Justification du tirage Il a été tiré 700 exemplaires de cet ouvrage, sur papier Calypso 150 g, numérotés de 1 à 700, constituant l'édition originale.

Exemplaire n° ..éfr.C.-.

Couverture : Place de la Mairie à Montry, vers 1905, tableau de Jacques Verhecq-Morlot (1988).

û 1988, Editions Amatteis ISBN : 2 86849 060 3 Roger Faro

Passant par Montry....

Nombreuses illustrations, documentation, gravures

Editions AMATTEIS 77350 LE MEE-SUR-SEINE 1988 Montry - La place de la Mairie et l'église. Préface

Au hasard de mes lectures

- « Vivre, c'est jouer à cache-cache avec son angoisse »

Jean Rostand

- « On ne peut construire que lentement et dans l'amour Là où nait l'amour, tout s"épanouit »

Pearl Buck

5 Au fil de mon existence, et surtout tout au long de mon mandat de Maire, j'ai côtoyé ces deux réflexions et tenté de les appli- quer.

Tout pour la commune.

Albert Bayart maire de 1983 (4 décembre) à

Montry, le 1er et 2 octobre 1988

Remerciements

Je remercie les nombreuses personnes qui ont bien voulu m'ai- der, soit en me communiquant des documents, soit en faisant appel à leurs souvenirs :

- Mesdames Chevalier, Finot-Pettré, Seron Paulette, Lavalloir Annie, Chassemeau Marie, Viloing Micheline, Marie-José Allen- bach, Luksch Danièle, Palloteau Micheline, Bollard Nedjma.

- Messieurs Lucien Bernon, Jean Cheval, Bernard Constant, Henri Desclais, Patrick Dessineau, René Duveau, Maurice Enou, Daniel Euzénat, Albert Gallet, Michel Gonet, Marcel Illoul, Franck et Frédéric Lavalloir, Jean Lazarus, Marcel Leprince, Bernard Pa- cot, Philippe Paltani, Jean-Pierre Plaisant, André Rinchon, André Salé, Pierre Seuré, Roland Taffoureau, Varloteaux (Brocante de Serris), Guy Villeret. 7

- M. Albert Bayart, maire de Montry, M. Paul Camuzat, adjoint au maire de Montry et M. René Marquet pour leurs efforts en vue de sauver le clocher de la vieille église et le plan-terrier de Montry de 1830.

Nous remercions également :

- Madame Odile Rousseau, directrice de l'école de Musique de Montry.

- Monsieur Arlen, directeur du CREPS de Montry.

- Monsieur Aliotti, responsable du Comité des Fêtes de Montry.

Si j'ai oublié quelques personnes, qu'elles veuillent bien me par- donner.

Sommaire

1 Les origines

2 A partir du Moyen Age

3 La vie paysanne autrefois

4 La du Barry et l'abbaye de Couilly

5 Le Château

6 L'église

7 La Révolution et Napoléon

8 La Guerre de 1870 9

9 L'activité vers 1900

10 Le Chemin de fer et le canal

11 Les écoles

12 1914-1918

13 Le lotissement

14 1939-1945

15 Sociétés et fêtes

16 Disneyland et TGV

12

Menhir de , chemin des Rouillardes. Chapitre 1 Les origines

Les premiers documents font mention d'un lieu nommé Mons Eri- ci ou Mons Hairici, appellations d'origine franque ou saxonne et si- gnifiant «La Montagne d'Erick». La création du hameau remonte pro- bablement au Ve siècle. Evidemment, au fil du temps, ces noms subissent des transformations : Montéricus, Monthery, Montery, et en- fin Montry. Le nom Montéricus apparaît pour la première fois sur une Charte de 847, concernant des biens appartenant à l'abbaye de Saint- Denis. A cette époque, le terroir de Montry dépend des religieux de l'abbaye de Saint-Maur-des-Fossés. Montry, tout comme , Saint- Germain et Coupvray, n'est qu'un simple hameau relevant de la pa- roisse de Couilly. La position de Couilly est fort importante, car le vil- lage se trouve à l'intersection des routes de , de Coulommiers, 13 de Paris. En outre, on note à Couilly la présence de l'abbaye tenue par des religieuses, d'une grande église, d'une maladrerie. Vers 850, Mon- try abrite une centaine d'habitants. Mais que savons-nous de la région en des temps nettement plus reculés ? Bien entendu, il est inutile de chercher des documents. En revanche, nous pouvons examiner le sol. Nos ancêtres s'installent surtout aux endroits élevés permettant de surveiller les environs. En effet, notre histoire n'est qu'une longue suite d'incursions d'envahisseurs venant de l'Est (Germains, Ostrogoths, Huns, Francs) ou du Nord (Vikings, Anglais). En outre, il est nécessaire de disposer d'un point d'eau à proximité des campements sous forme de source ou de cours d'eau. A Montry, l'endroit idéal se situe au-dessus du nouveau cimetière, à la limite de Montguillon. Il est bon de se munir de la carte référence 2414/Est/Lagny, carte au 25 millième éditée par l'Institut Géographi- que National. L'endroit qui nous intéresse se trouve entre les points 106 et 84. Je pense que le Montry antique était là. Lors des labours, les éclats de silex abondent. On y a donc fabriqué des outils, des pointes de flèches. A l'est de ce champ, coule un petit ru qui alimentera plus Pierres taillées et polies, trouvées par M. Pacot. 14

tard les lavoirs de Montguillon. Entre le champ et le nouveau cime- tière, nous avons le ru de Lochy. Et surtout une source, dite «Source des Réservoirs». Aujourd'hui, l'eau sourd directement du sol et remplit effectivement un réservoir en ciment probablement destiné à abreu- ver les animaux. Cette installation est difficile à trouver, car située en pleine culture et masquée par la végétation. Nos Montéricultois d'a- lors disposent donc d'une vue profonde en direction de Dammartin- en-Goële, de deux rus et d'une source, et de roche de silex permettant la création d'outils et d'armes. M. Bernard Pacot (de Serris), travaillant la terre, trouvera de superbes pierres taillées, qu'il a maintenant amou- reusement disposées dans son salon. Il est probable qu'un autre groupe vivait à l'emplacement actuel du Château. De là, la vue plonge également vers Dammartin et l'appro- visionnement en eau est résolu par la présence de deux sources. L'une permettra plus tard le remplissage du lavoir couvert de la rue Pascal et l'autre de l'abreuvoir situé à l'angle des rues Paul Doumer et des Champs-Forts. Si le lavoir existe toujours, en revanche on a comblé l'a- breuvoir. Néanmoins, on entend parfaitement le bruit de l'eau s'écou- lant sous terre.

La proche région fourmille de témoignages sur la préhistoire et la présence humaine. Par exemple, à Coupvray, au-dessus de la voie fer- rée, à l'emplacement dénommé «Les Chauds Soleils», on trouvera des pièces en silex : haches, racloirs, grattoirs, perçoirs, scies, pointes. Pas très loin, sur le plateau des Gallots, précisément Chemin des Rouil- lardes, est encore visible actuellement un menhir haut de 1,80 m et large de 1,85 m. Ce mégalithe, appelé aujourd'hui «La Haute Borne», sert de limite à trois communes (Coupvray, Lesches, Esbly). D'autres lieux-dits de Coupvray livreront également des pièces : la «Côte Saint- Jacques» et «La Bourgogne». recèle aussi des objets taillés du néolithique, particulière- ment aux lieux-dits «L'Ile Pinson», la «Tour des Pierres», les «Hauts-Châ- teaux». Ces endroits se situent sur la longue colline commençant au- dessus du tunnel du chemin de fer et se dirigeant vers , plus

Tête de licorne provenant du lieu-dit "Haut-Château", à Jablines. précisément entre la Départementale 45 et la Marne (toujours l'eau in- dispensable à la vie). Evidemment, cette colline est un lieu remarqua- ble de défense. Plus tard, les seigneurs locaux y construisirent manoirs féodaux et tours à créneaux. La colline de Chalifert se termine sur le plateau à l'entrée de Jablines. Ce vaste champ de culture porte également le nom de «Haut-Château». Là aussi, furent trouvées de nombreuses pièces en silex : haches, lames, grattoirs, pointes de flèches, percuteurs. En 1987, les travaux des champs mettaient à jour une superbe tête de licorne, probablement une bizarrerie de la nature, polie ensuite par la main de l'homme. Des traces d'ocre sont visibles le long de la gueule. Hélas, la corne est brisée. Toujours à Jablines, aux lieux-dits «Les Croupetons» et «La Ferme Brû- lée», des fouilles archéologiques permettront de recueillir dans des ves- tiges gallo-romains : objets en fer, en bronze, en os, des monnaies, des morceaux de céramique, des tuiles, du dallage. Continuons notre promenade dans la région autour de Montry. Lesches, au lieu-dit «Les Terres de Montigny», livrera une grande sé- pulture collective, 8 m de long, 2,50 m de large, 1 m de profondeur, 16 construite en pierres sèches. On examinera les restes de 169 individus. Le Musée de l'Homme recueillera de nombreuses pièces : haches tail- lées et polies, flèches, poinçons en os, gaines en bois de cerf, objets en nacre. Notons une découverte intéressante : une masse ferrugineuse (pyrite) accolée à du silex. Le silex présente des ébréchures et des traces de rouille. Il s'agit pro-bablement d'un nécessaire à feu. Le choc des deux matières produisait des étincelles enflammant de l'herbe et des feuilles sèches. Les romains passèrent par là également : bracelets en bronze, monnaie de bronze de l'Empereur Néron. Soulignons la pré- sence d'un important marécage boisé à la sortie de Lesches, à droite et à gauche de la Départementale 45 A. Il s'agit du lit d'origine du Grand- Morin, bien loin de son cours actuel. Jadis, lors des invasions, les ha- bitants se cachaient dans ce marécage, en s'installant sur quelques îlots de terre. A Esbly, au lieu-dit «Grand Ru», à l'occasion de la construction d'une maison, on récupèra dans les fondations : des ossements, haches en si- lex, lames, bois de cerf. Il existait aussi à Esbly, un dolmen dit du «Mou- ton Noir». On a bâti une maison sur le dolmen lui-même, à l'angle des rues de la République et Pasteur. Les sablières d'Isles-les- livreront bien des pièces. On met- tra à jour des fondations gallo-romaines, au lieu-dit «La Fosse», à l'in- térieur de la grande courbe de la Départementale 46. A Mareuil-les-Meaux, on découvre une sépulture au lieu-dit «Le Fond-du-Ré», contenant une quarantaine de corps et divers objets, gaines de haches en bois de cerf, fragments de poterie, houe en bois de cerf, pointes de flèches, haches polies dont trois en jadéite. On fouil- lera un autre gisement dans le quartier des Roizes : poterie, restes de chevreuil, sanglier, bouquetin et castor y seront trouvés. Quincy-Voisins est particulièrement riche en objets préhistoriques. Vers le ru du Mesnil, on ramassera des pierres taillées, pointes de flèches et de lances, haches. Contre le bois des Marais, pas loin de la bretelle de Meaux, on relèvera les empreintes de cabanes gauloises. Et un peu partout sur le territoire de la commune : morceaux de tuiles, de poteries, vestiges d'origine gallo-romaine. A signaler aussi les traces d'une voie romaine sur le parcours Moulignon-le-Bas - Ségy - Chemin des Gendarmes. En outre, des fouilles effectuées en 1966 à l'emplacement du stand de tir, permirent de retirer des sarcophages mérovingiens. 17 Terminons notre périple par Crécy, où l'on fit trois découvertes : - En 1842, l'hypogée des Loges, contenant des ossements, des haches dont une en jadéite, des amulettes en serpentine. Cette sépulture avait reçu une cinquantaine de corps, couchés sur le dos, le visage tourné vers l'orient. Et les enfants, dans l'autre sens. - En 1872, à La Chapelle-sur-Crécy, une autre sépulture contenant aus- si 50 corps, une hache polie, colliers en os perforés, défenses de san- gliers. - En 1886, encore une sépulture au hameau des Brûlots, avec 70 sque- lettes, des gaines de hache en bois de cerf, des flèches, des haches dont une en diorite, des lames-couteaux, un lissoir ou spatule en os, des poinçons, des fragments de sagaie en os, des disques en nacre.

Cette tournée autour de Montry nous fournit quelques lumières sur la vie de nos ancêtres préhistoriques. Ils demeuraient donc, en géné- ral, sur des hauteurs permettant d'observer l'approche d'ennemis éven- tuels, recherchaient la proximité de l'eau, se livraient à la chasse, fa- briquaient des objets en matières diverses. 18 Chapitre 2 A Partir du Moyen Age

Rappelons que Montry relève du royaume d'Austrasie jusqu'au commencement du VUe siècle. Vers 1130, Montry (en latin Montrijacum) se détache de Couilly. Le premier maire se nomme Herbert. La construction de l'église débute en 1134. Nous consacrerons plus loin un chapitre à ce sujet. Situons la paroisse: elle se trouve à 54 mètres d'altitude. La colline du Château atteint 112 mètres au-dessus du niveau de la mer. Latitude nord : 48° 23'. Longitude est : 0° 30'. Louis Michelin, dans ses «Essais historiques sur l'arrondisselnent de Meaux», envisage une autre explication sur le nom de Montry : «Mon- try vient de Montrideux, parce qu'autrefois la plus forte partie de la paroisse 19 était sur la Montagne qui présente le point de vue le plus agréable». Nous reproduisons ci-après le premier plan du Terroir de Montry. La vie du village va se caractériser, hélas, par une longue suite de pillages, d'incendies, de famines, de froidures, d'épidémies. Jugez donc : - 861 : Les Normands ravagent la région. - 865 : Les Normands reviennent, font le siège de Meaux, pil- lent et incendient l'arrière-pays. - 142C : Et maintenant les Anglais se mettent de la partie et ef- fectuent leur razzia. Comme cela ne suffit pas, des bandes de loups affamés font leur apparition. - 1439 : En juillet, les Anglais reviennent et, comme il se doit, font le siège habituel de Meaux et terrorisent les malheureux briards. Charles VII expulse les «maudits» Anglais. - 1520 : Voici d'autres visiteurs, les Armagnacs, qui volent et maltraitent les gens apportant des vivres à Meaux. - 1522 : Hiver rigoureux. Le blé gèle et la famine règne. On re- laboure les terres en mars et on sème de l'orge qui sera d'un grand secours. On appela cette année «l'année des orges». De plus, la peste survient et fait de nombreuses victimes. L'épi- démie dure 18 mois et reprend en 1524. - 1562 : La campagne est ravagée par la grêle et subit le choc de grêlons gros comme des œufs de poule. - 1587 : Et revoilà la peste, plus violente que jamais. - 1591 : La guerre de la Ligue fait rage. On laisse les terres en friches. On constate une quantité incroyable de mulots, rats, belettes qui dévorent les quelques grains restés sur terre. Les terriers de ces bestioles abondent.

A Quincy, les habitants se réfugient sur les voûtes de l'église. Mais les femmes et les enfants font du bruit. Les ligueurs forcent les portes, incendient les bancs, et les gens sont asphyxiés par la fumée. - 1594 : Encore le froid. La vigne gèle et ne produira rien. En juin et juillet surviennent des pluies abondantes. C'est l'an- née funeste, les pertes sont considérables. Les gens, ruinés par la guerre, ont subi le vol des grains, chevaux et troupeaux. La population a diminué de moitié. Bien des maisons appa- raissent vides, abandonnées, sans portes ni fenêtres. Et on exigeait que les malheureux payassent l'impôt, précisément la taille ! Les collecteurs d'impôts veulent vendre les tuiles, 20 et couper les arbres fruitiers afin d'en vendre le bois ! - 1596 : La peste provoque encore une immense désolation. - 1598 : La vigne gèle dans la nuit du 18 au 19 avril. - 1608 : Pendant quatre mois règne un hiver implacable. Pen- dant un mois, il devient difficile de sortir. On retrouvera les corps de plusieurs personnes ayant tenté l'expérience. -1652 : En juin, les armées lorraines se dirigent vers Paris afin de protéger les Princes. Naturellement, elles en profitent pour ravager quelque peu notre contrée. - 1679 : En juillet, se produit un phénomène étonnant. Tous les arbres sont submergés par des multitudes de papillons aux ailes blanches et au corps jaune. Le sol en est recouvert. Ce- la engendrera, l'année suivante, une telle quantité de che- nilles, que toutes les feuilles disparaîtront et que les arbres se dénuderont comme en hiver. - 1709 : Nouvel hiver épouvantable et gel du blé. Comme d'ha- bitude en ces cas-là, on relaboure en mars et on fait du pain avec de l'orge. Evidemment, les vignes très abondantes à Montry, sont également gelées. Il faut les couper sur pied, ainsi que tous les arbres fruitiers, petits et grands. - 1715 : Encore un bon coup de froid, à tel point que la Marne Bibliographie

- Georges Husson : Promenades à travers la Vallée du Grand-Mo- rin (Lechevalier 1893) - J.D. Renoux : Notice sur Montry (Imprimerie Kossuth-Paris 1905) - Simone Arnette : Fouilles et monuments dans la région d/Esbly (Centre National de la Recherche Scientifique 1962) - Jules Grenier : La Brie d'Autrefois, mœurs et coutumes des bords du Grand-Morin (Librairie Delagrange 1884) - Frédéric Humbert : L'invasion de 1814 en Seine-et-Marne (Imprimerie de l'Avenir- 1885) - L. Rogeron : Les Cosaques en Champagne et en Brie (Gaillard- Paris) - Berthault : Lettre Historique sur Couilly (Le Blondel-Meaux 1875) - Berthault : L'abbaye du Pont-aux-Dames (Le Blondel-Meaux 1878) - Paul Bru : La Rinette, Les refrains d'cheux nous (-Edition) 205 - E. Babin : 1914, L'occupation allemande à La Ferté-sous- (Plont-Nourrit 1920) - Georges Montorgueil : Meaux pendant la Bataille 1914 (Collec- tion du «Tour de France») - Georges Husson : Ségy et son église (Imprimerie Lepillet-Meaux 1913) - Emmanuel Marbeaux, Evêque de Meaux : Souvenirs de Meaux, avant, pendant et après la Bataille de la Marne (Edition de la Revue Hebdomadaire 1916) - Jacques-Amédée Le Paire : Le Petit Journal de Lagny (Imprime- rie Marchand-Meaux 1896) - Léon Bloy : Quatre ans de Captivité à Cochons-sur-Marne (Mer- cure de France 1905) - Ernest Dessaint : Coulommiers pendant la Révolution (Brodart et Taupin 1939) - Jacques Hérissay : Les Massacres de Meaux (Librairie Perrin 1935) - Gaspard Morot : Histoire contemporaine de la ville de Meaux (Le Blondel-Meaux 1893) Collections de journaux anciens : - Le Publicateur de l'Arrondissement de Meaux - Journal de Seine-et-Marne - L'Echo de la Brie - Le Républicain de Seine-et-Marne - La Région de Seine-et-Marne - Georges Husson : L'église de Montry et la Chapelle Saint-Sébas- tien (Imprimerie Lepillet-Meaux) - Archives départementales de Melun - Maurice Pignard : Histoire Générale Illustrée de la Seine-et-Marne (Imprimerie Gout-Orléans 1911) - Louis Michelin : Essais historiques sur l'arrondissement de Meaux

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