Roch-Olivier Maistre, Président du Conseil d’administration Laurent Bayle, Directeur général | Mercredi 16 mai 2012 | Mercredi

Mercredi 16 mai 2012 | Alain Altinoglu | Romain Descharmes Romain Descharmes | Alain Altinoglu Altinoglu Alain |

Vous avez la possibilité de consulter les notes de programme en ligne, 2 jours avant chaque concert, aux adresses suivantes : www.citedelamusique.fr et www.orchestredeparis.com. de Paris Orchestre MERCREDI 16 MAI – 20H Salle des concerts

Emmanuel Chabrier España

Camille Saint-Saëns Concerto pour piano n° 2 entracte

Florent Schmitt La Tragédie de Salomé

Orchestre de Paris Alain Altinoglu, direction Romain Descharmes, piano

Ce concert est retransmis en direct sur France Musique.

Coproduction Cité de la musique, Orchestre de Paris.

Fin du concert vers 21h30.

2 Emmanuel Chabrier (1841-1894) España, Rapsodie pour orchestre

Composition : 1883. Création : 4 novembre 1883, à Paris, aux Concerts Lamoureux (Théâtre du Château d’Eau). Effectif : piccolo, 2 flûtes, 2 hautbois, 2 clarinettes, 4 bassons – 4 cors, 2 trompettes, 2 cornets à piston, 3 trombones, tuba – timbales, triangle, tambour de basque, grosse caisse, cymbales – 2 harpes – cordes. Publication : 1884, Paris, Enoch Frères et Costallat. Durée : environ 8 minutes.

Lors de la création d’España, en 1883, Chabrier se vit brusquement propulsé sur le devant de la scène. Immédiatement bissée, puis fréquemment redemandée dans les années suivantes, la pièce valut à son auteur, jusqu’ici compositeur d’opérettes obscures, une véritable gloire – au point d’ailleurs qu’elle a éclipsé aux yeux du public le reste de sa musique. Surfant sur la vague hispanisante qui continuera de faire la joie d’un Rimski-Korsakov, d’un Debussy ou d’un Ravel, España chante « les refrains vigoureux de la jota, combinés avec les phrases libres et rêveuses des malagueñas. Ces deux essences musicales des Espagne du Sud et du Nord y sont mêlées et superposées selon toutes les fantaisies de la polyrythmie, cette caractéristique des musiques orientales » (comme l’explique le programme distribué lors de la première). Inspirée par un voyage en Espagne de juillet à septembre 1882, elle fut d’abord écrite pour piano. Son énergie rythmique se vit par la suite parée de couleurs orchestrales séduisantes : pizzicati guitaristiques des cordes, tintements de triangle, harpes tantôt sèches, tantôt cristallines, basson staccatissimo, trombones conquérants… De cette partition qu’il voulait d’une volupté débridée, Chabrier dira ensuite d’un ton faussement détaché : « c’est en fa majeur et rien de plus ».

Camille Saint-Saëns (1835-1921) Concerto pour piano et orchestre n° 2 en sol mineur op. 22

I. Andante sostenuto II. Allegro scherzando III. Presto

Composition : 1868. Création : 13 mai 1868, à Paris, , sous la direction d’Anton Rubinstein avec le compositeur au piano. Effectif : piano solo – 2 flûtes, 2 hautbois, 2 clarinettes, 2 bassons – 2 cors, 2 trompettes – timbales – cordes. Publication : 1875, Durand, Paris. Durée : environ 24 minutes.

Le Deuxième Concerto pour piano de Saint-Saëns est aussi le plus connu. Il fut composé dix ans après le premier, essai de jeunesse sans grande originalité ; le musicien a alors plus de trente ans, et il est à juste titre considéré comme l’un des compositeurs les plus modernes de l’époque. Par la suite, il reviendra au genre encore trois fois, achevant sa production à plus de soixante ans avec le Concerto « Égyptien ».

3 Séduisant, le Concerto en sol mineur n’emporta pas immédiatement l’adhésion (en dehors de son mouvement central), mais il valut à Saint-Saëns les compliments de Liszt : « La forme en est neuve, et très heureuse ; l’intérêt des trois morceaux va croissant, et vous tenez un juste compte de l’effet du pianiste sans rien sacrifier des idées du compositeur – règle essentielle dans ce genre d’ouvrage », écrit le Hongrois au Français en juillet 1869, avant de faire la liste des éléments qui lui plaisent tout particulièrement.

Effectivement, l’architecture du concerto n’est pas banale, puisqu’elle ne présente pas de mouvement lent : c’est le premier mouvement qui prend en charge un tempo modéré (andante sostenuto), avant l’accélération des deux parties suivantes (allegro scherzando pour le scherzo puis presto pour le finale). De plus, Saint-Saëns néglige la traditionnelle introduction orchestrale pour proposer immédiatement, en plus de la cadence de fin de mouvement, une cadence initiale du soliste, qui sonne un peu austère, presque Bach parfois : on y sent l’influence de Saint-Saëns organiste. Un thème emprunté au jeune Fauré mène ensuite à une mélodie élégiaque où l’on pense à Chopin. Le pianiste Sigismond Stojowski trouvait d’ailleurs que l’œuvre manquait d’unité, ce qu’il résuma d’une formule lapidaire « de Bach à Offenbach » (et ce n’était pas un compliment…). L’Allegro scherzando, introduit par les timbales seules, est léger et fantasque (mendelssohnien, cette fois ?), et manie les changements d’éclairage avec enjouement. Le Presto couronne l’œuvre avec toute la verve qu’on attend d’un finale de concerto : fantasque, tourbillonnant, il met tout particulièrement le pianiste en valeur. Les autres mouvements pouvaient évoquer des prédécesseurs de Saint-Saëns, celui-ci appelle plutôt la référence à un successeur : il y a quelque chose de Rachmaninov dans sa fougue.

Florent Schmitt (1870-1958) La Tragédie de Salomé op. 50

I. Prélude – Danse des perles II. Enchantements sur la mer – Danse des éclairs – Danse de l’effroi

Composition : 1907 pour la musique de scène, retravaillée en suite pour orchestre en 1910. Création : 9 novembre 1907 au Théâtre des Arts à Paris, sous la direction de Désiré-Émile Inghelbrecht, pour la première version ; 8 janvier 1911 aux Concerts Colonne, sous la direction de Gabriel Pierné, pour la seconde version. Effectif de la suite : piccolo, 2 flûtes, 2 hautbois, cor anglais, 2 clarinettes, clarinette basse, 2 bassons, sarrusophone – 4 cors, 3 trompettes, 3 trombones, tuba – timbales, tambour, triangle, cymbales, grosse caisse, tam-tam, jeu de timbres – 2 harpes – cordes – chœur de femmes ad libitum. Publication de la suite : 1912, Durand, Paris. Durée : environ 28 minutes.

D’un personnage tout à fait secondaire dans la Bible, la fin du XIXe siècle et le début du XXe vont faire une figure centrale au niveau artistique. Peintres, poètes et musiciens, tous y vont de leur Salomé : Moreau, mais aussi Banville, Flaubert ou Mallarmé, Massenet… En 1907 a lieu la création parisienne de l’opéra de Richard Strauss d’après la pièce d’Oscar Wilde ; elle inspire à Robert d’Humières, alors directeur du Théâtre des Arts, le désir d’un mimodrame (œuvre scénique sans

4 paroles) dansé sur ce thème, pour la musique duquel il fait appel à Florent Schmitt. Récipiendaire du fameux Prix de Rome, le compositeur vient d’achever un gigantesque et somptueux Psaume XLVII ; mais il revient pour des raisons techniques à un effectif beaucoup plus limité avec sa Tragédie de Salomé, créée au début de novembre 1907. Par la suite, il retravaille la partition à la fois dans le sens d’un élargissement (en instrumentation) et d’un rétrécissement (en durée), supprimant certains tableaux pour ne conserver que deux parties principales. Réorchestrant profondément le matériau, il transforme son orchestre de chambre en un orchestre « par trois », avec une section percussive assez développée. Deux caractéristiques attirent l’attention : le remplacement du contrebasson par le sarrusophone, en quelque sorte son équivalent avec un corps en cuivre, qui possède une sonorité considérablement plus ample ; l’utilisation possible d’un chœur de femmes sans paroles pour le « chant d’Aïça », avant la Danse des éclairs, qui rappelle dans sa démarche d’« instrumentalisation » vocale les Sirènes, troisième mouvement des Nocturnes de Debussy (1899).

D’une ardente sensualité, la partition s’ouvre sur un Prélude aux accents wagnériens, auquel la mesure à 6/4 confère une temporalité en apesanteur. Un effet cinématographique de travelling avant (depuis les sonorités lointaines des premières mesures jusqu’au sommet de la vague puissante) porte aux nues un thème ondoyant présenté d’abord par le cor anglais et bientôt repris à perdre haleine par tout l’orchestre. Assombrissement général (le thème s’abîme dans les profondeurs d’un basson doublé par le sarrusophone), puis c’est la Danse des perles, mystérieuse et tournoyante, emplie de quintes diminuées, à l’orchestration polychrome, volontiers rehaussée de touches de triangle, de cymbales ou de harpes : Salomé « se pare, avec une joie enfantine, [et] esquisse sa première danse » (Robert d’Humières).

La seconde partie renoue d’abord avec le tableau atmosphérique ; un temps impressionniste, dans une nuance générale piano, flottant sur des harmonies longues, dans une orchestration délicate, la musique évolue petit à petit vers un langage expressionniste, en un immense crescendo très cuivré, au fur et à mesure que se déploie le tableau fantasmatique des songes de péché d’Hérode. Émerge alors des profondeurs de la mer le « chant d’Aïça, recueilli sur la mer Morte », comme le note Schmitt : d’abord une voix seule (ou un hautbois) dans le lointain, sur des harmonies aux saveurs d’Orient, puis plusieurs. La sinistre Danse des éclairs, où saint Jean est décapité, vient zébrer les textures d’irrégularités rythmiques en transformant le thème précédent, avant le gigantesque naufrage de la Danse de l’effroi, qui préfigure le Stravinski du Sacre du printemps. Ce dernier, dédicataire de la partition, l’appréciait d’ailleurs beaucoup : « C’est la plus grande joie qu’une œuvre d’art m’ait causée depuis longtemps », écrivait-il à Schmitt en 1912. Tableau d’apocalypse que ces dernières pages : « L’orage éclate. […] Des nuées sulfureuses roulent dans le précipice : l’ouragan balance la mer. Des trombes de sable se ruent des solitudes désertiques. Les hauts cyprès se tordent tragiquement, se brisent avec fracas. La foudre fait voler les pierres de la citadelle. Le Mont Nébo jette des flammes. La chaîne entière de Moab s’embrase. Tout s’abat sur la danseuse qu’emporte un délire infernal. »

Angèle Leroy

5 Alain Altinoglu Attiré par la mélodie et le lied, il forme perfectionnement. Dans ce cadre, Alain Altinoglu fait partie des jeunes depuis plusieurs années un duo avec Romain Descharmes enregistre chefs d’orchestre les plus demandés la mezzo-soprano Nora Gubisch. un CD consacré aux compositeurs dans le monde et en particulier Un enregistrement des mélodies du début du XXe siècle, recevant à dans le domaine de l’opéra. Il est de Duparc est sorti chez Cascavelle, cette occasion les conseils de Pierre régulièrement invité à diriger au avant un prochain disque consacré Boulez. Il est invité à se produire Metropolitan Opera de New York, à aux mélodies de Ravel. Il a également aux États-Unis, en Angleterre, en l’Opéra de Vienne, au Lyric Opera de enregistré les concertos pour Irlande, en Italie, en France, au Chicago, au Teatro Colón de Buenos violoncelle d’Éric Tanguy avec Japon, en Chine, avec notamment Aires, à la Staatsoper unter den Linden l’Orchestre National de France, le Midland Symphony Orchestra, et à la Deutsche Oper de Berlin, à Le Serment de Tansmann avec le National Symphony Orchestra l’Opéra de Munich et dans les quatre l’Orchestre Philharmonique de of Ireland, l’Orchestra del Lazio grands théâtres parisiens : l’Opéra Radio France, Perelà de Pascal ainsi que le Shanghai Philharmonic National de Paris, le Théâtre des Dusapin, la Symphonie n° 3 de Orchestra. Il se produit fréquemment Champs-Élysées, l’Opéra-Comique et le Henryk Gorecki avec le Sinfonia en France – La Roque-d’Anthéron, Théâtre du Châtelet. Il s’est également Varsovia et l’opéra Fiesque de Lalo Piano aux Jacobins, Rencontres produit aux festivals de Salzbourg, avec Roberto Alagna. Né en 1975 Internationales Frédéric Chopin, d’Orange et d’Aix-en-Provence. De à Paris, Alain Altinoglu a étudié au Serres d’Auteuil, Nancyphonies, 2007 à 2010, il est le premier chef invité (CNSMDP), Saint-Jean-de-Luz, Festival Agora – de l’Orchestre National de Montpellier. où il a été par la suite professeur et à l’étranger – festivals Arties (Inde), Il entretient une relation privilégiée de la classe d’ensemble vocal. de Beyrouth, Cervantino (Mexique). avec l’Orchestre National de France. Il participe à de nombreuses Il a déjà dirigé de nombreux orchestres Romain Descharmes émissions radiophoniques et réputés parmi lesquels la Staatskapelle Né en 1980, Romain Descharmes télévisuelles (France Musique, Mezzo, de Berlin, le Konzerthausorchester se voit décerner en 2006 le NHK). Chambriste recherché pour de Berlin, l’Orchestre de la Fenice de Premier Grand Prix lors du son écoute, sa sensibilité et sa large Venise, l’Orchestre de Paris, l’Orchestre Concours International de Dublin. connaissance d’un répertoire allant Philharmonique de Radio France, Il se produit alors en récital sur de la sonate aux grandes formations l’Ensemble intercontemporain plusieurs scènes prestigieuses : en passant par le lied qu’il affectionne et l’Orchestre Gulbenkian. Parmi Carnegie Hall à New York, Wigmore particulièrement, il se produit avec ses projets récents ou à venir, Hall à Londres, National Concert des artistes tels que Roland Daugareil, mentionnons Falstaff et Faust à la Hall à Dublin, Minato Mirai Hall à , , Wiener Staatsoper, L’Amour des trois Yokohama, Tsuda Hall à Tokyo… , l’ensemble Court- oranges de Prokofiev à l’Opéra de Paris, Après avoir étudié au Conservatoire Circuit, le Quatuor Ébène, le Berliner Cendrillon de Massenet au Théâtre de Paris (CNSMDP), où il obtient Philharmoniker Quintett. Il a gravé des Royal de La Monnaie de Bruxelles, quatre premiers prix et diplômes de disques consacrés à Brahms et Ravel. Rigoletto à l’Opéra de Cologne, formation supérieure (piano, musique Faust au Metropolitan Opera ainsi de chambre, accompagnement Orchestre de Paris que des concerts avec le Chicago au piano et accompagnement Héritier de la Société des Concerts Symphony Orchestra, l’Orchestre vocal), notamment dans les du Conservatoire fondée en 1828, de Paris, l’Orchestre du Capitole de classes de , l’Orchestre de Paris donne son concert Toulouse et le Radio-Sinfonieorchester Bruno Rigutto et , inaugural en novembre 1967 sous la Wien au Musikverein de Vienne. il poursuit sa formation en cycle de direction de Charles Munch. Après

6 le décès de son père fondateur, la les pays scandinaves, la Russie mais Directeur général direction musicale de l’orchestre sera aussi avec les publics chinois, japonais Bruno Hamard confiée successivement à Herbert et coréen qu’il a retrouvés en 2011 von Karajan, Sir Georg Solti, Daniel sous la direction de Paavo Järvi pour Directeur artistique Barenboim (qui dote l’orchestre d’un sa quatorzième tournée en Extrême- Didier de Cottignies chœur amateur permanent en 1976), Orient depuis le début des années Semyon Bychkov, Christoph von 1970. Avec le jeune public au cœur Directeur musical Dohnányi et Christoph Eschenbach. de ses priorités, l’orchestre diversifie Paavo Järvi Paavo Järvi est directeur musical ses activités pédagogiques (concerts depuis la saison 2010/2011 et son éducatifs ou en famille, répétitions Chefs assistants contrat vient d’être prolongé jusqu’en ouvertes, ateliers, classes en résidence, Julien Masmondet 2015/2016. L’orchestre inscrit son parcours de découvertes…) tout en Andris Poga répertoire dans le droit fil de la tradition élargissant son public (scolaires de la musicale française affirmée dès la maternelle à l’université, familles…). Premiers violons solos Société des Concerts du Conservatoire Ainsi, au cours de la saison 2011/2012, Philippe Aïche en jouant un rôle majeur au service les musiciens initient près de 40 000 Roland Daugareil des œuvres des XXe et XXIe siècles à enfants à la musique symphonique. travers l’accueil de compositeurs en La discographie de l’orchestre reflète Deuxièmes violons solos résidence, la création de nombreuses les facettes variées de son activité. Eiichi Chijiiwa partitions (Iannis Xenakis, Luciano Berio, Le premier enregistrement sous la Serge Pataud Pascal Dusapin, Marc-André Dalbavie, direction de Paavo Järvi, consacré à Philippe Manoury, Kaija Saariaho, Bizet, est paru en 2010 ; le second, Violons Marco Stroppa, Toru Takemitsu, etc.) consacré au Requiem de Fauré, avec Nathalie Lamoureux (3e solo) et la présentation de cycles et de Matthias Goerne, Philippe Jaroussky, Christian Brière (1er chef d’attaque) programmes exceptionnels consacrés Éric Picard et le Chœur de l’Orchestre Christophe Mourguiart aux figures tutélaires de la musique de Paris, est paru en septembre (1er chef d’attaque) française du XXe siècle (Olivier Messiaen, dernier (Virgin Classics). Afin de Philippe Balet (2e chef d’attaque) Henri Dutilleux, , etc.). Au mettre à la disposition du plus grand Antonin André-Réquéna cours de la saison 2011/2012, l’orchestre nombre le talent de ses musiciens, Maud Ayats assure la création mondiale d’Echo- l’orchestre a par ailleurs engagé un Elsa Benabdallah daimónon, concerto pour piano de large développement de sa politique Gaëlle Bisson Philippe Manoury, dans le cadre du audiovisuelle en nouant de forts Fabien Boudot Festival Agora, ainsi que la création partenariats avec Radio Classique, Arte David Braccini française de Battlefield, concerto pour et Mezzo. L’Orchestre de Paris et ses 119 Christiane Chrétien deux pianos et double orchestre de musiciens, soutenus par le Ministère de Joëlle Cousin Richard Dubugnon sur une commande la Culture et la Mairie de Paris, donnent Christiane Cukersztein conjointe de l’Orchestre de Paris, du plus d’une centaine de concerts cette Cécile Gouiran Los Angeles Philharmonic Orchestra saison, dont une soixantaine à la Salle Gilles Henry et du Gewandhaus de Leipzig. Pleyel en tant qu’orchestre résident. Florian Holbe Invité régulier des grandes capitales Les musiciens de l’Orchestre Andreï Iarca musicales, l’Orchestre de Paris a tissé de Paris sont habillés par la Saori Izumi des liens privilégiés avec New York, maison Jean-Louis Scherrer. Raphaël Jacob Londres, Vienne, Berlin ou Amsterdam, Momoko Kato

7 Maya Koch Contrebasses Marc Trénel (1er solo) Anne-Sophie Le Rol Bernard Cazauran (1er solo) Lionel Bord Angélique Loyer Vincent Pasquier (1er solo) Nadia Marano-Mediouni Sandrine Vautrin (2e solo) Contrebasson Pascale Meley Benjamin Berlioz Lola Descours Phuong-Maï Ngo Igor Boranian Nikola Nikolov Yann Dubost Cors Etienne Pfender Stanislas Kuchinski André Cazalet (1er solo) Gabriel Richard Antoine Sobczak Benoit de Barsony (1er solo) Richard Schmoucler Gérard Steffe Jean-Michel Vinit Elise Thibaut Ulysse Vigreux Philippe Dalmasso Anne-Elsa Trémoulet Jérôme Rouillard Caroline Vernay Flûtes Bernard Schirrer Vincent Lucas (1er solo) Altos Vicens Prats (1er solo) Trompettes Ana Bela Chaves (1er solo) Bastien Pelat Frédéric Mellardi (1er solo) David Gaillard (1er solo) Florence Souchard-Delépine Bruno Tomba (1er solo) Nicolas Carles (2e solo Laurent Bourdon Florian Voisin (3e solo Petite flûte Stéphane Gourvat Sophie Divin Anaïs Benoit André Chpelitch Françoise Douchet-Le Bris Chihoko Kawada Hautbois Trombones Alain Mehaye Michel Bénet (1er solo) Guillaume Cottet-Dumoulin (1er solo) Nicolas Peyrat Alexandre Gattet (1er solo) Christophe Sanchez (1er solo) Marie Poulanges Benoît Leclerc Nicolas Drabik Estelle Villotte Jean-Claude Jaboulay Cédric Vinatier Florian Wallez Charles Verstraete Marie-Christine Witterkoër Cor anglais Gildas Prado Tuba Violoncelles Stéphane Labeyrie Emmanuel Gaugué (1er solo) Clarinettes Eric Picard (1er solo) Philippe Berrod (1er solo) Timbales François Michel (2e solo) Pascal Moraguès (1er solo) Frédéric Macarez (1er solo) Alexandre Bernon (3e solo) Arnaud Leroy Delphine Biron Percussions Thomas Duran Petite clarinette Eric Sammut (1er solo) Claude Giron Olivier Derbesse Francis Brana Marie Leclercq Nicolas Martynciow Serge Le Norcy Clarinette basse Florian Miller Philippe-Olivier Devaux Harpe Frédéric Peyrat Marie-Pierre Chavaroche Hikaru Sato Bassons Jeanine Tétard Giorgio Mandolesi (1er solo)

8 Et aussi… Myung-Whun Chung Francede Radio Orchestre Philharmonique Tableaux d’uneexposition Moussorgski Modeste Ravel)Maurice Sarabande etDanse Claude Debussy Le Tombeau deCouperin SAMEDI 27OCTOBRE, 20H ChamayouBertrand Emmanuel Krivine La Chambre Philharmonique Pulcinella Igor Stravinski Ma mère l’Oye ensol Concerto Maurice Ravel Petite Suite Claude Debussy MERCREDI 24OCTOBRE, 20H Alexandre Tharaud, hommage àce cabaret légendaire. Alexandre Tharaud rend ainsiun Élise Caron etd’autres encore, artistes l’Orchestre National d’Île-de-France, été lamême. Entouré deFrank Braley, toit, l’histoire delamusiquen’aurait pas Alexandre Tharaud, sansLe surle Boeuf etderencontresconcerts orchestrés par Comme lemontre cette de série Satie,Erik Clair, René Ravel… Maurice croisait notamment JeanCocteau, Dans ce lieudevenu mythique, on Alexandre Tharaud -Le surletoit Bœuf DIMANCHE 14OCTOBRE > CONCERTS

Éditeur enchef : Huguesde Saint Simon |Rédacteur : Pascal Huynh| Rédactrice Plasseraud: Gaëlle |Graphiste : ElzaGibus |Stagiaires : Christophe Candoni, Coline Feler , direction (orchestration piano , piano , direction Lyon Schmitt Concerto pour pianon° pour Concerto … d’écouter avec lapartition : > Àlamédiathèque pédagogiques » : … deregarder dansles« Dossiers musique.) intégralité delaCité àlaMédiathèque dela (Les sont accessibles concerts dansleur Orchestra Saint-Saëns et Emmanuel Chabrier … delire : Patrick Davin Philharmonique deRhénanie-Palatinat Florent Schmitt La Tragédie deSalomé La Tragédie deSalomé les « Concerts » : … d’écouter unextrait audiodans musique en2010 enregistré(direction) àlaCité dela Gallois Saint-Saëns Charles-Camille España les « Concerts » : … deregarder unextrait vidéodans mediatheque.cite-musique.fr > Surlesite Internet http:// proposons… En échoàce concert, nousvous > MÉDIATHÈQUE l’ Orchestre Divertimento André Previn

, Stéphane Denève • d’ parl’ Florent Schmitt Emmanuel Chabrier , Jean-Philippe Collard parle (direction) Orchestre National de (direction) • (direction) parl’ de Royal Philharmonic de de Orchestre

Roger Delage Roger 2 d’ de (direction) Florent , Yves Hucher Zahia Ziouani de Camille Jean par (piano) • ,

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