MICHEL LEEB JAZZ
Accompagné par les « Brass Messengers » - Direction musicale Dominique Rieux
Nouvel album REPÈRES - Sortie le 24 février 2014
NOTE D´INTENTION - La Passion du Jazz
Le Jazz est entré dans ma vie à l'âge de 12 ans, pour mon anniversaire, ma mère m’avait offert un album magnifique de Ray Charles : «DEDICATED TO YOU».
Chaque titre était un prénom féminin. C’était très fantasmatique. Ray Charles y était très influencé par Nat King Cole. Le blues de Ray Charles et par la suite, « Georgia », « what’d I say », puis tous les albums, constituent ma première discothèque.
Du blues au Jazz il n’y a qu’un pas.
Je découvre les «Jazz Messengers» avec Art Blakey, Lee Morgan, Bobby Timmons et les autres.
«Blues March» rythme mes pas vers l’école. Le soir, le nez dans mes bouquins, j’écoute à la radio «Pour ceux qui aiment le Jazz».
Je commence alors une collection de disques de Jazz tout en fréquentant les clubs parisiens: Caveau de la Huchette, Le Caméléon, le Blue Note. Pendant des nuits entières j'écoute Georges Arvanitas, Daniel Humair, Michel Roques, Lou Benett, Tania Maria, Raymond Le Sénéchal. Et bien sûr je ne rate aucun concert de Ray Charles.
Je découvre Dizzy, Charlie, Miles, Oscar, Bud, Thelonious, John, Dexter, NHOP, Bill, Keith, Michel, Ornett,etc...
Plus tard je me consacre au Jazz vocal: Ella, Frank, Tony, Nat, Ray évidemment, Sammy, Dean (plus variétés mais lié Rat Pack, donc du club!), je dors avec! Et les Big Band: Count Basie, Woody Hermann, Buddy Rich, Duke Ellington, Lionel Hampton, Bob Florence, Gerald Wilson, Thad Jones et Mel Lewis, Kenny Clarke et Francis Boland etc...et le Super Swing Machine de Gérard Badini avec lequel je fais mes premières classes de crooner! Je chante, entres autres, au Méridien à Paris, au Petit Journal Montparnasse ... Je rencontre Oscar chez Barclay un soir après son passage au Club Lionel Hampton. Inoubliable. Peterson jouera du piano pour nous seuls jusqu’à 4 heures du mat pendant que Darry Cawl, fondu de Jazz, joue au billard avec Eddy. Moi j’ai le nez collé au piano d’Oscar qui improvise dans la nuit...
Plusieurs concerts et ma passion pour ce style de Jazz me poussent à accepter la direction du festival de Jazz de Nice dont j’assure la programmation pendant 3 ans et grâce auquel j’ai pu inviter toutes les stars qui m’ont fait rêver: Michel Petrucciani, Joe Cocker, Al Jarreau, Lionel Hampton, Betty Carter, Tony Bennett, Diana Krall, BBking, Phil Collins …sans oublier le Count Basie Orchestra avec lequel j’enregistre un album! Une tournée en Europe et quelques concerts à New York avec Basie m’installent dans le rêve!
Aujourd’hui voilà un nouvel album.
40, rue de la Folie Regnault - 75011 Paris, France Tél.: +33(0)1 44 93 02 02 - Fax: +33(0)1 44 93 04 40 [email protected] - www.visiteursdusoir.com
L’idée est de revisiter des tubes des années 60, 70 en leur apportant une touche jazz avec un son Pop Rock d’aujourd’hui. Pierre Bertrand est aux manettes. Les arrangements c’est son truc, en plus de ses qualités de saxophoniste. C’est un compositeur arrangeur tout terrain. Lui aussi a compris que Tout part du jazz et que Tout y revient. Le Jazz est la matrice, la mère nourricière de toutes les musiques d’aujourd’hui. C’est le repaire d’où sortent les musiques d’aujourd’hui. C’est LA musique du XXème siècle. C’est le Jazz qui a donné naissance à toutes les formes de mixité musicales qu’on trouve aujourd’hui dans les bacs et qu’on entend sur les chaines de radio. C’est le Jazz qui réconcilie les cultures, les réunifie en leur donnant la possibilité d’affirmer leur identité propre à chacune. C’est le point de repère fondamental. C’est pourquoi le Jazz fait partie de ma vie et que j’ai fait cet album.
Mais pas avec n’importe qui! Dédé Ceccarelli drive l’orchestre. Lui aussi est capable de tout ! De tout jouer plus précisément ! On l’a bien vu accompagner «les Chats Sauvages» au bord d’une piscine dans les années YéYé !!
Chaque titre de cet album correspond à un moment de ma vie, il évoque une image, une période, un voyage, un sentiment, une couleur, un parfum ... comme autant de points de repères.
Par exemple «Douce Violence» et «24000 baisers», me rappellent la première fois que j’ai entendu Hallyday, et «Rocker cette ville» parce qu’il aurait très bien pu la chanter!
«Lonely Avenue» et «Halleluja I love her so» est une dédicace pour le grand Ray qui m’a fait découvrir cette musique.
«Una Lacrima Sul Viso» à cause de mes origines italiennes et du premier baiser que j’ai donné à une ravissante italienne du nom enivrant d’Alba Rosa...
«Tout l’amour que j’ai pour toi» à cause de Dalida que ma mère idolâtrait.
«Ain’t no sunshine» pour la femme de ma vie.
«Je voudrais être noir» à l’heure de mes premiers One Man Shows. Et mon admiration pour Nino Ferrer, qui savait mêler musique et humour.
«Skype» est une création originale. C’est un point de repère virtuel dans lequel nous vivons aujourd’hui. Mais ce n’est qu’une illusion...
«Un dernier pour la route» que j’ai eu la chance un jour de prendre avec Frankie...
Michel Leeb.
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BIOGRAPHIE:
Depuis ses débuts en vedette américaine de Julio Iglésias à l’Olympia et lors de la tournée européenne de Charles Aznavour, Michel Leeb est devenu l’un des rares artistes français pouvant passer avec le même bonheur dans tous les domaines du spectacle : music-hall, musique, théâtre, télévision et cinéma.
Il fait en 1984 son premier Olympia en tête d’affiche (Disque d’Or avec l’album du spectacle), et dès lors présentera régulièrement des one man show à l’Olympia ou au Casino de Paris.
Passionné de jazz, il dirige de 1998 à 2000 le Nice Jazz Festival et se produit avec le Count Basie Orchestra lors de festivals, tournées et au Théâtre des Champs Elysées. Ce spectacle donnera lieu à un album, « Bon Basie de Paris ».
Homme de télévision également, il remporte des records d’audience avec ses émissions de divertissement comme « Certain Leeb show », « Wap Doo Wap », “ Leeb fait son cinéma ! ” et « Libre comme Leeb ”. Il tourne aussi des dramatiques dont plusieurs épisodes de "Fred et son orchestre", “ Le monde à l’envers réalisé par Charlotte Brandstroëm, “Pas une seconde à perdre”, réalisé par Jean Claude Sussfeld, “L’homme de mes rêves ”, réalisé par Georges Lautner…
Après des comédies légères au cinéma au début des années 80 « On l’appelle Catastrophe » de Richard Balducci, « Le fou du roi « d’Yvan Schiffres, il revient au cinéma en 1992 pour sous la direction de Didier Can Cauwelaert « Les Amies de ma Femme » sous la direction de Didier Can Cauwelaert. Puis sous la direction de Claude Lelouch dans « Les Parisiens » et « Le courage d’Aimer » en 2004.
On a pu l’applaudir au théâtre dans de nombreuses pièces :
Jean-Luc Moreau le dirige dans “ Le tombeur ” de Robert Lamoureux, à la Porte Saint Martin, ” Ténor ” et “Je ne suis pas un homme facile”, de Neil Simon adaptée par Jean-Loup Dabadie à Marigny. Il joue également au Théâtre des Variétés, “3 partout ” pièce de Ray Cooney et Tony Hilton, adaptée par Jean Poiret, mise en scène par Pierre Mondy, “ Douze hommes en colère ”, mis en scène par Stefan Meldegg au Théâtre Marigny puis au Théâtre de la Renaissance, repris dernièrement au Théâtre de Paris, théâtre où il a obtenu un triomphe avec « Madame Doubfire » en 2001 et 2002. Il investit Edouard VII avec« Amitiés sincères » de François Prevôt- Leygonie et Stephan Archinard, mis en scène et avec Bernard Murat, puis la Comédie des Champs Elysées pour «Parle moi d’Amour» de Philippe Claudel avec Caroline Silhol.
En septembre 2010 il crée « Hilarmonic Show » qu’il présente à Paris au Palais des Congrès, au théâtre Marigny et puis au théâtre Comedia, il nous fait partager sa passion pour la musique en entrant dans la peau d’un chef d’orchestre pas comme les autres pour diriger un orchestre Philarmonique.
Retour au Théâtre avec en septembre 2012 avec « Un drôle de Père » de Gérald Sibleyras, mise en scène de Jean Luc Moreau, au Théâtre Montparnasse. En tournée jusqu'à la fin de l’année 2013.
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« REPÈRES »
Nouvel album de Michel Leeb – Sortie février 2014
Direction Artistique Pierre BERTRAND
LONELY AVENUE ( paroles et musique Jerome S.Felder )
JE VEUX ETRE NOIR (paroles et musique Nino Ferrer)
AIN’T NO SUNSHINE ( paroles et musique Bill Withers)
ROCKER CETTE VILLE (paroles Sharon Vouiller /musique Brian SETZER)
DOUCE VIOLENCE ( paroles et musique Georges Garvarentz)
24 000 BAISERS ( paroles Lucien Morisse/ musique Adriano Celentano)
UNE LACRIMA SUL VISO ( paroles Giulio Rapetti Mogol / Musique Roberto Satti )
SKYPE ( paroles Michel Leeb / Musique Pierre Bertrand)
TOUT L’AMOUR QUE J’AI POUR TOI ( paroles et musique Daniel D’inguillo)
HALLELUYA I LOVE HER SO ( Paroles et musique Ray Charles)
UN DERNIER POUR LA ROUTE ( Paroles Michel Leeb, musique Johnny Mercer)
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