20 Centimes le m Mercredi, 5 Mai 1869. Neuvième Année. — N° 36

INSERTIONS ABONNEMENTS LES INSERTIONS LES ABONNEMENTS sont reçues au r datent des l« et 16 de chaque mois Bureau du tFournat tttt MéOt et se paient d'avance. et se paient d'avance ET DÉPARTEMENTS LIMITROPHES JOURNAL Trois mois S fr. Annonces 25 c. la ligna Six mois S) fr. Réclames 50 c. i „ i« tw. POLITIQUE, LITTERAIRE, AGRICOLE ET COMMERCIAL AUTRES DÉPARTEMENTS Paraissant les Mercredi et Samedi Trois mois 6 fr., Six mois 11 fr , M. Havas, rue J.-J. Rousseau, 3 lu au 20 fr. MM. Laffite et O, plac de h Bourse, 8, sont seuls chargés, à Paris rie rece- voir les annonces pour le Envoyer avec la demande d'abonnement A , IMPRIMERIE DE A. LAYTOU, RUE DE LA MAIRIE, 6 Journa îu Lot an bon de poste.

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pouvaient mieux comprendre les besoins du trois fois déjà, ces deux noms si honorables, privilège, la confusion, l'anarchie,.. aussi complète, avec une aussi vigoureuse DÉPARTEMENT DU LOT. Les comices ont déjà fait leur choix. pays qu'en choisissant pour mandataires des si sympathiques, se reproduira nous n'en énergie. Le secrétair de la rédaction La partie qui va se jouer peut être le triom- hommes pleinement associés à l'œuvre dont doutons pas, au Scrutin du 23 mai, et vien- L. LATTOU. phe comme la ruine de toutes leurs espéran- le Gouvernement de l'Empereur poursuit dra, par une manifestation plus vigoureuse encore, s'il est possible, donner une nouvelle m— ces. Pour elles, perdre celte partie, c'est l'accomplissement avec cette énergie infati- perdre à tout jamais l'espoir de la puissance. AU CORPS LÉGISLATIF gable qui a replacé la au premier force à l'adhésion de nos deux Députés aux Lettre de II. Deltheil Aussi serez-vous circonvenus de toutes institutions impériales, sur lesquelles repo- rang des Nations. AUX ÉLECTEURS DE LA 2e CIRCONSCRIPTION. façons, serez-vous flattés, menacés, animés. MM. Murât et DeUheil ont pleinement sent la tranquillité et la prospérité du pays. On vous fera de brillantes promesses ; on fera Candidats du Gouvernement : re répondu à ces nobles aspirations. Us ont Dans la 1 circonscription, la candidature MES CHERS CONCITOYENS, luire à vos yeux de trompeuses espérances, de séduisants mirages. loyalement prêté leur concours au Gouver- de M. le comte Murât ne rencontre pas de Vous m'avez à plusieurs reprises accordé 1" On cherchera surtout à exciter en vous la Circonscription : nement dans toutes les mesures ayant pour compélition opposée. vos suffrages ; je viens solliciter de nouveau haine du gouvernement et votre défiance te Au contraire, dans la 2e circonscription, l'honneur de vous représenter au Corps M. le C Joachim MURAT but de donner uu nouvel essor au commerce, envers le Souverain. à l'industrie; de moraliser par des institu- diverses candidatures sont opposées à celle législatif. Que de choses vous seront montrées sous DÉPUTÉ ACTUEL Mon attitude politique, ai-je besoin de tions de bienfaisance; d'accroître le bien-être de M. Deltheil. leur face mauvaise ! Que d'erreurs vous Membre du Conseil général. vous le dire, sera dans l'avenir ce qu'elle a de tous par le développement rapide de nos Imprudents ! • qui, pour la satisfaction seront présentées comme vérités évidentes. été dans le passé. d'ambitieuses, de personnelles visées, ou d'un On vous dira que vous n'êtes pas libres voies de communication, à défaut desquelles Vous me trouverez dévoué à l'Empereur, 2° Circonscription : vain amour-propre froissé, ne craignent pas, de parler, d'écrire, de voter; que votre li- les produits agricoles restaient naguère in- a la dynastie 'Impériale, dévoué à l'Empire berté individuelle n'est point garantie. vendus; d'assurer, dans de prudentes limites, sous un semblant de drapeau libéral ou im- qui a fait la France grande et prospère. M. DELTHEIL Cependant ceux qui vous tiendront ce lan- le progrès, lent mais sage, de nos libertés périal, de provoquer le retour d'agitations, de La puissante intervention de la France a gage, soit en particulier, soit en public, ne DÉPUTÉ ACTUEL publiques; de préserver l'intérieur des in- tourmentes dont ils seraient les premières mis le Saint-Père à l'abri des dangers qui vous paraîtront pas avoir la parole enchaînée; l'ont menacé. Mon concours serait acquis à Membre du Conseil général. quiétudes qui naissent du désordre, et de victimes, si le bon sens des Electeurs ne leur rien de ce qui pourra nuire au gouvernement toutes les mesures qui devraient être prises donner au Souverain, que 8,000,000 de préparait une déception méritée. ne sera négligé par eux ; les journaux en vue de garantir son pouvoir temporel. suffrages ont appelé à veiller à la défense de L'esprit conservateur libéral, vaincu dans qu'ils publieront seront pleins de dénigre- Vous me connaissez assez pour savoir que Cahors, le 5 Mai 1869 nos droits, les moyens de maintenir la France la lutte douloureuse de i 846 par le cens ment, et le jour du vote, vous verrez qu'ils je suis tout à vous. En toute circonstance, ne craindront pas de voter contre le candi- grande et respectée, tout en éloignant les électoral,^ prendre une éclatante revanche je mettrai le zèle que j'ai toujours apporté dat d'un gouvernement qu'ils veulent dé- Un arrêté préfectoral du 1er mai, pris maux d'une guerre qui ne serait pas com- par le suffrage universel. La mémoire du à soutenir les intérêts de chacun en par- truire. Vous verrez aussi que, tandis qu'ils mandée par notre honneur national mé- regrettable M. de Saint-Priest, l'initiateur ticulier et ceux du département en gé- en exécution du décret impérial du 27 avril, ne commettront ni crimes, ni délits prévus connu. persévérant de la réforme postale, l'homme néral. convoque les comices électoraux pour les par nos lois, ils ne seront nullement in- Tel est le mandat que nos Députés d hier peut-être le plus libéral de l'époque, est Agréez, mes chers Concitoyens, l'assu- 23 et 24 mai, a l'effet de procéder à l'élec- quiétés. ont rempli, avec une conviction puisée au rance de mon entier dévouement. tion de deux Députés, représentant les deux conservée religieusement dans tous les Que leurs actions vous éclairent : C'est en sein des comices qui le leur avaient confié. circonscriptions du Lot. esprits du haut Quercy dévoués au DELTHEIL, député. exerçant complètement toutes les libertés Nous sommes donc en pleine période — Telle est l'œuvre qu'ils continueront de bien public. Us ne feront pas défaut au qu'ils cherchent à vous convaincre que vous électorale, et le moment est ainsi venu de poursuivre durant la nouvelle législature, jour de la réparation. Leur intelligent pa- n'en avez aucune. LA faire connaître notre pensée sur les candi- avec la résolution énergique d'affirmer le triotisme ne permet pas d'en douter ; nos On vous dira aussi : Le pays est accablé pouvoir temporel du St-Père. datures posées à cette heure. renseignements sont complètement rassurants d'impôts, le commerce est arrêté, la misère NEUVIÈME va fondre sur nous. M. le comte Joachim MURAT et M. DEL- Membre déjà ancien des assemblées dé- à cet égard. Les ruines d'un système détruit Aux Électeurs du Lot. Les impôts sont surtout accablants quand THEIL, investis hier encore de la confiance libérantes, M. Deltheil a acquis, soit comme par une révolution ne sauraient être relevées Député, soit en qualité de Vice-Président du on ne peut les payer. Et jamais, vous des Electeurs du Lot, restent candidats du au cours d'un règne glorieux qui nous a le savez, nous les payâmes avec autant de Conseil général, une grande expérience, et Gouvernement. assuré pendant 18 ans une prospérité jusqu'à Mes chers concitoyens, facilité. Jamais ce commerce qu'on dit arrêté Est-il nécessaire de rappeler les titres que chacun sait le témoignage qu'il faut rendre nos jours inconnue. C'est le 23 et le 24 de ce mois que vous n'eut un mouvement pareil ; jamais nos den- ces deux honorables candidats ont acquis à de ses lumières, de sa modération, de 1 ho- Ne mentionnons la seconde candidature, serez convoqués pour élire deux nouveaux rées ne se vendirent aussi facilement, ni à députés. l'entière confiance des habitants du Lot ? norabilité de son caractère, de son attache- que par l'expression d'un regret : celui de un prix aussi rémunérateur ; jamais l'épar- D'ici là, vous serez en bulte à bien des Depuis la mise en vigueur de la Consti- ment à l'Empire. — M. le Comte Murât, qui la voir se produire avant son heure, incer- gne du pauvre comme celle du riche n'attei- obsessions ; vous serez sollicités par bien porte avec une rare distinction ce nom hé- taine et inquiète. gnit un chiffre aussi considérable ; jamais tution Impériale, ils ont été appelés, der- des séductions. nos citadins ne vécurent aussi facilement; e roïque dont les habitants du Quercy sont Disons en terminant que la lutte actuelle nièrement pour la 3 fois, par des votes Il est de notre devoir de vous dire : jamais les habitants des campagnes ne connu- fiers, à juste titre, est la personnification la unanimes, à représenter notre département a lieu entre l'esprit conservateurlibéral, c'est- Défiez-vous ; soyez sur vos gardes. rent une semblable aisance. au Corps législatif. En persévérant ainsi plus éclatante du dévouement des popula- à-dire le maintien des institutions impériales, Jamais les oppositions ne tentèrent un Et c'est alors qu'on vient nous parler de pendant 3 périodes dans leur choix de 1852, tions du Lot à la dynastie impériale. et l'esprit de retour à des systèmes condam- plus puissant effort. Jamais elles n'atta- misère ! les Electeurs du Lot ont prouvé qu'ils ne L'unanimité des suffrages, qui a accueilli, nés par le bon sens public, c'est-à-dire, le quèrent l'ordre établi avec une entente Enfin et surtout, on vous dira : Le gou-

— Et qu'a-t-il vu ? chappe. EUU-I-RTON Ml JOURIVAI. OU I.OT Marie Touchel. d'une déchirure de la chair faite, dès son jeune — Tu es bien curieux I... Enfin écoute et ne du o mai 1869. (N» 8) Au portrait qu'elle fil de l'affidé de Catherine, — Tiens ! il paraît que je suis en société, re- âge, par le mouvement trop brusque d'une cares- m'interromps pas. le tueur du roi reconnut Serlabous, et affirma à prit Clopinet. se maternelle... — J'écoute. l'ex-favorile qu'elle n'avait rien à redouter pour Et curieux comme un gamin de Paris, il se — Diable 1 si la déchirure n'a pas été profonde, — Au moment où l'homme au manteau allait LE ses jours. dissimula autant que possible sur le bord de on risque fort de ne plus en retrouver même la jeter l'innocente victime dans la Loire, il aperçut — J'ai juré d'être votre chien fidèle, madame, l'œil de bœuf et se mit à écouter. cicatrice. un paysan, et redoutant sans doute d'être dénon- acheva-t-il. Vous avez tenu à mon égard toutes Marie Touchel s'élail rapprochée de Maurevel — La blessure avait entamé les chairs de l'en- cé comme assassin, il laissa tomber l'enfant sur vos promesses d'autre fois. Moi, vivant, nul des et lui parlait à mi-voix : fant jusqu'à l'os. la rive et s'enfuit. miens n'aura le droit, impunément, d'attenter à — Je suis sur la trace, dit-elle. Avec l'aide des — Singulière caresse maternelle! riposta Mau- TOECRDUROI — C'est vrai, j'eus peur 1... murmura inté- votre existence. limiers du prévôt de Paris, magistrat dont je me revel en souriant. Roman historique, rieurement Maurevel. Cette certitude rassura un peu Marie Touchel, suis fait un ami pendant ma puissance éphémère, — Oh 1 ce fut avec une aiguille à broderie... — Le paysan était trop pauvre pour conserver qui, revenant à son idée primitive, dit à Maurevel : j'ai su qu'à la montagne Sainte-Geneviève il exis- PARTURPIN DE SANSAY Et je regrettai beaucoup alors celte imprudence, une bouche de plus à nourrir dans son foyer, — Je compte sur loi pour retrouver mon en- tait un orphelin, dont l'âge se rapporte entière- qui n'eut pas, du resle, d.'autresuite. continua Marie Touchel; il apporta l'enfanta fant, n'est-ce pas ? ment à celui que pouvait avoir mon fils... — Hé! hé! voilà qui est assez drôle pour une Paris, l'exposa sur les marches d'une église, et, PREMIÈRE PARTIE — Comptez sur moi, madame ; mais les indi- — Ah I fit Maurevel. tendre mère, se dit Clopinet: enfin c'est égal, on depuis, il n'en a plus entendu parler. ces que vous avez obtenus sont bien vagues, ha- — Oui... un instant même j'ai espéré le re- pourrait déshabiller pas mal d'enfants avant de — Ouf 1 je respire, se dit Maurevel. sarda encore l'arquebusier. trouver chez Gilles Gobelin, le teinturier donl la trouver sur leur corps une piqûre d'aiguille I Puis il reprit à voix haute ; CHAPITRE VI — Qu'importe, fit l'Orléanaise d'un geste im- bienfaisance est proverbiale dans le quartier Saint- — Demain, acheva Marie Touchel, je t'atten- — Je vous comprends, madame, votre cœur pératif, il me faut la réussite de tes recherches... Marcel. .. mais mon espoir a été déçu. drai à mon hôtel pour te donner mes dernières La noyade du Pont-au-Change. maternel s'est ravivé à une espérance, et vous Je le veux. — Voilà donc pourquoi Marie Touchel est al- instructions... N'oublie pas... [Suite) voudriez connaître le destin de l'enfant perdu ? Pendant que s'échangeait cette conversation, la lée chez Gilles Gobelin ! pensa l'arquebusier. — J'irai, madame. — Ecoute-moi, Maurevel. Tu me dois ta posi- nuit étant tout à fait venue, Maurevel avait allumé — Oui, dans une excurtion que je fis, il y a — Maintenant, nous sommes deux, Maurevel, — Tiens, fit Clopinet, il ne pleut plus... Je tion ; donc, j'ai le droit de réclamer de toi un une lampe. peu de temps, aux ruines du domaine incendié reprit avec force l'Orléanaise, et avec l'aide de m'en va rejoindre le père Mauduit, qui m'allend éminenl service. On entendait la pluie tomber. par toi, un paysan m'apprit que, peu de jours Dieu, je retrouverai mon enfant. à la Taverne du Grand-Chàlelet. — Je suis prêt à vous le rendre, madame. Soudain, un petit bonhomme, ramassé sur lui- avant le désastre, il avait vu un homme sortir de — Ah 1 ça, qu'est-ce qu'ils marmoltenl donc El sortant hors de l'œil-de-bœuf, il s'éloigna — Très-bien 1 Donc, à dater de ce jour, il faut même, sauta dans le renfoncement extérieur de la poterne, en tenant la petite créature dans son là? grommelait au dehors Clopinet; je ne saisis en courant. que tu m'aides dans mes recherches. Hâle-loi de l'œil de bœuf et prit place pour se meure à l'abri. manteau... rien du tout... De son côté, Marie Touchet avait remis son me seconder, car à Paris ma vie est en péril, et C'était Clopinet. — A-t-il suivi cet homme? demanda vivement — A quelle marque particulière pourrais-je le masque et se préparait à sortir. je ne quitterai la capitale que lorsque j'aurai re- — Brrrl II paraît que je suis destiné, comme le tueur du roi. reconnaître, votre... héritier'? demanda le Tueur Elle fit quelques pas. trouvé mon enfant. les canars, à absorber sans cesse de l'eau, se dit- — Il T'a suivi. du Roi. Près de la porte, elle se retourna comme frap- Après que Marie Touchel se fut assurée du con- il. Brrrl 11 fait un temps à ne pas mettre un ca- Marie Touchet chercha dans son souvenir et ré- pée d'une idée soudaine. Reproduction autorisée en vertu du Traité avec cours de Maurevel elle lui raconta ce qui s'était niche dehors. pondit : Alors l'ex-favorite raconta a Maurevel la ren- la Société des gens de Lettres. passé, dans la journée, à son hôtel de la rue Tire- Son oreille fut frappée par le son de la voix de — Il porte sur l'épaule gauche la cicatrice contre qu'elle avait faite de son père, une heure

I JOURNAL DU LOT

Ternement exerce sur vous une honteuse Examinons donc ensemble la situation, et pour récriminer et exciter les cœurs con- peine quelques kilomètres de chemin de fer dant la période électorale, o Le gouverne- pression, il veut vous amener par les mena- permettez-nous encore d'élever la voix, dans tre lui. par an, il condamnait la liberté des échanges ment, dit l'auteur de la lettre, évitera au- ces, les flatteries, les promesses irréalisables ce débat, où il nous sera facile de distin- Est-ce là le devoir imposé aux vrais amis et du travail à la frontière et dans les ateliers tant que possible les mesures de rigueur. » à voter pour les candidats officiels. guer la justice et le vraie, au milieu de ce de la liberté ? appliquant à l'une les tarifs douaniers, à l'au- — On écrit deNaples, 30 avril : Mais qui donc menace, flatte, promet au concert de blâmes, que font entendre de Comme je l'ai déjà dit, l'illusion n'est pas tre la loi sur les coalitions. Le prince Napoléon a fait, hier, son ex- hasard, sinon les opposants ? tous côtés, les organes de l'opposition. permise, quant aux intentions de tous ces Quant aux gouvernants de 1848, avaient- cursion sur le Vésuve,en compagnie des of- Ne nous menacent-ils pas de la ruine du Ils disent que nous n'avons pas de libertés, hommes momentanément réunis pour pa- ils une idée économique? allant du droit au ficiers de sa suite et du yachet, ainsi que des pays, si nous conservons notre confiance au et cependant, le gouvernement que nous professeurs Palmieri et Martin. Ce dernier tronner le candidat indépendant, ainsi dé- travail à l'abolition de l'intérêt, des ateliers gouvernement, comme si la France pouvait avons, est un gouvernement libre, car c'est est venu de Montpellier avec le prince pour nommé, par dérision sans douté, car je me nationaux au phalanstère, tour à tour pro- être ruinée par ceux-là même qui ont appli- le peuple Français tout entier qui, dans une faire des recherches scientifiques dans la demande, dans mon âme et conscience, quelle tectionistes et libéraux, prorogeant les Méditerranée,l'Adriatique et la ucr Uaion. qué constamment toute leur sollicitude à la circonstance décisive, se leva pour le cons- grande indépendance pourrait avoir un dé- échéances des effets de commerce et désorgani- ne. rendre prospère ! tituer. puté, obligé de représenter des éléments sant les banques départementales, c'est à peine Pour extrait ; A. Laytou Ne nous flattent-ils pas, quand ils cher- Les sophistes peuvent disserter et récri- aussi divers et aussi hostiles les uns aux si ministres, commissaires et députés d'alors chent à exciter notre orgueil, notre vanité, miner tant qu'ils le voudront, il ne leur sera autres que ceux qui s'unissent ainsi pour le pouvaient affirmer une doctrine quelconque. notre esprit, hélas ! trop porté à la révolte ? jamais permis de dénaturer' l'essence même soutenir. Comment auraient-ils pu asseoir sur des ba- SENAT Ne nous font-ils pas des promesses vaines de notre constitution politique, qui découle ses sérieuses la prospérité publique ? quand ils se vantent d'administrer un im- Cette situation peut convenir à ceux qui essentiellement de la libre manifestation des Nous mettons de côté, dans ce débat, la Sommaire du compte rendu de la léance mense pays comme le nôtre avec peu de désirent l'imprévu et feraient bon marché de sentiments de tout un peuple, donnant au politique. Elle serait à invoquer pourtant; du mardi 27 avril 1869. frais. Quand ils prétendent entretenir sans l'avenir du pays, pour satisfaire leurs pas- monde l'exemple d'un accord extraordinaire, car c'est la vigilance du pouvoir qui a rendu sacrifice celte prodigiluse émulation, qui en- sions politiques; mais elle ne saurait vous au lendemain même des discordes civiles les possibles les améliorations morales et maté- PRÉSIDENCE DE S.TiXC. LE PREMIER VICE-PRÉSIDENT traîne tous les travailleurs ; quand ils affir- captiver, vous, les plus nombreux de tous, BOUDET. plus violentes. rielles dont le pays est redevable à l'Empire. ment pouvoir donner la liberté à tous les agriculteurs, négociants, industriels qui de- Si jamais il fut permis de répéter l'adage Supposez une révolution et les vieux par- peuples opprimés, reconstituer les nationa- mandez surtout du calme, pour faire pros- La séance est onverte à 2 heures un quart. ancien : Voxpopuli, vox Dei, n'est-ce pas tis triomphants. A quoi s'occuperaient -ils ? à lités éteintes ou divisées, arrêter les ambi- pérer vos affaires et travailler en même Le procès-verbal de la dernière séance, lu par dans celle circonstance mémorable, où tout disputer la prééminence, et il y en aurait pour M. le Général Comte de la Ruë, l'un des secré- tions des peuples nos voisins, sans argent temps à la grandeur de la patrie commune. un peuple, las des vaines agitations politiques, des années. Pendant ce temps, que devien- taires élus, est adopté. et sans soldats ; quand , diminuant, dé- Restons donc unis pour maintenir et forti- ne voyant pour la Patrie que ruines et décep- draient les réformes en voie d'exécution, et M. de Mmique fait un rapport sur six projets truisant la force du gouvernement, ils pré- fier le gouvernement que nous avons fondé ; de lois relatifs à des emprunts et à des impo- tions dans les promesses des divers partis celles projetées?... tendent augmenter l'influence de la France, si, dans les conditions ordinaires de là vie, sitions extraordinaires par les départements des qui se disputaient le pouvoir, remit ses des- Puisque vous êtes impatients de progrès et faire que les autres Nations s'inclinent il faut de la constance et de l'esprit de suite Alpes-Maritimes, de l'Ariège, de la Corrèze, des tinées dans les mains d'un seul homme, com- ce qui est d'un généreux patriotisme, ne vaut- Deux-Sèvrès, des Hautes-Pyrénées et par la ville devant elle, par suite de quelques décrets et pour créer les œuvres durables, combien prenant d'inspiration et d'inslinct que le salut il pas mieux y aider le gouvernement actuel, de Castres (Tarn). de quelques articles de loi ? ces qualités sont-elles plus nécessaires pour social dominait tout, et qu'il fallait du calme que de s'exposer par un fol entraînement, aux ; La Commission conclut à ce que le Sénat Ils mentent et veulent nous tromper ceux consolider un état politique, où doivent être déclare : pour remettre sur ses véritables bases cette terribles dangers d'une crise sociale. qui nous tiennent ce langage. sagement pondérées les forces diverses qui 1° Qu'il n'y a pas lieu de renvoyer ces projets France déchirée par les factions. Qu'une pensée vous domine surtout, à la Le gouvernement ne nous flatte ni ne constitueront un jour la grande démocratie de lois à une deuxième délibération ; Ce gouvernement, qui est votre œuvre, que veille des élections, c'est que pour quelques 2° Qu'il ne ' s'oppose pas à la'promulgation nous menace. II ne nous promet que de con- française. vous avez soutenu pendant 18 ans, a-t-il hommes égoïstes et ambitieux qui gagnent desdites lois, ~ tinuer avec notre concours ce qu'il a bien Et surtout ne l'oublions pas, l'écueil des accompli sa tâche, et ne lui devez-vous pas au renversement des empires,tout un peuple L'ordre du jour appelle la suite de la délibé- commencé. démocraties, delà nôtre surtout, qui possède ration sur les conclusions d'un rapport présenté surtout votre appui au moment où, grâce au est plongé dans la misère et le deuil. Il nous laisse libres de parler, d'écrire, un sang jeune et généreux, c'est de se laisser par M. Quentin Bauîhart, dans la séance du 18 bien qu'il a fait, aux maux qu'il a réparés, Louis LAYTOU. mars dernier) sur les pétitions Nos 35, 74 et de voter, il ne veut en rien nous opprimer. séduire par de vains mots de liberté, et d'atta- aux blessures qu'il a guéries, il lui a été enfin 739, relatives à la perception des droits de suc- Il nous expose ce qu'il a fait avec nous ; quer facilement le principe même d'autorité, ifiaifluftiukt-j v> permis de remettre la société française sur cession. Les conclusions de la commission pro- ce qu'il veut faire encore avec nous et pour sauvegarde essentielle de tout état politique ses bases naturelles, en prenant lui-même posent le dépôt au bureau des renseignements. nous. semblable au nôtre, où le peuple est souvent Nouvelles du jour M. L'Hôpital, Conseiller d'Etat, est présent au 'initiative de l'extension des libertés pu- Il nous demande de l'aider comme nous appelé à faire acte de souveraineté. banc des Commissaires du gouvernement. bliques ? 5 l'avons fait ; de le rendre fort par notre con- Après avoir mis trop de hâte à croire M. le Comte de Butenval croit qu'après les La véritable force pour un peuple ne con- arguments juridiques, il y a également lieu d'e- fiance et de le seconder dans son immense La question ainsi posée s'élève et s'agran- 'incident belge fini, voici que des journaux siste pas dans le droit de tout faire, mais xaminer les motifs économiques et les considéra- désir de nous faire libres et heureux. dit; nous y serons, je crois, à l'aise pour de Paris annoncent certaines complications surtout dans sa puissance de modération ; diplomatiques. La vérité est, comme nous tions générales qui peuvent être invoquées en Sachons donc le seconder dans ses vues déjouer les manœuvres perfides des ennemis malheureusement les peuples ont comme les 'avons dit,que la négociation suit son cours faveur du renvoi des pètitioiis aux deux minis- généreuses, et le garantir des attaques de de l'Empire. tres compétents, et pour lequel il votera, ainsi rois des flatteurs pour les tromper et les régulier, à Paris et à Bruxelles. Les chances qu'il le déclare en terminant. ses ennemis. On nous dit sans cesse : Nous ne voulons de conciliation dominent même, depuis exciter. M. L'Hôpital, Commissaire du gouvernement Recevez, etc. plus de gouvernement personnel ; la France quelques jours les éventualités dissidentes. gli fifl 8iPrrsr.9ll|l l.-y.Mii ÏSTtiJï èUÔY .bilk Efforçons-nous de les reconnaître et fuyons ne croit pas que la loi de l'an VII soit basée sur est aujourd'hui fatiguée de ce régime quia fait à RENÉ VÉRINCIPT. Du resté,nous saurons incessamment quoi d'autres fondements que les principes du droit son temps. leurs conseils, car ils perdraient la liberté nous en tenir, la question devant être portée comme ils perdaient jadis les rois. civil j il pense que l'atteinte qui lui serait poi léc, ' Examinez bien, électeurs, quels sont ceux devant le parlement belge. si on se laissait convain-re par les critiques dont qui tiennent ce langage et vous verrez que ce , ce 3 mai 1869. — L'Impératrice, sur la proposition du elle a été l'objet, toucherait au principe même AUX ÉLECTEURS DU LOT ministre de 1 Intérieur, vient de répartir de tous les impôts. sont toujours ceux contre qui fut créé, par le Du BOÛSQUET-LABORDERIE. une somme de 69,000 fr. entre les soixante Examinant les solutions proposées, l'orateur pays, ce même gouvernement, restaurateur dix-huit sociétés de charité maternelle dont n'admet pas que l'adoption de l'ordre du jour A la veille de ce grand jour où le peuple, de l'ordre. l'organisation est approuvée. doive toujours être considéré comme an acte réuni dans ses comices, viendra user de ses Les idées de ces hommes sont absolues, Lorsque vous dites à un opposant systéma d'indifférence ; d'autre part, le dépôt au bureau — On commence une série de travaux droits, pour reconstituer un parlement ca- elles ont pu sommeiller tant qu'ils ont cru le tique : «Le gouvernement actuel a inauguré des renseignements est en quelque sorte une in- au Corps Législatif qui donnent lieu à pen- pable de diriger les affaires de la France , gouvernement fort ; elles se réveillent, de de nombreuses réformes, pratiqué d'utiles vitation au gouvernement de s'occuper de la ser qu'une courte session pourrait bien question. Mais le gouvernement ne recule pas est-il surprenant que, de toutes parts, des toutes parts, aujourd'hui qu'ils le croient améliorations,» l'interlocuteur vous répond : avoir lieu après les élections générales, au devant l'étude et ne déserte pas la discussion ; il voix se fassent entendre, pour éclairer le pays désarmé déjà par les libertés nouvelles données «C'est possible ; mais si nous avions eu le mois de juillet. Elle serait consacrée à la a même mis cette question à lélude à l'occasion sur ses véritables intérêts ? au pays. pouvoir, nous en aurions fait autant. » vérification des pouvoirs et au vote de de l'enquête agricole. Dans ces circonstances solennelles, le cœur Et ne pouvons-nous pas leur dire : Vous L'argument pêche en ce point que les vieux plusieurs lois urgentes. Le renvoi au gouvernement aurait, au con- de la France est ému, et nous devons tous criez contre le gouvernement personnel, et ce partis, comme ils s'appellent eux-mêmes, ont — On assure que le comte de Chambord traire, sinon dans l'esprit du Sénat, une signifi- cation sur laquelle le public et le gouvernement être fiers de cette émotion bien légitime, car sont cependant vos fautes qui poussèrent le possédé le gouvernement et n'ont pas réalisé, vient d'adresser à ses amis une lettre où il lui-même, pourraient se méprendre. ici l'indifférence serait un crime présageant pays dans cette voie, la seule qui lui fût ou- à eux tous, pendant un demi-siècle, la moitié les invites à voler pour les candidats qui leur paraissent offrir les meilleures garan- L'honorable oraleur termine en exprimant la les plus mauvais résultats. verte pour remonter le courant de l'ordre ; de ce qu'a exécuté le second empire en quinze ties religieuses. pensée que le Sénat doit, se ralliant à la propo- La liberté pour un peuple implique la vie vous avez profilé comme nous de la rénova- années. sition de la commission, ordonner le dépôt au — Nous lisons dans une correspondance et ce serait façonner son cœur à la servitude tion sociale, de dix-huit années de prospé- Les vieux partis, dit un journal, ont eu bureau des renseignements. parisienne que MM. Boulier et deForcade, que de se complaire dans l'inaction, au mo rités, et c'est au moment même où le pouvoir leur temps de jeunesse. Qu'ont-ils produit ? M. Bointiltiers demande , après le discours assistés de Aylie Langlé, ont eu une confé- que le Sénat vient d'entendre, ce qui sépare ment où la nation est appelée à accomplir ce Lorsque M. Thiers, par exemple, était au personnel, se désarme au profit des libertés rence ayant pour objet de s'entendre sur la M. le Commissaire du gouvernement des parti- grand acte de virilité. publiques que vous vous levez de toutes parts pouvoir, il déclarait que l'on construirait à conduite b tenir à l'égard de la fre«»e, p«" a„ „„,.<.;. t>—î- r»-*" Ha ireux qui le'

auparavent, et lui demanda s'il connaissait sa sûre de voir son ennui doublé de chagrin, aujour- homme, répondit le faux arquebusier ; mon Sonneur de Saint-Médard, habitait une petite vail? présence à Paris. — Le traité de toutes les vertus nécessaires à d'hui, si le prévôt de Paris n'avait pas promis maître vous attend... maison attenante à l'église dont il gouvernait les hier au soir au sonneur de . lui converver son Le Tueur du Roi, qui semblait attendre impa- — Où donc? cloches. la mère de famille, répondit Alix de sa douce Cette maison n'avait qu'un rez-de-chaussée, clocher. tiemment un autre rendez-vous, fit une vague — La,.. dans celte chambre. voix. Alix s'était levée et allait et venait, de la fenê- réponse, et affirma à 1' Orléanaise que le lende- Et Maurevel désigna une porte qui semblait mais dont les chambres étaient commodément — A quoi boni Elt-ce que vous ne les pos- tre à son in-folio. main, à son hôtel, il éclaircirait ce mystère. communiquer à un appartement intérieur. distribuées pour loger à l'aise, lui, et sa fille sédez pas, ces vertus I Marie Touchet s'éloigna. — Ah! ça, mais voyons, Alix, vous n'êtes pas Etienne Ferrand l'ouvrit, mais il recula aus- Alix, et la vieille et fidèle de Germaine. — Germaine, il me semble qu'on a frappé à malade au moins 1 exclama Germaine inquiète. Une fois seul, l'arquebusier fut saisi d'une sitôt. Pour monter à son clocher, Perrin Mauduit 1» porte de la rue, fil vivement Alix, qui prêta Non, je suis seulement contrariée ; mon sorte d'accès fébrile. Devant lui régnaient les ombres les plus n'avait pas la peine de sortir de chez lui ; car, l'oreille. père n'est pas là; Jean Garnier doit venir, etc. — Ah! si elle ne compte que sur moi pour épaises lorsqu'il ne s'y rendait pas de l'intérieur de l'é- — Vous vous êtes trompée... je n'ai rien Et... vous avez en vain, hier au soir, at- retrouver l'enfant dont je devais anéantir l'exis- Il préssenlit un piège. glise où se trouvait l'entrée de la tour, il n'avait, entendu. tendu Etienne Ferrand... pas vrai ? tence, se dit-il, la bonne mère risque fort de — Ah ! misérable, s'écria-t-il, lu veux m'as- de la principale pièce de sa modeste demeure, — La journée s'avance , et mon père ne re- — Germaine ! fit Alix avec reproche. ne pouvoir lui prodiguer ses tendres caresses! sassiner !.,. qu'à traverser une galerie couverte et longue vient pa»î II n'a pas l'habitude, cependant, de La bonne vieille la prit dans ses bras avec un Puis, faisant un geste d'impatience: Un ricanement sardonique se fit entendre. tout au plus de quelques pieds. rester si longtemps au clocher ! élan de cœur. — Mais il ne vient pas, ce maudit Etienne Etienne se précipita sur Maurevel. L'autorité ecclésiastique avait fait bâtir cette — C'est que... je vais vous dire... je crois — Allons, allons, dit-elle d'un ton câlin, vous Ferrand, auquel a donné rendez-vous ici le Mais déjà ce dernier avait épaulé son mous- galerie pour éviter trop d'allées et venues au qu'il avait une corde neuve à mettre à la grosse pouvez bien m'avouer cela, à moi qui vous aime mendiant du Pont-aux-Tripes !... S'il avait quet, et la balle atteignit le jeune homme à la sonneur, dont les jambes n'avaient plus la vi cloche. L'hésitation de Germaine prouvait qu'elle cher- autant que vous aimait défunte votre mère I... oublié l'heure !... Si la vengeance allait m'é- tête. gueur de la jeunesse. à moi qui vous ai nourrie de monlaitl... Oui, chapperlOh! non, c'est impossible! Ma bonne Le pauvre Etienne tomba. Entrons donc dans la demeure de Perrin chait un prétexte pour rassurer Alix. mon enfant, vous avez de l'inquiétude, parce étoile ne peut m'abandonner ainsi I... Alors le séïde de Catherine traîna le corps de Mauduit. — C'est égal, reprit cette dernière, je n'aime pas à voir mon père dehors par ces temps de qu'Etienne pour la première fois hier, a manqué On heurta à la porte. la victime dans une chamhje obscure, puis pous- C'était le lendemain du jour où Maurevel pré- troubles... on rencontre dans les rues des gens à à sa visite habituelle... Làl vous souriez... vous La figure du Tueur s'illumina. sant un ressort : cipita Etienne dans le fleuve. voyez bien que j'ai deviné juste? — C'est lui 1 dit-il. — Adieu ! beau chantre d'amour, dit-il ; à moi Depuis longtemps déjà, la sonnerie du clocher figure si étrange 1 — Pauvre enfant, murmura Germaine à part, — Que tu es bonne 1 s'écria Alix en l'em- Et plaçant sa lampe dans le coin le plus reculé ta colombe maintenant. La Seine sera bien rusée de Saint-Médard avait appris aux habitants du si elle savait qu'un méchant a voulu faire ren- brassant. de la chambre, de façon à ce que cette chambre si elle ne charrie ton cadavre jusqu'à l'Océan! faubourg qu'il était l'heure de midi. voyer de sa place le bon vieux sonneur 1 Et une larme s'arrêta sur le bord de ses pau- devînt presque obscure, il alla ouvrir !... Le corps d'Etienne avait disparu par une trappe Dans une pièce basse, servant de salle à man- C'était Etienne Ferrand, en effet. | communiquant avec le fleuve. ger, Germaine travaillait à une chassuble dont — Germaine, je "ne sais ce que j'éprouve, mais pières. Après les premières questions faites pour s'as- elle se proposait de faire don au curé pour sa j'ai froid. Le marteau delà porte retentit. VII. surer qu'il ne se trompait pas de maison, Etienne fête. —Froid 1 au mois d'août... par un soleil Ah 1 cette fois, je ne me suis pas trompée I demanda à Maurevel s'il était bien le gentil- L'amour d'une Fiancée. La jolie Alix, rêveuse, feuilletait un in-folio pareil I en voilà une idée 1 fit Alix. homme qui devait lui donner les indications sur enluminé. — Que veux-tu I c'est mon âme qui grelotte La suite au prochain numéro. sa famille. Perrin Mauduit, plus vulgairement connu, — Que lisez-vous donc là, ma ehère enfant ! sans doute... Ah I je m'ennui bien, vois-tu? Je ne suis que le serviteur de ce gentil- dans le quartier Saint-Marcel, sous le nom du et Germaine, sans lever les yeux de son tra- — Hélas 1 pensa Germaine, elle serait bien

\ JOURNAL DU LOT

considérés comme ne formant ensemble qu'un 24 ans, ayant saisi imprudemment son Vu le décret organique pour l'élection des les difficultés qui s'élèveraient touchant ses proposent, le renvoi n'est pas un acte de pres- seul et même exemplaire, s'ils sont d'ailleurs fusil chargé, par le canon, la détente pressée députés au Corps législatif, ensemble le dé- opérations. Ses décisions seront motivées sion, mais une invitation à étudier la question. placés sous la même bande à l'adresse d'un par un obstacle a fait partir le coup; le cret réglementaire du 2 février 1852, et inscrites au procès-verbal, ainsi que les M. L'Hôpital, Commissaire du gouvernement, seul destinataire. malheureux a reçu la charge dans le bas ARRÊTONS : réclamations; les pièces ou bulletins qui soutient que, peut-être, le renvoi pourrait être Dans ces conditions, le port à percevoir Art. 1.'— Les Electeurs du département s'y rapporteraient, y seront annexés après ventre. La mort a été instantanée. interprêté comme voulant dire plus qu'une in- sera fixé uniquement d'après le poids total du Lot sont convoqués pour le 23 mai avoir été paraphés par le Bureau. vitation à l'élude. Art. 10. — Les listes électorales closes, du paquet, mais toujours sur la ba^e dé- présent mois, à l'effet de procéder à l'élection er La clôture est demandée. terminée par l'article 4 de la loi du 25 juin FOIRE DU 1 MAI A CAHORS. M. Lacaze a la parole pour un fait personnel, d'un Député au Corps législatif, pourchacune après révisions, le 31 mars dernier, ser- 1856, soit 1 centime par 5 grammes jusqu'à Bœuf de travail, 4 à 700 fr. la paire; puis il rentre dans la discussion, avec l'assenti- des deux circonscriptions électorales com- viront pour l'élection présentement prescrite. 50 grammes et 10 centimes de 50 grammes bœuf gras, 33 fr. les 50 k. poids vif; ment du Sénat, et termine ses observations en prises dans ce département. Elles ne devront subir d'autres rectifications à porcs gras, 0,65 le k. poids vif; blé, 22 demandant avec énergie le renvoi. Art. 2. — Ces deux circonscriptions élec- que celles résultant de décès ou de jugements 100. torales se composent, devenus définitifs. fr. 78 l'hectolitre prix moyen; maïs, 12 M. le Baron Dupin parle contre la clôture. SAVOIR : MM. les Maires sont invités à publier, fr. 77. La clôture est prononcée. La première, cinq jours au moins avant les élections, le Nous sommes en mesure d'annoncer la L'ordre du jour est mis aux voix et repoussé. Tableau de ces rectifications dont ils auront prochaine réalisation du vœu exprimé par Un débat s'engage ensuite sur la priorité à ARROND. DE CAHORS : De tout l'arron- dissement. à s'occuper immédiatement. les conseils généraux de l'application de la LYCEE IMPÉRIAL DE CAHORS accorder pour le vote au renvoi ou au dépôt. Après la publication du Tableau de rec- télégraphie au transport des mandats pécu- DE FlGEAC : Des cantons de Après avoir entendu MM. de Maupas, le Baron tification, MM. les Maires nous feront con- niaires Voici qu'elles seraient les dispositions de Ladoucelle, le marquis de Chasseloup-Laubal, et de Compositions du 12 au 17 avril 1869. naître directement et séparément le chiffre adoptées. Lacaze, de ; Roy er, Suin et Le Verrier, le Sénat ; des électeurs civils et celui des électeurs Les mandats télégraphiques indiquant la Cinquième. accorde la priorité au renvoi sur le dépôt. — DE GOURDON Du canton de La- Français; — 1 Lapouble; 2 Largeteau. militaires figurant sur la liste définitive. somme déposée au bureau de poste seront Le renvoi des pétitions est ordonné. bastide-Murat ; Sixième. M. Chaix d'Est Ange, Sénateur-secrétaire , Art 11. — Une copie de la liste rectifiée expédiés avec la signature de l'envoyeur. id. — 1 Larribe; 2 Rives. La deuxième, Septième. donne lecture d'une dépêche par laquelle S. Ex. conformément à l'article précédent, sera dé- Leurs transmission sera soumise aux règles Du canton de , posée sur le Bureau pour servir de feuille et tarifs des dépêches privées. Version latine. — 1 Calmels; 2 Lavoisot. M: le Ministre d'Etat transmet à M. le premier Huitième. ARRONDISSEMENT — Figeac (Est et Ouest), des votants. Il sera perçu pour l'avis télégraphique, le vice-presidentdu Sénat deux projets de lois adop- — Lacapelle-Marival, Thème Latin. — 1 Lescale 2 Cantarel. tés par le Corps législatif dans sa séance du 26 Nul ne pourra prendre part au vote, s'il droit de copie actuellement applicable aux Classe préparatoire. DE FlGEAC — Latronquière, avril et relatifs : n'est inscrit sur cette Hste. dépêches adressées à plusieurs destinataires. Première division. 1° Au budget extraordinaire de l'exercice — St-Ceré, Toutefois, seront admis au vote, quoique Nous donnerons de plus amples détails Calcul. — 1 Castagné; 2 Chainet. Du Canton de Gourdon, non inscrits, les citoyens porteurs d'une Deuxième division 1870; lorsque paraîtra l'arrêté ministériel. id. — 1 Lafon; 2 Peysissac. 2° A la création de pensions pour les anciens — , décision du juge de paix ordonnant leur ins- Troisième division. militaires de la République et de l'Empire. — Martel, cription, ou d'un arrêté de la Cour de id. — 1 Brugalières; 2 Linou. ARRONDISSEMENT Le budget extraordinaire est renvoyé à la — , cassation annulant un. jugement qui aurait LE PRET AU TRAVAIL. Enseignement secondaire spécial. commission déjà nommée pour l'examen des lois — St-Germain, prononcé leur radiation. Deuxième année. La Société fondée dans ce but à Paris Français. — 1 Imbert; 2Rozières. de finance et le second projeta une commission DE GOURDON — , Art. 12. — Les électeurs seront appelés sous les aupices du Prince Impérial, vient Première année. spéciale. — Souillac, successivement par ordre alphabétique. Ils id. — i Bonnet; 2 Garrigou. Le Sénat s'ajourne à demain. de tenir sa séance annuelle an palais des — Vayrac, apporteront leurs bulletins préparés en de- des Tuileries. S. M. l'Impératrice, présidait Année préparatoire. La séance est levée. Mathématiques. — 1 Gax; 2 Combarieu. Art. 3. — Chacune des circonscriptions hors de l'assemblée. Le papier du bulletin la réunion, à laquelle assistaient les minis- Le Proviseur, RICHAUD. élira un seul Député. . sera blanc et sans signes extérieurs. tres de l'instruction publique et de l'intérieur, Le vote de chaque électeur devra donc A l'appel de son nom, l'électeur remettra Mgr l'archevêque de Paris, plusieurs séna- Bulletin Agricole son bulletin fermé au Président qui.le déposera porter sur un seul nom. teurs ou députés, etc. ETAT CIVIL DE LA VILLE DE CAHORS Art. 4. — Les assemblées électorales au- dans la boîte du scrutin, fermée préalable- Voici le résumé des opérations du dernier du 1 au S mai ront lieu au chef-lieu de chaque commune. ment par deux serrures dont les clefs reste- exercice : Le temps est beau, trop beau peut-être, ront l'une entre les mains du Président, Naissances. Toutefois, les communes pourront être Au 31 mars 1869, la Société avait fait 1 car on se demande si les récoltes en terre, l'autre entre celles du scrutateur le plusâgé. Alagnous (Jean-Baptiste , rue Baudus. — divisées en sections partout où le nombre des 21,159 prêtspourune somme de 5,633,517 Bach (Marie), Cabessut. — Pages (Eugénie), les céréales de mars surtout, et les prai- Le vole de chaque électeur sera constaté ries n'ont pas à souffrir de la sécheresse? électeurs inscrits nécessitera celte mesure. francs, dans le départemenn de la Seine. Porl-Bulier. — Rochelle (Baptiste), Labarre. par la signature ou le paraphe de l'un des Mariages. Encore quelques jours d'aridité et la haus- MM. les Maires prendront, à cet effet, des Dans les autres, elle avait fait 950 prêts arrêtés motivés qu'ils auront à soumettre à membres du Bureau, apposé sur la feuille des pour 644,421 francs. Imbert (François), cultivateur et Garni (Jeanne). se surgirait, Mais, jusqu'ici, la tendance se votants. Décès. maintient à la baisse non-seulement à notre approbation. Le total des sommes prêtées est donc de Caviole (Marie-Mélanie), 61 ans née à Catus Ces fonctionnaires désigneront, en outre, Art. 13. — Les boîtes du scrutin seront 6,278,500 francs. L'intérêt est maintenu (Loi), Veuve Dellac, aux Âugustins. — Le Roux Paris, mais encore dans les départements. scellées et déposées pendant la nuit au se- Quoiqu'il en soit, la vente a été facile mer- le local où l'assemblée devra être tenue. à 4 %. (Jeanne-Marguerite), née à Treschenu (Drôme), crétariat ou dans la salle de la Mairie. Les épouse Bourelte rue de la Liberté. credi, à la halle parisienne, pour les blés Ils feront distribuer exactement,à do- Les remboursements effectués s'élèvent à ouvertures de ce local seront également de choix. Ainsi les blés blancs du Nord et micile, deux jours au moins avant la réu- 3,585,500 francs. Il reste à recouvrer sur scellées. CAISSE D'EPARGNE DE CAHORS. de la Mayenne se sont vendus 33 fr., les nion, les caries d'électeurs dont ils recevront la somme exigible 193,665 francs. Art. 14. —Le dépouillement du scrutin Séance du 2 mai 1869. bons blés roux 31 fr., les blés ordinaires les formules en nombre suffisant. Le rapport se termine ainsi : sera fait sur des tables disposées de telle de tous pays de 29 à 30,50; les blés in- Art. 5. — Le scrutin sera ouvert les « Fondé en 1862, la Société du Prince 32 versements dont 13 nouveaux 6,220 96 sorte que les électeurs puissent circuler à 9 remboursements dont 3 pour solde 3,765 21 férieurs de 27 à 28,50. Le tout par sac 23 et 24 mai courant, à 8 heures *du Impérial vient d'achever sa septième année l'entour. de 120 kïl. matin ; il sera fermé le premier jour, à 6 d'existence. Elle commença ses opérations Pour la chronique locale : A. Laytou. heures du soir, et le second jour, à 4 Les bulletins blancs, ceux ne contenant avec un modeste capital fourni par de gé- Point de variation sensible dans les pas une désignation suffisante ou dans lesquels cours des farines; les marques hors ligue heures néreux donateurs. Elle offrit aux ouvriers, Art. 6. — Les collèges ne pourront s'oc- les votants se feraient connaître, n'entreront sont à 54 fr.; les premières a 53 fr.; les qui n'avaient d'autre fortune que le produit point en compte dans le résultat du dé- Crédit Foncier de France. farines de tous pays varient de 50 à 52 cuper que de l'élection pour laquelle ils du travail de leurs mains, un crédit qui, pouillement, mais ils seront annexés au fr. le sac de 159 kil. La farine de con- seront réunis. jusqu'à ce jour, leur avait fait défaut. Elle Le Crédiî foncier de France fait aux pro- procès-verbal. sommation se place avec lenteur ; la bou- Toutes discussions, toutes délibérations reconnut une valeur qui avait été jusqu'alors priétaires, jusqu'à concurrence de la moitié Immédiatement après le dépouillement, le langerie achète au fur et à mesure de leur sont interdites. refusée à la signature du travailleur. de la valeur des immeubles, s'il s'agit de résullatdu scrutin sera rendu public elles ses besoins,- profitant ainsi, des bas prix Art. 7. — Le Président du collège ou de » Ce crédit devait se présenter sous des terres et de maisons, et du tiers s'il s'agit bulletins autres que ceux qui devront être qui se pratiquent pour le disponible. Par la section aura seul la police de l'assemblée. formes particulières et appropriées à la con- de bois ou de vignes, des prêts rembour- annexés au procès-verbal seront brûlés en suite de l'absence des demandes du midi, Nulle force armée ne pourra, sans son au- dition de ceux qui étaient appelés à en pro- sables en cinquante ans moyennant une présence des électeurs. les petites farines sont sans écoulement. torisation, être placée dans la salle des séan- fiter. Il fallait en limiter l'importance aux annuité de 6 fr. 06 0/0, amortissement Art. 15. — Dans les collèges divisés en Le seigle se fait rare et se paie de 20 ces, ni à ses abords. besoins probables de l'ouvrier. Le maximum compris. L'emprunteur a d'ailleurs le droit Les autorités civiles et les commandants plusieurs sections le dépouillement du scrutin de se libérer par anticipation, en tout ou à 20,25 les 115 kil.; l'orge, sans deman- de nos prêts fut donc fixé à 500 francs. 11 se fera dans chaque section. Le résultat en en partie. de, de 18 à 20 fr. les 100 kil.; l'avoine militaires seront tenus de déférer à ses fallait déterminer à l'avance l'usage des fonds : sera immédiatement arrêté et signé par le est très-ferme, surtout en belle qualité, réquisitions. on décida qu'ils seraient employés principa- S'adresser à MM. les notaires, ou directe- Bureau. Il sera, ensuite,porlé par le Pré- prix éxtrêmes 21 à 23 fr. Art. 8. — Le bureau de chaque collège lement à l'achat de matières premières et ment au Crédit foncier, 19, rue Neuve sident, au Bureau de la lre section qui, en Les arrivages, à Marseille, sati-font, et ou' section sera composé d'un président, de d'outils. Enfin il était nécessaire d'éviter les des Capucines, à Paris. présence des Présidents des autres sections, au delà, à toutes les demandes; aussi les quatre assesseurs et d'un secrétaire choisi par engagements à court terme usités dans le opérera le recensement général des votes cours sont-ils très-lourds, non-seulement eux parmi les électeurs. commerce, puisque la production du travail et en proclamera le résultat. sur cette place, mais, par suite de ce trop- Dans les délibérations du bureau, le manuel est nécessairement lente et succes- Art. 16.— Les procès-verbaux des opé- Variétés pleio, sur les marchés de la zone méri- secrétaire n'aura que voix consultative. sive. On stipula donc que les prêts pour- rations électorales de chaque comune dionale. Les Maires et, à leur défaut, les adjoints raient être faits pour une durée de trois ans, seront rédigés en double, au moyen des LA Les affaires sont à peu près nulles à et les conseillers municipaux, suivant l'ordre et pour en rendre le remboursement plus formules qui seront adressées, a cet effet, Londres et à Liverpool ; la Belgique est en du tableau, présideront les assemblées; à à MM. les Maires. facile, on autorisa les versements partiels, LÉGENDE NAPOLÈONNIENNE défaut d'adjoints et de conseillers municipaux, amenant peu à peu et pour ainsi dire insen- e les présidents seront désignés par les Maires L'un de ces doubles" restera déposé au lugne.' on constate une baisse de 75 à siblement l'ixtinction totale de la dette. » ET SES RENÉGATS 1 fr. sur les blés et sur les farines. parmi les électeurs sachant lire et écrire. secrétariat de la Mairie, l'autre nous sera III. Les spiritueux se traitent en baisse Si le collège est partagé en sections, le transmis, sur-le-champ, directement, afin C'est en développant chaque jour d'avan- pour le livrable ; trois mois de juin 68 Maire présidera la première section, et les qu'il puisse être procédé ultérieurement, au tage les institutions de bienfaisance, c'est en Sacrilège et ridicule !... Ridicule surtout, fr.; quatre derniers 64 à 65,50. autres seront présidées par les adjoints et chef-lieu du déparlement au recensement assurant à l'ouvrier du travail et des moyens car la grande image de l'Empereur se joue Les nouvelles des vignobles sont géné- les membres du conseil municipal, toujours général des votes de chaque circonscription de travail, que le gouvernement de l'Empe- de leurs efforts comme la statue de Chaudet ralement bonnes. suivant l'ordre du tableau. électorale, par la commission spéciale reur, confiant dans la reconnaissance du se joua des efforts de Maubreuil et de ses JJ*** MM. les Maires sont invités à réunir, instituée par le décret réglementaire ci- peuple, répond aux attaques insensées de acolytes. quelques jours avant le 23 mai, le conseil dessus visé. l'opposition. Ah ! pour une pareille besogne, il faudrait municipal, à l'effet de reconnaître quels sont Art. 17. — MM. les Maires sont chargés d'autres mains que les vôtres ! Agitez-vous 1 Louis Laytou, Chronique locale. ceux de ses membres qui, selon l'ordre du de faire afficher et publier, dans leurs Démenez-vous ! Brisez-vous les bras et les Tableau, rempliront les fonctions d'as- communes respectives, le présent arrêté, reins ! Vous ne l'ébranlerez pas ?... sesseurs. —S'il n'y a qu'une assemblée élec- qui sera imprimé en placard et inséré au On nous écrit de , 1er mai. En vain, M. Prévost-Paradol déclare que Législatif torale, ces assesseurs seront les quatre pre- Recueil des actes administratifs delà Préfec- Corps L'orage d'hier au soir a fait de grands Napoléon montra, hors du champ de bataille, miers conseillers municipaux. — Si dans la ture. ravages sur le territoire du canton de une intelligence étroite, un esprit mal RENOUVELLEMENT DE 1869 commune il doit se tenir plusieurs assemblées Fait à Cahors, en l'Hôtel de la Préfecture, Luzech, notamment dans les communes de cultivé, peu éclairé, c'est-à-dire que le CONVOCATION DES ÉLECTEURS de section, les conseillers municipaux se le lepmai 1869. Luzech, Albas et Saint-Vincent. A Saint- moindre normalien eût bien mieux dirigé le concerteront entre eux pour fourriir quatre LARRIBE Vincent, l'orage a commencé à l'extrémité travaux du conseil d'Etat, et sa démonstra- assesseurs à chacune d'elles, en suivant Du 1" Mai 1869 sud de la commune. La route n° 14 est tion faite, descend de la chaire en nous sa- l'ordre du Tableau, dételle sorte, cependant, luant d'un sourire vainqueur... Regardez : Nous, Préfet du département du Lot, impraticable depuis la fontaiue jusqu'à la que les conseillers soient attachés à la section la statue n'a pas vacillé. Chevalier de la Légion d'Honneur. Un décret impérial inséré au Journal borne de . Les dégâts sont à laquelle ils sont inscrits comme élec- officiel, autorise les préfets à devancer En vain le philosophe Littré accourt à la Vu le décret impérial du 27 avril 1869, immenses, les prés sablés en entier, les teurs. l'heure du scrutin aux prochaines élections rescousse, et, laissant là ses bouquins pou- qui convoque les collèges électoraux pour le vignes des coteaux sont descendues, terre Si, par une cause quelconque, il n'y dans les communes où cette mesure paraîtra dreux, vient donner à ce prétendu gagneur 23 mai courant, à l'effet de procéder au et plants, dans le valon. Chose extraordi- avait pas assez de conseillers municipaux pour nécessaire pour faciliter l'exercice du droit de batailles une leçon de tactique, lui prou- renouvellement du Corps législatif ; naire, un mulet appartenant à M. Lafage, composer les bureaux, les fonctions d'as- des électeurs. Toutefois, dans aucun cas, le ver qu'il n'entendait rien à l'art militaire, que Vu le décret du 28 décembre 1867, qui docteur, conduit par un meunier et ense- sesseurs seraient remplies par les plus âgés scrutin ne pourra s'ouvrir avant 5 heures Wellington lui était cent fois supérieur, que, limite à deux le nombre des députés à élirè veli sous l'avalanche, a été retiré le lende- et les plus jeunes des électeurs de la section M matin et l'heure de la clôture ne sera pas s'il remporta quelques victoires, ce fut par par le déparlement du Lot ; main, vivant encore. A Albas, les dégâts présents à l'ouverture de la séance et sachant modifié. sont énormes. Luzech a moins souffert. supercherie et contre toutes "les règles... Vu celui du même jour qui divise ce lire et écrire. Rien encore. département en deux circonscriptions élec- Art. 9. — Trois membres du Bureau, au En vain M. Lanfré, prêtant main forte au torales ; moins, devront être présents pendant tout le Les bulletins de vote, réunis sur une Un trisle accident a vivement impres- philosophe Littré, vient démontrer que le Vu les instructions ministérielles dit 28 cours des Opérations du collège;— même feuille, qu'ils soient accompagnés sionné hier, la commune de Belaye. plan de l'expédition de Boulogne atteste une avril 1869; Le Bureau prononcera provisoirement sur ou non d'une circulaire électorale, seront Le jeune Laffaliô Pierre, tonnelier, âgé de griorance absolue des premiers principes de JOURNAL DU LOT

la guerre. En vain, voyant que cela ne suffit seize centimes ; tous les bâtiments ci-dessus désignés au numéro 467, section G de ladite matrice ca francs trente-cinq centimes. Annoncer Judiciaires. sis au lieu dit Goules, sont saisis avec le sol, qui pas et qu'il faut frapper plus vigoureusement dastrale de Labalhude, pour une contenance Lesdites communes de Labalhude, Saint-Bressou encore, il nous présente Napoléon comme un les supporte et le pâtus susdits, et avec toutes d'environ quatre-vingt-six ares quatre-vingt-dix leurs dépendances. et Mialet réunis et de Fourmanhac, font partie ÉTUDE centiares, troisième et quatrième classe, et pour de l'arrondissement de Figeac, département du pauvre insensé, devant lequel l'esprit Numéro 7. e un revenu de trois francs cinquante-sept cen Lot confondu hésite entre l'horreur et la pi de M E. VIVAIi, avoué licencié près le Tribunal Un bois dit Goules, porté au numéro 441 îimes. civil de Figeac, (rue d'Aujou). section C de ladite matrice cadastrale, pour une Tous les biens immeubles ci-dessus désignés et tiè... Rien / Tous les immeubles ci-dessus désignés,- situés saisis seront vendus en DEUX LOTS : contenance de cinq ares quarante centiares en En vain un troisième écrivain trouve en audit lieu de Goules, dite commune de La- PREMIER LOT. EXTRAIT viron, troisième classe, et pour un revenu de bathude. lui... devinez quoi?... Un Prud'homme! Le premier lot est composé de la Vigne, de douze centimes. Numéro 20. En vain, plein d'une juvénile audace Numéro 8. dite Violens, sise au lieu ainsi dit, dans ladite Saisie-Immobilière Une Châtaigneraie dite Pech-de-Bouysse, dite commune de Fourmanhac, et comprise sous le résolu à tenir le drapeau de la génération Une Châtaigneraie dite Goules, portée au nu commune de Labalhude, portée sous le nu- méro 442, section C de ladite matrice cadastrale numéro 28 de la désignation des biens saisis nouvelle haut et ferme, un dernier se pré- méro 435, section C de ladite commune de La- au cahier des charges. de Labathude, pour une contenance d'environ sente et déclare que, pour lui, ce prétendu bathude, pour une contenance d'environ qua- La mise à prix de ce] lot est fixée à vingt Par procès-verbal de BERTHOUMIEUX, huissier à quatre hectares quarante-cinq ares et dix cen- rante-sept ares soixante centiares, quatrième et francs, ci 20 fr. grand homme n'est point seulement un tiares, à la troisième, quatrième et cinquième cinquième classes, et pour un revenu de quarante- Lacapelle-Marival, en date des huit, neuf et dix SECOND LOT. mauvais capitaine, mais bien ce qu'on nom- février dernier, enregistré, transcrit au Bureau classes, pour un revenu de quatorze francs trois sept centimes. Le second et dernier lot est composé de tous me une médiocrité ; qu'il avait reçu du ciel des Hypothèques de l'arrondissement de Figeac, centimes. IMMEUBLES les autres immeubles saisis et compris sous les avec l'exploit de la dénonce dudit procès-verbal, Numéro 9. quelques frcullés secondaires, mais ni autres numéros de la désignation des biens saisis le vingt-cinq février dernier, volume 39, numéro Une terre labourable dite Goules , portée au sut point en user ; qu'il montra en toute SITUÉS SUR LA COMMUNE DE SAINT-BRISSON au même cahier des charges , et situés dans 54 et volume 40, numéro 1, par le Conservateur numéro 443, section G Me ladite matrice ca- ET MIALET, RÉUNIS, circonstance une incurable élroilesse d'es- dastrale de Labathude, avec une contenance en- lesdites communes de Saint-Bressou et de La- les Hypothèques dudit arrondissement de Figeac, bathude. prit, une ignorance profonde-, qu'il fàui les Biens Immeubles, ci-après désignés, ont été viron de quarante-sept ares vingt centiares, à la Canton de Lacapelle-Marival. La mise à prix de ce second lot est fixée à saisis à la requête de Jean CASSAN, cultivateur, cinquième classe, et pour un revenu de soixante- Numéro 21. nous débarrasser pour toujours de ce mal- mille francs, ci 1,000 fr. faiteur sombre et satinique, trouver pou: iemeurant et domicilié .au chef-lieu de la com- six centimes. Un Pré dit de Bouysae, sis au lieu ainsi dit, Numéro 10. Tous lesdits biens immeubles ci-dessus saisis ce suborneur vulgaire un supplice plui mune de , canton de Lacapelle-Marival, dans ladite commune de Saint-Bressou, porté irrondissemeni de Figeac, lequel a constitué et Une Bruyère, dite Goules, portée sous le nu- sous le numéro 8, section B de la matrice seront mis aux enchères, pour être adjugés au terrible que l écha faud, plus long et plut constitue, à l'effet des présentes et suites, Maître méro 444, section G de ladite matrice cadastrale, cadastrale de ladite commune de Saint-Bressou, plus offrant et dernier enchérisseur, par-devant infamant que Sainte-Hélène... Etienne VIVAL, pour son avoué au Tribunal civil avec une contenance d'environ vingt et un ares pour une contenance d'environ dix-sept ares et en l'audience dudit Tribunal civil de l'arron- En vain, leur tentative faite, ces messieur.- le l'arrondissement dudit Figeac, avec élection de: vingt-cinq centiares, de la troisième classe, pour -soixante centiares, troisième classe, pour un re- dissement de Figeac, déparlement du Lot, en la un revenu de quatorze centimes. salle de l'auditoire et au Palais de Justice dudit se réunissent pour s'écrier en cœur : « La domicile en son étude sise audit Figeac, rue d'Au- venu de cinq francs quarante centimes. jou, où ledit avoué demeure; Numéro 11. Numéro 22. Figeac, le vendredi quatre juin mil huit cent légende napoléonienne s'en va ! Elle lomb Contre et au préjudice d'Auguste CHARTROU Une vigne dite Goules, portée au numéro 445, Un Bois dit Goules, sis dans ladite commune soixante-neuf, à neuf heures du matin , sa- pièce à pièce ! » Pure fanfaronnade. La lé- jussi appelé Géraud-Auguste CHARTROU, proprié- section C de ladite matrice cadastrale de Laba- de Saint-Bressou , porté sous le numéro 14, voir : gende napoléonienne reste debout. Car cetti taire, sans profession, demeurant et domicilié au thude, avec une contenance d'environ dix-sept section B de la matrice de ladite commune de Le premier lot sus-fixé, sur la mise à prix légende-là, c'est de l'histoire. La statue lieu de Goules, commune de Labathude, canton ares vingt centiares, à la troisième classe, pour -iaint-Bressou," pour une contenance d'environ de vingt francs, ci 20 fr. dudit Lacapelle-Marival, débiteur saisi. un revenu de deux francs quarante et un cen- vingt-six ares vingt centiares, à la seconde et El le second lot ci-dessus composé, ~~sur Ta tient ferme. Ils ne l'ont pas ébranlée. Et la times. DÉSIGNATION troisième classes, pour un revenu de quatre francs mise à prix de mille francs, ci, . . . 1,000 fr. foule qui les regarde faire gouaille ou s'in Numéro 12. vingt-neuf centimes. DES BIENS SAISIS. Une terre labourable dite Goules, portée au Le tout outre les charges et conditions'lîéT» digne. Numéro 23, vente. La suite au prochain numéro IMMEUBLES numéro 446, section C de ladite matrice cadas- Un Pré dit de Goules, sis dans ladite com- trale de Labathude, pour une contenance d'en- 11 est déclaré à tous ceux du chef desquels SITUÉS DANS LA COMMUNE DE LABATHUDE. mune de Saint-Bressou, porté au numéro 15, il pourrait être pris des inscriptions sur le Numéro 1. viron quatre-vingt-sept ares quatre-vingt-dix cen- section B de la matrice cadastrale de ladite com- tiares , à la troisième, quatrième et cinquième saisi, pour raison d'hypothèques légales sur les COMMUNICATION DES LISTES ÉLECTORALES Une Maison de maître, ayant au rez-de-chaus- mune de Saint-Bressou, à la troisième classe , biens saisis, qu'ils devront en requérir l'inscrip- classes, pour un revenu de sept francs sept cen- sée un Moulin, dite Mouline, en mauvais état, pour un revenu de cinq francs cinquante-deux tion au bureau des hypothèques de Figeac, avant times . Paris, le 2 mai 1869. et un pressoir. Ce bâtiment à six ouvertures, une centimes. la transcription,du jugement d'adjudication. Numéro 13. Monsieur le Préfet, porte au couchant, trois fenêtres au levant, une Numéro 24. Maître Etienne VIVAL, avoué, demeurant Un Pré dit Goules, porté] au numéro 447 , Plusieurs de vos collègues m'ont demandé au nord et l'autre au midi. Cette Maison ne figure Une Châtaigneraie dite aussi de Goules, dans à Figeac, rue d'Aujou, occupe et occupera pour section C de ladite matrice cadastrale de Laba- dans quelle limite on peut réclamer communi- pas à la matrice cadastrale de la commune de La- ladite commune de Saint-Bressou, portée sous ledit CASSAN, poursuivant, pendant toute la thude , pour une contenance de quarante cinq cation des listes électorales et en prendre copie : bathude où elle est située. le numéro 16, section B de la matrice cadas- durée des poursuites. ares quatre-vingts centiares, à la deuxième, troi- L'article 7 du décret réglementaire, du 2 fé- Numéro 2. trale de ladite commune de Saint-Bressou, pour Pour extrait certifié véritable : sième et cinquième classes, pour un revenu de vrier 1852, dispose que la minute de la liste Un Moulin à eau, à deux courants, élevé d'un une contenance d'environ trente-six ares vingt Figeac , le premier mai mil huit cent soixante- onze francs soixante-douze centimes. électorale reste déposée au secrétariat de la com- étage* ayant une porte au couchant, une au midi, centiares, quatrième classe, et pour un revenu neuf. Numéro 14. mune ; le tableau rectificatif est transmis au une au nord, deux fenêtres, une au levant et de deux francs quatre-vingt-dix centimes. Une Châtaigneraie dite Goules, portée au nu- L'avoué poursuivant, Préfet et reste déposé au secrétariat général du autre au midi, porté sous le numéro 452, section Numéro 25. méro 448 , section C de ladite matrice cadas- département avec la copie de la liste. Le décret G de la matrice cadastrale de la commune de Un Pré dit aussi de Goules, sis dans ladite VIVAL. trale de ladite commune de Labathude, pour ajoute : Labathude, comme il suit : Moulin, revenu, cent commune de Saint-Bressou, porté sous le nu- vingt francs. une contenance d'environ huit ares cinquante méro 17, section B de ladite matrice cadastrale « Communication en doit toujours être don- Numéro 3. centiares, à la quatrième classe, pour un revenu de Saint-Bressou, pour une contenance de dix ARRONDISSEMENT DE GOURDON née aux citoyens qui la demandent. » Une Grange bâtie en pierres, couverte en tuiles de vingt-six centimes. huit ares quatre-vingts centiares, deuxième et Cette dernière prescription est conçue en creuses, ayant l'ouverture du grenier à foin au Numéro 15. troisième classes, et pour un revenu de sept un termes généraux et doit être interprétée dans Une Terre labourable dite Goules, portée au francs soixante-neuf centimes. nord, et l'autre couverture pour l'étable au sud, Etude de M* DUSSER, avoué. le sens le plus large. On ne pourrait donc op portée au numéro 449, section C de ladite ma numéro 450, section G de ladite matrice cadas- Numéro 26. poser aux citoyens qui veulent prendre commu irice cadastrale, comme il suit : Grange, vingt- trale de Labathude, pour une contenance d'en- Un autre Pré dit de Goules, sis dans la Le 1« juin 1869, à 9 heures du matin, il sera nication des listes électorales soit dans les mai- cinq centimes, première classe, revenu onze cen- viron treize ares quarante centiares, à la deu même commune de Saint-Bressou , porté sous procédé au tribunal de Gourdon, à la vente des ries , soit à la préfecture, qu'ils ne sont pas times. xième et troisième classes, et pour un revenu le numéro 18, seclion B de la matrice cadas- biens saisis aux sieurs Palut, père et fils, et Marie électeurs: dans la circonscription ou dans le Numéro 4. de deux francs soixante-cinq centimes. trale dudit Saint-Bressou, pour une contenance Crouzet. — Mise à prix 500 fr. déparlement. Il suffit qu'ils ne soient pas privés, Deux Etables ou Séchoirs contigus, couverts, Numéro 16. d'environ vingt-deux ares trente centiares, se- (Extrait du Gourdonnais du 29 avril). pour cause d'incapacité légale, de la jouissance l'un en tuiles creuses, et l'autre en tuiles à cro Une terre en nature de friche, dite Goules, conde et troisième classes, pour un revenu de de leurs droits civiques. chets, ayant chacun deux ouvertures au levant et portée au numéro 451, section G de ladite ma dix francs un centimes. La faculté de prendre communication entraîne au couchant. Lesdites étables ne sont pas portées Irice cadastrale de 1J commune de Labathude , Numéro 27. celle de copier les listes électorales, aussi bien à ladite matrice cadastrale de la commune de La pour une contenance d'environ cinq ares, troi Une Châtaigneraie dite aussi de Goules, située la minute déposée à la mairie que la copie en bathude. sième classe, et pour un revenu de trois cen- dans la même commune de Saint-Bressou, portée Un Atelier de Serrurerie, complètement voyée à la préfecture. Ce point a été reconnu Numéro 5. times. sous le numéro 19, section B de la matrice ca outillé, ayant une clientèle choisie, situé Numéro 17. dastrale de Saint-Bressou, pour une contenance par un arrêt du Conseil d'Etat du 19 juin 1863. Un Four et Fournil couverts, partie en tuiles Maison Malvy. Mais ce double droit a des limites imposées par de Causse, et partie en tuiles à crochets; ils ne Une Châtaigneraie dite aussi Goules, portée au d'environ trente-sept ares soixante-dix centiares, S'adresser pour traiter, à Madame Laur, la force même des choses. Il ne saurait entraver sont pas non plus portés à ladite matrice cadas numéro 453, section G de ladite matrice cadas- quatrième classe, et pour un revenu de trois les services publics ni dégénérer en privilège1 traie. trale de Labathude, pour une contenance d'en- francs un centime. veuve Marabelle. au profit de quelques-uns. Il appartient donc| Numéro 6. viron vingt-six ares soixante-dix centiares, qua IMMEUBLE Toutes facilités pour le paiement. trième classe, pour un revenu de vingt cenli aux Maires et aux Préfets d'en régler l'exercice Une seconde Grange , bâtie en pierres, cou- SITUÉ DANS LA COMMUNE DE FOURMANHAC de manière à satisfaire à toutes les exigences verte en ardoise du pays , ayant une ouverture mes. Numéro 18. Canton ouest de Figeac Le désir du Gouvernement est que les mesures pour l'étable, au nord, une au couchant pour le Les souscripteurs au tVout'ttnt etu Lot, prises dans ce but soient exemptes des restric- grenier à foin, et une autre au midi. Cette Un Pré dit Goules, porlé au numéro 454, sec Numéro 28. lion C de ladite matrice cadastrale de Labathude, dont l'abonnement est dû, sont priés d'en en- tions inutiles et que partout elles soient appli Grange figure , avec sol et pâtus qui sont aussi Une vigne dite Violens, sise dans ladite com voyer le montant en un mandat sur la poste. Ils quées avec une rigoureuse impartialité. saisis, sous le numéro 452 (bis) , section C de pour une contenance d'environ quatre ares qua- mune de Fourmanhac, portée au numéro 2, nous éviteront, par ce moyen, des frais de Recevez, Monsieur le Préfet, l'assurance de ma ladite matrice cadastrale de Labathude, lieu de lre-vingl~quinze centiares, à la quatrième classe, seclion B de la matrice cadastrale de la com recouvrement. considération très-distingué. Goules, sol , grange, pâtus avec contenance de et pour un revenu de trente-cinq centimes. mune de Fourmanhac, pour une contenance Le Ministre de l'Intérieur, vingt et un ares et quatre-vingts centiares, pre- Numéro 19. d'environ vingt-trois ares cinquante centiares, Pour tous les extraits et articles non signés A. Laytou. Signé : De FORCADE. mière classe, et pour un revenu de neuf francs Une Châtaigneraie dite aussi Goules, portée troisième classe, et pour un revenu de deux

{il 0s. "» OREE VRERIE CHRISTOFLE aux chevaux, Gal- Expositions universelles Voiturier, a l'hon- lerk Audoury, tou- ORFEVRERIE POINÇON 00MÉTAL BLANC DIT ALFENIDE neur d'informer les te sorte de Voitures ARGENTÉE ETDOlïÉE COUVERTS ALFENIDE PARIS 1855 PAR LES PROCÈDES ÉLECTRO-CHIMIQUES GRANDE MÉDAILLE D'HONNEUR personnes qui sont d'agrément, à des MANUFACTURE à Paris, Représentants dans les dans l'usage de se prix modérés. ORFÈVRERIE D'ARGENT LONDRES 1802 ALITE rue de Bondy, 56 principales villes servir deYoiiures vo- T.„.„„ voitu- DEUX MÉDAILLES

Certifié par l'imprimeur-Gérant sousigné. Vu pour la légalisation de la signature ci-contre. Cahors, 1869. LE MAIRE ,