PRESS BOOK Crédits photographiques : Polina Schapova (polka.photos.com) Crédits photographiques

“True coherence, woven by listening and dialoguing with another fruitfully and creatively” M&C LE SON DU MONDE (France)

“They played their last notes over the sounds of thunderous applause” ALL HUFFINGTON POST (Morocco)

“This is truly music without borders” EL PAÍS ()

www.gabachomaroc.com In only 5 years of existence, Gabacho Maroc has already performed on the podiums of over 200 festivals in , , South America, and Asia. Critics are never short of praise to describe the group’s highly original style, perhaps best summarized in the words of Patrick Duval, the Director of Hauts de Garonne Festival: “Dialogue among Western, African and Oriental instruments has rarely been engaged so beautifully. Borrowing from world music, jazz, and traditional Gnawa music, their repertoire is variegated, festive and refined. This project, with endless horizons, helps to revive the concept of ‘fusion.” Gabacho Maroc’s first album,Bissara (Label Oued, 2014) earned the group a nomination for the African Music Awards in 2015. The single “Moussaoui” rapidly attained 50,000 views on YouTube, and was selected by the UK label World Music Network for its Rough Guide CD compilation, The Best Arabic Music You’ve Never Heard. In January 2018, the group released its second album, Tawassol (which means “connection” in Arabic), on the 10h10 label (Cristal Groupe, distributed by Sony). Guest appearances are not lacking. The album features collaborations with Pascuala Ilabaca (Chile), Jean-Philippe Rykiel (France), Michel Ducau (from the Basque Country), and Ermanno Panta (Italy). Unanimously hailed by the French press (Télérama, M&C Le Son du Monde, Batteur Magazine, and radio stations Europe 1, France Inter, FIP, RFI), the album Tawassol has likewise garnered praise from critics all over Europe as well as overseas. The Transglobal World Music Chart singled out Tawassol as Best World Music Album for March 2018. Gabacho Maroc’s unique blend of genres results in a breathtaking panorama of sound.

HAMID MOUMEN lead vocals / guembri AZIZ FAYET oud / percussions / lead vocals FREDERIC FAURE n’goni / percussions / back vocals ILLYES FERFERA alto sax / back vocals PIERRE CHERBERO keyboards / back vocals ERIC OXANDABURU bass / back vocals VINCENT THOMAS drums DISCOGRAPHY

Tawassol Bissara 10h10 - Sony Music Entertainment (2018) Label Oued (2014)

COMPILATIONS

Lyssna Ljudspâr #1 The Rough Guide To The Best Lira (2018) Arabic Music You’ve Never Heard World Music Network (2015)

TRANSGLOBAL WORLD MUSIC CHART Tawassol classé Nº1, nº1, best album (March 2018) ALL AFRICA MUSIC AWARDS Gabacho Maroc nominated “Best African Jazz Band” (2015) VIDEO CLIPS

BOUDERBALA (Tawassol 2018)

MOUSSAOUI (Bissara 2014)

EPK TAWASSOL LIVE VIDEOS

STUDIO DE L’ERMITAGE (Paris - 2017) LIVE IN PUEBLA (Mexico - 2016) LIVE IN TALAVERA JAZZ FEST (Spain - 2016) GNAOUA LIVE (Spain - 2014) IN CONSTRUCTION CONTACT

MANAGEMENT / BOOKING (France, Spain, Morocco, South America) Vincent Thomas +33 650 374 326 [email protected]

BOOKING (France - PACA and Languedoc Roussillon Regions) L’Hacienda Musik +33 668 324 899 [email protected]

BOOKING (North America, Italy, Benelux, Scandinavia) Music4You +39 3312068969 [email protected]

www.gabachomaroc.com FRANCE TOUR 2013/2017

Scène Nationale du Sud Aquitain (Bayonne), Studio de l’Ermitage (Paris), Festival des Hauts de Garonne (Lormont), Festival 64/15 (Mourenx), L`Été à Pau, OARA (Bordeaux), Festival de la Musique des Cuivres (Le Monastier), Festival Sirocco (Perpignan), La Mamiselle (Saubrigues), Festival Hibernarock (Pierrefort), Festival Afriqu’à Muret (Toulouse), Festival “Jazz Naturel” (Orthez), La Coota (Erdeven), L’Etang Moderne (Rochefort en Terre), Le Malamok (Le Guilvinec), Fête de la Fraternité (Bergerac), Festival Village Sessions (Angoulême), Fête de la Musique (Bayonne), Festival Chemins de, l’Imaginaire (Terrason), Arènes de Roquefort, Festival Art Maniac (Sainte-Eula- lie-en-Born), Festival Campulsations (Bordeaux), Les Jeudis de l’Océan (Biarritz), Festival Août of Jazz (Capbreton), Festival Sam Africa (Samatan), Festival Atout Coeur (Benquet), Festival Bidasoa Folk (Hendaye), Festival “Pays du Sahel” (Bordeaux), Festival “Bulles d’Afrique” (Bordeaux), Festival de l’Image (St Valéry en Caux), Les Jeudis de Perpignan (France), Théâtre des variétés (Hendaye), Fêtes de Bayonne (France), Fête du 15 Août (Biarritz).

Jazz au Pôle Fest (February 2018, France)

CULTURE l MUSIQUE

Entre jazz, transe gnaoua, reggae ou musique ouest-africaine, le groupe franco-marocain-algérien enjambe les frontières culturelles et musicales. Avec ses textes humanistes, leur deuxième album fait danser autant que réfléchir. Propos recueillis par Astrid Krivian

GABACHO MAROC TAWASSOL Gabacho Maroc, Cristal AUX CHŒURS Records/Sony Music, sortie DES CONNEXIONS le 19 janvier.

“Tawassol” signifie “connexion”. Pour- les tempos. Nos seules limites : ne pas L’esprit de groupe s’exprime aussi avec quoi ce titre ? verser dans la facilité, le commercial, les chœurs, très présents. Hamid Moumen (chant, guembri) : sans pour autant tomber dans le tech - V. T. : C’est important de mettre en avant C’est un message pacifiste, livré dans ce nique, l’intellectuel, le compliqué. cette générosité. C’est aussi un clin d’œil monde assailli de conflits religieux, cultu- à la pop et aux puissants chants à l’unis- rels, ethniques… Nous sommes français, En plus de vos propres compositions, son de la musique marocaine. algériens, marocains, issus d’univers vous revisitez deux standards du ré - H. M. : Et cette énergie collective se INTERVIEW musicaux différents. On montre qu’on pertoire gnaoua. communique naturellement au public. peut vivre ensemble, partager au-delà des A. F. : Oui. L’idée, c’est d’être lié à la fois différences. à la musique traditionnelle et aux sono- Comme la bande-annonce de l’album, Aziz Fayet (oud, chant, percussions) : rités actuelles. Encore cette idée de le prélude est un joyeux chaos sonore. Cet album est une passerelle entre les connexion… A. F. : Oui, comme la place Jemaa el-Fna, bagages artistiques de chaque musicien, V. T. : On s’inspire des rythmes et des à Marrakech, une ambiance de souks, du sans être de la fusion. mélodies du répertoire traditionnel. C’est bruit… C’est une manière très hospitalière notre fil conducteur. Mais on ne se limite d’accueillir les gens dans notre univers. Comment se passe ce travail collectif ? pas au gnaoua. Au Maroc soufflent les Vincent Thomas (batteur, choriste) : vents du sud de l’Afrique subsaharienne, Vous tournez dans le monde entier. Tout le monde compose. On déploie et de l’Est arabe ou berbère... Comment votre musique est reçue ? remanie les créations de chacun pour ar- A. F. : Je suis surpris de voir partout les river à une beauté et une vérité com - La chanson “Bouderbala” évoque un gens danser. Il y a une fibre universelle munes. Nous avons passé des jours à célèbre personnage du folklore marocain, dans notre musique, avec beaucoup de retourner dans tous les sens le morceau “Dara” est un hymne à la paix, “Baraka” rythmes. Et le rythme est lié à la terre… Ce Baraka pour trouver son ultime struc- un chant revendicatif. Et “Desertum” qui se transmet aussi, c’est la joie et le plai- ture. Il ne suffit pas d’assembler des rompt avec l’énergie de ces morceaux très sir que nous avons de jouer ensemble ! instruments et des rythmes de cultures dynamiques. différentes pour que ça sonne ! Il faut V. T. : Desertum est une oasis. Comme un vraiment mixer, remixer, s’imprégner, lac où se poser au cœur de l’album. De sa EN CONCERT le 8 février, à Mont-de-Marsan apprivoiser les musiques… Nous souhai- belle voix aiguë, la chanteuse chilienne (Landes), le 10 février, à Hendaye (Pyrénées- tions un disque énergique que l’on peut Pascuala Ilabaca interprète avec nostalgie Atlantiques) ; le 15 février à Issoudun (Indre).

facilement jouer sur scène en poussant ce texte méditatif sur le désert. Toutes les dates : gabachomaroc.com Photos Polka

74 LE COURRIER DE L’ATLAS NUMÉRO 122 FÉVRIER 2018

SUD OUEST Mercredi 8 mars 2017 Sortir

AUJOURD’HUI

Animation ANGLET Fêtes locales. Après-midi pour les enfants, « Le Palais mystérieux, de Lédouard et Tatillon », goûter, démonstration de judo. À partir de 14 h 30. À l’espace de l’Océan. Gabacho Maroc Mardi gras. De 14 h 30 jusqu’à 17 h 30. À la patinoire.

Animation jeunesse HENDAYE Les petits lus. Lecture pour les enfants de 3 ans et plus, sur le thème « La Tête dans les nuages » Jusqu’à 16 h 30. À la médiathèque. fait son show Bric-à-brac / Brocante BOUCAU Le CAMBO-LES-BAINS Marché à la brocante. De 9 h jusqu’à 19 h. groupe présentera Au parc Saint-Joseph. son nouvel album, Concert BIARRITZ samedi, sur la Vald. Rap. À partir de 20 h. Atabal, 37, allée du Moura. Tarifs : de 19 à 22 €, sur place 25 €. scène de L’Apollo Contact : Atabal. Internet : http://www. atabal-biarritz.fr. Tél. 05 59 41 73 20. e samedi 11 mars, la Scène na- tionale du Sud Aquitain pro- Conférence Cpose un concert avec le ANGLET groupe Gabacho Maroc, sur la « Petite Histoire des échasses scène de L’Apollo. Gabacho Maroc landaises ». Animée par jean-Jacques est le fruit de la rencontre de huit Taillentou, président de la société de Borda musiciens français, marocains et al- à Dax. À partir de 18 h 30. Entrée libre. gériens, unis pour offrir une musi- Aux écuries de Baroja, 19, rue des Quatre- que colorée, festive et raffinée. Cantons. Entre 2010 et 2012, Vincent Tho- mas, batteur et fondateur du Spectacle groupe, a effectué plusieurs voya- HENDAYE ges au Maroc et a découvert la mu- « Les Mauvaises Graines ». À l’occasion sique chaâbi, le gnaoua et la musi- de la Journée internationale des droits que berbère. Résidant entre la de la femme. Jusqu’à 20 h 30. À Mendi France et l’Espagne, ce musicien de Zolan, Sokoburu (Hendaye plage). la scène world jazz européenne a Le groupe Gabacho Maroc sera sur la scène de L’Apollo, samedi prochain. PHOTO DR décidé de monter une collabora- tion entre musiciens européens compositions, s’inspirent de l’héri- sont nommés aux Awards de la phone ténor, chœurs), Maxime DEMAIN – certains sont originaires du Pays tage gnaoua, de l’afro, de la tradi- musique africaine en 2015. Helle Forget (claviers), Éric Oxanda- basque – et africains. Le projet de- tion berbère et du jazz, dans une Avant un nouveau départ en buru (basse), Vincent Thomas (bat- Animations vient réalité en 2013. transcendance des frontières, des tournée, la formation présentera terie). ANGLET Les chants gnaoua, percussions, styles et des différences. en avant-première son nouvel al- Marie-Claude Ihuel Fêtes locales. Casse-croûte du marché, cuivres, oud, n’goni, guembri, cla- bum à Boucau, avec Hamid Mou- animé par les chanteurs Lous Pingorlats et vier, basse et batterie fusionnent et Une centaine de concerts men (chant, guembri), Aziz Fayet Concert samedi 11 mars, à 20 h 30, les Txistularis. Défilé des écoles et de Sent produisent une diversité de sono- Depuis, les Gabacho Maroc parcou- (oud, chant, percussions), Frédéric à L’Apollo, rue René-Duvert à Boucau. Pançard. De 8 h jusqu’à 11 h. À l’esplanade rités et d’horizons très larges. Me- rent le monde avec plus d’une cen- Faure (n’goni, chœurs, percus- Tarifs : 18 euros et tarif réduit sous Quintaou. nés par le chant et le guembri d’Ha- taine de concerts en Europe, Afri- sions), Charley Rose (saxophone al- conditions. Réservations au Théâtre SAINT-JEAN-DE-LUZ mid Moumen, ils métissent leurs que, Amérique du Sud ou Asie. Ils to, chœurs), Illyes Ferfera (saxo- de Bayonne. Ciné-débat. Organisé par le groupe de travail Observer, prévenir, agir (OPA), pour la Journée de la femme, avec le film « Women are heroes », réalisé par JR. À partir de 17 h. Tarif : 6 €. Concert Les illusions rêvées du Teatro delle Briciole ANGLET Rock. Avec le duo folk rock I is Somebody BIARRITZ La pièce « Pop up » est une sorte Else, Wendy Bacardatz le guitariste Julien de livre animé, mis sur scène pour le jeune public Suzarte, accompagné pour l’occasion de Juliette Boulier à la basse et de Claude La saison jeune public, mitonnée PRATIQUE Huet aux percussions. À partir de 20 h 30. par Biarritz Culture, se poursuit Aux écuries de Baroja, 19, rue des Quatre- cette semaine dans les écoles de la Cantons. Entrée libre. ville, jeudi et vendredi, mais aussi « Pop up », dès 3 ans, samedi au Colisée, samedi. 11 mars à 11 heures au Colisée. Conférences Le Teatro delle Briciole (Théâtre Tarifs : 8 et 12 euros. Billetterie BAYONNE de miette), qui vient de fêter ses sur biarritz-culture.com et à l’office Pacôme Thiellement. Écrivain et vidéaste. 30 ans, est inscrit au patrimoine du de tourisme. À partir de 18 h 30. Entrée libre. À l’école théâtre populaire italien. Ses spec- d’art, 3, avenue Jean-Darrigrand. tacles ont fait l’histoire du théâtre BIARRITZ pour enfants. Ils tournent partout en une petite balle apparaissent, dis- « I - Histoire du jazz ». Présentée par Europe. Ils ont une dimension poli- paraissent, entre fuite et attente. Jacques Deschamps, proposée par tique et historique, pour raconter Le papier, une source d’imagination pour la compagnie l’Université du temps libre de Biarritz. aux plus jeunes générations la rela- Illusions et pliages italienne. PHOTO DR À partir de 16 h 15. Maison des associations, tion entre l’individu et la collectivi- La succession d’illusions est nour- 2, rue Darrichon. Participation non té, dans les dictatures et les sociétés rie de pliages, de formes géométri- Deux actrices, qui sont aussi ani- trements de celles-ci avec leur pro- adhérent : 5 €. Contact : UTLB. démocratiques. ques, de couleurs et de sons qui se matrices, donnent vie et voix aux pre corps, sur le mouvement et l’il- E-mail : [email protected]. Avec « Pop up », la troupe réin- métamorphosent pour faire un protagonistes de papier, jouant sur lusion du mouvement, les jeux de Internet : http://www.utlbiarritz.fr vente le livre animé, sous forme dessin animé artisanal, genre de l’apparition des figures et des for- voix. Un beau tremplin vers le rêve. Tél. 05 59 41 29 82. théâtrale. Un enfant de papier et fossile à l’époque de la 3D. mes dans le temps, sur les enchevê- V. F. SUD OUEST Samedi 10 février 2018 24e Hendaye/Txingudi Une escale basque pour des musiciens du monde LE PIÉTON CONCERT Gabacho N’a pas vraiment le moral. Le froid, Maroc marie le jazz et le Bipède n’aime pas ça et, quand les rythmes gnaouas. il se décide à passer la porte de son foyer pour aller boire un café, il a du À découvrir ce soir mal à supporter les portes closes sur la scène de plusieurs établissements de la ville. Du coup, le Piéton aime encore de Mendi Zolan moins ce satané hiver. Il lui tarde déjà les beaux jours, l’animation, FABIEN JANS les tables en terrasse, la musique, [email protected] la légèreté. Pour lui, c’est en ces moments qu’Hendaye est la plus n a beau construire des belle. ponts par dizaines pour dé- Ocouvrir de nouvelles destina- tions musicales, il reste important AGENDA de savoir dans quelle terre puisent nos racines. L’une de celles du groupe Gaba- AUJOURD’HUI cho Maroc, qui se produit ce soir au Centre social Denentzat. De 9 h centre culturel Mendi Zolan (1), est à 12 h et de 14 h à 18 h, aux Joncaux. ancrée à Hendaye. Par le biais de son Tél. 05 59 20 37 63. batteur, Vincent Thomas, qui a passé son enfance au nord de la Bidassoa, Spi en tête. École de voile et de croi- avant de poursuivre ses études mu- sière habtable. Balade, croisière ou sicales au conservatoire supérieur formation du débutant à l’autonomie. de jazz de Saint-Sébastien. C’est là Quai de la Floride. Renseignements qu’avec quatre autres musiciens, il Gabacho Maroc en finit avec son «Tawassol Tour». PHOTO ARCHIVES CHRISTOPHE LE BIGOT au 06 62 82 34 74. monte un groupe qui lance ses pre- mières explorations autour du ré- une heureuse fusion, Gabacho Ma- largement à la hauteur de leur ambi- ouvre encore plus large ses influen- Bureau information jeunesse pertoire des compositeurs français, roconnection. Jazz et rythmes ma- tion. Sort un premier album mâti- ces. On y trouve une collaboration (BIJ). De 9 h 30 à 12 h 30, Henri Texier, Julien Lourau, etc. rocains s’aiment jusqu’au mariage. né de toutes ces influences. Et plus avec la chanteuse chilienne Pascua- 15, rue du Port. Tél. 05 59 20 41 41. Gabacho (sale français) Connec- Mais ce dernier de 150 concerts qui confirment la la Llabaca et avec le compositeur, ar- tion accouche d’un premier album ne résiste pas pertinence du chemin emprunté rangeur et pianiste Jean-Philippe Tennis Club. Rue Elissacilio, parc des et succombe à l’appel au voyage. Vin- « Ses concerts aux affres de entre transe orientale et la retenue Rykiel, qui a, notamment, travaillé sports Ondarraitz. Tél. 05 59 20 02 73. cent Thomas, dont la mère est née la mènent sur l’administra- des origines du jazz. avec quelques pointures telles Yous- au Maroc, y répond naturellement. tion. La de- La formation évolue, certains mu- sou N’Dour, Salif Keita. Centre nautique. École de voile toutes les scènes mande de visa siciens la quittant, d’autre venant la C’est cet opus que viendra notam- légère, de 9 h à 12 h et 14 h à 18 h, Un chemin tracé du monde, est refusée aux renforcer. Mais jamais ne varie son ment présenter le groupe lors d’un tous les jours. Tél. 05 40 39 85 43. Son cœur de percussionniste suc- en Afrique, Asie, musiciens ma- rôle d’exploratrice. Au sens propre concert que les frileux en recherche combe, lors de festivals de musique rocains et les du terme puisque ses concerts la d’un peu de chaleur au milieu de Club pleine forme. Dojo municipal. gnaoua, sous des rythmes que Amérique musiciens de mènent sur toutes les scènes du l’hiver, feraient bien de ne pas man- Tél. 05 59 20 39 06. même sa grande expertise ne lui per- du Sud... » Gabacho rejoi- monde, en Afrique, Asie, Amérique quer. met pas de connaître. Il apprend. Au gnent l’Espagne, du Sud et du Nord… Ainsi naît le Mendi Zolan. Espace culturel, de 10 h cours de ses pérégrinations, il tombe seuls. Seuls, mais avec un chemin tra- troisième album du groupe qui (1) Ce soir à 20 h 30, centre à 13 h et de 15 h à 19 h, du mardi sur un groupe avec qui, au culot, il cé. Le groupe trouve en Hamid Mou- adopte le nom de Gabacho Maroc. culturel Mendi Zolan (Sokoburu). au samedi, boulevard de la Mer lie connaissance pour fonder dans men et Aziz Fayet, deux supplétifs « Tawassol », qui signifie connexion, Tarifs : 12 euros, 5 euros. (Sokoburu). Tél. 05 59 48 30 49.

LES ÉCHOS DE LA BAIE UTILE

Le carnaval d’Hendaye de la République. Il sera suivi d’un AGENCE « SUD OUEST » goûter pour les enfants sous chapi- 28, boulevard Victor-Hugo, dans une semaine teau. Les parents pourront aussi se 64 500 Saint-Jean-de-Luz. ANIMATION Le carnaval d’Hen- restaurer des talos, frites et boissons daye aura lieu samedi 17 février. proposés par l’ikastola et Akelarre. Rédaction-publicité. Les enfants le préparent depuis À 20 heures débutera le concert Tél. 05 40 39 70 95. plusieurs jours déjà, puisque les donné par Inglorius Bask (jusqu’à Mail : [email protected] masques qu’ils ont fabriqués dans minuit). Ouvert du lundi au jeudi, de 9 h à 12 h leur école seront exposés à partir et de 14 h à 18 h ; le vendredi, de 9 h d’aujourd’hui, et jusqu’au 24 février, à 12 h et de 14 h à 16 h. à la médiathèque. La journée du Les enfants construiront 17 février, à laquelle il sera de bon Abonnements. Tél. 05 57 29 09 33. ton de participer sous un déguise- leurs propres ment, débutera à 11 heures par des maisons pop-up Distribution du journal à domicile danses basques et animations pro- (portage). Pour recevoir « Sud posées par les associations Akelarre HISTOIRE Le CPIE Littoral basque Ouest » à votre domicile tôt le matin, et Mutxiko Elkartea, quartier Soko- propose, du 12 au 13 février, à la sans supplément de prix, vous pouvez buru. L’après-midi, le traditionnel ferme Nekatoenea, un atelier desti- Le carnaval d’Hendaye est programmé pour le 17 février. appeler au numéro suivant : défilé, composé des cinq chars né aux enfants, qui prendra comme PHOTO ARCHIVES ÉDITH ANSELME 05 57 29 09 33. des bandas, Muthiko Alaiak, Goloka, point de départ l’exposition Basken- la Zarpai Banda et Patxarangchars, land présentée à Asporotsttipi cet flexion sur la situation d’un soldat nous protéger, il sera proposé aux Police municipale. partira à 16 heures depuis le fronton automne. Laquelle évoque les vesti- dans ces bâtiments sera engagée et enfants de créer l’abri qui corres- Tél. 05 59 48 23 23. Gaztelu Zahar. Le procès et la mise ges du passage des troupes alle- mènera le jeune public sur la notion pond à chacun et chacune. De au bûcher de San Pantzar auront mandes sur le domaine d’Abbadia, de refuge et d’abri. En prenant 8 à 12 ans. Renseignements Police de l’air et des frontières. lieu à partir de 18 heures, place notamment les blockhaus. Une ré- conscience de ce dont nous voulons et inscriptions au 05 59 74 16 18. Tél. 05 59 51 39 00.

LA BANDE PASSANTE Gabacho Maroconnection, le rythme et le chant du Maroc, la richesse et l'improvisation du jazz Par Alain Pilot Diffusion : vendredi 11 décembre 2015

Gabacho Maroconnection.

La session live avec Gabacho Maroconnection pour leur nouveau disque «Bissara ».

Gabacho Maroconnection, une formation haute en couleurs, basée en France et en Espagne, composée d’instruments traditionels marocains, percussions africaines et du Maghreb. Sur scène, ce sont sept musiciens français, marocains et espagnols, menés par le chant et le guembri du maâlem Hamid Moumen, métissant des compositions s’inspirant de l’héritage gnaoua, de l’afro, de la tradition berbère, du jazz, dans une transcendance des frontières, des styles, des différences. Ils viennent nous présenter leur nouvel album «Bissara», en session live.

EUROPE TOUR 2013-2017

Festival TFF (Rudolstadt, Germany), Festival Babel Sound (Balantonlelle, Hungary), Fiestas San Remo (San Remo, Italia) Festival de Jazz Roccella (Rocella, Italia), Festival Toucouleurs (Bordighera, Italia), Festival Etnosur (Jaén, España), Fiestas de Bilbao (Bilbao, España), Festival de las 3 Culturas (Murcia, España), Fiestas de Segovia (Segovia, España), Estival de Jazz (Igualada, España), Festival Musikaire (Elorrio, España), Festival Intercultural de Laredo (Laredo, España), Festival Berumuga (Bergara, España), Festival Poborina Folk (Teruel, España), Festival de Jazz de Sanlúcar (Cádiz, España), Noches en los Jardines del Real Alcázar (Sevilla, España), Festival de Jazz Ronda (Ronda, España), Festival Alamar (Almería, España), Festival de Teatro (Olite, España), Festival en Espejo de Soria (Soria, España), Festival de Jazz del Mosquito (Huelva, España), Ciclo Música Al Castell (Alicante, España), Festival de jazz de Vejer (Cádiz, España), Festival Polisonic (Gandía, España) Foro tres Med (Málaga, España), Estival (Cuenca, España), Festival la Mar de Músicas (Cartagena, España), Festival de Jazz (Talavera de la Reina, España), Fiestas (Areatza, España), Fundación 3 Culturas del Mediterranneo (Sevilla, España), Festival de Artes Escenicas (Graus, España), Teatro “La Casa de los Titeres” (Abysanda, España), Festival Mestizo (Rota, España), Festival “Festivalia” (Caceres, España), Concierto Solidario para Etiopía (Murcia, España) Ciclo Gertu (Basuari-Amorebieta-Leioa- Ermua, España), Café Berlin (Madrid, España), Teatro la Elipa (Madrid, España), Festival de jazz (Girona, España), Festival de jazz (Palencia, España), Festival de jazz Vermut (Barcelona, España), Festival de jazz de Baza (Granada, España), Festival de jazz (Salamanca, España), Festival de jazz (Tenerife, Islas Canarias), Festival de jazz (Gran Canaria, Islas Canarias), Festival de jazz “Jazzymas” (Huelva, España), Festival de jazz (Brozas, España), Festival de jazz (Cádiz, España), Festival de jazz de “Jazzaldia” (San Sebastián, España), Festival de jazz “Universijazz” (Valladolid, España), Festival de jazz de (Ezcaray, España), Noches en La Mayor de (San Fernando, España).

Etnosur Festival (July 2015, Spain)

AUSTRIA BELGIUM GERMANY GREECE ITALY

LUXEMBURG NETHERLANDS SLOVAKIA SPAIN Impreso por Ignacio Esteban Villamarín. Prohibida su reproducción.

����� OBRA MAESTRA ���� MUY BUENO ��� BUENO �� REGULAR � MALO � MUY MALO

VARIOS ARTISTAS SHABAZZ PALACES WOLVES IN THE THRONE ROOM SONG READER LESE MAJESTY CELESTITE UNIVERSAL ���� SUB POP/POPSTOCK! ������ ARTEMISIA RECORDS ������� En 2012, el siem- Black Up (2011) De la última hor- pre inquieto fue el primer dis- nada de bandas Beck Hansen pu- co de rap publica- que han revitaliza- blicó un disco de do en Sub Pop, do el black-metal canciones en for- hasta entonces en Estados Uni- ma de partituras. patria espiritual dos (Liturgy, Kra- Ahora, una vein- del grunge, pero llice), WITTR tena de artistas el impacto de siempre han sido eclécticos a más no poder –desde Fun Shabazz Palaces tuvo un significado aún los menos ortodoxos. En cada disco (éste a Norah Jones, pasando por Jarvis más amplio: fue la reactivación de la es el quinto), los hermanos Weaver han ido Cocker, Jeff Tweedy, Marc Ribot, Jack rama experimental y psicodélica del hip desmontado su arquitectura sonora. La White, Juanes (!) y el propio Beck– rea- hop tras años de letargo. Ishmael Butler suya es una evolución parecida a la de los lizan sus propias versiones de los temas. había estado en Digable Planets, mítica franceses Alcest: la violencia ha dado paso Como es habitual en este tipo de proyec- banda del rap hippy de los años 90, pero a una melancolía febril como de cuento de tos colectivos, los resultados son dispa- en su nueva encarnación persigue ser un Poe y las voces gritonas han quedado aca- res, aunque predomina un aroma a rock cosmonauta en pos de sonidos abstrac- lladas por una atmósfera meditativa y fan- de raíz americana con algún brochazo de tos e influencias de otros planetas. Lese tasmal. El dúo de Olympia (Washington) producción contemporánea. Los artistas Majesty, su segundo álbum apoyado por no ha perdido completamente sus coorde- tratan de llevarse las melodías a su terre- el productor Tendai Maraire, se despe- nadas –a la producción sigue Randall no (Sparks y Loudon Wainwright III son ga del suelo firme más aún que su prede- Dunn, colaborador de otros pirados del dos de los que más y mejor lo consi- cesor: los beats suenan líquidos, sus fra- drone y la oscuridad como Sunn O))) y guen), aunque no hubiera sido descabe- ses son literatura de ciencia ficción vo- Earth–, pero su sonido hoy es más post- llado pedir un poco más de atrevimien- latilizada, está ordenado como una nove- rock que metal, más Sigur Rós que Bur- to. Con un reparto plagado de nombres la –siete bloques y 18 capítulos–, y cada zum. Sintetizadores, guitarras ondulantes de tanto empaque, el nivel siempre es pieza es un reto a la imaginación, un en- y flautas guían este trabajo interesante, notable, pero raramente las adaptacio- cuentro con lo desconocido. Vanguardia pero que no llega al gran nivel que tenía Ce- nes llegan a lo sublime. NACHO RUIZ urbana de primera. JAVIER BLÁNQUEZ lestial Lineage (2011). JOSÉ FAJARDO

DAN SARTAIN REIGNING SOUND GABACHO MAROCONNECTION DUDESBLOOD SHATTERED BISSARA ONE LITTLE INDIAN/POPSTOCK! ���� MERGE/POPSTOCK! ����� LABEL OUED ������� ¿Se puede ser Así son las cosas: Estos chicos vie- punk y utilizar mientras reviva- nen dando que las marimbas listas como Jack hablar desde hace como elemento White o The Black tiempo, como uno percusivo? Sí: Keys revientan de los mejores Pass This On. pabellones, tipos ecos sonoros que Dan Sartain, como Greg Cart- descubre la Or- francotirador al wright ven cómo chestre National que cabe emparentar con un Hank Wi- su gran momento no llega jamás. Cues- de Barbès. Gabacho Maroconection está lliams III en lo que a deconstructor de tión de (mala) suerte, no de falta de talen- integrado por un quinteto franco-español parafernalia tradicionalista, country en to, que de eso anda sobrado el exlíder de y un trío de músicos marroquíes, unidos ambos casos, se refiere, para acercarla The Compulsive Gamblers y The Obli- en torno a una apuesta multicultural en a parámetros colindantes al punk y el vians, dos hitos del garage punkoide de la que el jazz o la música gnawa y bereber metal, puede presumir de discografía la década de los 90. Cinco años después reclaman el mayor de los protagonismos, atípica por poco ortodoxa, pero a la que de Love & Curses (2009), en su sexto dis- pero en cuyas partituras también caben no cabe poner objeción ninguna en co al frente de Reigning Sound (quizá sonoridades eléctricas, africanas, latinas, cuanto que revigorizante de ánimas en el más negro de su carrera, con bien de flamencas… El viaje transfronterizo que pena. El de Alabama se marca noveno órganos incandescentes), el músico de proponen resulta, pues, una marcha a la disco cuyo ADN macarra (ahí están Du- Memphis sigue ofreciendo de todo y todo cultura más bastarda, con pasajes enér- desblood, que abre a ritmo tecno-punk bueno: rhythm&blues calenturiento gicos como Sonríe Ana o Le Minotaure, a la Suicide o un Smash The Tesco que (North Cackalacky Girl), baladones coun- baladas hermosas como Lamma Bada y hará las delicias de los hardcoretas que try (If You Gotta Leave), pop sixties à la temas redondos como Camel. La sono- tengan a Circle Jerks en un altar) no des- Zombies (Never Coming Home), psicode- ridad del colectivo se impone a cualquier deña otros palos estilísticos (rock&roll lia garagera (You Did Wrong), arrebatos individualidad, aunque es inevitable des- en Pass This On, psychobilly en Rawhi- vanmorrisonescos (My My) y soul mojabra- tacar las aportaciones de los cantantes de Moon). ¿Conduce todo ello a un reper- gas (como en la tremenda In My Dreams). y virtuosos del guembri Hamid Mou- torio adictivo? También. KOLEGA Género de primera, oigan. IGOR LÓPEZ mem y Jawad Jadli. PABLO SANZ

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SWEDEN

SWITZERLAND UK EUROPE

INTERNATIONAL TOUR 2013-2017

Montréal Jazz Festival (Canada), Sunfest (Canada), Afrofest (Canada), Journées Musicales de Carthage (Tunisia), Festival Mawazine (Rabat), Festival Madjazz (Marrakech, Maroc), Festival du Livre (Tanger, Maroc), Les Nuits du Ramadan (Meknes, Kenitra, Marrakech, essaouira... Maroc), Forum de la Mer (El Jadida, Maroc), Institut Français de Tetouan (Maroc), Théâtre Mohamed VI (Oujda, Maroc), Visa for Music (Rabat, Maroc), Festival de Musiques du, Monde de Merzouga (Merzouga, Maroc), Festival Jazz au Chellah (Maroc), Institut Français d’Agadir (Maroc), Institut Français d’Essaouira (Maroc), Institut Français de Sa (Maroc), Institut Culturel Français (El Jadida, Maroc), Teatro Gran Colombia (Ibarra, Colombia), Université des Andes (Bogotá, Colombia), Alliance Française (Armenia, Colombia), Alliance Française (Pereira, Colombia), Universidad de las Artes (Guayaquil, Ecuador), Alliance Française de Guayaquil (Ecuador),Teatro Capitol (Quito, Ecuador) ,Alliance Française de Quito (Ecuador), Théâtre Sucre - Alliance Française de Cuenca (Cuenta, Ecuador), Festival Cervantino (Guanajuato, México), Festival Cervantino (Mérida, México), Festival La Muerte es Sueño (Puebla, México),Teatro Estudio Cavaret (Guadalajara, México), Festival de la USACH (Santiago, Chile), Université Federico Santa María (Valparaiso, Chile), Jazz Corner (Santiago, Chile), Festival de Jazz de Calcutta (), Alliance Française de Chandigarh (India), Festival de Jazz de Bangalore (India), Festival de Jazz de Goa (India)

Montreal Jazz fest (July 2017, Canada) MOROCCO

TUNISIA EGYPT CANADA

USA

MusiciansMUSIC engage Morocco’s

‘African’ identity through Gnawa

MATTHEW JOSEPH GREENE by OCTOBER 1, 2015 MusiciansMUSIC engage Morocco’s ‘African’ identity through Gnawa by MATTHEW JOSEPH GREENE OCTOBER 1, 2015

The typical jazz festival in Morocco is characterized by a celebration of the Andalusian legacy of Morocco’s musical heritage, focusing on the sounds of Iberia’s Arab and Islamic Gabachopast. But Maroconnectionthere is another istype a Gnawaof music band important based toin Morocco’sEurope, who cultural opened heritage this year’s that Jazz au Chellah. Hamid,is often the overlooked band’s leader, at the has country’s an almost flagshipactivist vision music for festivals. the role Gnawaof Gnawa music in the is greaterthe spiritual Moroccan society. Hesongs says, and “Moroccans rhythms oftento emerge forget from that Morocco’sMorocco is informerly Africa… enslaved Gnawa is and a bridge whose south origins across are the in Sahara for MoroccansWest and Centralto rediscover Africa. their The African only roots.” cultural Hamid institution and other to focusGnawa on musicians showcasing celebrate this theculture advances is Gnawa has made in the Moroccan cultural realm in recent years, but insist there is still progress to be made in order to place Gnawa next to Morocco’s more recognized music traditions. “We need more help from the people at the responsible institutions. The festivals are good, but we need help in other areas to push the cultural politics forward,” he claims. The typical jazz festival in Morocco is characterized by a celebration of the Andalusian legacy of Morocco’s musical heritage, focusing on the sounds of Iberia’s Arab and Islamic This feeling of marginalization may in fact be the thing that brings Gnawa back to the core ofpast. Moroccan But there identity. is another type of music important to Morocco’s cultural heritage that It is a sentiment that resonates with many Moroccan youth, especially those living in Europe and the United is often overlooked at the country’s flagship music festivals. Gnawa music is the spiritual States, and who have encountered their own struggles with integration. Motifs such as displacement, hardship, and suffering that are intrinsic to Gnawa music are themes that many in the diaspora relate to and usesongs to help and construct rhythms to emerge from Morocco’s formerly enslaved and whose origins are in for themselves an identity and place in society. As Hamid explained, “Even if young North AfricansWest inand Europe Central like Africa. The only cultural institution to focus on showcasing this culture is hip hop, they feel Gnawa. It’s biological. It’s in their roots. They may not become crazy for Gnawa, but they see it as a part of them.”

Hamid knows, because he is the perfect case study. Originally from Essaouira, Hamid’s engagement with Gnawa abroad has called him back to his roots. And even with the success he has enjoyed touring Europe, he now thinks about returning to Morocco to live permanently. It may just be that while cultural institutions within Morocco take baby steps towards embracing Gnawa, it will be Moroccans overseas, and bands like Gabacho Maroconnection that will give Gnawa music and culture an extra push towards the center of Morocco’s cultural identity. MEXICO 03/11/2016 Gabacho Maroc “prende” a FIC con mezcla de música africana y jazz

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Gabacho Maroc “prende” a FIC con mezcla de música africana y jazz Las composiciones de Gabacho Maroc se inspiran en la herencia del gnawa, estilo musical de reminiscencias subsaharianas

Foto: Facebook / Gabacho Maroc

21/10/2016 |  15:14 | Notimex [ Guanajuato ]

La música del mundo llegó con fuerza al Festival Internacional Cervantino (FIC) a través del grupo Gabacho Maroc, que “prendió” con su mezcla de música marroquí y jazz al público asistente a la Explanada de la Alhóndiga de Granaditas.

Ante un foro casi lleno, el grupo fundado por el baterista francés Vincent Thomas brindó un concierto de música del norte de Marruecos con fusión de jazz y árabe, que hizo bailar a los asistentes en una noche un poco fría.

El grupo, integrado por Hamid Moumen, voz y guembri; Fred Faure, ngoni, percusión afro, voces; Illeyes Ferfera, saxofón tenor; Charley Rose, saxofón alto; Willy Muñoz, piano; Eric Oxandaburu, bajo, y Vincent Thomas, batería, inició la velada musical con su propuesta de fusión.

La voz de Moumen se escuchó para abrir el concierto, mientras su rostro fue proyectado en las dos pantallas gigantes colocadas cada una en los extremos del escenario; el efecto fue elevado con humo de hielo que llenó casi por completo el escenario de La Alhóndiga.

Los ritmos del norte de Marruecos fueron reproducidos en Guanajuato por los músicos procedentes de África y Europa, y gracias a las fusiones el público conoció de las sonoridades árabes, mezcladas con jazz, en un gozo indescriptible.

Poco a poco los músicos prendieron a los asistentes, quienes se levantaron de sus asientos para bailar y quitarse un poco el frío.

Los músicos incentivaron a los presentes al interpretar temas más rítmicos, que la gente ovacionó; igualmente, ejecutaron algunos solos con los que mostraron su virtuosismo sobre el escenario.

El vocalista Moumen, quien en algunas ocasiones agradeció en español estar en el FIC, y sobre todo en el gran escenario que es la Alhóndiga de Granaditas, encabezó otros temas que fueron recibidos con júbilo por el público asistente.

Las composiciones de Gabacho Maroc se inspiran en la herencia del gnawa, estilo musical de reminiscencias subsaharianas practicado por cofradías místicas musulmanas, la música africana, jazz, �amenco y la tradición bereber para trascender estilos y límites geográ�cos.

La calidad de la música y su espectáculo en vivo los llevó a que en 2015 Gabacho Maroc fuera nominada como Mejor Banda de Jazz Africano del año para los Premios de la Música Africanos.

nrv

http://www.eluniversal.com.mx/articulo/cultura/musica/2016/10/21/gabacho-maroc-prende-fic-con-mezcla-de-musica-africana-y-jazz 1/4 Gabacho Maroc se presentó en la Alhóndiga de Granaditas Hoja de Ruta Digital, 3 nov 2016

Todo empezó con cinco franceses estudiando jazz en la ciudad de San Sebastián (Donostia), que al descubrir que en España no conocían a ningún músico de jazz francés y viceversa, decidieron presentar un repertorio de jazz francés en España y se conformaron como Gabacho Connection, burlándose de la palabra “gabacho”, que se usa despectivamente para referirse a los franceses (aunque luego en México la usamos despectivamente hacia los estadounidenses). Uno de los músicos, Vincent Thomas, comenzó a viajar a Marruecos (su madre es originaria de este país), se le ocurrió fusionar jazz con música afro marroquí e incorporaron a tres músicos tradicionales de esa región. Como en francés Marruecos se dice Maroc, se renombraron como Gabacho Maroconnection, pero la prensa siempre se equivocaba al escribir el nombre y termi- naron dejándole Gabacho Maroc. Este grupo se presentó anoche en la Alhóndiga de Granaditas, como parte del Cuadragésimo Cuarto Festival Internacional Cervantino, bajo la promesa de que será un concierto que fusiona la fiesta, a través de los ritmos africanos, y la elegancia del jazz. Vincent Thomas explica que lo que tocan es una síntesis de la música afro, la marroquí y el jazz. Para el vocalista Hamid Moumen, la propuesta de Gabacho valoriza la tradición africana, la música tradicional del norte de Marruecos, fusionando música gnawa, bereber, chaâbi, árabe, jazz y afro, “que hace bailar al público siempre, es música que se dirige a todo el mundo, a gente de todas las edades”. Las canciones tienen letras provenientes del gnawa, que es como lo africano de la música marroquí, que habla de la historia de la esclavitud en dicho país (los gobernantes árabes y bereberes de lo que hoy es Argelia y Maruecos llevaron esclavos del Sahara durante distintas épocas) y que es más ritual que poético. También incluyen influencias de la música sufí, porque los knawas al llegar a Marruecos se convierten al Islam, entonces hubo un encuentro entre el animismo y el sufismo, “hablan del profeta, de la religión musulmana, de las oraciones”, puntualiza Hamid. Asimismo incluyen lo ritual, la invocación a los siete espíritus. Hamid toca el guembri, un bajo de tres cuerdas (hecho con piel de camello y cuerdas de tripas de cabra) característico de la cultura gnawa; y Fred Faure, el n’goni, un instrumento proveniente del área africana de Senegal y Malí. También incorporan casta- ñuelas metálicas africanas, la clave, el laúd, el djembe, el bendir, la darbuka, el bajo, la batería, los teclados eléctricos y los saxofones. Illyes Ferfera participa en Gabacho Maroc con el saxofón y como tenor, Charley Rose toca el saxofón alto, Willy Muñoz el piano, Eric Oxandaburu el bajo y Vincent Thomas la batería. Los músicos provienen de Francia, Marruecos y Argelia. Acerca de la fascinación de países de primer mundo por fusionar música occidental con africana o latinoamericana, pero cierra las fronteras a los migrantes, Vincent reflexiona que el colonialismo es una de las etapas más importantes en la historia de la humanidad y “es importante lo que se hizo en América del Sur, pero también hubo instalaciones de gobiernos franceses y espa- ñoles en África, que fue totalmente colonizada. Nosotros montamos un grupo, vamos a Marruecos con pasaporte francés, con nuestro dinero, armamos una gira en España y fue imposible porque no pudimos traerlos a España. Si me preguntas, estoy súper enfadado, es injusto porque hubo una colonización que cambió el mundo y que sigue funcionando: es una mierda”. Para Hamid Moumen, existe una relación hipócrita hacia los países que fueron colonizados: “La verdad histórica es muy clara. En este grupo las diferencias de fronteras no existen, defendemos la cultura a través de la música. Y como marroquí me siento privilegiado de poder cruzar la frontera, pero mis compañeros cruzan en balsas frágiles porque no les permiten cruzar la frontera de otra manera. La globalización concierne a las mercancías, no a las personas”. Gabacho Maroc no incluye posicionamientos políticos literales al respecto, con estar en escena juntos, músicos de tres nacionalidades distintas, “que vivimos juntos, que tocamos y nos llevamos tan bien, ese es el mensaje más importante”, considera Vincent.

“Gabacho Maroc” extiende los oídos de los yucatecos en el FICMaya 2016 Texto y foto: Paul Antoine Matos La Jornada Maya, 24 oct 2016

África. Otra vez África. Hace un año, el heredero del impe- rio de Malí, el príncipe albino Salif Keita, reconectó el Teatro Peón Contreras con las raíces de la Humanidad. El viernes, “Gabacho Maroc”, un grupo cosmopolita que adquiere los ritmos del Sahara y las percusiones africanas.

Por la noche, en la explanada del Gran Museo del Mundo Maya, siete de los ocho integrantes de “Gabacho Marocon- nection” se presentaron. Faltaba uno. El jueves estuvieron en Guanajuato, para el Festival Internacional Cervantino, por lo que después de su presentación disfrutaron de la noche mexicana y uno de ellos arrastró el malestar del mezcal. La venganza de Moctezuma. Los músicos forman un equipo multicultural, cosmopolita. Marroquíes, franceses, españoles del País Vasco y argelinos En el Festival Internacional de la Cultura Maya (FICMaya), el se conjugan para demostrar que el mundo es mucho más baterista y percusionista Vincent Thomas saludó al público que los conflictos étnicos y religiosos que existen en Euro- y avisó que empezaría con unos minutos de retraso, debi- pa, África y Medio Oriente. Pero también en Estados Uni- do a que al guembri se le rompió una de sus tres cuerdas dos y México. hechas de tripa de cabra. El instrumento es un bajo africano con piel de camello, tocado por Hamid Moumen, también Son multifacéticos. Cantan y tocan varios instrumentos a la cantante. vez. En el escenario, cambian del canto al teclado, la guitarra o al laúd. Hamid y Vincent son acompañados por Aziz Fayet, Vincent también explica el origen del grupo, ocurrido en Maximilien Helle-Forget, Eric Oxandaburu, Frédéric Faure y el 2012, y la razón del nombre Gabacho que, en España es los saxofonistas, Illyes Ferfera y Charley Rose, aunque uno una denominación despectiva para los franceses. Lo mismo de ellos fue el ausente por culpa del mezcal. que sucede en México con esa palabra, al referirse a los estadunidenses. Tres bajan para convivir con las mujeres que sí se atrevie- ron a bailar, tocan una combinación de panderetas metáli- Balini inició con un choque de metales siseantes y el ras- cas con castañuelas, en forma de ocho, una en cada mano. gueo de las guitarras. Las luces del escenario iluminaron el escenario con verdes y amarillos; recordaban al sol y la Gabacho Maroc otorgó una noche reflexiva y de música arena del Sahara, y la selva africana. Voces arábigas sonaron internacional a Mérida. Fue un espectáculo alegre, por mo- a la par, mientras iniciaba Camel, un viaje en un dromedario mentos hasta sicodélico. por el desierto.

“Atravesando un desierto, inmerso en un manto añil, aquí ya no existe el tiempo, ni camino a seguir”, cantan la letra. Es una melodía que sumerge a una noche estrellada en el infinito universo, aflamengada con jazz.

De las arenas del desierto y el Cosmos hacia el mar. Mous- saoui, el nombre de un espíritu marroquí del océano, inun- da con sus olas a Mérida.

Y sigue el viaje. Pasa por Cádiz y por el laberinto del Mi- notauro griego, hasta bañarse con Jamaica y su reggae. Los músicos invitan a la gente a bailar, pero apenas una mujer con camisa marrón de tirantes se deja arrastrar por la co- rriente de los ritmos.

Después, se añaden algunos más. Todas mujeres. Es una ter- cera parte del público el que baila, el resto se queda en sus asientos, sólo escuchan la música, mas no la sienten. No la viven. COLOMBIA CHILE ARGENTINA INDIA AUSTRALIA HONG KONG CONTACT

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