OROANS RÉPUBLICAIN BU DÉPARTEMENT

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ty oxinooieats Rédctotioxi. dte À0ionLÎJ3Li®tirstt:ioia. cent 3 mois 6 mois 1 an . - 1, RUE DES CAPUCINS, 1. - CAHORS ANNONCES (la ligne ou son espace) 50 - 1 fr. et Départements limitrophes ...... 4 fr. 25 8 fr. 15 fr. RÉCLAMES ( - d» - ) 8» page... Autres départements 4 fr. 50 8 fr. 50 16 fr. A. COUESLANT, Directeur L. BONNET, Rédacteur en ehef -8 Les Annonces judiciaires et légales peuvent être insérées dans le Les abonnements se paient d'avance Journal du Loi pour tout le département. Joindre 50 centimes à chaque demande de changement d'adresse Les Annonces sont reçues au bureau du Journal.

jï,-'...r."ir.jLTT~—rirrnviTrTiTWTmrwïïT 'iMHTi'ffiiMfti-ir'nTTrTT— voir soutenu la politique nationale et Or celle-ci n'avait déjà ni contrôle glais ou français. Au cours de mon Sud et nommé premier ministre de que semaine, deux numéros qui ga- les gouvernements qui l'ont pratiquée. ni autorité, ni force pour faire exé- enquête, j'appris que ce territoire l'Union sud-africaine. Il joua, en ces gnerait 500.000 francs et dix qui ga- Alexandre Varenne prend la défen- cuter ses décisions platoniques. Si elle était sous la domination turque, bien dernières années, un rôle considéra- gneraient 100.000 francs. Au cours LES ÉVÉNEMENTS se de ses camarades minoritaires. devient en outre une sorte de miroir que ses 500 habitants n'aient pas, ble à Capetown. Ce fut surtout grâce des années suivantes, les lots de à son intervention que l'Afrique du 1.250.000 francs seraient attribues Notre Directeur prenant un repos bien «S'il en est ainsi, écrit-il, pourquoi à alouettes qui cessera de briller dès depuis longtemps, payé tribut au s'en prendre aux seuls élus du parti qu'un nuage passera sur le soleil di- Sultan. Le fait que ce territoire est Sud prit une part importante à la chaque semaine. gagné, laisse à d'autres, pendant socialiste français ? Pourquoi ne pas plomatique et troublera la sérénité du demeuré turc, alors que tous les pays guerre et contribua puissamment à quelques numéros, le soin de confection- appliquer la même règle aux militants ciel international, que signifie tout le environnants ont été attribués à d'au- ruiner l'empire colonial allemand en Le cas de M. Judet ner la « Situation ». tres nations, est dû.à un oubli de la Afrique. étrangers ? fatras si péniblement élaboré pendant Les bruits les plus divers conti- Nos lecteurs s'en seraient rendus comp- part des diplomates qui ont rédigé le Est-ce que je parii ouvrier j belge, des mois par: la Commission dite de 11 nuent à circuler quant à l'affaire Ju- Paix. y a encore l'accord franco-an- traité de Berlin. Je me suis rendu te, mais nous avons préféré les avertir. Vandervelde en tête, — Vandervelde ! Il Au Maroc espagnol det. Un de nos confrères du matin président du Bureau socialiste inter- glais qui branle dans le manche. Alors dans l'île et je l'ai visitée. Des soldats N. D. L. R. Un avion espagnol a bombardé le annonce aujourd'hui qu'il croit sa- national — n'a pas] pratiqué la même conclut le Comité Dupleix, que reste- roumains y patrouillaient. Les habi- Fondak des Ouadras,les23 et 24 août. voir qu'il n'est pas question de l'in- politique ? A la Dorte, Vandervelde ! ra-t-il ? Rien. Et nous qui faisions tants turcs vivent en fabriquant des Raisouli a posté un important eorps culpation d'un parlementaire, mais La science allemande et la confiance à tout cet imbroglio, que cigarettes. Avant la guerre, l'île rece- Hors de l'Internationale, le parti ou- d'un journaliste très connu, lequel guerre. — Les exclusions du vrier belge ! sommes nous ? Des Dupes. ' j vait beaucoup de touristes venant de de tribus avec des détachements de son infanterie et de sa cavalerie fut, il y a deux ans, l'objet de vives Est-ce que le Labour- Party d'An- A la ville voisine, Orsova, ce qui expli- parti socialiste majoritaire. attaques. On raconte encore qu'au gleterre ne s'est pas compromis à fond que la multiplicité des bazars. Je n'ai régulières sur une étroite bande de Vers une quatrième interna- La Conférence de la Paix ayant terre entre les Beni-M'Saour et la parquet les opérations récentes don- tionale. — Premier accroc. — dans la politique de guerre de M. constaté qu'on ne. se battait plus guère pas constaté de misère trop grande. nèrent des résultats particulièrement Lloyd George ? Est-ce que son secré- On m'a dit que les habitants aime- zone de Tanger, qui était la seule En Syrie. ailleurs que sur tout le territoire de la route sûre dans la sphère espagnole probants et accablants pour Judet. taire général, Henderson, n'a pas été Russie, en Silésie,) en Pologne, en Hon- raient avoir leur indépendance, mais entre le district de Larache et les Celui-ci reste momentanément seul On se rappelle peut-être qu'il y a ministre de Sa majesté britannique ? grie, en Asie, et au Maroc, a estimé il est douteux que la Conférence de la postes militaires des Quadras et des inculpé. On signale aussi qu'au cours quelques mois l'Université die Leipzig Au pilori, Hendersori; et haro sur le qu'elle pouvait s'offrir quelques jours Paix se réunisse à nouveau pour Andgeras. d'une discrète surveillance, le deu- et celle d'Heidelberg avaient adresse Labour Party ! statuer sur, le sort de ce minuscule de vacances bien gagnées. Grand bien xième bureau de la guerre aurait à l'Université suédoise d'Upsal une En accusation Branting, qui bien territoire si éloigné aujourd'hui de la lui fasse, dit le Comité Dupleix. Les établi que Judet fréquentait assidû- lettre de protestation contre la façon que neutre fut ministre du roi de Turquie et où, cependant, est hissé Intervention anglaise choses n'iront pas mieux en son ab- ment le colonel suisse Wild, nette- dont les! autorités françaises en Alsace Suède ! sence que pendant qu'elle travaillait, sur le toit de l'unique minaret le contre les bolcheviks reconquise1 avaient traité les Univer- ment germanophile, récemment arrê- Aux gémonies Stauning, ministre du mais elles n'iront sans doute pas beau- drapeau turc. » Le général anglais commandant sitaires allemands immigrés à Stras- té en Suisse sous l'inculpation d'in- roi de Danemark ! coup plus mal. C'est peut-être cette les forces du golfe de Finlande a fait bourg. L'Université suédoise était cendie volontaire. Quant aux socialistes allemands, ils considération qui l'a engagée à s'a- lancer, par avions, sur Pétrograd, priée de transmettre la protestation à ~——>as<—' doivent être exclus les premiers. .Non journer, après avoir toutefois démoli une proclamation annonçant la créa- toutes les universités neutres et même La Pologne offre 600.000 ouvriers seulement ils ont voté les Crédits de ce qui se constituait en Hongrie. tion d'un gouvernement démocrate à celles des pays de l^Entente. Elle guerre, appuyé la politique dû Kaiser, Pendant ce temps, nous pouvons Chambre des Députés crut devoir faire la commission. pour la Russie occidentale et promet- mais ils sont au pouvoir en collabo- examiner avec sang-froid la situation agricoles tant de ravitailler la ville aussitôt que Le supplément pédagogique du ration avec les partis bourgeois, et le qui existe en Syrie et dire avec poli- le gouvernement bolchevik aurait Séance du 28 août 1919 Times nous apporte la réponse souve- catholique Erzberger est ministre du Avant la guerre, le nombre total tesse mais netteté à nos amis les An- été renversé. rainement méprisante, dans" ses ter- président Ebert. N'est-ce pas écœu- glais que nous avons tout lieu d'être d'ouvriers agricoles qui émigraient de En remplacement de M. Abel, nom- mes corrects et mesurés, que le Pré- rant ? mécontents. . Pologne pour la durée de la saison mé gouverneur de l'Algérie. M. Raoul sident de l'université américaine de Chez nous, il n'y a pas un élu qui En 1918, est intervenu entre eux et estivale dépassait 750. 000. De ce nom- Les Troupes des Soviets Péret obtient 234 voix et est élu vice- Colombia vient d'adresser au Recteur ne doive à ce compte encourir l'ex- nous un traité relatif au sort futur de bre, 600. 000 allaient chaque année en battues président de la Chambre. Allemagne, et surtout en Priisse, pour Un projet de loi ouvrant un crédit de l'université d'Upsal et par son in- clusion. Et nos terribles minois ne la Syrie.. Ce pays est un des coins du La nouvelle vient de parvenir ici termédiaire aux universitaires alle- les travaux de la moisson. Tous ces de 32 millions 672.000 francs pour la sont pas loin de mettre dans le même inonde où l'influence française s'est que le détachement de cosaques de mandes. ouvriers, campagnards et cultivateurs protection des femmes allaitant leurs sac majoritaires et minotaires, puis- exercée de tout temps. II était donc Kouldja a pénétré dans les districts Après avoir observé dédaigneu- de naissance, y étaient employés dans enfants est voté. D'après ce projet, que les deux, autres élus du Gard, Va- tout naturel qu'il fût mis sous notre de Dgearkent et Prjevalsk et a réussi sement qu'il faudrait, pour convaincre des cultures très perfectionnées et se toute Française admise au bénéfice lette et Bernard, sont l'objet, de la domination, mais dans notre zone à opérer sa jonction avec les cosa- le haut Commandement militaire sont parfaitement familiarisés avec de la législation des femmes en cou- part d'une petite fraction surextré- d'influence et sous notre protection. ques et la population des tarantehis français des fautes qui lui sont repro- les dernières méthodes du progrès ches et allaitant son enfant au sein, miste de la section) de Nîmes, du même L'accord de 1916 stipulait nette- insurgés contre le pouvoir des so- chées « des preuves plus convain- agricole. reçoit pendant les douze mois qui traitement que Bouger et Compère- ment que laj Syrie serait soumise à cet viets. Ils gagnèrent, en une marche cantes que la simple assertion » al- Morel. La a besoin de la main- suivent l'accouchement une alloca- étati de choses.. Il est vrai qu'en 1914 en avant qui fut un grand succès lemande, le Président de l'université d'ce.uvre agricole qualifiée ; la Pologne tion supplémentaire de 15 francs Logique, cette fraction proclame que l'Angleterre, pour assurer la liberté éi militaire, l'intérieur du pays, prenant américaine poursuit sur le même ton : lui en offre en abondance ; l'offre et entièrement à la charge de l'Etat. tous les élus de 1914 ayant voté les son action dans le bassin de l'Euphra- à l'armée rouge des canons, des mi- « En attendant, nous appelons l'at- la demande s'équilibrent exactement ; Cette allocation sera servie tant que crédits de guerre sont ' solidaires et te et poiur dégager éventuellement l'E- trailleuses et des munitions. * tention sur ce fait que c'est un prin- également condamnables. gypte et l'Inde, avait signé un accord les intérêts économiques franco-po- les lois attributives de cherté de vie* cipe établi en Angleterre et aux Etats- Et Alexandre Varenne conclut avec avec le roi du Hedjaz ; mais cet ac- lonais s'accordent aussi bien que les recevront leur effet. Unis que quiconque porte plainte de- beaucoup de bon sens ' après cord, par un oubli singulier, on avait intérêts politiques ; le sang versé pour Les Bolohevistes La Chambre reprend la discussion vant une cour de justice doit se pré- avoir constaté que Longuet lui-même omis de nous en faire part, ne peut l'idéal commun et contre le commun nationalisent du traité de paix. senter les mains nettes. Avant que le a voté les crédits en 1914 : donc pas nous lier et ne nous con- ennemi a donné la victoire à la France le château de Tolstoï M. Gaillard-Bancel aurait voulu recteur et le Sénat de l'université de « Tout le monde dehors ! Et un de et l'indépendance à la Pologne. Nous que l'on portât un coup mortel à l'u- cerne pas. Actuellement des missions Le gouvernement soviétiste vient Leipzig puissent compter que le tri- ces quatre matins ils vous trouveront nous bornons à lancier l'idée et à en nité allemande, en favorisant l'éclo- américaines et anglaises se promènent de nationaliser le château de Tolstoï, bunal de l'opinion publique sympa- une paille dans l'œil de Lénine. souligner l'ooportunité ; que d'autres sion d'un grand nombre de petites un peu partout. Elles procèdent à une à Iasnajo-Poljana. Les membres de thise avec leurs assertions, les peuples La deuxième Internationale, c'est plus compétents et directement inté- républiques. soi-disant enquête dont les résultats la famille de Tolstoï ont été invités de France. d'Angleterre et des Etats- la réaction pure. La Troisième sent ressés s'occupent de la réalisation. M. Brunet déclare que le traité est sont assez singuliers.D'après les scru- à se mettre à la disposition du gou- Unis voudront certainement savoir déjà l'opportunisme. Il faut préparer Une chose doit être cependant éta- insuffisant et M. Rameil voudrait tins (?) dépouillés par elle, la Pales- vernement. 11 leur sera permis de si, et dans quelle mesure, le recteur, la Quatrième. Après celle-là une autre. blie d'avance : l'égalité des salaires ; qu'une pension de 360 francs soit tine demanderait à être placée sous demeurer au château et ils recevront et le Sénat de l'université de Leipzig On en ' fera comme cela jusqu'à ce s|i on veut éviter les susceptibilités accordée aux combattants, mandat américain ou anglais. La Sy- un traitement pour diriger les servi- ont protesté contre le traitement crue'l qu'on ait trouvé la bonne. rie serait désireuse de renoncer à sa toujours en éveil et nous épargner de M. Cornudet votera le traité. ces d'instruction du peuple qui y et inhumain infligé en 1914 par le Une idée : si on allait la chercher politique séculaire et aspirerait au nouveaux frottements, conflits et trou- La discussion est renvoyée au len- seront ultérieurement installés. haut commandement allmand aux à Charenton ? » protectorat anglais, et pour le surplus bles, qu'on se mette d'accord sur ce demain. étudiants dépendant de l'Université de A • de l'ancien empire ottoman, on arri- point ; les salaires et les conditions du Louvain et contre la destruction bar- verait à des résultats tout aussi sur- travail et de vie doivent être rigou- Contre la Pologne ? Séance du 29 août 1919 bare et sans motif de la bibliothèque La France est avant tout un pays reusement identiques pour les Fran- de bonne foi. Sesi emballements com- prenants. De toutes les agglomérations On mande de Berlin :, La Chambre reprend la discussion de cette université. Ils voudront aussi syriennes viennent des demandes çais et pour les étrangers qui vont du traité de paix. savoir si, et dans quelle mesure, le rec- me ses erreurs,'car l'un ne va pas sans travailler pour la France. La Gazette berlinoise cle Midi apprend l'autre, ont toajours eu pour cause, tendant à avoir notre protection. que le conseil de guerre extraordinaire M. Barrés votera le projet bien teur et le Sénat die l'université de Lei-n- Cependant notre diplomatie n'agit C'est aux ministres du travail et de qu'il soit déçu devoir que le traité ne zig ont protesté contre aucune des 31 au cours des siècles; sa confiance dans l'agriculture français et polonais, c'est de Beuthen, jugeant six Polonais arrêtés pas, ne fait rien, et nous sommes me- près de Kattowitz, et qui avaient affirmé donne pas la rive droite du Rhin à la sortes d outrages qui, ainsi qu'il a été la parole donnée et dans ses amis. aux organisations ouvrières françaises Sera-t-elle cette fois-ci encore dupe nacés d'être évincés en Asie comme' être des légionnaires réguliers polonais, France. établi par des preuves indiscutables dans bien d'autres cas. En vérité cette et polonaises c'est aux syndicats agri- s'est déclaré incompétent, l'intervention M. Thomas dit que ce qui importe, réunies officiellement par des commis- da sa trop grande facilité à donner e coles français de s'intéresser- à cette à tenir sa parole ? C'est à craindre ! fois c'est inadmissible. des troupes régulières polonaises ayant c'est de connaître la politique du sions nationales et internationales, ont Le gouvernement anglais ne peut importante question, de la réaliser et créé, en fait, l'état de guerre entre la Gouvernement au cours des négo- été commis par les armées alleman- Nousi ne voulons pas récriminer, d'en surveiller l'exécution. Pologne et l'Allemagne. 11 a remis les mais il est certain que l'accueil fait certainement pas être responsable et ciations et comment il entend inter- des et les agents allemands et leurs solidaire du zèle intempestif de quel- Polonais à l'autorité militaire allemande au Président Wilson a été enthou- comme prisonniers de guerre. prêter le traité. alliés dans les pays envahis par eux ques agents ambitieux maladroits La suite de la discussion est ren- pendant la guerre. » siaste pour deux motifs, d'abord par INFORMATIONS ce que nous avions de la reconnais- Une amitié raisonnée, appuyée sur des voyée à mardj. Suit une énumeration impitoyable faits et cimentée sur le chamo de ba- Toujours pillards ! sance pour l'homme qui- avait déclen- ltlfl.li»H1fftffrtfTBI l'IfHIMft des 31 sortes- d'outrages : massacre taille ne peut pas être atteinte par les A, Le bureau de presse lithuanien de civils, exécution d'otages,' etc, sans ché — tardivement niais efficacement la Conférence de Paris tout de même — le mouvement d'a- actes et parolej cle quelques subalter- publie le communiqué suivant : oublier l'émission 'de fausse monnaie, nes brouillons. Seulement il faut que Le Conseil suprême a : siégé ce les mauvais traitements infligés aux dhésion des Etats-Unis à la cause du matin. Il a commencé l'examen du « On a dit à maintes reprises que droit ; ensuite parce que nous avions nous fassions connaître notre! façon de les troupes allemandes évacueraient prisonniers, les bombardements d'hô- voir. L'Angleterre respecte toujours texte de la lettre d'envoi pour le traité 1 cru que ce que le Président Wilson la Lithuanie. En effet, d'importants CHRONIQUE LOCALE pitaux etl de navires hôpitaux et autres autrichien. désirait était l'émanation même de un droit acquis et sa parole. Le droit, groupes armés ont été concentrés à crimes oui ont souillé à jamais l'Aile nous l'avons. Sa parole, il suffit de la Ce matin également, le Comité de magne aux yeux du monde civilisé. la volonté des Etats Unis, peuple et coordination a tenu une très courte la frontière courlandaise et alleman- représentants. lui rappeler pour qu'elle s'incline. de. Les soldats allemands revêtent Le document fait observer en ter Qu'attendent nos diplomates pour séance pour statuer sur un. amende- Or, voici que: les évènementsi écrit le des uniformes russes et, ainsi tra- minant « que l'aveu des méfaits du parler au nom de la France ? ment relatif aux clauses concernant On fait des économies... Comité Dupleix, viennent jeter une vestis, s'adonnent au pillage et à des gouvernement allemand, des armées Elle a assez souffert pour avoir l'organisation du travail. douche singulièrement froide sur le actes de brigandage. Le gouverne- allemandes et du peunle allemand et droit à de légitimes compensations Aujourd'hui ont siégé la commis- _château de notre engouement Wilr ment de Lithuanie a protesté énergi- Angleterre le repentir dej ces méfaits Sont les pre quand elles; sont justes. sion des prisonniers cle guerre, des miers pas indispensables pour la réha sonien., La commission sénatoriale des affaires de Pologne, des clauses ré- quement contre cet état de choses — >H<———« bilitation devant le monde de î'ensei affaires extérieures, examinant le pro- servées et des réparations. auprès du goîtvernement allemand jet de traité de paix signé le 28 juin « L'heure est venue pour chaque gnement allemand et de la science al M. Clemenceau s'est entretenu ce et de l'Entente. La population de dernier à Versailles et notamment les ministre, de faire entendre à ceux lemande. L'île ignorée matin avec M. Stephen Pichon et les Kaunas a faituneimposante démons- qui sont sous sa direction que s'ils ne Jamais la barbarie foncière de cette clauses relatives à l'Extrême-Orient, ministres des affaires étrangères tration devant la légation allemande n'a changé qu'un seul mot dans'le pro- peuvent pas réduire leurs dépenses, pédantesque et inhumaine science; ger- Pendant les huit mois passés à d'Angleterre et d'Italie. pour protester contre la politique des jet, mais ce mot, oui plutôt ce nom est ils doivent céder la place à d'autres manique dont les Boches étaient fiers, explorer les Balkans pour y décou- junkers; plus de dix mille personnes d'importance. qui le peuvent. Il faut que les chefs n'avait été dénoncée a^ec| plus de hau vrir les agglomérations où, sont né- ont participé à cette'démonstration. » de services soient obligés d'entre- Partout où le projet écrivait Japon, Un héros boer taine lucidité que par la voix des in- cessaires des secours variés, les prendre la tâche désagréable de ré- elle a imprimé Chine. C'est la même tellectuels américains." membres de la Croix-Rouge Améri- Un télégramme dePrétoria annonce duire leur personnel, car le fait que chose, seulement renversée. Et ce pre- Une loterie de 60 milliards A caine ont visité bien des localités que le général Botha a succombé à le nombre des employés du gouver- mier accroc, réparable disent les dé- M. André Lefèvre, député, a déposé >< En route pour la quatrième » ignorées des guides et des ruines une attaque de grippe. pêches et les communiqués, n'est pro- sur le bureau de la Chambre, une nement a à peine été diminué depuis écrit Alexandre Varenne, dans le jour oubliées des archéologues. La décou- Le général Louis Botha fut, avec le bablement que le crémier accroc fait proposition tendant à organiser le la guerre, ne saurait pas être justi- nal des minoritaires socialistes, la verte la plus curieuse est celle de président Kruger et le général Devvet," fié. » à cette robe bigarrée qui a été si péni- prêt sans intérêt à la France par Politique. C'est dî la quatrième Inter- l'île d'Ala-Kalech, qui semble être le une des grandes figures de la guerre blement cousue par les couturiers di- l'émission d'obligations remboursa- Qui donc a parlé avec tant de bon nationale dont il s'agit, puisque d'ex- lieu le moins disputé de l'Europe. anglo-boer. Il commanda en chef l'ar- plomates de l'Entente dirigés par M. bles avec primes par voie de tirage. sens en France? Non, c'est M. Lloyd clusions en exclusions, tous les mem- Ala-Kalech n'a pas un kilomètre de mée des Boers et réussit, avec des Wilson. Il s'agirait d'émettre 120 millions de George, qui a prononcé ces belles bres, du parti socialiste risquent, les long et n'a guère que quatre cents forces très inférieures en nombre, à C'est à la fameuse Société des Na- titres de 500 francs soit 60 milliards paroles, et a donné d'aussi utiles con- uns après les autres, d'être déclaré"- mètres de large ; située au milieu du retarder, pendant de longs mois, la tions que la Commission des Etats- de francs, remboursables au pair, seils. indignes de rester membres du dit Danube, elle se trouve entre la Serbie chute des Républiques sud-africaines. Unis s'en prend maintenant. Si elle par tirages semestriels, dans une En France, nous ne sommes pas parti. et la Hongrie et à quelques kilomè- Doué d'un très grand sens politi- accepte l'amendement officieux de M. période de vingt ans. encore arrivés à cette période où les Hier, c'étaient Nectoux, Rozier, Dé- tres des fameuses Portes de Fer. que, il comprit, après la guerre, la Pittman, amendement que M. Wil- Outre les tirages semestriels au économies doivent être envisagées, jeante qui était frappés de toute can- « Je fus surpris, dit un membre de nécessité de se plier au nouvel état de pair, il y aurait des tirages à lots. didature par la Fédération de la Seine. son accepte, crainte de pire et qui per- la Croix-Rouge Américaine, de voir choses si l'on voulait faire bénéficier encore mo'ins être faites. C'est ainsi que pendant deux années, Les coffres administratifs sont ou- Aujourd'hui, ice sont Compère-Marcel met à chaque nation de se retirer flotter dans cette petiteîle, le drapeau l'Afrique du Sud d'un régime libéral. quand elle la veut, il ne restera rien on tirerait, chaque jour, un numéro verts et l'on continuera, jusqu'après et Hubert Ronger que débarome la sec- turc, croissant blanc sur champ rou- Le général Botha devint le chet du du programme wilsonien de Société qui gagnerait 1.250.000 francs. Cha- ! les élections, à y puiser sans compter tion nimoise du parti socialiste. ge. Dans llle, personne parlant an- parti unioniste dans l'Afrique du On reproche à ces « exclus » d'a- des Nations. cussions, conciliabules. Soudain l'un d'eux l'emmener. Qui l'y forcera ? le gendarme Grâce a vous, enfin, l'humanité a " été instants, tous les soldats ont un bou- ! pour payer des individus qui ont allemand accompagnant toujours le gen- délivrée du cauchemar qui pesait sur elle pour seul mérite d'être considérés demande : « Mais n'auriez-vous pas une Cahors salue les Poilus depuis près d'un demi-siècle. quet au bout du fusil. auto particulière à mettre à notre dispo- darme français qui, dans l'espèce, n'est comme des rabatteurs de bulletins Honneur et gloire à vous tous enfants de En passant devant la statue de sition ? » pas sans pitié. Et, dans un déshabillé e France, la Ville natale de Gambelta n'ou- Gambetta, un commandement est de vote. Et, changement subit, le concession- troublant, la « victime » est envoyée au du 7 bliera jamais votre héroïsme. On pourrait se tromper, cela va dépôt. jeté :'Présentez, armes! Les accla- naire des autobus qui n'a pas assez de La population cadurcienne a fêté Vive la France. sans dire : les agents électoraux Dernièrement près de la Porte Serpen- Vivant les poilus du 7\ mations de la foule s'élèvent enthou- voitures pour assurer un service public avec enthousiasme, sa reconnais- officiels n'ont pas ce qu'on appelle la à grands frais, met à la disposition des noise, à deux pas de la gare, on entendait siastes; les bravos éclatent des ter- sance aux glorieux poilus du 7e d'in- De vifs applaudissements prouvent cote populaire ; et cela avec raison, voyageurs en panne, une auto, un chauf- des cris, des sifflets ! C'était un boche qui rasses, des balcons. fanterie. Journée d'enthousiasme au à M. Carlin qu'il a exprimé excel- parce que ces individus sont toujours feur, au tarif de un franc par kilomètre ne voulait pas se laisser embarquer et Mais l'ovation est formidable, au hurlait sa haine de tous ses poumons : cours de laquelle tous les cœurs ont lement les sentiments de la popula- des membres de la tribu des Beni tant pour l'aller que pour le retour, paye- moment où les poilus s'engagent « fife l'Allemagne ! à pas la Vrance : vibré dans une même foi patriotique, tion. Bouffe Tout, pour lesquels pitance ment à l'avance. sous l'arc de triomphe élevé sur les On s'exécute parce qu'il faut partir et Deutschland ûber Ailes » Plus on l'assom- où tout Cahors, debout, a crié «merci % vaut mieux que sincérité. mait, plus il rageait ! — As-tu fini de DISCOURS DE M. LE PRÉFET Boulevards : « La ville de Cahors au que le trajet Cahors-Montcuq, à pied, est aux vaillants enfants qui lui sont vaillant 7e d'infanterie. » Cette ins- On crève de faim en défendant ses Keuler ! lui criait un Alsacien ! sale po- M. le Préfet salue, les vaillants poi- un peu long par cette température. rendus. cription est bien l'expression de la idées, ses principes ; on s'engraisse, Et voilà comment 7 voyageurs pour che ! et il lui administrait un coup de bâ- lus du 7e au nom du département Depuis 3 jours, grands et petits vérité. on fait sa pelote en se courbant devant Montcuq, payèrent le soir du 20 août ton sur la tête. et en son nom personnel en tant Ne nous faisons pas d'illusion ! Le feu préparaient guirlandes, banderolles, La foule massée devant l'Hôtel de les puissants distributeurs de l'argent 7 fr. 45 par place, au lieu de 3 fr. 20. Et qu'enfant de la Lorraine. voilà comment on fait des affaires... avec couve et couvera longtemps sous la cen- bouquets, pour décorer, fleurir nos Ville où se trouvent les autorités des contribuables. dre ! « Vous qui revenez au pays, votre Je vous apporte l'hommage de re- Donc, il ne faut pas songer à voir l'argent des autres. soldats. applaudit : et les jeunes boys-scouts, sort a été vraiment tragique, dans vos Dans les . rues où devait passer le connaissance de toute la nation, réaliser des économies dans les bud- les enfants du Patronage Fontanet , Chaque jour, des faits identiques cœurs de braves brûle un aiguillon. Vous régiment, toutes les maisons étaient c'est grâce à vous, à votre vaillance gets, surtout si ces économies doi- sont là aussi, jetant des fleurs aux doivent ou peuvent se produire. L'ex- le sentez bien, vainqueurs vaincus, votre pavoisées. Et ce matin, quand toutes constante que vous avez conservé à vent être faites au détriment des cœur blessé vous fait mal — » « on avait poilus. ploitation est une règle, à notre épo- les décorations furent terminées, le la France, les provinces les plus ri- Tout le long des boulevards la ma- agents qui peuplent, à titre tempo- que de mercantilisme. Il faut faire semé le fer et le sang ; on a récolté le sang ches, et que nous sont rendues l'Al- et le fer. — Allons ! Semeur ! sème-nous spectacle était d'une beauté remar- nifestation est grandiose : elle fut raire (?!!), les services administratifs. fortune et vite. Mais qui paiera? C'est sace et la Lorraine. De temps à autre, cependant, on dit un temps nouveau! Mais toi, peuple par- quable. continue jusqu'à la caserne* car le le public. Le public avant peu se las- mi les peuples, tiens ton cœur prêt pour La température si lourde de ces « A vous les poilus, la France vous à quelques-uns d'entre eux : « Mon faubourg Labarre, de la rue Feydel à sera d'être volé. les heures les plus mauvaises ! Au-dessus derniers jours, était rafraichie par dit merci, infiniment merci » la place Thiers, une belle décoration cher ami, nous vous remercions de Les paroles de M. le Préfet sont Le Conseil général, dans sa session de toi planent les esprits de l'humanité. » une légère brise due à la pluie qui avait été faite par les soins des habi- la collaboration active que vous nous couvertes par de vifs applaudisse- d'août; aurait dû y songer. Voilà l'appel lancé à la nation allemande tomba la veille et durant la nuit. tants. avez apportée. Mais aujourd'hui, nous par ses intellectuels les 9 novembre et 15 ments. L. B. Un léger soleil présida à cette gran- Les poilus se massent au fond de n'avons plus besoin de vous. Avec décembre 1918. Puis M. Ferré, au nom des vété- de fête qui restera longtemps gravée la place Thiers. Là, au nom du quar- regret, nous vous prions de passer à Vainqueurs vaincus ! c'est le cri dont rans, des anciens combattants de dans le cœur des soldats., de leurs tier haut, une fillette Mlle Tourriol et la caisse et de filer. » Légion d'honneur étaient saluées les troupes rentrant au 1870, prononce le discours suivant : chefs et de la population. le jeune Duverget s'avancent vers le Mais ce boniment n'est adressé, en L'Officiel publie les nominations pays, au lendemain de l'armistice — l'Al- lemagne a été vaincue et non battue ; elle A 8 heures, les cloches font enten- DISCOURS DE M. FERRÉ Colonel ; la fillette lit le petit discours général, qu'à ceux qui sont sans auto- posthumes au grade de chevalier de prétend le prouver un jour ; elle s'y pré- dre un joyeux carrillon. Dans les suivant : rité, ou qui paraissent loyaux ; et règle la Légion d'honneur des officiers du pare ! qu'on la surveille et qu'on aille chez Au nom des Vétérans des Armées rues circulent déjà de nombreux lle absolue, ce sont ceux-là mêmes qui 7" dont les noms suivent : elle et qu'en France on travaille ! de Terre et de Mer 1870-71, M. Ferré, DISCOURS DE M TOURRIOL ont rendu les plus grands services, promeneurs, ce pendant que sur la Président de la 580e section des Vété- Pour chevalier : Ant. CHÉRY. place Thiers, les poilus sont rassem- Mon Colonel, qui ont fait tout le travail. rans, salue les Poilus en ces termes : Au nom de toutes les petites Françaises Raffin Raymond, sous-lieutenant (réser- »™ï}fg—*»«u.

ETUDE e Un fonds de commerce de nou- DE veautés, tissus et confections, qu'il Etude de M L. NUVILLE, docteur en droit, avoué à Figeac (Lot), exploite à Cahors, place du marché, Successeur de Mes VIVAL, MALRIEU et LOUBET Me BOUYSSOU Jean-Léon n° 5, et connu sous la dénomination licencié en droit « Au Grand Bon Marché ». Pour les oppositions, domicile est élu en NOTAIRE A CAHORS (LOT) l'étude du dit M° MALET. Avis est donné qu'en exécution de l'article 3 de la loi du 17 mars 1909, les créanciers du vendeur devront, pour conserver leurs droits, former opposition au domicile sus-indiqué, dans les 10 jours qui suivront l'in- DE BIENS VENTE sertion qui renouvellera la présente. AUX ENCHÈRES PUBLIQUES Pour premier avis. MALET. à suite de surenchère dm sixième le Vendredi 12 Septembre à 9 h. du matin à Anglars-Juillac ETUDE Adjudication fixée au SAMEDI VINGT SEPTEMBRE MIL NEUF CENT DIX-NEUF, à QUATORZE heures, BÎI ai- DE ,. • ;jj : H W au Palais de justice, à Figeac, Boulevard Président Wilson. D'un mobilier comprenant, notam- Mc Georges FONT ANGES ment: lits garnis, tables de nuit, ta- bles de salle à manger et autres, buf- DOCTEUR EN DROIT fets, commodes, armoires lingères, AVOCAT-AVOUÉ tables de toilette avec garnitures, Avenue de la Gare, à Figeac. En exécution d'un jugement nal civil de Figeac, au palais de et propriété de la famille Cabri- dix-neuf, à Monsieur Victor re, de surenchère et de poursui- vaisselle, argenterie et cristaux, rendu sur requête par le tribu- justice à Figeac, Boulevard dens. MURAT, propriétaire, demeu- te de surenchère, seront paya- chaises, fauteuils et canapés, usten- siles de cuisine, chaudrons, cassero- nal civil de Figeac, le vingt-trois Président Wilson à la vente aux Le second des dits prés paraît rant à Listour, commune de bles en sus du prix d'adjudica- St-Félix et ce moyennant le les, fontaine en cuivre, cuve, barri- juillet mil neuf cent quinze en- enchères publiques des immeu- porté au cadastre sous le nom tion. ques et deux voitures dont un coupé. registré. bles ci-après désignés apparte- de la Rivière ou Masson et sous prix de trois mille francs outre Il est déclaré à tous ceux du EXTRAIT * les charges. Par le ministère de M" BOUYS- A la requête de Madame Ma- nant aux dits mineurs PRADAL les numéros 615 et 616 de la chef desquels il pourrait être SOU, notaire à Cahors, commis par prescrit par l'article 770 ria FEL, sans profession, veuve ou indivis entre ces derniers et section A pour une contenance Mais par acte fait au gref- pris des inscriptions pour rai- ordonnance de Monsieur le Prési- de Monsieur Louis dit Adrien Maria FEL, leur mère. de trente-trois ares. fe du tribunal civil de Figeac sons d'hypothèques légales qu'ils dent du Tribunal civil de Cahors, du Code civil PRADAL, domiciliée au Rouget, Seront comprises dans la le dix-neuf août mil neuf cent devront requérir ces inscriptions au plus offrant et dernier enchéris- seur et aux conditions ordinaires commune de Linac, « agissant vente des dits prés les eaux dix-neuf, Monsieur Marcellin avant la transcription du ju- Le tribunal civil de première des ventes aux enchères publiques. u em tant en son nom personnel si d'une source située dans le ter- NAVET, propriétaire demeurant gement d'adjudication. Les acquéreurs prendront livrai- instance de Figeac, par i S ^fi DÉSIGNATION DES IMMEUBLES e en date du quatorze février 191», besoin est, qu'en qualité de tu- rain des époux Murât sis au- à Bagnac, ayant M Nuville pour Pour extrait certifié vérita- son à l'instant même des objets qui rendu sur la requête de Justine trice légale de ses deux enfants A VENDUE dessus du chemin qui le sépare son avoué, a déclaré surenché- leur seront adjugés. Ils prendront CAVARROC, veuve du sieur Jac- ble. les objets dans l'état où ils leur se- mineurs, Adolphe et Arthémond TELLE QU'ELLE A ÉTÉ INSÉRÉE du premier des dits prés, ainsi rir du sixième en sus des char- ques MASBOU, demeurant a f»- que la grange que le sieur Pra- ront livrés et ils payeront immédia- vars, commune de Saint-Cneis, PRADAL, issus de son mariage ges, le prix des dits immeubles Figeac, le vingt-cinq août tement, avant d'enlever, le prix prin- AU CAHIER DES CHARGES dal a édifiée sur le premier des et en a élevé le prix à la som- canton de Cajarc, arrondissement avec le dit PRADAL, décédé au mil neuf cent dix-neuf. cipal de leur adjudication, augmenté 6 dits prés. Les deux prés à ven- de Figeac (Lot), a donné acte à l^" ' Rouget, commune de Linac ». me de trois mille cinq cents de dix pour cent pour frais de vente. Justine CAVARROC, veuve MA»- Ayant M» NU VILLE pour avoué Les immeubles à vendre con- dre sont jouis à l'année sans francs, en sus des charges. Aucune réclamation ne pourra BOU, de sa demande d'envoi en bail écrit par M. Marcellin Na- constitué près le tribunal civil sistent en deux prés situés sur En conséquence de cette su- L. NUVILLE, avoir lieu après l'adjudication. possession de la succession au vet, propriétaire à Larrive, com- Jacques MASBOU, son mari, ce de Figeac. la commune de Saint-Jean et renchère, il sera procédé aux ^ |f mune de Bagnac. avoué. à Favars, commune de Saint-Uie*»» En présence ou lui duement Saint-Félix dans les dépendan- jour, lieu et heures sus-indi- le vingt-quatre mars mil neuf appelé de : ces du village de Listour et qui Une expédition du cahier des qués, à l'adjudication sur su- dix-sept, sans laisser aucun beriuu ne sont séparés que par une charges, clauses et conditions de renchère des immeubles ci-des- Etude de M,! MALET au degré successible, et avant Monsieur Germain PRADAL, faire droit sur ladite demande » parcelle en nature de terre et la vente, dressé par M" AUSTRY, sus désignés, sur la nouvelle NOTAIRE A CAHORS propriétaire, demeurant au Rou- prescrit l'exécution des formant pré, propriété de la famille Ca- notaire à Figeac, commis à cet mise à prix résultant de la dite get, commune de Linac, pris en de publications voulues par la 101. bridens de Listour. effet, sera déposé au greffe du surenchère soit : qualité de subrogé tuteur des tribunal civil de Figeac, pour Pour extrait certifié : Le premier de ces prés paraît Trois mille Première insertion Signé : FONTANGES. mineurs Adolphe et Arthémond servir de minute d'enchère. PRADAL sus-nommés ; porté au cadastre sous le nom cinq cents francs ^ Pour tous renseignements 500 ^ 0 de la Rivière ou de Létang et Les immeubles ci-dessus dé- s'adresser à M" Nuville, avoué à Suivant acte reçu par M MALET, Il sera procédé le SAMEDI sous les numéros 611 p et 612 p signés, furent adjugés, suivant notaire à Cahors, le 26 août 1919, Les frais de poursuite de Figeac, poursuivant la vente, VINGT SEPTEMBRE MIL de la section A pour une conte- procès - verbal d'adjudication M. Antonin BÉNÉDICTY, négociant, vente seront payables en dimi- qui, comme tous ses confrères NEUF CENT DIX-NEUF à QUA- nance de soixante-un ares qua- dressé par M6 AUSTRY, notai- demeurant à Cahors, place du TORZE heures, à l'audience des re à Figeac, commis à cet effet, nution du prix d'adjudication. près le tribunal civil de Figeac, marché, n° 5, a vendu à M. Rémi rante centiares et confronte avec GUYOU, négociant à Catus, criées et de vacation, du tribu- chemin public, rivière du Célé le dix-sept août mil neuf cent Les frais de première enchè- peut être chargé d'enchérir.