Mag’ Avec Notre «Intervi OU» Au Sein De Laquelle Nos Bêtises - Bien Préparées - Amènent Souvent Des Réponses Marrantes Et/Ou Assez Riches)
ÉDITO vaut mieux rester neutre car tout ne passe pas forcément. En «live», il faut, quand on a le choix, choisir le bon timing, poser des questions à un guitariste qui s’accorde est une mauvaise idée par exemple, il faut s’assurer que la personne est disposée à répondre et ne sera pas happée par des éléments extérieurs, quant à faire, autant être bien installé et avoir du temps devant soi, quand on est chronométré et qu’on t’annonce qu’il te reste 5 puis 2 minutes, c’est pas évident... Mais la plus grande part de responsabilité dans une «bonne» interview revient à celui qui y répond, même avec des questions cons, un «bon client» trouvera des choses à dire (la preuve presque à chaque mag’ avec notre «intervi OU» au sein de laquelle nos bêtises - bien préparées - amènent souvent des réponses marrantes et/ou assez riches). Pour ce numéro, la question du choix de l’interview phare (et donc de la couv’) ne s’est pas posée longtemps, dés qu’on a su qu’on aurait du temps avec Page Hamilton, «Elle était bien ton interview de machin», on savait que ce serait lui. Et pourtant, une parfois, on croise des lecteurs qui nous précédente entrevue pouvait nous laisser sortent ce genre de phrases, alors ça fait perplexe, le leader d’Helmet n’ayant pas très plaisir à entendre mais que les choses été très disert. Là, toutes les conditions soient claires : les bonnes interviews étaient réunies pour que l’interview soit dépendent surtout des interviewés.
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