OROANS RÉPUBLICAIN BU DÉPARTEMENT
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ty oxinooieats Rédctotioxi. dte À0ionLÎJ3Li®tirstt:ioia. cent 3 mois 6 mois 1 an CAHORS. - 1, RUE DES CAPUCINS, 1. - CAHORS ANNONCES (la ligne ou son espace) 50 - 1 fr. LOT et Départements limitrophes ...... 4 fr. 25 8 fr. 15 fr. RÉCLAMES ( - d» - ) 8» page... Autres départements 4 fr. 50 8 fr. 50 16 fr. A. COUESLANT, Directeur L. BONNET, Rédacteur en ehef -8 Les Annonces judiciaires et légales peuvent être insérées dans le Les abonnements se paient d'avance Journal du Loi pour tout le département. Joindre 50 centimes à chaque demande de changement d'adresse Les Annonces sont reçues au bureau du Journal.
jï,-'...r."ir.jLTT~—rirrnviTrTiTWTmrwïïT 'iMHTi'ffiiMfti-ir'nTTrTT— voir soutenu la politique nationale et Or celle-ci n'avait déjà ni contrôle glais ou français. Au cours de mon Sud et nommé premier ministre de que semaine, deux numéros qui ga- les gouvernements qui l'ont pratiquée. ni autorité, ni force pour faire exé- enquête, j'appris que ce territoire l'Union sud-africaine. Il joua, en ces gnerait 500.000 francs et dix qui ga- Alexandre Varenne prend la défen- cuter ses décisions platoniques. Si elle était sous la domination turque, bien dernières années, un rôle considéra- gneraient 100.000 francs. Au cours LES ÉVÉNEMENTS se de ses camarades minoritaires. devient en outre une sorte de miroir que ses 500 habitants n'aient pas, ble à Capetown. Ce fut surtout grâce des années suivantes, les lots de à son intervention que l'Afrique du 1.250.000 francs seraient attribues Notre Directeur prenant un repos bien «S'il en est ainsi, écrit-il, pourquoi à alouettes qui cessera de briller dès depuis longtemps, payé tribut au s'en prendre aux seuls élus du parti qu'un nuage passera sur le soleil di- Sultan. Le fait que ce territoire est Sud prit une part importante à la chaque semaine. gagné, laisse à d'autres, pendant socialiste français ? Pourquoi ne pas plomatique et troublera la sérénité du demeuré turc, alors que tous les pays guerre et contribua puissamment à quelques numéros, le soin de confection- appliquer la même règle aux militants ciel international, que signifie tout le environnants ont été attribués à d'au- ruiner l'empire colonial allemand en Le cas de M. Judet ner la « Situation ». tres nations, est dû.à un oubli de la Afrique. étrangers ? fatras si péniblement élaboré pendant Les bruits les plus divers conti- Nos lecteurs s'en seraient rendus comp- part des diplomates qui ont rédigé le Est-ce que je parii ouvrier j belge, des mois par: la Commission dite de 11 nuent à circuler quant à l'affaire Ju- Paix. y a encore l'accord franco-an- traité de Berlin. Je me suis rendu te, mais nous avons préféré les avertir. Vandervelde en tête, — Vandervelde ! Il Au Maroc espagnol det. Un de nos confrères du matin président du Bureau socialiste inter- glais qui branle dans le manche. Alors dans l'île et je l'ai visitée. Des soldats N. D. L. R. Un avion espagnol a bombardé le annonce aujourd'hui qu'il croit sa- national — n'a pas] pratiqué la même conclut le Comité Dupleix, que reste- roumains y patrouillaient. Les habi- Fondak des Ouadras,les23 et 24 août. voir qu'il n'est pas question de l'in- politique ? A la Dorte, Vandervelde ! ra-t-il ? Rien. Et nous qui faisions tants turcs vivent en fabriquant des Raisouli a posté un important eorps culpation d'un parlementaire, mais La science allemande et la confiance à tout cet imbroglio, que cigarettes. Avant la guerre, l'île rece- Hors de l'Internationale, le parti ou- d'un journaliste très connu, lequel guerre. — Les exclusions du vrier belge ! sommes nous ? Des Dupes. ' j vait beaucoup de touristes venant de de tribus avec des détachements de son infanterie et de sa cavalerie fut, il y a deux ans, l'objet de vives Est-ce que le Labour- Party d'An- A la ville voisine, Orsova, ce qui expli- parti socialiste majoritaire. attaques. On raconte encore qu'au gleterre ne s'est pas compromis à fond que la multiplicité des bazars. Je n'ai régulières sur une étroite bande de Vers une quatrième interna- La Conférence de la Paix ayant terre entre les Beni-M'Saour et la parquet les opérations récentes don- tionale. — Premier accroc. — dans la politique de guerre de M. constaté qu'on ne. se battait plus guère pas constaté de misère trop grande. nèrent des résultats particulièrement Lloyd George ? Est-ce que son secré- On m'a dit que les habitants aime- zone de Tanger, qui était la seule En Syrie. ailleurs que sur tout le territoire de la route sûre dans la sphère espagnole probants et accablants pour Judet. taire général, Henderson, n'a pas été Russie, en Silésie,) en Pologne, en Hon- raient avoir leur indépendance, mais entre le district de Larache et les Celui-ci reste momentanément seul On se rappelle peut-être qu'il y a ministre de Sa majesté britannique ? grie, en Asie, et au Maroc, a estimé il est douteux que la Conférence de la postes militaires des Quadras et des inculpé. On signale aussi qu'au cours quelques mois l'Université die Leipzig Au pilori, Hendersori; et haro sur le qu'elle pouvait s'offrir quelques jours Paix se réunisse à nouveau pour Andgeras. d'une discrète surveillance, le deu- et celle d'Heidelberg avaient adresse Labour Party ! statuer sur, le sort de ce minuscule de vacances bien gagnées. Grand bien xième bureau de la guerre aurait à l'Université suédoise d'Upsal une En accusation Branting, qui bien territoire si éloigné aujourd'hui de la lui fasse, dit le Comité Dupleix. Les établi que Judet fréquentait assidû- lettre de protestation contre la façon que neutre fut ministre du roi de Turquie et où, cependant, est hissé Intervention anglaise choses n'iront pas mieux en son ab- ment le colonel suisse Wild, nette- dont les! autorités françaises en Alsace Suède ! sence que pendant qu'elle travaillait, sur le toit de l'unique minaret le contre les bolcheviks reconquise1 avaient traité les Univer- ment germanophile, récemment arrê- Aux gémonies Stauning, ministre du mais elles n'iront sans doute pas beau- drapeau turc. » Le général anglais commandant sitaires allemands immigrés à Stras- té en Suisse sous l'inculpation d'in- roi de Danemark ! coup plus mal. C'est peut-être cette les forces du golfe de Finlande a fait bourg. L'Université suédoise était cendie volontaire. Quant aux socialistes allemands, ils considération qui l'a engagée à s'a- lancer, par avions, sur Pétrograd, priée de transmettre la protestation à ~——>as<—' doivent être exclus les premiers. .Non journer, après avoir toutefois démoli une proclamation annonçant la créa- toutes les universités neutres et même La Pologne offre 600.000 ouvriers seulement ils ont voté les Crédits de ce qui se constituait en Hongrie. tion d'un gouvernement démocrate à celles des pays de l^Entente. Elle guerre, appuyé la politique dû Kaiser, Pendant ce temps, nous pouvons Chambre des Députés crut devoir faire la commission. pour la Russie occidentale et promet- mais ils sont au pouvoir en collabo- examiner avec sang-froid la situation agricoles tant de ravitailler la ville aussitôt que Le supplément pédagogique du ration avec les partis bourgeois, et le qui existe en Syrie et dire avec poli- le gouvernement bolchevik aurait Séance du 28 août 1919 Times nous apporte la réponse souve- catholique Erzberger est ministre du Avant la guerre, le nombre total tesse mais netteté à nos amis les An- été renversé. rainement méprisante, dans" ses ter- président Ebert. N'est-ce pas écœu- glais que nous avons tout lieu d'être d'ouvriers agricoles qui émigraient de En remplacement de M. Abel, nom- mes corrects et mesurés, que le Pré- rant ? mécontents. . Pologne pour la durée de la saison mé gouverneur de l'Algérie. M. Raoul sident de l'université américaine de Chez nous, il n'y a pas un élu qui En 1918, est intervenu entre eux et estivale dépassait 750. 000. De ce nom- Les Troupes des Soviets Péret obtient 234 voix et est élu vice- Colombia vient d'adresser au Recteur ne doive à ce compte encourir l'ex- nous un traité relatif au sort futur de bre, 600. 000 allaient chaque année en battues président de la Chambre. Allemagne, et surtout en Priisse, pour Un projet de loi ouvrant un crédit de l'université d'Upsal et par son in- clusion. Et nos terribles minois ne la Syrie.. Ce pays est un des coins du La nouvelle vient de parvenir ici termédiaire aux universitaires alle- les travaux de la moisson. Tous ces de 32 millions 672.000 francs pour la sont pas loin de mettre dans le même inonde où l'influence française s'est que le détachement de cosaques de mandes. ouvriers, campagnards et cultivateurs protection des femmes allaitant leurs sac majoritaires et minotaires, puis- exercée de tout temps. II était donc Kouldja a pénétré dans les districts Après avoir observé dédaigneu- de naissance, y étaient employés dans enfants est voté. D'après ce projet, que les deux, autres élus du Gard, Va- tout naturel qu'il fût mis sous notre de Dgearkent et Prjevalsk et a réussi sement qu'il faudrait, pour convaincre des cultures très perfectionnées et se toute Française admise au bénéfice lette et Bernard, sont l'objet, de la domination, mais dans notre zone à opérer sa jonction avec les cosa- le haut Commandement militaire sont parfaitement familiarisés avec de la législation des femmes en cou- part d'une petite fraction surextré- d'influence et sous notre protection. ques et la population des tarantehis français des fautes qui lui sont repro- les dernières méthodes du progrès ches et allaitant son enfant au sein, miste de la section) de Nîmes, du même L'accord de 1916 stipulait nette- insurgés contre le pouvoir des so- chées « des preuves plus convain- agricole. reçoit pendant les douze mois qui traitement que Bouger et Compère- ment que laj Syrie serait soumise à cet viets. Ils gagnèrent, en une marche cantes que la simple assertion » al- Morel. La France a besoin de la main- suivent l'accouchement une alloca- étati de choses.. Il est vrai qu'en 1914 en avant qui fut un grand succès lemande, le Président de l'université d'ce.uvre agricole qualifiée ; la Pologne tion supplémentaire de 15 francs Logique, cette fraction proclame que l'Angleterre, pour assurer la liberté éi militaire, l'intérieur du pays, prenant américaine poursuit sur le même ton : lui en offre en abondance ; l'offre et entièrement à la charge de l'Etat. tous les élus de 1914 ayant voté les son action dans le bassin de l'Euphra- à l'armée rouge des canons, des mi- « En attendant, nous appelons l'at- la demande s'équilibrent exactement ; Cette allocation sera servie tant que crédits de guerre sont ' solidaires et te et poiur dégager éventuellement l'E- trailleuses et des munitions. * tention sur ce fait que c'est un prin- également condamnables. gypte et l'Inde, avait signé un accord les intérêts économiques franco-po- les lois attributives de cherté de vie* cipe établi en Angleterre et aux Etats- Et Alexandre Varenne conclut avec avec le roi du Hedjaz ; mais cet ac- lonais s'accordent aussi bien que les recevront leur effet. Unis que quiconque porte plainte de- beaucoup de bon sens ' après cord, par un oubli singulier, on avait intérêts politiques ; le sang versé pour Les Bolohevistes La Chambre reprend la discussion vant une cour de justice doit se pré- avoir constaté que Longuet lui-même omis de nous en faire part, ne peut l'idéal commun et contre le commun nationalisent du traité de paix. senter les mains nettes. Avant que le a voté les crédits en 1914 : donc pas nous lier et ne nous con- ennemi a donné la victoire à la France le château de Tolstoï M. Gaillard-Bancel aurait voulu recteur et le Sénat de l'université de « Tout le monde dehors ! Et un de et l'indépendance à la Pologne. Nous que l'on portât un coup mortel à l'u- cerne pas. Actuellement des missions Le gouvernement soviétiste vient Leipzig puissent compter que le tri- ces quatre matins ils vous trouveront nous bornons à lancier l'idée et à en nité allemande, en favorisant l'éclo- américaines et anglaises se promènent de nationaliser le château de Tolstoï, bunal de l'opinion publique sympa- une paille dans l'œil de Lénine. souligner l'ooportunité ; que d'autres sion d'un grand nombre de petites un peu partout. Elles procèdent à une à Iasnajo-Poljana. Les membres de thise avec leurs assertions, les peuples La deuxième Internationale, c'est plus compétents et directement inté- républiques. soi-disant enquête dont les résultats la famille de Tolstoï ont été invités de France. d'Angleterre et des Etats- la réaction pure. La Troisième sent ressés s'occupent de la réalisation. M. Brunet déclare que le traité est sont assez singuliers.D'après les scru- à se mettre à la disposition du gou- Unis voudront certainement savoir déjà l'opportunisme. Il faut préparer Une chose doit être cependant éta- insuffisant et M. Rameil voudrait tins (?) dépouillés par elle, la Pales- vernement. 11 leur sera permis de si, et dans quelle mesure, le recteur, la Quatrième. Après celle-là une autre. blie d'avance : l'égalité des salaires ; qu'une pension de 360 francs soit tine demanderait à être placée sous demeurer au château et ils recevront et le Sénat de l'université de Leipzig On en ' fera comme cela jusqu'à ce s|i on veut éviter les susceptibilités accordée aux combattants, mandat américain ou anglais. La Sy- un traitement pour diriger les servi- ont protesté contre le traitement crue'l qu'on ait trouvé la bonne. rie serait désireuse de renoncer à sa toujours en éveil et nous épargner de M. Cornudet votera le traité. ces d'instruction du peuple qui y et inhumain infligé en 1914 par le Une idée : si on allait la chercher politique séculaire et aspirerait au nouveaux frottements, conflits et trou- La discussion est renvoyée au len- seront ultérieurement installés. haut commandement allmand aux à Charenton ? » protectorat anglais, et pour le surplus bles, qu'on se mette d'accord sur ce demain. étudiants dépendant de l'Université de A • de l'ancien empire ottoman, on arri- point ; les salaires et les conditions du Louvain et contre la destruction bar- verait à des résultats tout aussi sur- travail et de vie doivent être rigou- Contre la Pologne ? Séance du 29 août 1919 bare et sans motif de la bibliothèque La France est avant tout un pays reusement identiques pour les Fran- de bonne foi. Sesi emballements com- prenants. De toutes les agglomérations On mande de Berlin :, La Chambre reprend la discussion de cette université. Ils voudront aussi syriennes viennent des demandes çais et pour les étrangers qui vont du traité de paix. savoir si, et dans quelle mesure, le rec- me ses erreurs,'car l'un ne va pas sans travailler pour la France. La Gazette berlinoise cle Midi apprend l'autre, ont toajours eu pour cause, tendant à avoir notre protection. que le conseil de guerre extraordinaire M. Barrés votera le projet bien teur et le Sénat die l'université de Lei-n- Cependant notre diplomatie n'agit C'est aux ministres du travail et de qu'il soit déçu devoir que le traité ne zig ont protesté contre aucune des 31 au cours des siècles; sa confiance dans l'agriculture français et polonais, c'est de Beuthen, jugeant six Polonais arrêtés pas, ne fait rien, et nous sommes me- près de Kattowitz, et qui avaient affirmé donne pas la rive droite du Rhin à la sortes d outrages qui, ainsi qu'il a été la parole donnée et dans ses amis. aux organisations ouvrières françaises Sera-t-elle cette fois-ci encore dupe nacés d'être évincés en Asie comme' être des légionnaires réguliers polonais, France. établi par des preuves indiscutables dans bien d'autres cas. En vérité cette et polonaises c'est aux syndicats agri- s'est déclaré incompétent, l'intervention M. Thomas dit que ce qui importe, réunies officiellement par des commis- da sa trop grande facilité à donner e coles français de s'intéresser- à cette à tenir sa parole ? C'est à craindre ! fois c'est inadmissible. des troupes régulières polonaises ayant c'est de connaître la politique du sions nationales et internationales, ont Le gouvernement anglais ne peut importante question, de la réaliser et créé, en fait, l'état de guerre entre la Gouvernement au cours des négo- été commis par les armées alleman- Nousi ne voulons pas récriminer, d'en surveiller l'exécution. Pologne et l'Allemagne. 11 a remis les mais il est certain que l'accueil fait certainement pas être responsable et ciations et comment il entend inter- des et les agents allemands et leurs solidaire du zèle intempestif de quel- Polonais à l'autorité militaire allemande au Président Wilson a été enthou- comme prisonniers de guerre. prêter le traité. alliés dans les pays envahis par eux ques agents ambitieux maladroits La suite de la discussion est ren- pendant la guerre. » siaste pour deux motifs, d'abord par INFORMATIONS ce que nous avions de la reconnais- Une amitié raisonnée, appuyée sur des voyée à mardj. Suit une énumeration impitoyable faits et cimentée sur le chamo de ba- Toujours pillards ! sance pour l'homme qui- avait déclen- ltlfl.li»H1fftffrtfTBI l'IfHIMft des 31 sortes- d'outrages : massacre taille ne peut pas être atteinte par les A, Le bureau de presse lithuanien de civils, exécution d'otages,' etc, sans ché — tardivement niais efficacement la Conférence de Paris tout de même — le mouvement d'a- actes et parolej cle quelques subalter- publie le communiqué suivant : oublier l'émission 'de fausse monnaie, nes brouillons. Seulement il faut que Le Conseil suprême a : siégé ce les mauvais traitements infligés aux dhésion des Etats-Unis à la cause du matin. Il a commencé l'examen du « On a dit à maintes reprises que droit ; ensuite parce que nous avions nous fassions connaître notre! façon de les troupes allemandes évacueraient prisonniers, les bombardements d'hô- voir. L'Angleterre respecte toujours texte de la lettre d'envoi pour le traité 1 cru que ce que le Président Wilson la Lithuanie. En effet, d'importants CHRONIQUE LOCALE pitaux etl de navires hôpitaux et autres autrichien. désirait était l'émanation même de un droit acquis et sa parole. Le droit, groupes armés ont été concentrés à crimes oui ont souillé à jamais l'Aile nous l'avons. Sa parole, il suffit de la Ce matin également, le Comité de magne aux yeux du monde civilisé. la volonté des Etats Unis, peuple et coordination a tenu une très courte la frontière courlandaise et alleman- représentants. lui rappeler pour qu'elle s'incline. de. Les soldats allemands revêtent Le document fait observer en ter Qu'attendent nos diplomates pour séance pour statuer sur un. amende- Or, voici que: les évènementsi écrit le des uniformes russes et, ainsi tra- minant « que l'aveu des méfaits du parler au nom de la France ? ment relatif aux clauses concernant On fait des économies... Comité Dupleix, viennent jeter une vestis, s'adonnent au pillage et à des gouvernement allemand, des armées Elle a assez souffert pour avoir l'organisation du travail. douche singulièrement froide sur le actes de brigandage. Le gouverne- allemandes et du peunle allemand et droit à de légitimes compensations Aujourd'hui ont siégé la commis- _château de notre engouement Wilr ment de Lithuanie a protesté énergi- Angleterre le repentir dej ces méfaits Sont les pre quand elles; sont justes. sion des prisonniers cle guerre, des miers pas indispensables pour la réha sonien., La commission sénatoriale des affaires de Pologne, des clauses ré- quement contre cet état de choses — >H<———« bilitation devant le monde de î'ensei affaires extérieures, examinant le pro- servées et des réparations. auprès du goîtvernement allemand jet de traité de paix signé le 28 juin « L'heure est venue pour chaque gnement allemand et de la science al M. Clemenceau s'est entretenu ce et de l'Entente. La population de dernier à Versailles et notamment les ministre, de faire entendre à ceux lemande. L'île ignorée matin avec M. Stephen Pichon et les Kaunas a faituneimposante démons- qui sont sous sa direction que s'ils ne Jamais la barbarie foncière de cette clauses relatives à l'Extrême-Orient, ministres des affaires étrangères tration devant la légation allemande n'a changé qu'un seul mot dans'le pro- peuvent pas réduire leurs dépenses, pédantesque et inhumaine science; ger- Pendant les huit mois passés à d'Angleterre et d'Italie. pour protester contre la politique des jet, mais ce mot, oui plutôt ce nom est ils doivent céder la place à d'autres manique dont les Boches étaient fiers, explorer les Balkans pour y décou- junkers; plus de dix mille personnes d'importance. qui le peuvent. Il faut que les chefs n'avait été dénoncée a^ec| plus de hau vrir les agglomérations où, sont né- ont participé à cette'démonstration. » de services soient obligés d'entre- Partout où le projet écrivait Japon, Un héros boer taine lucidité que par la voix des in- cessaires des secours variés, les prendre la tâche désagréable de ré- elle a imprimé Chine. C'est la même tellectuels américains." membres de la Croix-Rouge Améri- Un télégramme dePrétoria annonce duire leur personnel, car le fait que chose, seulement renversée. Et ce pre- Une loterie de 60 milliards A caine ont visité bien des localités que le général Botha a succombé à le nombre des employés du gouver- mier accroc, réparable disent les dé- M. André Lefèvre, député, a déposé >< En route pour la quatrième » ignorées des guides et des ruines une attaque de grippe. pêches et les communiqués, n'est pro- sur le bureau de la Chambre, une nement a à peine été diminué depuis écrit Alexandre Varenne, dans le jour oubliées des archéologues. La décou- Le général Louis Botha fut, avec le bablement que le crémier accroc fait proposition tendant à organiser le la guerre, ne saurait pas être justi- nal des minoritaires socialistes, la verte la plus curieuse est celle de président Kruger et le général Devvet," fié. » à cette robe bigarrée qui a été si péni- prêt sans intérêt à la France par Politique. C'est dî la quatrième Inter- l'île d'Ala-Kalech, qui semble être le une des grandes figures de la guerre blement cousue par les couturiers di- l'émission d'obligations remboursa- Qui donc a parlé avec tant de bon nationale dont il s'agit, puisque d'ex- lieu le moins disputé de l'Europe. anglo-boer. Il commanda en chef l'ar- plomates de l'Entente dirigés par M. bles avec primes par voie de tirage. sens en France? Non, c'est M. Lloyd clusions en exclusions, tous les mem- Ala-Kalech n'a pas un kilomètre de mée des Boers et réussit, avec des Wilson. Il s'agirait d'émettre 120 millions de George, qui a prononcé ces belles bres, du parti socialiste risquent, les long et n'a guère que quatre cents forces très inférieures en nombre, à C'est à la fameuse Société des Na- titres de 500 francs soit 60 milliards paroles, et a donné d'aussi utiles con- uns après les autres, d'être déclaré"- mètres de large ; située au milieu du retarder, pendant de longs mois, la tions que la Commission des Etats- de francs, remboursables au pair, seils. indignes de rester membres du dit Danube, elle se trouve entre la Serbie chute des Républiques sud-africaines. Unis s'en prend maintenant. Si elle par tirages semestriels, dans une En France, nous ne sommes pas parti. et la Hongrie et à quelques kilomè- Doué d'un très grand sens politi- accepte l'amendement officieux de M. période de vingt ans. encore arrivés à cette période où les Hier, c'étaient Nectoux, Rozier, Dé- tres des fameuses Portes de Fer. que, il comprit, après la guerre, la Pittman, amendement que M. Wil- Outre les tirages semestriels au économies doivent être envisagées, jeante qui était frappés de toute can- « Je fus surpris, dit un membre de nécessité de se plier au nouvel état de pair, il y aurait des tirages à lots. didature par la Fédération de la Seine. son accepte, crainte de pire et qui per- la Croix-Rouge Américaine, de voir choses si l'on voulait faire bénéficier encore mo'ins être faites. C'est ainsi que pendant deux années, Les coffres administratifs sont ou- Aujourd'hui, ice sont Compère-Marcel met à chaque nation de se retirer flotter dans cette petiteîle, le drapeau l'Afrique du Sud d'un régime libéral. quand elle la veut, il ne restera rien on tirerait, chaque jour, un numéro verts et l'on continuera, jusqu'après et Hubert Ronger que débarome la sec- turc, croissant blanc sur champ rou- Le général Botha devint le chet du du programme wilsonien de Société qui gagnerait 1.250.000 francs. Cha- ! les élections, à y puiser sans compter tion nimoise du parti socialiste. ge. Dans llle, personne parlant an- parti unioniste dans l'Afrique du On reproche à ces « exclus » d'a- des Nations. cussions, conciliabules. Soudain l'un d'eux l'emmener. Qui l'y forcera ? le gendarme Grâce a vous, enfin, l'humanité a " été instants, tous les soldats ont un bou- ! pour payer des individus qui ont allemand accompagnant toujours le gen- délivrée du cauchemar qui pesait sur elle pour seul mérite d'être considérés demande : « Mais n'auriez-vous pas une Cahors salue les Poilus depuis près d'un demi-siècle. quet au bout du fusil. auto particulière à mettre à notre dispo- darme français qui, dans l'espèce, n'est comme des rabatteurs de bulletins Honneur et gloire à vous tous enfants de En passant devant la statue de sition ? » pas sans pitié. Et, dans un déshabillé e France, la Ville natale de Gambelta n'ou- Gambetta, un commandement est de vote. Et, changement subit, le concession- troublant, la « victime » est envoyée au du 7 bliera jamais votre héroïsme. On pourrait se tromper, cela va dépôt. jeté :'Présentez, armes! Les accla- naire des autobus qui n'a pas assez de La population cadurcienne a fêté Vive la France. sans dire : les agents électoraux Dernièrement près de la Porte Serpen- Vivant les poilus du 7\ mations de la foule s'élèvent enthou- voitures pour assurer un service public avec enthousiasme, sa reconnais- officiels n'ont pas ce qu'on appelle la à grands frais, met à la disposition des noise, à deux pas de la gare, on entendait siastes; les bravos éclatent des ter- sance aux glorieux poilus du 7e d'in- De vifs applaudissements prouvent cote populaire ; et cela avec raison, voyageurs en panne, une auto, un chauf- des cris, des sifflets ! C'était un boche qui rasses, des balcons. fanterie. Journée d'enthousiasme au à M. Carlin qu'il a exprimé excel- parce que ces individus sont toujours feur, au tarif de un franc par kilomètre ne voulait pas se laisser embarquer et Mais l'ovation est formidable, au hurlait sa haine de tous ses poumons : cours de laquelle tous les cœurs ont lement les sentiments de la popula- des membres de la tribu des Beni tant pour l'aller que pour le retour, paye- moment où les poilus s'engagent « fife l'Allemagne ! à pas la Vrance : vibré dans une même foi patriotique, tion. Bouffe Tout, pour lesquels pitance ment à l'avance. sous l'arc de triomphe élevé sur les On s'exécute parce qu'il faut partir et Deutschland ûber Ailes » Plus on l'assom- où tout Cahors, debout, a crié «merci % vaut mieux que sincérité. mait, plus il rageait ! — As-tu fini de DISCOURS DE M. LE PRÉFET Boulevards : « La ville de Cahors au que le trajet Cahors-Montcuq, à pied, est aux vaillants enfants qui lui sont vaillant 7e d'infanterie. » Cette ins- On crève de faim en défendant ses Keuler ! lui criait un Alsacien ! sale po- M. le Préfet salue, les vaillants poi- un peu long par cette température. rendus. cription est bien l'expression de la idées, ses principes ; on s'engraisse, Et voilà comment 7 voyageurs pour che ! et il lui administrait un coup de bâ- lus du 7e au nom du département Depuis 3 jours, grands et petits vérité. on fait sa pelote en se courbant devant Montcuq, payèrent le soir du 20 août ton sur la tête. et en son nom personnel en tant Ne nous faisons pas d'illusion ! Le feu préparaient guirlandes, banderolles, La foule massée devant l'Hôtel de les puissants distributeurs de l'argent 7 fr. 45 par place, au lieu de 3 fr. 20. Et qu'enfant de la Lorraine. voilà comment on fait des affaires... avec couve et couvera longtemps sous la cen- bouquets, pour décorer, fleurir nos Ville où se trouvent les autorités des contribuables. dre ! « Vous qui revenez au pays, votre Je vous apporte l'hommage de re- Donc, il ne faut pas songer à voir l'argent des autres. soldats. applaudit : et les jeunes boys-scouts, sort a été vraiment tragique, dans vos Dans les . rues où devait passer le connaissance de toute la nation, réaliser des économies dans les bud- les enfants du Patronage Fontanet , Chaque jour, des faits identiques cœurs de braves brûle un aiguillon. Vous régiment, toutes les maisons étaient c'est grâce à vous, à votre vaillance gets, surtout si ces économies doi- sont là aussi, jetant des fleurs aux doivent ou peuvent se produire. L'ex- le sentez bien, vainqueurs vaincus, votre pavoisées. Et ce matin, quand toutes constante que vous avez conservé à vent être faites au détriment des cœur blessé vous fait mal — » « on avait poilus. ploitation est une règle, à notre épo- les décorations furent terminées, le la France, les provinces les plus ri- Tout le long des boulevards la ma- agents qui peuplent, à titre tempo- que de mercantilisme. Il faut faire semé le fer et le sang ; on a récolté le sang ches, et que nous sont rendues l'Al- et le fer. — Allons ! Semeur ! sème-nous spectacle était d'une beauté remar- nifestation est grandiose : elle fut raire (?!!), les services administratifs. fortune et vite. Mais qui paiera? C'est sace et la Lorraine. De temps à autre, cependant, on dit un temps nouveau! Mais toi, peuple par- quable. continue jusqu'à la caserne* car le le public. Le public avant peu se las- mi les peuples, tiens ton cœur prêt pour La température si lourde de ces « A vous les poilus, la France vous à quelques-uns d'entre eux : « Mon faubourg Labarre, de la rue Feydel à sera d'être volé. les heures les plus mauvaises ! Au-dessus derniers jours, était rafraichie par dit merci, infiniment merci » la place Thiers, une belle décoration cher ami, nous vous remercions de Les paroles de M. le Préfet sont Le Conseil général, dans sa session de toi planent les esprits de l'humanité. » une légère brise due à la pluie qui avait été faite par les soins des habi- la collaboration active que vous nous couvertes par de vifs applaudisse- d'août; aurait dû y songer. Voilà l'appel lancé à la nation allemande tomba la veille et durant la nuit. tants. avez apportée. Mais aujourd'hui, nous par ses intellectuels les 9 novembre et 15 ments. L. B. Un léger soleil présida à cette gran- Les poilus se massent au fond de n'avons plus besoin de vous. Avec décembre 1918. Puis M. Ferré, au nom des vété- de fête qui restera longtemps gravée la place Thiers. Là, au nom du quar- regret, nous vous prions de passer à Vainqueurs vaincus ! c'est le cri dont rans, des anciens combattants de dans le cœur des soldats., de leurs tier haut, une fillette Mlle Tourriol et la caisse et de filer. » Légion d'honneur étaient saluées les troupes rentrant au 1870, prononce le discours suivant : chefs et de la population. le jeune Duverget s'avancent vers le Mais ce boniment n'est adressé, en L'Officiel publie les nominations pays, au lendemain de l'armistice — l'Al- lemagne a été vaincue et non battue ; elle A 8 heures, les cloches font enten- DISCOURS DE M. FERRÉ Colonel ; la fillette lit le petit discours général, qu'à ceux qui sont sans auto- posthumes au grade de chevalier de prétend le prouver un jour ; elle s'y pré- dre un joyeux carrillon. Dans les suivant : rité, ou qui paraissent loyaux ; et règle la Légion d'honneur des officiers du pare ! qu'on la surveille et qu'on aille chez Au nom des Vétérans des Armées rues circulent déjà de nombreux lle absolue, ce sont ceux-là mêmes qui 7" dont les noms suivent : elle et qu'en France on travaille ! de Terre et de Mer 1870-71, M. Ferré, DISCOURS DE M TOURRIOL ont rendu les plus grands services, promeneurs, ce pendant que sur la Président de la 580e section des Vété- Pour chevalier : Ant. CHÉRY. place Thiers, les poilus sont rassem- Mon Colonel, qui ont fait tout le travail. rans, salue les Poilus en ces termes : Au nom de toutes les petites Françaises Raffin Raymond, sous-lieutenant (réser- »™ï}fg—*»«u.Figeac ; Mme Santi, détachait celui offert par la ville de Ca- rades de Bessières et de Murât. défilé en tête des troupes du 7e, les autobus du Lot sont des moyens Quand il est parti pour la Grande Guerre, parole pour remercier les orateurs directrice de l'Ecole supérieure à hors. Un drapeau y était décoré de la croix boy-scouts ouvrent la marche. merveilleux de transport, qui doivent il était fait de nos voisins, de nos amis, de qui viennent de donner aux poilus Gourdon ; Ségala, professeur à l'E- de guerre. Une foule énorme se presse derriè- soulever l'admiration des foules ; tout nos frères et, pour quelques-unes d'entre de si vifs témoignages de reconnais- cole supérieure de St-Céré; Studler L'orgue, la musique militaire, les mar- nous, de leurs chers papas. re le cortège officiel et pénétre dans le monde n'est pas de cet avis. t professeur adjoint au lycée de Ca- ches funèbres, des chœurs et des soli Et c'est pourquoi votre retour est pour sance. le cimetière, où devant le monument Il est évident que l'on dira : « Qui rehaussaient par leurs mélodies la solen- nos cœurs un frisson de joie. Il serait une hors ; Vidieu, instituteur à St-Martin- DISCOURS DU COLONEL DEWATRE du souvenir Français, Mgr l'Evèque n'approuve pas est un grincheux. » nité de cette fête où toutes les âmes et les, fête radieuse pour tous, si vous nous rame- Labouval. et M. le Préfet dans deux éloquents Grincheux, soit : mais être poires, cœurs ont vibré à l'unisson. La politique niez toute la phalange d'il y a cinq,ans. Mademoiselle, Monsieur le Préfet, Mon- Nos félicitations. Nous étions bien jeunes alors. En ce jour discours, saluent la mémoire des glo- c'est pire. Et ils sont nombreux ceux en était exclue. orageux du 5 Août 1914, nous avons accom- sieur leiPrésident des Vétérans. J'ai été très touché des souhaits de bien- î rieux morts. qui ne veulent pas écouter le conseil Au 7e pagné nos soldats de nos vœux les plus venue que vous avez bien voulu m'adresser d'intéressés : se taire, fermer les yeux. Cercle militaire ardents. Mais malgré l'éclat de leurs clai- ainsi que des fleurs si gracieusement offer- • M. Dery, lieutenant de réserve au rons, et parce que, en ce moment, nos ma- Seulement, selon la spirituelle ex- mans nous tenaient d'une main plus ten- tes. Je vous dis merci au nom de tous les Remerciements du colonel 7e d'infanterie est nommé dans le En vue de la réouverture du cercle poilus. pression d'un confrère, « mettre un militaire, le Lieutenant-Colonel Com- drement nerveuse, nous contenions notre Le 7e a eu des jours pénibles pendant ces Le lieutenant-colonel Dewatre com- cadre actif pour y prendre rang au exubérance naturelle. Nous pressentions doigt sur les lèvres et un autre dans mandant d'Armes invite Messieurs cinq années, mais il a toujours conservé mandant le 7e régiment d'infanterie 26 décembre 1918. qu'ils allaient vers de grands sacrifices. Et l'espérance et la ferme volonté de vaincre. l'œil », ne plaît nous voulons bien les Officiers en retraite et de complé- depuis, nous avens grandi, plus sérieuses adresse ses remerciements les plus l'espérer pour la dignité humaine, Nous avons connu les joies de la victoire Gendarmerie ment qui désirent en faire partie à car chaque jour nous apportait une inquié- aux deux batailles delà Marne ;nousluttions sincères à toute la population de Ca- qu'à un petit nombre d'individus, lui adresser leur demande le plus tôt tude et trop souvent une douleur irré- désespérément à Hangard-en-Santerre et à hors pour l'accueil inoubliable, fait flatteurs par profession, par intérêt. M. Desclaux, ancien militaire de la parable. Villers-Cotterets ; nous avons goûté l'ivres-■ possible. Nous'avons appris ce que valent notre à nos poilus. Nous répétons une fois de plus que gendarmerie est réadmis dans l'arme France et notre petit pays en comptant ceux se du triomphe à Strasbourg après l'armis-. La fête du 30 août à été parfaite- le création d'un service de transport au titre actif et affecté à la 17e légion. tice, nous recevions la fourragère au début Coopérative militaire de vos camarades qui sont tombés sur la de l'année et le Hjuillet nous passions avec ment organisée et réussie en tous était nécessaire et que ce fut négli- voie ensanglantée des batailles. fierté sous l'Arc de Triomphe. points. gence coupable de n'avoir songé à Service de santé Le Comité de garnison de la Coo- Vous nous rapportez leur souvenir et Nous avons'eu la récompense de tous nos avec leur mémoire, vous ramenez d'autres efforts pendant ces journées à jamais mé- donner des moyens de communica- M. Kuntz, médecin aide-major lre pérative Militaire informe les adhé- visages, ils portent, ces nouveaux venus, le Office agricole du Lot et Société morables, nous l'avons aujourd'hui plus l tions aux populations du Lot, que classe à titre temporaire est promu rents qu'une certaine quantité de reflet des âmes dont les corps sont restés intime et plus familiale en arrivant à Cahors départementale d'agriculture là-bas. Et ils se pressent autour du même quelques mois avant les élections, au grade de médecin aide-major de marchandises comprenant : Vin, et en nous sentant entourés delà sympathie Exposition d'objets drapeau. Nous reconnaissons notre drapeau. et de l'estime générales. pur battage électoral, évidemment. 2e classe à .litre définitif et maintenu saindoux, café, salaisons, légumes Les noms de ses anciennes victoires rayon- provenant des petits métiers familiaux Mais nous répétons aussi que dans e secs, conserves, sucre, etc.. leur Vous nous recevez à bras ouverts comme à Cahors, le dimanche 5 octobre 1919 à la 17 région. nent d'une auréole de victoires plus glo- des enfants retrouvés après une longue l'intérêt des contribuables, on aurait sera répartie dans un local provisoire rieuses. Les anciennes sortaient de l'élan absence et une cruelle épreuve, nous ne L'Office agricole du Lot considérant dû faire appel à la concurrence et ne Caserne Decaen (anciens Capucins), héroïque d'un jour sur une terre lointaine saurons jamais assez vous en témoigner qu'une des principales causes de la déplo- et étrangère ; les vôtres sont l'effet merveil- notre reconnaissance. rable dépopulation du département est pas payer des indemnités scandaleu- rue des Cadourques. leux d'une patience admirable qui a duré ses aux entrepreneurs soigneuse- En psgs reconquis Cette date du 30 août 1919 comme celle du| l'insuffisance des ressources produites par L'ouverture des magasins com- quatre ans et sur la portion la plus vive de 5 août 1914 restera vivante parmi les com-, le seul travail de la terre, estime qu'un ment choisis. Ce n'est pas sans raison A chaque instant il faut, là-bas, procé- mencera mardi 2 septembre 1919, de notre terre mutilée. battants qui comme nous aurons eu le bon- ' Vous revenez vainqueurs. Entrez dans des meilleurs moyens d'y remédier serait qu'on les a choisis, soyons-en bien der à des « nettoyages » c'est-à-dire ex- 8 heures à 11 heures et de 14 heures heur d'être des rescapés de la grande d'adjoindre à ce travail, durant les longues notre ville qui est votre chez vous. Et soyez guerre. persuadés. pulser les boches trop « bochisants », à 17 heures. assurés de notre durable reconnaissance. soirées d'hiver ej, les nombreuses jour- relevant la tête et ne craignant pas de Avant d'entrer en ville, je salue les glo- Dans tous les cas, si le service de Les sociétaires seront porteurs du Car grâce à votre victoire, l'ennemi jaloux e e nées de chômage provenant des intempé- prophétiser une revanche dans un avenir rieux drapeaux des 7 , 207% 131 , sous les transport par autobus fonctionne « à reçu de leur cotisation. et hargneux en vain, ne jettera plus l'in- plis desquels l&s soldats du Lot ont fait ries, des métiers famitiaux qui apporte- la satisfaction des populations » selon indéterminé, mais certaine. quiétude sur notre jeunesse, naturellement noblement leur devoir et ont contribué raient un supplément de revenu capablg ■ Il y a les expulsions collectives ou indi- disposée au sourire et désireuse de bonheur l'expression consacrée par les rap- pour une large part à la grandeur de la de créer l'aisance et le bien-être et qui se'? viduelles-collectives, quand elles ont don- Postes et Télégraphes dans l'affection de la famille et de la France. Patrie. raient, du reste, grandement facilites par ports administratifs, nous nous né lieu à la suite de manifestations Présentez vos armes et au drapeau. Les personnes qui ont acheté des Des bravos saluent les excellentes l'électrification prochaine du département. croyons obligés de signaler que les bruyantes, de rassemblements. Dans ces Il se propose, en conséquence, de con- populations ne sont pas satisfaites cas, l'enquête est rapide, les arrestations Bons de la Défense Nationale, à la paroles de la gracieuse Mlle Dulac, Au commandement, les tambours cert avec la Société d'agriculture, dans le complètement. immédiates et en route pour la frontière. Recette principale des Postes et Télé- à qui le Colonel donne l'accolade battent, les clairons sonnent, la mu- but de faire connaître et d'encourager ces Payer 450 francs par kilomètre ce Ces départs involontaires (car maisons et graphes, le mardi 26 août, sont invi- M. Carlin, au nom de la ville de Ca- sique joue le salut aux drapeaux. métiers, d'ouvrir à Cahors, le dimanche 5 que l'Aveyron ne paie que 200 francs, propriétés sont mises sous séquestre) sont tées d'urgence à se présenter au hors, souhaite une cordiale bienve- Toutes les têtes se découvrent, puis octobre, une exposition de leurs produits c'est plutôt dur. Mais puisque, dans parfois accompagnés de contre manifes- Cabinet de M. le Receveur principal, nue aux poilus, en ces termes. ce sont de longs bravos qui éclatent dans laquelle seront distribués une som- tations. pour affaire qui les intéresse. parmi la foule énorme massée dans me de 5.000 francs répartie en 40 primes sa session d'août, le Conseil général Dernièrement, à Forbach, on expédiait du Lot, à Funanimité, a approuvé DISCOURS DE M. CARLIN la cour, dans l'avenue de la gare. variant de 100 à 50 francs ainsi que des dans la mère-patrie tout un convoi de médailles et des diplômes d'honneur. toutes les conventions, conditions boches, nés en Alsace. Du haut d'une pas- Incendie Mon Colonel, Le défilé Ces objets seront classés en 4 pa^égoj imposées par le consortium des en- serelle, dominant la gare, assistait à l'em- Jeudi, vers six heures du soir, un Au nom du Conseil municipal, ries ; " ,' " ' • trepreneurs d'autobus, — consortium barquement une foule de «IKameraden» Les autorités civiles se retirent commencement d'incendie s'est dé- Au nom de la population tout entière, Objets provenant du travail du bois : ou réduit à 1 personne, — nous n'avons hurlant : « Deutschland.ùber Ailes ». L'Al- Je salue le. 7' Régiment d'Infanterie qui pour se rendre devant l'Hôtel de ville de l'osier ; vannerie, emballage, caisses, qu'à nous incliner, en attendant le lemagne par-dessus tout, on entonnait : claré à l'église cathédrale de Cahors. revient dans nos murs couvert d'une gloire afin d'assister au défilé des troupes. saboterie, robinetterie, jeux d'enfants, etc. Le feu, qui avait pris dans le clo- immortelle conquise dans les combats verdict populaire. la « Wacht am Rhein » la Garde du Rhin. Celles-ci peu après, s'ébranlent aux Objets provenant du travail de la laine Malheureusement pour ces chauvins du cher et menaçait les orgues, a été auxquels il a participé pour la défense de Car, d'ores et déjà, les protestations la Patrie et pour le triomphe de la Justice sons d'entraînantes marches mili- et des textiles : drap, toile, vêtements con- kronprinz se trouvaient parmi eux, des éteint rapidement par les personnes s'élèvent, non pas seulement contre et du Droit. taires. fectionnés, linge, tricots, tapis, dentelles, Agents de la Sûreté, qui, séance tenante, présentes dans l'église. Les dégâts etc. la façon dont le service des autobus leur mettant la main sur l'épaule, les con- Officiers, Sous-Officiers et Soldats, Sur tout le parcours, avenue de la sont peu importants. Gare, ruePrésident Wilson, rue Bour- Conserves de fruits et légumes. Indus- a été créé, non pas seulement parce duisaient sur le quai où, sans crier gare, La "Ville de Cahors vous adresse les, sou- trie fromagèr-e. Industrie agricole diver- que l'on a payé trop cher ce service ils étaient adjoints à leurs congénères, à haits de la plus impatiente et de la plus seul, la foule est dense ; elle applau- ses. cordiale bienvenue. qui pourrait être organisé à meilleur qui ils pouvaient offrir, leurs compliments Fête votive dit les poilus, leur jette des fleurs. Objets provenant du travail de l'argile : de condoléances — et réciproquement. Elle est heureuse et fière de fêter votre marché, mais surtout parce que les Voici le programme des fêtes du quar- retour. Elle vous manifestera sa joie par En passant devant les statues de poterie, etc. Parfois on y met plus de doigté. Un les voyageurs qui sont obligés de tier de la Place Rousseau : les acclamations et les vivats qui se pro- Murât et de Bessières, les troupes Une exposition de fruits, de produits exemple entre autre Un gros négociant, duiront sur votre passage. — Mais, hélas,, présentent les armes. maraîchers et agricoles et de plantes d'or- prendre l'autobus sont exploités, sont très influent, était suspecté d'animosité, à Samedi 30 août, : 19 h. 30, distribution victimes de l'arbitraire des entrepre- cette joie sera contenue par le souvenir de Après avoir traversées rues Haute- nement sera annexée à l'expoêîtîon ci-des- notre égard: Après un temps suffisant des bouquets aux jeunes filles du quartier. ceux qui moins heureux, tombés dans sus. ' ~ neurs entretenus par les finances d'observations quotidiennes, la Police se l'infernale mêlée, ne reverront jamais le serre, Victor Hugo, les poilus arri- Dimanche 31 : 3 h., Distribution des bou- vent sur les Boulevards. Là, partout Une somme 300 francs, des médailles départementales provenant des im- rend chez lui en plein jour. Invisible! quets aux jeunes filles du quartier; toit familial. — A ceux-là j'adresse l'hom- et des diplômes d'honneur seront attri- pôts payés par tous les contribuables. pourquoi? malade, très souffrant de bron- rnage de la plus ardente reconnaissance.' des guirlandes, des banderolles qui 11 h., Grand'messe en l'Eglise St-Urcisse J'adresse aux mutilés qui ont dû quitter bués aux exposants les plus méritants. Voici un fait qui mérite d'être si- chite — vous avez ici un médecin qui va à la mémoire des soldats morts pour la portent des inscriptions : « Honneur Les exposants sont invités à se faire avant la,An leurs camarades, et qui vien- e gnalé : il date d'hier. > vous examiner — Résultat de l'ausculta- Patrie; 16 h. 30, bal d'enfants; 17 h. 30, nent aujourd'hui les recevoir, nos senti- au 7 » : des fleurs sont jetées. Tout inscrire avant' le 1« octobre chez M. le tion ! de la frime! transportable ! Enlevez- apéritif bal; 21 h. 30, ouverture du grand ments d'infinie reconnaissance, je m'incline le long des boulevards, les magasins, directeur des services agricoles à Cahors « Le 20 août, 7 voyageurs se présentent le et expédiez-le « chez lui » Cris de pu- bal. respectueusement devant -vos drapeaux notamment Paris-Cahors, les établis- et à indiquer en même temps la nature, le dans l'après-midi au bureau de l'autobus tois ! menaces ! Chacun son tour 1 Et sa étincelants d'une gloire impérissable. e sements publics, le Hall desjournaux, nombre et le volume approximatif des ' Cahors-Montcuq ; le préposé à la distribu- « Firma » sous séquestre. Lundi i r septembre : 15 h., jeux divers, Grâce à vous tous, soldats de la grande poêle, cruche, baquet, course à piéd, aux les maisons particulières sont déco- objets. tion des billets répond : « 1^ n'y a plus de On a des renseignements de toutes sor- guerre^ grâce à vos efforts, à votre disci- Les objets présentés devront être mis sacs, brouette, etc.; 16 h. 30, lancement pline, a votre courage, â votre abnégation, places disponibles. — Mais, Monsieur, tes sur une belle de jour ou de nuit, culti- rées comme rarement cela s'est vu en place, le 5 octobre à 10 heures du ma- vous êtes chargé d'assurer un service pu- vant tous les baoilles possibles et l'espion- du ballon « l'Impassible » ; 21 h. 30, ouver- à votre mépris du danger,la France a repris dans notre ville. ture du bal qui se terminera par le tradi- sa place dans le concert des grandes Na- tin. blic et il n'est pas admissible... — Com- nage officiellement ; il est, depuis long- tions. Les poilus défilent au milieu des Le président de l'office agricole du Lot, plot ! Nous ne savons pas si la grande temps, l'heure du mystère quand on frap- tionnel Grand-Père. bravos ; de la foule, des jeunes filles Chevalier de la Légion d'honneur, Le meilleur accueil sera réservé à nos Les Journées de la Marne, de l'Yser, de voiture sera libre, alors nous suspendons pe à sa porte ! Résistance ! on ouvre ! Champagne et de Verdun ont effacé les pocteur. REY. vaillants Poilus et à la jeunesse Cadur- se détachent pour leur jeter des la distribution des billets. » l'hôte heureux ou malheureux disparaît. Journées néfastes de 1870. fleurs, pour remettre des bouquets Le secrétaire, . Tête des voyageurs qui sont attendus et La belle Cythéréenne s'indigne, ne veut cienne. Grâce à vous, l'Alsace et la Lorraine ont au Colonel, aux officiérs: en quelque Le directeur des services agricoles du Lot ne veulent point coucher à Cahors ; dis- pas suivre là où elle se doute qu'on va I été rendues à la Mère-Patrie. G. JAGUENAUD. Le 25, à l'aube, la canonnade reprend. On voit ce, la marche vers le Sud s'accomplit sans inci- Publications de Mariages Salviac les Allemands déboucher des bois, très loin, et ten- dents. L'HISTORIQUE DU 7' Bouissy Louis, industriel à Bouziès-Haut et Plagès Changement de foire. — En raison de la REMERCIEMENTS ter de s'infiltrer par les petits ravins qui convergent Le 28 au soir nous sommes à Artez-le-Vivier. coïncidence avec la foire de Gourdon, la Germaine, s. p. à Cahors. Les familles LALANNE et DISSÈS et sur Carignan. Un formidable duel d'artillerie s'en- Le 29, au Chesne, que l'on abandonne le 30 foire de Salviac qui devait avoir lieu le Rouquié Auguste-Félix, cultivateur à Cahors et tous les autres parents, remercient bien Au moment où Cahors salue avec pour bivouaquer à Chufilly. 20 septembre jour de samedi, se tiendra le gage, mais dans lequel la supériorité du 75 s'affirme. Peyroux Marie-Louise, s. p., à Cahors. sincèrement toutes les personnes qui leur enthousiasme le retour de nos poi- Un temps d'arrêt et la retraite inexorable conti- vendredi 19 septembre. Avis aux mar- Tout ce qui sort des bois est pris sous le feu de nos Mazilié Antoine, maçon, à Cahors et Bonhomme ont témoigné leurs marques de sympathie nue. chands et commerçants. lus, nous sommes heureux de pu- canons qui, de plus, fouillent toutes les dépressions Jeanne, s. p. à Cahors. ainsi que celles qui ont bien voulu assis- blier l'Historique du 7» d'infanterie. du terrain. Osnes, que nous avons quitté la veille, est Dans la nuit du 1" au 2 septembre, on passe Se- Hyménée. — Notre jeune compatriote Pédehnas Louis-Paul-François-Joseph, commis de ter aux obsèques de Nos lecteurs seront certainement pris à partie par noire artillerie qui pilonne sans mide où uri court engagement a lieu avec l'avant- Fernand Lugol, sous-lieutenant d'infan- trésorerie et Gélis Anaïs-Marguerite, industriel à intéressés à la lecture de ces pages gardé prussienne. terie, le fils du sympathique directeur de Madame Eugénie MOURSiH arrêt ce malheureux village devenu une fourmilière Ferray (Aude). vécues qui sont l'œuvre d'un de nos d'Allemands. Maintenant la retraite s'accélère. On marche nuit l'école primaire de Salviac vient de se Epouse LALANNE Diez Joseph, cultivateur à Bosquet (Oran, Algérie) marier avec Mademoiselle Louise Vialle sympathiques et vaillants officiers du Toute la journée la bataille fait rage. Peu de et jour, presque sans arrêt. Le repos n'est plus per- T d'infanterie auquel, avec nos féli- et Cambou Marguerite, employée de bureau à institutrice à Brive. fusillade, mais du canon, encore du canon, et tou- mis ; le sort de la France en dépend ! Cahors. Nos meilleurs vœux de bonheur aux citations nous tenons à adresser nos jours du canon. Malgré la fatigue des marches forcées, des nuits Couvot Henri-Julien-Jean, instituteur à Toulouse et jeunes époux. vifs remerciements. C'est un massacre de boches ! sans sommeil, de la faim, de la soif pas une plainte Bergues Jeanne-Julienne, s. p. à Cahors. Vente de vieux papiers La fumée dégagée par les projectiles est telle ne s'échappe de notre bouche, pas un traînard ne Pouget Gabriel-Jean, maçon à Cahors et Nègre Ge- L'an mil neuf cent dix-neuf et le qu'on dirait qu'un épais brouillard s'élève tout à T REGIMENT D'INFANTERIE reste en chemin. neviève-Marguerite,» couturière à Labéraudie. 11 septembre à 14 heures à la Préfec- coup des ravins. Chacun connaît son devoir et mieux vaut mourir Barthe Louis, cultivateur à Cabessut et Tourrières ture du Lot, il sera procédé par le Décidément la vengeance commence et les Alle- Campagne 1914-1918 sur place à» fatigue et de privations que de tom- Marthe, gagiste à Cahors, Cabessut. Receveur des Domaines à Cahors, à mands, surpris par cette résistance alors qu'ils nous ber aux mains de l'ennemi. la vente à charge de mise au pilon de Mariage croyaient en pleine déroute, hésitent et s'arrêtent. Nous traversons la Champagne pouilleuse où l'eau 8000 k. de vieux papiers provenant Historique sommaire d§s faits Une compagnie du Régiment va faire sauter le fait totalement défaut. Roux Henri-Justin, employé à la Préfecture et Ba- de l'Administration des Postes. pont de Carignan, car malheureusement il va falloir Une chaleur torride nous brûle le visage et irrite tut Laurence, s. p. Paris, 11 h. 15. CHAPITRE PREMIER encore battre en retraite malgré le succès de la jour- a gorge. Qu'importe, il faut marcher, car la ven- Décès née. ;. geance est proche. Un Haut Commissaire Médecine Pratique Mobilisation. — Opérations prélimi- Bergon Mathilde, Veuve Alphonse, 63 ans, rue Le 26 août, à 1 heure 30, on franchit la Meuse D'interminables convois d'émigrés encombrent les Les personnes atteintes de bronchites naires. — Transport et concentra- Maréchal Joffre. à Gonstantinople à Mouzon. colonnes. Des vieillards, des femmes, des enfants invétérées qui toussent et crachent sans tion à la frontière belge. Gaubert Antoine, cultivateur, 68 ans, à Lacapelle. De Washington : L'amiral Marx Bristol A la tombée de la nuit, on s'installe à la cote ont quitté en hâte le pays natal, la petite patrie, e! cesse, été comme hiver, peuvent guérir en Caron Alexandre, pointeur, 52 ans, rue des Trois- Le 1Gr août 1914, à 16 h. 35, le Colonel Hélo, 314, près de Raucourt, avec mission de contre-atta- les voilà qui s'en vont, au hasard de la destinée, est nommé Haut-Commissaire des Etats-Unis employant la Poudre Louis Legras. Ce Baudus. Commandant le Régiment, reçoit l'ordre de mobili- quer l'ennemi qui aurait réussi à franchir le fleuve. dans l'intérieur du pays pour ne pas subir le joug à Constantinople. remède merveilleux qui a obtenu la plus Bédué Antoine, rentier, 73 ans, rue Feydel, 19. haute récompense à l'Exposition Univer- sation. La nuit se passe sous une pluie battante ; les Alle- allemand. A Moursin Eugénie, épouse Lalanne, 58 ans, rue La- selle de 1900, calme instantanément et Sans heurt, dans un calme et un ordre parfaits ands ne sont pas là. Une charrette pleine de hardes, de paillasses, de barre, 6. Les Français dans l'armée guérit l'asthme, le catarrhe, l'oppression, s'exécutent les opérations préliminaires. Elles durent A l'aube, l'ordre est donné d'abandonner la posi- meubles, d'objets inutiles entassés pêle-mêle par des l'essoufflement et la toux des vieilles Tournié Marie, 65 ans, Hospice. de Koltchak quatre jours, et, le 5 août, à partir de 16 heures, le tion et de se rendre à Haraucourt. mains fiévreuses que guidait un cerveau affolé passe bronchites. Une boîte est expédiée contre Larue Marguerite, 16 ans, Grande Chartreuse. Régiment au complet s'embarque en chemin de fer La fatigue est grande, surtout si l'on ajoute aux près de nous. Sur le faîte de cet échafaudage deux De Londres : Un télégramme d'Omsk an- mandat de 2 fr. 80 (impôt compris) adressé Dedourge Georges, 15 jours, Hospice. au milieu de l'enthousiasme de la population cadur- veilles l'angoisse de la retraite. Néanmoins le moral vieillards sont étendus. Derrière marchent les jeu- nonce qu'un détachement aérien français est à Louis Legras, 139, Bd Magenta, à Paris. cienne. n'a pas fléchi. nes: la mère, portant un nourrisson sur ses bras, •"————'xm<—*—™~* arrivé à Krasnoyarsk pour coopérer avec les Le voyage est long ; on est impatient d'arriver. puis trois petits bambins qui crient : « Maman ! CHAPITRE 111 C'est Bessie BARRISCALE qui pa- troupes du général Koltchak. Aussi n'est-ce pas sans surprise que les bataillons « du pain ! Maman ! j'ai soif ! ». raît aujourd'hui dans le nouveau Film de A MODES débarquent à Valmy croyant être dirigés sur l'Al- Bataille d'Angecourt et de Thelonne Ceux d'entre nous qui ont entendu cet appel dé- l'APOLLO sace. chirant de l'enfant se précipitent et donnent le petit Un Démenti On arrive à Haraucourt de fort bonne heure. Façon et réparations Les étapes jusqu'à la frontière se font parmi des morceau de pain et le peu d'eau qu'ils conservaient On distribue rapidement quelques vivres aux hom- Une Comédienne !!! De New-York : Le colonel House dément bois, 4es champs, des villages qu'illustrèrent tant de si précieusement. mes et l'on prépare un peu de café. formellement avoir rompu avec M. Wilson. lle combats dont le souvenir éclate à notre mémoire. O triste vision ! Une Femme !!! Mais tout à coup : alerte ! A M DUVERGER, 8, rue Brives D'abord Valmy ! Quel passé glorieux ce nom Pourquoi ajouter cet affreux spectacle aux an- Les l'!I et 2" bataillons reçoivent l'ordre de pro- dramatique et sentimental en 5 parties . évoque dans notre esprit. L'âme des volontaires de goisses de la retraite ! Contre la semaine de 44 h. PRIX MODÉRÉS onger à droite le 14'' et de le protéger sur son reproduit par cette excellente artiste qui 92, des héroïques soldats en sabots qui arrêtèrent Nous traversons Somme-Py, Souain et Suippes le flanc pendant qu'il prononce une contre-attaque sur est l'enfant gâtée des amsteur de l'écran. De Londres : L'Association des mécani- l'invasion des coalisés, plane sur nous. Debout sur 2. Thelonne. D'autres belles vues compléteront ce ciens vient de décider de renoncer à la se- JE SUIS ACHETEUR son socle de pierre, Kellermann nous montre le che- Le Lieutenant-Colonel Borius prend le Comman- Un « Taube », reconnaissable à sa forme d'ai- programme intéressant. maine de 44 heures. Le député Brace préco- min de la gloire gle, survole la route qu'encombre le flot humain. de PROPRIÉTÉS de rapport dement de ces deux bataillons pendant que le 3° >îa<_«___ nise le retour au travail aux pièces comme Après Valmy, c'est l'Argonne que Dumouriez Mais tout à coup apparaît au-dessus de lui un même très importantes reste en réserve de Brigade dans le Village. seul moyen de relever le rendement des mi- appelait les Thermopyles de la France. Plus loin, avion aux cocardes tricolores. Trois coups de ca- Gazais Le 2e bataillon commence le mouvement et se di S'adresser à IM. VITRAC, banquier â Buzancy avec la statue du Général Chanzy devant rabine et le vautour à croix noires s'écrase sur le nes. rige, suivi du 1ER, sur Angecourt d'où ils prennent Encore l'autobus. — Voilà bientôt 3 mois Sarlat, ou à M. DESPRATS, Immeubles, laquelle le drapeau s'incline ! Sommauthe, où les sol. A tous deux la formation de combat. qu'il fonctionne et durant ce laps de temps, Maire de Luzech. gens du village nous racontent la bataille d'il y a il a été formulé à son sujet des critiques La liaison est établie avec le 14e et le contact est Le 3 septembre nous bivouaquons à Vesigneul- Dans les provinces boches quarante-quatre ans. Ah ! ils n'ont pas oublié ! sur-Marne. nombreuses et justifiées. rapidement pris avec l'ennemi. De Londres : Le Morning Post dit que On demande Voici Beaumont que l'on doit venger ; plus loin Le 4, nous voilà à Sompuis. Et toujours avec La plupart d'entre elles pourraient enco- Le feu est engagé sur tout le front. Nous nous re être renouvelées, néanmoins il en est la situation dans les provinces baltes est extrê- DE BONNES BRODEUSES, bien Mouzon et Carignan, proches de Sedan, et bien nous l'interminable convoi des charrettes, des vieil- emparons des deux premières lignes de tranchées une sur laquelle il convient d'insister tout rétribuées, adresser suite échantillons. d'autres encore lards, des femmes et des enfants !... mement grave. Les troupes allemandes pour- allemandes. spécialement, c'est le manque de confort Mme Boivin, rue de la Grenette, Louhans, Les villages se vident après notre passage et vues d'un matériel nombreux ont réoccupé la CHAPITRE II A ce moment, le 2* bataillon, malgré le renfort de la voiture en service. Les voyageurs y (Saône-et-Loire). 01 leurs populations s'accrochent désespérément à nous. sont mal installés, exposés à la poussière Lithuanie et se préparent à pénétrer en Rus- Bataille de Bertrix (22 août 1914) de deux compagnies du l ', est arrêté devant une Le 5, à minuit, on arrive à Brebant et Corbeil et à toutes les intempéries. On se deman- crête et un petit boqueteau occupés par de l'infante- sie. Enfin, le 20 août, le Régiment franchit la fron- où nous espérons goûter un peu de repos, mais à de quand l'entrepreneur se décidera à rie et des mitrailleuses ennemies. L'assaut est donné VENTE ET ACHAT DE PROPRIETES tière et prend les avant-postes à Herbeumont. Pour 3 heures du matin, alerte ! mettre en service une voiture conforme à par trois fois ; chaque fois le bataillon est ramené. Grande et belle propriété de rapport la première fois on a l'impression' que l'Allemand Allons ! il faut repartir. La route du Sud est là celle prévue au cahier des charges. Au Mexique Le Lieutenant-Colonel envoie demander à l'artil- Le public qui paie fort cher^ pense avec et d'agrément. Rivière du Lot, 60 barri- est proche. devant nous. De New-York : Le Sénat mexicain a dé- lerie cle battre la lisière de ce bois, mais celle-ci raison que le concessionnaire doit réali- ques vin, bon cru. Chasse et pêche. 1 Ml. Le 22, vers 15 heures, on marche au canon. L'or- Mais est-ce une illusion ? 11 semble que nous gare. Prix 120.000 fr. répond qu'il y aurait autan! de danger pour nous ser des bénéfices importants et pouvoir cidé que le projet relatif à la nationalisation dre suivant est alors communiqué à la troupe : prenons le chemin du Nord que pour les Allemands en raison de la faible dis- aisément se procurer une voiture du type des exploitations pétrolifères n'aura pas Propriété de rapport, négligée, pou- « Aujourd'hui 22 août, à 6 heures du matin, On marche quelques kilomètres, puis on s'arrête tance qui nous sépare de l'ennemi. Ne voulant pas réglementaire. Le voyageur, le contribua- d'effet rétroactif. vant nourrir 2 paires boeufs, cheval, trou- <( l'armée française prendra l'offensive, elle aita- dans un champ, les bataillons en colonne double. ble, éternels tondus, se lassent. Qu'on peau. Affaire exceptionnelle 25.000 f r. Nom- abandonner le terrain conquis, le Lieutenant-Colonel A « quera l'ennemi partout où elle le rencontrera. » Que se passe-t-il ? veuille bien y songer, il en est temps ! breuses autres propriétés à des prix di- donne l'ordre au Capitaine Debelmas, Commandant La bataille fait rage à notre droite ; on traverse A ce moment, le Commandant Labourdette réunit Les Boches ne veulent vers. le t'1 bataillon, d'essayer, avec les deux compagnies Bertrix, puis on s'arrête à Assenois. Nous sommes les Officiers et leur lit l'ordre suivant que l'on S'adresser : Mue DELFAU, à Lauzès qui lui restent, un mouvement enveloppant par la Galvignac pas partir (Lot). Tous les samedis à Cahors, rue près des grands bois où l'Allemand est gîté, pa- communique immédiatement aux hommes : droite. Réunion de Poilus. — A Calvignac, le De Zurich : Les troupes allemandes occu- Brive, et 2, rue du Temple. Honoraires mo - rait-il, « Au moment où va s'engager une bataille dont 11 reçoit, en même temps, un renfort d'un bataillon 24 août au soir et à Cajarc, le lendemain, pant encore les provinces baltiques refusent dérés. Mais que s'est-il passé depuis le matin ? On dit « dépend le salut de la Patrie personne ne doit du 88'' (Bataillon Vagir.ay) qu'il envoie pour ap- jour de foire, plus de deux cents poilus que les régiments qui nous précédaient ont déjà « plus regarder en arrière. Une troupe qui ne peut d'évacuer l'Esthonie malgré l'ordre de Ber- puyer l'attaque. ont applaudi le Président de l'Union des combattu et que notre tour est arrivé. <( plus avancer doit se faire tuer sur place plutôt lin. Vente de chevaux Un quatrième assaut est encore tenté, et cette fois Combattants du Lot. - Les cartouches supplémentaires sont aussitôt dis- « que de reculer. » Signé : Joffre. En termes simples et précis, M. Canon A la position tombe entre nos mains. Grand convoi de chevaux pro- tribuées et les bataillons se massent dans de petits Enfin la retraite est finie ! fit un exposé succinct de la formation de Il est 12 heures. » Au Monténégro venant de l'armée anglaise. bois à l'ouest de la route Bertrix-Offagne. On plan- Le moment est venu de vaincre ou de mourir. l'Union départementale. Les groupements La lisière Nord du bois est immédiatement occu- De Londres : On annonce officieusement En vente Hôtel COWIBELLES, te la baïonnette au bout du fusil et l'on attend l'or- Officiers et soldats font le serment de ne pas lâcher locaux et cantonaux, dit-il, n'atteindront pée par nous ; les mitrailleuses sont mises en batte- leur complet développement et ne pour- Samedi 30 et Dimanche 31 Août. dre de l'attaque. pied et de faire payer cher à l'ennemi les horreurs que la situation est extrêmement grave au rie et on poursuit, par le feu, l'ennemi qui dévale ront faire entendre leur voix qu'en parti- Le 1" bataillon est d'abord engagé, mais à peine auxquelles ils viennent d'assister. Monténégro. Le pays est en complète révolu- les pentes dans la direction de Pont Maugis. cipant à une Union départementale capa- s'est-il approché de la lisière des bois qu'il est ac- tion. Les Serbes font tous leurs efforts pour Les sections de mitrailleuses des Lieutenants De- ble de coordonner les efforts, de susciter HUILES A 8RAISSER cueilli par une vive fusillade. C'est le moment d'y (A suivre). cap et Clarissou font d'excellent travail : elles abat- au besoin les initiatives et d'intervenir la réprimer par de rigoureuses mesures. aller « à la fourchette », suivant l'expression du (Toutes applications) tent les fuyards par paquets. auprès des pouvoirs publics au nom de A Colonel Hélo. Prix normaux tous les combattants du Quercy. Pour autos, demi-fluide, verte, Frs. 135 00 L'organisation du terrain conquis est immédiate- La charge est ordonnée. Dans un élan magnifique, En terminant, M. Canon fit appel à Paris, 13 h. 30. Pour mouvements N° 1 Frs. 128 00 ment entreprise, mais rendue très difficile par un feu DES les trois bataillons se lancent à l'assaut précédés de l'Union sacrée et remercia en quelques Huile vaseline blanche Frs. 160 00 violent de mitrailleuses partant de la droite, dans Le départ Les °/o kilos, Bordeaux, fûts pétroliers leurs chefs. Principales denrées alimentaires mots choisis les organisateurs de ces deux la direction du Canal, et par le feu de l'artillerie réunions. du général Pershing origine ; et toutes autres qualités à la Mais les Allemands sont tapis dans des trous en La Commission de fixation des prix ennemie. Pour les adhésions s'adresser à Calvi- môme côte ; prompte livraison. avant desquels ils ont tendu des fils de fer que les normaux des denrées et boissons de con- De Paris : Le général Pershing quitte Pa- Le Commandant de Villelume est tué de plu- sommation courante, dans sa séance du gnac, à M. Marios René: à Cajarc, à M. SEUREAU, 33,rueSt-Charles, Bordeaux nôtres ne voient que trop tard. Fréjaville André. ris demain pour se rendre à Brest lundi. sieurs balles en observant, debout, les positions alle- 25 août, a arrêté le prix des denrées, pour Nous sommes arrêtés par cet obstacle sous un feu Au cours d'une interview qu'il a accordée mandes d'où partent ces feux. le département du Lot, comme suit : meurtrier qui cause de grands ravages dans nos Peu après, le Lieutenant-Colonel Borius tombe à un rédacteur de Paris-Télégrammes, le gé- ON DEMANDE A ACHETER rangs. Malgré les pertes, trois fois les bataillons Vin rouge ordinaire à emporter, au dé- Varaire tall néral Pershing a déclaré qu'il considère le reviennent à la charge. Trois fois ils échouent. grièvement blessé ainsi que le Commandant Vagi- > ""yv V- 150 le litre- La réunion organisée par VUnion clés dans la région : nay, ancien Capitaine du 7e, PommeT s de terre o 50 le kilos- soldat français comme le plus brave. Il a dit Le Capitaine Baron Dauthet à qui un Officier Combattants du Lot le 24 août obtint un Usines, Industries, Fonds de Com- Le Capitaine Lavigne a les deux bras traversés Haricots verts, moyens. 0 85 — plein succès. également que sa rentrée en Amérique lui fait rernafquer l'inutilité du sacrifice répond : Haricots à écosser o 70 merce, Propriétés rapport ou agré- et la poitrine labourée par une balle. Son corps M. Canon démontra la nécessité de permettra de dire combien le concours améri- « Tant pis, je bourre ! ». Puis, sautant à cheval Tomates o 20 — ment, quels qu'en soient l'importance ruisselle de sang. Malgré la souffrance, il ne cesse grouper les Combattants en vue de la il s'élance à nouveau en tête de sa compagnie avec Oignons 60 - cain serait utile pour aider l'effort français ou le prix. d'encourager ses hommes. 0 défense de leurs intérêts, en vue aussi de le fol espoir de franchir ainsi la barrière de fil de Citrouilles o 40 dans les régions dévastées. maintenir et de perpétuer l'Union sacrée, Prêts. Capitaux. Commandite. fer. Une balle au front le couche sur le sol pendant Le Lieutenant Duluc est tué. Les Lieutenants Poulets vivants 7 00 — qui a sauvé la France et qui doit lui *** Fort, Albet, Caldairou et Denille sont blessés. 3 50 — Omnium Immobilier de France. que, non loin de lui, tombent IÈS Capitaines Pidauï. Lapins vivants .. assurer une paix féconde. e Œufs Cenebrias et Vieillefond, les Lieutenants Regnault, A ce moment arrive, en renfort, le 3 bataillon, - ', 3 75 1adouz. M. Lafon a été désigné comme prési- Le traité avec l'Autriche Bourse du Commerce, Paris. Rozier, Gaud, Genieys, Dagras et bien d'autres que drapeau déployé. Tout le régiment se trouve main- Viande de bœuf dent du Comité provisoire. Le Conseil Suprême n'a pas encore com- (on ne reyjt jamais. tenant engagé. La bataille redouble d'intensité, car lre catégorie 8 00 — Pès le début de l'action, le Commandant Fusil l'ennemi envoie sans cesse des troupes pour essayer 2e catégorie g 50 _ plètement terminé le projet définitif du traité Etablissements BRUEL, Fils e Flgeae ftvait été blessé d'une balle à la jambe de prendre pied sur la rive gauche de la Meuse. 3 catégorie. 5 00 — avec l'Autriche qui ne pourra être remis que Respect aux règlements. —- En vertu des SOUILLAC (Lot) Comment dire tous les actes de courage et d'hé- Au loin, on aperçoit Bazeille.s qui regorge d'en- Viande de veau mardi seulement à Renner. Celui-ci aura nemis. Notre artillerie y frappe sans arrêt et les instructions, M. le Commissaire de police roïsme accomplis par les hommes 1 Ils suivaient lre catégorie g 00 8 jours pour répondre. pertes allemandes s'accumulent. e de Figeac a dressé plusieurs procès-ver- ATELIERS DE RÉPARATIONS leurs chefs par amour pour eux et par haine du 2 catégorie \ 7 QQ _ baux contre des boulangers de la ville La Meuse, charrie des quantités de cadavres bo- toche ; ils les suivaient jusque dans la mort ! 3« catégorie [ 5 QQ _ pour tromperie sur le poids du pain livré. D'AUTOMOBILES ET MOTEURS ches. La nuit vint, et la retraite aussi, hélas ! Viande de mouton Nous ne pouvons que féliciter ce magis- Sous-Secrétariat d'Etat aux Finances Allons, la journée est bonne ! Sous la direction de M. JUILLIA Les bataillons, disloqués, ayant perdu toute cohé re trat pour son activité à enrayer les pro- Mécanicien-spécialiste des ires maisons Nos pertes sont sensibles, c'est vrai, mais celles l catégorie g QQ _ grès de la vie chère. f!»f). se dirigèrent sur Herbeumont en traversant 2« catégorie Q QQ _ de construction de Paris de l'ennemi sont énormes et le terrain est à nous. la forêt. La rage au cœur, nous conservions quan 3e catégorie 4 OQ _ LIQUIDATION DES STOCKS même l'espoir de nous retrouver en plein champ A droite et à gauche, le succès est aussi complet. Réparations et mise au point de tous Viande de porc Gourdon face à face avec l'ennemi, pour prendre une revan Le Général de Langle de Cary, Commandant véhicules et moteurs. — Pièces détachées. e Concert. — Un grand concert est en pré- — Soudure autogène. — Travaux de tour. che éclatante et venger nos morts. I Armée, téléphone en fin de journée au Général en l' catégorie 9 00 _ DÉPARTEMENT DU LOT 2e catégorie g OQ _ paration. C'est la chorale lyrique des jeu- — Réparations de carrosseries. — Garni- Cette occasion allait se présenter quelques jours Chef : Graisse 7 00 — nes filles qui nous réservera incessam- tures de capotages. — Remise en état de Plus tard. « Suis vainqueur à fond. Je demande à rester VENTE de CHEVAUX démobilisés Saindoux pur porc 7 00 _ ment cette agréable surprise. Nous sa- magnétos. — Réparations et charges d'ac- sur mes positions. » provenant des armées (Attelages des Ré- A Herbeumont, le Colonel parvient à regrouper Lard salé 3 QQ _ vons déjà que le programme sera des cumulateurs. — Accessoires. — Pneuma- 1.500 hommes du Régiment. (( Restez 24 heures pour affirmer votre succès, plus... sensationnels. Les bonnes volontés giments d'infanterie et du Train des tiques. — Bougies. — Transports mar- Huile d'olive ". . Y. 7 00 le litre. équipages). Il organisa immédiatement la résistance sur les lui répond le Généralissime, mais ensuite battez en Huile de graines 5 50 _ sont toutes coalisées pour donner à cette chandises par camions-automobiles. — retraite. » Pâtes alimentaires en soirée fout l'éclat désirable. A Cahors, le samedi 6 septembre, à 13 Locations de voitures automobiles pour fauteurs avec l'appui de quelques pièces de canon. heures. • courses et tourisme. Le Colonel Commandant la Brigade ayant été Nous passons la nuit sur les hauteurs de Rau- vrac... 170 le kilo. Théâtre-Cinéma. — Samedi 30 et diman- Fromage du Cantal.... 7 00 Lacapelle-Marival,le lundi 8 septembre, lue d« Je début de la bataille de la veille, il est court sans être inquiétés par l'ennemi dont l'avance che 31 août à 20 h. 30, le grand Théâtre- Sucre sans tickets 3 80 — à 13 heures. Section Electricité ^mplacé par le Colonel Hélo, et le Commande est certainement rendue difficile par son échec de Cinéma-Excelsior donnera une grande Souillac, le lnndi 8 septembre, à 13 heu- Beurre 12 00 — soirée pour le 2e épisode de Masque Sous LA DIRECTION DE M. LEIBINSON, «lent d Régiment'est exercé, à partir de ce mo la journée. res. u Les commerçants pourront se procurer d'amour 4% 5% 6e, 7e et dernière partie. Ingénieur électricien diplômé. men'. par l Lieutenant-Colonel Borius. Le lendemain, à 8 heures, le Régiment passe en Gramat, le mercredi 10 septembre, à e des affiches dans les Mairies. Si le nombre D'autres vues sensationnelles, comiques, 13 heures. Installations basse et haute tension. — Le 23 août, à 12 heures, l'ordre nous est donné réserve au Sud du village. Notre position est vio- des affiches était insuffisant, ils pourraient comédies, Pathé-Journal, etc. termineront de lemment bombardée par l'artillerie lourde aile Cajarc, le mercredi 10 septembre, à Force. — Lumière. — Sonneries. — Télé- quitter Herbeumont et de nous diriger sur Qsnes exceptionnellement en prendre une copie la représentation. Prochainement M. En- 14 heures. phones. — Réparations dynamos et ma- j,es' ' abandon du petit coin de Belgique que nous mande. et la aire certifier conforme par le Maire jalbert donnera « le Comte de Monte-Cris- avant de l'afficher. Martel, le vendredi . 12 septembre, à gnétos. — .Bobinage C. G. et C. A. — bridions, mais c'est aussi, hélas ! l'abandon d'une A 16 heures, on reprend le mouvement de re to », d'après l'œuvre célèbre d'Alexandre 13 heures. Surveillance et entretien d'usines. — Etu- Part* de notre sol. traite que protègent des compagnies du 2° bataillon La Commission a pris la.décision de Dumas. des. — Calculs. — Devis. — Dessins. — nxer dans sa prochaine séance les prix Cahors, l& samedi 13 septembre, à 13 On arrive sans encombre à Osnes où on s'installe et la section de mitrailleuses du Lieutenant de Cas- Comme d'habitude, il y aura certaine- heures, Fourniture de matériel. normaux des denrées destinées à l'ali- ment salle comble. en cantonnement d'alerte. Le lendemain, le Régi telnau. mentation du bétail, Cette mesure est Pigeac, le lundi 15 septembre, à 13 heu- Télégrammes : BRUEL, Souillac. m Pourquoi reculer encore puisque le succès est à res.' ent se reconstitue près du village. justifiée par la hausse factice que l'on TÉLÉPHONE : 4. nous ? C'est l'ordre, il faut s'incliner ! constate sur ces divers produits. Saint-Germain Prayssac, le mardi 16 septembre, à 13 H ! Maillon est reformé avec trois compa. heures. 8n,l« seuletnerit par suite des pertes élevées qu'il •Mais cela ne va pas sans une yiolente protesta- , L'Association générale du Lot des Muti- Le Directeur des Services agricoles, Dans chaque vente il sera mis aux en subies. ' ' ' tion du Lieutenant Falgueirettes qui, les vêtements en Président de la Commission de fixation lés, anciens combattants, leurs veuves et Automobiles André Citroën D ie e ascendants a fait vendredi à 16 heures, à chères de 15 à 30 chevaux environ. nise ^t' ' Régiment se porte à Euilly qu'il orga- lambeaux, un manteau allemand sur les épaules, un des prix normaux, la Mairie, une réunion qui a obtenu le Payement au comptant 5 °/0 en sus. t 'f* ^^nsivement, pendant que de nombreuses bat- casque à pointe au ceinturon et un fusil boche en G. JAGUENAUD. c plus vif succès. Pour l'exercice du droit de priorité, t !r S'"s'?"ent un peu en arrière de lui pour in- main, veut arrêter, avec sa poignée de braves, De vibrantes allocutions de MM. Emile consulter les affiches. On rappelle que les l enneml ,e assa e l'avance de l'ennemi. Le Préfet, "È^ - P 8 de la Chiers. Cavarroc, Delmas, Francoual, Pugnet, en bénéficiaires du droit de priorité devront e n Creuse des ,rancn Jean GRILLON, se présenter en personne et justifier de fiab'" ^' ' ° ées. La plupart des faveur de l'Union entre camarades du 'lants ont fui devant l'invasion. Quelques vieil- CHAPITRE IV front, sans politique, recueillirent l'appro- leur identité. lard: seulement sont restés, ne voulant pas aban- bation unanime de la salle et la fin de NOTA. — Il ne sera pas consenti de oni>er leur foyer et l'un d'eux dit aux soldats : Retraite Etat-civil de la ville de Cahors leurs discours fût marquée de vifs applau- prêts de chevaux. dissements. ti A Va'3 V°US a'c'er a défendre mon village. A partir de ce moment commence la. longue et Bu 23 au 30 Août 1919 L.e Directeur des Domaines. Le Bureau a été ainsi composé : AGENCE RÉGIONALE vec ma charrue, je vais creuser des tranchées douloureuse retraite. DUBLINEAU. Naissances Président : M. Delmas. NOUYRIT-SALOMON * yf' $«» champ et lorsqu'ils viendront, les ban- Raucourt, Angecourt ont marqué, pour le Régi- Secrétaire : M. Francoual. s Pousson, Lucien-Jean, bd. Gambetta, 109. L'abondance des matières nous >< . je prendrai un fusil, moi aussi, malgré mes ment, les derniers combats de notre première ren- Trésorier : M. Pugnet. i Pour les essais de la voiture, s'adresser ' Weveux blancs ! » contre avec l'Allemand exécré. Descargues, Marcel, à la Maternité. La prochaine réunion aura lien fin sep- oblige à renvoyer au prochain nu- | Garage Citroën, place St-Urcisse, et 11, Uijourné e et la nuit s'achèvent dans le calme. A part quelques escarmouches de peu d'importan- Blanchou, Adrien-Jean-Alfred, rue Brives, 15. tembre. méro la suite de notre feuilleton- Boulevard Gambetta. JIPIMIIIIIHIIIBKB x Conduché (arrivée) 18 h. 30 Chemin de fer de Paris à Orléans à l'exclusion toutefois des chiffons, faible qu'on croit communément et qu'il j — (départ) 9 h. liquides en fûts, fûts vides, oranges, ne suffit pas à entraver l'essor de la navi- HORAIRE DES AUTOBUS Cabrerets 9 h. 05 Rétablissement pour la saison d'été pommes à cidre, voitures, emballages, gation commerciale à travers les airs. Ligne de Castelnau-Cahors Sauliac ' 9 h. 20 1919 des billets d'aller et retour col- Bizerte, sacrifiée jusqu'ici à Tunis et à Entrepreneur : M. Artigalas, 103, bd Gambetta Monteil 9 h. 30 vides montés, récipients vides et Bône, est l'objet d'un'plaidoyer chaleureux Marcilhac v 9 h. 40 lectifs de famille. meubles. Castelnau (départ) 7 h. 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Ceint-d'Eau 11 h. 10 journalier et dans les trains omnibus Enfin, voici le cinéma, chaque jour plus Sept-Ponts 17 h. 20 Figeac (arrtvée) 11 h. 25 sieurs enfants mineurs non mariés. et peuvent y faire enregistrer leurs envahissant, qui aborde la résistance des Mon Journal L'Hospitalet 17 h. 40 Il peut comprendre en outre : métaux et permet une étude plus appro- Ligne de Figeac à St-Céré bagages dans les conditions fixées c, LE MAGAZINE. PRÉFK.RÉ. Pern 17 h. 50 1° Leurs sœurs majeures' mais non fondie de leurs déformations. Boyer..'. 18 h. Par Lacapelle-Marival pour les autres voyageurs. La limite A ces études très variées, il faut ajou- 1 DES ENFANTS. Malemousque 18 h. 10 mariées, deux de leurs ascendants au Figeac (départ) 16 h. des excédents de bagages est toute- ter la documentation pratique du supplé- Vitarelles 18 h. 20 maximum (père, mère, grand-père, fois portée pour eux à 200 kilos par " Mon Journal ", met à la partie de» Castelnau (arrivée) 18 h. 30 Planioles 16 h. 15 ment : photographie, objets utiles, recet- Camburat 16 h. 25 grand'mère, beau-père,' belle-mère) ; enregistrement. tes d'atelier, etc. enfants les événements actuels parle teztt Ligne de Montcuq-Cahors Fons 16 h. 40 2° Un ou une domestique pour l'en- Ils sont, en outre, admis? mais Yssepts 16 h. 55 semble de la famille et une nourrice LA NATURE. — Revue des Sciences et et par l'image. Avec ses vivants romans Montcuq (départ) 7 h. Le Bourg 17 h. 15 sans pouvoir y faire enregistrer leurs de leurs applications à l'Art et àl'Industrie, pour tout enfant de moins de trois sur la guerre, ses anecdotes sur nos vail- St-Daunès 7 h. 15 Lacapelle 17 h. 30 bagages, dans un certain nombre de 120, Boulevard Saint^Germam, Paris. Bagat 7 h. 25 Anglars 17 h. 40 ans. trains directs désignés à cet effet par lants soldats, ses traits d'héroïsme des St-Pantaléon 7 h. 35 Aynac 18 h. 25 Les orphelins de père et de mère St-Martial 7 h, 45 La Gineste 18 h. 40 l'Administration Centrale, à l'exclu- sont assimilés aux enfants des per- Vient de paraître : armées alliées, il compose le recueil de Villesèque 7 h. 50 Saint-Céré (arrivée) 19 h. sion des autres trains directs, trains-, Cluzel 8 h. — (départ) 7 h. sonnes qui les ont recueillis. l'avenir, où les jeunes générations iront Trespoux 8 h. 10 La Gineste 7 h. 20 Les titulaires des billets^ seront te- poste, trains express ét trains rapi- Le Poilu Sept-Ponts 8 h. 20 Aynac 7 h. 50 des. puiser, après celles-ci, des exemples digne» Cahors (bureau) arrivée.. : 8 h. 30 nus de voyager dans le même train à ou Anglars 8 h. 20 de ceux immortalisés par Plolarqut, Cahors (bureau) départ 17 h. Lacapelle 8 h. 30 l'aller et au retour. C) Voyageurs de commerce — Les « La Paix, Poilus ! » Le Bourg 8 h. 50 Voyageurs de commerce continuent Sept-Ponts 17 h. 10 Pour tous renseignements' et au- ABONNEMENTS^ * Trespoux 17 h. 20 Issepts 9 h. 05 à pouvoir faire enregistrer leurs ba- Chant populaire de la Grande Guerre. Fons - 9 h. 20 tres conditions , s'adresser aux gares FRANCS. t' ETRANGER Cluzel 17 h. 30 Prix : 25 centimes. Villesèque 17 h. 35 Camburat 9 h. 30 et bureaux de ville de la Compagnie. gages jusqu'à concurrence c*e 200 ki- U» an .. . lOfr.f Un an £ 12Ss St-Martial 17 h. 45 Planioles 9 h. 45 los d'excédent par enregistrement, Chez l'auteur, Adrien DE BQ M S, Caussade Sfctmoi» . 5,SO| Sîx.moîs...... 6,SO St-Pantaléon. 17 h. 55 Figeac (arrivée) 10 h. sous les mêmes formalités qu'anté- (T.-et-G.) Bagat 18 h. 05 St-Daunès 18 h. 15 Ligne Bagnac-Saint-Céré LES CHATEAUX DE TûURAINE rieurement. En vente : Montcuq (arrivée) 18 h. 30 par Sousceyrac EN AUTOMOBILE Aux librairies de Caussade et de Ca- Entrepreneur : M. Descargues, Louis, hors ; Ligne Gourdon-Cahors de Latronquière (Circuits au départ de Tours) A la librairie parisienne à Montauban ; par Salviac, Cazals, Frayssinet-le-Gèlat, etc. Latronquière (départ) 6 h. En vue de permettre la visite rapi- Chez M. Sistac, libraire, rue St-Etienne, Le co-gêranl : B. ALÏBERT. Entrepreneur : M. Fauge Bagnac (arrivée) 7 h. 20 16, à Toulouse. imprimerie COUESLANT (personnel intéressé), — (départ) 9 h. de et pratique des plus intéressants 6 h. 30 Latronquière 10 h. 10 châteaux de Touraine, la Compagnie 7 h. 15 Sousceyrac 10 h. 40 d'Orléans organise, au départ de Les Annales 7 h. 45 Saint-Céré (arrivée) 12 h. er 8 h. 15 Tours, du 1 juin au 30 septembre, Lire dans le dernier numéro des Anna- 9 h. 15 Saint-Céré. (départ) 16 h. les quatre circuits ci-après : les l'article de Gustave Lanson sur les 9.h. 45 Sousceyrac 17 h. femmes et l'enseignement ; le vibrant ap- 10 h. 20 Latronquière (arrivée) 17 h. 40 A. — Tours, Loches, Montrésor, pel aux mères, de Probus ; des pages re- 16 h. 40 Départ de l'autobus Latronquière-Figeac à Chenonceaux, Amboise, Tours. — marquables d'Ernest Lavisse sur Colbert, PE LA CROI 17 h. 15 18 heures. Prix par place : 30 francs. Départ à de J.-M. de Heredia sur André Chénier, 18 h. L'autobus Bagnac-St-Cëré reste à Latron- de Furetières sur les combats de boxe ; Frayjssinet-le-Gélat 18 h. 40 quière pour repartir le lendemain matin. 8 h. 45. Retour vers 18 h. 45. une étude d'ensemble sur l'œuvre de Gus- ioulevard Gambetta • 19 h. 15 Ligne de Figeac à Latronquière B. — Tours, Villandry, Azay-le- tave Courbet, un conte de Jean Berlheroy... 19 h. 45 Voir également la Valse Alsacienne de 20 h. 30 par Cardaillac Rideau, Chinon, Ussé, Langeais, Cinq- Mars, Luynes, Tours. — Prix par Théodore Botrel, la suite du roman de Départ et arrivée chez M. Fauge, boulevard Figeac (départ) 7 h. 30 Paul Bourget, la leçon d'anglais, etc. Gambetta, 49. Latronquière (arrivée) 10 h. place : 25 francs. Départ à 8 h. 45. Nombreuses illustrations en hélio. Pharmacie spécialement recommandée Latronquière (départ) 18 h. Retour vers 18 h. 30, En ventepartout. le n° 40 centimes. Ligne de Gourdon-Cahors Figeac (arrivée) 20 h. 15 par Labastide-Murat C. — Tours, Chenonceaux (par la la préparation des Entrepreneur : M. Bénestèbe, bd Gambetta vallée du Cher), Amboise (par la LA REVUE HEBDOMADAIRE Gourdon (gare) départ 6 h. 15 pagode de Chanteloup), Tours. — Gourdon (bureau) 6 h. 20 Prix par place : 18 francs. Départ à Sommaire du numéro du 30 août Concorès 7 h. 05 Petites recettes pratiques St-Germain 7 h. 20 13 heures. Retour vers 18 h. 30. . Envoi, sur demande. 8, rue. Garancière, Paris, d'un numéro spécimen et du cata- St-Chamarand 7 h. 40 D. — Tours, Villandry, Azay-le- LA PHW Frayssinet 7 h. 55 Quelques Conseils logue des primes de librairie v2tî francs E GARNAL Montfaucon 8 h. 30 Rideau, Langeais, Cinq-Mars, Luynes, de livres par an). Labastide-Murat 9 6. aux ménagères Tours. — Prix par place : 15 francs. PARTIE LITÏÉRÂIBB Soulomès 9 h. 15 Départ à 13 heures. Rétour vers St-Cernin 9 h. 30 Pour empêcher vos mains de se ger- Lucien Hubert, sénateur, le Program- fflédicafion iodofannique phosphatée 18 h. 30. Lauzès 9 h. 50 cer en faisant un savonnage versez me colonial d'après-guerre. Vers 10 h. 30 Cahors (arrivée) 11 h. 10 un peu de vinaigre dans l'eau dont Pour les jours de mise en marche, Enquête de « la Revue Hebdomadaire » . consulter les affiches et prospectus Remplace rjluile de Foie de Morue Cahors (bureau) départ 16 h. vous vous servez. Marc Sangnier, VIII. Le retour à la Vers : 16 h. 40 — Lorsque vous faites cuire des spéciaux. paix. — Joachim Gasquet, les fêtes d'Oran- Lauzès 17 h. 30 fruits, ne manquez pas d'ajouter au Les places peuvent être retenues à ge. — André Bellessort, Virgile : VII. St-Cernin 17 h. 55 L' « Énéide » et l'Empire. — Marius-Ary Soulomès 18 h. 25 sucre un peu de sel. Cela augmente la l'avance soit à la gare de Tours, soit Labastide-Murat (arrivée) 19 h. à celle de Paris-Quai d'Orsay ou en- Leblond, Prague capitale des Tchèques. saveur des fruits et permet d'y mettre — Robert-Hugh Benson, le Poltron (XIII). DROGUERIE — — (départ) 19 h. 15 moins de sucre. core à l'Agence de la Compagnie PHARMACIE ACCESSOIRES Montfaucon 19 h. 35 (Traduit de l'anglais par M. Reynaldo HERBORISTERIE Frayssinet. 20 h. 05 — Pour marquer le linge à l'encre d'Orléans, 16, Boulevard des Capu- Hahn). St-Chamarand 20 h. 20 plus facilement, trempez la partie du cines, à Paris, moyennant paiement Les Faits et les Idées au jour le jour. — St-Germain 20 h. 40 d'une taxe de location de 1 franc par Concorès 20 h. 55 linge à marquer dans de l'amidon Mémento bibliographique. Lait condensé sucré. Acide chlorhydrique. BANDAGES HERNIAIRES. place. Gourdon (bureau) arrivée 21 h. 35 froid et votre plume écrira nettement PARTES ILLUSTRÉS Chocolat. Acide sulfurlque. Ceintures ventrières. — (gare) 21 h. 40 la marque nécessaire. Départ et arrivée- Place de la L'Instantané, partie illustrée de la Re- Cacao sucré et non sucré. Alcool dénaturé. Ceintures de grossesse. — Avez-vous un tapis attaqué par Gare, à Tours. Qlycérophosphate de chaux Ligne de Figeac à Conduché vue Hebdomadaire, tiré chaque semaine Acide tartrique. Douches d'Esmarck. Vallée du Célé les mites ? Etendez sur la partie en- sur papier glacé, peut être relié à part â granulé. Tanin à l'alcool. Bas à varices. Entrepreneur : M. Larroque, à Figeac tamée un linge humide, et repassez-le la ân de l'année. 11 forme deux votii!Mts£ Kola granulée. sur le tapis avec un fer très chaud.' ca de 300 pages.. Extrait de Javel. Tire-lait. Figeac (départ) 16 h. Modifi tions et améliorations au ré- Alcool de Menthe. La vapeur d'eau ainsi produite détrui- s e Ceinl-d'Eau. 16 h. 10 gime de l'Enregi Pem nt et du Eau de Cologne. Essence de térébenthine. Biberons. Drauzou 16 h. 15 ra les mitesl et leurs œufs. Transport des bagages. LA NATURE Huile de Ricin. Bouts de sein. Camboulit 16 h. 20 Savon de Toilette. — Pour raidir les poils des brosses En ces temps caniculaires où sévit la Boussac 16 h. 30 Le régime de l'enregistrement et Corn 16 h. 40 après lavage, trempez-les dans; de l'eau « vague de paresse », il est naturel de lé- Sainte-Eulalie. 16 h. 50 coupée de lait par moitié et laissez- du transport des bagages sur le ré- zarder. Un article curieusement illustré Espagnac 17 h. les sécher. seau d'Orléans est, à l'heure actuelle, nous montre tout ce qu'on peut appren- Brengues 17 h. 10 le suivant : dre « au ras du sol » de géographie, de Saint-Sulpice.. 17 h. 30 — Pour nettoyer à fond une bou- Laboratoire d'analyse ei de stérilisation 17 h. 40 physique, de botanique et de zoologie. Marcilhac teille tachée, versez-y des feuilles A) Voyageurs ordinaires. — Les Les accidents d'aviation sont examinés Monteil 17 h. 50 objets^ de toute nature sont admis à Sauliac 18 h. de thé et trois grandes cuillères de vi- d'après les toutes récentes statistiques qui : ET Cabrerets 18 h. 20 naigre, agitez-fortement. l'enregistrement dans tous les trains prouvent que le risque aérien est plus
ETUDE e Un fonds de commerce de nou- DE veautés, tissus et confections, qu'il Etude de M L. NUVILLE, docteur en droit, avoué à Figeac (Lot), exploite à Cahors, place du marché, Successeur de Mes VIVAL, MALRIEU et LOUBET Me BOUYSSOU Jean-Léon n° 5, et connu sous la dénomination licencié en droit « Au Grand Bon Marché ». Pour les oppositions, domicile est élu en NOTAIRE A CAHORS (LOT) l'étude du dit M° MALET. Avis est donné qu'en exécution de l'article 3 de la loi du 17 mars 1909, les créanciers du vendeur devront, pour conserver leurs droits, former opposition au domicile sus-indiqué, dans les 10 jours qui suivront l'in- DE BIENS VENTE sertion qui renouvellera la présente. AUX ENCHÈRES PUBLIQUES Pour premier avis. MALET. à suite de surenchère dm sixième le Vendredi 12 Septembre à 9 h. du matin à Anglars-Juillac ETUDE Adjudication fixée au SAMEDI VINGT SEPTEMBRE MIL NEUF CENT DIX-NEUF, à QUATORZE heures, BÎI ai- DE ,. • ;jj : H W au Palais de justice, à Figeac, Boulevard Président Wilson. D'un mobilier comprenant, notam- Mc Georges FONT ANGES ment: lits garnis, tables de nuit, ta- bles de salle à manger et autres, buf- DOCTEUR EN DROIT fets, commodes, armoires lingères, AVOCAT-AVOUÉ tables de toilette avec garnitures, Avenue de la Gare, à Figeac. En exécution d'un jugement nal civil de Figeac, au palais de et propriété de la famille Cabri- dix-neuf, à Monsieur Victor re, de surenchère et de poursui- vaisselle, argenterie et cristaux, rendu sur requête par le tribu- justice à Figeac, Boulevard dens. MURAT, propriétaire, demeu- te de surenchère, seront paya- chaises, fauteuils et canapés, usten- siles de cuisine, chaudrons, cassero- nal civil de Figeac, le vingt-trois Président Wilson à la vente aux Le second des dits prés paraît rant à Listour, commune de bles en sus du prix d'adjudica- St-Félix et ce moyennant le les, fontaine en cuivre, cuve, barri- juillet mil neuf cent quinze en- enchères publiques des immeu- porté au cadastre sous le nom tion. ques et deux voitures dont un coupé. registré. bles ci-après désignés apparte- de la Rivière ou Masson et sous prix de trois mille francs outre Il est déclaré à tous ceux du EXTRAIT * les charges. Par le ministère de M" BOUYS- A la requête de Madame Ma- nant aux dits mineurs PRADAL les numéros 615 et 616 de la chef desquels il pourrait être SOU, notaire à Cahors, commis par prescrit par l'article 770 ria FEL, sans profession, veuve ou indivis entre ces derniers et section A pour une contenance Mais par acte fait au gref- pris des inscriptions pour rai- ordonnance de Monsieur le Prési- de Monsieur Louis dit Adrien Maria FEL, leur mère. de trente-trois ares. fe du tribunal civil de Figeac sons d'hypothèques légales qu'ils dent du Tribunal civil de Cahors, du Code civil PRADAL, domiciliée au Rouget, Seront comprises dans la le dix-neuf août mil neuf cent devront requérir ces inscriptions au plus offrant et dernier enchéris- seur et aux conditions ordinaires commune de Linac, « agissant vente des dits prés les eaux dix-neuf, Monsieur Marcellin avant la transcription du ju- Le tribunal civil de première des ventes aux enchères publiques. u em tant en son nom personnel si d'une source située dans le ter- NAVET, propriétaire demeurant gement d'adjudication. Les acquéreurs prendront livrai- instance de Figeac, par i S ^fi DÉSIGNATION DES IMMEUBLES e en date du quatorze février 191», besoin est, qu'en qualité de tu- rain des époux Murât sis au- à Bagnac, ayant M Nuville pour Pour extrait certifié vérita- son à l'instant même des objets qui rendu sur la requête de Justine trice légale de ses deux enfants A VENDUE dessus du chemin qui le sépare son avoué, a déclaré surenché- leur seront adjugés. Ils prendront CAVARROC, veuve du sieur Jac- ble. les objets dans l'état où ils leur se- mineurs, Adolphe et Arthémond TELLE QU'ELLE A ÉTÉ INSÉRÉE du premier des dits prés, ainsi rir du sixième en sus des char- ques MASBOU, demeurant a f»- que la grange que le sieur Pra- ront livrés et ils payeront immédia- vars, commune de Saint-Cneis, PRADAL, issus de son mariage ges, le prix des dits immeubles Figeac, le vingt-cinq août tement, avant d'enlever, le prix prin- AU CAHIER DES CHARGES dal a édifiée sur le premier des et en a élevé le prix à la som- canton de Cajarc, arrondissement avec le dit PRADAL, décédé au mil neuf cent dix-neuf. cipal de leur adjudication, augmenté 6 dits prés. Les deux prés à ven- de Figeac (Lot), a donné acte à l^" ' Rouget, commune de Linac ». me de trois mille cinq cents de dix pour cent pour frais de vente. Justine CAVARROC, veuve MA»- Ayant M» NU VILLE pour avoué Les immeubles à vendre con- dre sont jouis à l'année sans francs, en sus des charges. Aucune réclamation ne pourra BOU, de sa demande d'envoi en bail écrit par M. Marcellin Na- constitué près le tribunal civil sistent en deux prés situés sur En conséquence de cette su- L. NUVILLE, avoir lieu après l'adjudication. possession de la succession au vet, propriétaire à Larrive, com- Jacques MASBOU, son mari, ce de Figeac. la commune de Saint-Jean et renchère, il sera procédé aux ^ |f mune de Bagnac. avoué. à Favars, commune de Saint-Uie*»» En présence ou lui duement Saint-Félix dans les dépendan- jour, lieu et heures sus-indi- le vingt-quatre mars mil neuf appelé de : ces du village de Listour et qui Une expédition du cahier des qués, à l'adjudication sur su- dix-sept, sans laisser aucun beriuu ne sont séparés que par une charges, clauses et conditions de renchère des immeubles ci-des- Etude de M,! MALET au degré successible, et avant Monsieur Germain PRADAL, faire droit sur ladite demande » parcelle en nature de terre et la vente, dressé par M" AUSTRY, sus désignés, sur la nouvelle NOTAIRE A CAHORS propriétaire, demeurant au Rou- prescrit l'exécution des formant pré, propriété de la famille Ca- notaire à Figeac, commis à cet mise à prix résultant de la dite get, commune de Linac, pris en de publications voulues par la 101. bridens de Listour. effet, sera déposé au greffe du surenchère soit : qualité de subrogé tuteur des tribunal civil de Figeac, pour Pour extrait certifié : Le premier de ces prés paraît Trois mille Première insertion Signé : FONTANGES. mineurs Adolphe et Arthémond servir de minute d'enchère. PRADAL sus-nommés ; porté au cadastre sous le nom cinq cents francs ^ Pour tous renseignements 500 ^ 0 de la Rivière ou de Létang et Les immeubles ci-dessus dé- s'adresser à M" Nuville, avoué à Suivant acte reçu par M MALET, Il sera procédé le SAMEDI sous les numéros 611 p et 612 p signés, furent adjugés, suivant notaire à Cahors, le 26 août 1919, Les frais de poursuite de Figeac, poursuivant la vente, VINGT SEPTEMBRE MIL de la section A pour une conte- procès - verbal d'adjudication M. Antonin BÉNÉDICTY, négociant, vente seront payables en dimi- qui, comme tous ses confrères NEUF CENT DIX-NEUF à QUA- nance de soixante-un ares qua- dressé par M6 AUSTRY, notai- demeurant à Cahors, place du TORZE heures, à l'audience des re à Figeac, commis à cet effet, nution du prix d'adjudication. près le tribunal civil de Figeac, marché, n° 5, a vendu à M. Rémi rante centiares et confronte avec GUYOU, négociant à Catus, criées et de vacation, du tribu- chemin public, rivière du Célé le dix-sept août mil neuf cent Les frais de première enchè- peut être chargé d'enchérir.