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CONSEIL MUNICIPAL DE PITRES REUNION DU VENDREDI 22 FEVRIER 2019

L’an deux mil dix-neuf et le 22 février à 20 heures 30, se sont réunis dans le lieu ordinaire de leurs séances les membres du conseil municipal de la commune de PITRES, sous la présidence de Monsieur Jean CARRÉ, Maire, dûment convoqués le 14 février 2019.

Présents : Jean CARRE, Maire, Chantale PICARD, Christophe PETIT Adjoints, Evelyne CLASTERE, Gianni LEFEBVRE, Nicolas ROGER, Mickaël VIGOR, Florence LAMBERT, Marie DUMONT et Nadège LEVEE.

Absents excusés représentés : Jérôme RAVIN par Florence LAMBERT et René DREAN par Nadège LEVEE.

Absents : Véronique GAVELLE, Dominique CAILLE, Céline DEBUIGNY, Stéphanie HOUDMON, Mélissa LORIAUX, Abdelkader ECHIKR et Atef AZZI.

Secrétaire de séance : Christophe PETIT

Début de la séance à 20 h 39. Monsieur le maire demande si le conseil municipal a des remarques à faire sur le compte rendu de la réunion du mercredi 19 décembre 2018 ; Aucune observation n’est formulée. Le compte rendu de la réunion du mercredi 19 décembre 2018 est approuvé à l’unanimité.

Le maire donne lecture de l’ordre du jour :

ORDRE DU JOUR

1) TAUX HORAIRE DES AGENTS SOUS CONTRAT A COMPTER DU 1ER JANVIER 2019 ;

2) S.I.E.G.E. : PROCES VERBAL DU COMITE SYNDICAL DU 1ER DECEMBRE 2018 ;

3) FUSION DE LA COMMUNAUTE D’AGGLOMERATION SEINE- ET DE LA COMMUNAUTE DE COMMUNES EURE-MADRIE-SEINE ;

4) VENTE DE TROIS LOTS RUE DU TAILLIS : FIXATION DU PRIX DES PARCELLES ;

5) ASSOCIATION DES MAIRES DE : SOUTIEN A LA RESOLUTION DU 101E CONGRES DE L’AMF ;

6) TAXE ANNUELLE SUR LES FRICHES COMMERCIALES SITUEES SUR PITRES ;

7) FIXATION DU MONTANT DU LOYER DU LOGEMENT AU DESSUS DE LA POSTE ;

8) AUTORISATION DE PAYER DES FACTURES D’INVESTISSEMENT AVANT LE VOTE DU BUDGET PRIMITIF ;

9) INSTALLATIONS CLASSEES POUR LA PROTECTION DE L’ENVIRONNEMENT : SOCIETE RECYCLAGE ET MATERIAUX INERTES DU MANOIR – CONSULTATION DU PUBLIC ;

10) DIVERS.

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1 – TAUX HORAIRE DES AGENTS SOUS CONTRAT A COMPTER DU 1ER JANVIER 2019

Sur proposition du maire, le conseil municipal accepte d’augmenter à compter du 1er janvier 2019 le prix horaire des contrats aidés.

Après délibération et à l’unanimité, le conseil municipal décide que le prix horaire des contrats aidés soit porté à 10,41 € à compter du 1er janvier 2019.

2 – S.I.E.G.E : PROCES-VERBAL DU COMITE SYNDICAL DU 1ER DECEMBRE 2018

Monsieur le maire présente le procès-verbal du comité syndical du SIEGE (Syndicat Intercommunal de l’Electricité et du Gaz de l’Eure). Ce document expose les décisions adoptées par le comité syndical lors de la réunion du 1er décembre 2018. Ce procès-verbal a été adressé aux délégués titulaire et suppléant de la commune et affiché en mairie.

3 – FUSION DE LA COMMUNAUTE D’AGGLOMERATION SEINE-EURE ET DE LA COMMUNAUTE DE COMMUNES EURE-MADRIE-SEINE

Monsieur le maire rappelle aux membres du conseil que la communauté d’agglomération Seine-Eure et la communauté de communes Eure-Madrie-Seine sont engagées, depuis le printemps 2016, dans une démarche de rapprochement qui a permis aux élus d’être régulièrement informés de l’état d’avancement des travaux préparatoires. Ainsi des comités spécifiques, composées d’élus des deux établissements, ont examiné les enjeux majeurs liés au projet de fusion. Ces travaux ont parallèlement été restitués aux instances respectives des deux communautés et ont conclu à une véritable convergence tant sur les compétences portées et les capacités financières mobilisées que sur les organisations humaines dédiées à un service public de qualité, soucieux du bon niveau d’exécution.

La fusion de bloc à bloc des deux communautés s’appuie sur un projet de territoire cohérent, ambitieux et porte sur un périmètre qui garantira une cohésion spatiale, économique et financière. Il donnera naissance à une nouvelle communauté d’agglomération de 60 communes et de plus de 103 000 habitants, située le long de l’axe Seine, à une échelle pertinente au sein de la nouvelle région Normandie. Cet établissement permettra de concilier la mise en œuvre de politiques adaptées aux besoins du territoire, la proximité de l’action communautaire pour les habitants et le maintien du rôle essentiel des communes.

Au terme de la procédure pour définir un projet de périmètre, un arrêté préfectoral de fusion sera pris après accord exprimé à la majorité qualifiée des conseils municipaux c’est-à-dire par 2/3 au moins des conseils municipaux de toutes les communes incluses dans le projet de périmètre représentant plus de 50% de la population totale de celles-ci ou par 50% au moins des conseils municipaux des communes représentant les 2/3 de la population totale. Il faut également que cette majorité comprenne au moins 1/3 des conseils municipaux des communes qui sont regroupées dans chacun des Etablissements Publics de Coopération Intercommunale qui fusionnent.

Il est donc proposé au conseil municipal de se prononcer sur le projet de périmètre, la catégorie juridique et les statuts du nouvel Etablissement Public de Coopération Intercommunale issu de la fusion de la communauté d’agglomération Seine-Eure et de la communauté de communes Eure-Madrie-Seine.

DECISION

Le conseil municipal, après avoir entendu le Rapporteur et délibéré

APPROUVE le projet de périmètre du nouvel Etablissement Public de Coopération Intercommunale issu de la fusion de la communauté d’agglomération Seine-Eure et de la communauté de communes Eure-Madrie-Seine fixé dans l’arrêté préfectoral DELE/BCLI/2019-01 du 16 janvier 2019, ainsi défini :

- La communauté d’agglomération Seine-Eure composée des 43 communes suivantes : , , Amfreville-sous-les-Monts, Amfreville-sur-Iton, Andé, , Crasville, Criquebeuf-sur-Seine, Herqueville, , , , Le Bec-Thomas, La Haye-le- Comte, La Harengère, La Haye-Malherbe, , , Le Manoir, Le Mesnil- Jourdain, , Léry, , , Mandeville, , , Pîtres, Pont- de-l’Arche, Porte-de-Seine (anciennement Porte-Joie et Tournedos-sur-Seine), Poses,

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Quatremare, Saint-Cyr-la-Campagne, Saint-Didier-des-Bois, Saint-Germain-de-Pasquier, Saint- Etienne-du-Vauvray, Saint-Pierre-du-Vauvray, , Surville, (anciennement Tostes et Montaure), Val-de-Reuil, ,

- La communauté de communes Eure-Madrie-Seine composée des 17 communes suivantes : Ailly, Autheuil-Authouillet, Cailly-sur-Eure, , Clef-Vallée-d’Eure (anciennement Ecardenville-sur-Eure, Fontaine-Heudebourg et La Croix-Saint-Leufroy), Courcelles-sur-Seine, Fontaine-Bellenger, , Heudreville-sur-Eure, Le Val-d’Hazey (anciennement Aubevoye, Sainte-Barbe-sur-Gaillon et Vieux-Villez), (anciennement Bernières-sur-Seine, Tosny et Venables), Saint-Aubin-sur-Gaillon, Saint-Etienne-sous-Bailleul, Saint-Julien-de-la-Liègue, Saint-Pierre-de-Bailleul, Saint-Pierre-la-Garenne, Villers-sur-le-Roule

soit un nouveau périmètre constitué au total de 60 communes ;

APPROUVE la catégorie du nouvel Etablissement Public de Coopération Intercommunale issue de la fusion de la communauté d’agglomération Seine-Eure et de la communauté de communes Eure-Madrie-Seine, lequel relèvera de la catégorie des communautés d’agglomération ;

APPROUVE les statuts du nouvel Etablissement Public de Coopération Intercommunale issu de la fusion de la communauté d’agglomération Seine-Eure et de la communauté de communes Eure-Madrie-Seine tels que joints à la présente délibération ;

Adoptée à l’unanimité par 12 Voix pour

4 – VENTE DE TROIS LOTS RUE DU TAILLIS : FIXATION DU PRIX DES PARCELLES

Monsieur le maire indique que trois parcelles de terains viabilisables peuvent être mis en vente. Monsieur Christophe PETIT indique qu’une borne incendie doit être installée à proximité pour permettre le dépôt d’un permis de construire par les éventuels acquéreurs. Il précise qu’il manque environ une douzaine de borne incendie sur la commune. Madame Florence LAMBERT évoque la responsabilité de la commune en cas d’incendie. Elle dit que c’est une question de sécurité et qu’il faut prévoir l’installation de nouvelles bornes incendie.

Après délibération, le conseil municipal décide, à l’unanimité, de fixer le prix de vente des trois parcelles rue du taillis ainsi qu’il suit :

- Lot 1 (606 m²) : 60 600 € - Lot 2 (595 m²) : 59 500 € - Lot 3 (646 m²) : 64 600 €

5 – ASSOCIATION DES MAIRES DE FRANCE : SOUTIEN A LA RESOLUTION DU 101E CONGRES DE L’AMF

Monsieur le maire présente la résolution du 101e congrès de l’AMF :

Vu que le Congrès de l’association des Maires de France et des présidents d’intercommunalité qui s’achève, a, une nouvelle fois, démontré la force et l’unité de l’AMF. Vu que les communes de France ont subi, durant cette dernière année, une série de contraintes qui remet en cause la libre administration de nos collectivités locales. Vu qu’au regard du sentiment d’abandon ressenti par certains de nos concitoyens, l'AMF affirme sa mobilisation sur les enjeux propres à la ruralité, notamment sur l’égal accès de tous aux services publics de proximité. Vu qu’il est légitime de s’inquiéter particulièrement des projets en cours ou à venir des réorganisations des services déconcentrés de l’État, qui vont amplifier le recul de la présence des services publics sur les territoires.

Considérant que l’AMF demande la mise en œuvre immédiate d’un moratoire sur la fermeture des services publics de l’État.

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Considérant que : • Les collectivités locales ne portent pas la responsabilité des déficits de l'État ; qu’elles ont toutes des budgets en équilibre et financent près de 70% des investissements publics du pays ; • Les dotations de l’État sont la légitime contrepartie d’impôts locaux supprimés ou de transferts de charges, opérés par la loi, et qu’elles sont donc un dû et non une faveur ; • Les communes et intercommunalités ont pris plus que leur part dans le rétablissement des comptes publics, comme le démontre la Cour des Comptes. Leur imposer de nouveaux efforts est contestable, et devrait, en tout cas, être limité à leur part dans la dette publique de la France, soit 4,5% pour le bloc communal ; • La suppression de la taxe d’habitation – sans révision des valeurs locatives – remet gravement en cause l'autonomie fiscale des communes, fige et amplifie les inégalités entre populations et territoires. Elle ne permettra plus de maintenir au même niveau les services apportés à la population. En outre, la réforme fiscale devra être discutée avec les trois catégories de collectivités locales et non pas les uns contre les autres ; • L’encadrement des dépenses de fonctionnement des collectivités locales tel que décidé est intenable et porte gravement atteinte à leur autonomie de gestion ; • La loi NOTRe doit être corrigée en ce qui concerne son volet intercommunal, les dispositions relatives à l’eau et l’assainissement, et au « Grand Paris » ; • La modification envisagée de la dotation d’intercommunalité, si elle est nécessaire ne peut cependant continuer à favoriser les certaines métropoles au détriment des autres structures intercommunales ; • La gouvernance de la nouvelle agence de cohésion des territoires doit confier une place majoritaire aux élus du bloc communal, qui sont les premiers concernés. L’agence doit être dotée de fonds propres pour pouvoir remplir son rôle auprès des collectivités dont les moyens sont aujourd’hui contraints. • Les moyens dévolus aux agences de l’eau doivent être maintenus. Toute ponction qui détourne les redevances des usagers de leurs objectifs initiaux doit cesser ; • L’implication des maires dans la mise en œuvre d’une police de sécurité du quotidien, dans une gouvernance locale de sécurité partagée, doit se faire dans la limite des compétences respectives, sans transfert de charges et dans le respect du principe de libre administration qui s’applique également en matière de sécurité ; • Les propositions de l’AMF pour soutenir la dynamique volontaire de création de communes nouvelles doivent être prises en compte • Les démarches initiées par nos territoires en faveur de la transition écologique et énergétique, pour faire face aux dérèglements climatiques, doivent être reconnues et accompagnées • Les moyens dédiés au sport et à la culture pour tous doivent être maintenus dans le cadre d’une gouvernance partagée ; • Les conditions d’exercice des mandats locaux doivent être améliorées pour permettre l’accès de tous aux fonctions électives, en facilitant la conciliation avec l’activité professionnelle ; • La parité des fonctions électives doit être recherchée à tous les niveaux, y compris au sein de tous les exécutifs communaux et intercommunaux ; • La création récente de la coordination des employeurs territoriaux doit être prise en compte et que le statut de la fonction publique soit comme la pierre angulaire de nos administrations territoriales ; • La place des communes dans les politiques européennes doit être défendue quelle que soit leur taille par la France dans le cadre du nouveau cadre financier pluriannuel de l’Union.

Considérant que nous demandons la reconnaissance par le gouvernement de trois principes simples mais fondamentaux :

1) Le respect effectif du principe constitutionnel de libre administration des collectivités territoriales ; 2) L’acceptation du principe : « qui décide paie, qui paie décide » ; 3) La cessation de tout dénigrement et toute stigmatisation des maires et de l’ensemble des élus locaux.

Considérant que L’Association des maires de France et des présidents d’intercommunalité a, lors de son dernier congrès, proposé sept sujets qui doivent être au cœur d’une véritable négociation avec le gouvernement :

1) L’inscription de la place particulière de la commune et de sa clause générale de compétence dans la Constitution. Il s’agit de donner plus de libertés, de capacités d’initiative et de souplesse aux collectivités, en particulier s’agissant de la répartition des compétences du bloc communal. Rien ne remplacera le cadre de solidarité et de proximité des communes et leurs mairies. Cela doit également permettre de consacrer l’engagement présidentiel de garantir l’autonomie financière et fiscale des communes et de leurs groupements ; 2) La compensation intégrale et dans la durée de la taxe d’habitation sur les résidences principales par un dégrèvement général qui tienne compte de l’évolution annuelle des bases ; 3) L’ajustement de la contribution du bloc communal à la réduction de la dette publique, au prorata de sa part dans l’endettement ; 4) L’acceptation d’une révision du plafonnement à 1,2% des dépenses de fonctionnement, alors que ce seuil est rendu obsolète par des prévisions d’inflation largement supérieures ;

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5) Le retour à une conception non « léonine » et donc véritablement partenariale des contrats établis entre l’État et les collectivités territoriales ; 6) Le réexamen de la baisse des moyens dans les domaines essentiels de la vie des territoires que sont notamment le logement social, les contrats aidés et la politique de l’eau ; 7) Le rétablissement du caractère optionnel de tout transfert de compétence – et en particulier de la compétence « eau et assainissement » – qui doit s’accompagner, de manière générale, de l’arrêt de tout nouveau transfert obligatoire.

Ceci étant exposé, Considérant que le conseil municipal de PITRES est appelé à se prononcer comme l’ensemble des communes et intercommunalités de France sur son soutien à cette résolution adoptée lors du congrès de 2018 Il est proposé au Conseil municipal de PITRES de soutenir cette résolution et l’AMF dans ses discussions avec le Gouvernement Le conseil municipal de PITRES, après en avoir délibéré Soutient la résolution finale qui reprend l’intégralité des points de négociation avec le gouvernement

6 – TAXE ANNUELLE SUR LES FRICHES COMMERCIALES SITUEES SUR PITRES

Le maire expose au conseil municipal qu’il est possible d’instituer une taxe annuelle sur les friches commerciales. Il évoque l’exemple de l’ancien boucher qui a fermé sa boucherie.

Afin de conserver un dynamisme commercial au sein de la commune, le conseil municipal, à l’unanimité, après en avoir délibéré, décide d’instituer la taxe annuelle sur les friches commerciales selon les modalités prévues par le Code Général des Impôts et charge le maire de notifier cette décision aux services préfectoraux.

7 – FIXATION DU MONTANT DU LOYER DU LOYER DU LOGEMENT AU DESSUS DE LA POSTE

Monsieur le maire indique que le logement situé au-dessus de la Poste au 6 rue Pierre Mendès France va être vacant le 1er mai 2019 et qu’il est possible de réviser le montant mensuel du loyer. C’est un F5 de 100 m². Des petits travaux sont à prévoir au niveau des cache-moineaux ainsi que des travaux de peinture dans la cuisine. Le loyer actuel ne comprenait pas de charges. Le conseil municipal demande à réfléchir et propose de reporter ce point lors du prochain conseil municipal. A l’unanimité, la décision est reportée au mois prochain.

8 – AUTORISATION DE PAYER DES FACTURES D’INVESTISSEMENT AVANT LE VOTE DU BUDGET PRIMITIF

Monsieur le Maire indique au Conseil Municipal que la loi autorise le paiement des factures d’investissement avant le vote du Budget Primitif de l’année en cours dans la limite de 25 % des dépenses d’investissement de l’année 2018. Le Conseil Municipal doit délibérer pour autoriser le trésorier municipal à procéder à la prise en charge et au règlement des mandats d’investissement qui lui seront transmis avant le vote du Budget Primitif 2019.

Considérant qu’il convient de régler les travaux de la mairie, de la salle des fêtes et les honoraires d’architecte. Les dépenses concernées par cette autorisation sont les suivantes :

FOURNISSEUR MONTANT PROGRAMME ARTICLE CURSUS 1 816.68 102 MAIRIE 21311 HOTEL DE VILLE LEROY MERLIN 26 675.53 105 SALLE DES FETES 21318 AUTRES BATIMENTS PUBLICS EXTENSION DU CHRISTIAN MANIERE GROUPE SCOLAIRE ET 8 230.50 131 2313 CONSTRUCTIONS ARCHITECTURE CONSTRUCTION D’UNE MEDIATHEQUE

Après délibération, le conseil municipal accepte : - A l’unanimité le règlement des factures CURSUS et LEROY MERLIN ; - Avec 7 voix pour et 5 voix contre le règlement de la facture CHRISTIAN MANIERE ARCHITECTURE.

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9 – INSTALLATIONS CLASSEES POUR LA PROTECTION DE L’ENVIRONNEMENT : SOCIETE RECYCLAGE ET MATERIAUX INERTES DU MANOIR : CONSULTATION DU PUBLIC

Monsieur le maire expose que par arrêté préfectoral du 21 janvier 2019, a été prescrite la mise à la consultation du public pendant une durée de quatre semaines de la demande d’enregistrement présentée par la société Recyclage et Matériaux inertes du Manoir (RMM) pour l’exploitation d’une installation de stockage de déchets inertes et d’une plateforme de broyage, concassage, criblage et chaulage de matériaux sur la commune du Manoir.

Notre commune étant comprise dans un rayon d’un kilomètre autour du périmètre du projet, une consultation du public est organisée du 18 février au 17 mars 2019 inclus et l’avis du conseil municipal est sollicité sur ce dossier.

A l’unanimité, le conseil municipal décide de reporter sa décision au prochain conseil municipal après avoir étudié le dossier en détail.

Monsieur le maire indique que le dossier est consultable en mairie.

La décision du conseil municipal est reportée à une date ultérieure.

10 - DIVERS

Monsieur le maire fait part des remerciements : - Du Club Andelle Pîtres Football pour la subvention accordée en 2018 ; - De Mme Colette FOURCIN pour le colis de fin d’année ; - De la famille MILLIARD pour les condoléances adressées par la commune lors du décès de Mme Paulette MILLIARD ; - De la famille AUFRERE pour les condoléances adressées par la commune lors du décès de M. Gilles AUFRERE.

TOUR DE TABLE

→ Monsieur le maire donne quelques informations sur le terrain de football. Il doit être refait car la pelouse est en mauvais état. Or pour faire les travaux, il faut trouver un terrain de substitution pour les matches. Monsieur le maire indique qu’il a demandé à Loïc MANIFEL de trouver un terrain pour pouvoir faire les travaux mais que ce dernier n’a pas donné suite aux deux propositions que le maire lui a faites. Monsieur le maire qualifie Monsieur MANIFEL de menteur. Madame LAMBERT dit que les clubs doivent s’entendre si les municipalités s’entendent. Monsieur le maire répond qu’il avait l’accord des communes de Romilly sur Andelle et d’Alizay. Monsieur le maire a vu Guillaume BORDEAUX et l’entraineur. Ils ont fait réaliser des devis. Le dernier match doit avoir lieu le 19 mai prochain. Il faut prévoir un forage pour pouvoir arroser le terrain (15 750.00 €), l’achat d’un arroseur (5 000.00 €), la réfection du terrain (43 000.00 €) et il faut agrandir le terrain. Le coût global de l’opération serait d’environ 80 000 € HT.

→ Agenda Ad’AP (Agenda d’Accessibilité Programmée) : Monsieur le maire est passé avec Yves BIRBAUM dans tous les bâtiments pour prendre des photos de tout ce qui a été fait pour être en conformité avec les normes PMR (Personnes à Mobilité Réduite). Madame LAMBERT demande de quel délai nous disposons pour réaliser cet « Agenda ». Monsieur le maire répond que nous avons un délai de 3 à 6 ans depuis le 1er janvier 2015.

→ Monsieur le maire signale que la présentation du PPRI (Plan de Prévention du Risque Inondation) de l’Andelle aura lieu le 18 mars prochain en présence de la DDTM (Direction Départementale des Territoires et de la Mer).

→ Madame Nadège LEVEE signale que des « encombrants » sont souvent déposés au niveau des Hautes Loges. Monsieur le maire répond que c’est dû à l’incivilité de certaines personnes. Elle demande s’il y a du nouveau sur le devenir de l’ancien site « BONA SABLA ». Monsieur le maire répond que 15,7 hectares pourraient intéresser l’Agglomération Seine-Eure

→ Madame Florence LAMBERT regrette que le site internet de la commune ne diffuse pas plus d’informations à destination des habitants comme par exemple des informations de la CASE ou l’exposition « vive les femmes ». Elle signale aussi que le nom du directeur de l’école n’a pas été changé sur le site.

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Elle demande si le cahier de doléances a été envoyé à la Préfecture. Monsieur le maire répond qu’il a été déposé a Evreux par le policier municipal. Madame LAMBERT indique qu’une réunion sur la transition énergétique a eu lieu à l’Espace des deux rives et que c’était intéressant. Elle demande pourquoi nous n’avons pas fait appel au personnel de la piscine mis à disposition pendant les travaux. Elle demande également qui s’est chargé de l’achat du petit matériel électro-ménager pour la nouvelle salle des associations. Monsieur le maire répond que c’est lui et que la SECOMILE procèdera au remboursement comme convenu. Elle signale que la commune de Romilly sur Andelle a vu sa délibération relative à l’installation des compteurs Linky approuvée et la requête d’Enedis devant le tribunal administratif de Rouen a été rejetée.

→ Monsieur Mickaël VIGOR signale que des déchets sont à ramasser devant le LIDL. Monsieur le maire précise que la zone artisanale est sous contrat privé pour l’entretien.

→ Monsieur Nicolas ROGER informe le conseil municipal qu’il a repris des études en plus de son travail et qu’il risque donc d’être absent quelquefois aux réunions du conseil municipal.

→ Monsieur Gianni LEFEBVRE félicite le personnel qui a participé aux travaux de rénovation de la salle des fêtes.

→ Madame Evelyne CLASTERE demande au maire pourquoi le bulletin et les petits agendas ne sont toujours pas distribués.

→ Monsieur Christophe PETIT signale que la dalle au sol de la salle des fêtes est coulée.

PAROLE AU PUBLIC

● Monsieur DESMAREST demande ce qui est prévu pour lutter contre les nuisances occasionnées par les lapins sur le terrain de football. Monsieur le maire répond qu’il n’y a pas de solution pérenne.

● Monsieur DECROOCQ rejoint Mme LEVEE sur les incivilités de certaines personnes qui jettent des détritus n’importe où.

Fin de la séance à 23 h 37.

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