Martinique La Côte Nord-Atlantique

Total Page:16

File Type:pdf, Size:1020Kb

Martinique La Côte Nord-Atlantique La côte Nord-Atlantique Sainte-Marie 6 Le Lorrain 10 À voir, à faire 6 À voir, à faire 10 Cafés et restos 8 Achats 10 Salles de spectacle 9 Basse-Pointe et Macouba 11 Morne À voir, à faire 11 des Esses 9 Activités 12 À voir, à faire 9 Cafés et restos 12 Cafés et restos 9 Logement 9 Grand’Rivière 12 Activités 13 Le Marigot 9 Cafés et restos 13 À voir, à faire 10 Cafés et restos 10 Index 14 À voir, à faire 3 La côte Nord-Atlantique Le présent circuit vous pro- stratégie de leurs « alliés » d’envahir pose de remonter la côte Nord- le territoire en passant par la mer. Atlantique «, de Sainte-Marie La règle était fort simple : premiers jusqu’à Grand’Rivière, en passant arrivés, premiers servis. Aussi les par des bourgs vivants et en savou- Dominicains héritèrent-ils de toute rant des points de vue saisissants la côte Nord-Atlantique, qu’ils s’em- sur cette mer qui se fait de plus en ployèrent à développer. plus féroce. Cette région historique jouit d’une Cette région, que l’on appelait longue tradition agricole. Autre- jadis la Cabesterre, porte en elle fois, les habitations sucrières y riva- les traces de la guerre, la dernière lisaient les unes avec les autres. La côte Nord-Atlantique à laquelle prirent part les Indiens Aujourd’hui, les plantations de caraïbes. C’était vers 1660, alors que bananes et d’ananas ont pris leur les colons français décidèrent de place. Notre circuit longe cette côte conquérir ces terres qui leur échap- aux paysages superbes mais peu hospitaliers. Ici, des vagues puis- paient encore. Le raid sur la Cabes- santes balaient constamment les terre, parti de Saint-Pierre, devint plages, si bien que ce ne sera pas une sorte de course à l’établisse- pour le plaisir de la baignade que ment de paroisses entre les ordres vous vous rendrez jusque-là. missionnaires présents en Marti- nique. Les Dominicains, qui accom- Au départ de Fort-de-France, la pagnèrent les milices ayant choisi route nationale 4 (N4) permet de se d’attaquer par l’intérieur, devan- rendre jusqu’à La Trinité. Puis, la N1 cèrent les Jésuites, mal servis par la longe la côte Nord-Atlantique. 4 Découvrir la Martinique La côte Nord-Atlantique À voir, à faire Sainte-Marie Morne des Esses 1. EY Îlet Sainte-Marie 7. DZ La Paille Caraïbe 2. EZ Anse Azérot Le Marigot 3. EY Distillerie Saint-James 8. DX Baie de Fond d’Or 4. EZ Musée de la Banane 5. EY Le train des plantations Le Lorrain 6. EY Domaine de Fonds Saint-Jacques 9. CX Monument aux morts Basse-Pointe et Macouba 10. BX Distillerie J.M Activités Basse-Pointe et Macouba Grand’Rivière 11. BX Randonnée Buggy 12. AX De Grand’Rivière au Prêcheur 13. AX Montagne Pelée par Grand’Rivière Achats Le Lorrain 14. CX Moulin à Cannes Cafés et restos Sainte-Marie Basse-Pointe et Macouba 15. EY Le Point de vue 20. BX Le Petit Palais, Chez Valence 16. EY Le Saint-James Grand’Rivière 17. EZ Ti Punch Coco 21. AX Chez Tante Arlette Morne des Esses 22. AX Floup-Floup La côte Nord-Atlantique 18. DZ Le Colibri Parfumé 23. AX Yva Chez Vava Le Marigot 19. DY Le Ghetto Salles de spectacle Sainte-Marie 24. EY Centre Culturel de Rencontre Fonds Saint-Jacques Logement Morne des Esses 25. EZ Les Z’Amandines Macouba Localisation Grand'Rivière 11 D10 20 Basse-Pointe 21,22,23 10 12 OCÉAN ATLANTIQUE N1 x 13 9 Pointe 14 Châteaugué 8 Le Lorrain Baie de Fond d’Or L’Ajoupa-Bouillon 19 Le Marigot Anse Charpentier N1 Pointe Ténos Montagne Pelée N3 15 y (1395 m) 6 24 3 1 16 5 Sainte-Marie N4 4 Anse Azérot Le Morne-Rouge D24 2 D10 17 Morne Jacob (884 m) N1 D25 N2 z N3 0 2,5 5km 7 Morne des Esses 18 25 La Trinité a b c d e s e b ï a r a C s e d r e M 6 Découvrir la Martinique Sainte-Marie Tomboloxxx. de l’Îlet Sainte-Marie. - un tombolo, soit un corridor de sable Sainte-Marie formé par le courant. De décembre Une activité constante règne dans à avril, il est ainsi possible d’aller ce bourg imposant (19 000 hab.) explorer l’îlet à pied et de se rendre et dynamique. Ce centre agricole jusqu’à la croix qui le coiffe. De là, la (canne à sucre, fruits, légumes) est vue sur le village et son front de mer le plus important et le plus pros- se revèle intéressante. père du nord de la Martinique. Les gens de la commune de Sainte- Anse Azérot «« [2] Marie «« vivent aussi de l’éle- La plage de l’Anse Azérot est la der- vage des bovins et de la transfor- nière où il est encore possible de se baigner sur la côte Nord-Atlantique. La côte Nord-Atlantique La côte Nord-Atlantique mation alimentaire. Fondée en 1658, Sainte-Marie est la plus ancienne Plus loin vers le nord, la mer semble paroisse de la côte Nord-Atlantique. perpétuellement déchaînée, sa houle Aujourd’hui, une grande église bleue virulente rendant téméraire toute domine gracieusement la silhouette tentative de baignade. du bourg. Distillerie Saint-James «« [3] visite du musée et dégustation gratuites, À voir, à faire 5€ pour la visite guidée de la distillerie (voir carte p. 5) pendant la période de la récolte (fév à juin) seulement; tlj 9h à 17h; 05.96.69.30.02, Îlet Sainte-Marie « [1] www.rhum-saintjames.com Cet îlet fait face au bourg, auquel il Rhumerie originellement fondée sur est relié durant la saison sèche par les hauteurs de Saint-Pierre, puis À voir, à faire 7 des bananes autant que les diffé- rentes variétés de ce fruit présentes dans l’île. On peut aussi y faire une agréable balade dans un parc de 4 ha entourant une belle maison créole. Le train des plantations « [5] 5€; mar-ven 9h30 à 12h, sam 9h30 à 17h; 06.96.86.99.09 Balade en locomotive ancienne d’une quarantaine de minutes le long d’un chemin de fer réhabilité qui sillonne des champs de canne à sucre et de bananiers. Le parcours relie la Dis- tillerie Saint-James et le Musée de la Banane. Sainte-Marie Tomboloxxx. de l’Îlet Sainte-Marie. Poursuivez maintenant votre route - déménagée ici après l’éruption de vers le nord. Le prochain arrêt se la montagne Pelée en 1902. On y trouve à moins de 2 km. fabrique des rhums paille, blancs, Domaine de Fonds ambrés et vieux réputés. Grâce au Saint-Jacques «« [6] Musée du Rhum « qu’on y a installé, 2,50€; lun-ven 10h à 16h; 05.96.69.10.12, vous pourrez vous familiariser avec www.domainedefondsaintjacques.com l’histoire de la culture de la canne à Ce domaine fut construit aux envi- sucre, de 1765 à aujourd’hui. Au pro- rons de 1660 par les Dominicains. gramme : machinerie ancienne, gra- Entre 1696 et 1705, le père Jean- vures, outils et objets divers, réunis Baptiste Labat en fit un important dans une coquette maison créole. centre industriel (voir encadré). Plus près de nous, en 1968, l’Université La côte Nord-Atlantique Musée de la Banane « [4] de Montréal y mena un heureux tra- 7€; tlj 9h à 16h30; 05.96.76.27.09, vail de restauration. La visite per- www.museedelabanane.fr met aujourd’hui d’admirer plusieurs Joliment aménagé au cœur même bâtiments restaurés tels que la cha- d’une authentique bananeraie pelle, construite en 1688 et rebâtie toujours en activité (Habitation en 1769, les cuisines et les maga- Limbé), ce musée présente toutes sins. Vous aurez également tout le les facettes de cette composante loisir de vous balader dans le jardin essentielle de l’agriculture mar- botanique, aménagé entre les ruines tiniquaise. Ainsi y découvre-t-on d’anciens bâtiments, comme le les diverses étapes de la culture moulin, l’aqueduc et la purgerie, bel 10 Découvrir la Martinique en 1663, après en avoir chassé les Caraïbes, qui eux-mêmes avaient Le Lorrain auparavant chassé les Arawaks, les Établi au fond d’une grande baie Français s’installèrent sur ce ter- battue par des vagues violentes, ritoire et érigèrent la paroisse de Le Lorrain se dénommait autre- Marigot. fois « Grande Anse ». Dès 1680, une La pêche, mais surtout la culture paroisse était érigée ici, et en 1837 des aubergines, des avocats et des Le Lorrain devint officiellement une bananes, de même que l’élevage de commune. Nous sommes ici en plein poules et d’écrevisses, constituent « royaume des bananes » et c’est les moyens de subsistance de la plu- d’ailleurs la culture de ce fruit qui fait part des 3 500 Marigotins. vivre bon nombre des 7 500 Lorinois. À voir, à faire À voir, à faire (voir carte p. 5) (voir carte p. 5) Le Lorrain - Monument aux morts [9] Baie de Fond d’Or [8] Derrière l’église, l’étonnant Monu- Construit en amphithéâtre en face ment aux morts, où un poilu de la de l’océan, le bourg vous réserve Première Guerre mondiale, comme de jolis panoramas. Ainsi, depuis on surnommait alors les soldats sa mairie entourée de fleurs et sur- français, prend la pose avec désin- plombant la mer, vous aurez droit à volture aux côtés de son ange gar- une superbe vue sur la baie de Fond dien (symbolisant la France), ne d’Or avec ses vagues puissantes.
Recommended publications
  • The Transoceanic 1755 Lisbon Tsunami in Martinique
    Pure Appl. Geophys. 168 (2011), 1015–1031 Ó 2010 Springer Basel AG DOI 10.1007/s00024-010-0216-8 Pure and Applied Geophysics The Transoceanic 1755 Lisbon Tsunami in Martinique 1,2 1 3 2,3 4 4 J. ROGER, M. A. BAPTISTA, A. SAHAL, F. ACCARY, S. ALLGEYER, and H. HE´ BERT Abstract—On 1 November 1755, a major earthquake of esti- 1. Introduction mated Mw=8.5/9.0 destroyed Lisbon (Portugal) and was felt in the whole of western Europe. It generated a huge transoceanic tsunami that ravaged the coasts of Morocco, Portugal and Spain. Local Martinique Island is part of a subduction volcanic extreme run-up heights were reported in some places such as Cape arc of 850 km length, resulting from the convergence St Vincent (Portugal). Great waves were reported in the Madeira of the Atlantic Plate under the Caribbean Plate at an Islands, the Azores and as far as the Antilles (Caribbean Islands). An accurate search for historical data allowed us to find new average rate of 2 cm/year (STEIN et al., 1982) (Fig. 1). (unpublished) information concerning the tsunami arrival and its This subduction is the cause of shallow earthquakes, consequences in several islands of the Lesser Antilles Arc. In some some of them with magnitude greater than 7, as was places, especially Martinique and the Guadeloupe islands, 3 m wave heights, inundation of low lands, and destruction of buildings the case of the 5 April 1690, 8 February 1843 and boats were reported (in some specific locations probably more (FEUILLET et al., 2002) the 18 November 1867 Virgin enclined to wave amplification).
    [Show full text]
  • TRANSPORT SCOLAIRE SUR LE TERRITOIRE DE CAP NORD MARTINIQUE Répertoire Des Transporteurs Année 2014-2015
    TRANSPORT SCOLAIRE SUR LE TERRITOIRE DE CAP NORD MARTINIQUE Répertoire des transporteurs Année 2014-2015 COMMUNES TRANSPORTEURS TITULAIRES ÉTABLISSEMENTS DESSERVIS EVASION TRANSPORT E.E.P.U Mixte A – Bourg BASSE-POINTE Jerôme Mesmin Sainte-Rose E.E.P.U Hauteurs Bourdon Morne Balai E.E.P.U Morne Balai 97218 BASSE-POINTE E.M.PU Les Coccinelles 0696 36.13.14 CLG BASSE-POINTE BASSE-POINTE TRANSPORT SASSON Pauline MOUTOUSSAMY Lieu dit 50 Pas CLG BASSE-POINTE 97218 MACOUBA 0596 24.69.42 / 0596 78.50.30 TRANSPORTS DOHAM Sylvestre DOHAM E.E.P.U Aristide Hardion BELLEFONTAINE Bourg E.M.P.U Belle Fontaine Maternelle 97222 BELLEFONTAINE 0696 25.64.97 / 0596 55.00.55 JULIANS VOYAGES Jean Max JULIANS E.M.P.U Les Abeilles CASE-PILOTE Route de la Démarche E.E.P.U Saint-Just Orville 97233 SCHOELCHER 0596 64.37.10 E.E.P.U Dumaine E.E.P.U Glotin COMPAGNIE ANTILLAISE DE DEPLACEMENT E.E.P.U Bois Lezard Christian CATORC E.E.P.U Gros-Morne B – La Fraicheur GROS-MORNE Quartier La Fraîcheur E.M.P.U La Fraicheur Rue de la Liberté E.E.P.U Rivière Lezarde 97213 GROS-MORNE E.E.P.U Gros-Morne A 0596 67.95.65 E.E.P.U Gros-Morne C CLG Euzhan Palcy CLG Hubert Nero E.E.P.U Léon Cécile TRANSPORT BONIFACE LPO Joseph Pernock Jean Luc BONIFACE E.E.P.U Berteau Marie-Rose LORRAIN 14, Rue de la Belle Épine Redoute E.M.P.U Carabin 97200 FORT-DE-France E.M.P.U Georges Oliny 0696 25.22.71 / 0596 55.30.04 E.E.P.U Maxime E.E.P.U Isidore Pierre-Louis E.M.P.U Gilbert Tarquin TRANS PV Olivier VIEU E.E.P.U Valentine Bredas MARIGOT Quartier Dominante CLG Eugène Mona (ex La Marie) 97225
    [Show full text]
  • Communiqué De Presse
    Cabinet du Préfet Bureau de la communication interministérielle Fort-de-France, le 7 mars 2014 Communiqué de presse Élections municipales des 23 et 30 mars 2014 Dépôt des déclarations de candidatures Pour la Martinique, les déclarations de candidatures aux élections municipales, pour le 1er tour de scrutin, ont débuté le lundi 10 février et se sont terminées le jeudi 6 mars 2014 à 18 heures. 159 candidatures ont été validées comme conformes. 1 liste préalablement validée a été retirée sur la commune de Ducos. 1 liste a fait l'objet d'un refus sur la commune de Schoelcher en raison de sa non-conformité, refus dont le tribunal administratif de Fort-de-France peut être saisi dans un délai de 24 heures. NB : la liste des candidatures figurant ci-dessous est provisoire. L'arrêté préfectoral fixant la liste des candidats sera publié le mardi 11 mars 2014. MAIRIE LISTE ÉTIQUETTE TÊTE DE LISTE Pour les communes de 1000 habitants et plus AJOUPA BOUILLON Force bouillonnaise sans étiquette BONTE Maurice AJOUPA BOUILLON La force verte sans étiquette ACCAMAH Thomas Rassemblement populaire AJOUPA BOUILLON MIM ZABEAU José bouillonnais ANSES D'ARLETS L'Alliance Arlésienne DVG DINAL David ANSES D'ARLETS « Tjenbe la rel pour lezans » socialiste LARCHER Eugène CASIMIRUS Marie-Urbain- BASSE-POINTE Dynamique pointoise PPM Thérèse Mouvement pour le progrès BASSE-POINTE démocratique et social de Basse- Divers droite CHARPENTIER André Pointe BELLEFONTAINE Un nouveau souffle PPM ISMAIN Félix BELLEFONTAINE Agir à Bellefontaine sans étiquette BELORGANE Bertin Contact
    [Show full text]
  • Fort-De-France Le Marin Le Trinité Saint-Pierre
    o o Martinique: Nord Plage Perpigna Grand'Rivière Macouba La Lave Perpigna Perriolat Cheneaux Nord Basse-Pointe Hauts Sud Cheneaux Fond Moulin Sud Bijou Lotissement Souffleur du Bourg Sud Tapis Vert Fond Beauséjour Habitation Lottière Charmiette Gradis Chalvet Anse Capot Couleuvre Bois Jean Hallay Vivé Ilet Desiles Montagnier Savane Anatole Sancé Le Lorrain Cité L'Ajoupa-Bouillon Fond d'Or Anse La Marie Belleville Le Marigot La Garenne Les La Girard Abymes Le Prêcheur La Pirogue Le Paillaca Épineux Préville Boisville Chamonix Four La Charmeuse Petite Habitation Citron à Chaux Savane Savane Savan Simonet Pointe du Perinelle Diable Fond Fond l'Afrique Guillet Sainte-Marie Savane Petit Habitation Limbé Case Dujon Pointe la Table Habitation Résidence Eudorcait Pointe de Pointe Balata Quartier Depaz Lotissement la Batterie Calebassier Les Loups du Fort Parnasse Bon Air Pointe Morne Rochelle Ferré Abel Lotissement MouillagSe AINT-PIERRE Saint-James LE TRINRueITÉ Saint-Pierre Mulatre Rivière La Croix Canaris Lotissement La Trinité Plateau Sapote Brin d'Amour Le Trou Palourde Tamarins Bois Lézar Quartier La Borelli Deux Choux Darcourt Côte Habitation Pointe d'Or Jean-Claude Morne Fonds-Saint-Denis la Denel Gabillon Saint-Michel Plateau La Vierge Quartier Le Carbet Quartier Boucher Flamboyants Lessema Croix Pointe Lotissement Lotissement Fond Savane Morne Charlote Jean Courbaril Jubilé Banane Bois Lézard Pointe Grand Anse Nord Au Coeur Savane Grand La Médaille de Bouliki Gros-Morne Chère Anse Les Épice Habitation Canton Montjoly
    [Show full text]
  • Réseaux Pluviométriques Et Pluviographiques De La Martinique
    L'Institut REGION français de recherche MARTINIQUE scientifique Centre pour le dela développement Guadeloupe en coopération RESEAUX PLUVIOMETRIQUES ET PLUVIOGRAPHIQUES DE LA MARTINIQUE Jean-Pierre MOBECHE Emmanuel SCHMITT Janvier 1994 1 REMERCIEMENTS Ce travail d'actualisation de l'inventaire de tous les postes pluviométriques et pluviographiques de la Martinique, a pu être mené à bien grâce à la collaboration de MElEO-FRANCE et le concours de la Direction Régionale de l'Environnement (DIREN) de la Martinique.. Nous tenons ici à remercier tout particulièrement: Monsieur Jean-Luc MARINO, responsable du Service Climatologique de la Martinique, Service Météorologique Interégional des Antilles-Guyane, qui a bien voulu fouiller pour nous les archives de MElEO-FRANCE, Monsieur Georges ADELE, technicien hydrologue de l'ORSTOM, en poste à la Direction Régionale de l'Environnement de la Martinique, pour son aide précieuse et son dévouement sans lesquels ce travail n'aurait pu aboutir, Monsieur Alexandre JUBENOT, technicien hydrologue de l'ORSTOM, mis également à disposition de la DIREN de la Martinique, "la mémoire du service", et qui a bien voulu, pour se faire aussi plaisir, remuer des souvenirs parfois vieux de 30 ans! 1 PREAMBULE Depuis la parution en 1976 de l'ouvrage de synthèse "Les Ressources en Eau de Surface de la Martinique", par J. Guiscafre, J.-C. Klein et F. Moniod, dans la collection Monographies Hydrologiques ORSTOM (nO 4), aucune mise à jour de la liste des postes pluviométriques et pluviographiques de la Martinique n'avait été entreprise. L'objet du présent travail est donc d'inventorier, au 31 décembre 1992, toutes les stations pluviométriques et pluviographiques de la Martinique, quelqu'en soit, ou en fût, le gestionnaire.
    [Show full text]
  • Archives Départementales De La Martinique
    CONSEIL GENERAL DE LA MARTINIQUE ARCHIVES DEPARTEMENTALES GUIDE DE RECHERCHE GENEALOGIQUE EN MARTINIQUE par Athanase MESLIEN, Assistant Principal de conservation Sous la direction de Dominique TAFFIN, Conservateur général Directrice des Archives départementales FORT-DE-FRANCE 2014 SOMMAIRE 1 - A quoi sert la généalogie ? 2 - Avant de commencer : que dois-je savoir ? 2.1. historique de l’état civil 2.2. particularités historique de la généalogie martiniquaise 2.2.1 des collections parallèles d’état civil, mais non identiques 2.2.2 pour rechercher des ascendants affranchis: 2.2.3 pour rechercher des ascendants esclaves 2.2.4 l’immigration européenne, africaine et asiatique 2.2.5 fusionnement et création tardive de certaines communes 2.2.6 état des collections des registres d’état civil de la Martinique 2.3 La consultation des registres d’état civil permet d’accéder à de multiples informations 2.3.1 Les abréviations couramment utilisées 2.3.2 La consultation des différents actes permet d’accéder à ces informations 3 - Comment mener une recherche de généalogie martiniquaise ? 3.1 Les différentes étapes à suivre 3.2. Où chercher ? 3.3 Faire une recherche sur internet 3.4 Faire une recherche aux Archives départementales en salle de lecture : 3.4.1 la recherche à partir du Répertoire d’état civil microfilmé (1Mi, 2Mi, 5Mi) 3.4.2 la recherche dans les collections des registres originaux 4 - Les sources généalogiques aux Archives départementales 1 4.1.L’état civil : 4.1.1 Tableau de l’état civil de la Martinique aux Archives départementales et
    [Show full text]
  • JEAN-MARIE Sur Toutes Les Communes
    MARTINIQUE – BASSE-POINTE - MACOUBA J’ai effectué en 2015, le dépouillement des Archives départementales en ligne de LA MARTINIQUE du patronyme JEAN-MARIE sur toutes les communes. Ce document liste ceux des communes du Marin et Saint-Anne. Accueil J’ai également compilé différentes informations en provenance des sites genealogie.com, Heredis Online ou autres... ces dernières restent a être vérifiées et complétées. Les rectangles noir en haut & à droite de chaque individu inclus la référence de l’individu dans le fichier ‘’ged’’ dont vous trouverez le contenu complet sur GENEANET à cette adresse (cliquer sur le lien) Toutes les boites ou flèches de couleur bleu ont un lien qui renvoie vers un(e) ascendant(e) ou descendant(e) ou vers vers un site internet. Pardon d’avance pour d’éventuelles erreurs de recopie. En cas d’incohérence, information partielles, merci d’avance de me les signaler, je réponds plus ou moins rapidement à tous les mails Navigation dans ce document : BASSE-POINTEBASSE-POINTE MACOUBAMACOUBA DescendanceDescendance du du couple couple JEAN-MARIEJEAN-MARIE surnommé surnommé SORHAINDO SORHAINDO && MORAVIEMORAVIE Zulma Zulma (MESLE) (MESLE) IREL :IREL : http://anom.archivesnationales.culture.gouv.frhttp://anom.archivesnationales.culture.gouv.fr ActesActes vérifiésvérifiés sursur sursur lesles rélévésrélévés desdes ArchivesArchives DépartementalesDépartementales Pascal JEAN-MARIE – [email protected] PagePage précédente précédente RetourRetour PagePage suivante suivante RetourRetour vers vers le le site site web web Mise à Jour: 17 Janvier 2018 Page 1 de 8 MARTINIQUE – BASSE-POINTE - MACOUBA VoirVoir égalementégalement sitesite webweb dede M.M. GillesGilles JEANNEJEANNE.. IncluantIncluant ●● UneUne bonnebonne partiepartie desdes « JEAN-MARIE »« JEAN-MARIE » listéslistés dansdans cesces pages.pages.
    [Show full text]
  • Intestinal Schistosmiasis in Martinique
    Intestinal Schistosomiasis due tu Schistosoma mansoni in Martinique Nicoleisland DESBOIS - NOGARD University Hospital – Martinique FWI Schistosomiasis Regional Meeting – PAHO/WHO San-Juan, Puerto-Rico October 21, 22, Atlantic Ocean 2 « Windward coast » 1 128 km « Côte au vent » 14°30 N latitude Wet tropical climate Hygrométry : 78 - 80% °C : 25 - 28 °F : 77 – 82,4 Caribbean sea « Leeward coast » « Côte sous le vent » History First reports: 1906 (Lahille), 1908 (Leger), and 1910 (Noc) 1951 (Deschiens) : prevalence rate estimation = 6,4% 1961 : prevalence of Schistosoma mansoni infection = 8,4% (routine parasitological examinations in Institut Pasteur - Martinique) 1970 : combined parasitological and serological survey among schoolchildren (10/34 communes of Martinique) : Stool analysis : prevalence of 0,3% to 18% Immunodiagnostic tests : prevalence of 37% to73% 1971 : large-scale serological survey (5000 persons, mostly female, 5-20 years old, in 20 communes : wide variation in prevalence between communes, (range: 5,3% - 73,5%) Schistosomiasis due to Schistosoma mansoni = real public health problem in Martinique island 10.July.1973: decree n°73-705 to organize and to finance epidemiological inquiries 1978 : Creation of the department of fight against intestinal parasitosis (DDAS* – Martinique). *Direction Dèpartmentale des Affaires Sanitaires et Sociales History Enquête INSERM* 1977 - 1978 Systematic survey of intestinal schistosomiasis 800 families 3880 persons Prevalence rate : 30% Basse-Pointe, St-Pierre, Morne-Rouge,
    [Show full text]
  • Compatriotism, Citizenship, and Catastrophe in French Martinique (1870 – 1902)
    The Politics of Disaster in a Colony of Citizens: Compatriotism, Citizenship, and Catastrophe in French Martinique (1870 – 1902) By Christopher Michael Church A dissertation submitted in partial satisfaction of the requirements for the degree of Doctor of Philosophy in History in the Graduate Division of the University of California, Berkeley Committee in charge: Professor Tyler Stovall, Chair Professor James P. Daughton Professor Thomas Laqueur Professor Percy Hintzen Spring 2014 The Politics of Disaster in a Colony of Citizens: Compatriotism, Citizenship, and Catastrophe in French Martinique (1870 – 1902) © Copyright 2014 Christopher Michael Church Abstract The Politics of Disaster in a Colony of Citizens: Compatriotism, Citizenship, and Catastrophe in French Martinique (1870 – 1902) By Christopher Michael Church Doctor of Philosophy in History University of California, Berkeley Professor Tyler Stovall, Chair As politicians of France’s Third Republic vied to build a democratic consensus and distance themselves from France’s recent autocratic past, they projected a fantasy of assimilation onto Martinique—one of France’s oldest colonies where the predominately non-white population had received full citizenship and universal manhood suffrage with the ratification of the Constitution of 1875. However, at the close of the nineteenth century, a series of disasters struck the French island of Martinique that threatened the republican fantasy of seamless assimilation: (1) the 1890 fire that destroyed the island’s capital of Fort-de-France; (2) the 1891 Atlantic hurricane that devastated the island’s economy and prompted a reevaluation of the place of the colony within the French nation; (3) the first general strike in 1900 wherein civil unrest in the colonies caused a political disaster in the metropole; and (4) the 1902 eruption of Mount Pelée that killed over 30,000 people nearly instantaneously and cemented a postcolonial relationship characterized by dependence.
    [Show full text]
  • De La Martinique
    Fruits - vol . 211 . n 0 5 . 1971 3 - 33 5 Quelques caractéristiques de sols des zones bananières de la Martinique J. GUILLEMOT, J .L . LACHENAUD et M . DORMOY* QUELQUES CARACTERISTIQUES DE SOLS DES ZONE S BANANIERES DE LA MARTINIQU E J . GUILLEMOT, J.L . LACHENAUD et M . DORMOY (IFAC) . Fruits, mai 1973, vol . 28, n° 5, p . 335-349 . RESUME - A la suite de séries danalyses effectuées dans les laboratoi - res de lIFAC sur des sols de bananeraies de la Martinique, les auteur s font une synthèse des résultats . Ils ont distingué cinq zones suivant le s types de sol et la délimitation géographique, chacune divisée en secteurs et sous-secteurs. Pour chaque zone lexploitation,la topographie, la climatologie ont ét é étudiées avant dexposer les caractéristiques physicochimiques de s secteurs et sous-secteurs. Principes généraux de la fumure en fonction des pratiques habituelle s et des expérimentations. En conclusion ils insistent sur le fait que s i lon a sur une zone assez étendue (secteur ou sous-secteur) une certai - ne unité, au niveau de la plantation ou de la parcelle, des solution s différentes doivent être envisagées à cause du passé cultural, de s apports extérieurs et des altérations mécaniques ou climatiques . Cette note a été rédigée à partir de résultats provenant déchantillons prélevés dans de nombreuse s bananeraies martiniquaises, par lIFAC et le Service agro-technique de la SICABAM , depuis 1957 . Les analyses sont faites au laboratoire de lIFAC à Fort-de-France sous la responsabilité de Mme DOR- MOY . Avant 1969 le laboratoire des sols de IORSTOM (Bondy) prêtait son concours pour lanalyse de s cations échangeables .
    [Show full text]
  • ATLAS COMMUNAL DES RISQUES NATURELS Cartographie Des Aléas
    SECRETARIAT D'ETAT Ministère de l'Economie, des Finances et PREFECTURE DDE: de l'Industrie MINISTERE DE DE LA REGION MARTINIQUE L'AMENAGEMENT OU TERRITOIRE MARTINIQUE ET DE L'ENVIRONNEMENT A L'OUTRE-MER ATLAS COMMUNAL DES RISQUES NATURELS Cartographie des aléas COMMUNE DE MACOUBA Martinique a> • tint H >•"«• 0« "*• pii<M BRGM MINISTERE DE L'ECONOMIE, DES FINANCES ET DE L'INDUSTRIE MINISTERE DE L'AMENAGEMENT DU TERRITOIRE ET DE L'ENVIRONNEMENT SECRETARIAT D'ETAT A L'OUTRE-MER COMMUNAUTE ECONOMIQUE EUROPEENNE ATLAS COMMUNAL DES RISQUES NATURELS Cartographie des aléas COMMUNE :MACOUBA MARTINIQUE Rapport BRGM R4M96 Par O. Sedan et M. Terrier Avec la collaboration de M. Fiquet, J.M. Mompelat, Y. Siméon, P. Stollsteiner pour les levés Composition cartographique par O. Sedan et J.P. Samour BRGM SERVICE GEOLOGIQUE NATIONAL Département Risques BP 167 - 13276 MARSEILLE CEDEX 09 - FRANCE Tél.: (33) 04 91 17 74 74 - Fax : (33) 04 91 17 74 75 ANTEA AGENCE ANTILLES Immeuble Massai - Croix de Bellevue - 97200 FORT-DE-FRANCE Tél.: 05 96 71 88 68 - Fax : 05 96 63 30 46 ATLAS COMMUNAUX DES RISQUES NATURELS DELA MARTINIQUE SOMMAIRE INTRODUCTION 3 NOTICE GENERALE 4 Aléa mouvements de terrain 5 Glissement de terrain - coulée boueuse 7 Chutes de blocs - Eboulement 9 Aléa inondation 11 Aléa cyclonique 15 Aléasismique 19 Failles actives 21 Effets de site : les effets dus à la topographie ou liés à la nature et à la structure du sous-sol 23 Liquéfaction 25 Aléa volcanique 27 PREMIERES RECOMMANDATIONS 31 Aléa mouvements de terrain 32 Aléa inondation 33 Aléa cyclonique 34 Aléasismique 36 Aléa volcanique 37 CARTES 38 Liste et pagination des cartes thématiques sur la première planche (C1) r RAPPORTS BRGM R40177 à R40207 2 ATLAS COMMUNAUX DES RISQUES NATURELS DE LA MARTINIQUE INTROD UCTION En raison de sa situation géographique et géologique, l'île de la Martinique est soumise Dans le cadre de la loi du 22 juillet 1987 et du décret d'application du 13 octobre 1990, à une large gamme de phénomènes naturels dangereux.
    [Show full text]
  • [03] Volet Histoire
    Étude pluridisciplinaire d’approfondissement des connaissances sur les versants nord-ouest de la Montagne Pelée [03] Volet Histoire Ecriture et données Vincent Huygues Belrose _ historien Geneviève Nouhaud _ muséographe _ urbaniste Alise Meuris _ paysagiste Jean-Pierre Fiard _ botaniste Léa Dubreuilh _ géographe _ urbaniste Alexandre Moisset _ paysagiste Thierry L’Étang _ anthropologue Coordination et mise en forme Geneviève Nouhaud Alise Meuris Maîtrise d’ouvrage DEAL de la Martinique Morne du Céron 60 Sommaire Chapelle Sainte-Croix du Céron 60 Voirie 61 Batterie de l’Anse du Céron 62 CONVENTIONS POUR LA TOPONYMIE 6 VALLÉE DE LA COULEUVRE 64 INTRODUCTION / Construire l’histoire du nord-ouest martiniquais 7 Habitation Anse Couleuvre (Habitation Tardon) 64 HISTOIRE GÉNÉRALE (DE L’OCCUPATION) DE LA MARTINIQUE 10 Vestiges 65 Découpage initial 15 Toponymes 73 Trait de côte 19 Anse Couleuvre 73 Conditions climatiques 20 Rivière Couleuvre 73 Hydrographie 22 Autres Éléments 74 Batterie 74 Jardin créole et transmission de Cultures 23 Route coloniale 75 Habitations 25 Chemin d’exploitation 75 Cultures vivrières et cultures de rapport 26 Du Zamana dans cette étude 32 VALLÉE DES 3 ANSES Forêt 35 LÉVRIER, Forêt primitive 35 À VOILE, Coupeurs de bois 36 LA CELLE 76 De l’usage des bois 37 Habitation Anse Lévrier 76 Pratiques de chasses et animaux 38 Vestiges 76 Histoire du sentier Prêcheur / Grand’Rivière 39 Occupation humaine 78 Anthroponymie versus toponymie 43 Toponyme 81 Termes géo-topographiques de la première colonisation 45 Autres éléments 82
    [Show full text]