Monsieur Claude Richer Président de la commission d’enquête Direction de la coordination des politiques publiques et à l’appui territorial Bureau de l’environnement 1 esplanade Jean Moulin 93000 Bobigny
Objet : autorisation environnementale loi sur l’eau et dérogation pour atteintes à des espèces protégées.
A l’attention de : Monsieur Claude RICHER président de la commission d’enquête, Messieurs Jean CULDAUT et Jean-Charles BAUVE, membres titulaires.
Crépy-en Valois, le 12/11/2018
Monsieur le président,
L’ADU, présente à la réunion publique du 6 novembre, maintient ces dires et les complète. La majorité des sujets évoqués, par les intervenants, ne concernaient pas l’enquête. Ces interrogations ont eu des réponses que l’ADU ne partage pas, mais qu’elle accepte.
L’ADU comprend la nécessité d’avoir un accès direct à Paris, mais autrement. L’ADU a une proposition, moins onéreuse, d’une technicité plus simple, mais elle sait, que certains usagers seront mécontents. L’ADU ne croit pas à l’intégration de cette ligne sur le tronçon 229000 sans que celle-ci ne dégrade la ligne K et le TER Laon. Depuis des décennies, les incidents se répètent, certains « dysfonctionnements » interrompant le trafic et à chaque fois, ce sont nos trains qui sont supprimés ou retardés. L’ADU ne détaillera pas les motifs de ces accidents, car ils sont « légions et récurrents » ça peut aller de la voie glissante … aux ruptures de caténaires. Certains de ces « incidents » ont laissés des centaines de milliers d’usagers sans transport pendant plusieurs heures. Il ne faut pas oublier, que ce tronçon sert de voie de dévoiement pour le RER B Nord, en cas d’incident, ce qui est fréquent au vu de la vétusté du matériel : quel sera l’ordre de priorité sur ce tronçon : le plus rapide donc le CDG express, il y aura à souhaiter que le TER Laon soit lui aussi un train « rapide ».
Dire que cette liaison permettra aux touristes d’avoir accès à des informations spécifiques au monde aéroportuaire est « vrai - faux ». L’ADU sait que cette ligne sera ouverte à une catégorie de salariés
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(dirigeants) de la plateforme de par leur prérogative (remboursement des notes frais ou autres avantages) et du fait que leurs sièges sociaux y sont implantés (ADP et Air France) ou des dirigeants Parisiens (sièges sociaux), dont leurs activités sont basés à Roissy puis viendront, par des conventions entre l’exploitant et employeurs, d’autres types catégories d’employés (ex : pilotes/hôtesses) y auront accès par manque de rentabilité et au final elle sera accessible à tous.
Dire que cette liaison n’aura aucun impact sur la ligne K et Ter Laon au motif que les seuls utilisateurs de ce sillon, sont les précités et un fret « réduit » est faux. Le 8 juin, lors de son communiqué de presse Madame Elisabeth BORNE, ministre chargé des transports, présentait son ambition pour le développement d’une logistique urbaine efficace et intégrée, appuyée par une meilleure performance du fret ferroviaire, depuis un accord entre le groupe Société Nationale des Chemins de fer Français (SNCF) et la société ferroviaire Deustche Bahn (DB) a été signé, le 19 octobre, à Francfort sur le fret digital. Il suffit de voir tous les projets autour du transport modulable (centres de distribution, hôtels logistiques etc) « Paris » ne pense pas qu’à la voie ferrée, il pense aux voies fluviales (canaux de Saint Martin, de l’Ourcq…). L’ADU vous invite à lire le pacte pour une logistique métropolitaine (utilisation des réseaux aux heures creuses – 9h30/16h).
Pendant la réunion d’enquête publique du 6 novembre 2018, le Parisien publie un article sur : Le réseau SNCF au Nord de Paris croule sous les chantiers à mener d’ici aux jeux olympiques de 2024. La préfecture de région même des discussions pour redéfinir le calendrier. Des projets seront retardés….
L’article commence : trop de travaux tuent les travaux.
En une seule phrase, le Parisien, dit tout.
Une nouvelle enquête et pas la dernière sur le CDG Express, les groupes Aéroports de Paris (ADP) et Société Nationale des Chemins de fer Français (SNCF), comme à leur habitude, font des enquêtes partielles et partiales, pour preuve ; tous documents, joins à la demande d’autorisation environnementale sont sur le site : cdg-express.enquêtepublique.net, sont conformes à la législation en vigueur. Il n’y a aucun doute. L’ADU déplore le manque de « transparence » les fichiers mis à la disposition du public « lambda », sont trop techniques. L’ADU depuis la réunion publique a pu montrer le folio « Participez à l’enquête publique » à plusieurs usagers. Aucun n’a compris à la 1ère lecture : les volets… L’ADU leur a expliqué. Petite leçon d’urbanisme, qui est applicable aussi aux PLU, SCoT ce qui a été très gratifiant pour l’ADU comme pour les usagers. Tous découvraient le projet CDG Express.
Nous les avons donc invité à participer à l’enquête publique en commençant leur commentaire par : habitant de …. Territoire Hauts de France.
Les questions sur la plaquette :
Qu’est ce que une DAE ? – c’est objet de l’enquête. Pourquoi un avis du CNPN ? – il y a espèces protégés
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3 La Zone CAP 18 ? C’est la dernière zone d’activité intra-muros de Paris – dans le 18ème …/… Ils ne comprennent pas le manque d’information sur un tel projet, l’ADU, leur répond que la législation est respectée. C’est vrai, que les avis d’ouvertures d’enquêtes publiques existent, sûrement, l’ADU le pense, car elle n’en a pas vu en gare du Nord, ni dans les gares, en amont, sur la ligne 229000 de Compans à Laon.
Sur un glossaire (acronymes utilisés dans la DAE) les usagers préfèrent un fichier identifiable et isolé.
L’ADU pense, que ce manque de clarté, est voulu. Comme dans toute rédaction de document d’urbanisation, se glisse des petites phrases « assassines »*, souvent noyées dans un flot de pages techniques et de rappel aux articles des codes concernés par ce projet.
C’est un moyen sélectif d’éliminer le grand public (usagers – riverains).
*Exemple, page 5 du volet A : Autorisation pour l’établissement d’éoliennes…
Cette petite phrase, prouve que sous-couvert du CDG Express, on inclut, indirectement, d’autres projets ou qu’on engage des dépenses identifiées non comptabilisées dans le coût du CDG Express.
Certaines études du projet n’ont pas été actualisées, ou actualisées de façon partiale. Dire que cette liaison diminuera la fréquentation du réseau routier, entre Roissy et Paris est utopiste. Le sud du territoire des Hauts de France a (ou va) développé ses zones : d’habitats et économiques*.
D’autre part, tous incidents récurrents du réseau ferré, augmentent le trafic routier.
Les porteurs du projet ont oublié, que le sud du territoire Hauts de France est à moins de 20 km de Roissy et 45 Km de Paris, ce que savent certaines entreprises, l’accès direct par la RN2 et l’A1 a permis l’implantation de grandes sociétés.
*Exemple, dans la zone d’activité du chemin de Paris à Nanteuil-le-Haudouin (Oise - 50 km de Paris – 25 km de Roissy CDG – accès direct à la Nationale 2) une seule entreprise a chiffré ses déplacements pour son activité à plus 2% du trafic sur la RN2.
Il est regrettable qu’à aucun moment de l’étude de faisabilité, les régions Hauts de France, Grand Est, les associations d’usagers, représentants de divers syndicats et autres n’ont été contactés. Leurs connaissances des problématiques « récurrentes » des régions, des départements, du monde aéroportuaires et ferroviaires aurait permis d’anticiper et de diagnostiquer, si le projet est maintenu en l’état, une partie des incidents qui seront découverts à sa construction et mise en marche. L’entêtement des porteurs du projet de refuser ce dialogue montre bien qu’ils savent, pertinemment, que cette liaison sera « nuisible » sur le long terme.
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A cette étude de faisabilité, il manque une étude, celle sur l’habitat. Certains projets du Grand Paris (Gare du Nord 2024, projet Éole, lignes 15, 16 et 17) permettent à de grands groupes immobiliers de construire des milliers d’appartements qui ne seront accessibles qu’à une partie de la population obligeant l’autre à se déplacer sur les territoires Hauts de France et Grand Est, ce qui aura pour conséquence d’augmenter le nombre d’usagers sur nos lignes dans la décennie prochaine.
La spécificité du projet CDG Express, impacte les régions, départements ou communautés de communes limitrophes à l’Ile de France aucune analyse n’ayant été faite sur la totalité des sillons et dessertes des trois territoires concernés : Ile de France, Haut de France, Grand Est. L’ADU sait par expérience que tout dysfonctionnement obligera l’usager/habitant à utiliser le réseau routier RN2, A1, A3, A104 etc, ce qui amplifiera les conséquences actuelles (embouteillages, accidents, pollutions, dégradation des routes).
Le projet a fait l’objet de plusieurs enquêtes publiques à cause de sa complexité et des aménagements (hors projet) concernés : prolongation de la DUP, révision de POS, de PLUs, études mise en conformité au vu des nouveaux textes législatifs, des demandes de l’Ae (Autorité environnementale) de l’Arafer (Autorité de régulation des activités ferroviaires et routières) et malheureusement ce n’est pas terminé.
L’ADU espère que les points évoqués ci-dessous vous permettront d'apprécier la pertinence d’une liaison directe entre l’aéroport de Roissy et Paris. L’ADU pense que les groupes ADP et SNCF sous-estiment les conséquences des aménagements à faire, entre autres, sur le tronçon la Plaine-Hirson, entre Mitry-Claye et la Chapelle aux vues de tous les projets nationaux et régionaux qui se cumulent sur cet axe.
L’ADU maintient, une liaison directe entre Paris et les Aéroports de Roissy et l’Orly : Oui mais autrement.
Au cours, de son analyse sur cette enquête, l’ADU sait que certains sujets ne seront pas liés directement à l’enquête, l’ADU les adorera quand même, pour qu’ils soient notifiés sur le registre d’enquête.
Petite synthèse, avant analyse, du dossier.
L’ADU est l’une des associations des usagers qui défende la ligne "la Plaine-Hirson et Anor" – Gare du Nord
Spécificités de la ligne 229000
Relie Paris à la frontière Belge Deux cent dix kilomètres de voies dont 60 km de ligne francilienne Traverse, entre autres, plusieurs gares de bifurcation ou de triage, la grande ceinture et petite ceinture ferroviaire de l'Ile de France, plusieurs ouvrages de types : ponts, viaducs, canaux, tunnels.. Passage d’environ soixante-dix trains (entre Paris Nord/Laon) pour le transport des voyageurs (par jour ouvré)
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5 Passage quotidien de plusieurs trains de fret (avec un passage annuel voire semestriel d'un train chargé de déchets radioactifs) Traverse des sites classés à l'inventaire du patrimoine naturel Situation géographique : sur deux régions – Hauts de France et Ile de France. Sur quatre communautés de communes dans l’Oise et l’Aisne : C.C. Pays du Valois, C.C. de Retz en Valois, C. d’agglomération du Soissonnais, C. d’agglomération du Pays de Laon Deux lignes TER LAON / PARIS et ligne francilienne K Histoire - La ligne est ouverte par tronçons entre 1857 et 1870. Elle ouvrira le 30 août 1870 au transport des troupes puis le 1er juillet 1871 au public. L’électrification, jusqu’à Crépy, date de 1963. Deux trains corail, jusqu’en 1990, reliaient Paris à Hirson. Équipement, jusqu’à Crépy-en-Valois, la ligne est électrifiée comme tout le réseau Nord en 25kV- 50Hz monophasé, équipée du block automatique à permissivité restreinte sur l’essentiel de son parcours jusqu’à Laon.
Particularités des territoires de l’Oise et de L’Aisne (région Hauts de France)
Gares « rupture de charge ou de correspondance » Crépy-en-Valois Gare de bifurcation d’Ormoy-Villers pour le fret, en cas d’incident sert de gare de dévoiement (TER LAON détourné par Creil et autre intercité …) ligne Ormoy-Villers – Boves Gare de bifurcation Soissons ligne Soissons – Rochy-Condé Une gare d’interconnexion (langage SNCF – Étoile) Laon – Amiens – Reims – Liart – Cateau Nœud ferroviaire d’Hirson – Fives / Amagne / Lucquy / Charleville-Mézières / Bussigny Tronçon commun – ligne Fives – Hirson Voies « de Fret » pour desservir les ZI, ZAC de Nanteuil, Plessis… en développement (cf, Communauté de Communes du Pays du Valois – CCPV) Villes ou villages desservis par des lignes qui arrivent en Gare du Nord ou en Gare de l’Est (donc des conventions avec le groupe SNCF et les régions – Haut de Frances – Grand Est) Vitesse : limites entre 100 et 140 km (la vitesse du CDG sera supérieure)
Le CDG Express c’est :
Des aménagements connexes Sous station électrique de Mitry et Drancy Construction de garages (Parc des expositions) Évitement du fret vers Dammartin (Thieux-Nantouillet-Juilly) Déviation de canalisation de gaz à Mitry (3 sur le réseau national-1 réseau régional) Raccordement du réseau Nord au réseau Est (traverse le projet la Chapelle international) … / …
Des risques naturels Retrait-gonflement des sols argileux (mouvement de terrains) Seine-Saint-Denis ADU FNAUT - 2 rue Léo Delibes - 60800 Crépy-en-Valois Mél : [email protected] – Mobile 06.87.43.25.73
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Formations gypseuses (effondrements de terrains) Aubervilliers – d’Aulnay à Villepinte Affleurement de la nappe phréatique (Aubervilliers – Saint Ouen) Zones d’anciennes carrières Zones à risque de dissolution du gypse, dans les départements de Seine-Saint-Denis et de Seine-et-Marne ; elle représente une superficie de près de 8.000 hectares. … /…
La traversée de plusieurs Zones Naturelles ZNIEFF – Zone humide de la croix d’Adam et la mare du bois du Vert Galant (Tremblay-en- France) Espaces faisant l’objet d’une protection réglementaire Paris (site inscrit) Parc forestier de Sevran (classé) Espèces naturelles sensibles (ENS) – Boisparisis – Bois des Acacias (Villeparisis et Mitry-Mory) Natura 2000 : Parc de la Courneuve, le bois de Tussion et le parc national de Sevran Liaison verte d’intérêt régional ; le Canal de l’Ourcq ... / …
La traversée d’un projet du Grand Paris - Chapelle International – Cap 18 900 logements, dont 600 familiaux. Campus Condorcet Hôtel logistique (qui pour l’instant, accueille deux navettes ferroviaires journalières). … /…
Des travaux proches d’un patrimoine historique archéologique et architectural Ancienne gare de Bobigny Camp de Drancy Usine de l’Orfèvrerie Christofle Gares de l’Est et du Nord … / …
Nouvelle zone de nuisance sonore et accidentogène Antennes téléphoniques (accès aux nouvelles technologies) – ondes hertziennes / wifi Des nouveaux points noirs du bruit (PNB) ferroviaire Entrée en gare de l’est à 60 km/h (l’entrée habituelle est 30 km/h) … /…
Incidents "récurrents" qui sont quotidiens (sur la ligne 229000) Matériels vieillissants dont les pannes bloquent pendant plusieurs heures la circulation du réseau Vols de câbles Détérioration des barrières (passages à niveau) matériels défectueux, carambolages.. Dysfonctionnements des aiguillages Incendies (feu de talus...) Collisions (avec la faune...)
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7 Voyageurs sur les voies Les conditions climatiques (neige, coulée de boue..) … /…
Le CDG EXPRESS c’est aussi, un coût financier INCONNU
Le montant, annoncé par ADP, est la tête de l’iceberg, car vous n’êtes pas sans savoir qu’à ce projet vienne s’associer d’autres dépenses :
1. Cout du matériel roulant entre 200 et 300 millions 2. Cout de fonctionnement de la société concessionnaire qui gérera l’infrastructure (ADP – SCNF Réseau – Caisse de dépôts et consignations) 3. Cout de l’inflation sur le projet entre le commencement des travaux et leur réception (2017-2023) 4. Cout de la liaison piétonne entre la gare du nord et la gare de l’est 5. Cout de la perte de flexibilité en gare de l’est (quais réservés) 6. Cout des services dédiés en gare de l’est (embarquement..) 7. Cout des pertes de ponctualité pour les lignes circulant sur le tronçon « la Plaine-Hirson et Anor ». Conventions avec les régions Ile de France, Hauts de France et IDF mobilité. 8. Cout de la perte de flexibilité de la gare de l’est (quais dédiés) 9. Cout de la résorption des points noirs du bruit (PNB) ferroviaire (écrans acoustiques, isolations des façades…) 10. Cout du renforcement des sous-stations électriques de Drancy & Mitry –Mory 11. Cout de la construction de garages 12. Cout de la construction ou reconstitution des voies de garage 13. Cout de la construction d’atelier de maintenances 14. Cout de l’ouvrage souterrain sous l’emprise de l’Aéroport 15. Cout des postes d’aiguillage 16. Cout des renforcements, remplacements des caténaires (voltage) 17. Cout de l’adaptation des voies au Bourget : sortie des trains de fret, de travaux. 18. Cout de l’aménagement des voies : entrée/sortie du CREM (centre régional des engins mécaniques) de Villeparisis 19. Cout des plateformes de stockage intermédiaires 20. Cout des sécurisations des abords des gares de bifurcation (Déraillement; voir incident du 23/12/2013 en gare de Drancy) 21. Cout des dévoiements des réseaux de gaz (national et régional) avec les risques potentiels 22. Cout des impacts sur l’activité des taxis, des navettes, VTC ….. 23. Cout des installations de nouvelles antennes téléphonique (Accès au WI FI) 24. Cout des dégradations des sillons 25. Cout de la négociation avec un opérateur de téléphonie pour garantie le Wifi 26. Cout des diverses études de fiabilisation
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27. Cout des diverses enquêtes publiques (CDG) 28. Cout des diverses enquêtes publiques (Révision des documents d’urbanismes : PLU, PLUi, SCoT… ) 29. Cout d’un atelier d’entretien (qui on le sait, lui aussi affectera le trafic actuel – Entrée / Sortie) 30. Coût d’un poste de douane (si embarquement en gare de l’est) 31. Coût d’une nouvelle électrification (train d’Alstom Régiolis ou Flirt Stadler – selon l’exploitant de la ligne CDG) 32. … /…
Cette liste n’est pas exhaustive….
Le CDG EXPRESS c’est la perte d’accessibilité……. Cette ligne dite « performante » n’arrivera pas dans la première gare d’Europe, mais dans une autre gare parisienne.
L’ADU rappelle qu’actuellement la desserte entre l’aéroport et la capitale se fait part le RER B qui traverse la capitale, avec une liaison en gare du nord aux/à : (Nb à certaines heures, ils existent des liaisons directes entre Paris et les Aéroports Orly / Roissy – RER B Nord ou Sud)
1. La ligne 2 du métro (La chapelle) 2. Les lignes 4 et 5 du métro 3. Les RER D et E (Magenta) – voir Projet Éole 4. Les lignes Franciliennes H et K 5. Eurostar 6. Thalys 7. TGV Nord (Lille) 8. Intercités - TER Hauts de France (Beauvais, Creil, Amiens…) 9. Des bus en gare routière ou dans des rues limitrophes (n° 26 – 31 - 38 - 39 - 42 - 43 - 46 - 48 - 54 - 65 - 302 – 350 – 351 - Noctiliens : Lignes N1 - 2 - 3 - 13 - 14 - 41 - 42 - 43 - 44 - 45 - 140 - 141 - 142 - 143 - 144 - 145 - 150 - 151 - 152 – 154) ou des navettes aéroportuaires (www.shuttle-paris.com) pour Roissy, Orly et Beauvais 10. Projet du Grand Paris – Liaison souterraine piétonne entre les gares de l’Est et du Nord 11. Projet du Grand Paris – Gare du Nord 2024 12. ... / …
Le CDG EXPRESS c’est des ambitions cachées des groupes Aéroports de Paris (ADP) et Société Nationale des Chemins de fer Français (SNCF)… Qui sectorisent leurs projets afin de masquer le fait que plusieurs projets utilisent les mêmes tronçons du réseau ferroviaire « standard ou à grande vitesse ». Il y aura surexploitation des voies, donc multiplication des nuisances sonores.
Quelques-uns des études ou projets en cours 1. L’avion modulable 2. Des cabines détachables
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3. Des trains spots 4. Autoroute ferroviaire Atlantique 5. Développement du Fret à Grande Vitesse (FGV) 6. Tangiantelle Nord ou ligne 11 7. Liaison Gare du Bourget (nouvelle gare) – Aéroport du Bourget 8. Gare Saint Denis Pleyel (travaux commencés) 9. Fret à Grande Vitesse (FGV) 10. Emplacements de nouveaux hôtels logistiques (ferroutage – plateforme multimodale) 11. ... / …
(cf le rapport final : Vision prospective du développement du transport combiné ferroviaire en Ile de France). Source : http://www.driea.ile-de-france.developpement-durable.gouv.fr/vision-prospective-du-developpement-du-transport- a5031.html
Les groupes ADP et SNCF sont en pourparlers avec des sociétés tel qu’Europorte, Sogaris, Eurocarex pour des projets ambitieux : relier les Aéroports et Hôtels logistiques Européens entre eux.
Exemples : Sogaris, gestionnaire de la Chapelle international, hôtel logistique ferroviaire qui réfléchit à une liaison avec le port de Bruyère sur Oise, afin d’avoir une interconnexion avec les GPM (Grands Ports Maritimes) du territoire Hauts de France. Pour rejoindre ces GPM, les trains de fret, devront, utiliser le tronçon de la ligne 229000, jusqu'à Ormoy-Villers (Oise) et utiliser le tronçon Ormoy-Boves (ligne 232000).
Eurocarex : Liaison en transport modulable des Aéroports et leurs capitales
Il y a aussi les appels à manifestation d'intérêt (AMI) des :
Ministère de la Transition écologique et solidaire - Ministère de la Cohésion des Territoires a fait un AMI sur « Services d'autoroute ferroviaire sur les Axes Atlantique et Méditerranée » MEEDDAT (Ministère du développement durable) a fait un AMI sur : « Aides à l'exploitation de services réguliers de transport combiné de marchandises »
Après ce rappel « historique » de la ligne 229000. L’ADU répond à l’enquête sur : La demande d’autorisation environnementale au titre des articles L.181-1 et suivants du code de l’environnement comprend les procédures loi sur l’eau en application de l’article L.214-3 du code de l’environnement et la dérogation espèces protégées en application de l’article L.411-2 du code de l’environnement.
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A - Volet B.4 : Analyse des impacts, présentation des mesures et modalités de suivi associées
Petite aparté, ce volet B.4 utilise souvent les mots : négligeable, acceptable.
Volet B.4 – servitudes
Le groupe SNCF vient d’acquérir des terrains proches du réseau, privés et publics, ce qui a pour conséquences des révisions de PLUs SCoT… au vu de la servitude dite « T1 » instituée par la loi du 15 juillet 1845. Des lois (cf loi SRU), des circulaires (cf. 15/10/2004) des articles du Code de l’urbanisme (cf. R123-9 – L.123-1-2 – L123-1-5 7° - L130-1- L.123-9-R111-2). Les collectivités changeront d’interlocuteur, SNCF Immobilier étant désigné comme protagoniste auprès des collectivités (loi n°2014-872 du 4 août 2014).
La révision « obligatoire », au vu de la DAE, de réécrire les documents urbanisme sera à la charge des collectivités, Les groupes ADP et SNCF ne pouvant les financer, la législation ne leur permettant pas . Il y a la solution des dons ou des subventions.
Volet B.4 – Milieu physique aquatique
La gestion des milieux aquatiques et la prévention des inondations (GEMAPI) compétence confiée aux intercommunalités (métropoles, communautés urbaines, communautés d’agglomération, communautés de communes) par les lois de décentralisation n° 2014-58 du 27 janvier 2014 et n° 2015-991 du 7 août 2015, depuis le 1er janvier 2018, concerne directement cette DAE. Les inondations de juin 2018 reconnues « catastrophes naturelles » (cf. arrêté du 23 juillet 2018 portant reconnaissance de l'état de catastrophe naturelle) ont touchées certaines agglomérations du tracé du CDG Express : comme Claye-Souilly..
Les plans de prévention des risques d’inondation (PPRI) seront modifiés (s’ils existent) suite aux dernières inondations, coulées de boue du mois de juin 2018. Les études, pour certaines inondations, démonteront que les bassins de rétentions (bassins secs, en eau, paysagers, à ciel ouvert, enterrés..) ou d’infiltrations n’ont pas pu absorber les pluies torrentielles. Les bassins étant sous dimensionnés ou non entretenus.
Il y a aura lieu d’être vigilant sur l’emplacement et la dimension des bassins de retentions. Le passage du CDG Express, étant souterrain au niveau de Mitry-Claye. L’ADU rappelle que l’aéroport de Roissy possède des aires de dégivrages situés au plus près des pistes qui utilisent du glycol. Il y aura lieu de vérifier que les réseaux de drainage ne se déversent pas dans les nouveaux bassins pour finir, en cas de débordement, dans le canal de l’Ourcq ou dans les rues des villes voisines.
Cf. le guide technique : Eau et Aéroport – conception et dimensionnement des réseaux de drainage des aérodromes – service technique des bases aériennes – photos de type de drainages
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Volet B.4 – Milieu naturel
Lors de la réunion, il a été abordé les Points Noirs Bruit ferroviaire (PNBf) qui s’inscrit dans la politique nationale de résorption des PNBf : construction de murs, isolation de façades, renouvellement des fenêtres. Cette liaison permettra aux riverains de ce réseau ferroviaire de bénéficier de cette politique avant même d’autres riverains qui subissent des PNBf plus élevés.
Comment sera traité le ruissellement de ces PNBf qui longeront les voies, évacuation par des canalisations qui se déverseront dans le réseau d’eau pluviale ou dans les canaux proche du réseau ferré. Le sujet doit être abordé sur les milliers de pages de La DAE, mais l’ADU n’a pas le temps de les consulter tous.
Les édiles devront être très vigilants sur les bassins de rétentions et le ruissellement des PNBf lors de la rédaction de leurs PPRIs. Les climatologues disent que la situation de juin se renouvellera dans l’avenir. (cf. infoclimat.fr)
La commune de Mitry-Mory ne peut bénéficier des PNBf, au motif que le bruit de passage de 152 rames du CDG Express est en dessous des normes légales. Seulement cette commune aura le bruit des éoliennes (cf. Volet A – présentation de la DAE – « autorisation pour l’établissement d’éoliennes »). Sujet non abordé, à la réunion publique du 6 novembre, l’ADU pense que le renforcement de la sous-station électrique de Mitry- Mory se fera par éoliennes.
L’ADU regrette que les fiches « porter à connaissance » ne figurent pas dans la DAE. L’ADU aurait souhaité, voir de telles fiches sur les zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) avec un lien direct sur l’Inventaire National du Patrimoine Naturel (INPN).
Volet B.4 – Milieu Humain
L’ADU, n’a trouvé, sauf erreur, la mise en place d'un service d'information aux riverains comme le prévoit la législation. Extrait de l'article L 125-2 du Code de l’Environnement : « Les citoyens ont droit à une information sur les risques majeurs auxquels ils sont soumis dans certaines zones du territoire et sur les mesures de sauvegarde qui les concernent. Ce droit s’applique aux risques technologiques et aux risques naturels prévisibles... »
D’autre part, il y a aura lieu de faire modifié tous les documents qui fait référence à la circulaire référentielle SNCF DC02611 (TR4D), applicable à partir du 01-01-2013 qui a pour objet de faciliter et de sécuriser l'intervention des services de secours, dans le cadre d'accidents et d'incidents, sur les voies du réseau ferré, à cause CDG Express (Vitesse)
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Réponse de l’ADU aux commentaires déposés sur le registre de l’enquête
Pour compléter le commentaire N°38 L’ADU se bat pour une liaison directe entre la capitale et l’aéroport, mais différente que le tracé actuel du CDG Express. La suppression de la liaison RER B Mitry et le report des dessertes sur le transilien K, Cette proposition va mécontenter les usagers de ce tronçon (RERB Nord) actuellement, ils ont un train tous les 15 mn, sur la ligne K où il circule un train tous les 30 mn aux heures de pointe, dont certains sont en surcharge à leur arrivée à Mitry. L’intervenant semble ignorer tous les projets ferroviaires sur cet axe n°229000 ou la Plaine-Hirson et Anor, sont nombreux. Le fret sur cette ligne n’est plus occasionnel mais quotidien avec des passages de trains transportant des produits « classés » et « dangereux ». A aucun moment les régions limitrophes (coté Nord et Est) n’ont été associées aux études préliminaires du CDG Express. D’autre part, prendre une telle décision sans discuter avec la Région Hauts de France, c’est prendre la décision d’accepter les échanges « houleux » entre les habitants des deux régions. L’IDF Mobilité, le sait, l’ADU l’en a informé. Même si l’ADU ne cautionne pas une telle attitude de certains usagers, elle n’ignore pas cette éventualité. Le développement économique autour de cette ligne en amont de Mitry-Claye est en plein essor. Il suffit de voir de nombre d’usagers dans le sens Province / Paris vers 17h. Il y a quelques mois, encore, vous aviez un usager voir zéro, sur les quais, aujourd’hui, c’est des dizaines. Toutes les entreprises signataires sur ces zones ne sont pas, encore arrivées. L’ADU est contre cette réserve – suppression de la branche Mitry du RER B
Pour compléter le commentaire N°36
Depuis des années, étude de faisabilité, l’ADU constate que les deux grandes régions voisines de ce projet ne sont pas impliquées Hauts de France et Grand Est. L’ADU est pour une liaison directe mais autrement, Cette liaison impacte fortement nos régions, puisque l’accès à Paris, se fait aussi bien du côté Est que du côté Nord. Dire que la circulation routière diminuera par deux est faux. Le sud de la Région Hauts de France est en plein développement, aussi bien, dans l’habitat que dans l’économique. Certaines des entreprises Française ou Étrangère qui sont implantées ou vont s’implanter prévoient une augmentation du trafic routier sur les grands axes (RN2, A1…) méconnaitre cette situation est « hasardeuse ». Il est donc primordial, que les régions voisines (dont certains villages sont à moins de 45 km de Paris) soient « des personnes associées » comme définit dans la législation. On ne veut pas être la « poubelle » de Paris. Nos départements et nos régions se battent pour conserver notre patrimoine naturel, notre qualité de vie et nos emplois. On ne peut concevoir, qu’un projet dispendieux, impose, au nom des JO 2024 (soit quelques mois), une dégradation de notre qualité de vie pour des décennies. Comme vous, nous avons proposés d’autres solutions, lors de débats publics en Ile de France, mais ces propositions sont volontairement ignorées, car elles interfèrent avec d’autres projets des groupes SNCF et ADP. La liaison CDG Express n’est que la tête de l’iceberg. Cette liaison qui sera non rentable, et on le sait, permettra d’accélérer certains prochains projets qui, aujourd’hui, rencontre des difficultés au vu de la législation (modification de PLUs, SCoTs…etc).
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La ligne n°229000 et ses interconnexions seront au centre des discussions dans un avenir très proche. C’est pourquoi SNCF Réseau accepte de rénover avec le concours des départements et régions des Hauts de France et Grand Est des kilomètres de lignes dont il aura financé qu’un tiers voir moins pour développer le ferroutage et le transport modulable.
Pour compléter le commentaire N°58
L’ADU l’avait évoqué ainsi que d’autres, telles que jouer avec les tronçons LGV Nord, Est, lignes franciliennes avec une conseillère régionale, lors de sa permanence à Crépy-en-Valois, en octobre 2018. Les solutions proposées permettaient aux voyageurs d’avoir un choix d’offres différentes.
Je vous prie, Monsieur le Président, de tenir compte des arguments de l’ADU, de les consigner dans le registre des requêtes et vous demande d'émettre un avis défavorable à cette enquête publique pour les motifs suivant :
1. Dossier non-accessible au public lambda (riverains – usagers) trop technicité
2. Que la commission nationale du débat public n’a pas invité les présidents des régions Hauts de France et Grand Est, pourtant fortement impacté par cette liaison.
3. Que l’Autorité Environnementale (Ae) n’a jamais consulté les présidents des régions Hauts de France et Grand Est.
4. Que l’autorité de régulation des activités ferroviaires et routières (ARAFER) n’a jamais consulté les présidents des régions Hauts de France et Grand Est.
5. Que les diverses associations d’usagers des régions Hauts de France, Grand Est n’ont pas été contactées malgré l’impact du CDG Express sur les sillons et quais utilisés.
6. Manque des documents tels que les enquêtes parcellaires des communes traversées par ce tracé, le schéma des servitudes ferroviaires T1, plans de zonages des communes traversées (PLUs, PLUis), les Atlas des zones inondables (AZI), Plans de préventions des risques naturels prévisibles d’inondations (PPRi), l’évaluation préliminaire des risques d’inondation (EPRI) à l’échelle du bassin.
7. Le tracé est proche du canal de l’Ourcq – quelles sont les dispositions du Schéma directeur d’aménagement et de gestion des eaux (SDAGE) ? – Cartographie des bassins-versants – Zones de ruissellement
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8. Un projet mal préparé, DUPs, arrêtés diverses avec des dates boutoirs pour certaines au 18 décembre 2018 (expropriations..) qui obligera à refaite des enquêtes publiques, démotivant les opposants à ce projet. 9. L’emprise foncière n’a pas été gérée par la filiale SNCF Immobilier comme le veut la loi n°2014-872 du 4 août 2014 (servitude T1, chemins agricoles, croisements routes / voies….)
10. Ce projet ne peut être performant que si vous arrivez au terminal 2, les terminaux 1 et 3 n’ayant pas d’accès direct à cette ligne.
11. Absence, d’une vraie enquête sur les conséquences de cette liaison Aéroport / Capital (gare du Nord – gare de l’Est). Toutes les enquêtes ont été partielles et partiales. Les groupes ADP et SNCF n’ayant pas tenue compte de leurs différents projets qui pourraient ou graviter sur cette ligne 229000 (comme un hôtel logistique à Roissy CDG, le transport modulable, le l’autoroute ferroviaire atlantique..)
12. Les incidents récurrents que l’on connaît ; panne de signalisation et de matériel perturbera le trafic de cette ligne qui ne pourra atteindre son objectif de relier la capitale en vingt minutes. La clientèle (hommes d’affaires) de cette liaison pourrait saisir les tribunaux Français ou Européen pour non-respect des engagements pris, et par voie de faite demander des dommages et intérêts pour perte de contrats.
13. Que toutes les alternatives à cette liaison directe n’ont pas été étudiées en jouant sur différents tronçons tel que la Ligne à Grande Vitesse Nord – LGV Est. C’est vrai, que pour ces tronçons les groupes ADP et SNCF ont d’autres projets.
14. L’utilisation des tronçons par le CDG Express est soumise à l’ordre « prioritaire de passage » imposé par le groupe SNCF, on ignore l’ordre de passage : Fret, RER B …
15. Le CDG Express ne sera accessible qu’aux usagers, détenteurs d’un billet unique exorbitant, les usagers utilisant un abonnement y sont « bannis »ainsi les supporteurs des athlètes des JO 2024 venant de pays pauvre.
16. Les risques d’inondations n’y sont pas abordés, documents réglementaires définis par les lois Solidarité et renouvellement urbains du 13 décembre 2000, Urbanisme et Habitat du 2 juillet 2003, révisées par la Loi portant engagement national pour l’environnement du 12 juillet 2010 (dite Grenelle II) et la Loi de modernisation de l’agriculture et de la pêche du 27 juillet 2010.
17. Aucun plan de gestion des risques d’inondation (PGRI), article L566-7 du Code de l’environnement..
18. L’article L.122-2 du Code de l’urbanisme, issu de la loi Grenelle doit être appliqué dans toutes les communes depuis le 1er janvier 2017.
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19. Loi sur l’énergie (LEne), entre autres, renforcement d’une approche intégrée de l’aménagement…. Protection des espaces et des paysages….
20. On ignore si certaines communes du tracé, révisent ou vont réviser leurs PLUs, PLUis, ….
21. L’Article L.110 du Code de l’urbanisme dit …… Le territoire français est le patrimoine commun de la nation. Chaque collectivité publique en est le gestionnaire et garant….
22. La loi du 31 Décembre 1992 relative à la lutte contre le bruit vise à protéger les personnes contre les nuisances dues aux bruits. L’article 13 de la dite loi établit que dans chaque département, le préfet recense et classe les infrastructures de transports terrestres en fonction de leurs caractéristiques sonores et du trafic. (Nb sur ce tracé plusieurs préfets sont concernés : Seine et Marne, Seine-Saint-Denis, de Paris)
23. Manque les plans de préventions du bruit dans l’environnement (PPBE) des départements concernés (articles L572-2 et L572-6 du code de l’environnement)
24. Manque l’arrêté de catastrophes naturelles du 15 août 2018 : Claye-Souilly, Saint-Denis
25. Manque les plans de la zone BCAE (bonnes conditions agricoles et environnementales)
26. Aucun lien avec le site l’Inventaire National du Patrimoine Naturel https://inpn.mnhn.fr certaines zones ont été actualisées comme la zone Natura 2000 version septembre 2018.
27. Depuis la loi n°2014-872 du 4 août 2014, les missions du groupe SNCF ont été redéfinies. Au vu de la DAE, la filiale SNCF réseau, sauf si elle a une délégation, ne peut-être l’interlocuteur avec les collectivités
L’ADU reste à votre entière disposition pour tous renseignements complémentaires. Veuillez agréer, Monsieur le Président, nos sincères salutations.
Lionnel Toussaint Président de L’ADU
Corédactrice Annie BROCHOT
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