacts sérieux laissent à penser que deux cabinets dentaires seront prochainement occupés. Devant le succès rencontré par cette opération M. DESTIC précise qu’il va peut être falloir déjà envisager l’agrandissement et s’en réjouit.

INSTALLATION D’UN MOBIL HOME POUR ACCUEIL D’URGENCE DE PERSONNES EN DETRESSE Membres en exercice : 27 Membres présents : 21 Absents représentés : 3 Votants : 24 Votes : abstention : 0 contre : 0 pour : 24

Depuis 6 ans la commune de SAINT-CERE dispose d’un local d’accueil d’urgence pour les personnes en détresse. Ce local géré par la Croix Rouge permet d’accueillir pour de courtes périodes des personnes du territoire communal en détresse. Le local situé Quai des Récollets dans un bâtiment communal doit être déplacé car ce bâtiment a été vendu par délibération en date du 26 juin dernier à M LASJAUNIAS Patrick.

La commune ne disposant plus de bâtiment susceptible d’accueillir un local d’urgence, la municipalité propose d’acquérir un mobil home (moyennant la somme de 4 000 € appartenant à M Hervé MENAGER, domicilié à qui permettra de remplir les fonctions d’hébergement d’urgence.

Il est proposé de l’installer sur la parcelle de terrain cadastrée section AB n° 404 au lieu dit Bonneau sur la commune de SAINT-CERE. Cette parcelle vient d’être totalement réhabilitée, située légèrement à l’écart du centre ville avec un cheminement piéton sécurisé à proximité reliant le cœur de la cité. Le mobil home d’une surface de 33 m² est isolé, chauffé et aménagé. Il sera raccordé aux réseaux d’eau potable, d’électricité et au réseau d’évacuation des eaux usées.

Le Conseil Municipal, après en avoir délibéré, à l'unanimité des voix,

- considérant le caractère social et exceptionnel de la demande - acte le principe d’installer un mobil home pour l’accueil d’urgence de personnes en détresse - autoriser l’acquisition d’un mobil home à M. Hervé MENAGER de LOUBRESSAC moyennant la somme de 4 000€ - autorise Monsieur le Maire à signer le permis de construire correspondant pour l’implantation sur la parcelle de terrain cadastrée section AB n° 404. - prévoit le transfert des crédits correspondants qui seront repris dans la décision modificative adoptée au cours de la séance

Imputation Intitulé Dépenses Recettes Opération 186 – Acquisition Mobil home 2188/21-186-523-5 Acquisition mobil home 4 000.00 € 1641/16-01-0 emprunt 4 000.00 €

4 ARRIVEE DE Héléna OKULSKI

TRANSFERT DE LA COMPETENCE « AMENAGEMENT NUMERIQUE » A LA COMMUNAUTE DE COMMUNE CAUVALDOR Membres en exercice : 27 Membres présents : 22 Absents représentés : 3 Votants : 25 Votes : abstention : 0 contre : 0 pour : 25

Vu les orientations nationales, notamment la loi n°2009-1572 du 17/12/2009 relative à la lutte contre la fracture numérique, Vu le schéma directeur territorial d’aménagement numérique en date du 13/04/2012 Vu l’article L1425-1 du Code général des collectivités territoriales (CGCT) créant une compétence de service public de communications électroniques qui autorise les collectivités territoriales et leurs groupements à « établir et exploiter » des infrastructures et des réseaux de communications électroniques, Vu l'article L 5214.27 du Code général des collectivités territoriales relatif à l'adhésion d'une communauté de communes à un syndicat mixte, Vu l’article L 5211-17 du Code général des collectivités territoriales relatif aux modalités de transfert de compétence d'une commune membre d'un établissement public de coopération intercommunale à ce dernier, Vu les statuts constitutifs en vigueur de la communauté de communes Causses et Vallée de la Dordogne,

CONSIDERANT : Il est exposé au Conseil municipal que le développement numérique des territoires représente un enjeu économique et sociétal considérable pour les prochaines décennies. Le déploiement des infrastructures et réseaux de communications électroniques à haut et très haut débit ainsi que le développement des usages en matière de technologie de l’information et de communication et la mise en œuvre d’un système d’information géo-référencé sont autant de conditions indispensables au développement des territoires. Pour atteindre pleinement cet objectif, il est indispensable de viser une équité territorial en matière d’accès aux technologies de communications électroniques, et notamment un accès haut débit de qualité pour tous. C’est la cible première des collectivités lotoises ; elle traduit les attentes fortes exprimées par les foyers et les professionnels. Mais l’explosion des usages résidentiels et professionnels laisse augurer des besoins qui nécessiteront rapidement du très haut débit (plus de 30 Mbits/s). Face au constat d'une desserte très hétérogène des territoires et à la stratégie des opérateurs de télécommunication qui focalisent leurs investissements sur les zones les plus rentables du territoire national, les collectivités doivent se mobiliser afin de pallier les carences de l'initiative privée et de garantir des déploiements sur l'ensemble de leur territoire. Les évolutions législative et réglementaire facilitent désormais l'intervention des collectivités locales dans un environnement juridique concurrentiel : l'article L 1425.1 du Code général des collectivités territoriales leur permet de jouer pleinement leur rôle d'aménageur en matière d'infrastructures de communications électroniques, et le cas échéant de devenir opérateur et fournisseur de service en l'absence d'initiative privée. Pour favoriser la cohérence des initiatives publiques ainsi que leur bonne articulation avec les investissements privés, la loi du 17 décembre 2009 relative à la lutte contre la fracture numérique incite les collectivités à élaborer un schéma directeur territorial d'aménagement numérique, outil de cadrage pour définir en concertation avec tous les acteurs un projet d'aménagement numérique pour leur territoire. Consécutivement à cette loi, l'État a engagé le plan national très haut débit à travers lequel il vise une couverture de 100% de la population en 2025. Le soutien financier de l'État aux déploiements d'infrastructures très haut débit par les collectivités est conditionné par l'établissement du schéma directeur. Le schéma directeur territorial d'aménagement numérique du élaboré en 2012 a fixé la stratégie d'intervention pour permettre à tous d'accéder au très haut débit (30 Mbit/s) à horizon de 15 ans. Pour préciser le projet, une étude d’ingénierie a été menée en 2014 dans le cadre d'un groupement associant le Département, la Fédération départementale d’énergies et les EPCI (établissements publics de coopération intercommunale). En s'appuyant autant que possible sur des infrastructures existantes et en se conformant aux directives de la Mission nationale très haut débit et aux règles techniques validées par l'Autorité de régulation, le r éseau fibre desservant la totalité du bâti lotois a été tracé et chiffré. La fibre optique pour tous étant hors des capacités d’investissement des collectivités dans un délai raisonnable, le projet retenu par le comité de pilotage combine différentes solutions technologiques. A l’issue d’une première phase de déploiement de cinq années, il vise à : - fournir un accès haut débit de qualité (4 Mbits/s minimum) à l’ensemble des foyers lotois au moyen de différentes solutions technologiques ;

5 - amorcer la construction du réseau très haut débit cible (plus de 100 Mbits/s) en installant la fibre optique jusqu’aux habitations dans les principales agglomérations du département ; - raccorder à la fibre optique une centaine de sites prioritaires (zones d’activités économiques, entreprises, éducation, santé, tourisme, etc.).

La mise en œuvre effective de ce scénario ne peut passer que par une collaboration et une contribution proportionnée de l'ensemble des collectivités lotoises. Il ressort des échanges entre ces collectivités que le schéma de gouvernance le mieux adapté nécessite la création d'une structure départementale prenant la forme d'un syndicat mixte ouvert. En conséquence, la communauté de communes doit se doter de la compétence « aménagement numérique » telle que définie à l’article L1425-1 du Code général des collectivités territoriales puis adhérer au syndicat mixte d’aménagement du Lot.

La compétence « aménagement numérique » se décline en 4 points : 1 : Conception du réseau ; 2 : Construction du réseau et des infrastructures de communications électroniques ; 3 : Gestion des infrastructures ; 4 : Exploitation et commercialisation du réseau et des infrastructures de communications électroniques.

Afin de mettre en œuvre cette compétence « aménagement numérique » au niveau communautaire, il est nécessair e pour la commune de procéder au transfert de cette compétence à la Communauté de communes CAUVALDOR. La communauté de communes pourra alors adhérer au syndicat mixte d’aménagement du Lot pour l’exercice de cette compétence.

Au-delà de la mise en œuvre opérationnelle du projet d'aménagement numérique et de a planification des travaux, le syndicat mixte aura également pour mission de favoriser, sur le territoire de ses membres et dans le champ de ses compétences, le développement des usages en matière de technologie de l’information et de la communication, et de système d’information géographique.

Le Conseil Municipal, après en avoir délibéré, à l'unanimité des voix, - autorise le transfert à la communauté de communes de CAUVALDOR de la compétence « Aménagement numérique » visée à l’article L1425-1 du Code général des collectivités territoriales, compétence ainsi déclinée : 1 : Conception du réseau 2 : Construction du réseau et des infrastructures de communications électroniques 3 : Gestion des infrastructures 4 : Exploitation et commercialisation du réseau et des infrastructures de communications électroniques - autorise la communauté de communes de CAUVALDOR à adhérer au futur syndicat mixte d'aménagement du Lot pour la compétence « Aménagement numérique » - approuve la modification conséquente des statuts de la communauté de commune de CAUVALDOR - autorise le Maire à prendre toutes dispositions pour l’exécution de cette délibération.

DEPART DE M. MOULèNE (procuration M. LUCAS)

TAXE SUR LA CONSOMMATION FINALE D’ELECTRICITE – VOTE DU COEFFICIENT MULTIPLICATEUR UNIQUE 2016

AFFAIRE RETIREE DE L’ORDRE DU JOUR

L’article 23 de la loi du 7 décembre 2000 a modifié en profondeur le régime des taxes communales et départementales sur la consommation finale d’électricité afin notamment de la mettre en conformité avec la directive 2003/96/CE du conseil du 23 octobre 2003 restructurant le cadre communautaire de taxation des produits énergétiques et de l’électricité.

A une taxe assise sur une fraction de la facture acquittée par le consommateur et fixée en pourcentage de celui-ci, a été substituée une taxe établie par rapport à un barème sur lequel les collectivités locales et leurs groupements ont la possibilité de déterminer un coefficient multiplicateur.

Chaque année la commune doit délibérer au plus tard le 30 septembre de l’année N et transmettre au comptable de la collectivité avant le 15 octobre le coefficient multiplicateur voté.

6

RAPPORTS ANNUELS EAU et ASSAINISSEMENT 2014 Membres en exercice : 27 Membres présents : 21 Absents représentés : 4 Votants : 25 Votes : abstention : 0 contre : 0 pour : 25

En vertu de la loi du 2 février 1995 dite loi Barnier et du décret n° 96-635 du 6 mai 1995, le maire est tenu de présenter au conseil un rapport annuel sur le prix et la qualité du service public de l’eau et de l’assainissement, quelque soit le mode de gestion de ce service (régie ou service délégué)

Ce rapport doit être mis à la disposition du public dans les 15 jours suivant la présentation au conseil municipal.

Le Conseil Municipal, après en avoir délibéré, à l'unanimité des voix, prend acte des rapports annuels de l’eau et de l’assainissement 2014 présentés.

Explications données par M. CLARETY : Rapport de l’eau : on constate une diminution du prélèvement d’eau, des consommations des industriels. La Commune de SAINT-CERE ne prend plus d’eau au syndicat. Le rendement des réseaux progresse : il passe de 31 % en 2008 à 73 % en 2014. Des efforts ont été fait pour la protection de la ressource (aménagement pour améliorer la qualité de l’eau et la sécurisation du site. Le point négatif est la progression des abandons de créances (69 en 2014).

Rapport de l’assainissement : Parmi les travaux en cours : - travaux pour éviter le rejet directement en milieu naturel (aux logements foyers, route de Monteil) - travaux pour réduire les arrivées d’eau claire dans la station d’épuration (STEP).

M. DESTIC apporte deux précisions : 1) les premiers retours concernant le fonctionnement de la nouvelle STEP sont encourageants et laissent à penser que les coûts seront inférieurs aux estimations. De plus une prime d’épuration de 30 000 € doit être versée. 2) la connaissance et la qualité du réseau progresse. Un travail de qualité des équipes techniques est accompli ce qui rend ST-CERE très performant par rapport à l’échelle départementale.

M. LUCAS évoque le problème de la station de la Maynardie et les travaux de renouvellement du réseau qui sont peu importants. M. CLARETY précise que ces points restent effectivement à améliorer.

MARCHE POTIER 2015- ATTRIBUTION DU PRIX DE LA VILLE Membres en exercice : 27 Membres présents : 21 Absents représentés : 4 Votants : 25 Votes : abstention : 0 contre : 0 pour : 25

Monsieur le Maire rappelle que chaque année la commune de SAINT-CERE est sollicitée à l’occasion du marché potier pour accorder un prix de la ville. Lors de la séance du 26 août 2000, le Conseil Municipal avait retenu la proposition qui lui était soumise, décerner au lauréat un prix d’un certain montant afin que ce dernier puisse disposer d’une somme d’utilisation libre.

Le Conseil Municipal, après en avoir délibéré, à l'unanimité des voix, autorise la délivrance d’un prix d’une valeur nominale payable par mandat administratif sur les crédits réservés aux fêtes et cérémonies (art. 6232), p our le marché potier 2015, 1 prix d’une valeur de 300 €.

Le prix est attribué Mathieu HETTEMA domicilié 11 rue des œillets 31 130 BALMA pour son œuvre intitulée « PALMYRE ».

REDEVANCE D’OCCUPATION DU DOMAINE PUBLIC Membres en exercice : 27 Membres présents : 21 Absents représentés : 4 Votants : 25 Votes : abstention : 0 contre : 0 pour : 25

Par délibération en date du 15 décembre dernier le conseil municipal fixait les tarifs 2015 d’occupation annuelle et saisonnière (du 1° avril au 31 oct) du domaine public communal. Dans le cadre des travaux d’aménagements des rues Faidherbe Chapou Carnot et notamment lors de la réalisation des travaux de la tranche ferme, le domaine public communal n’a pu être utilisé par les établissements disposant d’une autorisation d’occupation. 7

Le Conseil Municipal, après en avoir délibéré, à l'unanimité des voix, - acte le principe que la redevance soit proratisée dans le cas ou la mairie demande un retrait des terrasses pour un motif d’intérêt général pour tenir compte de la durée réelle d’utilisation du domaine public. - décide que la régularisation sera appliquée pour les établissements concernés par le chantier ayant concerné les rues Faidherbe et Chapou

DEMANDE DE L’APE CALANDRETA ESQUIROL Membres en exercice : 27 Membres présents : 21 Absents représentés : 4 Votants : 25 Votes : abstention : 1 contre : 0 pour : 24

La calandreta est installée depuis 4 an s au 100 rue de Saliège à Saint Céré. En raison de contraintes budgétaires, la calandreta a été contrainte de résilier en juin dernier le bail du local occupé. Ainsi à ce jour, la calandreta Esquirol, la seule du département du Lot ne serait pas en mesure d’accueillir les 28 enfants inscrits à la rentrée prochaine. Informé de cette difficulté, Martin MALVY président de la Région sollicite la commune de Saint Céré et fait part du souhait de la calandreta d’acquérir un terrain communal tout en bénéficiant d’un prix de vente minoré par rapport à celui qui s’exerce auprès des particuliers. Il demande à la commune un examen attentif à cette demande. La commune de Saint Céré ne disposant pas de terrain, les responsables de la calendreta Esquirol ont rencontré le Président de la communauté de communes CAUVALDOR au sujet des futurs locaux . Le Président de CAUVALDOR a proposé une aide au loyer à hauteur du tiers de ce dernier plafonné à 900 €. Ces dispositions revêtent un caractère exceptionnel afin de permettre à l’association d’obtenir l’agrément à l’issue de la 5° année d’existence. Suite à cet accord, la Calandreta contacte la Mairie de Saint Céré pour obtenir un accord écrit du soutien financier d’1/3 de loyer de la commune de Saint Céré sur une année servant de garantie dans l’éventualité ou il trouverait de nouveaux locaux.

Considérant que sur le territoire communal une école privée (Ste Anne) sous contrat d’association, bénéficie d’une participation de la commune de SAINT-CERE (par enfant domicilié sur la commune).

Considérant que l’école privée Calandreta est hors contrat d’association et qu’à ce titre la commune peut sur la base du volontariat participer au financement des dépenses de fonctionnement des classes élémentaires et mater nelles sous contrat simple dans les conditions prévues à l’article R 442-53 du Code de l’éducation ( « les dépenses de fonctionnement ( matériel) des classes sous contrat simple peuvent être prises en charge par les communes dans les conditions fixées par convention passée entre la collectivité et l’établissement intéressé. En aucun cas, les avantages consentis par les collectivités publiques dans le domaine du fonctionnement matériel des classes sous contrat simple ne peuvent être proportionnellement supérieurs à ceux consentis par les mêmes collectivités et dans le même domaine aux classes des établissements d’enseignement public correspondants du même ressort territorial »)

Considérant que le législateur pose un principe d’interdiction aux personnes publiques de financer des dépenses d’investissement des écoles privées.

Le Conseil Municipal, après en avoir délibéré, - décide de participer exceptionnellement au titre de l’année scolaire 2015/2016 aux dépenses de fonctionnement de l’école privée Calandreta domiciliée sur la commune. - approuve les conditions et modalités de calcul du forfait communal/ enfant définies et arrêtées dans la convention jointes en annexe à la présente délibération, d’approuver la convention dans tous ses éléments et d’autoriser Monsieur le Maire à signer la dite convention avec l’association Calandreta - autorise Monsieur le Maire à signer au nom et pour le compte de la commune toute pièce de nature administrative, technique ou financière nécessaire à l’exécution de la présente délibération.

Vote : 24 pour : Pierre DESTIC (Nadia GUEZBAR), Michèle SAINT-CHAMANT-KIEFFER, Jean-Pierre BOUDOU, Flora GOUZOU (Hervé NEUVILLE), Didier CLARETY, Jean-Pierre ROUDAIR E, Françoise CHAMP, Bernard GIOVANNI, Didier DUHEM, Jean-Michel MOMMONT, Marie-Paule CEZERAC, Anne BORDES, François GARCIA, Aymeric DARAQUY, Héléna OKULSKI, Stéphanie BLIN, Anne-Laure CANCES, Bruno LUCAS (Patrick MOULèNE), Ber nadette BECO, Dominique BIZAT (Anne VENULETH) 1 abst :, Yves COUCHOURON

RENOUVELLEMENT D’UN CONTRAT UNIQUE D’INSERTION – SERVICE PERI ET EXTRA SCOLAIRE Membres en exercice : 27 Membres présents : 21 Absents représentés : 4 Votants : 25 Votes : abstention : 0 contre : 0 pour :25

Dans le cadre du décret n° 2009-1442 du 25 novembre 2008 relatif au contrat unique d’insertion – contrat d’accompagnement dans l’emploi, il est proposé au Conseil Municipal de procéder au renouvellement d’un emploi de 8 contrat d’accompagnement dans l’emploi dans les conditions fixées ci-après, à compter du 01/09/2015 jusqu’au 29 février 2016. Ce contrat est un contrat aidé réservé à certains employeurs, en particulier les collectivités et établissements publics territoriaux, qui s’adressent aux personnes sans emploi rencontrant des difficultés sociales et professionnelles particulières d’accès à l’emploi.

La prescription du contrat d’accompagnement dans l’emploi est placée sous la responsabilité de Pôle emploi pour le compte de l’Etat ou du Conseil Général.

Il est proposé d’autoriser Monsieur le Maire à signer la convention avec Mme Chloé VAYSSE et le contrat de travail à durée déterminée correspondante.

Le Conseil Municipal, après en avoir délibéré, à l'unanimité des voix , - décide de procéder au renouvellement d’un contrat unique d’insertion d’un poste d’agent scolaire et péri scolaire dans le cadre du dispositif « contrat unique d’insertion – contrat d’accompagnement dans l’emploi », à compter du 01 septembre 201 jusqu’au 29 février 2016 - précise que la durée du travail est fixée à 30 heures par semaine , - indique que sa rémunération sera fixée sur la base minimale du SMIC multiplié par le nombre d’heures de travail, - autorise Monsieur le Maire à mettre en œuvre l’ensemble des démarches nécessaires avec Pôle emploi pour ce recrutement. - Décide de modifier le tableau des effectifs en conséquence

CREATION SUPPRESSION DE POSTE – MODIFICATION DU TABLEAU DES EFFECTIFS Membres en exercice : 27 Membres présents : 21 Absents représentés : 4 Votants : 25 Votes : abstention : 0 contre : 0 pour : 25

Le Conseil Municipal, après en avoir délibéré, à l'unanimité des voix , procède à la création d’un poste d’adjoint administratif 1° classe à temps complet à compter du 1° octobre 2015 et à la vacance d’un poste d’adjoint technique de 2°classe et décide de modifier le tableau des effectifs à compter du 1° octobre 2015.

MODIFICATION DU REGIME INDEMNITAIRE Membres en exercice : 27 Membres présents : 21 Absents représentés : 4 Votants : 25 Votes : abstention : 0 contre : 0 pour : 25

Le Conseil Municipal, après en avoir délibéré, à l'unanimité des voix , - réajuste la délibération définissant le régime indemnitaire à compter du 1° octobre 2015 compte tenu de la modification de poste : création d’un poste d’adjoint administratif 1° classe à temps complet à compter du 1° octobre 2015 et vacance d’un poste d’adjoint technique 2 ème classe - et fixe le nouveau tableau du régime indemnitaire au 1° octobre 2015.

DECISIONS MODIFICATIVES- OUVERTURES DE CREDITS n° 4 – COMMUNE Membres en exercice : 27 Membres présents : 21 Absents représentés : 4 Votants : 25 Votes : abstention : 0 contre : 0 pour : 25

Le Conseil Municipal, après en avoir délibéré, à l'unanimité des voix , procède à l’ouverture des crédits suivants : Imputation Intitulé Dépenses Recettes Opération 186 – Acquisition matériels professionnels 2183/21-186- 510-5 Matériels professionnels 5 600.00 € 1641/16-01-0 emprunt 5 600. 00 €

Opération 186 – Acquisition Mobil home 2188/21-186-523-5 Acquisition mobil home 4 000.00 € 1641/16-01-0 emprunt 4 000.00 €

Opération 339- Conteneurs enterrés 2315/23-339-812-8 Travaux + 4 000.00 € 1641/16-01-0 Emprunt 4 000.00€ Opération 353- Bâtiment ancienne perception 2031/20-353- 822-8 Etudes + 11 300.00€ 1641/16-01-0 Emprunt 11 300.00 € 9 Opération 354- Aménagement Médiathèque 2031/20-354- 321K1-3 Etudes 7 100 .00€ 1641/16-01-0 Emprunt 7 100.00 €

DECISIONS MODIFICATIVES- OUVERTURES DE CREDITS n° 1 – BUDGET EAU Membres en exercice : 27 Membres présents : 21 Absents représentés : 4 Votants : 25 Votes : abstention : 0 contre : 0 pour : 25

Le Conseil Municipal, après en avoir délibéré, à l'unanimité des voix , procède à l’ouverture des crédits suivants :

Imputation Intitulé Dépenses Recettes REGULARISATION EMPRUNT 1641 Emprunt dépense 3 000.00 € 1641 emprunt 3 000.00 €

DECISIONS MODIFICATIVES- OUVERTURES DE CREDITS n° 1 – BUDGET ASSAINISSEMENT Membres en exercice : 27 Membres présents : 21 Absents représentés : 4 Votants : 25 Votes : abstention : 0 contre : 0 pour : 25

Le Conseil Municipal, après en avoir délibéré, à l'unanimité des voix , procède à l’ouverture des crédits suivants :

Imputation Intitulé Dépenses Recettes REGULARISATION EMPRUNTAMORTISSEMENT SUBVENTION ANCIENNE STEP 021 Virement à la section d’exploitation + 6 426.75 € 139111 (040) Liquidation amortissement subvention ancienne + 6 426.75 € STEP 023 Virement à la section d’investissement + 6 426.75 € 777 (042) Liquidation amortissement subvention ancienne + 6 426.75 € Step REGULARISATION PRET RELAIS 1641 Prêt relais + 300 000 1641 Prêt relais + 300 000

QUESTIONS DIVERSES

Réorganisation des ATSEM (Agent Territorial Spécialisé des Ecoles Maternelles) aux écoles maternelles

M. DESTIC donne connaissance aux conseillers de « la passe d’armes » qui a eu lieu le jour de la pré-rentrée des maternelles publiques de SAINT-CERE avec la directrice et ses collègues, suite à la volonté de la commune de réorganiser le temps de travail des ATSEM.

En effet sur les deux structures de l’établissement (bâtiment A et B) il a été décidé que pour des raisons budgétaires et pour permettre à la commune de faire face aux obligations qui lui sont confiées au niveau du temps d’activité périscolaire (TAP) de ne mettre à disposition des 6 classes maternelles que 4 ATSEM au lieu de 6 (les années précédentes) uniquement le mercredi matin.

Quelles sont les obligations des communes ? La mise à disposition du personnel spécialisé fait partie des obligations de la commune à l’égard de l’école. En effet selon l’article R412-127 du Code Général des Collectivités Territoriales, « toute classe maternelle doit bénéficier des services d’un agent communal occupant l’emploi d’agent spécialisé des écoles maternelles et des classes enfan tines. Cet agent est nommé par le maire après avis du directeur ou de la directrice et son traitement est exclusivemen t à la charge de la commune ». Il résulte de cette disposition que les ATSEM sont affectés collectivement à l’école et non pas à une classe. Ils peuvent donc intervenir dans une ou plusieurs classes selon les besoins et l’organisation interne et globale de l’école. Ces agents sont répartis dans les écoles à la discrétion de l’autorité territoriale, en fonction des nécessités du service. Il reste souhaitable que pour les classes de petite section une ATSEM par classe puisse intervenir.

Des menaces de la directrice ont été prodiguées visant à informer les parents d’élèves de cette décision qui à son dire est « défavorable à la bonne éducation des enfants »

Flora GOUZOU informe les conseillers municipaux de l’ouverture d’une classe supplémentaire à l’école élémentaire de Soulhol. 10

SOUSCRIPTION – RESTAURATION DE L’EGLISE DES RECOLLETS

Michèle SAINT-CHAMANT-KIEFFER informe le Conseil Municipal qu’une souscription a été lancée par le biais de la fondation du patrimoine permettant de mobiliser le mécénat populaire pour la réalisation des travaux de restauration extérieure et intérieure de l’église des Récollets. L’opération est menée en partenariat à l’association des amis du Pays de ST CERE.

Comment faire votre don ? - soit par courrier en envoyant un bon de souscription (qui peut être retiré en mairie ou sur le site de la mairie : www.saintcere.fr accompagné du règlement par chèque à : Fondation du Patrimoine Délégation Régionale Midi Pyrénées 11 bd des Récollets – Le belvédère – 6 A 31078 CEDEX 4

Soit par Internet : en faisant le don en ligne sur le site internet sécurisé de la Fondation du Patrimoine Midi Pyrénées : www.fondation-patrimoine.org/fr/midi-pyrénées-16 .

VU, par nous Pierre DESTIC, Maire de la Commune de SAINT-CERE pour être affiché sept septembre deux mille quinze à la porte de la Mairie conformément aux prescriptions de l’article L 2121-25 du Code Général des Collectivités Territoriales.

Le MAIRE Pierre DESTIC

11