TOPOGRAPHIE – IMPLANTATION – EXPERTISE – COPROPRIETE – BORNAGE – URBANISME ETUDE D’AMENAGEMENT RURAL & URBAIN – SYSTEME D’INFORMATION GEOGRAPHIQUE – C.A.O / D.A.O

Département de l’

COMMUNE D’ERQUINVILLERS PLAN LOCAL D’URBANISME 1

DOSSIER ARRÊTÉ Vu pour être annexé à la délibération du

ENQUETE PUBLIQUE

APPROBATION Délibération du

DOSSIER EXECUTOIRE

ACTES ADMINISTRATIFS

Aménagement Environnement Topographie

2, Rue de Catillon 12-14, Rue St Germain B.P. 225 60200 Compiègne 60132 St Just-en-Chaussée Tel : 03 44.20.28.67 Tel : 03 44.77.62.30 Société A Responsabilité Limitée de Géomètres-Experts Fax : 03 44.77.62.39 Fax : 03 44.77.62.39 e-mail : [email protected]

TOPOGRAPHIE – IMPLANTATION – EXPERTISE – COPROPRIETE – BORNAGE – URBANISME ETUDE D’AMENAGEMENT RURAL & URBAIN – SYSTEME D’INFORMATION GEOGRAPHIQUE – C.A.O / D.A.O

Département de l’Oise

COMMUNE D’ERQUINVILLERS PLAN LOCAL D’URBANISME 1-a

DOSSIER ARRÊTE Vu pour être annexé à la délibération du

ENQUETE PUBLIQUE

APPROBATION Délibération du

DOSSIER EXECUTOIRE

ACTES ADMINISTRATIFS DÉLIBÉRATIONS ET ARRÊTÉS PONCTUANT LA PROCÉDURE

Aménagement Environnement Topographie

2, Rue de Catillon 12-14, Rue St Germain B.P. 225 60200 Compiègne 60132 St Just-en-Chaussée Tel : 03 44.20.28.67 Tel : 03 44.77.62.30 Société A Responsabilité Limitée de Géomètres-Experts Fax : 03 44.77.62.39 Fax : 03 44.77.62.39 e-mail : [email protected]

TOPOGRAPHIE – IMPLANTATION – EXPERTISE – COPROPRIETE – BORNAGE – URBANISME ETUDE D’AMENAGEMENT RURAL & URBAIN – SYSTEME D’INFORMATION GEOGRAPHIQUE – C.A.O / D.A.O

Département de l’Oise

COMMUNE D’ERQUINVILLERS PLAN LOCAL D’URBANISME 1-b

DOSSIER ARRÊTE Vu pour être annexé à la délibération du

ENQUETE PUBLIQUE

APPROBATION Délibération du

DOSSIER EXECUTOIRE

ACTES ADMINISTRATIFS DOCUMENTS DE CONCERTATION

Aménagement Environnement Topographie

2, Rue de Catillon 12-14, Rue St Germain B.P. 225 60200 Compiègne 60132 St Just-en-Chaussée Tel : 03 44.20.28.67 Tel : 03 44.77.62.30 Société A Responsabilité Limitée de Géomètres-Experts Fax : 03 44.77.62.39 Fax : 03 44.77.62.39 e-mail : [email protected]

La Carte Communale Lettre d’information n°1 – janvier 2012

Pour une vision à 10 ans de notre territoire

Le mot du maire

« Le Conseil Municipal s’est s’engagé dans la révision de la Carte Communale. Il s’agit aujourd’hui, non pas de remettre en cause le droit de propriété mais bien de mettre tout en œuvre pour permettre à la Commune de se développer en cohérence avec ses ressources et ses besoins. L’exercice qui est demandé au Conseil Municipal : avoir une nouvelle vision partagée du territoire dans les 10 ans. Dans le cadre d’une concertation élargie, le Conseil Municipal d’ERQUINVILLERS souhaite faire participer la population communale à ce projet. Pour cela, au fil de l’avancement des études, plusieurs lettres d’information paraîtront et une réunion publique sera organisée. Votre participation est la bienvenue ! … » Le Maire d’ERQUINVILLERS

Qu’est-ce que la Carte Communale ?

La Carte Communale un document qui régit sur le territoire communal les dispositions d’urbanisme participant au cadre de vie de ses habitants. Il expose la volonté de la commune en matière d’aménagement et respecte les prérogatives et les recommandations des autres acteurs influant sur la vie locale (Etat, Région, Département, Intercommunalité, etc…).

Le contenu de la Carte Communale

• Le rapport de présentation qui expose le diagnostic, explique les choix retenus, évalue les incidences de ces choix sur l’environnement et expose la manière dont le document prend en compte la préservation et la mise en valeur de cet environnement. Il définit les enjeux du territoire.

• Les documents graphiques indiquent la délimitation des zones et la localisation des différentes prescriptions réglementaires (protection des éléments remarquables du patrimoine ou du paysage au titre de l’article R421-28 du code de l’urbanisme et usage du droit de préemption). Les différentes zones de la carte communale : - zone U : secteur où les constructions sont autorisées - zone N : secteur où les constructions ne sont pas autorisées, à l’exception de l’adaptation, du changement de destination, de la réfection ou de l’extension des constructions existantes ou des constructions ou installations nécessaires à des équipements collectifs, à l’exploitation agricole ou forestière et à la mise en valeur des ressources naturelles - zone A : secteur réservé à l’implantation d’activités, notamment celles qui sont incompatibles avec le voisinage des zones habitées - zone D : secteur dans lequel la reconstruction à l’identique d’un bâtiment détruit par un sinistre n’est pas autorisée.

• Les annexes comprennent notamment les pièces obligatoires relatives aux servitudes d’utilité publique, aux périmètres de risques…

Dans les territoires couverts par la carte communale, les autorisations d’occuper et d’utiliser le sol sont instruites et délivrées sur le fondement des règles générales de l’urbanisme.

La procédure

1ère phase de concertation : Définition des Délibération de prescription Etudes : diagnostic, Publications d’articles dans de la carte communale synthèses les journaux + document orientations du conseil d’information aux habitants municipal

Traduction des orientations : Réalisation des documents graphiques

Approbation par le ème ème conseil municipal 3 phase de Finalisation du 2 phase de concertation : projet de carte concertation : réunion de la Carte Enquête publique communale publique Communale

Approbation par le Préfet de la Carte Communale (délai = 2 mois)

Le Planning

NB : Ce planning est donné à titre indicatif et peut être amené à évoluer au fil de la procédure.

• janvier 2012 Démarrage des études / Diagnostic • mai 2012 Présentation globale du diagnostic • juin-juillet 2012 Réflexions communales sur les orientations d’aménagement • septembre - novembre 2012 Elaboration du dossier réglementaire • décembre 2012 Réunion publique / Présentation du projet de Carte Communale • février-avril 2013 Enquête publique • juin 2013 Approbation de la Carte Communale

Le Plan Local d’Urbanisme Lettre d’information n°2 – Février 2013

L’analyse de l’état initial de l’environnement

LE MOT DU MAIRE

« Le Conseil Municipal s’était engagé dans la révision de la Carte Communale. Les études ont commencé, le diagnostic du territoire réalisé. Néanmoins, devant les perspectives d’évolution attendues et les différents aménagements envisagés par la commune, les outils mis à disposition à travers la Carte Communale n’ont plus semblé suffisants. Le Conseil Municipal souhaite donc changer de procédure et s’engage dans l’élaboration d’un Plan Local d’Urbanisme qui permet, en concertation avec les habitants, de définir un véritable projet d’aménagement de la commune. Cette seconde lettre d’information explique le rôle d’un Plan Local d’Urbanisme, la procédure d’élaboration et le planning envisagé. Elle reprend également les points essentiels dégagés lors du diagnostic communal. Le Conseil Municipal d’Erquinvillers s’attache maintenant, sur la base de ce diagnostic, à la définition des orientations d’aménagement. Ces orientations vous seront présentées durant le second trimestre 2013. Nous ne manquerons pas de vous convier à cette réunion où les opinions de chacun pourront être entendues.» Le Maire d’ERQUINVILLERS

QU’EST-CE QUE LE P.L.U. ?

Le Plan Local d’Urbanisme est un document qui régit sur le territoire communal les dispositions d’urbanisme participant au cadre de vie de ses habitants. Il expose la volonté de la commune en matière d’aménagement et respecte les prérogatives et les recommandations des autres acteurs influant sur la vie locale (Etat, Région, Département, Intercommunalité, etc…).

LE CONTENU DU P.L.U.

• Le rapport de présentation qui expose le diagnostic, explique les choix retenus, évalue les incidences de ces choix sur l’environnement et expose la manière dont le plan prend en compte la préservation et la mise en valeur de cet environnement. Il définit les enjeux du territoire. • Le Projet d’Aménagement et de Développement Durables (P.A.D.D.) définit la vision à moyen terme du territoire pour les 10 ans à venir. • Les orientations d’aménagement et de programmation (facultatives) relatives à des quartiers ou à des secteurs à mettre en valeur, réhabiliter, restructurer ou aménager (maillage piéton et voirie, espace public…). C’est en fait un « zoom » sur certains secteurs stratégiques. • Les documents graphiques indiquent la délimitation des zones et la localisation des différentes prescriptions réglementaires. • Le règlement fixe les règles applicables dans les différentes zones. Il comprend 14 articles : - 1 à 2 indiquent ce qui est interdit ou autorisé sous conditions - 3 à 8 indiquent le comment - 9 à 14 indiquent le combien (emprise, volume) • Les annexes comprennent notamment les pièces obligatoires relatives aux servitudes d’utilité publique, aux périmètres de risques… LE PLANNING

NB : Ce planning est donné à titre indicatif et peut être amené à évoluer au fil de la procédure.

• Février 2013-Avril 2013 Débat du Projet d’Aménagement et de Développement Durables (P.A.D.D.) • Mai 2013 Réunion publique / Présentation du diagnostic et des orientations d’aménagement • Juin 2013-Décembre 2013 Rédaction des documents réglementaires • Consultation des services de l’Etat • 2014 Enquête publique • Approbation du P.L.U.

LA PROCÉDURE

Etat d’avancement des études 2ème phase de concertation : réunion publique

Approbation du Plan Local d’Urbanisme LES PRINCIPAUX ÉLÉMENTS DU DIAGNOSTIC

Le diagnostic territorial d’Erquinvillers est le point de départ des réflexions communales pour valoriser les atouts du territoire et proposer des solutions aux problèmes recensés.

• ANALYSE TOPOGRAPHIQUE Une vallée sèche importante traverse le bourg bâti d’Erquinvillers. Périmètre bâti concerné par des risques de coulées de boue et d’inondations par remontée de nappe. Il est capital de prendre en compte les risques naturels et l’écoulement des eaux de pluie.

• ANALYSE DEMOGRAPHIQUE ET HABITAT Stagnation et phénomène de léger vieillissement de la population entre 1999 et 2009. Depuis 2009, croissance démographique et rajeunissement de la population liés à l’augmentation du nombre de logements (nouvelles constructions de la rue du tour de ville notamment). Objectif : maintien de la dynamique démographique et poursuite du renouvellement générationnel entamé depuis 2009.

• LES ACTIVITES ECONOMIQUES Recensement des différentes activités économiques. Prédominance de l’activité agricole. Présence d’un bâtiment de la coopérative agricole soumise à déclaration au titre des installations classées (distance d’éloignement). Activité importante de conditionnement d’oignons. Pas d’activité d’élevage sur le territoire.

• LES EQUIPEMENTS D’INFRASTRUCTURE ET DE SUPERSTRUCTURE  Voies de desserte principales : RD n°101, 127 et 557. Bonne desserte du territoire vers les pôles d’attractivité les plus proches. Proximité des transports en commun avec le réseau ferroviaire (gares à St Just et Clermont). Position géographique intéressante antre l’A16 et l’A1.  Voies communales et chemins ruraux denses : déplacements aisés sur l’ensemble du territoire.  Pas de problématique concernant l’alimentation en eau potable et la défense incendie. Travaux à prévoir en cas d’extension.  Électricité : 1 poste de transformation est à saturation.  Assainissement non collectif ;  Présence d’aménagements pour la gestion des eaux pluviales.  Équipements communaux ne correspondant plus aux besoins et au fonctionnement actuels. Réorganisation à prévoir.

• LA STRUCTURE PAYSAGERE  Paysage de grande culture : vaste étendue cultivée et ouverte offrant des vues très amples ;  Mise en évidence du rôle des bosquets, haies et massifs boisés (insertion paysagère, frein contre le ruissellement des eaux de pluie, diversité floristique et faunistique, effet brise-vent) ;  Présence d’un massif boisé au sud du territoire  Abords du bourg : paysage mixte (jardins, cultures…) au nord du bourg / Présence d’un chemin de tour de ville en partie urbanisé au sud / Bourg relativement ouvert sur la plaine agricole.  Le bourg d’Erquinvillers : village de plateau en majorité détruit durant la guerre, reconstruction principalement rue de Montdidier ;  Caractère rural et villageois donnant un cadre de vie agréable.

• LA STRUCTURE URBAINE ET ARCHITECTURALE  Bâtis anciens peu présents, Ferme d’Erquinvillers typique des fermes picardes (implantation en carré avec cour centrale), espaces privés peu visibles ;  Tissu pavillonnaire inséré sein du tissu ancien ou en extension le long des voies ; quelques constructions implantés derrière des murs anciens ; tissu urbain plus relâché ;  Étude des différents espaces au sein et en périphérie du bourg afin de définir les futures orientations communales d’aménagement ;  Étude des caractéristiques de l’architecture pour l’élaboration du règlement.

Le Plan Local d’Urbanisme Lettre d’information n°3 – Juin 2013

Organisation d’une réunion publique

Le mot du maire

«L’élaboration du Plan Local d’Urbanisme de la commune avance. Après la réalisation d’un diagnostic complet du territoire communal (détaillé lors de la dernière lettre d’information), le conseil municipal s’est attaché à définir les grandes orientations d’aménagement de la commune. Dans le cadre d’une large consultation avec la population, nous vous invitons à participer à la réunion publique organisée le jeudi 4 juillet 2013 à 18H30 dans les locaux de la salle des fêtes. Le diagnostic et les orientations d’aménagement retenues vous seront présentés d’une manière générale. Ce projet communal vous concerne, votre participation à tous est un gage de réussite pour la suite de nos réflexions. » Le Maire d’Erquinvillers

Rappel de la procédure

Délibération prescrivant le Etudes, association et 1ère phase Débat du conseil municipal sur les P.L.U. et fixant les modalités de de concertation : publication de orientations du P.A.D.D. concertation bulletins municipaux

2ème phase de concertation : réunion Avancement des études publique

Bilan de la concertation et arrêt du projet

3ème phase de concertation : Enquête publique Transmission pour avis aux personnes publiques associées Approbation du Plan Local d’Urbanisme

Le Plan Local d’Urbanisme Lettre d’information n°4 – Septembre 2013

Les grands objectifs du Projet d’Aménagement et de Développement Durables

Le mot du maire

«Voici la 4ème lettre d’information concernant l’élaboration du Plan Local d’Urbanisme de la commune d’Erquinvillers. Une réunion publique s’est déroulée jeudi 4 juillet 2013. A cette occasion, une présentation globale des études a été réalisée. Les personnes présentes ont notamment pris connaissance des 7 grands objectifs du Projet d’Aménagement et de Développement Durables. Le présent bulletin résume ces orientations d’aménagement. Tous les documents présentés en réunion publique sont en libre consultation dans les locaux de la mairie aux heures d’ouverture. Je vous engage à venir les découvrir. Un registre est à votre disposition sur lequel vous pourrez inscrire vos éventuelles remarques. »

Le Maire d’Erquinvillers

Rappel de la procédure

avancement des études 2ème phase de concertation :

Réunion publique

Approbation du Plan Local d’Urbanisme

Les 7 objectifs du Projet d’Aménagement et de Développement Durables

• La préservation du cadre de vie paysager et architectural

- Maintien des éléments importants du paysage et les espaces naturels - Maintien des espaces de transition avec la plaine agricole - Plantation de nouveaux éléments paysagers - Respect des caractéristiques du bâti ancien - Conservation d’éléments architecturaux appartenant au patrimoine de la commune

• La prise en compte des risques naturels

- Maintien de l’ensemble des éléments paysagers identifiés - Choix d’urbanisme et de règlementation tenant compte des risques existants - Maintien obligatoire des éléments existants prévenant les risques hydrauliques

• Le maintien et le développement des activités économiques existantes

- Définition d’une zone de développement économique agricole - Choix de réglementation permettant le maintien des activités existantes mais également l’installation de nouvelles (au sein de la zone constructibles) sans nuisance ni danger pour les habitations existantes - Définition d’un équilibre entre développement urbain et protection des espaces agricoles - Choix d’une règlementation permettant le cas échéant la mutation des espaces agricoles au sein du bourg bâti

• La maitrise du développement communal

- Développement maîtrisé tenant compte de l’ensemble des objectifs du PADD (définition de zones d’extension de l’urbanisation) - Choix de mutation potentielle des sièges d’exploitation (réhabilitation de bâtiments existants) - Volonté de maintien d’une mixité sociale au sein de l’habitat

• La redéfinition des espaces publics / Les déplacements

- Agrandissement et réorganisation des équipements publics : réorganisation et aménagement de nouveaux espaces dédiés aux équipements publics, sportifs ou de loisirs - Les déplacements : création d’un maillage de liaisons piétonnes à proximité des équipements, création d’un nouveau chemin de tour de ville au sud, sécuriser les déplacements dans la rue de la Chaussée Brunehaut

• Favoriser une urbanisation économe en ressources énergétiques

- Permettre le développement des énergies renouvelables, la rénovation thermique du parc ancien et l’utilisation des nouvelles technologies dans le neuf.

• Les communications numériques

- Permettre le développement des communications numériques Le Plan Local d’Urbanisme Lettre d’information n°5 – Mars 2017

La traduction réglementaire des orientations du Projet d’Aménagement et de Développement Durables

Le mot du maire

«Voici la 5ème lettre d’information concernant l’élaboration du Plan Local d’Urbanisme de la commune d’Erquinvillers. Lors de la 4ème lettre d’information et de la réunion publique organisée (en 2013), les grands objectifs du PADD vous ont été présentés. De nouvelles réunions de travail ont permis la traduction réglementaire des orientations d’aménagement choisies. Les études sont donc terminées. Le Plan Local d’Urbanisme de la commune d’Erquinvillers va être envoyé pour avis aux différentes Personnes Publiques Associées. Elles ont 3 mois pour rendre leur avis. La prochaine étape de consultation sera l’enquête publique. Lors de cette enquête, vous pourrez venir consulter le Plan Local d’Urbanisme achevé. Nous ne manquerons pas de vous informer de sa tenue prévue approximativement à l’automne 2017. »

Le Maire d’Erquinvillers

Rappel de la procédure

Etudes, association et 1ère Délibération prescrivant le Débat du conseil municipal phase de concertation : P.L.U. et fixant les modalités sur les orientations du publication de bulletins de concertation P.A.D.D. municipaux

ème 2 phase de concertation : réunion publique

Avancement des études Bilan de la concertation et arrêt du projet 3ème phase de concertation : Enquête publique Transmission pour avis au personnes publiques associées Approbation du Plan Local d’Urbanisme

Le plan de zonage et le règlement

Les principales possibilités du plan de zonage d’un Plan Local d’Urbanisme applicables à la commune d’Erquinvillers

- Les zones U Peuvent être classées en zone urbaine les secteurs déjà urbanisés et les secteurs où les équipements publics existants ou en cours de réalisation ont une capacité suffisante pour desservir les constructions à implanter.

- Les zones AU Peuvent être classés en zone à urbaniser les secteurs à caractère naturel de la commune destinés à être ouverts à l’urbanisation. Lorsque les voies publiques et les réseaux d'eau, d'électricité et, le cas échéant, d'assainissement existant à la périphérie immédiate d'une zone AU ont une capacité suffisante pour desservir les constructions à implanter dans l'ensemble de cette zone, les orientations d'aménagement et le règlement définissent les conditions d'aménagement et d'équipement de la zone. Les constructions y sont autorisées soit lors de la réalisation d'une opération d'aménagement d'ensemble, soit au fur et à mesure de la réalisation des équipements internes à la zone prévus par les orientations d'aménagement et le règlement. Lorsque les voies publiques et les réseaux d'eau, d'électricité et, le cas échéant, d'assainissement existant à la périphérie immédiate d'une zone AU n'ont pas une capacité suffisante pour desservir les constructions à implanter dans l'ensemble de cette zone, son ouverture à l'urbanisation peut être subordonnée à une modification ou à une révision du plan local d'urbanisme.

- Les zones A Peuvent être classés en zone agricole les secteurs de la commune équipés ou non, à protéger en raison du potentiel agronomique, biologique ou économique des terres agricoles. Les constructions et installations nécessaires aux services publics ou d’intérêt collectif et à l’exploitation agricole sont seules autorisées en zone A.

- Les zones N Peuvent être classés en zone naturelle et forestière les secteurs de la commune, équipés ou non, à protéger en raison de la qualité des sites, des milieux naturels, des paysages et de leur intérêt, notamment du point de vue esthétique, historique ou écologique, soit de l’existence d’une exploitation forestière, soit de leur caractère d’espaces naturels.

- Les emplacements réservés Ils servent à la réalisation de projets d’équipements ou d’espaces verts. Les emplacements réservés permettent d’anticiper l’acquisition du terrain en vue d’un projet précis et de geler tout autre projet de construction dans l’emplacement réservé. Destination de la réservation : voies, ouvrages publics, installations d’intérêt général, espaces verts et programme de logements dans le respect des objectifs de mixité sociale. Attention, le propriétaire n’est pas obligé de vendre son terrain.

- La protection au titre des articles L.151-19, L.151-23 et L.151-24 Le règlement peut, en matière de caractéristiques architecturale, urbaine et écologique, identifier et localiser les éléments de paysage et délimiter les quartiers, îlots, immeubles, espaces publics, monuments, sites et secteurs à protéger, à mettre en valeur ou à requalifier pour des motifs d’ordre culturel, historique ou écologique et définir, le cas échéant, les prescriptions de nature à assurer leur protection. Le règlement peut identifier et localiser les éléments de paysage et délimiter les sites et secteurs à protéger pour des motifs d'ordre écologique, notamment pour la préservation, le maintien ou la remise en état des continuités écologiques et définir, le cas échéant, les prescriptions de nature à assurer leur préservation. Enfin, le règlement peut indiquer des éléments afin d’assurer la maitrise de l’écoulement des eaux pluviales sur le territoire communal.

Le Plan Local d’Urbanisme Lettre d’information n°6 – Juin 2018

Finalisation du dossier de PLU

Le mot du maire

«Voici la 6ème lettre d’information concernant l’élaboration du Plan Local d’Urbanisme de la commune d’Erquinvillers. Lors de la 4ème lettre d’information et de la réunion publique organisée (en 2013), les grands objectifs du PADD vous ont été présentés. De nouvelles réunions de travail ont permis la traduction réglementaire des orientations d’aménagement choisies. Les études sont donc terminées. Le Plan Local d’Urbanisme de la commune d’Erquinvillers va être envoyé pour avis aux différentes Personnes Publiques Associées. Elles ont 3 mois pour rendre leur avis. La prochaine étape de consultation sera l’enquête publique. Lors de cette enquête, vous pourrez venir consulter le Plan Local d’Urbanisme achevé. Nous ne manquerons pas de vous informer de sa tenue prévue approximativement à la fin de l’année 2018. »

Le Maire d’Erquinvillers

Rappel de la procédure

Etudes, association et 1ère Délibération prescrivant le Débat du conseil municipal phase de concertation : P.L.U. et fixant les modalités sur les orientations du publication de bulletins de concertation P.A.D.D. municipaux

ème 2 phase de concertation : réunion publique

Avancement des études Bilan de la concertation et arrêt du projet 3ème phase de concertation : Enquête publique Transmission pour avis au personnes publiques associées Approbation du Plan Local d’Urbanisme

Le plan de zonage et le règlement

Les principales possibilités du plan de zonage d’un Plan Local d’Urbanisme applicables à la commune d’Erquinvillers

- Les zones U Peuvent être classées en zone urbaine les secteurs déjà urbanisés et les secteurs où les équipements publics existants ou en cours de réalisation ont une capacité suffisante pour desservir les constructions à implanter.

- Les zones AU Peuvent être classés en zone à urbaniser les secteurs à caractère naturel de la commune destinés à être ouverts à l’urbanisation. Lorsque les voies publiques et les réseaux d'eau, d'électricité et, le cas échéant, d'assainissement existant à la périphérie immédiate d'une zone AU ont une capacité suffisante pour desservir les constructions à implanter dans l'ensemble de cette zone, les orientations d'aménagement et le règlement définissent les conditions d'aménagement et d'équipement de la zone. Les constructions y sont autorisées soit lors de la réalisation d'une opération d'aménagement d'ensemble, soit au fur et à mesure de la réalisation des équipements internes à la zone prévus par les orientations d'aménagement et le règlement. Lorsque les voies publiques et les réseaux d'eau, d'électricité et, le cas échéant, d'assainissement existant à la périphérie immédiate d'une zone AU n'ont pas une capacité suffisante pour desservir les constructions à implanter dans l'ensemble de cette zone, son ouverture à l'urbanisation peut être subordonnée à une modification ou à une révision du plan local d'urbanisme.

- Les zones A Peuvent être classés en zone agricole les secteurs de la commune équipés ou non, à protéger en raison du potentiel agronomique, biologique ou économique des terres agricoles. Les constructions et installations nécessaires aux services publics ou d’intérêt collectif et à l’exploitation agricole sont seules autorisées en zone A.

- Les zones N Peuvent être classés en zone naturelle et forestière les secteurs de la commune, équipés ou non, à protéger en raison de la qualité des sites, des milieux naturels, des paysages et de leur intérêt, notamment du point de vue esthétique, historique ou écologique, soit de l’existence d’une exploitation forestière, soit de leur caractère d’espaces naturels.

- Les emplacements réservés Ils servent à la réalisation de projets d’équipements ou d’espaces verts. Les emplacements réservés permettent d’anticiper l’acquisition du terrain en vue d’un projet précis et de geler tout autre projet de construction dans l’emplacement réservé. Destination de la réservation : voies, ouvrages publics, installations d’intérêt général, espaces verts et programme de logements dans le respect des objectifs de mixité sociale. Attention, le propriétaire n’est pas obligé de vendre son terrain.

- La protection au titre des articles L.151-19, L.151-23 et L.151-24 Le règlement peut, en matière de caractéristiques architecturale, urbaine et écologique, identifier et localiser les éléments de paysage et délimiter les quartiers, îlots, immeubles, espaces publics, monuments, sites et secteurs à protéger, à mettre en valeur ou à requalifier pour des motifs d’ordre culturel, historique ou écologique et définir, le cas échéant, les prescriptions de nature à assurer leur protection. Le règlement peut identifier et localiser les éléments de paysage et délimiter les sites et secteurs à protéger pour des motifs d'ordre écologique, notamment pour la préservation, le maintien ou la remise en état des continuités écologiques et définir, le cas échéant, les prescriptions de nature à assurer leur préservation. Enfin, le règlement peut indiquer des éléments afin d’assurer la maitrise de l’écoulement des eaux pluviales sur le territoire communal.

TOPOGRAPHIE – IMPLANTATION – EXPERTISE – COPROPRIETE – BORNAGE – URBANISME ETUDE D’AMENAGEMENT RURAL & URBAIN – SYSTEME D’INFORMATION GEOGRAPHIQUE – C.A.O / D.A.O

Département de l’Oise

COMMUNE D’ERQUINVILLERS PLAN LOCAL D’URBANISME 1-c

DOSSIER ARRÊTE

ENQUETE PUBLIQUE

APPROBATION Délibération du

DOSSIER EXECUTOIRE

ACTES ADMINISTRATIFS PORTER À CONNAISSANCE

Aménagement Environnement Topographie

2, Rue de Catillon 12-14, Rue St Germain B.P. 225 60200 Compiègne 60132 St Just-en-Chaussée Tel : 03 44.20.28.67 Tel : 03 44.77.62.30 Société A Responsabilité Limitée de Géomètres-Experts Fax : 03 44.77.62.39 Fax : 03 44.77.62.39 e-mail : [email protected]

Commune d’Erquinvillers – Fiches synthétiques

La connaît une pénurie de logements C'est pourquoi il importe de comprendre qu'à qui concerne de nombreuses régions, frappant rebours de la tendance actuelle à la construction F plus particulièrement les ménages à revenus dans le périurbain lointain, le développement de modestes ou moyens. C'est pourquoi notre pays l'offre de logements devra porter prioritairement est actuellement engagé dans un vaste dans les communes proches du cœur des I programme de rattrapage. agglomérations existantes. De manière générale, Globalement, il faut aujourd'hui construire plus les principes suivants peuvent être rappelés : C de 400 000 logements par an en France, soit ✔ prévoir l'ouverture à l'urbanisation de surfaces 4 millions de logements sur 10 ans pour un parc suffisantes, en adéquation avec un objectif de actuel évalué à un peu plus de 30 millions production de logements, H d'unités. Les auteurs des documents d'urbanisme, ✔ adopter des règles de gestion des densités en ce qu'ils décident où l'on va construire demain (coefficient d'occupation des sols, taille E et dans quelles proportions, ont ici une minimale des parcelles, etc.) et des formes responsabilité essentielle. urbaines (hauteur des constructions, Outre la construction de logements en implantation sur la parcelle, etc) à la fois nombre suffisant, il leur revient de prendre en simples, claires et adaptées à l'objectif de compte l'objectif de maîtrise de la circulation construction de logements en nombre n° automobile au nom de la lutte contre le suffisants, réchauffement climatique et la ségrégation ✔ prohiber toute disposition réglementaire 1 résidentielle que l'usage généralisé de la voiture faisant obstacle par principe à l'implantation favorise. de logements sociaux.

Croissance démographique

En 2009, la commune compte 161 habitants. La population a augmenté de 17,52 % entre 1975 et 2009 soit 24 habitants de plus, tout L en stagnant entre 1999 et 2009.

E Evolution de la population

180 70000 53283 56271 49867 161 161 44521 16041151 154 50000 147 28905 137 24895 27303 14020106 21547 30000 L 120 10000 1975 1982 1990 1999 2009

O Erquinvillers CC du Plateau Picard G SCOT du Clermontois Plateau Picard Composition du parc de logement E 2009 1999 1990 1982 Nombre total de logements 62 61 56 52 M Résidences principales 56 56 51 44 Résidences secondaires ou 0 1 1 3 logements occasionnels E Logements vacants 5 4 2 8 N Taille moyenne des ménages 2009 1999 1990 1982 T Taux d'occupation 2,88 2,88 3,02 3,34 Calcul du « point mort »

Le « point mort » exprime le nombre de logements nécessaires, dans le contexte de desserrement de la taille des ménages. Il traduit la diminution de la taille des ménages due à des causes sociologiques (augmentation des familles mono-parentales, allongement de la durée de vie, accroissement du célibat géographique pour cause de mobilité professionnelle, etc.), en nombre de logements nécessaires pour assurer le maintien de la population à un niveau constant.

Sur ce point, l'évolution du taux d'occupation entre 1999 et 2009 doit être regardée comme conjoncturelle et ne reflétant pas la tendance nationale constante depuis 20 ans à la diminution de la taille des ménages. C'est pourquoi, tout scénario de croissance démographique retenu par la commune devra tabler sur une hypothèse de baisse tendancielle du taux d'occupation et intégrer l'existence du « point mort » dans le chiffrage des besoins en nouveaux logements.

Indice de construction sur la commune

L'indice de construction (IdC) indique le nombre de logements construits pour 1 000 habitants. Sur la base de la population en 2009, l'indice de construction est le suivant sur la commune ces douze dernières années.

2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 IdC / / / / 0 12,42 0 18,63 31,06 12,42

Cet indice s'élève donc en moyenne à 12,42, ce qui est un taux important pour la période 2005-2010 (malgré un indice nul en 2005 et 2007), qui traduit un renouvellement du parc de logements suffisant.

Caractéristiques du parc de logements

Quelques données sur les résidences principales (entre parenthèses la comparaison avec le bassin d'habitat) : - 89,3 % sont des maisons individuelles ou des fermes et 10,7% de logements collectifs (85,5 % et 14,5 %) - 87,5 % sont occupées par leurs propriétaires (77,8 %) - 58,7 % sont des logements de trois et quatre pièces (54,8 %) - 60,4 % ont une surface minimale de 75 m² (32,01%) - 69 % sont classées «tout confort», car équipées du chauffage central, d'une baignoire ou d'une douche et des WC intérieurs (72 %) -25 % ont été construites avant 1949 (50,8 %) et 8,9% après 1990.

Le parc locatif social du bassin d'habitat d'Erquinvillers compte 1 473 logements HLM, soit 13,7% du parc de résidences principales.

(Fiche mise à jour le 11 mars 2014 - © DDT de l'Oise) Commune d’Erquinvillers - Fiches synthétiques

Rappelons que ces 20 dernières années la – d'améliorer les conditions d’instruction des construction a été très inférieure aux besoins des demandes (délais d’instruction connus et F Français, et les changements sociétaux n’ont pas garantis), été suffisamment anticipés et pris en compte : – de simplifier, pour le rendre plus efficace, le multiplication des familles mono-parentales, contrôle de la conformité des travaux aux permis I besoin de logements adaptés pour les familles et autorisations délivrés, nombreuses, maintien des personnes âgées à – et d'assurer une meilleure articulation avec C leur domicile, accès au logement pour les jeunes les autres législations. en formation, les étudiants, et pour les salariés en A partir du 1er octobre 2007, les onze régimes situation de mobilité professionnelle… d’autorisation sont donc remplacés par trois H Ainsi, seulement 308 396 mises en chantier permis dits de construire, d'aménager et de de logements avaient été enregistrées pour démolir. De même, les quatre régimes de E l'année 2000 contre 421 306 en 2011, ce qui déclaration sont regroupés dans le cadre d'un donne une mesure de l'effort de rattrapage seul régime déclaratif dit déclaration préalable. actuellement en cours et qui doit être poursuivi. Les champs d’application sont également mieux Cette relance de la construction est encore définis. C'est la fin des douze procédures renforcée par la réforme du permis de construire d’instruction souvent fixées par jeu de renvoi avec n° qui est entrée en application au 1er octobre 2007. une seule procédure unique de dépôt et La réforme vise à simplifier le droit en d’instruction des demandes. L'objectif est 2 diminuant le nombre d’autorisations et en unifiant d'améliorer la sécurité juridique en évitant les les procédures d’instruction et de contrôle. Il s'agit erreurs de procédure.

Les trois tableaux ci-dessous détaillent les statistiques sur la construction L neuve ces dix dernières années dans la commune établies à partir des A déclarations de commencement de chantiers. Ces statistiques sont extraites de l'application nationale Sit@del2 du ministère de l'Écologie, du Développement Durable, des Transports et du Logement. Vous pouvez directement consulter la base de données nationale sur le site internet : C http://developpement- O durable.bsocom.fr/statistiques/ReportFolders/ReportFolders.aspx N Nombre de logements commencés S Année individuels individuels en collectifs total purs groupés résidence T 2001 / / / / / R 2002 / / / / / + 2003 / / / / / U 2004 / / / / / C 2005 0 0 0 0 0 2006 2 0 0 0 2 T 2007 0 0 0 0 0 I 2008 3 0 0 0 3 2009 5 0 0 0 5 O 2010 2 0 0 0 2 N Surface de logements commencés (en m²) Année individuels individuels en collectifs total purs groupés résidence 2001 / / / / / 2002 / / / / / 2003 / / / / / 2004 / / / / / 2005 0 0 0 0 0 2006 153 0 0 0 153 2007 0 0 0 0 0 2008 490 0 0 0 490 2009 802 0 0 0 802 2010 309 0 0 0 309

Surface des locaux autres que logements commencés (en m2) Année SHON commencée des locaux Dont SHON commencée autres que logements locaux service public 2001 / / 2002 / / 2003 / / 2004 / / 2005 / / 2006 / / 2007 0 0 2008 921 0 2009 / / 2010 / /

(/ : Pas de données Sitadel)

(Fiche mise à jour le 11 mars 2014 - © DDT de l'Oise) Commune d’Erquinvillers – Fiches synthétiques

La dégradation de la biodiversité bouleverse l'aménagement., mais qui à eux seuls ne suffisent notre perception de la nature qui nous apparaît pas à assurer une prise en compte complète de la F désormais à la fois menacée et menaçante. Car biodiversité. altérée par l'espèce humaine, pourra-t-elle encore En effet, pour les services de l’État, il s'agit longtemps lui assurer les conditions de la survie ? désormais d'aller au-delà d'une approche en I C'est bien toute la contradiction de nos terme de mesures isolées, l'urgence étant de sociétés modernes, fondées sur le projet de mieux assurer le fonctionnement en réseau des C maîtriser par la technique les puissances de la différents espaces naturels propices au nature, d'avoir causé l'érosion de la biodiversité développement de la faune et de la flore. sous l'effet d'une libre exploitation de ressources Aussi, les auteurs des documents H et milieux crus, à tort, domestiqués. d'urbanisme doivent-ils être convaincus que des Rester moderne, c'est-à-dire demeurer terrains à priori ordinaires, notamment en raison E attaché à la recherche individuelle et collective du de leur insertion dans des espaces déjà plus grand progrès humain possible, exige urbanisés, peuvent présenter un intérêt majeur, aujourd'hui un effort accru de la raison tourné vers comme ceux abritant un réseau de haies, des la compréhension des interactions de l'homme et zones humides ou servant à la continuité d'un de son milieu. Le Grenelle de l'Environnement a biocorridor. n° renforcé cette nécessité de préservation de la biodiversité. 3 ZNIEFF, ZICO, ZSC, ZPS, Natura 2000, autant de sigles bien connus dans le domaine de

La présente fiche fait la synthèse des zonages du patrimoine naturel et paysager L situés à 10 km de la commune de Erquinvillers. Les communes concernées sont les suivantes : A AGNETZ, , , , , BAILLEUL-LE-SOC, , BREUIL-LE-SEC, BREUIL-LE-VERT, BRUNVILLERS-LA-MOTTE, , , CATILLON-FUMECHON, , CHOISY-LA-VICTOIRE, CLERMONT, , , CUIGNIERES, EPINEUSE, , ERQUINVILLERS, ESTREES-SAINT-DENIS, ETOUY, FITZ-JAMES, , B , FRANCIERES, GRANDVILLERS-AUX-BOIS, LAMECOURT, LANEUVILLEROY, LEGLANTIERS, , LITZ, MAIGNELAY-MONTIGNY, , MENEVILLERS, MESNIL-SUR-BULLES (LE), MONTGERAIN, I , MOYENNEVILLE, , NEUFVY-SUR-ARONDE, NEUVILLE- EN-HEZ (LA), NOINTEL, , NOURARD-LE-FRANC, , PLESSIER- O SUR-BULLES (LE), PLESSIER-SUR-SAINT-JUST (LE), , , RAVENEL, REMECOURT, , SACY-LE-GRAND, SAINT-AUBIN-SOUS-ERQUERY, SAINT-JUST-EN-CHAUSSEE, SAINT-MARTIN- D AUX-BOIS, SAINT-REMY-EN-L'EAU, , I Attention, pour accéder aux cartes et fiches descriptives des zonages concernés, vous devez consulter le site internet de la DREAL à l'adresse suivante : http://www.donnees.picardie.developpement-durable.gouv.fr/patnat/index.php? V recup_num_dep=60&submit=Valider E Zones naturelles d'intérêt écologique faunistique et floristique (ZNIEFF)

R Znieff de type 1 : * - BOIS DE LA FRÊTE A FITZ-JAMES S * - BOIS DE TROIS ÉTOTS ET DE PRONLEROY * - BOIS DES CÔTES, MONTAGNES DE , DU MOULIN ET DE BERTHAUT * - BOIS ET PELOUSES DE AvertissementLA VALLÉE DE : LAles SOMME corridors D'OR mentionnés A BELLOY ci-contre ET I * - FORÊT DE RÉMY ET BOISsont DE potentiels.PIEUMELLE Leur fonctionnalité est donc à * - FORET DOMANIALE DE repréciser.HEZ-FROIDMONT D'autres ET BOIS types PERIPHERIQUES de corridors peuvent * - LARRIS DE FERRIERES existerET DE surCREVECOEUR-LE-PETIT cette commune et sont donc à rechercher. * - LARRIS DU CUL DE LAMPEOutre cet inventaire, il peut aussi exister sur cette T * - LARRIS DU CULMONT ENTRE LAMECOURT ET ERQUERY * - LARRIS ET BOIS DE MONTcommune des biocorridors concernant la grande * - MARAIS DE SACY-LE-GRANDfaune. ET BUTTES SABLEUSES DES GRANDS MONTS E * - MARAIS TOURBEUX DE * - MARAIS TOURBEUX DE LA VALLÉE DE LA BRÈCHE DE SÉNÉCOURT À UNY * - RÉSEAU DE COURS D'EAU SALMONICOLES DU PLATEAU PICARD ENTRE ET COMPIÈGNE: , ARONDE ET BRÊCHE.

Znieff de type 2 :

* - BOCAGES DE ROLLOT, BOULOGNE-LA-GRASSE ET BUS-MAROTIN, BUTTE DE COIVREL

Zones Importantes pour la Conservation des Oiseaux (ZICO)

* - PE 06 : Marais de Sacy

Continuités écologiques

* - corridor n° 60007 * - corridor n° 60042 * - corridor n° 60106 * - corridor n° 60107 * - corridor n° 60115 * - corridor n° 60130 * - corridor n° 60157 * - corridor n° 60225 * - corridor n° 60252 * - corridor n° 60454 * - corridor n° 60400 * - corridor n° 60497 * - corridor n° 60366 * - corridor n° 60418 * - corridor n° 60440 * - corridor n° 60449 * - corridor n° 60464 * - corridor n° 60468 * - corridor n° 60562 * - corridor n° 60581 * - corridor n° 60595 * - corridor n° 60653 * - corridor n° 60698

* - corridor faune n°8 * - corridor faune n°9 * - corridor faune n°10

Les corridors mentionnés ci dessus sont potentiels. Leur fonctionnalité est donc à repréciser. D'autres types de corridors peuvent exister sur cette commune et sont donc à rechercher.

Natura 2000

Sites d'Importance Communautaire (SIC : futures ZSC - Directive Habitats) * - Marais de Sacy le Grand * - Massif forestier de Hez Froidmont et Mont César * - Réseau de coteaux crayeux du bassin de l'Oise aval (Beauvaisis)

Sites Classés

* - Promenade du Châtellier - carte de localisation du site

Sites Inscrits

* - Propriété Naquet - carte de localisation du site

A noter que les communes mentionnées ci-dessus ne comptent aucune zone de Protection Spéciale (ZPS – Directive Oiseaux), aucune réserve naturelle nationale ou régionale. De même, elles ne sont pas concernées par un arrêté de protection de biotope. Évaluation environnementale

Le décret n° 2012-995 du 23 août 2012 précise les conditions de réalisation d'évaluation environnementale des documents d'urbanisme. Désormais, tous les Schémas de Cohérence Territoriale (SCoT) doivent faire l'objet d'une évaluation environnementale stratégique ainsi que les documents de planification des communes (PLU ou carte communale) dont le territoire est impacté par tout ou partie d'un site Natura 2000. Dans les autres cas, une évaluation des incidences sur l'environnement doit être réalisée, ainsi qu'une procédure d'évaluation environnementale au cas par cas. Votre commune devra réaliser une évaluation environnementale au cas par cas.

Vous trouverez des renseignements sur cette procédure sur le site internet de la DREAL ou dans le guide édité par le ministère de l'Écologie. Vous pouvez aussi consulter le décret disponible sur Légifrance.

Bois et forêts

Des plans simples de gestion forestière autorisant les coupes sans autorisation préalable sont localisés sur les Bois du Chapitre et Bois Quesnoy.

Le document d'urbanisme devra prendre en compte l'activité forestière et le passage possible des grumiers et autres engins forestiers.

Le document d'urbanisme devra relever l'existence des boisements de talus boisés, haies, bandes boisées, bosquets et la nécessités ou non de les conserver selon le rôle qu’ils exercent, tant au niveau écologique, que cynégétique, paysager, anti- ruissellement, anti- coulée de boue, anti-érosif ou anti-éolien. Pour les boisements de la commune, ceux faisant partie d’un massif forestier de plus de 4 ha, ne peuvent être défrichés sans autorisation, en application de l’article L.341 et suivants du Code Forestier pour les particuliers et L.214-13 du même code pour les collectivités locales. Les dispositions de l'article L.341-5 du dit code précisant les cas de refus. Ils sont donc, d'une certaine manière, déjà protégés par le code forestier. Pour les boisements inférieurs au seuil de 4 ha, si une protection souhaite être appliquée, elle se fera d’une manière forte par l’application de l’article L 130-1 du Code de l’Urbanisme, ou d’une manière plus souple d’application avec l’article L 123-1-5.7° du même code. Pour les haies, arbres isolés ou alignements que la commune souhaite protéger; il est conseillé l'application de l'article L123-1-5.7° du Code de l'Urbanisme.

Il est rappelé qu’à l’article R 130-20 du code de l’urbanisme, les communes doivent informer le Centre régional de la propriété forestière du classement d’espaces boisés intervenus en application du premier alinéa de l’article L 130-1 du code de l’urbanisme.

Les différents articles 7 (implantation par rapport aux limites séparatives) du règlement des zones comportant ou jouxtant des espaces boisés pourraient comporter une marge de recul non aedificandi adaptée suivant la topographie du terrain et la qualité du boisement (forte pente, taillis, futaie...) afin d'éviter tous risques ou nuisances (chutes d'arbres, de branches, ombre, humidité, feuilles, insectes, etc...). Ne pas négliger ces risques et nuisances.

Concernant l'article 13 du règlement, l’interdiction de certaines essences est à nuancer car cela peut porter atteinte à l’activé forestière, ce qui n’est pas le but recherché dans cet article. Le choix des essences forestières, pour les boisements, n'a pas à être réglementé. Ce même article du règlement des zones comportant des espaces boisés classés doivent obligatoirement préciser que les espaces boisés figurant au plan comme espaces boisés classés à conserver, à protéger ou à créer sont soumis aux dispositions de l’article L.130-1 du Code de l’Urbanisme.

Pour les boisements situés dans un site Natura 2000, ZPS ou ZSC , il serait souhaitable comme mentionné ci-avant, de ne pas appliquer de protection au titre du Code de l’Urbanisme afin de ne pas en gêner la gestion future. Les zones Natura 2000, seront classées dans un secteur spécifique « N indicé », précisant que ne sont autorisés, outre la gestion des bois, que les dispositions d'aménagement, de protection ou de restauration des espaces naturels prises en application du DOCOB. Il est recommandé de s'adresser à l'opérateur afin de définir, le cas échéant, les mesures de protection à mettre en place. Évaluation environnementale

Le décret n° 2012-995 du 23 août 2012 précise les conditions de réalisation d'évaluation environnementale des documents d'urbanisme. Désormais, tous les Schémas de Cohérence Territoriale (SCoT) doivent faire l'objet d'une évaluation environnementale stratégique ainsi que les documents de planification des communes (PLU ou carte communale) dont le territoire est impacté par tout ou partie d'un site Natura 2000. Dans les autres cas, une évaluation des incidences sur l'environnement doit être réalisée, ainsi qu'une procédure d'évaluation environnementale au cas par cas. Votre commune devra réaliser une évaluation environnementale au cas par cas.

Vous trouverez des renseignements sur cette procédure sur le site internet de la DREAL ou dans le guide édité par le ministère de l'Écologie. Vous pouvez aussi consulter le décret disponible sur Légifrance.

Bois et forêts

Le document d'urbanisme devra prendre en compte l'activité forestière et le passage possible des grumiers et autres engins forestiers.

Le document d'urbanisme devra relever l'existence des boisements de talus boisés, haies, bandes boisées, bosquets et la nécessités ou non de les conserver selon le rôle qu’ils exercent, tant au niveau écologique, que cynégétique, paysager, anti- ruissellement, anti- coulée de boue, anti-érosif ou anti-éolien. Pour les boisements de la commune, ceux faisant partie d’un massif forestier de plus de 4 ha, ne peuvent être défrichés sans autorisation, en application de l’article L.341 et suivants du Code Forestier pour les particuliers et L.214-13 du même code pour les collectivités locales. Les dispositions de l'article L.341-5 du dit code précisant les cas de refus. Ils sont donc, d'une certaine manière, déjà protégés par le code forestier. Pour les boisements inférieurs au seuil de 4 ha, si une protection souhaite être appliquée, elle se fera d’une manière forte par l’application de l’article L 130-1 du Code de l’Urbanisme, ou d’une manière plus souple d’application avec l’article L 123-1-5.7° du même code. Pour les haies, arbres isolés ou alignements que la commune souhaite protéger; il est conseillé l'application de l'article L123-1-5.7° du Code de l'Urbanisme.

Il est rappelé qu’à l’article R 130-20 du code de l’urbanisme, les communes doivent informer le Centre régional de la propriété forestière du classement d’espaces boisés intervenus en application du premier alinéa de l’article L 130-1 du code de l’urbanisme.

Les différents articles 7 (implantation par rapport aux limites séparatives) du règlement des zones comportant ou jouxtant des espaces boisés pourraient comporter une marge de recul non aedificandi adaptée suivant la topographie du terrain et la qualité du boisement (forte pente, taillis, futaie...) afin d'éviter tous risques ou nuisances (chutes d'arbres, de branches, ombre, humidité, feuilles, insectes, etc...). Ne pas négliger ces risques et nuisances.

Concernant l'article 13 du règlement, l’interdiction de certaines essences est à nuancer car cela peut porter atteinte à l’activé forestière, ce qui n’est pas le but recherché dans cet article. Le choix des essences forestières, pour les boisements, n'a pas à être réglementé. Ce même article du règlement des zones comportant des espaces boisés classés doivent obligatoirement préciser que les espaces boisés figurant au plan comme espaces boisés classés à conserver, à protéger ou à créer sont soumis aux dispositions de l’article L.130-1 du Code de l’Urbanisme.

Pour les boisements situés dans un site Natura 2000, ZPS ou ZSC , il serait souhaitable comme mentionné ci-avant, de ne pas appliquer de protection au titre du Code de l’Urbanisme afin de ne pas en gêner la gestion future. Les zones Natura 2000, seront classées dans un secteur spécifique « N indicé », précisant que ne sont autorisés, outre la gestion des bois, que les dispositions d'aménagement, de protection ou de restauration des espaces naturels prises en application du DOCOB. Il est recommandé de s'adresser à l'opérateur afin de définir, le cas échéant, les mesures de protection à mettre en place. L’élaboration d’un Plan Pluriannuel Régional de Développement Forestier (PPRDF) dans chaque région a été introduite par la loi du 27 juillet 2010 dite de modernisation de l’agriculture et de la pêche qui comporte plusieurs dispositions destinées à développer le secteur forestier. Son article 64 (codifié au travers de l’article L.122-12 (ex. L. 4.1) du Code forestier) prévoit sa mise en place dans chaque région pour, en cohérence avec les documents cadres en vigueur, analyser les raisons d’une insuffisante exploitation de certains massifs et définir des actions pour y remédier. Le PPRDF de Picardie a été approuvé le 07 mai 2013 et est consultable sur le site internet de la DRAAF. Carte des bois et forêts

(Fiche mise à jour le 11 mars 2014 - © DDT de l'Oise) Commune d’Erquinvillers - Fiches synthétiques

Risques naturels, risques industriels doivent • d'autre part à l'existence d'enjeux, qui être au cœur des préoccupations des auteurs des représentent l'ensemble des personnes et des F documents d'urbanisme à qui il appartient de fixer biens (ayant une valeur monétaire ou non) les conditions d'un développement de pouvant être affectés par ce phénomène. Les l'urbanisation assurant la protection des conséquences d'un risque majeur sur les I personnes et des biens. enjeux se mesurent en terme de vulnérabilité Le risque majeur est la possibilité d'un C événement d'origine naturelle ou anthropique Concrètement, l'élaboration du plan local (provoqué directement par l'action ou d'urbanisme doit être l'occasion : l'intervention de l'homme), dont les effets peuvent ✔ d'améliorer la connaissance du risque en H mettre en jeu la vie d'un grand nombre de compléments des études réalisées par l’État. personnes, occasionner des dommages ✔ d'informer la population E importants et dépasser les capacités de réaction ✔ de fixer, à travers le zonage et le règlement du habituelle de notre société. plan local d'urbanisme, des règles de Un risque majeur est caractérisé par sa faible construction interdisant l'augmentation des fréquence et par son énorme gravité. Son enjeux dans les zones à risque, existence est liée à deux facteurs : n° ✔ programmer la réalisation d'équipements ou • d'une part à la présence d'un événement, qui d'aménagements ayant pour objet de diminuer est la manifestation d'un phénomène naturel la vulnérabilité des zones exposées. 4 ou anthropique ;

Les Risques Naturels Catastrophes naturelles

Les données ci-dessous sont extraites du portail internet de la prévention des risques L majeurs (http://www.prim.net/) : Inondations coulées de boue et mouvements de terrain E date de début : 25/12/1999 date de fin : 29/12/1999 arrêté de catastrophe naturelle du : 29/12/1999 S paru au Journal Officiel du : 30/12/1999

La commune n'est concernée par aucun Plan de Prévention des Risques Naturels.

Cavités souterraines et mouvements de terrain R Le Bureau de Recherche Géologiques et Miniers (BRGM) a réalisé en octobre 2011 un inventaire des cavités souterraines du département de l'Oise.

Les informations concernant les cavités souterraines et les mouvements de terrain sont I disponibles sur internet respectivement aux adresses lien vers bdcavité.net et lien vers bdmvt.net. S Une cavité souterraine a été recensée sur la commune, correspondant à une carrière, ainsi qu’un mouvement de terrain, correspondant à un effondrement.

Q Inondation

La Directive européenne du 23 octobre 2007 relative à l'évaluation et à la gestion des U risques d'inondation a pour objectif de donner un cadre à l'évaluation et à la gestion des risque d'inondation en vue de réduire les conséquences négatives potentielles E associées aux inondations. S La méthodologie de la directive s'articule autour de 3 étapes : - la réalisation d'une Évaluation Préliminaire des Risques Inondation (EPRI) avant décembre 2011 ; - la cartographie des Territoires à Risques inondation Important (TRI) avant décembre 2013 ; - la réalisation d'un Plan de Gestion des Risques Inondation (PGRI) avant décembre 2015, avec lequel les PLU devront être compatibles en application de l'article L123-10 du code de l'urbanisme. La commune d’Erquinvillers fait partie du bassin Seine Normandie dont l’Évaluation Préliminaire des Risques Inondation (EPRI) a été arrêté le 20 décembre 2011 par le préfet d'Ile de France, coordinateur du bassin.

Cette information est disponible sur le site de la Direction Régionale Interdépartementale de l'Environnement et de l’Énergie d'Ile de France à l'adresse suivante : http://www.driee.ile-de-france.developpement-durable.gouv.fr/evaluation-preliminaire- des-a1074.html.

Retrait gonflement des sols argileux

La commune d’Erquinvillers est concernée par un aléa faible de retrait gonflement des argiles sur une partie de son territoire. Cette information est disponible sur le site du BRGM à l’adresse suivante : Lien vers BRGM – Argiles.

Les Risques technologiques

Les installations classées

La commune n'est concernée par aucun Plan de Prévention des Risques Technologiques.

Aucun établissement à risque soumis à autorisation, au titre des Installations Classées pour la Protection de l'Environnement, n'est recensé sur cette commune.

Cette information est disponible sur le site de la DREAL PICARDIE à l'adresse suivante : http://www.installationsclassees.developpement-durable.gouv.fr/rechercheICForm.php

Eolien

Aucune éolienne ou Zone de Développement Éolien (ZDE) n'ont été relevées sur la commune. La commune d’Erquinvillers n'est pas une commune dont le territoire est situé tout ou partie en zone favorable du Schéma Régional du Climat, de l'Air et de l’Énergie (SRCAE) de Picardie, entré officiellement en vigueur le 30 juin 2012.

Les sols pollués Les données ci-dessous sont extraites du site Basias (Inventaire historique de sites industriels et activités de service) à l'adresse suivante : h ttp://basias.brgm.fr/ . Ce site recense, de façon large et systématique, tous les sites industriels abandonnés ou non, susceptibles d'engendrer une pollution de l'environnement.

Aucun site n'a été recensé sur le territoire communal.

La donnée ci-dessous est disponible sur le site de Basol à l'adresse suivante : http://basol.environnement.gouv.fr/. Ce site du ministère en charge des risques technologiques recense les sites et sols pollués appelant une action des pouvoirs publics à titre préventif ou curatif.

Aucun site n'a été recensé sur le territoire communal.

(Fiche mise à jour le 17 mars 2014 - © DDT de l'Oise) Commune d’Erquinvillers - Fiches synthétiques

S'il ne s'agit pas de faire un « urbanisme de nécessitent des investissements dont l'importance tuyaux », le projet de développement durable est comparable celle de la voirie. F d'un territoire ne peut être envisagé sans que soit Dans cette perspective, les études liées à menée une réflexion, en concertation avec les l'élaboration des zonages d'assainissement visés services gestionnaires des réseaux, sur les à l'article L2224-10 du code général des I E besoins d'approvisionnement en eau de la collectivités territoriales prennent toute leur population et sur la capacité des réseaux importance. C existants, en matière d'évacuation des eaux de Enfin, il faut souligner la dimension le plus ruissellement et des eaux usées, à supporter les souvent intercommunale de la question de l'eau. A nouveaux développements projetés. En particulier, les communes doivent tenir compte H En pratique, et au-delà du choix des secteurs dans leur programmation relative aux réseaux d'extension de l'urbanisation en fonction de l'état d'adduction d'eau ou d'assainissement des E U des réseaux, le coefficient d'occupation des sols orientations, quand ils existent ou sont en cours est un outil réglementaire particulièrement adapté d'élaboration, des schémas directeurs à la définition de droits à construire adaptés à la d'aménagement et de gestion de l'eau (SDAGE) capacité des équipements existants ou ou des schémas d'aménagement ou de gestion programmés. de l'eau (SAGE). n° Par ailleurs, il convient d'insister sur le coût E des systèmes d'évacuation des eaux qui 5 T La présente fiche fait la synthèse des informations connues des services de l'État en matière de captage d'eau potable et d'études et de choix d'assainissement. A Captage d'eau potable Captage d'eau potable Captages dont la zone de protection de l’aire d’alimentation a S (CEP) été institué par arrêté préfectoral en date du 28/03/2012 S Localisation Commune de Baugy A I N I S S E M E N Carte publiée par l'application CARTELIE © Ministère de l'Écologie, de l'Énergie, du Développement durable et de la Mer T CP2I (DOM/ETER) Zonage d'assainissement

Etudes et choix Observations d'assainissement Mode d'assainissement Collectif Individuel actuel Schéma directeur oui Non d'assainissement réalisé Existence d'un zonage oui Non d'assainissement Collectif Individuel Date de choix : Choix d'assainissement pour le village pour les écarts 08/06/2006

Le zonage assainissement est opposable depuis le 08/06/2006, et à inclure dans le document. Le choix du collectif pour le centre village et de l'individuel pour les écarts a été retenu. Toutefois, nous n'avons pas d'information sur la collecte et/ou transfert et/ou projet de STEP. -AP du 26/09/2006 de dérogation communale pour le rejet par puits d'infiltration des installations d'assainissement non collectif. Le règlement devra maîtriser les écoulements des eaux pluviales et prévoir, éventuellement, la création d'ouvrages (dispositifs tampon : prairies inondables, mares, fossés enherbés, etc... ).

Hydraulique

Le territoire communal n'est traversé par aucun cours d’eau non domanial. Masse d'eau souterraine de la craie picarde, cf. objectifs du SDAGE Seine Normandie.

La commune d’Erquinvillers est concernée par le Schéma Directeur d'Aménagement et de Gestion des Eaux Seine-Normandie approuvé par le Préfet coordonnateur de bassin le 20 novembre 2009 et par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux de Oise-Aronde approuvé le 08/06/2009, avec lesquels le PLU doit être compatible, en particulier sur la question de la préservation des zones humides.

Un guide de prise en compte du SDAGE dans les documents d'urbanisme est téléchargeable à partir du lien http://www.driee.ile-de-france.developpement- durable.gouv.fr/article.php3?id%20article=72

La commune est classée en ZRE (Zone de Répartition de l'Eau) pour le bassin versant de l'Aronde.

Zones humides

Une cartographique interactive des zones humides de votre commune est accessible depuis le site internet de la DREAL .

Des plaquettes à destination des élus et des bureaux d'études ont été réalisées pour aider à la prise en compte des zones humides dans les documents d'urbanisme. Elles sont disponibles sur le site internet de la DDT. Carte des cours d'eau

(Fiche mise à jour le 11 mars 2014 - © DDT de l'Oise)

Commune d’Erquinvillers - Fiches synthétiques

Politique publique prioritaire de l’État, la sécurité caractéristiques afin que les usagers adaptent routière fait l'objet d'un programme pluriannuel leur comportement. F d'actions dont l'un des objectifs, au-delà du contrôle Concrètement, l'écriture du document doit être et de la sanction des comportements fautifs, est de l'occasion d'analyser les accidents intervenus ces faire émerger une culture tournée vers la prévention. dernières années, tout en évaluant l'impact en terme I Le Grenelle de l'Environnement a aussi mis en de sécurité des projets d'aménagement ou de voirie, avant le développement des nouvelles technologies une attention particulière devant être portée aux C d'information et de communication. L'aménagement endroits où se concentrent des usages numérique des territoires doit être intégré au projet particulièrement vulnérables, tels que les sorties territorial. d'écoles ou parcs de stationnement. H A ce titre, les auteurs des documents Sur le fond, le document d'urbanisme approuvé d'urbanisme doivent se mobiliser car ils peuvent agir doit notamment permettre d'éviter : E en posant les principes de base susceptibles – des extensions urbaines reliées à d'assurer un haut niveau de sécurité routière, à l'agglomération seulement par la route savoir : – un recul trop important des constructions – la prise en compte des usagers vulnérables élargissant le champ visuel, et donc les vitesses – l'affectation des voies avec le souci d'un – des alignements droits trop longs n° rééquilibrage des usages entre circulation et vie – la multiplication des accès nouveaux sur les locale pour les voies traversant l'agglomération voies principales de circulation 6 – la vérification de la cohérence entre l'affectation – de contraindre le développement des nouvelles des voies existantes ou projetées et leurs technologies d'information et de communication.

L Routes à grande circulation Le territoire de la commune d’Erquinvillers est traversé par la RD 101, 127, 557 et 570. E Aucune n’est classée route à grande circulation. Pour information, le classement des routes à grande circulation est défini dans le décret n° 2010-578 modifiant le décret n° 2009-615 du 3 juin 2009 fixant la liste des routes à S grande circulation du 31 mai 2010.

Transports exceptionnels M Aucun itinéraire transports exceptionnels n’est signalé.

(Pour mémoire, dans l'hypothèse où un itinéraire transports exceptionnels serait recensé, il convient de maintenir au mieux les possibilités existantes. En effet, ces itinéraires sont une nécessité économique pour de nombreuses industries o ainsi que pour la sécurité de la circulation de certains véhicules spéciaux, tels que les grues ou engins agricoles)

B Comptages I Des données fournies par le Conseil Général, il ressort pour : • la RD 101, classée en 4ème catégorie, près de 972 véhicules par jour étaient recensés en 2013, dont 6 % de poids lourds ; L • la RD 127, classée en 4ème catégorie, 283 véhicules par jour étaient recensés en 1999, dont 2 % de poids lourds ; • La RD 570, près de 1599 véhicules par jour étaient recensés en 2012, dont 4,8 % de I poids lourds. T É S Accidentologie

Sur la période courant du 1er janvier 2008 au 31 décembre 2012, aucun accident n’a été recensé.

(A noter que seuls sont ici comptabilisés les accidents corporels, sur la base des procès-verbaux établis par les forces de l'ordre. Les accidents matériels sont recensés par les compagnies d'assurance des propriétaires des véhicules, ces données n'étant pas disponibles dans le cadre du Porter à Connaissance)

Réglementation routière

A toutes fins utiles, même si ce point échappe au sens strict à une approche en terme d'urbanisme, il peut être utile de rappeler que différents ouvrages techniques ont été réalisés sur certains dispositifs de la réglementation routière. Ces ouvrages sont consultables en direction départementale des Territoires, service des transports, de la sécurité et des crises, en particulier :

– le guide relatif aux ralentisseurs de type dos d'ânes et trapézoïdal – le guide des coussins et plateaux – le guide des zones 30 relatif à la modération de la vitesse en agglomération – le guide relatif à l'amélioration de la signalisation verticale

Aménagement numérique

Le Schéma Directeur Territorial d’Aménagement Numérique (SDTAN), porté par le Conseil Général de l'Oise, a été approuvé le 21 mai 2012. Il est téléchargeable à partir du site internet du Conseil Général

Même s'il n'existe pas de lien de prise en compte ou de compatibilité entre le SDTAN et les documents d'urbanisme, une certaine cohérence s'avère nécessaire si la collectivité souhaite pouvoir bénéficier d'une aide financière.

Le rapport de présentation du PLU devra comporter un diagnostic en terme d'aménagement numérique du territoire. Sur ce point, je vous invite à consulter le site du centre d'études technique de l'équipement (http://www.ant.developpement- durable.gouv.fr/) du ministère de l’Écologie.

Circulations douces

La commune d’Erquinvillers n’est actuellement concerné ni par le passage d’un chemin de grande randonnée, ni par aucun circuit inscrit au PDIPR.

Mobilité durable

La DREAL Picardie, en partenariat avec les DDT(M), les CAUE, l’ADEME et les agences d’urbanisme a produit le Référentiel Urbanisme et Déplacements. Ce guide a pour but d’améliorer la prise en compte de la mobilité et des déplacements dans les documents d’urbanisme. Il présente des pistes de réflexions mais aussi des exemples de bonnes pratiques. Il est disponible sur le site internet de la DREAL.

Le Conseil Général de l’Oise a élaboré un programme d’actions en matière de mobilité repris dans son Plan départemental pour une mobilité durable.

(Fiche mise à jour le 11 mars 2014 - © DDT de l'Oise) Commune d’Erquinvillers - Fiches synthétiques

La Politique Agricole Commune (PAC) reste Les données structurelles du département un des enjeux majeurs de l'Europe. Elle est un laissent apparaître une diminution du nombre F des piliers de la Construction Européenne. Après d'actifs agricoles, toutes catégories confondues. des débuts triomphants, elle connaît aujourd'hui La population agricole familiale comptait 13 461 une phase d'incertitudes liées à des difficultés personnes en 2000, dont 7 010 actifs sur I budgétaires, amplifiées par l'arrivée de nouveaux l'exploitation. Les salariés agricoles permanents membres dont les situations sont très diverses. étaient au nombre de 1 920, à la même date. Ces C En plus des effets liés à la PAC, l'agriculture chiffres ont quasiment été divisés par deux depuis française a connu de profondes mutations qui ont 1979. impacté aussi bien la production, que les Le nombre d'exploitations agricoles a suivi la H exploitations, les métiers et la manière d'aborder même tendance et a fortement diminué depuis le métier d'exploitant, le statut de l'agriculteur au l'exode rural du début du XXème siècle. En 2005, E sein de la société, les coûts de production et la l'Oise comprenait 3 805 exploitations pour une qualité des produits. Face à ces profonds Surface Agricole Utile moyenne d'environ 97 changements, les exploitants ont dû s'adapter hectares. Pour cette SAU totale, on estime que 6 parfois en anticipant, parfois en subissant les 660 actifs sont nécessaires à temps complet sur évolutions. les exploitations. n° Ainsi, comme toute la France, le département En terme de cultures, le territoire s'est de l'Oise s'est modernisé même si le type de spécialisé autour des céréales (blé tendre, orge, 7 culture est resté en partie spécifique au territoire, maïs...), des oléagineux (colza, soja, poix...), des en fonction des sols et du climat. Cette spécificité pommes de terre et des betteraves destinées à a tendance à disparaître peu à peu grâce aux l'industrie sucrière. évolutions et progrès techniques, très importants, Il existe aussi une production de légumes frais de ces cinquante dernières années. (petits pois, haricots verts, champignons, Dans le département de l'Oise, la taille des salades...) largement destinée aux conserveries. exploitations s'est accrue, notamment avec les Les animaux sont également présents (bovins regroupements d'exploitations et l'activité s'est et ovins), avec une orientation plus marquée vers modernisée. Les cultures de céréales sont la production laitière. En 2005, 1 874 hectolitres prépondérantes avec une production destinée de lait ont été produits. A pour une large part aux industries agro- On note par contre la diminution des prairies alimentaires (IAA). naturelles qui ont été réduites de 27 % en 15 ans Le département de l'Oise bénéficie de (en 1989 de 48 740 ha à 35 200 ha en 2004) et conditions qui font de son territoire un des plus que l’on s’efforce de protéger dans le cadre G compétitifs et dynamiques du pays au niveau de la PAC (obligation de maintien de ces agricole. Environ 70% de la surface du sol de prairies). l'Oise est dédiée à l'agriculture. Néanmoins, A l'heure actuelle, un nouveau débouché celle-ci a tendance à diminuer face à la pression apparaît : les biocarburants et la production de R foncière. Par rapport à 2004, le prix moyen des biomasse. Une partie des productions de colza, et propriétés non bâties a augmenté de 4%, soit 5 dans une moindre mesure celles de betteraves à 840 euros à l'hectare. sucre, s'orientent vers cette nouvelle voie. I Agriculture Durable

Un Plan Régional de l’Agriculture Durable (PRAD) fixe les grandes orientations de la C politique agricole, agroalimentaire et agro-industrielle de l’État dans la région en tenant compte des spécificités des territoires ainsi que de l’ensemble des enjeux économiques, sociaux et environnementaux. Le PRAD de la Picardie a été approuvé le 18 février 2013 U et est téléchargeable sur le site internet de la DRAAF. L Recensement Général Agricole Le recensement général agricole (RGA) est prescrit par une recommandation de la FAO qui prévoit sa réalisation chaque décennie et au niveau communautaire par le règlement n°1467/96 du Conseil du 17 décembre 1996. En France, le dernier RGA a eu lieu en l'an T 2000. Les recensements de l'agriculture précédents avaient eu lieu en 1970, 1979 et 1988. Cette opération de grande ampleur répond aux besoins nombreux d'informations à des niveaux géographiques fins : commune, canton, région agricole. Le recensement U consiste en une enquête auprès de chaque exploitant agricole portant sur les caractéristiques de l'exploitation agricole, superficies, cheptel, matériel, sur son environnement économique, sur l'activité exercée sur ces unités et sur la population R vivant ou travaillant sur l'exploitation agricole.

La surface totale de cette commune 377 ha, la SAU est de 344 ha à la PAC 2012. Elle E représente près de 91% de la surface totale, avec absence de surfaces fourragères, en hausse depuis le recensement agricole (335 ha en 2000) - Sources : RGA 2000 et déclarations de la PAC 2011. Les référentiels sont différents, mais la variation ainsi calculée est toutefois significative.

Valeur vénale des terres

La commune d’Erquinvillers fait partie de la petite région agricole du Plateau Picard. La valeur vénale des terres en 2007 figure dans le document ci-après.

La valeur vénale moyenne des terres en 2011 à l’échelle de la PRA du Plateau picard est de 8 450 €/ha, un peu plus élevée par rapport à la moyenne départementale (7 780€/ha). (Source : Espace rural – Analyse des marchés – FN Safer – Mai 2012)

Proximité des exploitations agricoles

L'article L 111-3 du code rural a introduit la réciprocité des distances d'éloignement à respecter entre bâtiments agricoles abritant des élevages et les habitations ou immeubles habituellement occupés par des tiers. Ces distances d'éloignement visent à éviter les conflits générés par des exploitations trop proches des habitations. Ces distances sont fixées par le règlement sanitaire départemental ou la législation sur les installations classées. Le respect de ces distances peut ne pas être appliqué aux extensions de constructions existantes et une distance inférieure peut être autorisée, par dérogation, après avis de la chambre d'agriculture, pour tenir compte de spécificités locales, notamment dans les zones urbaines délimitées par les documents d'urbanisme et dans les parties actuellement urbanisées. Il convient de localiser par cartographie les bâtiments agricoles soumis à ces contraintes de distance d’implantation pour la prise en compte de l’article L 111-3 du code rural. Il convient aussi de localiser les sièges d’exploitation ainsi que les plans d’épandage d’effluents d’élevage et de boues de stations d’épuration.

Économie du foncier et mitage des zones agricoles

18 exploitations travaillent au moins 1 îlot de la commune et 1 exploitation a son siège sur la commune. L’activité d’élevage est absente sur cette commune, 0 UGB (Unité Gros Bétail) en 2010 comme en 2000. L’activité agricole dominante qui caractérise ces communes du Plateau Picard est la production de grandes cultures et de betteraves. Des productions spécialisées (légumes) sont également présentes. L'activité d'élevage, présente ponctuellement doit être considérée comme une activité de diversification apportant un complément de revenu. Les terres labourables occupent plus de 80% de la SAU. Les terres limoneuses du type « limon battant » ou « limon mouillant de vallon» sont dominantes dans cette PRA. Les rendements potentiels de ces sols sont élevés sur les parcelles drainées. Ils peuvent atteindre 90 à 95q/ha pour le blé (8 années sur 10). Leur valeur agronomique peut être considérée comme excellente. (Source : Guide des sols de l’Oise – ISAB, Chambre d’Agriculture de l’Oise - 1997) Les espaces agricoles mais aussi naturels avec la forêt, les haies, les zones humides, les jachères, etc. ont un rôle essentiel au service de l'économie agricole et au bénéfice de notre environnement – filtrage de l'eau, réduction de CO2, biodiversité (ex : les abeilles).Ils valorisent les zones urbaines offrant aux habitants un cadre de vie de qualité. Le PLU doit prendre en compte cette préoccupation d'une gestion économe du foncier, que ce soit pour produire du logement, pour le développement économique ou pour la création de nouvelles infrastructures de transport.

Toute surface économisée est un gage de pérennité pour l’activité agricole. Afin d'éviter au maximum le mitage sur ces espaces, le règlement des zones agricoles A devra être restrictif et explicite quant aux modes d'occupation qui y seront autorisés et ces derniers devront être bien en rapport avec la définition de la dite zone.

Évolution des espaces agricoles

La commune a clôturé son remembrement le 20 juillet 1959.

Le module cartographique Cartélie, accessible sur le site internet de la DDT de l'Oise, permet de visualiser l'évolution des espaces agricoles depuis 2003 à partir du lien suivant : http://www.oise.equipement-agriculture.gouv.fr/article.php3?id_article=1495 ainsi que l'évolution de l'urbanisation : http://cartelie.application.developpement- durable.gouv.fr/cartelie/voir.do?carte=Urbanisation&service=DDT_60.

La Commission Départementale de Consommation des Espaces Agricoles (CDCEA)

Je vous invite à consulter la plaquette élaborée par le service de l'économie agricole de la DDT de l'Oise sur les modalités de saisine de la commission départementale de consommation des espaces agricoles.

(Fiche mise à jour le 11 mars 2014 - © DDT de l'Oise)