PREFET DE MEURTHE-ET-MOSELLE

RECUEIL DES ACTES ADMINISTRATIFS Edition n° 28 du 11 juin 2018

Les actes dans leur intégralité peuvent être consultés à la préfecture ou auprès des services concernés.

Le recueil peut aussi être consulté :

 sur le site Internet des services de l'État en Meurthe-et-Moselle : www.meurthe-et-moselle.gouv.fr

 aux guichets d'accueil de la préfecture et des sous-préfectures, pendant deux mois à partir du 11 juin 2018 RECUEIL N° 28 959 11 JUIN 2018

S O M M A I R E

ARRETES, DECISIONS, CIRCULAIRES...... 961

PREFECTURE DE MEURTHE-ET-MOSELLE...... 961 CABINET DU PREFET...... 961 DIRECTION DES SECURITES...... 961 Bureau des polices administratives...... 961 Arrêté portant abrogation d’une autorisation de mise en œuvre d’un système de vidéoprotection pour CIC EST à BLAINVILLE-SUR-L'EAU...... 961 Arrêté portant abrogation d’une autorisation de mise en œuvre d’un système de vidéoprotection pour la banque CIC à CIREY-SUR-VEZOUZE...... 961 Arrêté portant abrogation d’une autorisation de mise en œuvre d’un système de vidéoprotection pour le GAB hors site du CREDIT MUTUEL à VANDOEUVRE-LES-NANCY...... 961 Arrêté portant abrogation d’une autorisation de mise en œuvre d’un système de vidéoprotection pour le CREDIT MUTUEL à NANCY...... 962 Arrêté portant abrogation d’une autorisation de mise en œuvre d’un système de vidéoprotection pour le magasin Carrefour Contact ERTECO à VANDOEUVRE-LES-NANCY...... 962 Arrêté portant retrait de l’arrêté du 12 mars 2018 portant abrogation d’une autorisation de mise en œuvre d’un système de vidéoprotection pour LA POSTE Direction Régionale Réseau et Banque de Lorraine Sud à VILLERS-LES-NANCY...... 963 Arrêté n° 2011/0126 portant autorisation d’un système de vidéoprotection pour la Pharmacie SONZOGNI à VANDOEUVRE-LES-NANCY...... 963 Arrêté n° 2014/0422 portant autorisation d’un système de vidéoprotection pour l' EURL AUDIO TT, Un + d'Audition à POMPEY...... 964 Arrêté n° 2016/0139 portant autorisation d’un système de vidéoprotection pour le distributeur automatique de pizzas les 4 saisons à NANCY...... 965 Arrêté n° 2017/0131 portant autorisation d’un système de vidéoprotection pour la SARL ArtisanServices à VANDOEUVRE-LES-NANCY...... 966 Arrêté n° 2017/0330 portant autorisation d’un système de vidéoprotection pour la SARL LA LAURENTIERE - Brasserie l'Eden à LUNEVILLE...... 966 Arrêté n° 2018/0068 portant autorisation d’un système de vidéoprotection pour le parking privé (ouvert au public) à NANCY...... 967 Arrêté n° 2018/0074 portant autorisation d’un système de vidéoprotection pour le magasin 2ART CASH - CASH CONVERTERS à VANDOEUVRE-LES- NANCY...... 968 Arrêté n° 2018/0082 portant autorisation d’un système de vidéoprotection pour la MAISON DE LA MIRABELLE à ROZELIEURES...... 969 Arrêté n° 2018/0087 portant autorisation d’un système de vidéoprotection pour le BAR TABAC DM'S CAFE à NANCY...... 970 Arrêté n° 2018/0090 portant autorisation d’un système de vidéoprotection pour la SARL HÔTEL DE GUISE à NANCY...... 970 Arrêté n° 2018/0093 portant autorisation d’un système de vidéoprotection pour la pharmacie GUIRLINGER à VANDOEUVRE-LES-NANCY...... 971 Arrêté n° 2018/0105 portant autorisation d’un système de vidéoprotection pour le magasin ORCHESTRA PREMAMAN S.A. à ESSEY-LES-NANCY...... 972 Arrêté n° 2018/0107 portant autorisation d’un système de vidéoprotection pour la Clinique Lorrainevet à ...... 973 Arrêté n° 2018/0128 portant autorisation d’un système de vidéoprotection pour la SARL BOLOGNA à LANEUVEVILLE-DEVANT-NANCY...... 974 Arrêté n° 2018/0129 portant autorisation d’un système de vidéoprotection pour la METROPOLE DU GRAND NANCY à NANCY...... 975 Arrêté n° 2018/0133 portant autorisation d’un système de vidéoprotection pour les CAVES GILLES à RICHARDMENIL...... 976 Arrêté n° 2018/0139 portant autorisation d’un système de vidéoprotection pour l'agence d'assurance Nadine ANDRE à ...... 976 Arrêté n° 2018/0145 portant autorisation d’un système de vidéoprotection pour la Base aérienne 133 Nancy- à ...... 977 Arrêté n° 2018/0146 portant autorisation d’un système de vidéoprotection pour la Base aérienne 133 Nancy-Ochey à TOUL...... 978 Arrêté n° 2018/0153 portant autorisation d’un système de vidéoprotection pour la SAS CUART-CHATTON, Primeurs de l'Est, à LUNEVILLE...... 979 Arrêté n° 2018/0155 portant autorisation d’un système de vidéoprotection pour la SAS MILA/CUBE - Escape Game à NANCY...... 980 Arrêté n° 2018/0156 portant autorisation d’un système de vidéoprotection pour Catherine et Francis HARAUX Maraîchers - Horticulteurs à NANCY...... 981 Arrêté n° 2018/0158 portant autorisation d’un système de vidéoprotection pour l' EURL TROIS PETITS POINTS à NANCY...... 981 Arrêté n° 2018/0165 portant autorisation d’un système de vidéoprotection pour la SELARL Pharmacie Nouvelle à ...... 982 Arrêté n° 2018/0174 portant autorisation d’un système de vidéoprotection pour la Commune de GONDREVILLE...... 983 Arrêté n° 2018/0186 portant autorisation d’un système de vidéoprotection pour JF AUTOMOBILES à ...... 984 Arrêté n° 2018/0187 portant autorisation d’un système de vidéoprotection pour la société ACTION FRANCE SAS à VANDOEUVRE-LES-NANCY...... 985 Arrêté n° 2018/0211 portant autorisation d’un système de vidéoprotection pour la SAS ONE LOVE BB - Magasin BEBE 9 à ESSEY-LES-NANCY...... 986 Arrêté n° 2018/0215 portant autorisation d’un système de vidéoprotection pour TABAC PRESSE A2M à BOUXIERES-AUX-CHENES...... 986 Arrêté n° 2018/0221 portant autorisation d’un système de vidéoprotection pour l'école de Musique à BATILLY...... 987 Arrêté n° 2018/0223 portant autorisation d’un système de vidéoprotection pour la COMMUNE DE NEUVES-MAISONS...... 988 Arrêté n° 2018/0224 portant autorisation d’un système de vidéoprotection pour le magasin Le Viand'Art Lorrain - Proxi à BOUXIERES-AUX-CHENES...... 989 Arrêté n° 2018/0238 portant autorisation d’un système de vidéoprotection pour l' EURL TIFF ON LINE à AUBOUE...... 990 Arrêté n° 2018/0242 portant autorisation d’un système de vidéoprotection pour la COMMUNE DE ...... 990 Arrêté n° 2018/0247 portant autorisation d’un système de vidéoprotection pour l' Agence Postale Communale à ...... 991 Arrêté n° 2015/0051 portant autorisation partielle d’un système de vidéoprotection pour l'Atelier DEGRON HEUREQUAL 54 à ...... 992 Arrêté n° 2015/0356 portant autorisation partielle d’un système de vidéoprotection pour le Basic-Fit II à LAXOU...... 993 Arrêté n° 2016/0318 portant autorisation partielle d’un système de vidéoprotection pour la SARL LACARTE à NANCY...... 994 Arrêté n° 2016/0439 portant autorisation partielle d’un système de vidéoprotection pour la SAS BOULANGERIE BG à ...... 995 Arrêté n° 2017/0095 portant autorisation partielle d’un système de vidéoprotection pour l'établissement CMC COLIN MOTOCULTURE à VEZELISE...... 995 Arrêté n° 2017/0124 portant autorisation partielle d’un système de vidéoprotection pour la SAS BGR VOYOU Delicatessen à NANCY...... 996 Arrêté n° 2017/0125 portant autorisation partielle d’un système de vidéoprotection pour la SAS BGR VOYOU à NANCY...... 997 Arrêté n° 2017/0134 portant autorisation partielle d’un système de vidéoprotection pour la SAS JONACA à NANCY...... 998 Arrêté n° 2018/0066 portant autorisation partielle d’un système de vidéoprotection pour l'EURL LA BOULANGERE à NANCY...... 999 Arrêté n° 2018/0084 portant autorisation partielle d’un système de vidéoprotection pour la SAS LEXYDIS LECLERC à LEXY...... 1000 Arrêté n° 2018/0086 portant autorisation partielle d’un système de vidéoprotection pour la boulangerie COSSIN à ...... 1000 Arrêté n° 2018/0088 portant autorisation partielle d’un système de vidéoprotection pour le TABAC PRESSE TIHA à BLAMONT...... 1001 Arrêté n° 2018/0097 portant autorisation partielle d’un système de vidéoprotection pour le magasin COLRUYT RETAIL FRANCE à TOUL...... 1002 Arrêté n° 2018/0098 portant autorisation partielle d’un système de vidéoprotection pour la SAS GIARRIZZO ET FILS à ...... 1003 Arrêté n° 2018/0104 portant autorisation partielle d’un système de vidéoprotection pour la SARL BCP DIFFUSION à LUNEVILLE...... 1004 Arrêté n° 2018/0106 portant autorisation partielle d’un système de vidéoprotection pour la boulangerie CHEZ DAMIEN ET AUDREY à .....1005 Arrêté n° 2018/0132 portant autorisation partielle d’un système de vidéoprotection pour la SAS BOULANGERIE BBG à ESSEY-LES-NANCY...... 1005 Arrêté n° 2018/0141 portant autorisation partielle d’un système de vidéoprotection pour les CAVES GILLES à DOMBASLE-SUR-MEURTHE...... 1006 Arrêté n° 2018/0163 portant autorisation partielle d’un système de vidéoprotection pour le centre des Soins de Suite et de Réadaptation à FLAVIGNY-SUR- MOSELLE...... 1007 Arrêté n° 2018/0199 portant autorisation partielle d’un système de vidéoprotection pour l' Ensemble scolaire Notre-Dame La Salle à PONT-A- ...... 1008 Arrêté n° 2018/0207 portant autorisation partielle d’un système de vidéoprotection pour le magasin ACT'2 BIS à PONT-A-MOUSSON...... 1009 Arrêté n° 2018/0214 portant autorisation partielle d’un système de vidéoprotection pour la SAS BOULANGERIE BBG à NEUVES-MAISONS...... 1010 Arrêté n° 2018/0241 portant autorisation partielle d’un système de vidéoprotection pour la Boulangerie DAUL à HOMECOURT...... 1011 Arrêté n° 2018/0245 portant autorisation partielle d’un système de vidéoprotection pour le CCAS à NANCY...... 1011 Arrêté portant modification d’un système de vidéoprotection pour l'agence BNP PARIBAS à LONGWY...... 1012 Arrêté portant modification d’un système de vidéoprotection pour la SAS HERLAURE BRICOMARCHE à ...... 1013 Arrêté portant modification d’un système de vidéoprotection pour LA POSTE Direction Régionale de Lorraine à JOEUF...... 1013 Arrêté portant modification d’un système de vidéoprotection pour le Crédit Agricole de Lorraine à AUDUN-LE-ROMAN...... 1013 Arrêté portant modification d’un système de vidéoprotection pour le Crédit Agricole de Lorraine à LAXOU...... 1014 Arrêté portant modification d’un système de vidéoprotection pour le Crédit Agricole de Lorraine à JARNY...... 1014 Arrêté portant modification d’un système de vidéoprotection pour la SARL GIRAUD'EAU LAVAGES à DAMELEVIERES...... 1015 Arrêté portant modification d’un système de vidéoprotection pour la SA des Produits de la Nature, On a la Vie à ESSEY-LES-NANCY...... 1015 Arrêté portant modification d’un système de vidéoprotection pour l’agence RCBT RESEAU CLUB BOUYGUES TELECOM à ...... 1016 Arrêté portant modification d’un système de vidéoprotection pour le Bar Tabac "le MARIGNY" à LUNEVILLE...... 1016 Arrêté portant modification d’un système de vidéoprotection pour LA POSTE Direction Régionale de Lorraine à VAL-DE-BRIEY...... 1016 RECUEIL N° 28 960 11 JUIN 2018

Arrêté portant modification d’un système de vidéoprotection pour la SARL Pharmacie de la Grande Fin à HOMECOURT...... 1017 Arrêté portant modification d’un système de vidéoprotection pour la COMMUNE DE TOUL...... 1017 Arrêté portant modification d’un système de vidéoprotection pour CREDIT COOPERATIF à NANCY...... 1018 Arrêté portant modification d’un système de vidéoprotection pour le garage REPAR'AUTO SARL ACKERMANN à BAYON...... 1018 Arrêté portant modification d’un système de vidéoprotection pour le TABAC PRESSE FDJ PMU LA ROYALE à JARVILLE-LA-MALGRANGE...... 1019 Arrêté portant modification d’un système de vidéoprotection pour la SAS MALEX U EXPRESS à VANDOEUVRE-LES-NANCY...... 1019 Arrêté portant modification d’un système de vidéoprotection pour le complexe sportif de ...... 1020 Arrêté portant modification d’un système de vidéoprotection pour la SAS ARMAND THIERY, Enseigne EDJI à NANCY...... 1020 Arrêté portant modification de l’autorisation partielle d’un système de vidéoprotection pour Institut de Cancérologie de Lorraine à VANDOEUVRE-LES- NANCY...... 1020 Arrêté portant modification de l’autorisation partielle d’un système de vidéoprotection pour la SAS CORA à ESSEY-LES-NANCY...... 1021 Arrêté portant modification de l’autorisation partielle d’un système de vidéoprotection pour la PATISSERIE RECOUVREUR à NANCY...... 1021 Arrêté portant modification de l’autorisation partielle d’un système de vidéoprotection pour la Métropole du Grand Nancy à NANCY...... 1022 Arrêté portant modification de l’autorisation partielle d’un système de vidéoprotection pour la SAS DELPHIUM NETTO à PONT-A-MOUSSON...... 1022 Arrêté portant modification de l’autorisation partielle d’un système de vidéoprotection pour la SARL AES CARREFOUR CONTACT à ...... 1022 Arrêté portant modification de l’autorisation partielle d’un système de vidéoprotection pour le magasin AFFLELOU à LAXOU...... 1023 Arrêté portant modification de l’autorisation partielle d’un système de vidéoprotection pour le magasin KOI BY KOI à BLAINVILLE-SUR-L'EAU...... 1023 Arrêté portant modification de l’autorisation partielle d’un système de vidéoprotection pour le magasin MOTOWORLD KAWASAKI à ESSEY-LES-NANCY ...... 1024 Arrêté portant renouvellement de l’autorisation d’un système de vidéoprotection pour l'agence BNP PARIBAS à VAL-DE-BRIEY...... 1024 Arrêté portant renouvellement de l’autorisation d’un système de vidéoprotection pour l'agence BNP PARIBAS à CHAMPIGNEULLES...... 1025 Arrêté portant renouvellement de l’autorisation d’un système de vidéoprotection pour l'agence BNP PARIBAS à VANDOEUVRE-LES-NANCY...... 1025 Arrêté portant renouvellement de l’autorisation d’un système de vidéoprotection pour la BANQUE POPULAIRE ALSACE LORRAINE CHAMPAGNE à JARNY ...... 1026 Arrêté portant renouvellement de l’autorisation d’un système de vidéoprotection pour la BANQUE POPULAIRE ALSACE LORRAINE CHAMPAGNE à JOEUF ...... 1026 Arrêté portant renouvellement de l’autorisation d’un système de vidéoprotection pour le Crédit Agricole à DOMBASLE-SUR-MEURTHE...... 1027 Arrêté portant renouvellement de l’autorisation d’un système de vidéoprotection pour le Crédit Agricole de Lorraine à JOEUF...... 1027 Arrêté portant renouvellement de l’autorisation d’un système de vidéoprotection pour Relais - TOTAL MARKETING FRANCE à ...... 1028 Arrêté portant renouvellement de l’autorisation d’un système de vidéoprotection pour LA POSTE Direction Régionale de Lorraine à BAYON...... 1028 Arrêté portant renouvellement de l’autorisation d’un système de vidéoprotection pour LA POSTE Direction Régionale de Lorraine à HOMECOURT...... 1029 Arrêté portant renouvellement de l’autorisation d’un système de vidéoprotection pour LA POSTE Direction Régionale de Lorraine à LAY-SAINT- CHRISTOPHE...... 1029 Arrêté portant renouvellement de l’autorisation d’un système de vidéoprotection pour LA POSTE Direction Régionale de Lorraine à ...... 1030 Arrêté portant renouvellement de l’autorisation d’un système de vidéoprotection pour LA POSTE Direction Régionale de Lorraine à THIL...... 1030 Arrêté portant renouvellement de l’autorisation d’un système de vidéoprotection pour la SARL Bijouterie CROSSE à CHAMPIGNEULLES...... 1031 Arrêté portant renouvellement de l’autorisation d’un système de vidéoprotection pour LA POSTE Direction Régionale de Lorraine à RICHARDMENIL...... 1031 Arrêté portant renouvellement de l’autorisation d’un système de vidéoprotection pour LA POSTE Direction Régionale de Lorraine à ...... 1032 Arrêté portant renouvellement de l’autorisation d’un système de vidéoprotection pour LA POSTE Direction Régionale de Lorraine à VEZELISE...... 1032 Arrêté portant renouvellement de l’autorisation d’un système de vidéoprotection pour LA POSTE Direction Régionale de Lorraine à AUBOUE...... 1033 Arrêté portant renouvellement de l’autorisation d’un système de vidéoprotection pour l'agence ORANGE FRANCE TELECOM à NANCY...... 1033 Arrêté portant renouvellement de l’autorisation d’un système de vidéoprotection pour la MAIRIE DE BATILLY à BATILLY...... 1034 Arrêté portant renouvellement de l’autorisation d’un système de vidéoprotection pour l'opticien ALAIN AFFLELOU à HOUDEMONT...... 1034 Arrêté portant renouvellement de l’autorisation d’un système de vidéoprotection pour le Foyer "CHATEAU DE LA GARENNE" à LIVERDUN...... 1035 Arrêté portant renouvellement de l’autorisation d’un système de vidéoprotection pour l’agence BNP PARIBAS à LONGWY...... 1035 Arrêté portant renouvellement de l’autorisation d’un système de vidéoprotection pour LA POSTE Direction Régionale de Lorraine à NANCY...... 1036 Arrêté portant renouvellement de l’autorisation partielle d’un système de vidéoprotection pour la SAS LUNAMA LECLERC DRIVE à ...... 1036 Arrêté portant renouvellement de l’autorisation partielle d’un système de vidéoprotection pour le CABINET D'ORTHOPHONIE à POMPEY...... 1037 RECUEIL N° 28 961 11 JUIN 2018

ARRETES, DECISIONS, CIRCULAIRES

PREFECTURE DE MEURTHE-ET-MOSELLE CABINET DU PREFET

DIRECTION DES SECURITES Bureau des polices administratives

Arrêté portant abrogation d’une autorisation de mise en œuvre d’un système de vidéoprotection pour CIC EST à BLAINVILLE-SUR- L'EAU Le Préfet de Meurthe-et-Moselle, VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU l'arrêté préfectoral 17.BCI.79 du 29 décembre 2017 accordant délégation de signature à M. Morgan TANGUY, Sous-Préfet, Directeur de Cabinet ; VU l’arrêté préfectoral n° 2008/3844 du 18 juillet 1997, modifié le 18 novembre 2005, modifié le 10 mars 2010, renouvelé le 5 décembre 2014 autorisant l’installation d’un système de vidéosurveillance situé au CIC EST 8 rue Pierre Sémard 54360 BLAINVILLE-SUR-L'EAU ; VU la demande en date du 21 mars 2018 présentée par Monsieur le Chargé de Sécurité représentant CIC EST informant le préfet de Meurthe- et-Moselle de l’arrêt total d'un système de vidéoprotection situé 8 rue Pierre Sémard à BLAINVILLE-SUR-L'EAU (54360) ; Considérant que le système de vidéoprotection n’est plus en service ; Sur proposition du Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet ; A R R E T E ARTICLE 1 : L’arrêté préfectoral n° 2008/3844 du 18 juillet 1997, modifié le 18 novembre 2005, modifié le 10 mars 2010, renouvelé le 5 décembre 2014 susvisé est abrogé. ARTICLE 2 : Le présent arrêté est publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Meurthe-et-Moselle. Il peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Nancy dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. ARTICLE 3 : L’installation d’un système de vidéoprotection sans autorisation est punie de trois ans d’emprisonnement et de 45 000 euros d’amende sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L.120-2, L.121-8 et L.432-2-1 du code du travail. ARTICLE 4 : Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. ARTICLE 5 : Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet et le Colonel, Commandant le Groupement de Gendarmerie de Meurthe et Moselle sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Monsieur le Chargé de Sécurité représentant CIC EST, et dont une copie sera transmise au maire de la commune de BLAINVILLE-SUR-L'EAU ainsi qu’à Monsieur le Sous- Préfet de l'arrondissement de Lunéville. Nancy, le 21 mars 2018 Pour le Préfet et par délégation, Le Directeur des Sécurités, Bertrand MERCIER ______

Arrêté portant abrogation d’une autorisation de mise en œuvre d’un système de vidéoprotection pour la banque CIC à CIREY-SUR- VEZOUZE Le Préfet de Meurthe-et-Moselle, VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU l'arrêté préfectoral 17.BCI.79 du 29 décembre 2017 accordant délégation de signature à M. Morgan TANGUY, Sous-Préfet, Directeur de Cabinet ; VU l’arrêté préfectoral n° 2008/3847 du 18 juillet 1997, modifié le 26 mars 2009, puis le 5 février 2014 autorisant l’installation d’un système de vidéosurveillance situé au CIC 5 Place Chevandier 54480 CIREY-SUR-VEZOUZE ; VU la demande en date du 15 mai 2018 présentée par Monsieur le Chargé de Sécurité représentant la banque CIC informant le préfet de Meurthe-et-Moselle de l’arrêt total d'un système de vidéoprotection situé 5 Place Chevandier à CIREY-SUR-VEZOUZE (54480) ; Considérant que le système de vidéoprotection n’est plus en service ; Sur proposition du Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet ; A R R E T E ARTICLE 1 : L’arrêté préfectoral n° 2008/3847 du 18 juillet 1997, modifié le 26 mars 2009, puis le 5 février 2014 susvisé est abrogé. ARTICLE 2 : Le présent arrêté est publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Meurthe-et-Moselle. Il peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Nancy dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. ARTICLE 3 : L’installation d’un système de vidéoprotection sans autorisation est punie de trois ans d’emprisonnement et de 45 000 euros d’amende sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L.120-2, L.121-8 et L.432-2-1 du code du travail. ARTICLE 4 : Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. ARTICLE 5 : Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet et le Colonel, Commandant le Groupement de Gendarmerie de Meurthe et Moselle sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Monsieur le Chargé de Sécurité représentant la banque CIC, et dont une copie sera transmise au maire de la commune de CIREY-SUR-VEZOUZE ainsi qu’à Monsieur le Sous-Préfet de l'arrondissement de Lunéville. Nancy, le 17 mai 2018 Pour le Préfet et par délégation, Le Directeur des Sécurités, Bertrand MERCIER ______

Arrêté portant abrogation d’une autorisation de mise en œuvre d’un système de vidéoprotection pour le GAB hors site du CREDIT MUTUEL à VANDOEUVRE-LES-NANCY Le Préfet de Meurthe-et-Moselle, VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 ; RECUEIL N° 28 962 11 JUIN 2018

VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU l'arrêté préfectoral 17.BCI.79 du 29 décembre 2017 accordant délégation de signature à M. Morgan TANGUY, Sous-Préfet, Directeur de Cabinet ; VU l’arrêté préfectoral n° 2010/0053 du 2 juillet 2010, modifié le 5 août 2011, renouvelé le 10 août 2016 autorisant l’installation d’un système de vidéosurveillance situé au GAB hors site du CREDIT MUTUEL Centre Hospitalier Universitaire de BRABOIS 54500 VANDOEUVRE-LES- NANCY ; VU la demande en date du 30 novembre 2017 présentée par Monsieur le Chargé de Sécurité représentant le CREDIT MUTUEL informant le préfet de Meurthe-et-Moselle de l’arrêt total d'un système de vidéoprotection situé au Centre Hospitalier Universitaire de BRABOIS à VANDOEUVRE-LES-NANCY (54500) ; Considérant que le système de vidéoprotection n’est plus en service ; Sur proposition du Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet ; A R R E T E ARTICLE 1 : L’arrêté préfectoral n° 2010/0053 du 2 juillet 2010, modifié le 5 août 2011, renouvelé le 10 août 2016 susvisé est abrogé. ARTICLE 2 : Le présent arrêté est publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Meurthe-et-Moselle. Il peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Nancy dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. ARTICLE 3 : L’installation d’un système de vidéoprotection sans autorisation est punie de trois ans d’emprisonnement et de 45 000 euros d’amende sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L.120-2, L.121-8 et L.432-2-1 du code du travail. ARTICLE 4 : Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. ARTICLE 5 : Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Monsieur le Chargé de Sécurité représentant le CREDIT MUTUEL, et dont une copie sera transmise au maire de la commune de VANDOEUVRE-LES-NANCY ainsi qu’à Madame la Secrétaire Générale de la préfecture, Sous-Préfète de l'arrondissement de Nancy. Nancy, le 21 mars 2018 Pour le Préfet et par délégation, Le Directeur des Sécurités, Bertrand MERCIER ______

Arrêté portant abrogation d’une autorisation de mise en œuvre d’un système de vidéoprotection pour le CREDIT MUTUEL à NANCY

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU l'arrêté préfectoral 17.BCI.79 du 29 décembre 2017 accordant délégation de signature à M. Morgan TANGUY, Sous-Préfet, Directeur de Cabinet ; VU l’arrêté préfectoral n° 2011/0536 du 25 mai 2007, modifié le 26 mars 2012, puis le 22 février 2017 autorisant l’installation d’un système de vidéosurveillance situé au CREDIT MUTUEL 12 Promenade Emilie du Chatelet 54000 NANCY ; VU la demande en date du 14 mai 2018 présentée par Monsieur le Chargé de Sécurité représentant le CREDIT MUTUEL informant le préfet de Meurthe-et-Moselle de l’arrêt total d'un système de vidéoprotection situé 12 Promenade Emilie du Chatelet à NANCY (54000) ; Considérant que le système de vidéoprotection n’est plus en service ; Sur proposition du Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet ; A R R E T E ARTICLE 1 : L’arrêté préfectoral n° 2011/0536 du 25 mai 2007, modifié le 26 mars 2012, puis le 22 février 2017 susvisé est abrogé. ARTICLE 2 : Le présent arrêté est publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Meurthe-et-Moselle. Il peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Nancy dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. ARTICLE 3 : L’installation d’un système de vidéoprotection sans autorisation est punie de trois ans d’emprisonnement et de 45 000 euros d’amende sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L.120-2, L.121-8 et L.432-2-1 du code du travail. ARTICLE 4 : Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. ARTICLE 5 : Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Monsieur le Chargé de Sécurité représentant le CREDIT MUTUEL, et dont une copie sera transmise au maire de la commune de NANCY ainsi qu’à Madame la Secrétaire Générale de la préfecture, Sous-Préfète de l'arrondissement de Nancy. Nancy, le 17 mai 2018 Pour le Préfet et par délégation, Le Directeur des Sécurités, Bertrand MERCIER ______

Arrêté portant abrogation d’une autorisation de mise en œuvre d’un système de vidéoprotection pour le magasin Carrefour Contact ERTECO France à VANDOEUVRE-LES-NANCY

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle, VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU l'arrêté préfectoral 17.BCI.79 du 29 décembre 2017 accordant délégation de signature à M. Morgan TANGUY, Sous-Préfet, Directeur de Cabinet ; VU l’arrêté préfectoral n° 2016/0140 du 6 juin 2016 autorisant l’installation d’un système de vidéosurveillance situé au Carrefour Contact ERTECO France rue de Norvège 54500 VANDOEUVRE-LES-NANCY ; VU la demande en date du 30 mai 2018 présentée par Monsieur Guillaume RIVIERE représentant le magasin Carrefour Contact ERTECO France informant le préfet de Meurthe-et-Moselle de l’arrêt total d'un système de vidéoprotection situé rue de Norvège à VANDOEUVRE-LES- NANCY (54500) ; Considérant que le système de vidéoprotection n’est plus en service ; Sur proposition du Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet ; A R R E T E ARTICLE 1 : L’arrêté préfectoral n° 2016/0140 du 6 juin 2016 susvisé est abrogé. ARTICLE 2 : Le présent arrêté est publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Meurthe-et-Moselle. Il peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Nancy dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. RECUEIL N° 28 963 11 JUIN 2018

ARTICLE 3 : L’installation d’un système de vidéoprotection sans autorisation est punie de trois ans d’emprisonnement et de 45 000 euros d’amende sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L.120-2, L.121-8 et L.432-2-1 du code du travail. ARTICLE 4 : Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. ARTICLE 5 : Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Monsieur Guillaume RIVIERE représentant le magasin Carrefour Contact ERTECO France, et dont une copie sera transmise au maire de la commune de VANDOEUVRE-LES-NANCY ainsi qu’à Madame la Secrétaire Générale de la préfecture, Sous-Préfète de l'arrondissement de Nancy. Nancy, le 31 mai 2018 Pour le Préfet et par délégation, Le Directeur des Sécurités, Bertrand MERCIER ______

Arrêté portant retrait de l’arrêté du 12 mars 2018 portant abrogation d’une autorisation de mise en œuvre d’un système de vidéoprotection pour LA POSTE Direction Régionale Réseau et Banque de Lorraine Sud à VILLERS-LES-NANCY

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU l'arrêté préfectoral 17.BCI.79 du 29 décembre 2017 accordant délégation de signature à M. Morgan TANGUY, Sous-Préfet, Directeur de Cabinet ; VU l’arrêté préfectoral n° 2017/0272 du 22 novembre 2017 autorisant l’installation d’un système de vidéosurveillance situé à LA POSTE Direction Régionale Réseau et Banque de Lorraine Sud avenue Paul Muller 54600 VILLERS-LES-NANCY ; VU la demande en date du 21 mars 2018 présentée par Monsieur le Directeur régional Sûreté représentant LA POSTE Direction Régionale Réseau et Banque de Lorraine Sud informant le préfet de Meurthe-et-Moselle d’une erreur sur le numéro de dossier lors de la demande d’arrêt total du système de vidéoprotection situé avenue Paul Muller à VILLERS-LES-NANCY (54600) ; Considérant que le système de vidéoprotection précité est toujours en service ; Sur proposition du Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet ; A R R E T E ARTICLE 1 : L’arrêté préfectoral du 12 mars 2018 portant abrogation d’une autorisation de mise en œuvre d’un système de vidéoprotection pour LA POSTE Direction Régionale Réseau et Banque de Lorraine Sud à VILLERS-LES-NANCY est retiré. ARTICLE 2 : Le présent arrêté est publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Meurthe-et-Moselle. Il peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Nancy dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. ARTICLE 3 : L’installation d’un système de vidéoprotection sans autorisation est punie de trois ans d’emprisonnement et de 45 000 euros d’amende sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L.120-2, L.121-8 et L.432-2-1 du code du travail. ARTICLE 4 : Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. ARTICLE 5 : Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Monsieur le Directeur régional Sûreté représentant LA POSTE Direction Régionale Réseau et Banque de Lorraine Sud, et dont une copie sera transmise au maire de la commune de VILLERS-LES-NANCY ainsi qu’à Madame la Secrétaire Générale de la préfecture, Sous-Préfète de l'arrondissement de Nancy. Nancy, le 22 mars 2018 Pour le Préfet et par délégation, Le Directeur des Sécurités, Bertrand MERCIER ______

Arrêté n° 2011/0126 portant autorisation d’un système de vidéoprotection pour la Pharmacie SONZOGNI à VANDOEUVRE-LES- NANCY

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU l'arrêté préfectoral 17.BCI.79 du 29 décembre 2017 accordant délégation de signature à M. Morgan TANGUY, Sous-Préfet, Directeur de Cabinet ; VU la demande d'autorisation présentée par Monsieur Alain SONZOGNI, représentant la Pharmacie SONZOGNI pour l'installation d'un système de vidéoprotection situé 10 avenue Jeanne d'Arc à VANDOEUVRE-LES-NANCY (54500) ; VU l'avis émis par la Commission départementale de vidéoprotection en sa séance du 18 avril 2018 ; Sur proposition du Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet ; A R R E T E ARTICLE 1 : Monsieur Alain SONZOGNI, représentant la Pharmacie SONZOGNI est autorisé, dans les conditions fixées au présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, à installer et à mettre en œuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection composé de Nombre de caméras intérieures 6 Nombre de caméras extérieures 0 Nombre de caméras visionnant la voie publique 0 conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0126. Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi : Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens, Lutte contre la démarque inconnue. Le système sera conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. ARTICLE 2 : Le public est informé de la présence de ces caméras, dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection ; - à chaque point d’accès du public, des affichettes mentionnent les références du code de sécurité intérieure susvisées, la fonction et le service du titulaire du droit d’accès aux images ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable. ARTICLE 3 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de 30 jours. ARTICLE 4 : Le responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des RECUEIL N° 28 964 11 JUIN 2018 images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées. Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet. L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. ARTICLE 5 : Les fonctionnaires des services de sécurité dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article L.253-3 du code de sécurité intérieure, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées aux articles 3 et 4 susvisés. Le délai de conservation des images par ces derniers ne peut excéder 30 jours. ARTICLE 6 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la protection des images). ARTICLE 7 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu’au regard de la loi n°2011-267 du 14 mars 2011 susvisée. Elle est délivrée sans préjudices d’autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, codes pénal, etc.) ARTICLE 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de Meurthe-et-Moselle. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Nancy dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. ARTICLE 9 : Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. ARTICLE 10 : La présente autorisation devra faire l'objet d'une demande de renouvellement dans un délai de quatre mois au moins avant l'échéance de la dite autorisation. ARTICLE 11 : Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Monsieur Alain SONZOGNI représentant la Pharmacie SONZOGNI, et dont une copie sera transmise au maire de la commune de VANDOEUVRE-LES-NANCY ainsi qu’à Madame la Secrétaire Générale de la préfecture, Sous-Préfète de l'arrondissement de Nancy. Nancy, le 27 avril 2018 Pour le Préfet et par délégation, Le Directeur des Sécurités, Bertrand MERCIER ______

Arrêté n° 2014/0422 portant autorisation d’un système de vidéoprotection pour l' EURL AUDIO TT, Un + d'Audition à POMPEY Le Préfet de Meurthe-et-Moselle, VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU l'arrêté préfectoral 17.BCI.79 du 29 décembre 2017 accordant délégation de signature à M. Morgan TANGUY, Sous-Préfet, Directeur de Cabinet ; VU la demande d'autorisation présentée par Madame Charline THEBAULT représentant l' EURL AUDIO TT, Un + d'Audition pour l'installation d'un système de vidéoprotection situé 34 avenue général de GAULLE à POMPEY (54340) ; VU l'avis émis par la Commission départementale de vidéoprotection en sa séance du 18 avril 2018 ; Sur proposition du Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet ; A R R E T E ARTICLE 1 : Madame Charline THEBAULT, représentant l' EURL AUDIO TT, Un + d'Audition est autorisée, dans les conditions fixées au présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, à installer et à mettre en œuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection composé de Nombre de caméras intérieures 1 Nombre de caméras extérieures 0 Nombre de caméras visionnant la voie publique 0 conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2014/0422. Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi : Sécurité des personnes. Le système sera conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. ARTICLE 2 : Le public est informé de la présence de ces caméras, dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection ; - à chaque point d’accès du public, des affichettes mentionnent les références du code de sécurité intérieure susvisées, la fonction et le service du titulaire du droit d’accès aux images ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable. ARTICLE 3 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de 30 jours. ARTICLE 4 : Le responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées. Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet. L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. ARTICLE 5 : Les fonctionnaires des services de sécurité dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article L.253-3 du code de sécurité intérieure, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées aux articles 3 et 4 susvisés. Le délai de conservation des images par ces derniers ne peut excéder 30 jours. ARTICLE 6 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la protection des images). ARTICLE 7 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. RECUEIL N° 28 965 11 JUIN 2018

Cette autorisation ne vaut qu’au regard de la loi n°2011-267 du 14 mars 2011 susvisée. Elle est délivrée sans préjudices d’autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, codes pénal, etc.) ARTICLE 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de Meurthe-et-Moselle. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Nancy dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. ARTICLE 9 : Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. ARTICLE 10 : La présente autorisation devra faire l'objet d'une demande de renouvellement dans un délai de quatre mois au moins avant l'échéance de la dite autorisation. ARTICLE 11 : Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet et le Colonel, Commandant le Groupement de Gendarmerie de Meurthe et Moselle sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Madame Charline THEBAULT représentant l' EURL AUDIO TT, Un + d'Audition, et dont une copie sera transmise au maire de la commune de POMPEY ainsi qu’à Madame la Secrétaire Générale de la préfecture, Sous-Préfète de l'arrondissement de Nancy. Nancy, le 3 mai 2018 Pour le Préfet et par délégation, Le Directeur des Sécurités, Bertrand MERCIER ______

Arrêté n° 2016/0139 portant autorisation d’un système de vidéoprotection pour le distributeur automatique de pizzas les 4 saisons à NANCY Le Préfet de Meurthe-et-Moselle, VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU l'arrêté préfectoral 17.BCI.79 du 29 décembre 2017 accordant délégation de signature à M. Morgan TANGUY, Sous-Préfet, Directeur de Cabinet ; VU la demande d'autorisation présentée par Monsieur Alain Leloup représentant le distributeur automatique de pizzas les 4 saisons pour l'installation d'un système de vidéoprotection situé 27 route de mirecourt à NANCY (54000) ; VU l'avis émis par la Commission départementale de vidéoprotection en sa séance du 18 avril 2018 ; Sur proposition du Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet ; A R R E T E ARTICLE 1 : Monsieur Alain Leloup, représentant le distributeur automatique de pizzas les 4 saisons est autorisé, dans les conditions fixées au présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, à installer et à mettre en œuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection composé de Nombre de caméras intérieures 0 Nombre de caméras extérieures 2 Nombre de caméras visionnant la voie publique 0 conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2016/0139. La caméra factice ne requière aucune autorisation. Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi : Prévention des atteintes aux biens. Le système sera conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. ARTICLE 2 : Le public est informé de la présence de ces caméras, dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection ; - à chaque point d’accès du public, des affichettes mentionnent les références du code de sécurité intérieure susvisées, la fonction et le service du titulaire du droit d’accès aux images ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable. ARTICLE 3 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de 4 jours. ARTICLE 4 : Le responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées. Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet. L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. ARTICLE 5 : Les fonctionnaires des services de sécurité dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article L.253-3 du code de sécurité intérieure, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées aux articles 3 et 4 susvisés. Le délai de conservation des images par ces derniers ne peut excéder 30 jours. ARTICLE 6 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la protection des images). ARTICLE 7 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu’au regard de la loi n°2011-267 du 14 mars 2011 susvisée. Elle est délivrée sans préjudices d’autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, codes pénal, etc.) ARTICLE 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de Meurthe-et-Moselle. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Nancy dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. ARTICLE 9 : Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. ARTICLE 10 : La présente autorisation devra faire l'objet d'une demande de renouvellement dans un délai de quatre mois au moins avant l'échéance de la dite autorisation. ARTICLE 11 : Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet et sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Monsieur Alain Leloup représentant le distributeur automatique de pizzas les 4 saisons, et dont une copie sera transmise au maire de la commune de NANCY ainsi qu’à Madame la Secrétaire Générale de la préfecture, Sous-Préfète de l'arrondissement de Nancy. Nancy, le 26 avril 2018 Pour le Préfet et par délégation, Le Directeur des Sécurités, Bertrand MERCIER RECUEIL N° 28 966 11 JUIN 2018

Arrêté n° 2017/0131 portant autorisation d’un système de vidéoprotection pour la SARL ArtisanServices à VANDOEUVRE-LES-NANCY

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle, VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU l'arrêté préfectoral 17.BCI.79 du 29 décembre 2017 accordant délégation de signature à M. Morgan TANGUY, Sous-Préfet, Directeur de Cabinet ; VU la demande d'autorisation présentée par Monsieur Régis SEGURA représentant la SARL ArtisanServices pour l'installation d'un système de vidéoprotection situé 2 rue Bernard Palissy à VANDOEUVRE-LES-NANCY (54500) ; VU l'avis émis par la Commission départementale de vidéoprotection en sa séance du 18 avril 2018 ; Sur proposition du Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet ; A R R E T E ARTICLE 1 : Monsieur Régis SEGURA, représentant la SARL ArtisanServices est autorisé, dans les conditions fixées au présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, à installer et à mettre en œuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection composé de Nombre de caméras intérieures 1 Nombre de caméras extérieures 0 Nombre de caméras visionnant la voie publique 0 conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2017/0131. Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi : Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens. Le système sera conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. ARTICLE 2 : Le public est informé de la présence de ces caméras, dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection ; - à chaque point d’accès du public, des affichettes mentionnent les références du code de sécurité intérieure susvisées, la fonction et le service du titulaire du droit d’accès aux images ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable. ARTICLE 3 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de 30 jours. ARTICLE 4 : Le responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées. Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet. L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. ARTICLE 5 : Les fonctionnaires des services de sécurité dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article L.253-3 du code de sécurité intérieure, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées aux articles 3 et 4 susvisés. Le délai de conservation des images par ces derniers ne peut excéder 30 jours. ARTICLE 6 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la protection des images). ARTICLE 7 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu’au regard de la loi n°2011-267 du 14 mars 2011 susvisée. Elle est délivrée sans préjudices d’autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, codes pénal, etc.) ARTICLE 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de Meurthe-et-Moselle. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Nancy dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. ARTICLE 9 : Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. ARTICLE 10 : La présente autorisation devra faire l'objet d'une demande de renouvellement dans un délai de quatre mois au moins avant l'échéance de la dite autorisation. ARTICLE 11 : Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Monsieur Régis SEGURA représentant la SARL ArtisanServices, et dont une copie sera transmise au maire de la commune de VANDOEUVRE-LES-NANCY ainsi qu’à Madame la Secrétaire Générale de la préfecture, Sous-Préfète de l'arrondissement de Nancy. Nancy, le 24 avril 2018 Pour le Préfet et par délégation, Le Directeur des Sécurités, Bertrand MERCIER ______

Arrêté n° 2017/0330 portant autorisation d’un système de vidéoprotection pour la SARL LA LAURENTIERE - Brasserie l'Eden à LUNEVILLE

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle, VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU l'arrêté préfectoral 17.BCI.79 du 29 décembre 2017 accordant délégation de signature à M. Morgan TANGUY, Sous-Préfet, Directeur de Cabinet ; VU la demande d'autorisation présentée par Monsieur Philippe LAURENT représentant la SARL LA LAURENTIERE-Brasserie l'Eden pour l'installation d'un système de vidéoprotection situé 2 rue Carnot à LUNEVILLE (54300) ; VU l'avis émis par la Commission départementale de vidéoprotection en sa séance du 18 avril 2018 ; Sur proposition du Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet ; A R R E T E ARTICLE 1 : Monsieur Philippe LAURENT, représentant la SARL LA LAURENTIERE - Brasserie l'Eden est autorisé, dans les conditions fixées au présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, à installer et à mettre en œuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection composé de RECUEIL N° 28 967 11 JUIN 2018

Nombre de caméras intérieures 5 Nombre de caméras extérieures 0 Nombre de caméras visionnant la voie publique 0 conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2017/0330. Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi : Sécurité des personnes. Le système sera conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. ARTICLE 2 : Le public est informé de la présence de ces caméras, dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection ; - à chaque point d’accès du public, des affichettes mentionnent les références du code de sécurité intérieure susvisées, la fonction et le service du titulaire du droit d’accès aux images ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable. ARTICLE 3 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de 7 jours. ARTICLE 4 : Le responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées. Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet. L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. ARTICLE 5 : Les fonctionnaires des services de sécurité dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article L.253-3 du code de sécurité intérieure, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées aux articles 3 et 4 susvisés. Le délai de conservation des images par ces derniers ne peut excéder 30 jours. ARTICLE 6 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la protection des images). ARTICLE 7 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu’au regard de la loi n°2011-267 du 14 mars 2011 susvisée. Elle est délivrée sans préjudices d’autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, codes pénal, etc.) ARTICLE 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de Meurthe-et-Moselle. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Nancy dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. ARTICLE 9 : Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. ARTICLE 10 : La présente autorisation devra faire l'objet d'une demande de renouvellement dans un délai de quatre mois au moins avant l'échéance de la dite autorisation. ARTICLE 11 : Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Monsieur Philippe LAURENT représentant la SARL LA LAURENTIERE - Brasserie l'Eden, et dont une copie sera transmise au maire ainsi qu’à Monsieur le Sous-Préfet de l'arrondissement de Lunéville. Nancy, le 27 avril 2018 Pour le Préfet et par délégation, Le Directeur des Sécurités, Bertrand MERCIER ______

Arrêté n° 2018/0068 portant autorisation d’un système de vidéoprotection pour le parking privé (ouvert au public) à NANCY Le Préfet de Meurthe-et-Moselle, VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU l'arrêté préfectoral 17.BCI.79 du 29 décembre 2017 accordant délégation de signature à M. Morgan TANGUY, Sous-Préfet, Directeur de Cabinet ; VU la demande d'autorisation présentée par Monsieur Patrick RHODAIN propriétaire du parking privé (ouvert au public) pour l'installation d'un système de vidéoprotection situé 12-14 rue du Faubourg des 3 Maisons à NANCY (54000) ; VU l'avis émis par la Commission départementale de vidéoprotection en sa séance du 18 avril 2018 ; Sur proposition du Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet ; A R R E T E ARTICLE 1 : Monsieur Patrick RHODAIN, propriétaire du parking privé (ouvert au public) est autorisé, dans les conditions fixées au présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, à installer et à mettre en œuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection composé de Nombre de caméras intérieures 0 Nombre de caméras extérieures 2 Nombre de caméras visionnant la voie publique 0 conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2018/0068. Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi : Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens. Le système sera conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. ARTICLE 2 : Le public est informé de la présence de ces caméras, dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection ; - à chaque point d’accès du public, des affichettes mentionnent les références du code de sécurité intérieure susvisées, la fonction et le service du titulaire du droit d’accès aux images ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable. ARTICLE 3 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de 30 jours. RECUEIL N° 28 968 11 JUIN 2018

ARTICLE 4 : Le responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées. Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet. L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. ARTICLE 5 : Les fonctionnaires des services de sécurité dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article L.253-3 du code de sécurité intérieure, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées aux articles 3 et 4 susvisés. Le délai de conservation des images par ces derniers ne peut excéder 30 jours. ARTICLE 6 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la protection des images). ARTICLE 7 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu’au regard de la loi n°2011-267 du 14 mars 2011 susvisée. Elle est délivrée sans préjudices d’autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, codes pénal, etc.) ARTICLE 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de Meurthe-et-Moselle. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Nancy dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. ARTICLE 9 : Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. ARTICLE 10 : La présente autorisation devra faire l'objet d'une demande de renouvellement dans un délai de quatre mois au moins avant l'échéance de la dite autorisation. ARTICLE 11 : Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Monsieur Patrick RHODAIN propriétaire du parking privé (ouvert au public), et dont une copie sera transmise au maire de la commune de NANCY ainsi qu’à Madame la Secrétaire Générale de la préfecture, Sous-Préfète de l'arrondissement de Nancy. Nancy, le 24 avril 2018 Pour le Préfet et par délégation, Le Directeur des Sécurités, Bertrand MERCIER ______

Arrêté n° 2018/0074 portant autorisation d’un système de vidéoprotection pour le magasin 2ART CASH - CASH CONVERTERS à VANDOEUVRE-LES-NANCY

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle, VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU l'arrêté préfectoral 17.BCI.79 du 29 décembre 2017 accordant délégation de signature à M. Morgan TANGUY, Sous-Préfet, Directeur de Cabinet ; VU la demande d'autorisation présentée par Monsieur Romain MICHELET représentant le magasin 2ART CASH - CASH CONVERTERS, pour l'installation d'un système de vidéoprotection situé 8 rue Roberval à VANDOEUVRE-LES-NANCY (54500) ; VU l'avis émis par la Commission départementale de vidéoprotection en sa séance du 18 avril 2018 ; Sur proposition du Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet ; A R R E T E ARTICLE 1 : Monsieur Romain MICHELET, représentant le magasin 2ART CASH - CASH CONVERTERS est autorisé, dans les conditions fixées au présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, à installer et à mettre en œuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection composé de Nombre de caméras intérieures 8 Nombre de caméras extérieures 3 Nombre de caméras visionnant la voie publique 0 conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2018/0074. Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi : Sécurité des personnes, Lutte contre la démarque inconnue. Le système sera conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. ARTICLE 2 : Le public est informé de la présence de ces caméras, dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection ; - à chaque point d’accès du public, des affichettes mentionnent les références du code de sécurité intérieure susvisées, la fonction et le service du titulaire du droit d’accès aux images ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable. ARTICLE 3 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de 15 jours. ARTICLE 4 : Le responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées. Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet. L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. ARTICLE 5 : Les fonctionnaires des services de sécurité dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article L.253-3 du code de sécurité intérieure, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées aux articles 3 et 4 susvisés. Le délai de conservation des images par ces derniers ne peut excéder 30 jours. ARTICLE 6 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notam- ment changement d'activité dans les lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la protection des images). RECUEIL N° 28 969 11 JUIN 2018

ARTICLE 7 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu’au regard de la loi n°2011-267 du 14 mars 2011 susvisée. Elle est délivrée sans préjudices d’autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, codes pénal, etc.) ARTICLE 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de Meurthe-et-Moselle. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Nancy dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. ARTICLE 9 : Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. ARTICLE 10 : La présente autorisation devra faire l'objet d'une demande de renouvellement dans un délai de quatre mois au moins avant l'échéance de la dite autorisation. ARTICLE 11 : Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Monsieur Romain MICHELET représentant le magasin 2ART CASH - CASH CONVERTERS, et dont une copie sera transmise au maire de la commune de VANDOEUVRE-LES-NANCY ainsi qu’à Madame la Secrétaire Générale de la préfecture, Sous-Préfète de l'arrondissement de Nancy. Nancy, le 4 mai 2018 Pour le Préfet et par délégation, Le Directeur des Sécurités, Bertrand MERCIER ______

Arrêté n° 2018/0082 portant autorisation d’un système de vidéoprotection pour la MAISON DE LA MIRABELLE à ROZELIEURES

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU l'arrêté préfectoral 17.BCI.79 du 29 décembre 2017 accordant délégation de signature à M. Morgan TANGUY, Sous-Préfet, Directeur de Cabinet ; VU la demande d'autorisation présentée par Madame Sabine DUPIC représentant la MAISON DE LA MIRABELLE, pour l'installation d'un système de vidéoprotection situé 16 rue du Capitaine DURAND à ROZELIEURES (54290) ; VU l'avis émis par la Commission départementale de vidéoprotection en sa séance du 18 avril 2018 ; Sur proposition du Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet ; A R R E T E ARTICLE 1 : Madame Sabine DUPIC, représentant la MAISON DE LA MIRABELLE est autorisée, dans les conditions fixées au présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, à installer et à mettre en œuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection composé de Nombre de caméras intérieures 1 Nombre de caméras extérieures 1 Nombre de caméras visionnant la voie publique 0 conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2018/0082. Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi : Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens, Lutte contre la démarque inconnue. Le système sera conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. ARTICLE 2 : Le public est informé de la présence de ces caméras, dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection ; - à chaque point d’accès du public, des affichettes mentionnent les références du code de sécurité intérieure susvisées, la fonction et le service du titulaire du droit d’accès aux images ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable. ARTICLE 3 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de 30 jours. ARTICLE 4 : Le responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées. Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet. L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. ARTICLE 5 : Les fonctionnaires des services de sécurité dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article L.253-3 du code de sécurité intérieure, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées aux articles 3 et 4 susvisés. Le délai de conservation des images par ces derniers ne peut excéder 30 jours. ARTICLE 6 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la protection des images). ARTICLE 7 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu’au regard de la loi n°2011-267 du 14 mars 2011 susvisée. Elle est délivrée sans préjudices d’autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, codes pénal, etc.) ARTICLE 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de Meurthe-et-Moselle. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Nancy dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. ARTICLE 9 : Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. ARTICLE 10 : La présente autorisation devra faire l'objet d'une demande de renouvellement dans un délai de quatre mois au moins avant l'échéance de la dite autorisation. ARTICLE 11 : Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet et le Colonel, Commandant le Groupement de Gendarmerie de Meurthe et Moselle sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Madame Sabine DUPIC représentant la RECUEIL N° 28 970 11 JUIN 2018

MAISON DE LA MIRABELLE, et dont une copie sera transmise au maire de la commune de ROZELIEURES ainsi qu’à Monsieur le Sous- Préfet de l'arrondissement de Lunéville. Nancy, le 27 avril 2018 Pour le Préfet et par délégation, Le Directeur des Sécurités, Bertrand MERCIER ______

Arrêté n° 2018/0087 portant autorisation d’un système de vidéoprotection pour le BAR TABAC DM'S CAFE à NANCY

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle, VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU l'arrêté préfectoral 17.BCI.79 du 29 décembre 2017 accordant délégation de signature à M. Morgan TANGUY, Sous-Préfet, Directeur de Cabinet ; VU la demande d'autorisation présentée par Madame Sylvie MARANDEL, représentant le BAR TABAC DM'S CAFE pour l'installation d'un système de vidéoprotection situé 1 rue Victor Prouvé à NANCY (54000) ; VU l'avis émis par la Commission départementale de vidéoprotection en sa séance du 18 avril 2018 ; Sur proposition du Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet ; A R R E T E ARTICLE 1 : Madame Sylvie MARANDEL, représentant le BAR TABAC DM'S CAFE est autorisée, dans les conditions fixées au présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, à installer et à mettre en œuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection composé de Nombre de caméras intérieures 5 Nombre de caméras extérieures 0 Nombre de caméras visionnant la voie publique 0 conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2018/0087. Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi : Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens, Lutte contre la démarque inconnue. Le système sera conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. ARTICLE 2 : Le public est informé de la présence de ces caméras, dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection ; - à chaque point d’accès du public, des affichettes mentionnent les références du code de sécurité intérieure susvisées, la fonction et le service du titulaire du droit d’accès aux images ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable. ARTICLE 3 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de 30 jours. ARTICLE 4 : Le responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées. Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet. L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. ARTICLE 5 : Les fonctionnaires des services de sécurité dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article L.253-3 du code de sécurité intérieure, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées aux articles 3 et 4 susvisés. Le délai de conservation des images par ces derniers ne peut excéder 30 jours. ARTICLE 6 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la protection des images). ARTICLE 7 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu’au regard de la loi n°2011-267 du 14 mars 2011 susvisée. Elle est délivrée sans préjudices d’autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, codes pénal, etc.) ARTICLE 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de Meurthe-et-Moselle. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Nancy dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. ARTICLE 9 : Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. ARTICLE 10 : La présente autorisation devra faire l'objet d'une demande de renouvellement dans un délai de quatre mois au moins avant l'échéance de la dite autorisation. ARTICLE 11 : Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Madame Sylvie MARANDEL représentant le BAR TABAC DM'S CAFE, et dont une copie sera transmise au maire de la commune de NANCY ainsi qu’à Madame la Secrétaire Générale de la préfecture, Sous-Préfète de l'arrondissement de Nancy. Nancy, le 27 avril 2018 Pour le Préfet et par délégation, Le Directeur des Sécurités, Bertrand MERCIER ______

Arrêté n° 2018/0090 portant autorisation d’un système de vidéoprotection pour la SARL HÔTEL DE GUISE à NANCY

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle, VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU l'arrêté préfectoral 17.BCI.79 du 29 décembre 2017 accordant délégation de signature à M. Morgan TANGUY, Sous-Préfet, Directeur de Cabinet ; RECUEIL N° 28 971 11 JUIN 2018

VU la demande d'autorisation présentée par Madame Emmanuelle FADLOUN représentant la SARL HÔTEL DE GUISE, pour l'installation d'un système de vidéoprotection situé 18 rue de GUISE à NANCY (54000) ; VU l'avis émis par la Commission départementale de vidéoprotection en sa séance du 18 avril 2018 ; Sur proposition du Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet ; A R R E T E ARTICLE 1 : Madame Emmanuelle FADLOUN, représentant la SARL HÔTEL DE GUISE est autorisée, dans les conditions fixées au présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, à installer et à mettre en œuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection composé de Nombre de caméras intérieures 3 Nombre de caméras extérieures 0 Nombre de caméras visionnant la voie publique 0 conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2018/0090. Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi : Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens, Lutte contre la démarque inconnue. Le système sera conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. ARTICLE 2 : Le public est informé de la présence de ces caméras, dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection ; - à chaque point d’accès du public, des affichettes mentionnent les références du code de sécurité intérieure susvisées, la fonction et le service du titulaire du droit d’accès aux images ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable. ARTICLE 3 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de 30 jours. ARTICLE 4 : Le responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées. Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet. L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. ARTICLE 5 : Les fonctionnaires des services de sécurité dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article L.253-3 du code de sécurité intérieure, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées aux articles 3 et 4 susvisés. Le délai de conservation des images par ces derniers ne peut excéder 30 jours. ARTICLE 6 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la protection des images). ARTICLE 7 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu’au regard de la loi n°2011-267 du 14 mars 2011 susvisée. Elle est délivrée sans préjudices d’autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, codes pénal, etc.) ARTICLE 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de Meurthe-et-Moselle. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Nancy dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. ARTICLE 9 : Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. ARTICLE 10 : La présente autorisation devra faire l'objet d'une demande de renouvellement dans un délai de quatre mois au moins avant l'échéance de la dite autorisation. ARTICLE 11 : Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Madame Emmanuelle FADLOUN représentant la SARL HÔTEL DE GUISE, et dont une copie sera transmise au maire de la commune de NANCY ainsi qu’à Madame la Secrétaire Générale de la préfecture, Sous-Préfète de l'arrondissement de Nancy. Nancy, le 27 avril 2018 Pour le Préfet et par délégation, Le Directeur des Sécurités, Bertrand MERCIER ______

Arrêté n° 2018/0093 portant autorisation d’un système de vidéoprotection pour la pharmacie GUIRLINGER à VANDOEUVRE-LES- NANCY

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU l'arrêté préfectoral 17.BCI.79 du 29 décembre 2017 accordant délégation de signature à M. Morgan TANGUY, Sous-Préfet, Directeur de Cabinet ; VU la demande d'autorisation présentée par Madame Patricia GUIRLINGER représentant la pharmacie GUIRLINGER, pour l'installation d'un système de vidéoprotection situé 26 rue Pierre et Marie CURIE à VANDOEUVRE-LES-NANCY (54500) ; VU l'avis émis par la Commission départementale de vidéoprotection en sa séance du 18 avril 2018 ; Sur proposition du Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet ; A R R E T E ARTICLE 1 : Madame Patricia GUIRLINGER, représentant la pharmacie GUIRLINGER est autorisée, dans les conditions fixées au présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, à installer et à mettre en œuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection composé de Nombre de caméras intérieures 1 Nombre de caméras extérieures 0 Nombre de caméras visionnant la voie publique 0 RECUEIL N° 28 972 11 JUIN 2018 conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2018/0093. Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi : Sécurité des personnes, Lutte contre la démarque inconnue. Le système sera conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. ARTICLE 2 : Le public est informé de la présence de ces caméras, dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection ; - à chaque point d’accès du public, des affichettes mentionnent les références du code de sécurité intérieure susvisées, la fonction et le service du titulaire du droit d’accès aux images ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable. ARTICLE 3 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de 0 jours. ARTICLE 4 : Le responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées. Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet. L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. ARTICLE 5 : Les fonctionnaires des services de sécurité dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article L.253-3 du code de sécurité intérieure, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées aux articles 3 et 4 susvisés. Le délai de conservation des images par ces derniers ne peut excéder 30 jours. ARTICLE 6 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la protection des images). ARTICLE 7 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu’au regard de la loi n°2011-267 du 14 mars 2011 susvisée. Elle est délivrée sans préjudices d’autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, codes pénal, etc.) ARTICLE 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de Meurthe-et-Moselle. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Nancy dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. ARTICLE 9 : Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. ARTICLE 10 : La présente autorisation devra faire l'objet d'une demande de renouvellement dans un délai de quatre mois au moins avant l'échéance de la dite autorisation. ARTICLE 11 : Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Madame Patricia GUIRLINGER représentant la pharmacie GUIRLINGER, et dont une copie sera transmise au maire de la commune de VANDOEUVRE-LES-NANCY ainsi qu’à Madame la Secrétaire Générale de la préfecture, Sous-Préfète de l'arrondissement de Nancy. Nancy, le 3 mai 2018 Pour le Préfet et par délégation, Le Directeur des Sécurités, Bertrand MERCIER ______

Arrêté n° 2018/0105 portant autorisation d’un système de vidéoprotection pour le magasin ORCHESTRA PREMAMAN S.A. à ESSEY- LES-NANCY

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle, VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU l'arrêté préfectoral 17.BCI.79 du 29 décembre 2017 accordant délégation de signature à M. Morgan TANGUY, Sous-Préfet, Directeur de Cabinet ; VU la demande d'autorisation présentée par Monsieur Hervé GARAND, représentant le magasin ORCHESTRA PREMAMAN S.A. pour l'installation d'un système de vidéoprotection situé C6 allée du Midi à ESSEY-LES-NANCY (54270) ; VU l'avis émis par la Commission départementale de vidéoprotection en sa séance du 18 avril 2018 ; Sur proposition du Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet ; A R R E T E ARTICLE 1 : Monsieur Hervé GARAND, représentant le magasin ORCHESTRA PREMAMAN S.A. est autorisé, dans les conditions fixées au présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, à installer et à mettre en œuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection composé de Nombre de caméras intérieures 5 Nombre de caméras extérieures 0 Nombre de caméras visionnant la voie publique 0 conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2018/0105. Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi : Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens, Lutte contre la démarque inconnue. Le système sera conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. ARTICLE 2 : Le public est informé de la présence de ces caméras, dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection ; - à chaque point d’accès du public, des affichettes mentionnent les références du code de sécurité intérieure susvisées, la fonction et le service du titulaire du droit d’accès aux images ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable. ARTICLE 3 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de 15 jours. ARTICLE 4 : Le responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées. RECUEIL N° 28 973 11 JUIN 2018

Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet. L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. ARTICLE 5 : Les fonctionnaires des services de sécurité dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article L.253-3 du code de sécurité intérieure, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées aux articles 3 et 4 susvisés. Le délai de conservation des images par ces derniers ne peut excéder 30 jours. ARTICLE 6 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la protection des images). ARTICLE 7 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu’au regard de la loi n°2011-267 du 14 mars 2011 susvisée. Elle est délivrée sans préjudices d’autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, codes pénal, etc.) ARTICLE 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de Meurthe-et-Moselle. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Nancy dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. ARTICLE 9 : Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. ARTICLE 10 : La présente autorisation devra faire l'objet d'une demande de renouvellement dans un délai de quatre mois au moins avant l'échéance de la dite autorisation. ARTICLE 11 : Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Monsieur Hervé GARAND représentant le magasin ORCHESTRA PREMAMAN S.A., et dont une copie sera transmise au maire de la commune d’ESSEY-LES-NANCY ainsi qu’à Madame la Secrétaire Générale de la préfecture, Sous-Préfète de l'arrondissement de Nancy. Nancy, le 3 mai 2018 Pour le Préfet et par délégation, Le Directeur des Sécurités, Bertrand MERCIER ______

Arrêté n° 2018/0107 portant autorisation d’un système de vidéoprotection pour la Clinique Lorrainevet à LUDRES

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle, VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU l'arrêté préfectoral 17.BCI.79 du 29 décembre 2017 accordant délégation de signature à M. Morgan TANGUY, Sous-Préfet, Directeur de Cabinet ; VU la demande d'autorisation présentée par Madame Aurore THOMAS, représentant la Clinique Lorrainevet pour l'installation d'un système de vidéoprotection situé 127 rue Pierre Gilles de Gennes à LUDRES (54710) ; VU l'avis émis par la Commission départementale de vidéoprotection en sa séance du 18 avril 2018 ; Sur proposition du Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet ; A R R E T E ARTICLE 1 : Madame Aurore THOMAS, représentant la Clinique Lorrainevet est autorisée, dans les conditions fixées au présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, à installer et à mettre en œuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection composé de Nombre de caméras intérieures 1 Nombre de caméras extérieures 0 Nombre de caméras visionnant la voie publique 0 conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2018/0107. Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi : Sécurité des personnes. Le système sera conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. ARTICLE 2 : Le public est informé de la présence de ces caméras, dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection ; - à chaque point d’accès du public, des affichettes mentionnent les références du code de sécurité intérieure susvisées, la fonction et le service du titulaire du droit d’accès aux images ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable. ARTICLE 3 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de 30 jours. ARTICLE 4 : Le responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées. Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet. L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. ARTICLE 5 : Les fonctionnaires des services de sécurité dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article L.253-3 du code de sécurité intérieure, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées aux articles 3 et 4 susvisés. Le délai de conservation des images par ces derniers ne peut excéder 30 jours. ARTICLE 6 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la protection des images). ARTICLE 7 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu’au regard de la loi n°2011-267 du 14 mars 2011 susvisée. Elle est délivrée sans préjudices d’autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, codes pénal, etc.) RECUEIL N° 28 974 11 JUIN 2018

ARTICLE 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de Meurthe-et-Moselle. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Nancy dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. ARTICLE 9 : Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. ARTICLE 10 : La présente autorisation devra faire l'objet d'une demande de renouvellement dans un délai de quatre mois au moins avant l'échéance de la dite autorisation. ARTICLE 11 : Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Madame Aurore THOMAS représentant la Clinique Lorrainevet, et dont une copie sera transmise au maire de la commune de LUDRES ainsi qu’à Madame la Secrétaire Générale de la préfecture, Sous-Préfète de l'arrondissement de Nancy. Nancy, le 27 avril 2018 Pour le Préfet et par délégation, Le Directeur des Sécurités, Bertrand MERCIER ______

Arrêté n° 2018/0128 portant autorisation d’un système de vidéoprotection pour la SARL BOLOGNA à LANEUVEVILLE-DEVANT- NANCY

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU l'arrêté préfectoral 17.BCI.79 du 29 décembre 2017 accordant délégation de signature à M. Morgan TANGUY, Sous-Préfet, Directeur de Cabinet ; VU la demande d'autorisation présentée par Monsieur Richard BOLOGNA représentant la SARL BOLOGNA pour l'installation d'un système de vidéoprotection situé 16 rue Lucien GALTIER à LANEUVEVILLE-DEVANT-NANCY (54410) ; VU l'avis émis par la Commission départementale de vidéoprotection en sa séance du 18 avril 2018 ; Sur proposition du Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet ; A R R E T E ARTICLE 1 : Monsieur Richard BOLOGNA, représentant la SARL BOLOGNA est autorisé, dans les conditions fixées au présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, à installer et à mettre en œuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection composé de Nombre de caméras intérieures 0 Nombre de caméras extérieures 4 Nombre de caméras visionnant la voie publique 0 conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2018/0128. Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi : Prévention des atteintes aux biens. Le système sera conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. ARTICLE 2 : Le public est informé de la présence de ces caméras, dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection ; - à chaque point d’accès du public, des affichettes mentionnent les références du code de sécurité intérieure susvisées, la fonction et le service du titulaire du droit d’accès aux images ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable. ARTICLE 3 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de 25 jours. ARTICLE 4 : Le responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées. Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet. L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. ARTICLE 5 : Les fonctionnaires des services de sécurité dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article L.253-3 du code de sécurité intérieure, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées aux articles 3 et 4 susvisés. Le délai de conservation des images par ces derniers ne peut excéder 30 jours. ARTICLE 6 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la protection des images). ARTICLE 7 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu’au regard de la loi n°2011-267 du 14 mars 2011 susvisée. Elle est délivrée sans préjudices d’autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, codes pénal, etc.) ARTICLE 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de Meurthe-et-Moselle. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Nancy dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. ARTICLE 9 : Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. ARTICLE 10 : La présente autorisation devra faire l'objet d'une demande de renouvellement dans un délai de quatre mois au moins avant l'échéance de la dite autorisation. ARTICLE 11 : Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Monsieur Richard BOLOGNA représentant la SARL BOLOGNA, et dont une copie sera transmise au maire de la commune de LANEUVEVILLE-DEVANT-NANCY ainsi qu’à Madame la Secrétaire Générale de la préfecture, Sous-Préfète de l'arrondissement de Nancy. Nancy, le 4 mai 2018 Pour le Préfet et par délégation, Le Directeur des Sécurités, Bertrand MERCIER RECUEIL N° 28 975 11 JUIN 2018

Arrêté n° 2018/0129 portant autorisation d’un système de vidéoprotection pour la METROPOLE DU GRAND NANCY à NANCY

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle, VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU l'arrêté préfectoral 17.BCI.79 du 29 décembre 2017 accordant délégation de signature à M. Morgan TANGUY, Sous-Préfet, Directeur de Cabinet ; VU la demande d'autorisation présentée par Monsieur Gilbert THIEL représentant la METROPOLE DU GRAND NANCY pour l'installation d'un système de vidéoprotection situé à NANCY (54000) ; VU l'avis émis par la Commission départementale de vidéoprotection en sa séance du 18 avril 2018 ; Sur proposition du Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet ; A R R E T E ARTICLE 1 : Monsieur Gilbert THIEL, représentant la METROPOLE DU GRAND NANCY, est autorisé, dans les conditions fixées au présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, à installer 12 caméras visionnant la voie publique aux adresses suivantes : • Avenue PINCHARD • rue Jacques VILLERMAUX • rue Jeanne D’ARC • Rue MAC MAHON • Rue STANISLAS • Rue SAINT-NICOLAS • Rue BLANDAN • Place CARRIERE sur Arc HERE • Place CARRIERE sur Palais du Gouverneur • Boulevard d’Austrasie/Angle rue de • Place CHARLES III, façade Marché Central • Place CHARLES III, angle église Saint-Sébastien à NANCY (54000), conformément au dossier présenté. Ce dispositif poursuit les finalités suivantes : • Sécurité des personnes, • Secours à personnes – défense contre l’incendie – prévention risques naturels ou technologiques, • Prévention des atteintes aux biens, • Protection des bâtiments publics, • Prévention d'actes terroristes, • Régulation flux transport autres que routiers. Il ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif. Le système doit conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. ARTICLE 2 : Le public est informé de la présence de ces caméras, dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection ; - à chaque point d’accès du public, des affichettes mentionnent les références du code de sécurité intérieure susvisées, la fonction et le service du titulaire du droit d’accès aux images ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable. ARTICLE 3 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de 15 jours. ARTICLE 4 : Le responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées. Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet. L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. ARTICLE 5 : Les fonctionnaires des services de sécurité dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article L.253-3 du code de sécurité intérieure, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées aux articles 3 et 4 susvisés. Le délai de conservation des images par ces derniers ne peut excéder 30 jours. ARTICLE 6 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la protection des images). ARTICLE 7 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu’au regard de la loi n°2011-267 du 14 mars 2011 susvisée. Elle est délivrée sans préjudices d’autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, codes pénal, etc.) ARTICLE 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de Meurthe-et-Moselle. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Nancy dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. ARTICLE 9 : Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. ARTICLE 10 : La présente autorisation devra faire l'objet d'une demande de renouvellement dans un délai de quatre mois au moins avant l'échéance de la dite autorisation. ARTICLE 11 : Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Monsieur Gilbert THIEL, représentant la METROPOLE DU GRAND NANCY, et dont une copie sera transmise au maire de la commune de NANCY ainsi qu’à Madame la Secrétaire Générale de la préfecture, Sous-Préfète de l'arrondissement de Nancy. Nancy, le 4 mai 2018 Pour le Préfet et par délégation, Le Directeur des Sécurités, Bertrand MERCIER ______RECUEIL N° 28 976 11 JUIN 2018

Arrêté n° 2018/0133 portant autorisation d’un système de vidéoprotection pour les CAVES GILLES à RICHARDMENIL

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU l'arrêté préfectoral 17.BCI.79 du 29 décembre 2017 accordant délégation de signature à M. Morgan TANGUY, Sous-Préfet, Directeur de Cabinet ; VU la demande d'autorisation présentée par Monsieur Mathieu GILLES représentant les CAVES GILLES pour l'installation d'un système de vidéoprotection situé 51 avenue Général de Gaulle à RICHARDMENIL (54630) ; VU l'avis émis par la Commission départementale de vidéoprotection en sa séance du 18 avril 2018 ; Sur proposition du Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet ; A R R E T E ARTICLE 1 : Monsieur Mathieu GILLES, représentant les CAVES GILLES est autorisé, dans les conditions fixées au présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, à installer et à mettre en œuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection composé de Nombre de caméras intérieures 4 Nombre de caméras extérieures 0 Nombre de caméras visionnant la voie publique 0 conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2018/0133. Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi : Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens, Lutte contre la démarque inconnue. Le système sera conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. ARTICLE 2 : Le public est informé de la présence de ces caméras, dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection ; - à chaque point d’accès du public, des affichettes mentionnent les références du code de sécurité intérieure susvisées, la fonction et le service du titulaire du droit d’accès aux images ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable. ARTICLE 3 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de 30 jours. ARTICLE 4 : Le responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées. Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet. L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. ARTICLE 5 : Les fonctionnaires des services de sécurité dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article L.253-3 du code de sécurité intérieure, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées aux articles 3 et 4 susvisés. Le délai de conservation des images par ces derniers ne peut excéder 30 jours. ARTICLE 6 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la protection des images). ARTICLE 7 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu’au regard de la loi n°2011-267 du 14 mars 2011 susvisée. Elle est délivrée sans préjudices d’autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, codes pénal, etc.) ARTICLE 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de Meurthe-et-Moselle. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Nancy dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. ARTICLE 9 : Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. ARTICLE 10 : La présente autorisation devra faire l'objet d'une demande de renouvellement dans un délai de quatre mois au moins avant l'échéance de la dite autorisation. ARTICLE 11 : Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet et le Colonel, Commandant le Groupement de Gendarmerie de Meurthe et Moselle sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Monsieur Mathieu GILLES représentant les CAVES GILLES, et dont une copie sera transmise au maire de la commune de RICHARDMENIL ainsi qu’à Madame la Secrétaire Générale de la préfecture, Sous-Préfète de l'arrondissement de Nancy. Nancy, le 3 mai 2018 Pour le Préfet et par délégation, Le Directeur des Sécurités, Bertrand MERCIER ______

Arrêté n° 2018/0139 portant autorisation d’un système de vidéoprotection pour l'agence d'assurance Nadine ANDRE à JARNY

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU l'arrêté préfectoral 17.BCI.79 du 29 décembre 2017 accordant délégation de signature à M. Morgan TANGUY, Sous-Préfet, Directeur de Cabinet ; VU la demande d'autorisation présentée par Madame Nadine ANDRE représentant l'agence d'assurance Nadine ANDRE pour l'installation d'un système de vidéoprotection situé 31 rue de Verdun à JARNY (54800) ; VU l'avis émis par la Commission départementale de vidéoprotection en sa séance du 18 avril 2018 ; Sur proposition du Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet ; A R R E T E ARTICLE 1 : Madame Nadine ANDRE, représentant l'agence d'assurance Nadine ANDRE est autorisée, dans les conditions fixées au présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, à installer et à mettre en œuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection composé de RECUEIL N° 28 977 11 JUIN 2018

Nombre de caméras intérieures 2 Nombre de caméras extérieures 0 Nombre de caméras visionnant la voie publique 0 conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2018/0139. Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi : Sécurité des personnes, Secours à personnes-défense contre l’incendie-prévention risques naturels ou technologiques, Prévention des atteintes aux biens. Le système sera conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. ARTICLE 2 : Le public est informé de la présence de ces caméras, dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection ; - à chaque point d’accès du public, des affichettes mentionnent les références du code de sécurité intérieure susvisées, la fonction et le service du titulaire du droit d’accès aux images ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable. ARTICLE 3 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de 15 jours. ARTICLE 4 : Le responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées. Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet. L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. ARTICLE 5 : Les fonctionnaires des services de sécurité dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article L.253-3 du code de sécurité intérieure, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées aux articles 3 et 4 susvisés. Le délai de conservation des images par ces derniers ne peut excéder 30 jours. ARTICLE 6 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la protection des images). ARTICLE 7 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu’au regard de la loi n°2011-267 du 14 mars 2011 susvisée. Elle est délivrée sans préjudices d’autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, codes pénal, etc.) ARTICLE 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de Meurthe-et-Moselle. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Nancy dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. ARTICLE 9 : Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. ARTICLE 10 : La présente autorisation devra faire l'objet d'une demande de renouvellement dans un délai de quatre mois au moins avant l'échéance de la dite autorisation. ARTICLE 11 : Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Madame Nadine ANDRE représentant l'agence d'assurance Nadine ANDRE, et dont une copie sera transmise au maire de la commune de JARNY ainsi qu’à Monsieur le Sous-Préfet de l'arrondissement de Briey. Nancy, le 27 avril 2018 Pour le Préfet et par délégation, Le Directeur des Sécurités, Bertrand MERCIER ______

Arrêté n° 2018/0145 portant autorisation d’un système de vidéoprotection pour la Base aérienne 133 Nancy-Ochey à TOUL

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU l'arrêté préfectoral 17.BCI.79 du 29 décembre 2017 accordant délégation de signature à M. Morgan TANGUY, Sous-Préfet, Directeur de Cabinet ; VU la demande d'autorisation présentée par Monsieur Le commandant de la BA133 représentant la Base aérienne 133 Nancy-Ochey pour l'installation d'un système de vidéoprotection situé D904 BA133 - CS 40334 à TOUL (54201) ; VU l'avis émis par la Commission départementale de vidéoprotection en sa séance du 18 avril 2018 ; Sur proposition du Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet ; A R R E T E ARTICLE 1 : Monsieur Le commandant de la BA133, représentant la Base aérienne 133 Nancy-Ochey est autorisé, dans les conditions fixées au présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, à installer et à mettre en œuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection composé de Nombre de caméras intérieures 0 Nombre de caméras extérieures 1 Nombre de caméras visionnant la voie publique 0 conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2018/0145. Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi : Sécurité des personnes, Défense Nationale. Le système sera conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. ARTICLE 2 : Le public est informé de la présence de ces caméras, dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection ; - à chaque point d’accès du public, des affichettes mentionnent les références du code de sécurité intérieure susvisées, la fonction et le service du titulaire du droit d’accès aux images ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable. RECUEIL N° 28 978 11 JUIN 2018

ARTICLE 3 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de 30 jours. ARTICLE 4 : Le responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées. Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet. L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. ARTICLE 5 : Les fonctionnaires des services de sécurité dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article L.253-3 du code de sécurité intérieure, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées aux articles 3 et 4 susvisés. Le délai de conservation des images par ces derniers ne peut excéder 30 jours. ARTICLE 6 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la protection des images). ARTICLE 7 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu’au regard de la loi n°2011-267 du 14 mars 2011 susvisée. Elle est délivrée sans préjudices d’autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, codes pénal, etc.) ARTICLE 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de Meurthe-et-Moselle. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Nancy dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. ARTICLE 9 : Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. ARTICLE 10 : La présente autorisation devra faire l'objet d'une demande de renouvellement dans un délai de quatre mois au moins avant l'échéance de la dite autorisation. ARTICLE 11 : Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Monsieur Le commandant de la BA133 représentant la Base aérienne 133 Nancy-Ochey, et dont une copie sera transmise au maire de la commune de TOUL ainsi qu’à Monsieur le Sous-Préfet de l'arrondissement de Toul. Nancy, le 25 avril 2018 Pour le Préfet et par délégation, Le Directeur des Sécurités, Bertrand MERCIER ______

Arrêté n° 2018/0146 portant autorisation d’un système de vidéoprotection pour la Base aérienne 133 Nancy-Ochey à TOUL

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU l'arrêté préfectoral 17.BCI.79 du 29 décembre 2017 accordant délégation de signature à M. Morgan TANGUY, Sous-Préfet, Directeur de Cabinet ; VU la demande d'autorisation présentée par Monsieur Le Commandant de la BA133 représentant la Base aérienne 133 Nancy-Ochey pour l'installation d'un système de vidéoprotection situé D904 BA133-CS 40334 à TOUL (54201) ; VU l'avis émis par la Commission départementale de vidéoprotection en sa séance du 18 avril 2018 ; Sur proposition du Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet ; A R R E T E ARTICLE 1 : Monsieur Le Commandant de la BA133, représentant la Base aérienne 133 Nancy-Ochey est autorisé, dans les conditions fixées au présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, à installer et à mettre en œuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection composé de Nombre de caméras intérieures 0 Nombre de caméras extérieures 0 Nombre de caméras visionnant la voie publique 1 conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2018/0146. Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi : Sécurité des personnes, Défense Nationale. Le système sera conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. ARTICLE 2 : Le public est informé de la présence de ces caméras, dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection ; - à chaque point d’accès du public, des affichettes mentionnent les références du code de sécurité intérieure susvisées, la fonction et le service du titulaire du droit d’accès aux images ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable. ARTICLE 3 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de 0 jours. ARTICLE 4 : Le responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées. Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet. L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. ARTICLE 5 : Les fonctionnaires des services de sécurité dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article L.253-3 du code de sécurité intérieure, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées aux articles 3 et 4 susvisés. Le délai de conservation des images par ces derniers ne peut excéder 30 jours. RECUEIL N° 28 979 11 JUIN 2018

ARTICLE 6 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la protection des images). ARTICLE 7 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu’au regard de la loi n°2011-267 du 14 mars 2011 susvisée. Elle est délivrée sans préjudices d’autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, codes pénal, etc.) ARTICLE 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de Meurthe-et-Moselle. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Nancy dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. ARTICLE 9 : Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. ARTICLE 10 : La présente autorisation devra faire l'objet d'une demande de renouvellement dans un délai de quatre mois au moins avant l'échéance de la dite autorisation. ARTICLE 11 : Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Monsieur Le Commandant de la BA133 représentant la Base aérienne 133 Nancy-Ochey, et dont une copie sera transmise au maire de la commune de TOUL ainsi qu’à Monsieur le Sous-Préfet de l'arrondissement de Toul. Nancy, le 25 avril 2018 Pour le Préfet et par délégation, Le Directeur des Sécurités, Bertrand MERCIER ______

Arrêté n° 2018/0153 portant autorisation d’un système de vidéoprotection pour la SAS CUART-CHATTON, Primeurs de l'Est, à LUNEVILLE

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU l'arrêté préfectoral 17.BCI.79 du 29 décembre 2017 accordant délégation de signature à M. Morgan TANGUY, Sous-Préfet, Directeur de Cabinet ; VU la demande d'autorisation présentée par Monsieur Pierre-Olivier CUART représentant la SAS CUART-CHATTON, Primeurs de l'Est, pour l'installation d'un système de vidéoprotection situé 24 Faubourg de Ménil à LUNEVILLE (54300) ; VU l'avis émis par la Commission départementale de vidéoprotection en sa séance du 18 avril 2018 ; Sur proposition du Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet ; A R R E T E ARTICLE 1 : Monsieur Pierre-Olivier CUART, représentant la SAS CUART-CHATTON, Primeurs de l'Est, est autorisé, dans les conditions fixées au présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, à installer et à mettre en œuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection composé de Nombre de caméras intérieures 4 Nombre de caméras extérieures 0 Nombre de caméras visionnant la voie publique 0 conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2018/0153. Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi : Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens, Lutte contre la démarque inconnue. Le système sera conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. ARTICLE 2 : Le public est informé de la présence de ces caméras, dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection ; - à chaque point d’accès du public, des affichettes mentionnent les références du code de sécurité intérieure susvisées, la fonction et le service du titulaire du droit d’accès aux images ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable. ARTICLE 3 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de 30 jours. ARTICLE 4 : Le responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées. Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet. L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. ARTICLE 5 : Les fonctionnaires des services de sécurité dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article L.253-3 du code de sécurité intérieure, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées aux articles 3 et 4 susvisés. Le délai de conservation des images par ces derniers ne peut excéder 30 jours. ARTICLE 6 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la protection des images). ARTICLE 7 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu’au regard de la loi n°2011-267 du 14 mars 2011 susvisée. Elle est délivrée sans préjudices d’autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, codes pénal, etc.) ARTICLE 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de Meurthe-et-Moselle. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Nancy dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. ARTICLE 9 : Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. RECUEIL N° 28 980 11 JUIN 2018

ARTICLE 10 : La présente autorisation devra faire l'objet d'une demande de renouvellement dans un délai de quatre mois au moins avant l'échéance de la dite autorisation. ARTICLE 11 : Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Monsieur Pierre-Olivier CUART représentant la SAS CUART-CHATTON, Primeurs de l'Est, et dont une copie sera transmise au maire ainsi qu’à Monsieur le Sous-Préfet de l'arrondissement de Lunéville. Nancy, le 27 avril 2018 Pour le Préfet et par délégation, Le Directeur des Sécurités, Bertrand MERCIER ______

Arrêté n° 2018/0155 portant autorisation d’un système de vidéoprotection pour la SAS MILA/CUBE - Escape Game à NANCY

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU l'arrêté préfectoral 17.BCI.79 du 29 décembre 2017 accordant délégation de signature à M. Morgan TANGUY, Sous-Préfet, Directeur de Cabinet ; VU la demande d'autorisation présentée par Monsieur Nicolas FOUFE représentant la SAS MILA/ CUBE - Escape Game, pour l'installation d'un système de vidéoprotection situé 12 Promenade des Canaux à NANCY (54000) ; VU l'avis émis par la Commission départementale de vidéoprotection en sa séance du 18 avril 2018 ; Sur proposition du Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet ; A R R E T E ARTICLE 1 : Monsieur Nicolas FOUFE, représentant la SAS MILA/CUBE - Escape Game est autorisé, dans les conditions fixées au présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, à installer et à mettre en œuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection composé de Nombre de caméras intérieures 2 Nombre de caméras extérieures 0 Nombre de caméras visionnant la voie publique 0 conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2018/0155. Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi : Sécurité des personnes, Secours à personnes – défense contre l’incendie – Prévention risques naturels ou technologiques, Prévention des atteintes aux biens, Lutte contre le cambriolage. Le système sera conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. ARTICLE 2 : Le public est informé de la présence de ces caméras, dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection ; - à chaque point d’accès du public, des affichettes mentionnent les références du code de sécurité intérieure susvisées, la fonction et le service du titulaire du droit d’accès aux images ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable. ARTICLE 3 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de 12 jours. ARTICLE 4 : Le responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées. Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet. L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. ARTICLE 5 : Les fonctionnaires des services de sécurité dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article L.253-3 du code de sécurité intérieure, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées aux articles 3 et 4 susvisés. Le délai de conservation des images par ces derniers ne peut excéder 30 jours. ARTICLE 6 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la protection des images). ARTICLE 7 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu’au regard de la loi n°2011-267 du 14 mars 2011 susvisée. Elle est délivrée sans préjudices d’autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, codes pénal, etc.) ARTICLE 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de Meurthe-et-Moselle. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Nancy dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. ARTICLE 9 : Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. ARTICLE 10 : La présente autorisation devra faire l'objet d'une demande de renouvellement dans un délai de quatre mois au moins avant l'échéance de la dite autorisation. ARTICLE 11 : Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Monsieur Nicolas FOUFE représentant la SAS MILA/CUBE - Escape Game, et dont une copie sera transmise au maire de la commune de NANCY ainsi qu’à Madame la Secrétaire Générale de la préfecture, Sous-Préfète de l'arrondissement de Nancy. Nancy, le 27 avril 2018 Pour le Préfet et par délégation, Le Directeur des Sécurités, Bertrand MERCIER ______RECUEIL N° 28 981 11 JUIN 2018

Arrêté n° 2018/0156 portant autorisation d’un système de vidéoprotection pour Catherine et Francis HARAUX Maraîchers - Horticulteurs à NANCY

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU l'arrêté préfectoral 17.BCI.79 du 29 décembre 2017 accordant délégation de signature à M. Morgan TANGUY, Sous-Préfet, Directeur de Cabinet ; VU la demande d'autorisation présentée par Monsieur Francis HARAUX représentant Catherine et Francis HARAUX Maraîchers - Horticulteurs pour l'installation d'un système de vidéoprotection situé 34 rue Vayringe à NANCY (54000) ; VU l'avis émis par la Commission départementale de vidéoprotection en sa séance du 18 avril 2018 ; Sur proposition du Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet ; A R R E T E ARTICLE 1 : Monsieur Francis HARAUX, représentant Catherine et Francis HARAUX Maraîchers - Horticulteurs est autorisé, dans les conditions fixées au présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, à installer et à mettre en œuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection composé de Nombre de caméras intérieures 1 Nombre de caméras extérieures 3 Nombre de caméras visionnant la voie publique 0 conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2018/0156. Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi : Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens. Le système sera conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. ARTICLE 2 : Le public est informé de la présence de ces caméras, dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection ; - à chaque point d’accès du public, des affichettes mentionnent les références du code de sécurité intérieure susvisées, la fonction et le service du titulaire du droit d’accès aux images ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable. ARTICLE 3 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de 12 jours. ARTICLE 4 : Le responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées. Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet. L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. ARTICLE 5 : Les fonctionnaires des services de sécurité dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article L.253-3 du code de sécurité intérieure, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées aux articles 3 et 4 susvisés. Le délai de conservation des images par ces derniers ne peut excéder 30 jours. ARTICLE 6 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la protection des images). ARTICLE 7 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu’au regard de la loi n°2011-267 du 14 mars 2011 susvisée. Elle est délivrée sans préjudices d’autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, codes pénal, etc.) ARTICLE 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de Meurthe-et-Moselle. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Nancy dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. ARTICLE 9 : Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. ARTICLE 10 : La présente autorisation devra faire l'objet d'une demande de renouvellement dans un délai de quatre mois au moins avant l'échéance de la dite autorisation. ARTICLE 11 : Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Monsieur Francis HARAUX représentant Catherine et Francis HARAUX Maraîchers - Horticulteurs, et dont une copie sera transmise au maire de la commune de NANCY ainsi qu’à Madame la Secrétaire Générale de la préfecture, Sous-Préfète de l'arrondissement de Nancy. Nancy, le 25 avril 2018 Pour le Préfet et par délégation, Le Directeur des Sécurités, Bertrand MERCIER ______

Arrêté n° 2018/0158 portant autorisation d’un système de vidéoprotection pour l' EURL TROIS PETITS POINTS à NANCY

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU l'arrêté préfectoral 17.BCI.79 du 29 décembre 2017 accordant délégation de signature à M. Morgan TANGUY, Sous-Préfet, Directeur de Cabinet ; VU la demande d'autorisation présentée par Monsieur Mathias KELLER représentant l' EURL TROIS PETITS POINTS pour l'installation d'un système de vidéoprotection situé 3 rue De l'Île de Corse à NANCY (54000) ; VU l'avis émis par la Commission départementale de vidéoprotection en sa séance du 18 avril 2018 ; Sur proposition du Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet ; RECUEIL N° 28 982 11 JUIN 2018

A R R E T E ARTICLE 1 : Monsieur Mathias KELLER, représentant l' EURL TROIS PETITS POINTS est autorisé, dans les conditions fixées au présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, à installer et à mettre en œuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection composé de Nombre de caméras intérieures 3 Nombre de caméras extérieures 1 Nombre de caméras visionnant la voie publique 0 conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2018/0158. Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi : Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens. Le système sera conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. ARTICLE 2 : Le public est informé de la présence de ces caméras, dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection ; - à chaque point d’accès du public, des affichettes mentionnent les références du code de sécurité intérieure susvisées, la fonction et le service du titulaire du droit d’accès aux images ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable. ARTICLE 3 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de 20 jours. ARTICLE 4 : Le responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées. Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet. L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. ARTICLE 5 : Les fonctionnaires des services de sécurité dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article L.253-3 du code de sécurité intérieure, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées aux articles 3 et 4 susvisés. Le délai de conservation des images par ces derniers ne peut excéder 30 jours. ARTICLE 6 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la protection des images). ARTICLE 7 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu’au regard de la loi n°2011-267 du 14 mars 2011 susvisée. Elle est délivrée sans préjudices d’autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, codes pénal, etc.) ARTICLE 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de Meurthe-et-Moselle. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Nancy dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. ARTICLE 9 : Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. ARTICLE 10 : La présente autorisation devra faire l'objet d'une demande de renouvellement dans un délai de quatre mois au moins avant l'échéance de la dite autorisation. ARTICLE 11 : Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Monsieur Mathias KELLER représentant l' EURL TROIS PETITS POINTS, et dont une copie sera transmise au maire de la commune de NANCY ainsi qu’à Madame la Secrétaire Générale de la préfecture, Sous-Préfète de l'arrondissement de Nancy. Nancy, le 25 avril 2018 Pour le Préfet et par délégation, Le Directeur des Sécurités, Bertrand MERCIER ______

Arrêté n° 2018/0165 portant autorisation d’un système de vidéoprotection pour la SELARL Pharmacie Nouvelle à CHAMPIGNEULLES

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU l'arrêté préfectoral 17.BCI.79 du 29 décembre 2017 accordant délégation de signature à M. Morgan TANGUY, Sous-Préfet, Directeur de Cabinet ; VU la demande d'autorisation présentée par Madame Aurélia NOEL représentant la SELARL Pharmacie Nouvelle, pour l'installation d'un système de vidéoprotection situé 16 rue de Nancy à CHAMPIGNEULLES (54850) ; VU l'avis émis par la Commission départementale de vidéoprotection en sa séance du 18 avril 2018 ; Sur proposition du Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet ; A R R E T E ARTICLE 1 : Madame Aurélia NOEL, représentant la SELARL Pharmacie Nouvelle est autorisée, dans les conditions fixées au présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, à installer et à mettre en œuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection composé de Nombre de caméras intérieures 3 Nombre de caméras extérieures 0 Nombre de caméras visionnant la voie publique 0 conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2018/0165. Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi : Sécurité des personnes, Lutte contre la démarque inconnue. Le système sera conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. RECUEIL N° 28 983 11 JUIN 2018

ARTICLE 2 : Le public est informé de la présence de ces caméras, dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection ; - à chaque point d’accès du public, des affichettes mentionnent les références du code de sécurité intérieure susvisées, la fonction et le service du titulaire du droit d’accès aux images ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable. ARTICLE 3 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de 15 jours. ARTICLE 4 : Le responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées. Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet. L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. ARTICLE 5 : Les fonctionnaires des services de sécurité dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article L.253-3 du code de sécurité intérieure, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées aux articles 3 et 4 susvisés. Le délai de conservation des images par ces derniers ne peut excéder 30 jours. ARTICLE 6 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la protection des images). ARTICLE 7 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu’au regard de la loi n°2011-267 du 14 mars 2011 susvisée. Elle est délivrée sans préjudices d’autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, codes pénal, etc.) ARTICLE 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de Meurthe-et-Moselle. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Nancy dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. ARTICLE 9 : Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. ARTICLE 10 : La présente autorisation devra faire l'objet d'une demande de renouvellement dans un délai de quatre mois au moins avant l'échéance de la dite autorisation. ARTICLE 11 : Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet et le Colonel, Commandant le Groupement de Gendarmerie de Meurthe et Moselle sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Madame Aurélia NOEL représentant la SELARL Pharmacie Nouvelle, et dont une copie sera transmise au maire de la commune de CHAMPIGNEULLES ainsi qu’à Madame la Secrétaire Générale de la préfecture, Sous-Préfète de l'arrondissement de Nancy. Nancy, le 4 mai 2018 Pour le Préfet et par délégation, Le Directeur des Sécurités, Bertrand MERCIER ______

Arrêté n° 2018/0174 portant autorisation d’un système de vidéoprotection pour la Commune de GONDREVILLE

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle, VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU l'arrêté préfectoral 17.BCI.79 du 29 décembre 2017 accordant délégation de signature à M. Morgan TANGUY, Sous-Préfet, Directeur de Cabinet ; VU la demande d'autorisation présentée par Monsieur Raphaël ARNOULD, Maire de la Commune de GONDREVILLE pour l'installation d'un système de vidéoprotection situé 56 rue du Château des Princes à GONDREVILLE (54840) ; VU l'avis émis par la Commission départementale de vidéoprotection en sa séance du 18 avril 2018 ; Sur proposition du Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet ; A R R E T E ARTICLE 1 : Monsieur Raphaël ARNOULD, Maire de la Commune de GONDREVILLE est autorisé, dans les conditions fixées au présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, à installer et à mettre en œuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection composé de Nombre de caméras intérieures 0 Nombre de caméras extérieures 2 Nombre de caméras visionnant la voie publique 0 conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2018/0174. Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi : Prévention des atteintes aux biens, Protection des bâtiments publics. Le système sera conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. ARTICLE 2 : Le public est informé de la présence de ces caméras, dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection ; - à chaque point d’accès du public, des affichettes mentionnent les références du code de sécurité intérieure susvisées, la fonction et le service du titulaire du droit d’accès aux images ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable. ARTICLE 3 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de 8 jours. ARTICLE 4 : Le responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées. Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet. L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. RECUEIL N° 28 984 11 JUIN 2018

ARTICLE 5 : Les fonctionnaires des services de sécurité dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article L.253-3 du code de sécurité intérieure, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées aux articles 3 et 4 susvisés. Le délai de conservation des images par ces derniers ne peut excéder 30 jours. ARTICLE 6 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la protection des images). ARTICLE 7 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu’au regard de la loi n°2011-267 du 14 mars 2011 susvisée. Elle est délivrée sans préjudices d’autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, codes pénal, etc.) ARTICLE 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de Meurthe-et-Moselle. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Nancy dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. ARTICLE 9 : Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. ARTICLE 10 : La présente autorisation devra faire l'objet d'une demande de renouvellement dans un délai de quatre mois au moins avant l'échéance de la dite autorisation. ARTICLE 11 : Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet et le Colonel, Commandant le Groupement de Gendarmerie de Meurthe et Moselle sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Monsieur Raphaël ARNOULD, Maire de la Commune de GONDREVILLE, et dont une copie sera transmise à Monsieur le Sous-Préfet de l'arrondissement de Toul. Nancy, le 27 avril 2018 Pour le Préfet et par délégation, Le Directeur des Sécurités, Bertrand MERCIER ______

Arrêté n° 2018/0186 portant autorisation d’un système de vidéoprotection pour JF AUTOMOBILES à TUCQUEGNIEUX

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU l'arrêté préfectoral 17.BCI.79 du 29 décembre 2017 accordant délégation de signature à M. Morgan TANGUY, Sous-Préfet, Directeur de Cabinet ; VU la demande d'autorisation présentée par Monsieur Jean-François ZON représentant JF AUTOMOBILES, pour l'installation d'un système de vidéoprotection situé Zone SPODATI à TUCQUEGNIEUX (54640) ; VU l'avis émis par la Commission départementale de vidéoprotection en sa séance du 18 avril 2018 ; Sur proposition du Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet ; A R R E T E ARTICLE 1 : Monsieur Jean-François ZON, représentant JF AUTOMOBILES est autorisé, dans les conditions fixées au présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, à installer et à mettre en œuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection composé de Nombre de caméras intérieures 4 Nombre de caméras extérieures 4 Nombre de caméras visionnant la voie publique 0 conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2018/0186. Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi : Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens. Le système sera conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. ARTICLE 2 : Le public est informé de la présence de ces caméras, dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection ; - à chaque point d’accès du public, des affichettes mentionnent les références du code de sécurité intérieure susvisées, la fonction et le service du titulaire du droit d’accès aux images ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable. ARTICLE 3 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de 15 jours. ARTICLE 4 : Le responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées. Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet. L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. ARTICLE 5 : Les fonctionnaires des services de sécurité dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article L.253-3 du code de sécurité intérieure, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées aux articles 3 et 4 susvisés. Le délai de conservation des images par ces derniers ne peut excéder 30 jours. ARTICLE 6 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la protection des images). ARTICLE 7 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu’au regard de la loi n°2011-267 du 14 mars 2011 susvisée. Elle est délivrée sans préjudices d’autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, codes pénal, etc.) ARTICLE 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de Meurthe-et-Moselle. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Nancy dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. ARTICLE 9 : Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. RECUEIL N° 28 985 11 JUIN 2018

ARTICLE 10 : La présente autorisation devra faire l'objet d'une demande de renouvellement dans un délai de quatre mois au moins avant l'échéance de la dite autorisation. ARTICLE 11 : Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet et le Colonel, Commandant le Groupement de Gendarmerie de Meurthe et Moselle sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Monsieur Jean-François ZON représentant JF AUTOMOBILES, et dont une copie sera transmise au maire de la commune de TUCQUEGNIEUX ainsi qu’à Monsieur le Sous- Préfet de l'arrondissement de Briey. Nancy, le 4 mai 2018 Pour le Préfet et par délégation, Le Directeur des Sécurités, Bertrand MERCIER ______

Arrêté n° 2018/0187 portant autorisation d’un système de vidéoprotection pour la société ACTION FRANCE SAS à VANDOEUVRE- LES-NANCY

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU l'arrêté préfectoral 17.BCI.79 du 29 décembre 2017 accordant délégation de signature à M. Morgan TANGUY, Sous-Préfet, Directeur de Cabinet ; VU la demande d'autorisation présentée par Monsieur Bart RAEYMAEKERS Directeur de la société ACTION FRANCE SAS pour l'installation d'un système de vidéoprotection situé boulevard de L'Europe à VANDOEUVRE-LES-NANCY (54500) ; VU l'avis émis par la Commission départementale de vidéoprotection en sa séance du 18 avril 2018 ; Sur proposition du Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet ; A R R E T E ARTICLE 1 : Monsieur Bart RAEYMAEKERS, Directeur de la société ACTION FRANCE SAS est autorisé, dans les conditions fixées au présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, à installer et à mettre en œuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection composé de Nombre de caméras intérieures 14 Nombre de caméras extérieures 0 Nombre de caméras visionnant la voie publique 0 conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2018/0187. Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi : Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens, Lutte contre la démarque inconnue. Le système sera conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. ARTICLE 2 : Le public est informé de la présence de ces caméras, dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection ; - à chaque point d’accès du public, des affichettes mentionnent les références du code de sécurité intérieure susvisées, la fonction et le service du titulaire du droit d’accès aux images ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable. ARTICLE 3 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de 30 jours. ARTICLE 4 : Le responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées. Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet. L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. ARTICLE 5 : Les fonctionnaires des services de sécurité dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article L.253-3 du code de sécurité intérieure, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées aux articles 3 et 4 susvisés. Le délai de conservation des images par ces derniers ne peut excéder 30 jours. ARTICLE 6 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la protection des images). ARTICLE 7 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu’au regard de la loi n°2011-267 du 14 mars 2011 susvisée. Elle est délivrée sans préjudices d’autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, codes pénal, etc.) ARTICLE 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de Meurthe-et-Moselle. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Nancy dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. ARTICLE 9 : Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. ARTICLE 10 : La présente autorisation devra faire l'objet d'une demande de renouvellement dans un délai de quatre mois au moins avant l'échéance de la dite autorisation. ARTICLE 11 : Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Monsieur Bart RAEYMAEKERS, Directeur de la société ACTION FRANCE SAS, et dont une copie sera transmise au maire de la commune de VANDOEUVRE-LES-NANCY ainsi qu’à Madame la Secrétaire Générale de la préfecture, Sous-Préfète de l'arrondissement de Nancy. Nancy, le 27 avril 2018 Pour le Préfet et par délégation, Le Directeur des Sécurités, Bertrand MERCIER RECUEIL N° 28 986 11 JUIN 2018

Arrêté n° 2018/0211 portant autorisation d’un système de vidéoprotection pour la SAS ONE LOVE BB - Magasin BEBE 9 à ESSEY- LES-NANCY

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU l'arrêté préfectoral 17.BCI.79 du 29 décembre 2017 accordant délégation de signature à M. Morgan TANGUY, Sous-Préfet, Directeur de Cabinet ; VU la demande d'autorisation présentée par Monsieur SYLVAIN RICHARD représentant la SAS ONE LOVE BB - Magasin BEBE 9 pour l'installation d'un système de vidéoprotection situé 4 avenue du Gremillon à ESSEY-LES-NANCY (54270) ; VU l'avis émis par la Commission départementale de vidéoprotection en sa séance du 18 avril 2018 ; Sur proposition du Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet ; A R R E T E ARTICLE 1 : Monsieur SYLVAIN RICHARD, représentant la SAS ONE LOVE BB - Magasin BEBE 9 est autorisé, dans les conditions fixées au présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, à installer et à mettre en œuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection composé de Nombre de caméras intérieures 8 Nombre de caméras extérieures 0 Nombre de caméras visionnant la voie publique 0 conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2018/0211. Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi : Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens, Lutte contre la démarque inconnue. Le système sera conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. ARTICLE 2 : Le public est informé de la présence de ces caméras, dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection ; - à chaque point d’accès du public, des affichettes mentionnent les références du code de sécurité intérieure susvisées, la fonction et le service du titulaire du droit d’accès aux images ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable. ARTICLE 3 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de 20 jours. ARTICLE 4 : Le responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées. Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet. L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. ARTICLE 5 : Les fonctionnaires des services de sécurité dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article L.253-3 du code de sécurité intérieure, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées aux articles 3 et 4 susvisés. Le délai de conservation des images par ces derniers ne peut excéder 30 jours. ARTICLE 6 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la protection des images). ARTICLE 7 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu’au regard de la loi n°2011-267 du 14 mars 2011 susvisée. Elle est délivrée sans préjudices d’autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, codes pénal, etc.) ARTICLE 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de Meurthe-et-Moselle. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Nancy dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. ARTICLE 9 : Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. ARTICLE 10 : La présente autorisation devra faire l'objet d'une demande de renouvellement dans un délai de quatre mois au moins avant l'échéance de la dite autorisation. ARTICLE 11 : Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Monsieur SYLVAIN RICHARD représentant la SAS ONE LOVE BB - Magasin BEBE 9, et dont une copie sera transmise au maire de la commune de ESSEY-LES-NANCY ainsi qu’à Madame la Secrétaire Générale de la préfecture, Sous-Préfète de l'arrondissement de Nancy. Nancy, le 25 avril 2018 Pour le Préfet et par délégation, Le Directeur des Sécurités, Bertrand MERCIER ______

Arrêté n° 2018/0215 portant autorisation d’un système de vidéoprotection pour TABAC PRESSE A2M à BOUXIERES-AUX-CHENES

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU l'arrêté préfectoral 17.BCI.79 du 29 décembre 2017 accordant délégation de signature à M. Morgan TANGUY, Sous-Préfet, Directeur de Cabinet ; VU la demande d'autorisation présentée par Monsieur Maxime BUCHER représentant le TABAC PRESSE A2M, pour l'installation d'un système de vidéoprotection situé 6 route Départementale 913 à BOUXIERES-AUX-CHENES (54770) ; VU l'avis émis par la Commission départementale de vidéoprotection en sa séance du 18 avril 2018 ; Sur proposition du Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet ; RECUEIL N° 28 987 11 JUIN 2018

A R R E T E ARTICLE 1 : Monsieur Maxime BUCHER, représentant le TABAC PRESSE A2M est autorisé, dans les conditions fixées au présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, à installer et à mettre en œuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection composé de Nombre de caméras intérieures 3 Nombre de caméras extérieures 0 Nombre de caméras visionnant la voie publique 0 conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2018/0215. Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi : Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens, Lutte contre la démarque inconnue. Le système sera conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. ARTICLE 2 : Le public est informé de la présence de ces caméras, dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection ; - à chaque point d’accès du public, des affichettes mentionnent les références du code de sécurité intérieure susvisées, la fonction et le service du titulaire du droit d’accès aux images ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable. ARTICLE 3 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de 30 jours. ARTICLE 4 : Le responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées. Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet. L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. ARTICLE 5 : Les fonctionnaires des services de sécurité dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article L.253-3 du code de sécurité intérieure, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées aux articles 3 et 4 susvisés. Le délai de conservation des images par ces derniers ne peut excéder 30 jours. ARTICLE 6 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la protection des images). ARTICLE 7 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu’au regard de la loi n°2011-267 du 14 mars 2011 susvisée. Elle est délivrée sans préjudices d’autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, codes pénal, etc.) ARTICLE 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de Meurthe-et-Moselle. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Nancy dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. ARTICLE 9 : Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. ARTICLE 10 : La présente autorisation devra faire l'objet d'une demande de renouvellement dans un délai de quatre mois au moins avant l'échéance de la dite autorisation. ARTICLE 11 : Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet et le Colonel, Commandant le Groupement de Gendarmerie de Meurthe et Moselle sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Monsieur Maxime BUCHER représentant le TABAC PRESSE A2M, et dont une copie sera transmise au maire de la commune de BOUXIERES-AUX-CHENES ainsi qu’à Madame la Secrétaire Générale de la préfecture, Sous-Préfète de l'arrondissement de Nancy. Nancy, le 3 mai 2018 Pour le Préfet et par délégation, Le Directeur des Sécurités, Bertrand MERCIER ______

Arrêté n° 2018/0221 portant autorisation d’un système de vidéoprotection pour l'école de Musique à BATILLY Le Préfet de Meurthe-et-Moselle, VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU l'arrêté préfectoral 17.BCI.79 du 29 décembre 2017 accordant délégation de signature à M. Morgan TANGUY, Sous-Préfet, Directeur de Cabinet ; VU la demande d'autorisation présentée par Monsieur Robert DEFER, Maire, représentant l'école de Musique de BATILLY pour l'installation d'un système de vidéoprotection situé 1 place Sainte-Barbe à BATILLY (54980) ; VU l'avis émis par la Commission départementale de vidéoprotection en sa séance du 18 avril 2018 ; Sur proposition du Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet ; A R R E T E ARTICLE 1 : Monsieur Robert DEFER, Maire, représentant l'école de Musique de BATILLY est autorisé, dans les conditions fixées au présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, à installer et à mettre en œuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection composé de Nombre de caméras intérieures 0 Nombre de caméras extérieures 3 Nombre de caméras visionnant la voie publique 0 conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2018/0221. Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi : Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens, Protection des bâtiments publics. Le système sera conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. ARTICLE 2 : Le public est informé de la présence de ces caméras, dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection ; RECUEIL N° 28 988 11 JUIN 2018

- à chaque point d’accès du public, des affichettes mentionnent les références du code de sécurité intérieure susvisées, la fonction et le service du titulaire du droit d’accès aux images ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable. ARTICLE 3 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de 30 jours. ARTICLE 4 : Le responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées. Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet. L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. ARTICLE 5 : Les fonctionnaires des services de sécurité dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article L.253-3 du code de sécurité intérieure, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées aux articles 3 et 4 susvisés. Le délai de conservation des images par ces derniers ne peut excéder 30 jours. ARTICLE 6 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la protection des images). ARTICLE 7 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu’au regard de la loi n°2011-267 du 14 mars 2011 susvisée. Elle est délivrée sans préjudices d’autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, codes pénal, etc.) ARTICLE 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de Meurthe-et-Moselle. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Nancy dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. ARTICLE 9 : Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. ARTICLE 10 : La présente autorisation devra faire l'objet d'une demande de renouvellement dans un délai de quatre mois au moins avant l'échéance de la dite autorisation. ARTICLE 11 : Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Monsieur Robert DEFER, Maire de BATILLY, représentant l'école de Musique et dont une copie sera transmise à Madame la Secrétaire Générale de la préfecture, Sous-Préfète de l'arrondissement de Nancy. Nancy, le 4 mai 2018 Pour le Préfet et par délégation, Le Directeur des Sécurités, Bertrand MERCIER ______

Arrêté n° 2018/0223 portant autorisation d’un système de vidéoprotection pour la COMMUNE DE NEUVES-MAISONS Le Préfet de Meurthe-et-Moselle, VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU l'arrêté préfectoral 17.BCI.79 du 29 décembre 2017 accordant délégation de signature à M. Morgan TANGUY, Sous-Préfet, Directeur de Cabinet ; VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par Monsieur Jean-Paul VINCHELIN, Maire de la commune de NEUVES-MAISONS (54230) en date du 15 septembre 2017 ; VU l'avis émis par la Commission départementale de vidéoprotection en sa séance du 18 avril 2018; Sur proposition du Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet ; A R R E T E ARTICLE 1 : Monsieur Jean-Paul VINCHELIN, Maire de la Commune de NEUVES-MAISONS est autorisé, dans les conditions fixées au présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, à installer 8 caméras visionnant la voie publique aux adresses suivantes : • Rue Povoa de Lanhoso • Place Rue Jean Jaurès D974 • Place rue Capitaine Caillon - D974 • Rue Jules Ferry • Place rue Jules Ferry • Marché couvert, rue de la paix • Rue Lyser à NEUVES-MAISONS (54230) conformément au dossier présenté. Ce dispositif poursuite les finalités suivantes : • Sécurité des personnes, • Prévention des atteintes aux biens, • Protection des bâtiments publics, • Constatation des infractions aux règles de la circulation. Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif. Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. ARTICLE 2 : Le public est informé de la présence de ces caméras, dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection ; - à chaque point d’accès du public, des affichettes mentionnent les références du code de sécurité intérieure susvisées, la fonction et le service du titulaire du droit d’accès aux images ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable. ARTICLE 3 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de 30 jours. ARTICLE 4 : Le responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées. Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet. L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. RECUEIL N° 28 989 11 JUIN 2018

ARTICLE 5 : Les fonctionnaires des services de sécurité dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article L.253-3 du code de sécurité intérieure, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées aux articles 3 et 4 susvisés. Le délai de conservation des images par ces derniers ne peut excéder 30 jours. ARTICLE 6 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la protection des images). ARTICLE 7 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. ARTICLE 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de Meurthe-et-Moselle. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Nancy dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. ARTICLE 9 : Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. ARTICLE 10 : Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet et le Colonel Commandant le Groupement de Gendarmerie de Meurthe-et- Moselle sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Monsieur Jean-Paul VINCHELIN, Maire de la Commune de NEUVES-MAISONS, et dont une copie sera transmise à Madame la Secrétaire Générale de la préfecture, Sous-Préfète de l'arrondissement de Nancy. Nancy, le 9 mai 2018 Pour le Préfet et par délégation, Le Directeur des Sécurités, Bertrand MERCIER ______

Arrêté n° 2018/0224 portant autorisation d’un système de vidéoprotection pour le magasin Le Viand'Art Lorrain - Proxi à BOUXIERES- AUX-CHENES

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU l'arrêté préfectoral 17.BCI.79 du 29 décembre 2017 accordant délégation de signature à M. Morgan TANGUY, Sous-Préfet, Directeur de Cabinet ; VU la demande d'autorisation présentée par Monsieur Frédéric FAVIER, représentant le magasin Le Viand'Art Lorrain - Proxi pour l'installation d'un système de vidéoprotection situé 4 route départementale 913 à BOUXIERES-AUX-CHENES (54770) ; VU l'avis émis par la Commission départementale de vidéoprotection en sa séance du 18 avril 2018 ; Sur proposition du Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet ; A R R E T E ARTICLE 1 : Monsieur Frédéric FAVIER, représentant le magasin Le Viand'Art Lorrain - Proxi est autorisé, dans les conditions fixées au présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, à installer et à mettre en œuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection composé de Nombre de caméras intérieures 3 Nombre de caméras extérieures 0 Nombre de caméras visionnant la voie publique 0 conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2018/0224. Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi : Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens. Le système sera conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. ARTICLE 2 : Le public est informé de la présence de ces caméras, dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection ; - à chaque point d’accès du public, des affichettes mentionnent les références du code de sécurité intérieure susvisées, la fonction et le service du titulaire du droit d’accès aux images ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable. ARTICLE 3 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de 20 jours. ARTICLE 4 : Le responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées. Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet. L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. ARTICLE 5 : Les fonctionnaires des services de sécurité dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article L.253-3 du code de sécurité intérieure, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées aux articles 3 et 4 susvisés. Le délai de conservation des images par ces derniers ne peut excéder 30 jours. ARTICLE 6 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la protection des images). ARTICLE 7 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu’au regard de la loi n°2011-267 du 14 mars 2011 susvisée. Elle est délivrée sans préjudices d’autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, codes pénal, etc.) ARTICLE 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de Meurthe-et-Moselle. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Nancy dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. ARTICLE 9 : Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. ARTICLE 10 : La présente autorisation devra faire l'objet d'une demande de renouvellement dans un délai de quatre mois au moins avant l'échéance de la dite autorisation. RECUEIL N° 28 990 11 JUIN 2018

ARTICLE 11 : Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet et le Colonel, Commandant le Groupement de Gendarmerie de Meurthe et Moselle sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Monsieur Frédéric FAVIER représentant le magasin Le Viand'Art Lorrain - Proxi, et dont une copie sera transmise au maire de la commune de BOUXIERES-AUX-CHENES ainsi qu’à Madame la Secrétaire Générale de la préfecture, Sous-Préfète de l'arrondissement de Nancy. Nancy, le 27 avril 2018 Pour le Préfet et par délégation, Le Directeur des Sécurités, Bertrand MERCIER ______

Arrêté n° 2018/0238 portant autorisation d’un système de vidéoprotection pour l' EURL TIFF ON LINE à AUBOUE

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU l'arrêté préfectoral 17.BCI.79 du 29 décembre 2017 accordant délégation de signature à M. Morgan TANGUY, Sous-Préfet, Directeur de Cabinet ; VU la demande d'autorisation présentée par Madame Céline WEILER représentant l' EURL TIFF ON LINE, pour l'installation d'un système de vidéoprotection situé 3 place de la Poste à AUBOUE (54580) ; VU l'avis émis par la Commission départementale de vidéoprotection en sa séance du 18 avril 2018 ; Sur proposition du Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet ; A R R E T E ARTICLE 1 : Madame Céline WEILER, représentant l' EURL TIFF ON LINE est autorisée, dans les conditions fixées au présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, à installer et à mettre en œuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection composé de Nombre de caméras intérieures 3 Nombre de caméras extérieures 0 Nombre de caméras visionnant la voie publique 0 conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2018/0238. Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi : Sécurité des personnes. Le système sera conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. ARTICLE 2 : Le public est informé de la présence de ces caméras, dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection ; - à chaque point d’accès du public, des affichettes mentionnent les références du code de sécurité intérieure susvisées, la fonction et le service du titulaire du droit d’accès aux images ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable. ARTICLE 3 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de 30 jours. ARTICLE 4 : Le responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées. Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet. L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. ARTICLE 5 : Les fonctionnaires des services de sécurité dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article L.253-3 du code de sécurité intérieure, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées aux articles 3 et 4 susvisés. Le délai de conservation des images par ces derniers ne peut excéder 30 jours. ARTICLE 6 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la protection des images). ARTICLE 7 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu’au regard de la loi n°2011-267 du 14 mars 2011 susvisée. Elle est délivrée sans préjudices d’autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, codes pénal, etc.) ARTICLE 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de Meurthe-et-Moselle. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Nancy dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. ARTICLE 9 : Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. ARTICLE 10 : La présente autorisation devra faire l'objet d'une demande de renouvellement dans un délai de quatre mois au moins avant l'échéance de la dite autorisation. ARTICLE 11 : Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Madame Céline WEILER représentant l' EURL TIFF ON LINE, et dont une copie sera transmise au maire de la commune de AUBOUE ainsi qu’à Monsieur le Sous-Préfet de l'arrondissement de Briey. Nancy, le 4 mai 2018 Pour le Préfet et par délégation, Le Directeur des Sécurités, Bertrand MERCIER ______

Arrêté n° 2018/0242 portant autorisation d’un système de vidéoprotection pour la COMMUNE DE LAXOU Le Préfet de Meurthe-et-Moselle, VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU l'arrêté préfectoral 17.BCI.79 du 29 décembre 2017 accordant délégation de signature à M. Morgan TANGUY, Sous-Préfet, Directeur de Cabinet ; RECUEIL N° 28 991 11 JUIN 2018

VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par Madame Laurence WIESER, Maire de la commune de LAXOU (54520) en date du 29 mars 2018 ; VU l'avis émis par la Commission départementale de vidéoprotection en sa séance du 18 avril 2018; Sur proposition du Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet ; A R R E T E ARTICLE 1 : Madame Laurence WIESER, Maire de la Commune de LAXOU est autorisé, dans les conditions fixées au présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, à installer 2 caméras visionnant la voie publique aux adresses suivantes : • Rue de la Meuse, • Avenue de l’Europe, à LAXOU (54520) conformément au dossier présenté. Ce dispositif poursuite les finalités suivantes : • Sécurité des personnes, • Défense nationale, • Prévention des atteintes aux biens, • Protection des bâtiments publics, • Prévention d’actes terroristes. Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif. Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. ARTICLE 2 : Le public est informé de la présence de ces caméras, dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection ; - à chaque point d’accès du public, des affichettes mentionnent les références du code de sécurité intérieure susvisées, la fonction et le service du titulaire du droit d’accès aux images ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable. ARTICLE 3 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de 15 jours. ARTICLE 4 : Le responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées. Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet. L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. ARTICLE 5 : Les fonctionnaires des services de sécurité dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article L.253-3 du code de sécurité intérieure, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées aux articles 3 et 4 susvisés. Le délai de conservation des images par ces derniers ne peut excéder 30 jours. ARTICLE 6 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la protection des images). ARTICLE 7 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée.

ARTICLE 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de Meurthe-et-Moselle. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Nancy dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. ARTICLE 9 : Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. ARTICLE 10 : Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Madame Laurence WIESER, Maire de la Commune de LAXOU, et dont une copie sera transmise à Madame la Secrétaire Générale de la préfecture, Sous-Préfète de l'arrondissement de Nancy. Nancy, le 26 avril 2018 Pour le Préfet et par délégation, Le Directeur des Sécurités, Bertrand MERCIER ______

Arrêté n° 2018/0247 portant autorisation d’un système de vidéoprotection pour l' Agence Postale Communale à LONGWY

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU l'arrêté préfectoral 17.BCI.79 du 29 décembre 2017 accordant délégation de signature à M. Morgan TANGUY, Sous-Préfet, Directeur de Cabinet ; VU la demande d'autorisation présentée par Monsieur Jean-Marc FOURNEL représentant l' Agence Postale Communale pour l'installation d'un système de vidéoprotection situé 40 rue Pasteur à LONGWY (54400) ; VU l'avis émis par la Commission départementale de vidéoprotection en sa séance du 18 avril 2018 ; Sur proposition du Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet ; A R R E T E ARTICLE 1 : Monsieur Jean-Marc FOURNEL, représentant l' Agence Postale Communale est autorisé, dans les conditions fixées au présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, à installer et à mettre en œuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection composé de Nombre de caméras intérieures 1 Nombre de caméras extérieures 0 Nombre de caméras visionnant la voie publique 0 conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2018/0247. Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi : Sécurité des personnes. Le système sera conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. RECUEIL N° 28 992 11 JUIN 2018

ARTICLE 2 : Le public est informé de la présence de ces caméras, dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection ; - à chaque point d’accès du public, des affichettes mentionnent les références du code de sécurité intérieure susvisées, la fonction et le service du titulaire du droit d’accès aux images ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable. ARTICLE 3 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de 0 jour. ARTICLE 4 : Le responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées. Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet. L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. ARTICLE 5 : Les fonctionnaires des services de sécurité dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article L.253-3 du code de sécurité intérieure, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées aux articles 3 et 4 susvisés. Le délai de conservation des images par ces derniers ne peut excéder 30 jours. ARTICLE 6 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la protection des images). ARTICLE 7 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu’au regard de la loi n°2011-267 du 14 mars 2011 susvisée. Elle est délivrée sans préjudices d’autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, codes pénal, etc.) ARTICLE 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de Meurthe-et-Moselle. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Nancy dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. ARTICLE 9 : Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. ARTICLE 10 : La présente autorisation devra faire l'objet d'une demande de renouvellement dans un délai de quatre mois au moins avant l'échéance de la dite autorisation. ARTICLE 11 : Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Monsieur Jean-Marc FOURNEL représentant l' Agence Postale Communale, et dont une copie sera transmise au maire de la commune de LONGWY ainsi qu’à Monsieur le Sous-Préfet de l'arrondissement de Briey. Nancy, le 20 avril 2018 Pour le Préfet et par délégation, Le Directeur des Sécurités, Bertrand MERCIER ______

Arrêté n° 2015/0051 portant autorisation partielle d’un système de vidéoprotection pour l'Atelier DEGRON HEUREQUAL 54 à PULNOY

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU l'arrêté préfectoral 17.BCI.79 du 29 décembre 2017 accordant délégation de signature à M. Morgan TANGUY, Sous-Préfet, Directeur de Cabinet ; VU la demande d'autorisation présentée par Madame Joelle DEGRON représentant l'Atelier DEGRON HEUREQUAL 54 pour l'installation d'un système de vidéoprotection situé 1 rue des Tilles à PULNOY (54425) ; VU l'avis émis par la Commission départementale de vidéoprotection en sa séance du 18 avril 2018 ; Sur proposition du Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet ; A R R E T E ARTICLE 1 : Madame Joelle DEGRON, représentant l'Atelier DEGRON HEUREQUAL 54 est autorisée, dans les conditions fixées au présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, à installer et à mettre en œuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection composé de Nombre de caméras intérieures 1 Nombre de caméras extérieures 5 Nombre de caméras visionnant la voie publique 0 conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2015/0051. La commission de vidéoprotection n’est pas compétente pour les 2 caméras intérieures situées dans l’atelier principal et dans la zone d’emballage qui visionnent des parties privatives non accessibles au public. Ces caméras devront donc faire l’objet d’une déclaration auprès de la CNIL. Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi : Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens. Le système sera conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. ARTICLE 2 : Le public est informé de la présence de ces caméras, dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection ; - à chaque point d’accès du public, des affichettes mentionnent les références du code de sécurité intérieure susvisées, la fonction et le service du titulaire du droit d’accès aux images ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable. ARTICLE 3 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de 30 jours. ARTICLE 4 : Le responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées. Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet. RECUEIL N° 28 993 11 JUIN 2018

L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. ARTICLE 5 : Les fonctionnaires des services de sécurité dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article L.253-3 du code de sécurité intérieure, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées aux articles 3 et 4 susvisés. Le délai de conservation des images par ces derniers ne peut excéder 30 jours. ARTICLE 6 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la protection des images). ARTICLE 7 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu’au regard de la loi n°2011-267 du 14 mars 2011susvisée. Elle est délivrée sans préjudices d’autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, codes pénal, etc.) ARTICLE 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de Meurthe-et-Moselle. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Nancy dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. ARTICLE 9 : Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. ARTICLE 10 : La présente autorisation devra faire l'objet d'une demande de renouvellement dans un délai de quatre mois au moins avant l'échéance de la dite autorisation. ARTICLE 11 : Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Madame Joelle DEGRON représentant l'Atelier DEGRON HEUREQUAL 54, et dont une copie sera transmise au maire de la commune de PULNOY ainsi qu’à Madame la Secrétaire Générale de la préfecture, Sous- Préfète de l'arrondissement de Nancy. Nancy, le 24 avril 2018 Pour le Préfet et par délégation, Le Directeur des Sécurités, Bertrand MERCIER ______

Arrêté n° 2015/0356 portant autorisation partielle d’un système de vidéoprotection pour le Basic-Fit II à LAXOU

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU l'arrêté préfectoral 17.BCI.79 du 29 décembre 2017 accordant délégation de signature à M. Morgan TANGUY, Sous-Préfet, Directeur de Cabinet ; VU la demande d'autorisation présentée par Monsieur Redouane ZEKKRI représentant le Basic-Fit II pour l'installation d'un système de vidéoprotection situé 18 avenue de la Résistance à LAXOU (54520) ; VU l'avis émis par la Commission départementale de vidéoprotection en sa séance du 18 avril 2018 ; Sur proposition du Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet ; A R R E T E ARTICLE 1 : Monsieur Redouane ZEKKRI, représentant le Basic-Fit II est autorisé, dans les conditions fixées au présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, à installer et à mettre en œuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection composé de Nombre de caméras intérieures 1 Nombre de caméras extérieures 0 Nombre de caméras visionnant la voie publique 0 conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2015/0356. La commission de vidéoprotection n’est pas compétente pour les 5 caméras intérieures situées dans les salles de sport qui visionnent des parties privatives non accessibles au public. Ces caméras devront donc faire l’objet d’une déclaration auprès de la CNIL. Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi : Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens. Le système sera conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. ARTICLE 2 : Le public est informé de la présence de ces caméras, dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection ; - à chaque point d’accès du public, des affichettes mentionnent les références du code de sécurité intérieure susvisées, la fonction et le service du titulaire du droit d’accès aux images ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable. ARTICLE 3 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de 30 jours. ARTICLE 4 : Le responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées. Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet. L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. ARTICLE 5 : Les fonctionnaires des services de sécurité dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article L.253-3 du code de sécurité intérieure, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées aux articles 3 et 4 susvisés. Le délai de conservation des images par ces derniers ne peut excéder 30 jours. ARTICLE 6 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la protection des images). ARTICLE 7 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu’au regard de la loi n°2011-267 du 14 mars 2011susvisée. Elle est délivrée sans préjudices d’autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, codes pénal, etc.) RECUEIL N° 28 994 11 JUIN 2018

ARTICLE 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de Meurthe-et-Moselle. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Nancy dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. ARTICLE 9 : Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. ARTICLE 10 : La présente autorisation devra faire l'objet d'une demande de renouvellement dans un délai de quatre mois au moins avant l'échéance de la dite autorisation. ARTICLE 11 : Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Monsieur Redouane ZEKKRI représentant le Basic-Fit II, et dont une copie sera transmise au maire de la commune de LAXOU ainsi qu’à Madame la Secrétaire Générale de la préfecture, Sous-Préfète de l'arrondissement de Nancy. Nancy, le 26 avril 2018 Pour le Préfet et par délégation, Le Directeur des Sécurités, Bertrand MERCIER ______

Arrêté n° 2016/0318 portant autorisation partielle d’un système de vidéoprotection pour la SARL LACARTE à NANCY

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU l'arrêté préfectoral 17.BCI.79 du 29 décembre 2017 accordant délégation de signature à M. Morgan TANGUY, Sous-Préfet, Directeur de Cabinet ; VU la demande d'autorisation présentée par Monsieur Damien LACARTE représentant la SARL LACARTE pour l'installation d'un système de vidéoprotection situé 8 place Paul Painlevé à NANCY (54000) ; VU l'avis émis par la Commission départementale de vidéoprotection en sa séance du 18 avril 2018 ; Sur proposition du Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet ; A R R E T E ARTICLE 1 : Monsieur Damien LACARTE, représentant la SARL LACARTE est autorisé, dans les conditions fixées au présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, à installer et à mettre en œuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection composé de Nombre de caméras intérieures 1 Nombre de caméras extérieures 0 Nombre de caméras visionnant la voie publique 0 conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2016/0318. La commission de vidéoprotection n’est pas compétente pour la caméra intérieure située dans le laboratoire qui visionne des parties privatives non accessibles au public. Cette caméra devra donc faire l’objet d’une déclaration auprès de la CNIL. Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi : Sécurité des personnes, Protection des bâtiments publics. Le système sera conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. ARTICLE 2 : Le public est informé de la présence de ces caméras, dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection ; - à chaque point d’accès du public, des affichettes mentionnent les références du code de sécurité intérieure susvisées, la fonction et le service du titulaire du droit d’accès aux images ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable. ARTICLE 3 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de 30 jours. ARTICLE 4 : Le responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées. Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet. L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. ARTICLE 5 : Les fonctionnaires des services de sécurité dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article L.253-3 du code de sécurité intérieure, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées aux articles 3 et 4 susvisés. Le délai de conservation des images par ces derniers ne peut excéder 30 jours. ARTICLE 6 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la protection des images). ARTICLE 7 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu’au regard de la loi n°2011-267 du 14 mars 2011susvisée. Elle est délivrée sans préjudices d’autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, codes pénal, etc.) ARTICLE 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de Meurthe-et-Moselle. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Nancy dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. ARTICLE 9 : Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. ARTICLE 10 : La présente autorisation devra faire l'objet d'une demande de renouvellement dans un délai de quatre mois au moins avant l'échéance de la dite autorisation. ARTICLE 11 : Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Monsieur Damien LACARTE représentant la SARL LACARTE, et dont une copie sera transmise au maire de la commune de NANCY ainsi qu’à Madame la Secrétaire Générale de la préfecture, Sous-Préfète de l'arrondissement de Nancy. Nancy, le 20 avril 2018 Pour le Préfet et par délégation, Le Directeur des Sécurités, Bertrand MERCIER RECUEIL N° 28 995 11 JUIN 2018

Arrêté n° 2016/0439 portant autorisation partielle d’un système de vidéoprotection pour la SAS BOULANGERIE BG à FROUARD

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle, VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU l'arrêté préfectoral 17.BCI.79 du 29 décembre 2017 accordant délégation de signature à M. Morgan TANGUY, Sous-Préfet, Directeur de Cabinet ; VU la demande d'autorisation présentée par Monsieur Bernard BLACHERE représentant la SAS BOULANGERIE BG pour l'installation d'un système de vidéoprotection situé 8 rue du bois à FROUARD (54390) ; VU l'avis émis par la Commission départementale de vidéoprotection en sa séance du 18 avril 2018 ; Sur proposition du Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet ; A R R E T E ARTICLE 1 : Monsieur Bernard BLACHERE, représentant la SAS BOULANGERIE BG est autorisé, dans les conditions fixées au présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, à installer et à mettre en œuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection composé de Nombre de caméras intérieures 2 Nombre de caméras extérieures 0 Nombre de caméras visionnant la voie publique 0 conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2016/0439. La commission de vidéoprotection n’est pas compétente pour la caméra intérieure n°2 et la caméra extérieure n°1 qui visionnent des parties privatives non accessibles au public. Ces caméras devront donc faire l’objet d’une déclaration auprès de la CNIL. Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi : Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens. Le système sera conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. ARTICLE 2 : Le public est informé de la présence de ces caméras, dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection ; - à chaque point d’accès du public, des affichettes mentionnent les références du code de sécurité intérieure susvisées, la fonction et le service du titulaire du droit d’accès aux images ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable. ARTICLE 3 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de 15 jours. ARTICLE 4 : Le responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées. Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet. L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. ARTICLE 5 : Les fonctionnaires des services de sécurité dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article L.253-3 du code de sécurité intérieure, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées aux articles 3 et 4 susvisés. Le délai de conservation des images par ces derniers ne peut excéder 30 jours. ARTICLE 6 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la protection des images). ARTICLE 7 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu’au regard de la loi n°2011-267 du 14 mars 2011susvisée. Elle est délivrée sans préjudices d’autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, codes pénal, etc.) ARTICLE 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de Meurthe-et-Moselle. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Nancy dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. ARTICLE 9 : Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. ARTICLE 10 : La présente autorisation devra faire l'objet d'une demande de renouvellement dans un délai de quatre mois au moins avant l'échéance de la dite autorisation. ARTICLE 11 : Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet et le Colonel, Commandant le Groupement de Gendarmerie de Meurthe et Moselle sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Monsieur Bernard BLACHERE représentant la SAS BOULANGERIE BG, et dont une copie sera transmise au maire de la commune de FROUARD ainsi qu’à Madame la Secrétaire Générale de la préfecture, Sous-Préfète de l'arrondissement de Nancy. Nancy, le 23 avril 2018 Pour le Préfet et par délégation, Le Directeur des Sécurités, Bertrand MERCIER ______

Arrêté n° 2017/0095 portant autorisation partielle d’un système de vidéoprotection pour l'établissement CMC COLIN MOTOCULTURE à VEZELISE Le Préfet de Meurthe-et-Moselle, VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU l'arrêté préfectoral 17.BCI.79 du 29 décembre 2017 accordant délégation de signature à M. Morgan TANGUY, Sous-Préfet, Directeur de Cabinet ; VU la demande d'autorisation présentée par Monsieur Michael COLIN représentant l'établissement CMC COLIN MOTOCULTURE pour l'installation d'un système de vidéoprotection situé 2 rue de l'abattoir à VEZELISE (54330) ; VU l'avis émis par la Commission départementale de vidéoprotection en sa séance du 18 avril 2018 ; Sur proposition du Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet ; RECUEIL N° 28 996 11 JUIN 2018

A R R E T E ARTICLE 1 : Monsieur Michael COLIN, représentant l'établissement CMC COLIN MOTOCULTURE est autorisé, dans les conditions fixées au présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, à installer et à mettre en œuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection composé de Nombre de caméras intérieures 1 Nombre de caméras extérieures 0 Nombre de caméras visionnant la voie publique 0 conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2017/0095. La commission de vidéoprotection n’est pas compétente pour la caméra extérieure qui visionne des parties privatives non accessibles au public. Cette caméra devra donc faire l’objet d’une déclaration auprès de la CNIL. Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi : Sécurité des personnes, Lutte contre la démarque inconnue. Le système sera conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. ARTICLE 2 : Le public est informé de la présence de ces caméras, dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection ; - à chaque point d’accès du public, des affichettes mentionnent les références du code de sécurité intérieure susvisées, la fonction et le service du titulaire du droit d’accès aux images ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable. ARTICLE 3 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de 10 jours. ARTICLE 4 : Le responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées. Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet. L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. ARTICLE 5 : Les fonctionnaires des services de sécurité dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article L.253-3 du code de sécurité intérieure, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées aux articles 3 et 4 susvisés. Le délai de conservation des images par ces derniers ne peut excéder 30 jours. ARTICLE 6 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la protection des images). ARTICLE 7 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu’au regard de la loi n°2011-267 du 14 mars 2011susvisée. Elle est délivrée sans préjudices d’autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, codes pénal, etc.) ARTICLE 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de Meurthe-et-Moselle. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Nancy dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. ARTICLE 9 : Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. ARTICLE 10 : La présente autorisation devra faire l'objet d'une demande de renouvellement dans un délai de quatre mois au moins avant l'échéance de la dite autorisation. ARTICLE 11 : Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet et le Colonel, Commandant le Groupement de Gendarmerie de Meurthe et Moselle sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Monsieur Michael COLIN représentant l'établissement CMC COLIN MOTOCULTURE, et dont une copie sera transmise au maire de la commune de VEZELISE ainsi qu’à Madame la Secrétaire Générale de la préfecture, Sous-Préfète de l'arrondissement de Nancy. Nancy, le 20 avril 2018 Pour le Préfet et par délégation, Le Directeur des Sécurités, Bertrand MERCIER ______

Arrêté n° 2017/0124 portant autorisation partielle d’un système de vidéoprotection pour la SAS BGR VOYOU Delicatessen à NANCY Le Préfet de Meurthe-et-Moselle, VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU l'arrêté préfectoral 17.BCI.79 du 29 décembre 2017 accordant délégation de signature à M. Morgan TANGUY, Sous-Préfet, Directeur de Cabinet ; VU la demande d'autorisation présentée par Monsieur Mathieu PATARD représentant la SAS BGR VOYOU Delicatessen pour l'installation d'un système de vidéoprotection situé 10 rue de la Faïencerie à NANCY (54000) ; VU l'avis émis par la Commission départementale de vidéoprotection en sa séance du 18 avril 2018 ; Sur proposition du Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet ; A R R E T E ARTICLE 1 : Monsieur Mathieu PATARD, représentant la SAS BGR VOYOU Delicatessen est autorisé, dans les conditions fixées au présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, à installer et à mettre en œuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection composé de Nombre de caméras intérieures 2 Nombre de caméras extérieures 0 Nombre de caméras visionnant la voie publique 0 conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2017/0124. La commission de vidéoprotection n’est pas compétente pour la caméra intérieure n°3 située dans la réserve qui visionne des parties privatives non accessibles au public. Cette caméra devra donc faire l’objet d’une déclaration auprès de la CNIL. RECUEIL N° 28 997 11 JUIN 2018

Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi : Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens. Le système sera conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. ARTICLE 2 : Le public est informé de la présence de ces caméras, dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection ; - à chaque point d’accès du public, des affichettes mentionnent les références du code de sécurité intérieure susvisées, la fonction et le service du titulaire du droit d’accès aux images ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable. ARTICLE 3 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de 30 jours. ARTICLE 4 : Le responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées. Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet. L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. ARTICLE 5 : Les fonctionnaires des services de sécurité dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article L.253-3 du code de sécurité intérieure, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées aux articles 3 et 4 susvisés. Le délai de conservation des images par ces derniers ne peut excéder 30 jours. ARTICLE 6 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la protection des images). ARTICLE 7 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu’au regard de la loi n°2011-267 du 14 mars 2011susvisée. Elle est délivrée sans préjudices d’autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, codes pénal, etc.) ARTICLE 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de Meurthe-et-Moselle. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Nancy dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. ARTICLE 9 : Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. ARTICLE 10 : La présente autorisation devra faire l'objet d'une demande de renouvellement dans un délai de quatre mois au moins avant l'échéance de la dite autorisation. ARTICLE 11 : Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Monsieur Mathieu PATARD représentant la SAS BGR VOYOU Delicatessen, et dont une copie sera transmise au maire de la commune de NANCY ainsi qu’à Madame la Secrétaire Générale de la préfecture, Sous-Préfète de l'arrondissement de Nancy. Nancy, le 25 avril 2018 Pour le Préfet et par délégation, Le Directeur des Sécurités, Bertrand MERCIER ______

Arrêté n° 2017/0125 portant autorisation partielle d’un système de vidéoprotection pour la SAS BGR VOYOU à NANCY

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle, VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU l'arrêté préfectoral 17.BCI.79 du 29 décembre 2017 accordant délégation de signature à M. Morgan TANGUY, Sous-Préfet, Directeur de Cabinet ; VU la demande d'autorisation présentée par Monsieur Mathieu PATARD représentant la SAS BGR VOYOU pour l'installation d'un système de vidéoprotection situé 20 rue Stanislas à NANCY (54000) ; VU l'avis émis par la Commission départementale de vidéoprotection en sa séance du 18 avril 2018 ; Sur proposition du Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet ; A R R E T E ARTICLE 1 : Monsieur Mathieu PATARD, représentant la SAS BGR VOYOU est autorisé, dans les conditions fixées au présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, à installer et à mettre en œuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection composé de Nombre de caméras intérieures 2 Nombre de caméras extérieures 0 Nombre de caméras visionnant la voie publique 0 conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2017/0125. La commission de vidéoprotection n’est pas compétente pour la caméra intérieure n°3 située dans la réserve qui visionne des parties privatives non accessibles au public. Cette caméra devra donc faire l’objet d’une déclaration auprès de la CNIL. Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi : Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens. Le système sera conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. ARTICLE 2 : Le public est informé de la présence de ces caméras, dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection ; - à chaque point d’accès du public, des affichettes mentionnent les références du code de sécurité intérieure susvisées, la fonction et le service du titulaire du droit d’accès aux images ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable. ARTICLE 3 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de 30 jours. ARTICLE 4 : Le responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées. RECUEIL N° 28 998 11 JUIN 2018

Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet. L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. ARTICLE 5 : Les fonctionnaires des services de sécurité dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article L.253-3 du code de sécurité intérieure, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées aux articles 3 et 4 susvisés. Le délai de conservation des images par ces derniers ne peut excéder 30 jours. ARTICLE 6 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la protection des images). ARTICLE 7 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu’au regard de la loi n°2011-267 du 14 mars 2011susvisée. Elle est délivrée sans préjudices d’autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, codes pénal, etc.) ARTICLE 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de Meurthe-et-Moselle. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Nancy dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. ARTICLE 9 : Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. ARTICLE 10 : La présente autorisation devra faire l'objet d'une demande de renouvellement dans un délai de quatre mois au moins avant l'échéance de la dite autorisation. ARTICLE 11 : Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Monsieur Mathieu PATARD représentant la SAS BGR VOYOU, et dont une copie sera transmise au maire de la commune de NANCY ainsi qu’à Madame la Secrétaire Générale de la préfecture, Sous-Préfète de l'arrondissement de Nancy. Nancy, le 25 avril 2018 Pour le Préfet et par délégation, Le Directeur des Sécurités, Bertrand MERCIER ______

Arrêté n° 2017/0134 portant autorisation partielle d’un système de vidéoprotection pour la SAS JONACA à NANCY

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle, VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU l'arrêté préfectoral 17.BCI.79 du 29 décembre 2017 accordant délégation de signature à M. Morgan TANGUY, Sous-Préfet, Directeur de Cabinet ; VU la demande d'autorisation présentée par Monsieur Joseph GIURANNA représentant la SAS JONACA pour l'installation d'un système de vidéoprotection situé 30 place Charles III à NANCY (54000) ; VU l'avis émis par la Commission départementale de vidéoprotection en sa séance du 18 avril 2018 ; Sur proposition du Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet ; A R R E T E ARTICLE 1 : Monsieur Joseph GIURANNA, représentant la SAS JONACA est autorisé, dans les conditions fixées au présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, à installer et à mettre en œuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection composé de Nombre de caméras intérieures 4 Nombre de caméras extérieures 0 Nombre de caméras visionnant la voie publique 0 conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2017/0134. La commission de vidéoprotection n’est pas compétente pour les 2 caméras intérieures n°5 et n°6 situées dans la réserve qui visionnent des parties privatives non accessibles au public. Ces caméras devront donc faire l’objet d’une déclaration auprès de la CNIL. Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi : Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens, Lutte contre la démarque inconnue. Le système sera conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. ARTICLE 2 : Le public est informé de la présence de ces caméras, dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection ; - à chaque point d’accès du public, des affichettes mentionnent les références du code de sécurité intérieure susvisées, la fonction et le service du titulaire du droit d’accès aux images ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable. ARTICLE 3 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de 30 jours. ARTICLE 4 : Le responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées. Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet. L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. ARTICLE 5 : Les fonctionnaires des services de sécurité dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article L.253-3 du code de sécurité intérieure, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées aux articles 3 et 4 susvisés. Le délai de conservation des images par ces derniers ne peut excéder 30 jours. ARTICLE 6 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la protection des images). ARTICLE 7 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. RECUEIL N° 28 999 11 JUIN 2018

Cette autorisation ne vaut qu’au regard de la loi n°2011-267 du 14 mars 2011susvisée. Elle est délivrée sans préjudices d’autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, codes pénal, etc.) ARTICLE 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de Meurthe-et-Moselle. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Nancy dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. ARTICLE 9 : Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. ARTICLE 10 : La présente autorisation devra faire l'objet d'une demande de renouvellement dans un délai de quatre mois au moins avant l'échéance de la dite autorisation. ARTICLE 11 : Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Monsieur Joseph GIURANNA représentant la SAS JONACA , et dont une copie sera transmise au maire de la commune de NANCY ainsi qu’à Madame la Secrétaire Générale de la préfecture, Sous-Préfète de l'arrondissement de Nancy. Nancy, le 23 avril 2018 Pour le Préfet et par délégation, Le Directeur des Sécurités, Bertrand MERCIER ______

Arrêté n° 2018/0066 portant autorisation partielle d’un système de vidéoprotection pour l'EURL LA BOULANGERE à NANCY

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle, VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU l'arrêté préfectoral 17.BCI.79 du 29 décembre 2017 accordant délégation de signature à M. Morgan TANGUY, Sous-Préfet, Directeur de Cabinet ; VU la demande d'autorisation présentée par Monsieur Jean-Marie NARETTO représentant l' EURL LA BOULANGERE pour l'installation d'un système de vidéoprotection situé 218 avenue de la Libération à NANCY (54000) ; VU l'avis émis par la Commission départementale de vidéoprotection en sa séance du 18 avril 2018 ; Sur proposition du Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet ; A R R E T E ARTICLE 1 : Monsieur Jean-Marie NARETTO, représentant l'EURL LA BOULANGERE est autorisé, dans les conditions fixées au présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, à installer et à mettre en œuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection composé de Nombre de caméras intérieures 1 Nombre de caméras extérieures 0 Nombre de caméras visionnant la voie publique 0 conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2018/0066. La commission de vidéoprotection n’est pas compétente pour la caméra intérieure située dans le couloir de la boulangerie qui visionne des parties privatives non accessibles au public. Cette caméra devra donc faire l’objet d’une déclaration auprès de la CNIL. Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi : Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens. Le système sera conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. ARTICLE 2 : Le public est informé de la présence de ces caméras, dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection ; - à chaque point d’accès du public, des affichettes mentionnent les références du code de sécurité intérieure susvisées, la fonction et le service du titulaire du droit d’accès aux images ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable. ARTICLE 3 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de 30 jours. ARTICLE 4 : Le responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées. Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet. L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. ARTICLE 5 : Les fonctionnaires des services de sécurité dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article L.253-3 du code de sécurité intérieure, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées aux articles 3 et 4 susvisés. Le délai de conservation des images par ces derniers ne peut excéder 30 jours. ARTICLE 6 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la protection des images). ARTICLE 7 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu’au regard de la loi n°2011-267 du 14 mars 2011susvisée. Elle est délivrée sans préjudices d’autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, codes pénal, etc.) ARTICLE 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de Meurthe-et-Moselle. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Nancy dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. ARTICLE 9 : Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. ARTICLE 10 : La présente autorisation devra faire l'objet d'une demande de renouvellement dans un délai de quatre mois au moins avant l'échéance de la dite autorisation. ARTICLE 11 : Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Monsieur Jean-Marie NARETTO représentant l'EURL LA BOULANGERE, et dont une copie sera transmise au maire de la commune de NANCY ainsi qu’à Madame la Secrétaire Générale de la préfecture, Sous-Préfète de l'arrondissement de Nancy. Nancy, le 23 avril 2018 Pour le Préfet et par délégation, Le Directeur des Sécurités, Bertrand MERCIER RECUEIL N° 28 1000 11 JUIN 2018

Arrêté n° 2018/0084 portant autorisation partielle d’un système de vidéoprotection pour la SAS LEXYDIS LECLERC à LEXY

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle, VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU l'arrêté préfectoral 17.BCI.79 du 29 décembre 2017 accordant délégation de signature à M. Morgan TANGUY, Sous-Préfet, Directeur de Cabinet ; VU la demande d'autorisation présentée par Monsieur Pierre WALTHER représentant la SAS LEXYDIS LECLERC pour l'installation d'un système de vidéoprotection situé 1 Espace du Barroix / Zone commerciale à LEXY (54720) ; VU l'avis émis par la Commission départementale de vidéoprotection en sa séance du 18 avril 2018 ; Sur proposition du Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet ; A R R E T E ARTICLE 1 : Monsieur Pierre WALTHER, représentant la SAS LEXYDIS LECLERC est autorisé, dans les conditions fixées au présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, à installer et à mettre en œuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection composé de Nombre de caméras intérieures 38 Nombre de caméras extérieures 9 Nombre de caméras visionnant la voie publique 0 conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2018/0084. La commission de vidéoprotection n’est pas compétente pour les 24 caméras intérieures n°48, 50, 51, 52, 53, 54, 55, 56, 57, 59, 60, 61, 62, 63, 64, 65, 66, 67, 68, 69, 70, 71, 72 et 78 ainsi que pour les 9 caméras extérieures n°8, 9, 12, 13, 14, 15, 16, 17 et 74 qui visionnent des parties privatives non accessibles au public. Ces caméras devront donc faire l’objet d’une déclaration auprès de la CNIL. Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi : Sécurité des personnes, Protection Incendie/Accidents, Prévention des atteintes aux biens, Lutte contre la démarque inconnue, Autres (Cambriolages). Le système sera conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. ARTICLE 2 : Le public est informé de la présence de ces caméras, dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection ; - à chaque point d’accès du public, des affichettes mentionnent les références du code de sécurité intérieure susvisées, la fonction et le service du titulaire du droit d’accès aux images ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable. ARTICLE 3 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de 21 jours. ARTICLE 4 : Le responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées. Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet. L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. ARTICLE 5 : Les fonctionnaires des services de sécurité dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article L.253-3 du code de sécurité intérieure, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées aux articles 3 et 4 susvisés. Le délai de conservation des images par ces derniers ne peut excéder 30 jours. ARTICLE 6 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la protection des images). ARTICLE 7 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu’au regard de la loi n°2011-267 du 14 mars 2011susvisée. Elle est délivrée sans préjudices d’autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, codes pénal, etc.) ARTICLE 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de Meurthe-et-Moselle. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Nancy dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. ARTICLE 9 : Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. ARTICLE 10 : La présente autorisation devra faire l'objet d'une demande de renouvellement dans un délai de quatre mois au moins avant l'échéance de la dite autorisation. ARTICLE 11 : Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet et le Colonel, Commandant le Groupement de Gendarmerie de Meurthe et Moselle sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Monsieur Pierre WALTHER représentant la SAS LEXYDIS LECLERC, et dont une copie sera transmise au maire de la commune de LEXY ainsi qu’à Monsieur le Sous- Préfet de l'arrondissement de Briey. Nancy, le 25 avril 2018 Pour le Préfet et par délégation, Le Directeur des Sécurités, Bertrand MERCIER ______

Arrêté n° 2018/0086 portant autorisation partielle d’un système de vidéoprotection pour la boulangerie COSSIN à ARRACOURT Le Préfet de Meurthe-et-Moselle, VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU l'arrêté préfectoral 17.BCI.79 du 29 décembre 2017 accordant délégation de signature à M. Morgan TANGUY, Sous-Préfet, Directeur de Cabinet ; VU la demande d'autorisation présentée par Madame Adeline FOISSY représentant la boulangerie COSSIN pour l'installation d'un système de vidéoprotection situé 42 rue Grande Rue à ARRACOURT (54370) ; VU l'avis émis par la Commission départementale de vidéoprotection en sa séance du 18 avril 2018 ; Sur proposition du Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet ; RECUEIL N° 28 1001 11 JUIN 2018

A R R E T E ARTICLE 1 : Madame Adeline FOISSY, représentant la boulangerie COSSIN est autorisée, dans les conditions fixées au présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, à installer et à mettre en œuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection composé de Nombre de caméras intérieures 1 Nombre de caméras extérieures 0 Nombre de caméras visionnant la voie publique 0 conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2018/0086. La commission de vidéoprotection n’est pas compétente pour les 3 caméras intérieures situées dans le hangar, dans la salle de pâtisserie, et dans le couloir qui visionnent des parties privatives non accessibles au public. Ces caméras devront donc faire l’objet d’une déclaration auprès de la CNIL. Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi : Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens, Protection des bâtiments publics, Autres (Vols marchandises). Le système sera conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. ARTICLE 2 : Le public est informé de la présence de ces caméras, dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection ; - à chaque point d’accès du public, des affichettes mentionnent les références du code de sécurité intérieure susvisées, la fonction et le service du titulaire du droit d’accès aux images ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable. ARTICLE 3 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de 30 jours. ARTICLE 4 : Le responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées. Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet. L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. ARTICLE 5 : Les fonctionnaires des services de sécurité dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article L.253-3 du code de sécurité intérieure, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées aux articles 3 et 4 susvisés. Le délai de conservation des images par ces derniers ne peut excéder 30 jours. ARTICLE 6 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la protection des images). ARTICLE 7 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu’au regard de la loi n°2011-267 du 14 mars 2011susvisée. Elle est délivrée sans préjudices d’autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, codes pénal, etc.) ARTICLE 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de Meurthe-et-Moselle. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Nancy dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. ARTICLE 9 : Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. ARTICLE 10 : La présente autorisation devra faire l'objet d'une demande de renouvellement dans un délai de quatre mois au moins avant l'échéance de la dite autorisation. ARTICLE 11 : Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Madame Adeline FOISSY représentant la boulangerie COSSIN, et dont une copie sera transmise au maire de la commune de ARRACOURT ainsi qu’à Monsieur le Sous-Préfet de l'arrondissement de Lunéville. Nancy, le 25 avril 2018 Pour le Préfet et par délégation, Le Directeur des Sécurités, Bertrand MERCIER ______

Arrêté n° 2018/0088 portant autorisation partielle d’un système de vidéoprotection pour le TABAC PRESSE TIHA à BLAMONT

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU l'arrêté préfectoral 17.BCI.79 du 29 décembre 2017 accordant délégation de signature à M. Morgan TANGUY, Sous-Préfet, Directeur de Cabinet ; VU la demande d'autorisation présentée par Madame Nadine TIHA représentant le TABAC PRESSE TIHA pour l'installation d'un système de vidéoprotection situé 53 rue du 18 Novembre à BLAMONT (54450) ; VU l'avis émis par la Commission départementale de vidéoprotection en sa séance du 18 avril 2018 ; Sur proposition du Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet ; A R R E T E ARTICLE 1 : Madame Nadine TIHA, représentant le TABAC PRESSE TIHA est autorisée, dans les conditions fixées au présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, à installer et à mettre en œuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection composé de Nombre de caméras intérieures 4 Nombre de caméras extérieures 0 Nombre de caméras visionnant la voie publique 0 conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2018/0088. La commission de vidéoprotection n’est pas compétente pour les 2 caméras intérieures n°5 située dans la réserve et n°6 située dans le stock qui visionnent des parties privatives non accessibles au public. Ces caméras devront donc faire l’objet d’une déclaration auprès de la CNIL. RECUEIL N° 28 1002 11 JUIN 2018

Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi : Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens, Lutte contre la démarque inconnue. Le système sera conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. ARTICLE 2 : Le public est informé de la présence de ces caméras, dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection ; - à chaque point d’accès du public, des affichettes mentionnent les références du code de sécurité intérieure susvisées, la fonction et le service du titulaire du droit d’accès aux images ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable. ARTICLE 3 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de 30 jours. ARTICLE 4 : Le responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées. Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet. L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. ARTICLE 5 : Les fonctionnaires des services de sécurité dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article L.253-3 du code de sécurité intérieure, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées aux articles 3 et 4 susvisés. Le délai de conservation des images par ces derniers ne peut excéder 30 jours. ARTICLE 6 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la protection des images). ARTICLE 7 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu’au regard de la loi n°2011-267 du 14 mars 2011susvisée. Elle est délivrée sans préjudices d’autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, codes pénal, etc.) ARTICLE 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de Meurthe-et-Moselle. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Nancy dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. ARTICLE 9 : Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. ARTICLE 10 : La présente autorisation devra faire l'objet d'une demande de renouvellement dans un délai de quatre mois au moins avant l'échéance de la dite autorisation. ARTICLE 11 : Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet et le Colonel, Commandant le Groupement de Gendarmerie de Meurthe et Moselle sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Madame Nadine TIHA représentant le TABAC PRESSE TIHA, et dont une copie sera transmise au maire de la commune de BLAMONT ainsi qu’à Monsieur le Sous-Préfet de l'arrondissement de Lunéville. Nancy, le 25 avril 2018 Pour le Préfet et par délégation, Le Directeur des Sécurités, Bertrand MERCIER ______

Arrêté n° 2018/0097 portant autorisation partielle d’un système de vidéoprotection pour le magasin COLRUYT RETAIL FRANCE à TOUL

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU l'arrêté préfectoral 17.BCI.79 du 29 décembre 2017 accordant délégation de signature à M. Morgan TANGUY, Sous-Préfet, Directeur de Cabinet ; VU la demande d'autorisation présentée par Monsieur Jean-Marie TOUSSAERT représentant le magasin COLRUYT RETAIL FRANCE pour l'installation d'un système de vidéoprotection situé Avenue de la 1ère Armée Française à TOUL (54200) ; VU l'avis émis par la Commission départementale de vidéoprotection en sa séance du 18 avril 2018 ; Sur proposition du Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet ; A R R E T E ARTICLE 1 : Monsieur Jean-Marie TOUSSAERT, représentant le magasin COLRUYT RETAIL FRANCE est autorisé, dans les conditions fixées au présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, à installer et à mettre en œuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection composé de Nombre de caméras intérieures 26 Nombre de caméras extérieures 5 Nombre de caméras visionnant la voie publique 0 conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2018/0097. La commission de vidéoprotection n’est pas compétente pour les 3 caméras intérieures VC35, VC36, VC38 qui visionnent des parties privatives non accessibles au public. Ces caméras devront donc faire l’objet d’une déclaration auprès de la CNIL. Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi : Sécurité des personnes, Protection Incendie/Accidents, Prévention des atteintes aux biens, Protection des bâtiments publics, Lutte contre la démarque inconnue. Le système sera conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. ARTICLE 2 : Le public est informé de la présence de ces caméras, dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection ; - à chaque point d’accès du public, des affichettes mentionnent les références du code de sécurité intérieure susvisées, la fonction et le service du titulaire du droit d’accès aux images ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable. ARTICLE 3 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de 30 jours. RECUEIL N° 28 1003 11 JUIN 2018

ARTICLE 4 : Le responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées. Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet. L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. ARTICLE 5 : Les fonctionnaires des services de sécurité dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article L.253-3 du code de sécurité intérieure, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées aux articles 3 et 4 susvisés. Le délai de conservation des images par ces derniers ne peut excéder 30 jours. ARTICLE 6 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la protection des images). ARTICLE 7 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu’au regard de la loi n°2011-267 du 14 mars 2011susvisée. Elle est délivrée sans préjudices d’autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, codes pénal, etc.) ARTICLE 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de Meurthe-et-Moselle. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Nancy dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. ARTICLE 9 : Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. ARTICLE 10 : La présente autorisation devra faire l'objet d'une demande de renouvellement dans un délai de quatre mois au moins avant l'échéance de la dite autorisation. ARTICLE 11 : Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Monsieur Jean-Marie TOUSSAERT représentant le magasin COLRUYT RETAIL FRANCE, et dont une copie sera transmise au maire de la commune de TOUL ainsi qu’à Monsieur le Sous-Préfet de l'arrondissement de Toul. Nancy, le 25 avril 2018 Pour le Préfet et par délégation, Le Directeur des Sécurités, Bertrand MERCIER ______

Arrêté n° 2018/0098 portant autorisation partielle d’un système de vidéoprotection pour la SAS GIARRIZZO ET FILS à GORCY

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU l'arrêté préfectoral 17.BCI.79 du 29 décembre 2017 accordant délégation de signature à M. Morgan TANGUY, Sous-Préfet, Directeur de Cabinet ; VU la demande d'autorisation présentée par Monsieur David GIARRIZO représentant la SAS GIARRIZZO ET FILS pour l'installation d'un système de vidéoprotection situé 2bis et 9 Zone du Roitelet à GORCY (54730) ; VU l'avis émis par la Commission départementale de vidéoprotection en sa séance du 18 avril 2018 ; Sur proposition du Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet ; A R R E T E ARTICLE 1 : Monsieur David GIARRIZO, représentant la SAS GIARRIZZO ET FILS est autorisé, dans les conditions fixées au présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, à installer et à mettre en œuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection composé de Nombre de caméras intérieures 0 Nombre de caméras extérieures 2 Nombre de caméras visionnant la voie publique 0 conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2018/0098. La commission de vidéoprotection n’est pas compétente pour les 2 caméras extérieures n°1 et n°2 qui visionnent des parties privatives non accessibles au public. Ces caméras devront donc faire l’objet d’une déclaration auprès de la CNIL. Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi : Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens. Le système sera conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. ARTICLE 2 : Le public est informé de la présence de ces caméras, dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection ; - à chaque point d’accès du public, des affichettes mentionnent les références du code de sécurité intérieure susvisées, la fonction et le service du titulaire du droit d’accès aux images ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable. ARTICLE 3 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de 30 jours. ARTICLE 4 : Le responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées. Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet. L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. ARTICLE 5 : Les fonctionnaires des services de sécurité dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article L.253-3 du code de sécurité intérieure, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées aux articles 3 et 4 susvisés. Le délai de conservation des images par ces derniers ne peut excéder 30 jours. RECUEIL N° 28 1004 11 JUIN 2018

ARTICLE 6 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la protection des images). ARTICLE 7 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu’au regard de la loi n°2011-267 du 14 mars 2011susvisée. Elle est délivrée sans préjudices d’autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, codes pénal, etc.) ARTICLE 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de Meurthe-et-Moselle. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Nancy dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. ARTICLE 9 : Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. ARTICLE 10 : La présente autorisation devra faire l'objet d'une demande de renouvellement dans un délai de quatre mois au moins avant l'échéance de la dite autorisation. ARTICLE 11 : Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet et le Colonel, Commandant le Groupement de Gendarmerie de Meurthe et Moselle sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Monsieur David GIARRIZO représentant la SAS GIARRIZZO ET FILS, et dont une copie sera transmise au maire de la commune de GORCY ainsi qu’à Monsieur le Sous- Préfet de l'arrondissement de Briey. Nancy, le 25 avril 2018 Pour le Préfet et par délégation, Le Directeur des Sécurités, Bertrand MERCIER ______

Arrêté n° 2018/0104 portant autorisation partielle d’un système de vidéoprotection pour la SARL BCP DIFFUSION à LUNEVILLE

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU l'arrêté préfectoral 17.BCI.79 du 29 décembre 2017 accordant délégation de signature à M. Morgan TANGUY, Sous-Préfet, Directeur de Cabinet ; VU la demande d'autorisation présentée par Madame Brigitte HUGUEL représentant la SARL BCP DIFFUSION pour l'installation d'un système de vidéoprotection situé 6 place Leopold à LUNEVILLE (54300) ; VU l'avis émis par la Commission départementale de vidéoprotection en sa séance du 18 avril 2018 ; Sur proposition du Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet ; A R R E T E ARTICLE 1 : Madame Brigitte HUGUEL, représentant la SARL BCP DIFFUSION est autorisée, dans les conditions fixées au présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, à installer et à mettre en œuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection composé de Nombre de caméras intérieures 3 Nombre de caméras extérieures 0 Nombre de caméras visionnant la voie publique 0 conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2018/0104. La commission de vidéoprotection n’est pas compétente pour la caméra intérieure située dans le bureau qui visionne des parties privatives non accessibles au public. Cette caméra devra donc faire l’objet d’une déclaration auprès de la CNIL. Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi : Sécurité des personnes, Protection Incendie/Accidents, Prévention des atteintes aux biens, Lutte contre la démarque inconnue, Autres (CAMBRIOLAGE). Le système sera conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. ARTICLE 2 : Le public est informé de la présence de ces caméras, dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection ; - à chaque point d’accès du public, des affichettes mentionnent les références du code de sécurité intérieure susvisées, la fonction et le service du titulaire du droit d’accès aux images ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable. ARTICLE 3 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de 15 jours. ARTICLE 4 : Le responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées. Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet. L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. ARTICLE 5 : Les fonctionnaires des services de sécurité dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article L.253-3 du code de sécurité intérieure, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées aux articles 3 et 4 susvisés. Le délai de conservation des images par ces derniers ne peut excéder 30 jours. ARTICLE 6 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la protection des images). ARTICLE 7 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu’au regard de la loi n°2011-267 du 14 mars 2011susvisée. Elle est délivrée sans préjudices d’autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, codes pénal, etc.) ARTICLE 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de Meurthe-et-Moselle. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Nancy dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. ARTICLE 9 : Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. ARTICLE 10 : La présente autorisation devra faire l'objet d'une demande de renouvellement dans un délai de quatre mois au moins avant l'échéance de la dite autorisation. RECUEIL N° 28 1005 11 JUIN 2018

ARTICLE 11 : Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Madame Brigitte HUGUEL représentant la SARL BCP DIFFUSION, et dont une copie sera transmise au maire de la commune de LUNEVILLE ainsi qu’à Monsieur le Sous-Préfet de l'arrondissement de Lunéville. Nancy, le 25 avril 2018 Pour le Préfet et par délégation, Le Directeur des Sécurités, Bertrand MERCIER ______

Arrêté n° 2018/0106 portant autorisation partielle d’un système de vidéoprotection pour la boulangerie CHEZ DAMIEN ET AUDREY à TANTONVILLE Le Préfet de Meurthe-et-Moselle, VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU l'arrêté préfectoral 17.BCI.79 du 29 décembre 2017 accordant délégation de signature à M. Morgan TANGUY, Sous-Préfet, Directeur de Cabinet ; VU la demande d'autorisation présentée par Madame Audrey JOURON représentant la boulangerie CHEZ DAMIEN ET AUDREY pour l'installation d'un système de vidéoprotection situé 79 rue Tourtel Frères à TANTONVILLE (54116) ; VU l'avis émis par la Commission départementale de vidéoprotection en sa séance du 18 avril 2018 ; Sur proposition du Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet ; A R R E T E ARTICLE 1 : Madame Audrey JOURON, représentant la boulangerie CHEZ DAMIEN ET AUDREY est autorisée, dans les conditions fixées au présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, à installer et à mettre en œuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection composé de Nombre de caméras intérieures 2 Nombre de caméras extérieures 0 Nombre de caméras visionnant la voie publique 0 conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2018/0106. La commission de vidéoprotection n’est pas compétente pour la caméra intérieure n°3 qui visionne des parties privatives non accessibles au public. Cette caméra devra donc faire l’objet d’une déclaration auprès de la CNIL. Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi : Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens. Le système sera conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. ARTICLE 2 : Le public est informé de la présence de ces caméras, dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection ; - à chaque point d’accès du public, des affichettes mentionnent les références du code de sécurité intérieure susvisées, la fonction et le service du titulaire du droit d’accès aux images ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable. ARTICLE 3 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de 20 jours. ARTICLE 4 : Le responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées. Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet. L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. ARTICLE 5 : Les fonctionnaires des services de sécurité dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article L.253-3 du code de sécurité intérieure, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées aux articles 3 et 4 susvisés. Le délai de conservation des images par ces derniers ne peut excéder 30 jours. ARTICLE 6 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la protection des images). ARTICLE 7 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu’au regard de la loi n°2011-267 du 14 mars 2011susvisée. Elle est délivrée sans préjudices d’autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, codes pénal, etc.) ARTICLE 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de Meurthe-et-Moselle. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Nancy dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. ARTICLE 9 : Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. ARTICLE 10 : La présente autorisation devra faire l'objet d'une demande de renouvellement dans un délai de quatre mois au moins avant l'échéance de la dite autorisation. ARTICLE 11 : Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet et le Colonel, Commandant le Groupement de Gendarmerie de Meurthe et Moselle sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Madame Audrey JOURON représentant la boulangerie CHEZ DAMIEN ET AUDREY, et dont une copie sera transmise au maire de la commune de TANTONVILLE ainsi qu’à Madame la Secrétaire Générale de la préfecture, Sous-Préfète de l'arrondissement de Nancy. Nancy, le 26 avril 2018 Pour le Préfet et par délégation, Le Directeur des Sécurités, Bertrand MERCIER ______

Arrêté n° 2018/0132 portant autorisation partielle d’un système de vidéoprotection pour la SAS BOULANGERIE BBG à ESSEY-LES- NANCY Le Préfet de Meurthe-et-Moselle, VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; RECUEIL N° 28 1006 11 JUIN 2018

VU l'arrêté préfectoral 17.BCI.79 du 29 décembre 2017 accordant délégation de signature à M. Morgan TANGUY, Sous-Préfet, Directeur de Cabinet ; VU la demande d'autorisation présentée par Monsieur Bernard BLACHERE représentant la SAS BOULANGERIE BBG pour l'installation d'un système de vidéoprotection situé 120 avenue du 69ème Régiment d'Infanterie à ESSEY-LES-NANCY (54270) ; VU l'avis émis par la Commission départementale de vidéoprotection en sa séance du 18 avril 2018 ; Sur proposition du Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet ; A R R E T E ARTICLE 1 : Monsieur Bernard BLACHERE, représentant la SAS BOULANGERIE BBG est autorisé, dans les conditions fixées au présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, à installer et à mettre en œuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection composé de Nombre de caméras intérieures 2 Nombre de caméras extérieures 0 Nombre de caméras visionnant la voie publique 0 conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2018/0132. La commission de vidéoprotection n’est pas compétente pour les deux caméras intérieures n°3 et n°4 ainsi que la caméra extérieure n°5 qui visionnent des parties privatives non accessibles au public. Ces caméras devront donc faire l’objet d’une déclaration auprès de la CNIL. Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi : Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens. Le système sera conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. ARTICLE 2 : Le public est informé de la présence de ces caméras, dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection ; - à chaque point d’accès du public, des affichettes mentionnent les références du code de sécurité intérieure susvisées, la fonction et le service du titulaire du droit d’accès aux images ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable. ARTICLE 3 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de 15 jours. ARTICLE 4 : Le responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées. Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet. L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. ARTICLE 5 : Les fonctionnaires des services de sécurité dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article L.253-3 du code de sécurité intérieure, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées aux articles 3 et 4 susvisés. Le délai de conservation des images par ces derniers ne peut excéder 30 jours. ARTICLE 6 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la protection des images). ARTICLE 7 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu’au regard de la loi n°2011-267 du 14 mars 2011susvisée. Elle est délivrée sans préjudices d’autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, codes pénal, etc.) ARTICLE 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de Meurthe-et-Moselle. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Nancy dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. ARTICLE 9 : Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. ARTICLE 10 : La présente autorisation devra faire l'objet d'une demande de renouvellement dans un délai de quatre mois au moins avant l'échéance de la dite autorisation. ARTICLE 11 : Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Monsieur Bernard BLACHERE représentant la SAS BOULANGERIE BBG, et dont une copie sera transmise au maire de la commune de ESSEY-LES-NANCY ainsi qu’à Madame la Secrétaire Générale de la préfecture, Sous-Préfète de l'arrondissement de Nancy. Nancy, le 23 avril 2018 Pour le Préfet et par délégation, Le Directeur des Sécurités, Bertrand MERCIER ______

Arrêté n° 2018/0141 portant autorisation partielle d’un système de vidéoprotection pour les CAVES GILLES à DOMBASLE-SUR- MEURTHE Le Préfet de Meurthe-et-Moselle, VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU l'arrêté préfectoral 17.BCI.79 du 29 décembre 2017 accordant délégation de signature à M. Morgan TANGUY, Sous-Préfet, Directeur de Cabinet ; VU la demande d'autorisation présentée par Monsieur Mathieu GILLES représentant les CAVES GILLES pour l'installation d'un système de vidéoprotection situé 144 avenue de Rosières à DOMBASLE-SUR-MEURTHE (54110) ; VU l'avis émis par la Commission départementale de vidéoprotection en sa séance du 18 avril 2018 ; Sur proposition du Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet ; A R R E T E ARTICLE 1 : Monsieur Mathieu GILLES, représentant les CAVES GILLES est autorisé, dans les conditions fixées au présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, à installer et à mettre en œuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection composé de Nombre de caméras intérieures 3 Nombre de caméras extérieures 0 Nombre de caméras visionnant la voie publique 0 RECUEIL N° 28 1007 11 JUIN 2018 conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2018/0141. La commission de vidéoprotection n’est pas compétente pour la caméra intérieure située dans le stock qui visionne des parties privatives non accessibles au public. Cette caméra devra donc faire l’objet d’une déclaration auprès de la CNIL. Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi : Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens, Lutte contre la démarque inconnue. Le système sera conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. ARTICLE 2 : Le public est informé de la présence de ces caméras, dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection ; - à chaque point d’accès du public, des affichettes mentionnent les références du code de sécurité intérieure susvisées, la fonction et le service du titulaire du droit d’accès aux images ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable. ARTICLE 3 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de 30 jours. ARTICLE 4 : Le responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées. Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet. L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. ARTICLE 5 : Les fonctionnaires des services de sécurité dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article L.253-3 du code de sécurité intérieure, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées aux articles 3 et 4 susvisés. Le délai de conservation des images par ces derniers ne peut excéder 30 jours. ARTICLE 6 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la protection des images). ARTICLE 7 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu’au regard de la loi n°2011-267 du 14 mars 2011susvisée. Elle est délivrée sans préjudices d’autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, codes pénal, etc.) ARTICLE 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de Meurthe-et-Moselle. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Nancy dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. ARTICLE 9 : Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. ARTICLE 10 : La présente autorisation devra faire l'objet d'une demande de renouvellement dans un délai de quatre mois au moins avant l'échéance de la dite autorisation. ARTICLE 11 : Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Monsieur Mathieu GILLES représentant les CAVES GILLES, et dont une copie sera transmise au maire de la commune de DOMBASLE-SUR-MEURTHE ainsi qu’à Madame la Secrétaire Générale de la préfecture, Sous-Préfète de l'arrondissement de Nancy. Nancy, le 26 avril 2018 Pour le Préfet et par délégation, Le Directeur des Sécurités, Bertrand MERCIER ______

Arrêté n° 2018/0163 portant autorisation partielle d’un système de vidéoprotection pour le centre des Soins de Suite et de Réadaptation à FLAVIGNY-SUR-MOSELLE

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle, VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU l'arrêté préfectoral 17.BCI.79 du 29 décembre 2017 accordant délégation de signature à M. Morgan TANGUY, Sous-Préfet, Directeur de Cabinet ; VU la demande d'autorisation présentée par l'OHS de Lorraine représentant le centre des Soins de Suite et de Réadaptation pour l'installation d'un système de vidéoprotection situé 46 rue du Doyen Jacques Parisot à FLAVIGNY-SUR-MOSELLE (54630) ; VU l'avis émis par la Commission départementale de vidéoprotection en sa séance du 18 avril 2018 ; Sur proposition du Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet ; A R R E T E ARTICLE 1 : L'OHS de Lorraine, représentant le centre des Soins de Suite et de Réadaptation est autorisé, dans les conditions fixées au présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, à installer et à mettre en œuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection composé de Nombre de caméras intérieures 1 Nombre de caméras extérieures 0 Nombre de caméras visionnant la voie publique 0 conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2018/0163. La commission de vidéoprotection n’est pas compétente pour la caméra intérieure n°2 située à l’entrée du personnel qui visionne des parties privatives non accessibles au public. Cette caméra devra donc faire l’objet d’une déclaration auprès de la CNIL. Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi : Sécurité des personnes. Le système sera conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. ARTICLE 2 : Le public est informé de la présence de ces caméras, dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection ; - à chaque point d’accès du public, des affichettes mentionnent les références du code de sécurité intérieure susvisées, la fonction et le service du titulaire du droit d’accès aux images ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable. ARTICLE 3 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de 30 jours. RECUEIL N° 28 1008 11 JUIN 2018

ARTICLE 4 : Le responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées. Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet. L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. ARTICLE 5 : Les fonctionnaires des services de sécurité dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article L.253-3 du code de sécurité intérieure, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées aux articles 3 et 4 susvisés. Le délai de conservation des images par ces derniers ne peut excéder 30 jours. ARTICLE 6 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la protection des images). ARTICLE 7 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu’au regard de la loi n°2011-267 du 14 mars 2011susvisée. Elle est délivrée sans préjudices d’autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, codes pénal, etc.) ARTICLE 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de Meurthe-et-Moselle. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Nancy dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. ARTICLE 9 : Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. ARTICLE 10 : La présente autorisation devra faire l'objet d'une demande de renouvellement dans un délai de quatre mois au moins avant l'échéance de la dite autorisation. ARTICLE 11 : Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet et le Colonel, Commandant le Groupement de Gendarmerie de Meurthe et Moselle sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à l'OHS de Lorraine représentant le centre des Soins de Suite et de Réadaptation, et dont une copie sera transmise au maire de la commune de FLAVIGNY-SUR-MOSELLE ainsi qu’à Madame la Secrétaire Générale de la préfecture, Sous-Préfète de l'arrondissement de Nancy. Nancy, le 25 avril 2018 Pour le Préfet et par délégation, Le Directeur des Sécurités, Bertrand MERCIER ______

Arrêté n° 2018/0199 portant autorisation partielle d’un système de vidéoprotection pour l' Ensemble scolaire Notre-Dame La Salle à PONT-A-MOUSSON

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle, VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU l'arrêté préfectoral 17.BCI.79 du 29 décembre 2017 accordant délégation de signature à M. Morgan TANGUY, Sous-Préfet, Directeur de Cabinet ; VU la demande d'autorisation présentée par Monsieur Marc SEMAIL représentant l' Ensemble scolaire Notre-Dame La Salle pour l'installation d'un système de vidéoprotection situé 2 rue Charles Lepois à PONT-A-MOUSSON (54700) ; VU l'avis émis par la Commission départementale de vidéoprotection en sa séance du 18 avril 2018 ; Sur proposition du Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet ; A R R E T E ARTICLE 1 : Monsieur Marc SEMAIL, représentant l' Ensemble scolaire Notre-Dame La Salle est autorisé, dans les conditions fixées au présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, à installer et à mettre en œuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection composé de Nombre de caméras intérieures 0 Nombre de caméras extérieures 2 Nombre de caméras visionnant la voie publique 0 conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2018/0199. La commission de vidéoprotection n’est pas compétente pour les 2 caméras extérieures situées sous le préau et dans la cour du collège qui visionnent des parties privatives non accessibles au public. Ces caméras devront donc faire l’objet d’une déclaration auprès de la CNIL. Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi : Sécurité des personnes, Protection Incendie/Accidents, Prévention d'actes terroristes. Le système sera conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. ARTICLE 2 : Le public est informé de la présence de ces caméras, dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection ; - à chaque point d’accès du public, des affichettes mentionnent les références du code de sécurité intérieure susvisées, la fonction et le service du titulaire du droit d’accès aux images ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable. ARTICLE 3 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de 7 jours. ARTICLE 4 : Le responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées. Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet. L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. ARTICLE 5 : Les fonctionnaires des services de sécurité dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article L.253-3 du code de sécurité intérieure, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées aux articles 3 et 4 susvisés. Le délai de conservation des images par ces derniers ne peut excéder 30 jours. RECUEIL N° 28 1009 11 JUIN 2018

ARTICLE 6 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la protection des images). ARTICLE 7 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu’au regard de la loi n°2011-267 du 14 mars 2011susvisée. Elle est délivrée sans préjudices d’autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, codes pénal, etc.) ARTICLE 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de Meurthe-et-Moselle. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Nancy dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. ARTICLE 9 : Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. ARTICLE 10 : La présente autorisation devra faire l'objet d'une demande de renouvellement dans un délai de quatre mois au moins avant l'échéance de la dite autorisation. ARTICLE 11 : Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Monsieur Marc SEMAIL représentant l' Ensemble scolaire Notre-Dame La Salle, et dont une copie sera transmise au maire de la commune de PONT-A-MOUSSON ainsi qu’à Madame la Secrétaire Générale de la préfecture, Sous-Préfète de l'arrondissement de Nancy. Nancy, le 26 avril 2018 Pour le Préfet et par délégation, Le Directeur des Sécurités, Bertrand MERCIER ______

Arrêté n° 2018/0207 portant autorisation partielle d’un système de vidéoprotection pour le magasin ACT'2 BIS à PONT-A-MOUSSON

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle, VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU l'arrêté préfectoral 17.BCI.79 du 29 décembre 2017 accordant délégation de signature à M. Morgan TANGUY, Sous-Préfet, Directeur de Cabinet ; VU la demande d'autorisation présentée par Madame Suzanne HAAS représentant le magasin ACT'2 BIS pour l'installation d'un système de vidéoprotection situé 9 place Duroc à PONT-A-MOUSSON (54700) ; VU l'avis émis par la Commission départementale de vidéoprotection en sa séance du 18 avril 2018 ; Sur proposition du Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet ; A R R E T E ARTICLE 1 : Madame Suzanne HAAS, représentant le magasin ACT'2 BIS est autorisée, dans les conditions fixées au présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, à installer et à mettre en œuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection composé de Nombre de caméras intérieures 3 Nombre de caméras extérieures 0 Nombre de caméras visionnant la voie publique 0 conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2018/0207. La commission de vidéoprotection n’est pas compétente pour la caméra intérieure n°3 qui visionne des parties privatives non accessibles au public. Cette caméra devra donc faire l’objet d’une déclaration auprès de la CNIL. Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi : Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens, Lutte contre la démarque inconnue. Le système sera conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. ARTICLE 2 : Le public est informé de la présence de ces caméras, dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection ; - à chaque point d’accès du public, des affichettes mentionnent les références du code de sécurité intérieure susvisées, la fonction et le service du titulaire du droit d’accès aux images ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable. ARTICLE 3 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de 30 jours. ARTICLE 4 : Le responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées. Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet. L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. ARTICLE 5 : Les fonctionnaires des services de sécurité dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article L.253-3 du code de sécurité intérieure, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées aux articles 3 et 4 susvisés. Le délai de conservation des images par ces derniers ne peut excéder 30 jours. ARTICLE 6 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la protection des images). ARTICLE 7 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu’au regard de la loi n°2011-267 du 14 mars 2011susvisée. Elle est délivrée sans préjudices d’autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, codes pénal, etc.) ARTICLE 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de Meurthe-et-Moselle. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Nancy dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. ARTICLE 9 : Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. ARTICLE 10 : La présente autorisation devra faire l'objet d'une demande de renouvellement dans un délai de quatre mois au moins avant l'échéance de la dite autorisation. RECUEIL N° 28 1010 11 JUIN 2018

ARTICLE 11 : Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Madame Suzanne HAAS représentant le magasin ACT'2 BIS, et dont une copie sera transmise au maire de la commune de PONT-A-MOUSSON ainsi qu’à Madame la Secrétaire Générale de la préfecture, Sous- Préfète de l'arrondissement de Nancy. Nancy, le 23 avril 2018 Pour le Préfet et par délégation, Le Directeur des Sécurités, Bertrand MERCIER ______

Arrêté n° 2018/0214 portant autorisation partielle d’un système de vidéoprotection pour la SAS BOULANGERIE BBG à NEUVES- MAISONS

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU l'arrêté préfectoral 17.BCI.79 du 29 décembre 2017 accordant délégation de signature à M. Morgan TANGUY, Sous-Préfet, Directeur de Cabinet ; VU la demande d'autorisation présentée par Madame Marie BLACHERE représentant la SAS BOULANGERIE BBG pour l'installation d'un système de vidéoprotection situé 920 rue Pasteur à NEUVES-MAISONS (54230) ; VU l'avis émis par la Commission départementale de vidéoprotection en sa séance du 18 avril 2018 ; Sur proposition du Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet ; A R R E T E ARTICLE 1 : Madame Marie BLACHERE, représentant la SAS BOULANGERIE BBG est autorisée, dans les conditions fixées au présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, à installer et à mettre en œuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection composé de Nombre de caméras intérieures 2 Nombre de caméras extérieures 0 Nombre de caméras visionnant la voie publique 0 conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2018/0214. La commission de vidéoprotection n’est pas compétente pour les caméras intérieures n°1 et n°3 ainsi que la caméra extérieure n°2 qui visionnent des parties privatives non accessibles au public. Ces caméras devront donc faire l’objet d’une déclaration auprès de la CNIL. Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi : Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens, Lutte contre la démarque inconnue. Le système sera conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. ARTICLE 2 : Le public est informé de la présence de ces caméras, dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection ; - à chaque point d’accès du public, des affichettes mentionnent les références du code de sécurité intérieure susvisées, la fonction et le service du titulaire du droit d’accès aux images ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable. ARTICLE 3 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de 15 jours. ARTICLE 4 : Le responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées. Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet. L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. ARTICLE 5 : Les fonctionnaires des services de sécurité dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article L.253-3 du code de sécurité intérieure, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées aux articles 3 et 4 susvisés. Le délai de conservation des images par ces derniers ne peut excéder 30 jours. ARTICLE 6 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la protection des images). ARTICLE 7 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu’au regard de la loi n°2011-267 du 14 mars 2011susvisée. Elle est délivrée sans préjudices d’autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, codes pénal, etc.) ARTICLE 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de Meurthe-et-Moselle. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Nancy dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. ARTICLE 9 : Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. ARTICLE 10 : La présente autorisation devra faire l'objet d'une demande de renouvellement dans un délai de quatre mois au moins avant l'échéance de la dite autorisation. ARTICLE 11 : Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet et le Colonel, Commandant le Groupement de Gendarmerie de Meurthe et Moselle sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Madame Marie BLACHERE représentant la SAS BOULANGERIE BBG, et dont une copie sera transmise au maire de la commune de NEUVES-MAISONS ainsi qu’à Madame la Secrétaire Générale de la préfecture, Sous-Préfète de l'arrondissement de Nancy. Nancy, le 20 avril 2018 Pour le Préfet et par délégation, Le Directeur des Sécurités, Bertrand MERCIER ______RECUEIL N° 28 1011 11 JUIN 2018

Arrêté n° 2018/0241 portant autorisation partielle d’un système de vidéoprotection pour la Boulangerie DAUL à HOMECOURT

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU l'arrêté préfectoral 17.BCI.79 du 29 décembre 2017 accordant délégation de signature à M. Morgan TANGUY, Sous-Préfet, Directeur de Cabinet ; VU la demande d'autorisation présentée par Monsieur Jean-Paul DAUL représentant la Boulangerie DAUL pour l'installation d'un système de vidéoprotection situé 49 rue Pasteur à HOMECOURT (54310) ; VU l'avis émis par la Commission départementale de vidéoprotection en sa séance du 18 avril 2018 ; Sur proposition du Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet ; A R R E T E ARTICLE 1 : Monsieur Jean-Paul DAUL, représentant la Boulangerie DAUL est autorisé, dans les conditions fixées au présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, à installer et à mettre en œuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection composé de Nombre de caméras intérieures 2 Nombre de caméras extérieures 0 Nombre de caméras visionnant la voie publique 0 conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2018/0241. La commission de vidéoprotection n’est pas compétente pour les 2 caméras intérieures n°1 et n°2 qui visionnent des parties privatives non accessibles au public. Ces caméras devront donc faire l’objet d’une déclaration auprès de la CNIL. Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi : Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens. Le système sera conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. ARTICLE 2 : Le public est informé de la présence de ces caméras, dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection ; - à chaque point d’accès du public, des affichettes mentionnent les références du code de sécurité intérieure susvisées, la fonction et le service du titulaire du droit d’accès aux images ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable. ARTICLE 3 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de 30 jours. ARTICLE 4 : Le responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées. Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet. L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. ARTICLE 5 : Les fonctionnaires des services de sécurité dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article L.253-3 du code de sécurité intérieure, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées aux articles 3 et 4 susvisés. Le délai de conservation des images par ces derniers ne peut excéder 30 jours. ARTICLE 6 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la protection des images). ARTICLE 7 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu’au regard de la loi n°2011-267 du 14 mars 2011susvisée. Elle est délivrée sans préjudices d’autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, codes pénal, etc.) ARTICLE 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de Meurthe-et-Moselle. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Nancy dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. ARTICLE 9 : Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. ARTICLE 10 : La présente autorisation devra faire l'objet d'une demande de renouvellement dans un délai de quatre mois au moins avant l'échéance de la dite autorisation. ARTICLE 11 : Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Monsieur Jean-Paul DAUL représentant la Boulangerie DAUL, et dont une copie sera transmise au maire de la commune de HOMECOURT ainsi qu’à Monsieur le Sous-Préfet de l'arrondissement de Briey. Nancy, le 26 avril 2018 Pour le Préfet et par délégation, Le Directeur des Sécurités, Bertrand MERCIER ______

Arrêté n° 2018/0245 portant autorisation partielle d’un système de vidéoprotection pour le CCAS à NANCY

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle, VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU l'arrêté préfectoral 17.BCI.79 du 29 décembre 2017 accordant délégation de signature à M. Morgan TANGUY, Sous-Préfet, Directeur de Cabinet ; VU la demande d'autorisation présentée par Madame Valérie DEBORD représentant le CCAS de Nancy pour l'installation d'un système de vidéoprotection situé 1 place du 9ème DIC à NANCY (54000) ; VU l'avis émis par la Commission départementale de vidéoprotection en sa séance du 18 avril 2018 ; Sur proposition du Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet ; A R R E T E ARTICLE 1 : Madame Valérie DEBORD, représentant le CCAS de Nancy est autorisée, dans les conditions fixées au présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, à installer et à mettre en œuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection composé de RECUEIL N° 28 1012 11 JUIN 2018

Nombre de caméras intérieures 2 Nombre de caméras extérieures 0 Nombre de caméras visionnant la voie publique 0 conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2018/0245. La commission de vidéoprotection n’est pas compétente pour la caméra intérieure située dans la réserve qui visionne des parties privatives non accessibles au public. Cette caméra devra donc faire l’objet d’une déclaration auprès de la CNIL. Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi : Sécurité des personnes. Le système sera conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. ARTICLE 2 : Le public est informé de la présence de ces caméras, dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée : - de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection ; - à chaque point d’accès du public, des affichettes mentionnent les références du code de sécurité intérieure susvisées, la fonction et le service du titulaire du droit d’accès aux images ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable. ARTICLE 3 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de 30 jours. ARTICLE 4 : Le responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées. Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet. L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation. ARTICLE 5 : Les fonctionnaires des services de sécurité dûment habilités et désignés dans les conditions de l’article L.253-3 du code de sécurité intérieure, peuvent accéder à tout moment aux images et enregistrements de ce système de vidéoprotection autorisé dans les conditions fixées aux articles 3 et 4 susvisés. Le délai de conservation des images par ces derniers ne peut excéder 30 jours. ARTICLE 6 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la protection des images). ARTICLE 7 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu’au regard de la loi n°2011-267 du 14 mars 2011susvisée. Elle est délivrée sans préjudices d’autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, codes pénal, etc.) ARTICLE 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de Meurthe-et-Moselle. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Nancy dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. ARTICLE 9 : Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. ARTICLE 10 : La présente autorisation devra faire l'objet d'une demande de renouvellement dans un délai de quatre mois au moins avant l'échéance de la dite autorisation. ARTICLE 11 : Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Madame Valérie DEBORD représentant le CCAS de Nancy, et dont une copie sera transmise au maire de la commune de NANCY ainsi qu’à Madame la Secrétaire Générale de la préfecture, Sous-Préfète de l'arrondissement de Nancy. Nancy, le 26 avril 2018 Pour le Préfet et par délégation, Le Directeur des Sécurités, Bertrand MERCIER ______

Arrêté portant modification d’un système de vidéoprotection pour l'agence BNP PARIBAS à LONGWY

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU l'arrêté préfectoral 17.BCI.79 du 29 décembre 2017 accordant délégation de signature à M. Morgan TANGUY, Sous-Préfet, Directeur de Cabinet ; VU l'arrêté préfectoral du 15 juin 1999, renouvelé le 17 mai 2010 et modifié le 14 juin 2013 portant autorisation d’un système de vidéoprotection ; VU la demande présentée par Monsieur Service Sécurité le Responsable représentant l'agence BNP PARIBAS pour la modification d’un système de vidéoprotection situé 16 rue de Mercy à LONGWY (54400) ; VU l'avis émis par la Commission départementale de vidéoprotection en sa séance du 18 avril 2018 ; Sur proposition du Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet ; A R R E T E ARTICLE 1 : Monsieur Service Sécurité le Responsable représentant l'agence BNP PARIBAS est autorisé à modifier et à mettre en œuvre pour une durée de 5 ans, à compter de la date du présent arrêté, l’installation de vidéoprotection, conformément au dossier annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2008/3408. Cette modification intervient sur l’installation de vidéoprotection précédemment autorisée par arrêté du 15 juin 1999, renouvelé le 17 mai 2010 et modifié le 14 juin 2013 susvisé. Les caméras qui filment les zones non ouvertes au public ne sont pas autorisées par le présent arrêté et doivent être déclarées à la CNIL. Les dispositions prévues par le précédent arrêté demeurent applicables. ARTICLE 2 : Les modifications portent sur : - Le nombre de caméras intérieures. ARTICLE 3 : Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. ARTICLE 4 : Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Monsieur Service Sécurité le Responsable représentant l'agence BNP PARIBAS, et dont une copie sera transmise au maire de la commune de LONGWY ainsi qu’à Monsieur le Sous-Préfet de l'arrondissement de Briey. Nancy, le 19 avril 2018 Pour le Préfet et par délégation, Le Directeur des Sécurités, Bertrand MERCIER RECUEIL N° 28 1013 11 JUIN 2018

Arrêté portant modification d’un système de vidéoprotection pour la SAS HERLAURE BRICOMARCHE à CHANTEHEUX

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle, VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU l'arrêté préfectoral 17.BCI.79 du 29 décembre 2017 accordant délégation de signature à M. Morgan TANGUY, Sous-Préfet, Directeur de Cabinet ; VU l'arrêté préfectoral du 11 janvier 2001, modifié le 12 octobre 2010 portant autorisation d’un système de vidéoprotection ; VU la demande présentée par Monsieur Denis FRANIATTE représentant la SAS HERLAURE BRICOMARCHE pour la modification d’un système de vidéoprotection situé 9 rue Blaise Pascal / ZAC de Chanteheux à CHANTEHEUX (54300) ; VU l'avis émis par la Commission départementale de vidéoprotection en sa séance du 18 avril 2018 ; Sur proposition du Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet ; A R R E T E ARTICLE 1 : Monsieur Denis FRANIATTE représentant la SAS HERLAURE BRICOMARCHE est autorisé à modifier et à mettre en œuvre pour une durée de 5 ans, à compter de la date du présent arrêté, l’installation de vidéoprotection, conformément au dossier annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2008/3560. Cette modification intervient sur l’installation de vidéoprotection précédemment autorisée par arrêté du 11 janvier 2001, modifié le 12 octobre 2010 susvisé. Les dispositions prévues par le précédent arrêté demeurent applicables. ARTICLE 2 : Les modifications portent sur : - Le nombre de caméras extérieures qui passe de 5 à 8. - Les finalités du système : • Autre (cambriolages) ARTICLE 3 : Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. ARTICLE 4 : Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Monsieur Denis FRANIATTE représentant la SAS HERLAURE BRICOMARCHE, et dont une copie sera transmise au maire de la commune de CHANTEHEUX ainsi qu’à Monsieur le Sous-Préfet de l'arrondissement de Lunéville. Nancy, le 24 avril 2018 Pour le Préfet et par délégation, Le Directeur des Sécurités, Bertrand MERCIER ______

Arrêté portant modification d’un système de vidéoprotection pour LA POSTE Direction Régionale de Lorraine à JOEUF

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle, VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU l'arrêté préfectoral 17.BCI.79 du 29 décembre 2017 accordant délégation de signature à M. Morgan TANGUY, Sous-Préfet, Directeur de Cabinet ; VU l'arrêté préfectoral du 19 janvier 2009, modifié le 25 novembre 2013 portant autorisation d’un système de vidéoprotection ; VU la demande présentée par Monsieur le Directeur Régional Sûreté représentant LA POSTE Direction Régionale de Lorraine pour la modification d’un système de vidéoprotection situé 15 rue de l’Hôtel de Ville à JOEUF (54240) ; VU l'avis émis par la Commission départementale de vidéoprotection en sa séance du 18 avril 2018 ; Sur proposition du Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet ; A R R E T E ARTICLE 1 : Monsieur le Directeur Régional Sûreté représentant LA POSTE Direction Régionale de Lorraine est autorisé à modifier et à mettre en œuvre pour une durée de 5 ans, à compter de la date du présent arrêté, l’installation de vidéoprotection, conformément au dossier annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2008/3564. Cette modification intervient sur l’installation de vidéoprotection précédemment autorisée par arrêté du 19 janvier 2009, modifié le 25 novembre 2013, susvisé. Les caméras qui filment les zones non ouvertes au public ne sont pas autorisées par le présent arrêté et doivent être déclarées à la CNIL. Les dispositions prévues par le précédent arrêté demeurent applicables. ARTICLE 2 : Les modifications portent sur : - L’ajout d’une caméra intérieure. ARTICLE 3 : Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. ARTICLE 4 : Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Monsieur le Directeur Régional Sûreté représentant LA POSTE Direction Régionale de Lorraine, et dont une copie sera transmise au maire de la commune de JOEUF ainsi qu’à Monsieur le Sous-Préfet de l'arrondissement de Briey. Nancy, le 19 avril 2018 Pour le Préfet et par délégation, Le Directeur des Sécurités, Bertrand MERCIER ______

Arrêté portant modification d’un système de vidéoprotection pour le Crédit Agricole de Lorraine à AUDUN-LE-ROMAN

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle, VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU l'arrêté préfectoral 17.BCI.79 du 29 décembre 2017 accordant délégation de signature à M. Morgan TANGUY, Sous-Préfet, Directeur de Cabinet ; VU l'arrêté préfectoral du 29 juin 2005, renouvelé le 17 janvier 2012 portant autorisation d’un système de vidéoprotection ; VU la demande présentée par Monsieur le Responsable Sécurité représentant le Crédit Agricole de Lorraine pour la modification d’un système de vidéoprotection situé Zone commerciale des longues raies, route de Briey à AUDUN-LE-ROMAN (54560) ; VU l'avis émis par la Commission départementale de vidéoprotection en sa séance du 18 avril 2018 ; Sur proposition du Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet ; RECUEIL N° 28 1014 11 JUIN 2018

A R R E T E ARTICLE 1 : Monsieur le Responsable Sécurité représentant le Crédit Agricole de Lorraine est autorisé à modifier et à mettre en œuvre pour une durée de 5 ans, à compter de la date du présent arrêté, l’installation de vidéoprotection, conformément au dossier annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2008/3779. Cette modification intervient sur l’installation de vidéoprotection précédemment autorisée par arrêté du 29 juin 2005, renouvelé le 17 janvier 2012 susvisé. Les caméras qui filment les zones non ouvertes au public ne sont pas autorisées par le présent arrêté et doivent être déclarées à la CNIL. Les dispositions prévues par le précédent arrêté demeurent applicables. ARTICLE 2 : Les modifications portent sur : - L’ajout d’une caméra extérieure. - Le nombre de caméras intérieures. ARTICLE 3 : Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. ARTICLE 4 : Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet et le Colonel, Commandant le Groupement de Gendarmerie de Meurthe et Moselle sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Monsieur le Responsable Sécurité représentant le Crédit Agricole de Lorraine, et dont une copie sera transmise au maire de la commune de AUDUN-LE-ROMAN ainsi qu’à Monsieur le Sous-Préfet de l'arrondissement de Briey. Nancy, le 19 avril 2018 Pour le Préfet et par délégation, Le Directeur des Sécurités, Bertrand MERCIER ______

Arrêté portant modification d’un système de vidéoprotection pour le Crédit Agricole de Lorraine à LAXOU

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU l'arrêté préfectoral 17.BCI.79 du 29 décembre 2017 accordant délégation de signature à M. Morgan TANGUY, Sous-Préfet, Directeur de Cabinet ; VU l'arrêté préfectoral du 11 avril 1997, modifié le 23 octobre 2008 et renouvelé le 6 juin 2013 portant autorisation d’un système de vidéoprotection ; VU la demande présentée par Monsieur le Responsable Sécurité représentant le Crédit Agricole de Lorraine pour la modification d’un système de vidéoprotection situé 8 avenue de la Résistance 54520 à LAXOU (54520) ; VU l'avis émis par la Commission départementale de vidéoprotection en sa séance du 18 avril 2018 ; Sur proposition du Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet ; A R R E T E ARTICLE 1 : Monsieur le Responsable Sécurité représentant le Crédit Agricole de Lorraine est autorisé à modifier et à mettre en œuvre pour une durée de 5 ans, à compter de la date du présent arrêté, l’installation de vidéoprotection, conformément au dossier annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2008/3786. Cette modification intervient sur l’installation de vidéoprotection précédemment autorisée par arrêté du 11 avril 1997, modifié le 23 octobre 2008 et renouvelé le 6 juin 2013 susvisé. Les caméras qui filment les zones non ouvertes au public ne sont pas autorisées par le présent arrêté et doivent être déclarées à la CNIL. Les dispositions prévues par le précédent arrêté demeurent applicables. ARTICLE 2 : Les modifications portent sur : - L’ajout d’une caméra intérieure. ARTICLE 3 : Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. ARTICLE 4 : Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Monsieur le Responsable Sécurité représentant le Crédit Agricole de Lorraine, et dont une copie sera transmise au maire de la commune de LAXOU ainsi qu’à Madame la Secrétaire Générale de la préfecture, Sous-Préfète de l'arrondissement de Nancy. Nancy, le 19 avril 2018 Pour le Préfet et par délégation, Le Directeur des Sécurités, Bertrand MERCIER ______

Arrêté portant modification d’un système de vidéoprotection pour le Crédit Agricole de Lorraine à JARNY

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU l'arrêté préfectoral 17.BCI.79 du 29 décembre 2017 accordant délégation de signature à M. Morgan TANGUY, Sous-Préfet, Directeur de Cabinet ; VU l'arrêté préfectoral du 11 avril 1997, modifié le 30 septembre 2008, renouvelé le 6 juin 2013 portant autorisation d’un système de vidéoprotection ; VU la demande présentée par Monsieur le Responsable Sécurité représentant le Crédit Agricole de Lorraine pour la modification d’un système de vidéoprotection situé 144 Rue Victor Hugo à JARNY (54800) ; VU l'avis émis par la Commission départementale de vidéoprotection en sa séance du 18 avril 2018 ; Sur proposition du Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet ; A R R E T E ARTICLE 1 : Monsieur le Responsable Sécurité représentant le Crédit Agricole de Lorraine est autorisé à modifier et à mettre en œuvre pour une durée de 5 ans, à compter de la date du présent arrêté, l’installation de vidéoprotection, conformément au dossier annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2008/3896. Cette modification intervient sur l’installation de vidéoprotection précédemment autorisée par arrêté du 11 avril 1997, modifié le 30 septembre 2008, renouvelé le 6 juin 2013 susvisé. Les caméras qui filment les zones non ouvertes au public ne sont pas autorisées par le présent arrêté et doivent être déclarées à la CNIL. Les dispositions prévues par le précédent arrêté demeurent applicables. RECUEIL N° 28 1015 11 JUIN 2018

ARTICLE 2 : Les modifications portent sur : - L’ajout d’une caméra extérieure. - Le nombre de caméras intérieures. ARTICLE 3 : Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. ARTICLE 4 : Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Monsieur le Responsable Sécurité représentant le Crédit Agricole de Lorraine, et dont une copie sera transmise au maire de la commune de JARNY ainsi qu’à Monsieur le Sous-Préfet de l'arrondissement de Briey. Nancy, le 19 avril 2018 Pour le Préfet et par délégation, Le Directeur des Sécurités, Bertrand MERCIER ______

Arrêté portant modification d’un système de vidéoprotection pour la SARL GIRAUD'EAU LAVAGES à DAMELEVIERES Le Préfet de Meurthe-et-Moselle, VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU l'arrêté préfectoral 17.BCI.79 du 29 décembre 2017 accordant délégation de signature à M. Morgan TANGUY, Sous-Préfet, Directeur de Cabinet ; VU l'arrêté préfectoral du 9 novembre 2005 portant autorisation d’un système de vidéoprotection ; VU la demande présentée par Monsieur Stéphane GIRAUDEAU représentant la SARL GIRAUD'EAU LAVAGES pour la modification d’un système de vidéoprotection situé route de Blainville à DAMELEVIERES (54360) ; VU l'avis émis par la Commission départementale de vidéoprotection en sa séance du 18 avril 2018 ; Sur proposition du Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet ; A R R E T E ARTICLE 1 : Monsieur Stéphane GIRAUDEAU représentant la SARL GIRAUD'EAU LAVAGES est autorisé à modifier et à mettre en œuvre pour une durée de 5 ans, à compter de la date du présent arrêté, l’installation de vidéoprotection, conformément au dossier annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2008/3955. Cette modification intervient sur l’installation de vidéoprotection précédemment autorisée par arrêté du 9 novembre 2005 susvisé. Les dispositions prévues par le précédent arrêté demeurent applicables. ARTICLE 2 : Les modifications portent sur : - Le nombre de caméras extérieures qui passe de 4 à 6 - La raison sociale de l’établissement - Le gérant - Les finalités du système : • Sécurité des personnes - Le délai de conservation des images qui passe de 3 à 10 jours. ARTICLE 3 : Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. ARTICLE 4 : Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet et le Colonel, Commandant le Groupement de Gendarmerie de Meurthe et Moselle sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Monsieur Stéphane GIRAUDEAU représentant la SARL GIRAUD'EAU LAVAGES, et dont une copie sera transmise au maire de la commune de DAMELEVIERES ainsi qu’à Monsieur le Sous-Préfet de l'arrondissement de Lunéville. Nancy, le 20 avril 2018 Pour le Préfet et par délégation, Le Directeur des Sécurités, Bertrand MERCIER ______

Arrêté portant modification d’un système de vidéoprotection pour la SA des Produits de la Nature, On a la Vie à ESSEY-LES-NANCY Le Préfet de Meurthe-et-Moselle, VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU l'arrêté préfectoral 17.BCI.79 du 29 décembre 2017 accordant délégation de signature à M. Morgan TANGUY, Sous-Préfet, Directeur de Cabinet ; VU l'arrêté préfectoral du 24 avril 2008, modifié le 29 mai 2013 portant autorisation d’un système de vidéoprotection ; VU la demande présentée par Monsieur Sylvain GERONIMI représentant la SA des Produits de la Nature, On a la Vie pour la modification d’un système de vidéoprotection situé 8bis rue Rue Catherine Sauvage La Porte Verte III à ESSEY-LES-NANCY (54270) ; VU l'avis émis par la Commission départementale de vidéoprotection en sa séance du 18 avril 2018 ; Sur proposition du Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet ; A R R E T E ARTICLE 1 : Monsieur Sylvain GERONIMI représentant la SA des Produits de la Nature, On a la Vie est autorisé à modifier et à mettre en œuvre pour une durée de 5 ans, à compter de la date du présent arrêté, l’installation de vidéoprotection, conformément au dossier annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2008/4678. Cette modification intervient sur l’installation de vidéoprotection précédemment autorisée par arrêté du 24 avril 2008, modifié le 29 mai 2013 susvisé. Les dispositions prévues par le précédent arrêté demeurent applicables. ARTICLE 2 : Les modifications portent sur : - L’ajout d’une caméra extérieure. - Le nom de l’enseigne, anciennement La Vie Saine. - Le responsable. ARTICLE 3 : Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. ARTICLE 4 : Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Monsieur Sylvain GERONIMI représentant la SA des Produits de la Nature, On a la Vie, et dont une copie sera transmise au maire de la commune de ESSEY-LES-NANCY ainsi qu’à Madame la Secrétaire Générale de la préfecture, Sous-Préfète de l'arrondissement de Nancy. Nancy, le 25 avril 2018 Pour le Préfet et par délégation, Le Directeur des Sécurités, Bertrand MERCIER RECUEIL N° 28 1016 11 JUIN 2018

Arrêté portant modification d’un système de vidéoprotection pour l’agence RCBT RESEAU CLUB BOUYGUES TELECOM à HOUDEMONT Le Préfet de Meurthe-et-Moselle, VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU l'arrêté préfectoral 17.BCI.79 du 29 décembre 2017 accordant délégation de signature à M. Morgan TANGUY, Sous-Préfet, Directeur de Cabinet ; VU l'arrêté préfectoral du 1er décembre 2010 portant autorisation d’un système de vidéoprotection ; VU la demande présentée par Monsieur PHILIPPE BACHMAN, représentant l’agence RCBT RESEAU CLUB BOUYGUES TELECOM pour la modification d’un système de vidéoprotection situé Centre Commercial CORA, Route Départementale 570 à HOUDEMONT (54180) ; VU l'avis émis par la Commission départementale de vidéoprotection en sa séance du 18 avril 2018 ; Sur proposition du Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet ; A R R E T E ARTICLE 1 : Monsieur PHILIPPE BACHMAN, représentant l’agence RCBT RESEAU CLUB BOUYGUES TELECOM est autorisé à modifier et à mettre en œuvre pour une durée de 5 ans, à compter de la date du présent arrêté, l’installation de vidéoprotection, conformément au dossier annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2010/0534. Cette modification intervient sur l’installation de vidéoprotection précédemment autorisée par arrêté du 1er décembre 2010 susvisé. Les dispositions prévues par le précédent arrêté demeurent applicables. ARTICLE 2 : Les modifications portent sur : - Les personnes habilitées à accéder aux images - La personne ayant le droit d’accès aux images ARTICLE 3 : Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. ARTICLE 4 : Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Monsieur PHILIPPE BACHMAN,eprésentant l’agence RCBT RESEAU CLUB BOUYGUES TELECOM, et dont une copie sera transmise au maire de la commune d’HOUDEMONT ainsi qu’à Madame la Secrétaire Générale de la préfecture, Sous-Préfète de l'arrondissement de Nancy. Nancy, le 4 mai 2018 Pour le Préfet et par délégation, Le Directeur des Sécurités, Bertrand MERCIER ______

Arrêté portant modification d’un système de vidéoprotection pour le Bar Tabac "le MARIGNY" à LUNEVILLE Le Préfet de Meurthe-et-Moselle, VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU l'arrêté préfectoral 17.BCI.79 du 29 décembre 2017 accordant délégation de signature à M. Morgan TANGUY, Sous-Préfet, Directeur de Cabinet ; VU l'arrêté préfectoral du 04 avril 2011 portant autorisation d’un système de vidéoprotection ; VU la demande présentée par Monsieur Olivier HOMAND représentant le Bar Tabac "le MARIGNY" pour la modification d’un système de vidéoprotection situé 56 avenue Voltaire à LUNEVILLE (54300) ; VU l'avis émis par la Commission départementale de vidéoprotection en sa séance du 18 avril 2018 ; Sur proposition du Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet ; A R R E T E ARTICLE 1 : Monsieur Olivier HOMAND représentant le Bar Tabac "le MARIGNY" est autorisé à modifier et à mettre en œuvre pour une durée de 5 ans, à compter de la date du présent arrêté, l’installation de vidéoprotection, conformément au dossier annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0048. Cette modification intervient sur l’installation de vidéoprotection précédemment autorisée par arrêté du 04 avril 2011 susvisé. Les dispositions prévues par le précédent arrêté demeurent applicables. ARTICLE 2 : Les modifications portent sur : - Le nombre de caméras intérieures qui passe de 2 à 4. ARTICLE 3 : Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. ARTICLE 4 : Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Monsieur Olivier HOMAND représentant le Bar Tabac "le MARIGNY", et dont une copie sera transmise au maire de la commune de LUNEVILLE ainsi qu’à Monsieur le Sous-Préfet de l'arrondissement de Lunéville. Nancy, le 26 avril 2018 Pour le Préfet et par délégation, Le Directeur des Sécurités, Bertrand MERCIER ______

Arrêté portant modification d’un système de vidéoprotection pour LA POSTE Direction Régionale de Lorraine à VAL-DE-BRIEY

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle, VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU l'arrêté préfectoral 17.BCI.79 du 29 décembre 2017 accordant délégation de signature à M. Morgan TANGUY, Sous-Préfet, Directeur de Cabinet ; VU l'arrêté préfectoral du 24 avril 2008, renouvelé le 25 novembre 2013, portant autorisation d’un système de vidéoprotection ; VU la demande présentée par Monsieur le Directeur régional Sûreté représentant LA POSTE Direction Régionale de Lorraine pour la modification d’un système de vidéoprotection situé 14 rue Raymond Mondon à VAL-DE-BRIEY (54150) ; VU l'avis émis par la Commission départementale de vidéoprotection en sa séance du 18 avril 2018 ; Sur proposition du Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet ; A R R E T E ARTICLE 1 : Monsieur le Directeur régional Sûreté représentant LA POSTE Direction Régionale de Lorraine est autorisé à modifier et à mettre en œuvre pour une durée de 5 ans, à compter de la date du présent arrêté, l’installation de vidéoprotection, conformément au dossier annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0119. Cette modification intervient sur l’installation de vidéoprotection précédemment autorisée par arrêté du 24 avril 2008, renouvelé le 25 novembre 2013, susvisé. Les caméras qui filment les zones non ouvertes au public ne sont pas autorisées par le présent arrêté et doivent être déclarées à la CNIL. Les dispositions prévues par le précédent arrêté demeurent applicables. RECUEIL N° 28 1017 11 JUIN 2018

ARTICLE 2 : Les modifications portent sur : - Le nombre de caméras intérieures. ARTICLE 3 : Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. ARTICLE 4 : Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Monsieur le Directeur régional Sûreté représentant LA POSTE Direction Régionale de Lorraine, et dont une copie sera transmise au maire de la commune de VAL-DE-BRIEY ainsi qu’à Monsieur le Sous-Préfet de l'arrondissement de Briey. Nancy, le 19 avril 2018 Pour le Préfet et par délégation, Le Directeur des Sécurités, Bertrand MERCIER ______

Arrêté portant modification d’un système de vidéoprotection pour la SARL Pharmacie de la Grande Fin à HOMECOURT Le Préfet de Meurthe-et-Moselle, VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU l'arrêté préfectoral 17.BCI.79 du 29 décembre 2017 accordant délégation de signature à M. Morgan TANGUY, Sous-Préfet, Directeur de Cabinet ; VU l'arrêté préfectoral du 15 mai 2012 portant autorisation d’un système de vidéoprotection ; VU la demande présentée par Madame Marie Bernadette GRUBER représentant la SARL Pharmacie de la Grande Fin pour la modification d’un système de vidéoprotection situé 1 place Maréchal Foch à HOMECOURT (54310) ; VU l'avis émis par la Commission départementale de vidéoprotection en sa séance du 18 avril 2018 ; Sur proposition du Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet ; A R R E T E ARTICLE 1 : Madame Marie Bernadette GRUBER représentant la SARL Pharmacie de la Grande Fin est autorisée à modifier et à mettre en œuvre pour une durée de 5 ans, à compter de la date du présent arrêté, l’installation de vidéoprotection, conformément au dossier annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2012/0011. Cette modification intervient sur l’installation de vidéoprotection précédemment autorisée par arrêté du 15 mai 2012 susvisé. Les dispositions prévues par le précédent arrêté demeurent applicables. ARTICLE 2 : Les modifications portent sur : - Les finalités du système : • Lutte contre la démarque inconnue. ARTICLE 3 : Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. ARTICLE 4 : Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Madame Marie Bernadette GRUBER représentant la SARL Pharmacie de la Grande Fin, et dont une copie sera transmise au maire de la commune de HOMECOURT ainsi qu’à Monsieur le Sous-Préfet de l'arrondissement de Briey. Nancy, le 26 avril 2018 Pour le Préfet et par délégation, Le Directeur des Sécurités, Bertrand MERCIER ______

Arrêté portant modification d’un système de vidéoprotection pour la COMMUNE DE TOUL Le Préfet de Meurthe-et-Moselle, VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU l'arrêté préfectoral 17.BCI.79 du 29 décembre 2017 accordant délégation de signature à M. Morgan TANGUY, Sous-Préfet, Directeur de Cabinet ; VU l'arrêté préfectoral du 18 janvier 2013, modifié le 23 juillet 2013 et le 26 janvier 2015 portant autorisation d’un système de vidéoprotection ; VU la demande présentée par Monsieur Alde HARMAND, Maire de la commune de TOUL pour la modification d’un système de vidéoprotection situé dans sa commune ; VU l'avis émis par la Commission départementale de vidéoprotection en sa séance du 18 avril 2018; Sur proposition du Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet ; A R R E T E ARTICLE 1 : Monsieur Alde HARMAND Maire de la commune de TOUL est autorisé à modifier et à mettre en œuvre pour une durée de 5 ans, à compter de la date du présent arrêté, l’installation de vidéoprotection, conformément au dossier annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2012/0298. Cette modification intervient sur l’installation de vidéoprotection précédemment autorisée par arrêté du 18 janvier 2013, modifié le 23 juillet 2013 et le 26 janvier 2015,susvisé. Les dispositions prévues par le précédent arrêté demeurent applicables. ARTICLE 2 : Les modifications portent sur : - Le nombre de caméras visionnant la voie publique qui passe de 6 à 31. Les caméras ajoutées seront installées aux adresses suivantes : • Place Charles de Gaulle • Ecole Gouvion Saint Cyr • Rue Michatel • Rue Pont des Cordeliers • Rue Général Foy • Rue du Collège • Rue du Pont de Vaux • Place du Couarail • Rond-point de la rue Thiers et Cours Raymond Poincaré • Angle rue Général Gengoult et rue Gambetta • Angle rue Gambetta et rue de Lattre de Tassigny • Place du Marché • Rue Lafayette • Angle de la rue du Docteur Chapuis et Place des Trois Evêchés RECUEIL N° 28 1018 11 JUIN 2018

• Angle de la rue Jeanne d’Arc et Place des Trois Evêchés • Angle de la rue Drouas et de la rue de la République • Angle de la rue Navarin et de la Place de la République • Angle de la porte Jeanne d’Arc et de la rue Paul Keller • Port de Toul • Carrefour D400 / D111 • Avenue Porte de Metz • Rue Saint Mansuy • Place Saint Mansuy • Rue du Champs de Foire • Centre social Malraux • Ecole Pierre et Marie Curie Place Henri Miller • Ecole Pierre et Marie Curie Avenue des Leuques • Avenue des Leuques • Rondpoint avenue des Leuques à TOUL (54201) conformément au dossier présenté. - Les finalités du système : • Secours à personnes – défense contre l’incendie préventions risques naturels ou technologiques, • Défense nationale, • Régulation du trafic routier, • Constatation des infractions aux règles de la circulation, • Autre : Incivilités. Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif. Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur. - Les personnes habilitées à accéder aux images ARTICLE 3 : Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. ARTICLE 4 : Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Monsieur Alde HARMAND Maire de la commune de TOUL, et dont une copie sera transmise à Monsieur le Sous-Préfet de l'arrondissement de Toul. Nancy, le 20 avril 2018 Pour le Préfet et par délégation, Le Directeur des Sécurités, Bertrand MERCIER ______

Arrêté portant modification d’un système de vidéoprotection pour CREDIT COOPERATIF à NANCY

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle, VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU l'arrêté préfectoral 17.BCI.79 du 29 décembre 2017 accordant délégation de signature à M. Morgan TANGUY, Sous-Préfet, Directeur de Cabinet ; VU l'arrêté préfectoral du 31 janvier 2013 portant autorisation d’un système de vidéoprotection ; VU la demande présentée par Monsieur le Directeur Sécurité représentant l’agence CREDIT COOPERATIF pour la modification d’un système de vidéoprotection situé 81 rue Saint Georges à NANCY (54000) ; VU l'avis émis par la Commission départementale de vidéoprotection en sa séance du 18 avril 2018 ; Sur proposition du Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet ; A R R E T E ARTICLE 1 : Monsieur le Directeur Sécurité représentant l’agence CREDIT COOPERATIF est autorisé à modifier et à mettre en œuvre pour une durée de 5 ans, à compter de la date du présent arrêté, l’installation de vidéoprotection, conformément au dossier annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2012/0313. Cette modification intervient sur l’installation de vidéoprotection précédemment autorisée par arrêté du 31 janvier 2013 susvisé. Les caméras qui filment les zones non ouvertes au public ne sont pas autorisées par le présent arrêté et doivent être déclarées à la CNIL. Les dispositions prévues par le précédent arrêté demeurent applicables. ARTICLE 2 : Les modifications portent sur : - Le nombre de caméras intérieures. ARTICLE 3 : Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. ARTICLE 4 : Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Monsieur le Directeur Sécurité représentant l’agence CREDIT COOPERATIF, et dont une copie sera transmise au maire de la commune de NANCY ainsi qu’à Madame la Secrétaire Générale de la préfecture, Sous-Préfète de l'arrondissement de Nancy. Nancy, le 19 avril 2018 Pour le Préfet et par délégation, Le Directeur des Sécurités, Bertrand MERCIER ______

Arrêté portant modification d’un système de vidéoprotection pour le garage REPAR'AUTO SARL ACKERMANN à BAYON

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle, VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU l'arrêté préfectoral 17.BCI.79 du 29 décembre 2017 accordant délégation de signature à M. Morgan TANGUY, Sous-Préfet, Directeur de Cabinet ; VU l'arrêté préfectoral du 23 juillet 2013 portant autorisation d’un système de vidéoprotection ; VU la demande présentée par Monsieur Grégory ACKERMANN représentant le garage REPAR'AUTO SARL ACKERMANN pour la modification d’un système de vidéoprotection situé 13 avenue de à BAYON (54290) ; VU l'avis émis par la Commission départementale de vidéoprotection en sa séance du 18 avril 2018 ; Sur proposition du Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet ; RECUEIL N° 28 1019 11 JUIN 2018

A R R E T E ARTICLE 1 : Monsieur Grégory ACKERMANN représentant le garage REPAR'AUTO SARL ACKERMANN est autorisé à modifier et à mettre en œuvre pour une durée de 5 ans, à compter de la date du présent arrêté, l’installation de vidéoprotection, conformément au dossier annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2013/0210. Cette modification intervient sur l’installation de vidéoprotection précédemment autorisée par arrêté du 23 juillet 2013 susvisé. Les dispositions prévues par le précédent arrêté demeurent applicables. ARTICLE 2 : Les modifications portent sur : - Le nombre de caméras extérieures qui passe de 3 à 2. ARTICLE 3 : Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. ARTICLE 4 : Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet et le Colonel, Commandant le Groupement de Gendarmerie de Meurthe et Moselle sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Monsieur Grégory ACKERMANN représentant le garage REPAR'AUTO SARL ACKERMANN, et dont une copie sera transmise au maire de la commune de BAYON ainsi qu’à Monsieur le Sous-Préfet de l'arrondissement de Lunéville. Nancy, le 25 avril 2018 Pour le Préfet et par délégation, Le Directeur des Sécurités, Bertrand MERCIER ______

Arrêté portant modification d’un système de vidéoprotection pour le TABAC PRESSE FDJ PMU LA ROYALE à JARVILLE-LA- MALGRANGE

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU l'arrêté préfectoral 17.BCI.79 du 29 décembre 2017 accordant délégation de signature à M. Morgan TANGUY, Sous-Préfet, Directeur de Cabinet ; VU l'arrêté préfectoral du 22 mai 2014 portant autorisation d’un système de vidéoprotection ; VU la demande présentée par Monsieur Hamadi TOUATI représentant le TABAC PRESSE FDJ PMU LA ROYALE pour la modification d’un système de vidéoprotection situé 49 rue de la République à JARVILLE-LA-MALGRANGE (54140) ; VU l'avis émis par la Commission départementale de vidéoprotection en sa séance du 18 avril 2018 ; Sur proposition du Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet ; A R R E T E ARTICLE 1 : Monsieur Hamadi TOUATI représentant le TABAC PRESSE FDJ PMU LA ROYALE est autorisé à modifier et à mettre en œuvre pour une durée de 5 ans, à compter de la date du présent arrêté, l’installation de vidéoprotection, conformément au dossier annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2014/0063. Cette modification intervient sur l’installation de vidéoprotection précédemment autorisée par arrêté du 22 mai 2014 susvisé. Les dispositions prévues par le précédent arrêté demeurent applicables. ARTICLE 2 : Les modifications portent sur : - Le nombre de caméras intérieures qui passe de 3 à 5. ARTICLE 3 : Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. ARTICLE 4 : Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Monsieur Hamadi TOUATI représentant le TABAC PRESSE FDJ PMU LA ROYALE, et dont une copie sera transmise au maire de la commune de JARVILLE-LA-MALGRANGE ainsi qu’à Madame la Secrétaire Générale de la préfecture, Sous-Préfète de l'arrondissement de Nancy. Nancy, le 20 avril 2018 Pour le Préfet et par délégation, Le Directeur des Sécurités, Bertrand MERCIER ______

Arrêté portant modification d’un système de vidéoprotection pour la SAS MALEX U EXPRESS à VANDOEUVRE-LES-NANCY

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU l'arrêté préfectoral 17.BCI.79 du 29 décembre 2017 accordant délégation de signature à M. Morgan TANGUY, Sous-Préfet, Directeur de Cabinet ; VU l'arrêté préfectoral du 02 décembre 2014 portant autorisation d’un système de vidéoprotection ; VU la demande présentée par Monsieur Emmanuel GUERIN représentant la SAS MALEX U EXPRESS pour la modification d’un système de vidéoprotection situé 2 avenue Jean Jaurès à VANDOEUVRE-LES-NANCY (54500) ; VU l'avis émis par la Commission départementale de vidéoprotection en sa séance du 18 avril 2018 ; Sur proposition du Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet ; A R R E T E ARTICLE 1 : Monsieur Emmanuel GUERIN représentant la SAS MALEX U EXPRESS est autorisé à modifier et à mettre en œuvre pour une durée de 5 ans, à compter de la date du présent arrêté, l’installation de vidéoprotection, conformément au dossier annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2014/0306. Cette modification intervient sur l’installation de vidéoprotection précédemment autorisée par arrêté du 02 décembre 2014 susvisé. Les dispositions prévues par le précédent arrêté demeurent applicables. ARTICLE 2 : Les modifications portent sur : - Le nombre de caméras intérieures qui passe de 20 à 24. ARTICLE 3 : Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. ARTICLE 4 : Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Monsieur Emmanuel GUERIN représentant la SAS MALEX U EXPRESS, et dont une copie sera transmise au maire de la commune de VANDOEUVRE-LES-NANCY ainsi qu’à Madame la Secrétaire Générale de la préfecture, Sous-Préfète de l'arrondissement de Nancy. Nancy, le 25 avril 2018 Pour le Préfet et par délégation, Le Directeur des Sécurités, Bertrand MERCIER RECUEIL N° 28 1020 11 JUIN 2018

Arrêté portant modification d’un système de vidéoprotection pour le complexe sportif de JEANDELAINCOURT

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle, VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU l'arrêté préfectoral 17.BCI.79 du 29 décembre 2017 accordant délégation de signature à M. Morgan TANGUY, Sous-Préfet, Directeur de Cabinet ; VU l'arrêté préfectoral du 29 septembre 2015 portant autorisation d’un système de vidéoprotection ; VU la demande présentée par Monsieur Philippe JOLY, Maire de Jeandelaincourt, représentant le complexe sportif de Jeandelaincourt pour la modification d’un système de vidéoprotection situé 30 rue du Stade à JEANDELAINCOURT (54114) ; VU l'avis émis par la Commission départementale de vidéoprotection en sa séance du 18 avril 2018 ; Sur proposition du Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet ; A R R E T E ARTICLE 1 : Monsieur Philippe JOLY, Maire de Jeandelaincourt, représentant le complexe sportif de Jeandelaincourt est autorisé à modifier et à mettre en œuvre pour une durée de 5 ans, à compter de la date du présent arrêté, l’installation de vidéoprotection, conformément au dossier annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2015/0226. Cette modification intervient sur l’installation de vidéoprotection précédemment autorisée par arrêté du 29 septembre 2015 susvisé. Les dispositions prévues par le précédent arrêté demeurent applicables. ARTICLE 2 : Les modifications portent sur : - l’ajout d’une caméra extérieure. ARTICLE 3 : Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. ARTICLE 4 : Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet et le Colonel, Commandant le Groupement de Gendarmerie de Meurthe et Moselle sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Monsieur Philippe JOLY, Maire de Jeandelaincourt, représentant le complexe sportif de Jeandelaincourt, et dont une copie sera transmise à Madame la Secrétaire Générale de la préfecture, Sous-Préfète de l'arrondissement de Nancy. Nancy, le 4 mai 2018 Pour le Préfet et par délégation, Le Directeur des Sécurités, Bertrand MERCIER ______

Arrêté portant modification d’un système de vidéoprotection pour la SAS ARMAND THIERY, Enseigne EDJI à NANCY Le Préfet de Meurthe-et-Moselle, VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU l'arrêté préfectoral 17.BCI.79 du 29 décembre 2017 accordant délégation de signature à M. Morgan TANGUY, Sous-Préfet, Directeur de Cabinet ; VU l'arrêté préfectoral du 22 décembre 2016 portant autorisation d’un système de vidéoprotection ; VU la demande présentée par Monsieur Emmanuel ELALOUF représentant la SAS ARMAND THIERY, Enseigne EDJI pour la modification d’un système de vidéoprotection situé 39-41 rue Saint Jean à NANCY (54000) ; VU l'avis émis par la Commission départementale de vidéoprotection en sa séance du 18 avril 2018 ; Sur proposition du Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet ; A R R E T E ARTICLE 1 : Monsieur Emmanuel ELALOUF représentant la SAS ARMAND THIERY, Enseigne EDJI est autorisé à modifier et à mettre en œuvre pour une durée de 5 ans, à compter de la date du présent arrêté, l’installation de vidéoprotection, conformément au dossier annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2016/0392. Cette modification intervient sur l’installation de vidéoprotection précédemment autorisée par arrêté du 22 décembre 2016 susvisé. Les dispositions prévues par le précédent arrêté demeurent applicables. ARTICLE 2 : Les modifications portent sur : - Le nombre de caméras intérieures qui passe de 3 à 6. - Le nom de l’enseigne : anciennement ESPRIT. ARTICLE 3 : Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. ARTICLE 4 : Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Monsieur Emmanuel ELALOUF représentant la SAS ARMAND THIERY, Enseigne EDJI, et dont une copie sera transmise au maire de la commune de NANCY ainsi qu’à Madame la Secrétaire Générale de la préfecture, Sous-Préfète de l'arrondissement de Nancy. Nancy, le 25 avril 2018 Pour le Préfet et par délégation, Le Directeur des Sécurités, Bertrand MERCIER ______

Arrêté portant modification de l’autorisation partielle d’un système de vidéoprotection pour Institut de Cancérologie de Lorraine à VANDOEUVRE-LES-NANCY Le Préfet de Meurthe-et-Moselle, VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU l'arrêté préfectoral 17.BCI.79 du 29 décembre 2017 accordant délégation de signature à M. Morgan TANGUY, Sous-Préfet, Directeur de Cabinet ; VU l'arrêté préfectoral du 18 juillet 1997, renouvelé le 12 juin 2012 portant autorisation d’un système de vidéoprotection ; VU la demande présentée par Monsieur Giuliano GIANGRECO représentant Institut de Cancérologie de Lorraine pour la modification d’un système de vidéoprotection situé 6 avenue de Bourgogne à VANDOEUVRE-LES-NANCY (54500) ; VU l'avis émis par la Commission départementale de vidéoprotection en sa séance du 18 avril 2018 ; Sur proposition du Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet ; A R R E T E ARTICLE 1 : Monsieur Giuliano GIANGRECO représentant Institut de Cancérologie de Lorraine est autorisé à modifier et à mettre en œuvre pour une durée de 5 ans, à compter de la date du présent arrêté, l’installation de vidéoprotection, conformément au dossier annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2008/3712. Cette modification intervient sur l’installation de vidéoprotection précédemment autorisée par arrêté du 18 juillet 1997, renouvelé le 12 juin 2012 susvisé. Les dispositions prévues par le précédent arrêté demeurent applicables. RECUEIL N° 28 1021 11 JUIN 2018

ARTICLE 2 : Les modifications portent sur : - Le nombre de caméras intérieures qui passe de 7 à 9. - Les finalités du système : • Prévention d’actes terroristes. La commission de vidéoprotection n’est pas compétente pour la caméra intérieure E23 ainsi que pour les 8 caméras extérieures D3, D4, D6, D7, D8, D9, D13 et D14 qui visionnent des parties privatives non accessibles au public. Ces caméras devront donc faire l’objet d’une déclaration auprès de la CNIL. ARTICLE 3 : Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. ARTICLE 4 : Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Monsieur Giuliano GIANGRECO représentant Institut de Cancérologie de Lorraine, et dont une copie sera transmise au maire de la commune de VANDOEUVRE-LES-NANCY ainsi qu’à Madame la Secrétaire Générale de la préfecture, Sous-Préfète de l'arrondissement de Nancy. Nancy, le 26 avril 2018 Pour le Préfet et par délégation, Le Directeur des Sécurités, Bertrand MERCIER ______Arrêté portant modification de l’autorisation partielle d’un système de vidéoprotection pour la SAS CORA à ESSEY-LES-NANCY Le Préfet de Meurthe-et-Moselle, VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU l'arrêté préfectoral 17.BCI.79 du 29 décembre 2017 accordant délégation de signature à M. Morgan TANGUY, Sous-Préfet, Directeur de Cabinet ; VU l'arrêté préfectoral du 9 avril 1997, modifié la 15 février 2005, modifié le 18 novembre 2009, renouvelé le 2 décembre 2014, portant autorisation d’un système de vidéoprotection ; VU la demande présentée par Monsieur Bertrand DUFRESNE représentant la SAS CORA pour la modification d’un système de vidéoprotection situé Avenue de Saulxures à ESSEY-LES-NANCY (54270) ; VU l'avis émis par la Commission départementale de vidéoprotection en sa séance du 18 avril 2018 ; Sur proposition du Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet ; A R R E T E ARTICLE 1 : M. Bertrand DUFRESNE représentant la SAS CORA est autorisé à modifier et à mettre en œuvre pour une durée de 5 ans, à compter de la date du présent arrêté, l’installation de vidéoprotection, conformément au dossier annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2008/4248. Cette modification intervient sur l’installation de vidéoprotection précédemment autorisée par arrêté du 9 avril 1997, modifié le 15 février 2005, modifié le 18 novembre 2009, renouvelé le 2 décembre 2014 susvisé. Les dispositions prévues par le précédent arrêté demeurent applicables. ARTICLE 2 : Les modifications portent sur : - Le délai de conservation des images qui passe de 7 à 15 jours. - L’ajout d’une caméra extérieure. - L’ajout d’une caméra intérieure. La commission de vidéoprotection n’est pas compétente pour les 14 caméras intérieures n°10, 14, 28, 29, 30, 31, 34, 35, 44, 45, 46, 47, 48 et 60 ainsi que les 4 caméras extérieures n°38, 39, 40 et 42 qui visionnent des parties privatives non accessibles au public. Ces caméras devront donc faire l’objet d’une déclaration auprès de la CNIL. ARTICLE 3 : Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. ARTICLE 4 : Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Monsieur Bertrand DUFRESNE représentant la SAS CORA, et dont une copie sera transmise au maire de la commune de ESSEY-LES-NANCY ainsi qu’à Madame la Secrétaire Générale de la préfecture, Sous- Préfète de l'arrondissement de Nancy. Nancy, le 25 avril 2018 Pour le Préfet et par délégation, Le Directeur des Sécurités, Bertrand MERCIER ______Arrêté portant modification de l’autorisation partielle d’un système de vidéoprotection pour la PATISSERIE RECOUVREUR à NANCY Le Préfet de Meurthe-et-Moselle, VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU l'arrêté préfectoral 17.BCI.79 du 29 décembre 2017 accordant délégation de signature à M. Morgan TANGUY, Sous-Préfet, Directeur de Cabinet ; VU l'arrêté préfectoral du 29 septembre 2011 portant autorisation d’un système de vidéoprotection ; VU la demande présentée par Madame Frédérique BEDARD représentant la PATISSERIE RECOUVREUR pour la modification d’un système de vidéoprotection situé 11 rue de la Faïencerie à NANCY (54000) ; VU l'avis émis par la Commission départementale de vidéoprotection en sa séance du 18 avril 2018 ; Sur proposition du Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet ; A R R E T E ARTICLE 1 : Mme Frédérique BEDARD représentant la PATISSERIE RECOUVREUR est autorisée à modifier et à mettre en œuvre pour une durée de 5 ans, à compter de la date du présent arrêté, l’installation de vidéoprotection, conformément au dossier annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0262. Cette modification intervient sur l’installation de vidéoprotection précédemment autorisée par arrêté du 29 septembre 2011 susvisé. Les dispositions prévues par le précédent arrêté demeurent applicables. ARTICLE 2 : Les modifications portent sur : - Le délai de conservation des images qui passe de 5 à 30 jours. La commission de vidéoprotection n’est pas compétente pour la caméra intérieure située au niveau de l’entrée du personnel qui visionne des parties privatives non accessibles au public. Cette caméra devra donc faire l’objet d’une déclaration auprès de la CNIL. ARTICLE 3 : Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. ARTICLE 4 : Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Madame Frédérique BEDARD représentant la PATISSERIE RECOUVREUR, et dont une copie sera transmise au maire de la commune de NANCY ainsi qu’à Madame la Secrétaire Générale de la préfecture, Sous-Préfète de l'arrondissement de Nancy. Nancy, le 25 avril 2018 Pour le Préfet et par délégation, Le Directeur des Sécurités, Bertrand MERCIER RECUEIL N° 28 1022 11 JUIN 2018

Arrêté portant modification de l’autorisation partielle d’un système de vidéoprotection pour la Métropole du Grand Nancy à NANCY Le Préfet de Meurthe-et-Moselle, VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU l'arrêté préfectoral 17.BCI.79 du 29 décembre 2017 accordant délégation de signature à M. Morgan TANGUY, Sous-Préfet, Directeur de Cabinet ; VU l'arrêté préfectoral du 13 janvier 2012, modifié le 25 juin 2013 portant autorisation d’un système de vidéoprotection ; VU la demande présentée par Monsieur Jean-Pierre DESSEIN, Vice-Président délégué au Patrimoine représentant la Métropole du Grand Nancy pour la modification d’un système de vidéoprotection situé 7 rue Pierre Chalnot à NANCY (54000) ; VU l'avis émis par la Commission départementale de vidéoprotection en sa séance du 18 avril 2018 ; Sur proposition du Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet ; A R R E T E ARTICLE 1 : Monsieur Jean-Pierre DESSEIN Vice-Président délégué au Patrimoine représentant la Métropole du Grand Nancy est autorisé à modifier et à mettre en œuvre pour une durée de 5 ans, à compter de la date du présent arrêté, l’installation de vidéoprotection, conformément au dossier annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0474. Cette modification intervient sur l’installation de vidéoprotection précédemment autorisée par arrêté du 13 janvier 2012, modifié le 25 juin 2013 susvisé. Les dispositions prévues par le précédent arrêté demeurent applicables. ARTICLE 2 : Les modifications portent sur : - Les finalités du système : • Sécurité des personnes • Prévention d’actes terroristes La commission de vidéoprotection n’est pas compétente pour les 5 caméras extérieures n°2, 4, 8, 14, 15 et les 4 caméras intérieures n°3, 6, 9, 13 qui visionnent des parties privatives non accessibles au public. Ces caméras devront donc faire l’objet d’une déclaration auprès de la CNIL. ARTICLE 3 : Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. ARTICLE 4 : Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Monsieur Jean-Pierre DESSEIN Vice-Président délégué au Patrimoine représentant la Métropole du Grand Nancy, et dont une copie sera transmise au maire de la commune de NANCY ainsi qu’à Madame la Secrétaire Générale de la préfecture, Sous-Préfète de l'arrondissement de Nancy. Nancy, le 23 avril 2018 Pour le Préfet et par délégation, Le Directeur des Sécurités, Bertrand MERCIER ______

Arrêté portant modification de l’autorisation partielle d’un système de vidéoprotection pour la SAS DELPHIUM NETTO à PONT-A- MOUSSON Le Préfet de Meurthe-et-Moselle, VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU l'arrêté préfectoral 17.BCI.79 du 29 décembre 2017 accordant délégation de signature à M. Morgan TANGUY, Sous-Préfet, Directeur de Cabinet ; VU l'arrêté préfectoral du 15 mai 2012, modifié le 18 juillet 2014 portant autorisation d’un système de vidéoprotection ; VU la demande présentée par Monsieur Christophe LELANDAIS représentant la SAS DELPHIUM NETTO pour la modification d’un système de vidéoprotection situé 59 avenue Patton à PONT-A-MOUSSON (54700) ; VU l'avis émis par la Commission départementale de vidéoprotection en sa séance du 18 avril 2018 ; Sur proposition du Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet ; A R R E T E ARTICLE 1 : Monsieur Christophe LELANDAIS représentant la SAS DELPHIUM netto est autorisé à modifier et à mettre en œuvre pour une durée de 5 ans, à compter de la date du présent arrêté, l’installation de vidéoprotection, conformément au dossier annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2012/0017. Cette modification intervient sur l’installation de vidéoprotection précédemment autorisée par arrêté du 15 mai 2012, modifié le 18 juillet 2014 susvisé. Les dispositions prévues par le précédent arrêté demeurent applicables. ARTICLE 2 : Les modifications portent sur : - Le nombre de caméras extérieures qui passe de 1 à 4. - L’ajout d’une caméra intérieure. La commission de vidéoprotection n’est pas compétente pour les 2 caméras intérieures n°17 et n°18 qui visionnent des parties privatives non accessibles au public. Ces caméras devront donc faire l’objet d’une déclaration auprès de la CNIL. ARTICLE 3 : Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. ARTICLE 4 : Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Monsieur Christophe LELANDAIS représentant la SAS DELPHIUM netto, et dont une copie sera transmise au maire de la commune de PONT-A-MOUSSON ainsi qu’à Madame la Secrétaire Générale de la préfecture, Sous-Préfète de l'arrondissement de Nancy. Nancy, le 24 avril 2018 Pour le Préfet et par délégation, Le Directeur des Sécurités, Bertrand MERCIER ______

Arrêté portant modification de l’autorisation partielle d’un système de vidéoprotection pour la SARL AES CARREFOUR CONTACT à CUSTINES Le Préfet de Meurthe-et-Moselle, VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU l'arrêté préfectoral 17.BCI.79 du 29 décembre 2017 accordant délégation de signature à M. Morgan TANGUY, Sous-Préfet, Directeur de Cabinet ; VU l'arrêté préfectoral du 16 juillet 2012 portant autorisation d’un système de vidéoprotection ; VU la demande présentée par Monsieur Eric SCHNEIDER représentant la SARL AES CARREFOUR CONTACT pour la modification d’un système de vidéoprotection situé 42 rue du Général Leclerc à CUSTINES (54670) ; VU l'avis émis par la Commission départementale de vidéoprotection en sa séance du 18 avril 2018 ; Sur proposition du Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet ; RECUEIL N° 28 1023 11 JUIN 2018

A R R E T E ARTICLE 1 : Monsieur Eric SCHNEIDER représentant la SARL AES CARREFOUR CONTACT est autorisé à modifier et à mettre en œuvre pour une durée de 5 ans, à compter de la date du présent arrêté, l’installation de vidéoprotection, conformément au dossier annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2012/0095. Cette modification intervient sur l’installation de vidéoprotection précédemment autorisée par arrêté du 16 juillet 2012 susvisé. Les dispositions prévues par le précédent arrêté demeurent applicables. ARTICLE 2 : Les modifications portent sur : - le nombre de caméras extérieures qui passe de 1 à 2 La commission de vidéoprotection n’est pas compétente pour les 2 caméras intérieures n°23 et n°24 ainsi que la caméra extérieure n°27 qui visionnent des parties privatives non accessibles au public. Ces caméras devront donc faire l’objet d’une déclaration auprès de la CNIL. ARTICLE 3 : Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. ARTICLE 4 : Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet et le Colonel, Commandant le Groupement de Gendarmerie de Meurthe et Moselle sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Monsieur Eric SCHNEIDER représentant la SARL AES CARREFOUR CONTACT, et dont une copie sera transmise au maire de la commune de CUSTINES ainsi qu’à Madame la Secrétaire Générale de la préfecture, Sous-Préfète de l'arrondissement de Nancy. Nancy, le 23 avril 2018 Pour le Préfet et par délégation, Le Directeur des Sécurités, Bertrand MERCIER ______

Arrêté portant modification de l’autorisation partielle d’un système de vidéoprotection pour le magasin AFFLELOU à LAXOU

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle, VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU l'arrêté préfectoral 17.BCI.79 du 29 décembre 2017 accordant délégation de signature à M. Morgan TANGUY, Sous-Préfet, Directeur de Cabinet ; VU l'arrêté préfectoral du 2 avril 2013 portant autorisation d’un système de vidéoprotection ; VU la demande présentée par Monsieur Sébastien JANNOT représentant le magasin AFFLELOU pour la modification d’un système de vidéoprotection situé 20 rue de la Sapinière à LAXOU (54520) ; VU l'avis émis par la Commission départementale de vidéoprotection en sa séance du 18 avril 2018 ; Sur proposition du Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet ; A R R E T E ARTICLE 1 : Monsieur Sébastien JANNOT représentant le magasin AFFLELOU est autorisé à modifier et à mettre en œuvre pour une durée de 5 ans, à compter de la date du présent arrêté, l’installation de vidéoprotection, conformément au dossier annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2013/0055. Cette modification intervient sur l’installation de vidéoprotection précédemment autorisée par arrêté du 2 avril 2013 susvisé. Les dispositions prévues par le précédent arrêté demeurent applicables. ARTICLE 2 : Les modifications portent sur : La commission de vidéoprotection n’est pas compétente pour la caméra intérieure n°3 qui visionne des parties privatives non accessibles au public. Cette caméra doit donc faire l’objet d’une déclaration auprès de la CNIL. ARTICLE 3 : Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. ARTICLE 4 : Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Monsieur Sébastien JANNOT représentant le magasin AFFLELOU, et dont une copie sera transmise au maire de la commune de LAXOU ainsi qu’à Madame la Secrétaire Générale de la préfecture, Sous-Préfète de l'arrondissement de Nancy. Nancy, le 23 avril 2018 Pour le Préfet et par délégation, Le Directeur des Sécurités, Bertrand MERCIER ______

Arrêté portant modification de l’autorisation partielle d’un système de vidéoprotection pour le magasin KOI BY KOI à BLAINVILLE- SUR-L'EAU

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle, VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU l'arrêté préfectoral 17.BCI.79 du 29 décembre 2017 accordant délégation de signature à M. Morgan TANGUY, Sous-Préfet, Directeur de Cabinet ; VU l'arrêté préfectoral du 17 janvier 2014 portant autorisation d’un système de vidéoprotection ; VU la demande présentée par Madame Laurence BILLAULT représentant le magasin KOI BY KOI pour la modification d’un système de vidéoprotection situé 4 rue d'Alsace à BLAINVILLE-SUR-L'EAU (54360) ; VU l'avis émis par la Commission départementale de vidéoprotection en sa séance du 26 avril 2016 ; Sur proposition du Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet ; A R R E T E ARTICLE 1 : Madame Laurence BILLAULT représentant le magasin KOI BY KOI est à modifier et à mettre en œuvre pour une durée de 5 ans, à compter de la date du présent arrêté, l’installation de vidéoprotection, conformément au dossier annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2013/0445. Cette modification intervient sur l’installation de vidéoprotection précédemment autorisée par arrêté du 17 janvier 2014 susvisé. Les dispositions prévues par le précédent arrêté demeurent applicables. ARTICLE 2 : Les modifications portent sur : - Le nombre de caméras intérieures qui passe de 1 à 7. - L’ajout d’une caméra extérieure. - Le délai de conservation des images qui passe de 1 à 30 jours. - Les finalités du système : • Lutte contre la démarque inconnue. La commission de vidéoprotection n’est pas compétente pour la caméra intérieure située dans la zone privée qui visionne des parties privatives non accessibles au public. Cette caméra devra donc faire l’objet d’une déclaration auprès de la CNIL. ARTICLE 3 : Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. RECUEIL N° 28 1024 11 JUIN 2018

ARTICLE 4 : Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet et le Colonel, Commandant le Groupement de Gendarmerie de Meurthe et Moselle sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Madame Laurence BILLAULT représentant le magasin KOI BY KOI, et dont une copie sera transmise au maire de la commune de BLAINVILLE-SUR-L'EAU ainsi qu’à Monsieur le Sous-Préfet de l'arrondissement de Lunéville. Nancy, le 24 avril 2018 Pour le Préfet et par délégation, Le Directeur des Sécurités, Bertrand MERCIER ______

Arrêté portant modification de l’autorisation partielle d’un système de vidéoprotection pour le magasin MOTOWORLD KAWASAKI à ESSEY-LES-NANCY Le Préfet de Meurthe-et-Moselle, VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU l'arrêté préfectoral 17.BCI.79 du 29 décembre 2017 accordant délégation de signature à M. Morgan TANGUY, Sous-Préfet, Directeur de Cabinet ; VU l'arrêté préfectoral du 19 février 2018 portant autorisation d’un système de vidéoprotection ; VU la demande présentée par Monsieur Quentin BENEZET représentant le magasin MOTOWORLD KAWASAKI pour la modification d’un système de vidéoprotection situé 109 avenue du 69eme Régiment d'Infanterie à ESSEY-LES-NANCY (54270) ; VU l'avis émis par la Commission départementale de vidéoprotection en sa séance du 18 avril 2018 ; Sur proposition du Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet ; A R R E T E ARTICLE 1 : Monsieur Quentin BENEZET représentant le magasin MOTOWORLD KAWASAKI est autorisé à modifier et à mettre en œuvre pour une durée de 5 ans, à compter de la date du présent arrêté, l’installation de vidéoprotection, conformément au dossier annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2017/0405. Cette modification intervient sur l’installation de vidéoprotection précédemment autorisée par arrêté du 19 février 2018 susvisé. Les dispositions prévues par le précédent arrêté demeurent applicables. ARTICLE 2 : Les modifications portent sur : - la caméra située dans le magasin au niveau des accessoires motard est susceptible de visionner la clientèle. Elle est autorisée par le présent arrêté. La commission de vidéoprotection n’est pas compétente pour les 2 caméras intérieures situées dans l’atelier qui visionnent des parties privatives non accessibles au public. Ces caméras devront donc faire l’objet d’une déclaration auprès de la CNIL. ARTICLE 3 : Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. ARTICLE 4 : Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Monsieur Quentin BENEZET représentant le magasin MOTOWORLD KAWASAKI, et dont une copie sera transmise au maire de la commune de ESSEY-LES-NANCY ainsi qu’à Madame la Secrétaire Générale de la préfecture, Sous-Préfète de l'arrondissement de Nancy. Nancy, le 23 avril 2018 Pour le Préfet et par délégation, Le Directeur des Sécurités, Bertrand MERCIER ______

Arrêté portant renouvellement de l’autorisation d’un système de vidéoprotection pour l'agence BNP PARIBAS à VAL-DE-BRIEY Le Préfet de Meurthe-et-Moselle, VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU l'arrêté préfectoral 17.BCI.79 du 29 décembre 2017 accordant délégation de signature à M. Morgan TANGUY, Sous-Préfet, Directeur de Cabinet ; VU la demande présentée par Monsieur le Responsable Service Sécurité représentant l'agence BNP PARIBAS pour le renouvellement de l’autorisation d'un système de vidéoprotection situé 10 rue Maréchal Foch à VAL-DE-BRIEY (54150) ; VU l'avis émis par la Commission départementale de vidéoprotection en sa séance du 18 avril 2018 ; Sur proposition du Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet ; A R R E T E ARTICLE 1 : L’autorisation précédemment accordée, par arrêté préfectoral du 20 juin 1997, renouvelé le 17 mai 2010 et modifié le 25 juin 2013, à Monsieur le Responsable Service Sécurité représentant l'agence BNP PARIBAS est renouvelée, pour une durée de cinq ans, conformément au dossier annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2008/3403. Les caméras qui filment les zones non ouvertes au public ne sont pas autorisées par le présent arrêté et doivent être déclarées à la CNIL. ARTICLE 2 : Les dispositions prévues par le précédent arrêté demeurent applicables. ARTICLE 3 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la protection des images). ARTICLE 4 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu’au regard de la loi n°2011-267 du 14 mars 2011 susvisée. Elle est délivrée sans préjudices d’autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, codes pénal, etc.) ARTICLE 5 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de Meurthe-et-Moselle. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Nancy dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. ARTICLE 6 : Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. ARTICLE 7 : La présente autorisation devra faire l'objet d'une demande de renouvellement dans un délai de quatre mois au moins avant l'échéance de la dite autorisation. ARTICLE 8 : Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Monsieur le Responsable Service Sécurité représentant l'agence BNP PARIBAS, et dont une copie sera transmise au maire de la commune de VAL-DE-BRIEY ainsi qu’à Monsieur le Sous-Préfet de l'arrondissement de Briey. Nancy, le 19 avril 2018 Pour le Préfet et par délégation, Le Directeur des Sécurités, Bertrand MERCIER RECUEIL N° 28 1025 11 JUIN 2018

Arrêté portant renouvellement de l’autorisation d’un système de vidéoprotection pour l'agence BNP PARIBAS à CHAMPIGNEULLES

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU l'arrêté préfectoral 17.BCI.79 du 29 décembre 2017 accordant délégation de signature à M. Morgan TANGUY, Sous-Préfet, Directeur de Cabinet ; VU la demande présentée par Monsieur le Responsable Service Sécurité représentant l'agence BNP PARIBAS pour le renouvellement de l’autorisation d'un système de vidéoprotection situé 1 rue de Nancy à CHAMPIGNEULLES (54250) ; VU l'avis émis par la Commission départementale de vidéoprotection en sa séance du 18 avril 2018 ; Sur proposition du Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet ; A R R E T E ARTICLE 1 : L’autorisation précédemment accordée, par arrêté préfectoral du 20 juin 1997, modifié le 25 novembre 2008, renouvelé le 25 juin 2013, à Monsieur le Responsable Service Sécurité représentant l'agence BNP PARIBAS est renouvelée, pour une durée de cinq ans, conformément au dossier annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2008/3404. Les caméras qui filment les zones non ouvertes au public ne sont pas autorisées par le présent arrêté et doivent être déclarées à la CNIL. ARTICLE 2 : Les dispositions prévues par le précédent arrêté demeurent applicables. ARTICLE 3 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la protection des images). ARTICLE 4 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu’au regard de la loi n°2011-267 du 14 mars 2011 susvisée. Elle est délivrée sans préjudices d’autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, codes pénal, etc.) ARTICLE 5 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de Meurthe-et-Moselle. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Nancy dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. ARTICLE 6 : Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. ARTICLE 7 : La présente autorisation devra faire l'objet d'une demande de renouvellement dans un délai de quatre mois au moins avant l'échéance de la dite autorisation. ARTICLE 8 : Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet et le Colonel, Commandant le Groupement de Gendarmerie de Meurthe et Moselle sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Monsieur le Responsable Service Sécurité représentant l'agence BNP PARIBAS, et dont une copie sera transmise au maire de la commune de CHAMPIGNEULLES ainsi qu’à Madame la Secrétaire Générale de la préfecture, Sous-Préfète de l'arrondissement de Nancy. Nancy, le 19 avril 2018 Pour le Préfet et par délégation, Le Directeur des Sécurités, Bertrand MERCIER ______

Arrêté portant renouvellement de l’autorisation d’un système de vidéoprotection pour l'agence BNP PARIBAS à VANDOEUVRE-LES- NANCY

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU l'arrêté préfectoral 17.BCI.79 du 29 décembre 2017 accordant délégation de signature à M. Morgan TANGUY, Sous-Préfet, Directeur de Cabinet ; VU la demande présentée par Monsieur le Responsable Service Sécurité représentant l'agence BNP PARIBAS pour le renouvellement de l’autorisation d'un système de vidéoprotection situé 5 rue de Remich à VANDOEUVR-LES-NANCY (54500) ; VU l'avis émis par la Commission départementale de vidéoprotection en sa séance du 18 avril 2018 ; Sur proposition du Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet ; A R R E T E ARTICLE 1 : L’autorisation précédemment accordée, par arrêté préfectoral du 20 juin 1997, modifié le 12 février 2008 et renouvelé le 25 juin 2013, à Monsieur le Responsable Service Sécurité représentant l'agence BNP PARIBAS est renouvelée, pour une durée de cinq ans, conformément au dossier annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2008/3420. Les caméras qui filment les zones non ouvertes au public ne sont pas autorisées par le présent arrêté et doivent être déclarées à la CNIL. ARTICLE 2 : Les dispositions prévues par le précédent arrêté demeurent applicables. ARTICLE 3 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la protection des images). ARTICLE 4 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu’au regard de la loi n°2011-267 du 14 mars 2011 susvisée. Elle est délivrée sans préjudices d’autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, codes pénal, etc.) ARTICLE 5 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de Meurthe-et-Moselle. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Nancy dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. ARTICLE 6 : Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. ARTICLE 7 : La présente autorisation devra faire l'objet d'une demande de renouvellement dans un délai de quatre mois au moins avant l'échéance de la dite autorisation. ARTICLE 8 : Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Monsieur le Responsable Service Sécurité représentant l'agence BNP PARIBAS, et dont une copie sera transmise au maire de la commune de VANDOEUVRE-LES-NANCY ainsi qu’à Madame la Secrétaire Générale de la préfecture, Sous-Préfète de l'arrondissement de Nancy. Nancy, le 19 avril 2018 Pour le Préfet et par délégation, Le Directeur des Sécurités, Bertrand MERCIER RECUEIL N° 28 1026 11 JUIN 2018

Arrêté portant renouvellement de l’autorisation d’un système de vidéoprotection pour la BANQUE POPULAIRE ALSACE LORRAINE CHAMPAGNE à JARNY

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU l'arrêté préfectoral 17.BCI.79 du 29 décembre 2017 accordant délégation de signature à M. Morgan TANGUY, Sous-Préfet, Directeur de Cabinet ; VU la demande présentée par la Direction Sécurité représentant la BANQUE POPULAIRE ALSACE LORRAINE CHAMPAGNE pour le renouvellement de l’autorisation d'un système de vidéoprotection situé 4 Rue Gambetta à JARNY (54800) ; VU l'avis émis par la Commission départementale de vidéoprotection en sa séance du 18 avril 2018 ; Sur proposition du Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet ; A R R E T E ARTICLE 1 : L’autorisation précédemment accordée, par arrêté préfectoral du 27 mai 1997, renouvelé le 10 avril 1998, modifié le 21 janvier 2008, renouvelé le 14 juin 2013 à la Direction Sécurité représentant la BANQUE POPULAIRE ALSACE LORRAINE CHAMPAGNE est renouvelée, pour une durée de cinq ans, conformément au dossier annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2008/3424. Les caméras qui filment les zones non ouvertes au public ne sont pas autorisées par le présent arrêté et doivent être déclarées à la CNIL. ARTICLE 2 : Les dispositions prévues par le précédent arrêté demeurent applicables. ARTICLE 3 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la protection des images). ARTICLE 4 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu’au regard de la loi n°2011-267 du 14 mars 2011 susvisée. Elle est délivrée sans préjudices d’autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, codes pénal, etc.) ARTICLE 5 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de Meurthe-et-Moselle. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Nancy dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. ARTICLE 6 : Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. ARTICLE 7 : La présente autorisation devra faire l'objet d'une demande de renouvellement dans un délai de quatre mois au moins avant l'échéance de la dite autorisation. ARTICLE 8 : Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à la Direction Sécurité représentant la BANQUE POPULAIRE ALSACE LORRAINE CHAMPAGNE, et dont une copie sera transmise au maire de la commune de JARNY ainsi qu’à Monsieur le Sous-Préfet de l'arrondissement de Briey. Nancy, le 19 avril 2018 Pour le Préfet et par délégation, Le Directeur des Sécurités, Bertrand MERCIER ______

Arrêté portant renouvellement de l’autorisation d’un système de vidéoprotection pour la BANQUE POPULAIRE ALSACE LORRAINE CHAMPAGNE à JOEUF

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU l'arrêté préfectoral 17.BCI.79 du 29 décembre 2017 accordant délégation de signature à M. Morgan TANGUY, Sous-Préfet, Directeur de Cabinet ; VU la demande présentée par la Direction Sécurité représentant la BANQUE POPULAIRE ALSACE LORRAINE CHAMPAGNE pour le renouvellement de l’autorisation d'un système de vidéoprotection situé 57 Rue de Franchepré à JOEUF (54240) ; VU l'avis émis par la Commission départementale de vidéoprotection en sa séance du 18 avril 2018 ; Sur proposition du Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet ; A R R E T E ARTICLE 1 : L’autorisation précédemment accordée, par arrêté préfectoral du 20 juin 1997, modifié le 21 janvier 2008, renouvelé le 14 juin 2013 à la Direction Sécurité représentant la BANQUE POPULAIRE ALSACE LORRAINE CHAMPAGNE est renouvelée, pour une durée de cinq ans, conformément au dossier annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2008/3426. Les caméras qui filment les zones non ouvertes au public ne sont pas autorisées par le présent arrêté et doivent être déclarées à la CNIL. ARTICLE 2 : Les dispositions prévues par le précédent arrêté demeurent applicables. ARTICLE 3 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la protection des images). ARTICLE 4 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu’au regard de la loi n°2011-267 du 14 mars 2011 susvisée. Elle est délivrée sans préjudices d’autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, codes pénal, etc.) ARTICLE 5 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de Meurthe-et-Moselle. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Nancy dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. ARTICLE 6 : Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. ARTICLE 7 : La présente autorisation devra faire l'objet d'une demande de renouvellement dans un délai de quatre mois au moins avant l'échéance de la dite autorisation. ARTICLE 8 : Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à la Direction Sécurité représentant la BANQUE POPULAIRE ALSACE LORRAINE CHAMPAGNE, et dont une copie sera transmise au maire de la commune de JOEUF ainsi qu’à Monsieur le Sous-Préfet de l'arrondissement de Briey. Nancy, le 19 avril 2018 Pour le Préfet et par délégation, Le Directeur des Sécurités, Bertrand MERCIER RECUEIL N° 28 1027 11 JUIN 2018

Arrêté portant renouvellement de l’autorisation d’un système de vidéoprotection pour le Crédit Agricole à DOMBASLE-SUR- MEURTHE

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU l'arrêté préfectoral 17.BCI.79 du 29 décembre 2017 accordant délégation de signature à M. Morgan TANGUY, Sous-Préfet, Directeur de Cabinet ; VU la demande présentée par Monsieur le Responsable Sécurité représentant le Crédit Agricole pour le renouvellement de l’autorisation d'un système de vidéoprotection situé 2 rue Jeanne d'Arc à DOMBASLE-SUR-MEURTHE (54110) ; VU l'avis émis par la Commission départementale de vidéoprotection en sa séance du 18 avril 2018 ; Sur proposition du Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet ; A R R E T E ARTICLE 1 : L’autorisation précédemment accordée, par arrêté préfectoral du 11 avril 1997, modifié le 15 février 2005, renouvelé le 5 février 2013 et modifié le 26 novembre 2013 à Monsieur le Responsable Sécurité représentant le Crédit Agricole est renouvelée, pour une durée de cinq ans, conformément au dossier annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2008/3888. Les caméras qui filment les zones non ouvertes au public ne sont pas autorisées par le présent arrêté et doivent être déclarées à la CNIL. ARTICLE 2 : Les dispositions prévues par le précédent arrêté demeurent applicables. ARTICLE 3 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la protection des images). ARTICLE 4 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu’au regard de la loi n°2011-267 du 14 mars 2011 susvisée. Elle est délivrée sans préjudices d’autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, codes pénal, etc.) ARTICLE 5 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de Meurthe-et-Moselle. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Nancy dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. ARTICLE 6 : Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. ARTICLE 7 : La présente autorisation devra faire l'objet d'une demande de renouvellement dans un délai de quatre mois au moins avant l'échéance de la dite autorisation. ARTICLE 8 : Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Monsieur le Responsable Sécurité représentant le Crédit Agricole, et dont une copie sera transmise au maire de la commune de DOMBASLE-SUR-MEURTHE ainsi qu’à Madame la Secrétaire Générale de la préfecture, Sous-Préfète de l'arrondissement de Nancy. Nancy, le 19 avril 2018 Pour le Préfet et par délégation, Le Directeur des Sécurités, Bertrand MERCIER ______

Arrêté portant renouvellement de l’autorisation d’un système de vidéoprotection pour le Crédit Agricole de Lorraine à JOEUF

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU l'arrêté préfectoral 17.BCI.79 du 29 décembre 2017 accordant délégation de signature à M. Morgan TANGUY, Sous-Préfet, Directeur de Cabinet ; VU la demande présentée par Monsieur le Responsable Sécurité représentant le Crédit Agricole de Lorraine pour le renouvellement de l’autorisation d'un système de vidéoprotection situé 10 Place de l'Hôtel de Ville à JOEUF (54240) ; VU l'avis émis par la Commission départementale de vidéoprotection en sa séance du 18 avril 2018 ; Sur proposition du Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet ; A R R E T E ARTICLE 1 : L’autorisation précédemment accordée, par arrêté préfectoral du 11 avril 1997, modifié le 30 septembre 2008 et le 4 avril 2012 à Monsieur le Responsable Sécurité représentant le Crédit Agricole de Lorraine est renouvelée, pour une durée de cinq ans, conformément au dossier annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2008/3899. Les caméras qui filment les zones non ouvertes au public ne sont pas autorisées par le présent arrêté et doivent être déclarées à la CNIL. ARTICLE 2 : Les dispositions prévues par le précédent arrêté demeurent applicables. ARTICLE 3 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la protection des images). ARTICLE 4 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu’au regard de la loi n°2011-267 du 14 mars 2011 susvisée. Elle est délivrée sans préjudices d’autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, codes pénal, etc.) ARTICLE 5 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de Meurthe-et-Moselle. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Nancy dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. ARTICLE 6 : Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. ARTICLE 7 : La présente autorisation devra faire l'objet d'une demande de renouvellement dans un délai de quatre mois au moins avant l'échéance de la dite autorisation. ARTICLE 8 : Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Monsieur le Responsable Sécurité représentant le Crédit Agricole de Lorraine, et dont une copie sera transmise au maire de la commune de JOEUF ainsi qu’à Monsieur le Sous-Préfet de l'arrondissement de Briey. Nancy, le 19 avril 2018 Pour le Préfet et par délégation, Le Directeur des Sécurités, Bertrand MERCIER RECUEIL N° 28 1028 11 JUIN 2018

Arrêté portant renouvellement de l’autorisation d’un système de vidéoprotection pour Relais ANTHELUPT - TOTAL MARKETING FRANCE à VITRIMONT

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU l'arrêté préfectoral 17.BCI.79 du 29 décembre 2017 accordant délégation de signature à M. Morgan TANGUY, Sous-Préfet, Directeur de Cabinet ; VU la demande présentée par Monsieur Jamal BOUNOUA représentant Relais ANTHELUPT - TOTAL MARKETING FRANCE pour le renouvellement de l’autorisation d'un système de vidéoprotection situé 33 Aire d'Anthelupt à VITRIMONT (54300) ; VU l'avis émis par la Commission départementale de vidéoprotection en sa séance du 18 avril 2018 ; Sur proposition du Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet ; A R R E T E ARTICLE 1 : L’autorisation précédemment accordée, par arrêté préfectoral du 19 mars 2003, à Monsieur Jamal BOUNOUA représentant Relais ANTHELUPT - TOTAL MARKETING FRANCE est renouvelée, pour une durée de cinq ans, conformément au dossier annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2008/3971. ARTICLE 2 : Les dispositions prévues par le précédent arrêté demeurent applicables. ARTICLE 3 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la protection des images). ARTICLE 4 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu’au regard de la loi n°2011-267 du 14 mars 2011 susvisée. Elle est délivrée sans préjudices d’autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, codes pénal, etc.) ARTICLE 5 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de Meurthe-et-Moselle. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Nancy dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. ARTICLE 6 : Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. ARTICLE 7 : La présente autorisation devra faire l'objet d'une demande de renouvellement dans un délai de quatre mois au moins avant l'échéance de la dite autorisation. ARTICLE 8 : Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet et le Colonel, Commandant le Groupement de Gendarmerie de Meurthe et Moselle sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Monsieur Jamal BOUNOUA représentant Relais ANTHELUPT - TOTAL MARKETING FRANCE, et dont une copie sera transmise au maire de la commune de VITRIMONT ainsi qu’à Monsieur le Sous-Préfet de l'arrondissement de Lunéville. Nancy, le 23 avril 2018 Pour le Préfet et par délégation, Le Directeur des Sécurités, Bertrand MERCIER ______

Arrêté portant renouvellement de l’autorisation d’un système de vidéoprotection pour LA POSTE Direction Régionale de Lorraine à BAYON

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU l'arrêté préfectoral 17.BCI.79 du 29 décembre 2017 accordant délégation de signature à M. Morgan TANGUY, Sous-Préfet, Directeur de Cabinet ; VU la demande présentée par Monsieur le Directeur Régional Sûreté représentant LA POSTE Direction Régionale de Lorraine pour le renouvellement de l’autorisation d'un système de vidéoprotection situé 18 avenue de la Gare à BAYON (54290) ; VU l'avis émis par la Commission départementale de vidéoprotection en sa séance du 18 avril 2018 ; Sur proposition du Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet ; A R R E T E ARTICLE 1 : L’autorisation précédemment accordée, par arrêté préfectoral du 09 novembre 2005, renouvelé le 25 octobre 2013, à Monsieur le Directeur Régional Sûreté représentant LA POSTE Direction Régionale de Lorraine est renouvelée, pour une durée de cinq ans, conformément au dossier annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2008/4289. Les caméras qui filment les zones non ouvertes au public ne sont pas autorisées par le présent arrêté et doivent être déclarées à la CNIL. ARTICLE 2 : Les dispositions prévues par le précédent arrêté demeurent applicables. ARTICLE 3 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la protection des images). ARTICLE 4 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu’au regard de la loi n°2011-267 du 14 mars 2011 susvisée. Elle est délivrée sans préjudices d’autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, codes pénal, etc.) ARTICLE 5 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de Meurthe-et-Moselle. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Nancy dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. ARTICLE 6 : Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. ARTICLE 7 : La présente autorisation devra faire l'objet d'une demande de renouvellement dans un délai de quatre mois au moins avant l'échéance de la dite autorisation. ARTICLE 8 : Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet et le Colonel, Commandant le Groupement de Gendarmerie de Meurthe et Moselle sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Monsieur le Directeur Régional Sûreté représentant LA POSTE Direction Régionale de Lorraine, et dont une copie sera transmise au maire de la commune de BAYON ainsi qu’à Monsieur le Sous-Préfet de l'arrondissement de Lunéville. Nancy, le 19 avril 2018 Pour le Préfet et par délégation, Le Directeur des Sécurités, Bertrand MERCIER RECUEIL N° 28 1029 11 JUIN 2018

Arrêté portant renouvellement de l’autorisation d’un système de vidéoprotection pour LA POSTE Direction Régionale de Lorraine à HOMECOURT

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle, VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU l'arrêté préfectoral 17.BCI.79 du 29 décembre 2017 accordant délégation de signature à M. Morgan TANGUY, Sous-Préfet, Directeur de Cabinet ; VU la demande présentée par Monsieur le Directeur régional Sûreté représentant LA POSTE Direction Régionale de Lorraine pour le renouvellement de l’autorisation d'un système de vidéoprotection situé 10 Rue Jeanne d’Arc à HOMECOURT (54310) ; VU l'avis émis par la Commission départementale de vidéoprotection en sa séance du 18 avril 2018 ; Sur proposition du Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet ; A R R E T E ARTICLE 1 : L’autorisation précédemment accordée, par arrêté préfectoral du 15 avril 2005, modifié le 7 avril 2008 et le 25 novembre 2013, à Monsieur le Directeur régional Sûreté représentant LA POSTE Direction Régionale de Lorraine est renouvelée, pour une durée de cinq ans, conformément au dossier annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2008/4319. Les caméras qui filment les zones non ouvertes au public ne sont pas autorisées par le présent arrêté et doivent être déclarées à la CNIL. ARTICLE 2 : Les dispositions prévues par le précédent arrêté demeurent applicables. ARTICLE 3 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la protection des images). ARTICLE 4 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu’au regard de la loi n°2011-267 du 14 mars 2011 susvisée. Elle est délivrée sans préjudices d’autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, codes pénal, etc.) ARTICLE 5 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de Meurthe-et-Moselle. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Nancy dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. ARTICLE 6 : Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. ARTICLE 7 : La présente autorisation devra faire l'objet d'une demande de renouvellement dans un délai de quatre mois au moins avant l'échéance de la dite autorisation. ARTICLE 8 : Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Monsieur le Directeur régional Sûreté représentant LA POSTE Direction Régionale de Lorraine, et dont une copie sera transmise au maire de la commune de HOMECOURT ainsi qu’à Monsieur le Sous-Préfet de l'arrondissement de Briey. Nancy, le 19 avril 2018 Pour le Préfet et par délégation, Le Directeur des Sécurités, Bertrand MERCIER ______

Arrêté portant renouvellement de l’autorisation d’un système de vidéoprotection pour LA POSTE Direction Régionale de Lorraine à LAY-SAINT-CHRISTOPHE

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle, VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU l'arrêté préfectoral 17.BCI.79 du 29 décembre 2017 accordant délégation de signature à M. Morgan TANGUY, Sous-Préfet, Directeur de Cabinet ; VU la demande présentée par Monsieur le Directeur Régional Sûreté représentant LA POSTE Direction Régionale de Lorraine pour le renouvellement de l’autorisation d'un système de vidéoprotection situé 2 rue Jules Ferry à LAY-SAINT-CHRISTOPHE (54690) ; VU l'avis émis par la Commission départementale de vidéoprotection en sa séance du 18 avril 2018 ; Sur proposition du Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet ; A R R E T E ARTICLE 1 : L’autorisation précédemment accordée, par arrêté préfectoral du 11 janvier 2001,renouvelé le 25 novembre 2013, à Monsieur le Directeur Régional Sûreté représentant LA POSTE Direction Régionale de Lorraine est renouvelée, pour une durée de cinq ans, conformément au dossier annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2008/4327. Les caméras qui filment les zones non ouvertes au public ne sont pas autorisées par le présent arrêté et doivent être déclarées à la CNIL. ARTICLE 2 : Les dispositions prévues par le précédent arrêté demeurent applicables. ARTICLE 3 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la protection des images). ARTICLE 4 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu’au regard de la loi n°2011-267 du 14 mars 2011 susvisée. Elle est délivrée sans préjudices d’autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, codes pénal, etc.) ARTICLE 5 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de Meurthe-et-Moselle. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Nancy dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. ARTICLE 6 : Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. ARTICLE 7 : La présente autorisation devra faire l'objet d'une demande de renouvellement dans un délai de quatre mois au moins avant l'échéance de la dite autorisation. ARTICLE 8 : Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet et le Colonel, Commandant le Groupement de Gendarmerie de Meurthe et Moselle sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Monsieur le Directeur Régional Sûreté représentant LA POSTE Direction Régionale de Lorraine, et dont une copie sera transmise au maire de la commune de LAY-SAINT- CHRISTOPHE ainsi qu’à Madame la Secrétaire Générale de la préfecture, Sous-Préfète de l'arrondissement de Nancy. Nancy, le 19 avril 2018 Pour le Préfet et par délégation, Le Directeur des Sécurités, Bertrand MERCIER RECUEIL N° 28 1030 11 JUIN 2018

Arrêté portant renouvellement de l’autorisation d’un système de vidéoprotection pour LA POSTE Direction Régionale de Lorraine à LIVERDUN

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU l'arrêté préfectoral 17.BCI.79 du 29 décembre 2017 accordant délégation de signature à M. Morgan TANGUY, Sous-Préfet, Directeur de Cabinet ; VU la demande présentée par Monsieur le Directeur régional Sûreté représentant LA POSTE Direction Régionale de Lorraine pour le renouvellement de l’autorisation d'un système de vidéoprotection situé 15bis rue de la Gare à LIVERDUN (54460) ; VU l'avis émis par la Commission départementale de vidéoprotection en sa séance du 18 avril 2018 ; Sur proposition du Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet ; A R R E T E ARTICLE 1 : L’autorisation précédemment accordée, par arrêté préfectoral du 11 janvier 2001, renouvelé le 25 novembre 2013 à Monsieur le Directeur régional Sûreté représentant LA POSTE Direction Régionale de Lorraine est renouvelée, pour une durée de cinq ans, conformément au dossier annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2008/4330. Les caméras qui filment les zones non ouvertes au public ne sont pas autorisées par le présent arrêté et doivent être déclarées à la CNIL. ARTICLE 2 : Les dispositions prévues par le précédent arrêté demeurent applicables. ARTICLE 3 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la protection des images). ARTICLE 4 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu’au regard de la loi n°2011-267 du 14 mars 2011 susvisée. Elle est délivrée sans préjudices d’autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, codes pénal, etc.) ARTICLE 5 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de Meurthe-et-Moselle. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Nancy dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. ARTICLE 6 : Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. ARTICLE 7 : La présente autorisation devra faire l'objet d'une demande de renouvellement dans un délai de quatre mois au moins avant l'échéance de la dite autorisation. ARTICLE 8 : Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet et le Colonel, Commandant le Groupement de Gendarmerie de Meurthe et Moselle sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Monsieur le Directeur régional Sûreté représentant LA POSTE Direction Régionale de Lorraine, et dont une copie sera transmise au maire de la commune de LIVERDUN ainsi qu’à Monsieur le Sous-Préfet de l'arrondissement de Toul. Nancy, le 19 avril 2018 Pour le Préfet et par délégation, Le Directeur des Sécurités, Bertrand MERCIER ______

Arrêté portant renouvellement de l’autorisation d’un système de vidéoprotection pour LA POSTE Direction Régionale de Lorraine à THIL

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU l'arrêté préfectoral 17.BCI.79 du 29 décembre 2017 accordant délégation de signature à M. Morgan TANGUY, Sous-Préfet, Directeur de Cabinet ; VU la demande présentée par Monsieur le Directeur régional Sûreté représentant LA POSTE Direction Régionale de Lorraine pour le renouvellement de l’autorisation d'un système de vidéoprotection situé Place du 8 Mai 1945 à THIL (54880) ; VU l'avis émis par la Commission départementale de vidéoprotection en sa séance du 18 avril 2018 ; Sur proposition du Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet ; A R R E T E ARTICLE 1 : L’autorisation précédemment accordée, par arrêté préfectoral du 5 février 2008, renouvelé le 25 novembre 2013, à Monsieur le Directeur régional Sûreté représentant LA POSTE Direction Régionale de Lorraine est renouvelée, pour une durée de cinq ans, conformément au dossier annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2008/4376. Les caméras qui filment les zones non ouvertes au public ne sont pas autorisées par le présent arrêté et doivent être déclarées à la CNIL. ARTICLE 2 : Les dispositions prévues par le précédent arrêté demeurent applicables. ARTICLE 3 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la protection des images). ARTICLE 4 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu’au regard de la loi n°2011-267 du 14 mars 2011 susvisée. Elle est délivrée sans préjudices d’autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, codes pénal, etc.) ARTICLE 5 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de Meurthe-et-Moselle. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Nancy dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. ARTICLE 6 : Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. ARTICLE 7 : La présente autorisation devra faire l'objet d'une demande de renouvellement dans un délai de quatre mois au moins avant l'échéance de la dite autorisation. ARTICLE 8 : Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Monsieur le Directeur régional Sûreté représentant LA POSTE Direction Régionale de Lorraine, et dont une copie sera transmise au maire de la commune de THIL ainsi qu’à Monsieur le Sous-Préfet de l'arrondissement de Briey. Nancy, le 19 avril 2018 Pour le Préfet et par délégation, Le Directeur des Sécurités, Bertrand MERCIER RECUEIL N° 28 1031 11 JUIN 2018

Arrêté portant renouvellement de l’autorisation d’un système de vidéoprotection pour la SARL Bijouterie CROSSE à CHAMPIGNEULLES

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU l'arrêté préfectoral 17.BCI.79 du 29 décembre 2017 accordant délégation de signature à M. Morgan TANGUY, Sous-Préfet, Directeur de Cabinet ; VU la demande présentée par Madame Véronique MOREAU représentant la SARL Bijouterie CROSSE pour le renouvellement de l’autorisation d'un système de vidéoprotection situé 27 rue de Nancy à CHAMPIGNEULLES (54250) ; VU l'avis émis par la Commission départementale de vidéoprotection en sa séance du 18 avril 2018 ; Sur proposition du Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet ; A R R E T E ARTICLE 1 : L’autorisation précédemment accordée, par arrêté préfectoral du 2 juillet 2010, à Madame Véronique MOREAU représentant la SARL Bijouterie CROSSE est renouvelée, pour une durée de cinq ans, conformément au dossier annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2010/0031. ARTICLE 2 : Les dispositions prévues par le précédent arrêté demeurent applicables. ARTICLE 3 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la protection des images). ARTICLE 4 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu’au regard de la loi n°2011-267 du 14 mars 2011 susvisée. Elle est délivrée sans préjudices d’autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, codes pénal, etc.) ARTICLE 5 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de Meurthe-et-Moselle. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Nancy dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. ARTICLE 6 : Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. ARTICLE 7 : La présente autorisation devra faire l'objet d'une demande de renouvellement dans un délai de quatre mois au moins avant l'échéance de la dite autorisation. ARTICLE 8 : Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet et le Colonel, Commandant le Groupement de Gendarmerie de Meurthe et Moselle sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Madame Véronique MOREAU représentant la SARL Bijouterie CROSSE, et dont une copie sera transmise au maire de la commune de CHAMPIGNEULLES ainsi qu’à Madame la Secrétaire Générale de la préfecture, Sous-Préfète de l'arrondissement de Nancy. Nancy, le 4 mai 2018 Pour le Préfet et par délégation, Le Directeur des Sécurités, Bertrand MERCIER ______

Arrêté portant renouvellement de l’autorisation d’un système de vidéoprotection pour LA POSTE Direction Régionale de Lorraine à RICHARDMENIL

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU l'arrêté préfectoral 17.BCI.79 du 29 décembre 2017 accordant délégation de signature à M. Morgan TANGUY, Sous-Préfet, Directeur de Cabinet ; VU la demande présentée par Monsieur le Directeur Régional Sûreté représentant LA POSTE Direction Régionale de Lorraine pour le renouvellement de l’autorisation d'un système de vidéoprotection situé 61 rue du Général de Gaulle à RICHARDMENIL (54630) ; VU l'avis émis par la Commission départementale de vidéoprotection en sa séance du 18 avril 2018 ; Sur proposition du Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet ; A R R E T E ARTICLE 1 : L’autorisation précédemment accordée, par arrêté préfectoral du 24 avril 2008, renouvelé le 25 novembre 2013, à Monsieur le Directeur Régional Sûreté représentant LA POSTE Direction Régionale de Lorraine est renouvelée, pour une durée de cinq ans, conformément au dossier annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0114. Les caméras qui filment les zones non ouvertes au public ne sont pas autorisées par le présent arrêté et doivent être déclarées à la CNIL. ARTICLE 2 : Les dispositions prévues par le précédent arrêté demeurent applicables. ARTICLE 3 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la protection des images). ARTICLE 4 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu’au regard de la loi n°2011-267 du 14 mars 2011 susvisée. Elle est délivrée sans préjudices d’autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, codes pénal, etc.) ARTICLE 5 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de Meurthe-et-Moselle. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Nancy dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. ARTICLE 6 : Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. ARTICLE 7 : La présente autorisation devra faire l'objet d'une demande de renouvellement dans un délai de quatre mois au moins avant l'échéance de la dite autorisation. ARTICLE 8 : Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet et le Colonel, Commandant le Groupement de Gendarmerie de Meurthe et Moselle sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Monsieur le Directeur Régional Sûreté représentant LA POSTE Direction Régionale de Lorraine, et dont une copie sera transmise au maire de la commune de RICHARDMENIL ainsi qu’à Madame la Secrétaire Générale de la préfecture, Sous-Préfète de l'arrondissement de Nancy. Nancy, le 19 avril 2018 Pour le Préfet et par délégation, Le Directeur des Sécurités, Bertrand MERCIER RECUEIL N° 28 1032 11 JUIN 2018

Arrêté portant renouvellement de l’autorisation d’un système de vidéoprotection pour LA POSTE Direction Régionale de Lorraine à NOMENY

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU l'arrêté préfectoral 17.BCI.79 du 29 décembre 2017 accordant délégation de signature à M. Morgan TANGUY, Sous-Préfet, Directeur de Cabinet ; VU la demande présentée par Monsieur le Directeur régional Sûreté représentant LA POSTE Direction Régionale de Lorraine pour le renouvellement de l’autorisation d'un système de vidéoprotection situé 4 bis rue du Grand Couronné à NOMENY (54610) ; VU l'avis émis par la Commission départementale de vidéoprotection en sa séance du 18 avril 2018 ; Sur proposition du Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet ; A R R E T E ARTICLE 1 : L’autorisation précédemment accordée, par arrêté préfectoral du 24 avril 2008, renouvelé le 25 novembre 2013, à Monsieur le Directeur régional Sûreté représentant LA POSTE Direction Régionale de Lorraine est renouvelée, pour une durée de cinq ans, conformément au dossier annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0115. Les caméras qui filment les zones non ouvertes au public ne sont pas autorisées par le présent arrêté et doivent être déclarées à la CNIL. ARTICLE 2 : Les dispositions prévues par le précédent arrêté demeurent applicables. ARTICLE 3 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la protection des images). ARTICLE 4 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu’au regard de la loi n° 2011-267 du 14 mars 2011 susvisée. Elle est délivrée sans préjudices d’autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, codes pénal, etc.) ARTICLE 5 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de Meurthe-et-Moselle. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Nancy dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. ARTICLE 6 : Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. ARTICLE 7 : La présente autorisation devra faire l'objet d'une demande de renouvellement dans un délai de quatre mois au moins avant l'échéance de la dite autorisation. ARTICLE 8 : Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet et le Colonel, Commandant le Groupement de Gendarmerie de Meurthe et Moselle sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Monsieur le Directeur régional Sûreté représentant LA POSTE Direction Régionale de Lorraine, et dont une copie sera transmise au maire de la commune de NOMENY ainsi qu’à Madame la Secrétaire Générale de la préfecture, Sous-Préfète de l'arrondissement de Nancy. Nancy, le 19 avril 2018 Pour le Préfet et par délégation, Le Directeur des Sécurités, Bertrand MERCIER ______

Arrêté portant renouvellement de l’autorisation d’un système de vidéoprotection pour LA POSTE Direction Régionale de Lorraine à VEZELISE

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU l'arrêté préfectoral 17.BCI.79 du 29 décembre 2017 accordant délégation de signature à M. Morgan TANGUY, Sous-Préfet, Directeur de Cabinet ; VU la demande présentée par Monsieur le Directeur régional Sûreté représentant LA POSTE Direction Régionale de Lorraine pour le renouvellement de l’autorisation d'un système de vidéoprotection situé 2 rue Marcel Astorg à VEZELISE (54330) ; VU l'avis émis par la Commission départementale de vidéoprotection en sa séance du 18 avril 2018 ; Sur proposition du Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet ; A R R E T E ARTICLE 1 : L’autorisation précédemment accordée, par arrêté préfectoral du 24 avril 2008, renouvelé le 25 novembre 2013, à Monsieur le Directeur régional Sûreté représentant LA POSTE Direction Régionale de Lorraine est renouvelée, pour une durée de cinq ans, conformément au dossier annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0116. Les caméras qui filment les zones non ouvertes au public ne sont pas autorisées par le présent arrêté et doivent être déclarées à la CNIL. ARTICLE 2 : Les dispositions prévues par le précédent arrêté demeurent applicables. ARTICLE 3 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la protection des images). ARTICLE 4 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu’au regard de la loi n°2011-267 du 14 mars 2011 susvisée. Elle est délivrée sans préjudices d’autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, codes pénal, etc.) ARTICLE 5 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de Meurthe-et-Moselle. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Nancy dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. ARTICLE 6 : Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. ARTICLE 7 : La présente autorisation devra faire l'objet d'une demande de renouvellement dans un délai de quatre mois au moins avant l'échéance de la dite autorisation. ARTICLE 8 : Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet et le Colonel, Commandant le Groupement de Gendarmerie de Meurthe et Moselle sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Monsieur le Directeur régional Sûreté représentant LA POSTE Direction Régionale de Lorraine, et dont une copie sera transmise au maire de la commune de VEZELISE ainsi qu’à Madame la Secrétaire Générale de la préfecture, Sous-Préfète de l'arrondissement de Nancy. Nancy, le 19 avril 2018 Pour le Préfet et par délégation, Le Directeur des Sécurités, Bertrand MERCIER RECUEIL N° 28 1033 11 JUIN 2018

Arrêté portant renouvellement de l’autorisation d’un système de vidéoprotection pour LA POSTE Direction Régionale de Lorraine à AUBOUE

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU l'arrêté préfectoral 17.BCI.79 du 29 décembre 2017 accordant délégation de signature à M. Morgan TANGUY, Sous-Préfet, Directeur de Cabinet ; VU la demande présentée par Monsieur le Directeur régional Sûreté représentant LA POSTE Direction Régionale de Lorraine pour le renouvellement de l’autorisation d'un système de vidéoprotection situé 2 place Albert Lebrun à AUBOUE (54580) ; VU l'avis émis par la Commission départementale de vidéoprotection en sa séance du 18 avril 2018 ; Sur proposition du Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet ; A R R E T E ARTICLE 1 : L’autorisation précédemment accordée, par arrêté préfectoral du 24 avril 2008, renouvelé le 25 novembre 2013, à Monsieur le Directeur régional Sûreté représentant LA POSTE Direction Régionale de Lorraine est renouvelée, pour une durée de cinq ans, conformément au dossier annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0117. Les caméras qui filment les zones non ouvertes au public ne sont pas autorisées par le présent arrêté et doivent être déclarées à la CNIL. ARTICLE 2 : Les dispositions prévues par le précédent arrêté demeurent applicables. ARTICLE 3 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la protection des images). ARTICLE 4 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu’au regard de la loi n°2011-267 du 14 mars 2011 susvisée. Elle est délivrée sans préjudices d’autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, codes pénal, etc.) ARTICLE 5 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de Meurthe-et-Moselle. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Nancy dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. ARTICLE 6 : Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. ARTICLE 7 : La présente autorisation devra faire l'objet d'une demande de renouvellement dans un délai de quatre mois au moins avant l'échéance de la dite autorisation. ARTICLE 8 : Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Monsieur le Directeur régional Sûreté représentant LA POSTE Direction Régionale de Lorraine, et dont une copie sera transmise au maire de la commune de AUBOUE ainsi qu’à Monsieur le Sous-Préfet de l'arrondissement de Briey. Nancy, le 19 avril 2018 Pour le Préfet et par délégation, Le Directeur des Sécurités, Bertrand MERCIER ______

Arrêté portant renouvellement de l’autorisation d’un système de vidéoprotection pour l'agence ORANGE FRANCE TELECOM à NANCY

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU l'arrêté préfectoral 17.BCI.79 du 29 décembre 2017 accordant délégation de signature à M. Morgan TANGUY, Sous-Préfet, Directeur de Cabinet ; VU la demande présentée par Monsieur Hubert CARLEN représentant l'agence ORANGE FRANCE TELECOM pour le renouvellement de l’autorisation d'un système de vidéoprotection situé 8 rue Saint Thiebaut à NANCY (54000) ; VU l'avis émis par la Commission départementale de vidéoprotection en sa séance du 18 avril 2018 ; Sur proposition du Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet ; A R R E T E ARTICLE 1 : L’autorisation précédemment accordée, par arrêté préfectoral du 11 octobre 2012, à Monsieur Hubert CARLEN représentant l'agence ORANGE FRANCE TELECOM est renouvelée, pour une durée de cinq ans, conformément au dossier annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2012/0224. ARTICLE 2 : Les dispositions prévues par le précédent arrêté demeurent applicables. ARTICLE 3 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la protection des images). ARTICLE 4 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu’au regard de la loi n°2011-267 du 14 mars 2011 susvisée. Elle est délivrée sans préjudices d’autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, codes pénal, etc.) ARTICLE 5 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de Meurthe-et-Moselle. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Nancy dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. ARTICLE 6 : Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. ARTICLE 7 : La présente autorisation devra faire l'objet d'une demande de renouvellement dans un délai de quatre mois au moins avant l'échéance de la dite autorisation. ARTICLE 8 : Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Monsieur Hubert CARLEN représentant l'agence ORANGE FRANCE TELECOM, et dont une copie sera transmise au maire de la commune de NANCY ainsi qu’à Madame la Secrétaire Générale de la préfecture, Sous-Préfète de l'arrondissement de Nancy. Nancy, le 26 avril 2018 Pour le Préfet et par délégation, Le Directeur des Sécurités, Bertrand MERCIER RECUEIL N° 28 1034 11 JUIN 2018

Arrêté portant renouvellement de l’autorisation d’un système de vidéoprotection pour la MAIRIE DE BATILLY à BATILLY

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU l'arrêté préfectoral 17.BCI.79 du 29 décembre 2017 accordant délégation de signature à M. Morgan TANGUY, Sous-Préfet, Directeur de Cabinet ; VU la demande présentée par Monsieur Robert DEFER, Maire de BATILLY pour le renouvellement de l’autorisation d'un système de vidéoprotection situé place de l'Eglise à BATILLY (54980) ; VU l'avis émis par la Commission départementale de vidéoprotection en sa séance du 18 avril 2018 ; Sur proposition du Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet ; A R R E T E ARTICLE 1 : L’autorisation précédemment accordée, par arrêté préfectoral du 6 juin 2013, à Monsieur Robert DEFER, Maire de BATILLY est renouvelée, pour une durée de cinq ans, conformément au dossier annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2013/0031. ARTICLE 2 : Les dispositions prévues par le précédent arrêté demeurent applicables. ARTICLE 3 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la protection des images). ARTICLE 4 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu’au regard de la loi n°2011-267 du 14 mars 2011 susvisée. Elle est délivrée sans préjudices d’autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, codes pénal, etc.) ARTICLE 5 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de Meurthe-et-Moselle. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Nancy dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. ARTICLE 6 : Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. ARTICLE 7 : La présente autorisation devra faire l'objet d'une demande de renouvellement dans un délai de quatre mois au moins avant l'échéance de la dite autorisation. ARTICLE 8 : Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Monsieur Robert DEFER, Maire de BATILLY, et dont une copie sera transmise à Monsieur le Sous-Préfet de l'arrondissement de Briey. Nancy, le 25 avril 2018 Pour le Préfet et par délégation, Le Directeur des Sécurités, Bertrand MERCIER ______

Arrêté portant renouvellement de l’autorisation d’un système de vidéoprotection pour l'opticien ALAIN AFFLELOU à HOUDEMONT

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU l'arrêté préfectoral 17.BCI.79 du 29 décembre 2017 accordant délégation de signature à M. Morgan TANGUY, Sous-Préfet, Directeur de Cabinet ; VU la demande présentée par Monsieur Sébastien JANNOT, représentant l'opticien ALAIN AFFLELOU, pour le renouvellement de l’autorisation d'un système de vidéoprotection situé 00 route Nationale 57 à HOUDEMONT (54180) ; VU l'avis émis par la Commission départementale de vidéoprotection en sa séance du 18 avril 2018 ; Sur proposition du Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet ; A R R E T E ARTICLE 1 : L’autorisation précédemment accordée, par arrêté préfectoral du 2 avril 2013, à Monsieur Sébastien JANNOT, représentant l'opticien ALAIN AFFLELOU, est renouvelée, pour une durée de cinq ans, conformément au dossier annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2013/0054. ARTICLE 2 : Les dispositions prévues par le précédent arrêté demeurent applicables. ARTICLE 3 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la protection des images). ARTICLE 4 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu’au regard de la loi n°2011-267 du 14 mars 2011 susvisée. Elle est délivrée sans préjudices d’autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, codes pénal, etc.) ARTICLE 5 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de Meurthe-et-Moselle. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Nancy dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. ARTICLE 6 : Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. ARTICLE 7 : La présente autorisation devra faire l'objet d'une demande de renouvellement dans un délai de quatre mois au moins avant l'échéance de la dite autorisation. ARTICLE 8 : Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Monsieur Sébastien JANNOT représentant l'opticien ALAIN AFFLELOU, et dont une copie sera transmise au maire de la commune de HOUDEMONT ainsi qu’à Madame la Secrétaire Générale de la préfecture, Sous- Préfète de l'arrondissement de Nancy. Nancy, le 27 avril 2018 Pour le Préfet et par délégation, Le Directeur des Sécurités, Bertrand MERCIER ______RECUEIL N° 28 1035 11 JUIN 2018

Arrêté portant renouvellement de l’autorisation d’un système de vidéoprotection pour le Foyer "CHATEAU DE LA GARENNE" à LIVERDUN

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU l'arrêté préfectoral 17.BCI.79 du 29 décembre 2017 accordant délégation de signature à M. Morgan TANGUY, Sous-Préfet, Directeur de Cabinet ; VU la demande présentée par Monsieur Philippe SARGIS représentant le Foyer "CHATEAU DE LA GARENNE", pour le renouvellement de l’autorisation d'un système de vidéoprotection situé Domaine des Eaux Bleues à LIVERDUN (54460) ; VU l'avis émis par la Commission départementale de vidéoprotection en sa séance du 18 avril 2018 ; Sur proposition du Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet ; A R R E T E ARTICLE 1 : L’autorisation précédemment accordée, par arrêté préfectoral du 25 juin 2013, à Monsieur PHILIPPE SARGIS représentant le FOYER "CHATEAU DE LA GARENNE" est renouvelée, pour une durée de cinq ans, conformément au dossier annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2013/0163. ARTICLE 2 : Les dispositions prévues par le précédent arrêté demeurent applicables. ARTICLE 3 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la protection des images). ARTICLE 4 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu’au regard de la loi n°2011-267 du 14 mars 2011 susvisée. Elle est délivrée sans préjudices d’autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, codes pénal, etc.) ARTICLE 5 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de Meurthe-et-Moselle. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Nancy dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. ARTICLE 6 : Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. ARTICLE 7 : La présente autorisation devra faire l'objet d'une demande de renouvellement dans un délai de quatre mois au moins avant l'échéance de la dite autorisation. ARTICLE 8 : Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet et le Colonel, Commandant le Groupement de Gendarmerie de Meurthe et Moselle sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Monsieur Philippe SARGIS représentant le Foyer "CHATEAU DE LA GARENNE", et dont une copie sera transmise au maire de la commune de LIVERDUN ainsi qu’à Monsieur le Sous-Préfet de l'arrondissement de Toul. Nancy, le 3 mai 2018 Pour le Préfet et par délégation, Le Directeur des Sécurités, Bertrand MERCIER ______

Arrêté portant renouvellement de l’autorisation d’un système de vidéoprotection pour l’agence BNP PARIBAS à LONGWY

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU l'arrêté préfectoral 17.BCI.79 du 29 décembre 2017 accordant délégation de signature à M. Morgan TANGUY, Sous-Préfet, Directeur de Cabinet ; VU la demande présentée par Monsieur le Responsable Service Sécurité représentant l’agence BNP PARIBAS pour le renouvellement de l’autorisation d'un système de vidéoprotection situé 19 rue Albert 1er à LONGWY (54400) ; VU l'avis émis par la Commission départementale de vidéoprotection en sa séance du 18 avril 2018 ; Sur proposition du Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet ; A R R E T E ARTICLE 1 : L’autorisation précédemment accordée, par arrêté préfectoral du 25 juin 2013, à Monsieur le Responsable Service Sécurité représentant l’agence BNP PARIBAS est renouvelée, pour une durée de cinq ans, conformément au dossier annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2013/0195. Les caméras qui filment les zones non ouvertes au public ne sont pas autorisées par le présent arrêté et doivent être déclarées à la CNIL. ARTICLE 2 : Les dispositions prévues par le précédent arrêté demeurent applicables. ARTICLE 3 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la protection des images). ARTICLE 4 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu’au regard de la loi n°2011-267 du 14 mars 2011 susvisée. Elle est délivrée sans préjudices d’autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, codes pénal, etc.) ARTICLE 5 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de Meurthe-et-Moselle. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Nancy dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. ARTICLE 6 : Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. ARTICLE 7 : La présente autorisation devra faire l'objet d'une demande de renouvellement dans un délai de quatre mois au moins avant l'échéance de la dite autorisation. ARTICLE 8 : Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Monsieur le Responsable Service Sécurité représentant l’agence BNP PARIBAS, et dont une copie sera transmise au maire de la commune de LONGWY ainsi qu’à Monsieur le Sous-Préfet de l'arrondissement de Briey. Nancy, le 19 avril 2018 Pour le Préfet et par délégation, Le Directeur des Sécurités, Bertrand MERCIER RECUEIL N° 28 1036 11 JUIN 2018

Arrêté portant renouvellement de l’autorisation d’un système de vidéoprotection pour LA POSTE Direction Régionale de Lorraine à NANCY

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU l'arrêté préfectoral 17.BCI.79 du 29 décembre 2017 accordant délégation de signature à M. Morgan TANGUY, Sous-Préfet, Directeur de Cabinet ; VU la demande présentée par Monsieur le Directeur Régional Sûreté représentant LA POSTE Direction Régionale de Lorraine pour le renouvellement de l’autorisation d'un système de vidéoprotection situé 46 rue Henri Brun à NANCY (54000) ; VU l'avis émis par la Commission départementale de vidéoprotection en sa séance du 18 avril 2018 ; Sur proposition du Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet ; A R R E T E ARTICLE 1 : L’autorisation précédemment accordée, par arrêté préfectoral du 25 novembre 2013, à Monsieur le Directeur Régional Sûreté représentant LA POSTE Direction Régionale de Lorraine est renouvelée, pour une durée de cinq ans, conformément au dossier annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2013/0349. Les caméras qui filment les zones non ouvertes au public ne sont pas autorisées par le présent arrêté et doivent être déclarées à la CNIL. ARTICLE 2 : Les dispositions prévues par le précédent arrêté demeurent applicables. ARTICLE 3 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la protection des images). ARTICLE 4 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu’au regard de la loi n°2011-267 du 14 mars 2011 susvisée. Elle est délivrée sans préjudices d’autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, codes pénal, etc.) ARTICLE 5 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de Meurthe-et-Moselle. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Nancy dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. ARTICLE 6 : Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. ARTICLE 7 : La présente autorisation devra faire l'objet d'une demande de renouvellement dans un délai de quatre mois au moins avant l'échéance de la dite autorisation. ARTICLE 8 : Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Monsieur le Directeur Régional Sûreté représentant LA POSTE Direction Régionale de Lorraine, et dont une copie sera transmise au maire de la commune de NANCY ainsi qu’à Madame la Secrétaire Générale de la préfecture, Sous-Préfète de l'arrondissement de Nancy. Nancy, le 19 avril 2018 Pour le Préfet et par délégation, Le Directeur des Sécurités, Bertrand MERCIER ______

Arrêté portant renouvellement de l’autorisation partielle d’un système de vidéoprotection pour la SAS LUNAMA LECLERC DRIVE à REHAINVILLER

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU l'arrêté préfectoral 17.BCI.79 du 29 décembre 2017 accordant délégation de signature à M. Morgan TANGUY, Sous-Préfet, Directeur de Cabinet ; VU la demande présentée par Monsieur Patrice TONNON représentant la SAS LUNAMA LECLERC DRIVE pour le renouvellement de l’autorisation d'un système de vidéoprotection situé Lieu dit Chaufontaine à REHAINVILLER (54300) ; VU l'avis émis par la Commission départementale de vidéoprotection en sa séance du 27 septembre 2017 ; Sur proposition du Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet ; A R R E T E ARTICLE 1 : L’autorisation précédemment accordée, par arrêté préfectoral du 23 novembre 2012, à Monsieur Patrice TONNON représentant la SAS LUNAMA LECLERC DRIVE est renouvelée, pour une durée de cinq ans, conformément au dossier annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2012/0170. La commission de vidéoprotection n’est pas compétente pour la caméra intérieure n°1 qui visionne des parties privatives non accessibles au public. Cette caméra devra donc faire l’objet d’une déclaration auprès de la CNIL. ARTICLE 2 : Les dispositions prévues par le précédent arrêté demeurent applicables. ARTICLE 3 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la protection des images). ARTICLE 4 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu’au regard de la loi n°2011-267 du 14 mars 2011 susvisée. Elle est délivrée sans préjudices d’autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, codes pénal, etc.) ARTICLE 5 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de Meurthe-et-Moselle. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Nancy dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. ARTICLE 6 : Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. ARTICLE 7 : La présente autorisation devra faire l'objet d'une demande de renouvellement dans un délai de quatre mois au moins avant l'échéance de la dite autorisation. ARTICLE 8 : Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet et le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Monsieur Patrice TONNON représentant la SAS LUNAMA LECLERC DRIVE, et dont une copie sera transmise au maire de la commune de REHAINVILLER ainsi qu’à Monsieur le Sous-Préfet de l'arrondissement de Lunéville. Nancy, le 24 avril 2018 Pour le Préfet et par délégation, Le Directeur des Sécurités, Bertrand MERCIER RECUEIL N° 28 1037 11 JUIN 2018

Arrêté portant renouvellement de l’autorisation partielle d’un système de vidéoprotection pour le CABINET D'ORTHOPHONIE à POMPEY

Le Préfet de Meurthe-et-Moselle,

VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.223-1 à L.223-9 ; L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 ; VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ; VU l'arrêté préfectoral 17.BCI.79 du 29 décembre 2017 accordant délégation de signature à M. Morgan TANGUY, Sous-Préfet, Directeur de Cabinet ; VU la demande présentée par Madame Maryse FOUCHE-FEVET représentant le CABINET D'ORTHOPHONIE pour le renouvellement de l’autorisation d'un système de vidéoprotection situé 112 rue des Jardins Fleuris à POMPEY (54390) ; VU l'avis émis par la Commission départementale de vidéoprotection en sa séance du 18 avril 2018 ; Sur proposition du Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet ; A R R E T E ARTICLE 1 : L’autorisation précédemment accordée, par arrêté préfectoral du 24 juin 2013, à Madame Maryse FOUCHE-FEVET représentant le CABINET D'ORTHOPHONIE est renouvelée, pour une durée de cinq ans, conformément au dossier annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2013/0053. La commission de vidéoprotection n’est pas compétente pour la caméra intérieure n°1 située dans le bureau qui visionne des parties privatives non accessibles au public. Cette caméra devra donc faire l’objet d’une déclaration auprès de la CNIL. ARTICLE 2 : Les dispositions prévues par le précédent arrêté demeurent applicables. ARTICLE 3 : Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la protection des images). ARTICLE 4 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut, après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4 du code de la sécurité intérieure ou en cas de modification des conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée. Cette autorisation ne vaut qu’au regard de la loi n°2011-267 du 14 mars 2011 susvisée. Elle est délivrée sans préjudices d’autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, codes pénal, etc.) ARTICLE 5 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de Meurthe-et-Moselle. Elle peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Nancy dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication. ARTICLE 6 : Les voies et délais de recours figurent à l'annexe ci-jointe. ARTICLE 7 : La présente autorisation devra faire l'objet d'une demande de renouvellement dans un délai de quatre mois au moins avant l'échéance de la dite autorisation. ARTICLE 8 : Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du préfet et le Colonel, Commandant le Groupement de Gendarmerie de Meurthe et Moselle sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera notifié à Madame Maryse FOUCHE-FEVET représentant le CABINET D'ORTHOPHONIE, et dont une copie sera transmise au maire de la commune de POMPEY ainsi qu’à Madame la Secrétaire Générale de la préfecture, Sous-Préfète de l'arrondissement de Nancy. Nancy, le 23 avril 2018 Pour le Préfet et par délégation, Le Directeur des Sécurités, Bertrand MERCIER

DELAIS ET VOIES DE RECOURS Si vous souhaitez contester les présentes décisions administratives, vous avez la possibilité de former : Soit un recours administratif dans les 2 mois courant à compter de leur notification sous une des deux formes : - soit un recours gracieux adressé à M. le Préfet de Meurthe-et-Moselle – 1 rue Préfet Claude Érignac – CS 60031 – 54038 NANCY CEDEX. - soit un recours hiérarchique adressé à M. le Ministre de l'Intérieur – Direction des libertés publiques et des affaires juridiques – Sous- direction du conseil juridique et du contentieux – Bureau du contentieux des polices administratives – Place Beauvau – 75800 PARIS CEDEX 08. NB: En l’absence de réponse de l’administration dans un délai de deux mois à compter de la date de réception du recours, celui-ci doit être considéré comme implicitement rejeté. Soit un recours contentieux , dans ce même délai : Ce recours sera adressé au Président du Tribunal administratif de Nancy – 5 place de la Carrière – C.O. N° 20038 - 54036 NANCY CEDEX. NB: Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l’expiration du 2 ème mois suivant la date de notification des décisions contestées. Ce délai est prorogé de 2 mois supplémentaires à compter du rejet du recours gracieux ou hiérarchique.