présente

une comédie co-écrite et réalisée par SCOTT SANDERS avec MICHAEL JAI WHITE

Festival de Deauville 2009 Festival de Sundance 2009 Festival de Tribeca 2009

États-Unis - 2009 - VOSTF - 1h30 -1.85 - Dolby SRD - adaptation : Boris Bergman & Henri Béhar

SORTIE NATIONALE LE 13 JANVIER 2010 www.blackdynamite.fr

Dossier de presse et photos téléchargeables sur www.prettypictures.fr présente

une comédie co-écrite et réalisée par SCOTT SANDERS avec MICHAEL JAI WHITE

Festival de Deauville 2009 Festival de Sundance 2009 Festival de Tribeca 2009

États-Unis - 2009 - VOSTF - 1h30 -1.85 - Dolby SRD - adaptation : Boris Bergman & Henri Béhar

SORTIE NATIONALE LE 13 JANVIER 2010 www.blackdynamite.fr

DISTRIBUTION RELATIONS PRESSE Pretty Pictures Pascal Launay 100, rue de la Folie Méricourt 5, boulevard Lefebvre Dossier de presse et photos 75011 Paris téléchargeables sur www.prettypictures.fr 75015 Paris Tel : 01 43 14 10 00 Tél. : 01 42 73 00 33 Fax : 01 43 14 10 01 [email protected] [email protected] www.prettypictures.fr est le type le plus redoutable et le plus cool de toute la ville. Cet ancien commando de la CIA règne sur les rues, un 44 Magnum dans une main et un nunchaku dans l'autre. Avec sa pratique du kung-fu qui n’appartient qu’à lui, il fait régner la peur chez les gogos et les crétins et cela, des deux côtés de la loi. Fier de sa couleur, Black Dynamite est aussi le chéri des dames avec son style trop classe.

Lorsque Jimmy, son frère, est mystérieusement assassiné, la CIA demande à Black Dynamite de reprendre du service. En remontant la piste d'une douille trouvée sur les lieux du crime, Black Dynamite se retrouve au milieu d’un vaste complot destiné à affaiblir l’Homme Noir : de la drogue est distribuée dans les orphelinats de la région et le ghetto est inondé de bière frelatée.

Avec l’aide de la belle et militante Gloria, Black Dynamite décide alors d’éradiquer définitivement les auteurs de cet affreux complot… Q: Quelle est la genèse de ce projet et comment est né Black Dynamite ? J’ai contacté Michael Jai White au sujet d’un autre scénario que j’ai écrit. Pendant qu’on parlait de ça, il m’a montré des photos de lui en tenue des années 70, avec perruque afro, moustache, revolver et nunchaku... On a gardé cette photo comme logo aujourd’hui. À ce moment-là, il semblait évident que c’était le film à faire le plus vite possible. On a travaillé ensemble, avec mon ami le monteur , pour monter un film-annonce de promo. Sur la base de ce film-annonce, on a séduit Jon Steingart, un ami qui est aussi l’un des producteurs de Comme un voleur. Il a levé les fonds et Black Dynamite a vu le jour.

Q: Où le film a-t-il été tourné et combien de temps a duré le tournage ? Le film a été entièrement tourné à Los Angeles. Le tournage a duré 20 jours. On a eu 2 ou 3 jours de fond vert et une journée où on a refait des prises.

Q: Qui ou quelles sont vos influences en matière de réalisation et pour ce film en particulier ? Je suis complètement fan des frères Coen et de Stanley Kubrick. Je voulais faire une satire pince-sans-rire, un genre qui existe pour des films plus comiques, plutôt qu’une parodie bien lourde qu’on voit dans pas mal de comédies aujourd’hui. Q: Pouvez-vous parler du style visuel du film ? Je voulais que le film ait l’air vieux, mais qu’il ait aussi le côté “d’origine“ d’un vieux film. Ce qui signifie pas de fausses rayures ou de détériorations numériques. Shawn Maurer, mon directeur de la photo, a testé une pellicule Super 16 Color Reversal Kodak et j’ai été épaté. C’était très contrasté et super saturé, ça donnait un côté très brut et ancien. L’inconvénient, c’est qu’il n’y a aucune latitude en termes de sous-exposition ou surexposition. Ça ne pardonne pas et les gens tournent rarement avec ça. Mais les résultats sont formidables et je dis bravo à Shawn qui a réussi à s’en sortir brillamment.

Q: Comment la distribution s’est-elle faite ? Michael Jai White est ami avec la plupart des acteurs. On est donc partis de là et mon fidèle directeur de casting, Rick Montgomery, a très bien su compléter la distribution.

Q: Qu’aimeriez-vous que les gens retiennent du film ? J’espère que les gens le trouveront drôle avant tout. On a vraiment essayé de faire attention aux détails. J’espère donc que ceux qui ont aimé les films de «» sauront apprécier certaines références. On voulait faire un film pur, brut, divertissant, sans autre véritable ambition que ça.

Q: En tant que réalisateur, comment s’est passée votre nouvelle collaboration avec Michael Jai White (étant donné que Michael jouait aussi dans Comme un voleur) ? Disons que je n’ai pas encore fait de film sans Michael Jai White, alors je n’ai pas de points de comparaison. Mike et moi, on s’entend très bien sur le plan de la création et on a l’intention de travailler ensemble sur de nombreux projets dans un avenir proche. Je suis sûr qu’un jour je ferai un film sans lui et que ça me paraîtra bizarre. Q: Michael et vous avez également travaillé ensemble sur le scénario (avec Byron Minns). Comment s’est passé le travail sur le scénario et comment ça a commencé ? On a travaillé indépendamment pendant un moment. J’écrivais un scénario et Mike et Byron travaillaient sur un autre scénario. Vers la page 60, on s’est aperçu que mon scénario était sur la mauvaise voie et on s’est concentrés sur celui sur lequel ils travaillaient. J’ai pas mal contribué à la phase de réécriture, mais ce sont Mike et Byron qui ont trouvé le ton et je crois que c’est ce qui a tout changé.

Q: Le travail artistique sur ce film fait partie intégrante de l’expérience qu’on vit en regardant le film : costumes, musique, etc. Pourriez-vous commenter cet aspect et me dire quelles sont vos facettes préférées dans ce film ? On a eu beaucoup de chance de travailler avec des gens formidables sur ce film. Ruth Carter - nommée deux fois aux Oscars-, la décoratrice Denise Pizzini, le superviseur musical David Hollander, entre autres. Au niveau du budget, c’était extrêmement difficile d’y arriver, mais ils y sont parvenus. La scène où Black Dynamite entre dans le bordel illustre très bien tout ça. C’est à ce moment-là que tout s’est mis en place et je trouve vraiment qu’on a su cerner cette époque.

Q: Quelle est votre scène préférée du film, ainsi que votre réplique préférée ? La dernière scène est celle que je préfère parce que c’est un film difficile à terminer. Je trouve que la fin fonctionne et ça me fait plaisir. Ma réplique préférée, c’est quand Bullhorn parle de gaufres et déclare : “Ces saloperies bien grasses fondent dans la bouche.” C’est un pur hasard et c’est sans doute pour ça que j’aime cette réplique. Le blaxploitation est un courant culturel et social propre au cinéma américain des années 70. Ce cinéma a revalorisé l’image des afro-américains en les présentant dans des rôles dignes et de premier plan et non plus seulement dans des rôles secondaires et de faire- valoir. Pour mémoire, des années 30 aux années 50, Hollywood cantonnait les noirs dans des rôles de musiciens, de danseurs de cabaret, de serveurs, de bandits ou d’esclaves…

Ces films n’engageaient que des noirs et ne s’adressaient qu’à cette même communauté, sur des thèmes qui leur tenaient à cœur et en utilisant tous les stéréotypes possibles. Tous les genres cinématographiques à la mode durant les années 70 ont été mis à la sauce blaxploitation. Que ce soit les films policiers (trilogie des Shaft) ou les enquêtes par des détectives privés (Coffy), le cinéma d’horreur (Blacula, le vampire noir, Abby), les arts martiaux (Black Belt Jones), le péplum (The Arena), le western (Boss Nigger), l’espionnage (Cleopatra Jones), le film politique engagé (The Spook Who Sat By The Door).

Ces films étaient très appréciés par la communauté noire car ils montrent ses acteurs dans des situations d’hommes fiers et libres de leurs choix de vie. Le premier film, qui date de 1971, estSweet Sweetback’s Baadasss Song, réalisé par Melvin Van Peebles. Ce film “100% Noir“ rapportera 4 millions de dollars, un chiffre remarquable pour une production indépendante. La même année sort Shaft, Les nuits rouges de Harlem qui connaîtra un succès planétaire grâce en partie à la musique originale du film d’Isaac Hayes. Chaque film était l’occasion de fournir une bande originale de grande qualité. Tous les grands musiciens noirsde l’époque ayant participé à ce mouvement. Citons : James Brown (Black Caesar), Curtis Mayfield Superfly( , Short Eyes), Isaac Hayes (Truck Turner, Three Tough Guys), Johnny Pate (Brothers On The Run, Bucktown), Marvin Gaye (Trouble Man), Norman Whitfield (Car Wash), Edwin Starr (Hell up in Harlem), Willie Hutch (The Mack), Herbie Hancock (The Spook Who Sat By The Door) ou Barry White (Together Brothers)... Deux acteurs de blaxploitation sont particulièrement à retenir : Pam Grier (Foxy Brown) et Jim Kelly (Opération dragon).

Si le blaxploitation tomba en désuétude à la fin des années 70, ce cinéma connaît aujourd’hui un regain d’intérêt grâce au gangsta rap ou à des films comme Jackie Brown de Quentin Tarentino. MICHAEL JAI WHITE (Black Dynamite) Michael Jai White s’est fait connaître en jouant pour HBO dans Tyson, où il incarne “Iron” Mike. Par la suite, il a joué dans le film à succès qui a rapporté 54 millions de dollars. Récemment, Michael a joué dans le film Why did I Get Married ? de et The Dark Knight de Christopher Nolan. Michael est champion d’arts martiaux et détient 7 ceintures noires dans différentes disciplines. Il est l’un des co-scénaristes de Black Dynamite.

ARSENIO HALL (Tasty Freeze) En 1979, il quitte l’Ohio pour Chicago où il s’essaie au one man show. Il y sera découvert par la chanteuse de jazz Nancy Wilson. Les années suivantes, Hall fait des tournées et se produit en première partie d’une vingtaine de grandes vedettes comme Patti LaBelle, Aretha Franklin, Tina Turner et Stevie Wonder. Peu après, Arsenio essaie de diversifier sa carrière par de nombreuses apparitions dans des émissions télévisées comme “Solid Gold“ et “The Tonight Show with Johnny Carson“, puis en 1989 dans son propre programme, “The Arsenio Hall Show “. On a pu le voir au cinéma dans Amazon Women on the Moon de John Landis et il a participé au film d’animation Igor.

SALLI RICHARDSON-WHITFIELD (Gloria) On a pu la voir au cinéma dans les films suivants :Je suis une légende, Antwone Fisher, Anacondas : à la poursuite de l’orchidée de sang, Posse (La Revanche de Jesse Lee), Low Down Dirty Shame, Biker Boyz et Pastor Brown réalisé par Rockmond Dunbar. TOMMY DAVIDSON (Cream Corn) Acteur, comédien de one-man-show, musicien et chanteur, Tommy Davidson a bien des cordes à son arc, ce qui fait de lui une vedette dans le monde du divertissement. Reconnu pour son travail d’imitateur dans l’émission de variétés “In Living Color“, Davidson a profité de ce succès télévisé pour se lancer dans une carrière cinématographique. Il a ainsi joué dans Bamboozled de Spike Lee et il a été très apprécié dans le rôle de Womack/Sleep ‘n Eat, un personnage qui lui a permis de prouver ses capacités comiques et dramatiques. Davidson a également joué dans Juwanna Mann et la comédie romantique Woo. Enfin, il a fait une apparition remarquée face à Halle Berry dans Strictly Business et il était également à l’affiche de Ace Ventura en Afrique.

JOHN SALLEY (Kotex) John Salley, qui a passé 15 ans à la NBA, est le premier joueur de la NBA à avoir remporté 4 championnats avec 3 équipes différentes. Pendant les années 80, Salley est un des “Bad Boys“ des Detroit Pistons. Il joue ensuite à Chicago avec Michael Jordan dans l’équipe des Bulls lors du championnat de 1996. En 1999, Phil Jackson invite Salley à venir à Los Angeles pour apporter son expérience et diriger l’équipe des Lakers en 1999 et 2000. Lorsqu’il se retire de la NBA en 2000, Salley tourne plusieurs films : Flics de choc et plus récemment, Confessions d’une accro du shopping. John Salley dirige aussi sa propre société de production : “Black Folk Entertainment“. Grâce à son incroyable capacité à dénicher des projets originaux et intéressants, il compte faire voir le jour à de nombreux films et téléfilms.

SCOTT SANDERS (Co-Scénariste/Réalisateur) Il réalise son premier film en 1999, Comme un voleur, avec Alec Baldwin, Michael Jai White et Andre Braugher. Scott Sanders est aussi un des plus célèbres DJ de Los Angeles, il travaille alors sous le nom de Suckapunch.

BYRON MINNS (Co-Scénariste/Acteur) Au cinéma, Byron Minns a été à l’affiche de Forrest Gump, Trespass et South Central.

ARS NOVA (Société de Production) Ars Nova est une société de production basée à New York dont le but est de proposer des divertissements originaux sur scène comme à l’écran. Ars Nova travaille avec les meilleurs espoirs d’aujourd’hui pour créer des programmes de qualité pour le théâtre (“Broadway and Off Broadway“), la télévision et le cinéma. Black Dynamite est le premier long-métrage d’Ars Nova. DAVID CHOE (Designer) David Choe est un des artistes les plus éclectiques et les plus productifs de notre époque. Les œuvres de Choe, photos et textes, sont présentées dans Giant Robot et Vice Magazine, entre autres. Parmi son impressionnante liste de clients on trouve Marvel Comics, Levi’s, IBM et Nike. Choe a publié à compte d’auteur trois albums-journaux-nouvelles qui ont été récompensés et sont aujourd’hui épuisés. Les œuvres de David Choe sont exposées dans des galeries de plusieurs pays. C’est aussi un des plus jeunes artistes à avoir eu sa propre rétrospective au MOCA. Récemment, Choe a travaillé avec Upper Playground pour créer une série de lithographies de Barack Obama en édition limitée.

RUTH CARTER (Costumes) Ruth Carter a été nommée à deux reprises aux oscars pour son travail sur Malcolm X de Spike Lee et Amistad de Steven Spielberg. Au palmarès de Ruth Carter on trouve : Do The Right Thing, Mo’ Better Blues, Tina, Shaft, École paternelle et Appelez-moi Dave. Ruth a collaboré avec de nombreux réalisateurs de Hollywood, comme John Singleton pour les films Quatre frères et Baby Boy, ainsi que Joss Whedon sur Serenity. Ruth travaille aussi depuis longtemps avec Spike Lee, elle a collaboré avec lui sur dix de ses films. Mais sa passion pour la création de costumes a commencé au théâtre. Elle a un diplôme d’arts du théâtre de l’université de Hampton. Ruth Carter mène depuis 20 ans une carrière dans les costumes pour le cinéma, la télévision, la publicité et le théâtre. Récemment, Ruth a créé des costumes pour Eddie Murphy dans Nowhereland et pour Ashton Kutcher dans Toy Boy. Elle travaille actuellement sur plusieurs films, dont un avec Don Cheadle sur la vie de Miles Davis, L.A. Riots de Spike Lee, mais aussi Frankie and Alice avec Halle Berry. Son travail sur Black Dynamite participe pleinement à la réussite de la reconstitution des années 70 de ce film. un film réalisé par SCOTT SANDERS d’après une idée originale de MICHAEL JAI WHITE & BYRON MINNS scénario MICHAEL JAI WHITE, BYRON MINNS & SCOTT SANDERS produit par JON STEINGART, JENNY WIENER STEINGART producteurs exécutifs HARBOR ENTERTAINMENT DEANNA & JAMES BERKELEY co-producteurs JILLIAN APFELBAUM ALISON ENGEL co-producteurs STEVEN FUNK, SETH HARRISON, MATT RICHARDS, JENNA & PAUL SEGAL producteur associé chargée de production INTESAR HAIDER CHARLA DRIVER directeur de la photo décors SHAWN MAURER DENISE PIZZINI costumes montage RUTH CARTER ADRIAN YOUNGE bande originale ADRIAN YOUNGE Black Dynamite MICHAEL JAY WHITE Cream Corn TOMMY DAVIDSON Gloria SALLI RICHARSON-WHITFIELD Kotex JOHN SALLEY Tasty Freeze ARSENIO HALL Dr. Wu ROGER YUAN Richard Nixon JAMES McMANUS Député Monroe James TUCKER SMALLWOOD Saheed PHIL MORRIS Rafelli MIKE STARR Honey Bee KYM WHITLEY Dino RICHARD EDSON O’Leary KEVIN CHAPMAN Chicago Wind MYKELTI WILLIAMSON Bullhorn BYRON MINNS Back Hand Jack Chocolate Giddy Up CEDRIC YARBROUGH PRETTY PICTURES 100, rue de la Folie Méricourt 75011 Paris Tél : 01 43 14 10 00 - Fax : 01 43 14 10 01 www.prettypictures.fr - [email protected]