Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

RECUEIL DES ACTES ADMINISTRATIFS DE LA PREFECTURE DE LA - MARITIME - Recueil des Actes Administratifs du 29 septembre 2011 - Date de publication le 29/09/2011

SOMMAIRE

1. ARRÊTÉS...... 2679

1.1. Préfecture de la Charente-Maritime - Direction des Relations avec les Collectivités territoriales et de l'environnement...... 2679 arrêté portant prolongation du délai d'approbation du PPRT des établissements PICOTY/SDLP...... 2679 arrêté portant DUP de la liaison souterraine de raccordement du poste de la Beaucoursière au Chateau d' à la ligne électrique aérienne La Valinière-Marennes...... 2679 1.2. Préfecture de la Charente-Maritime - Service de la coordination de l'action départementale...... 2680 Arrêté n° 11-3044 du 16 septembre 2011 donnant subdélégation de signature à M. gilles Servanton, Directeur départemental des territoires et de la mer de la Charente-Maritime, pour l'ordonnancement secondaire des recettes et des dépenses du budget de l'Etat imutées au titre de l'action 6 "plan d'action gouvernemental pour le marais poitevin" du BOP 162 "Interventions teritoriales de l'Etat"...... 2680 Arrêté N° 11-3047 du 16 septembre 2011 modifiant et complétant l'arrêté préfectoral N° 11-2388 du juillet 2011 donnant délégation de signature à M. Jean-Michel EMERIQUE, Directeur départemental de la protection des populations.....2681 1.3. Préfecture de la Charente-Maritime - Services du cabinet...... 2682 Arrêté n° 11-1493 en date du 28 avril 2011 modifiant l'arrêté n° 03-3022 DIR1/B1 du 25 juin 2003 modifié portant autorisation d'un système de vidéosurveillance...... 2682 Arrêté n° 11-2311 en date du 28 juin 2011 portant autorisation d'un système de vidéoprotection situé SA SOLDOGA au Gua...... 2682 Arrêté n° 11-2312 en date du 28 juin 2011 portant autorisation d'un système de vidéoprotection situé Carrefour Contact à Sainte Marie de Ré...... 2684 Arrêté n° 11-2313 en date du 28 juin 2011 portant autorisation d'un système de vidéoprotection situé SAS Coop Atlantique à Surgères...... 2685 Arrêté n° 11-2314 en date du 28 juin 2011 portant autorisation d'un système de vidéoprotection au magasin Lidl à Saint Jean d'Angély...... 2687 Arrêté n° 11-2315 en date du 28 juin 2011 portant modification d'un système de vidéoprotection situé SAS THAMA à Matha...... 2688 Arrêté n° 2344 en date du 30 juin 2011 portant autorisation d'un système de vidéoprotection à la Pharmacie Moderne à Meschers sur Gironde...... 2689 Arrêté n° 11-2511 en date du 18 juillet 2011 portant autorisation d'un système de vidéoprotection situé place de l'Océan à Saint Palais sur Mer...... 2690 Arrêté n° 11-2748 en date du 9 août 2011 portant autorisation d'un système de vidéoprotection situé Le Fournil des Claires à ...... 2692 Arrêté n° 11-2749 en date du 9 août 2011 portant autorisation d'un système de vidéoprotection à la déchetterie de Guitinières...... 2693 Arrêté n° 11-2750 en date du 9 août 2011 portant autorisation d'un système de vidéoprotection à la déchetterie d'Arthénac...... 2694 Arrêté n° 11-2751 en date du 9 août 2011 portant autorisation d'un système de vidéoprotection à l'Auberge des Lacs Bleus à Clérac...... 2696 Arrêté n° 11-2752 en date du 9 août 2011 portant autorisation d'un système de vidéoprotection à la Pharmacie Levraud- Guillien à ...... 2697 Arrêté n° 11-2753 en date du 9 août 2011 portant autorisation d'un système de vidéoprotection à Lidl à Saintes...... 2699 Arrêté n° 11-2754 en date du 9 août 2011 portant autorisation d'un système de vidéoprotection au Bar PMU Le Jockey à ...... 2700 Arrêté n° 11-2755 en date du 9 août 2011 portant autorisation d'un système de vidéoprotection situé à l'Alimentation des Minimes à ...... 2702 Arrêté n° 11-2756 en date du 9 août 2011 portant autorisation d'un système de vidéoprotection au Medigo à La Rochelle ...... 2703

2675 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

Arrêté n° 11-2773 en date du 11 août 2011 portant autorisation d'un système de vidéoprotection au Crédit Mutuel Océan à ...... 2705 Arrêté n° 11-2774 en date du 11 août 2011 portant autorisation d'un système de vidéoprotection au Crédit Mutuel Océan à Echillais...... 2706 Arrêté n° 11-2775 en date du 11 août 2011 portant autorisation d'un système de vidéoprotection au Crédit Mutuel Océan à Saint Denis d'Oléron...... 2708 Arrêté n° 11-2776 en date du 11 août 2011 portant autorisation d'un système de vidéoprotection au Centre de Détention de Bédenac...... 2709 Arrêté n° 11-2777 en date du 11 août 2011 portant autorisation partielle d'un système de vidéoprotection au RECAM à Saint Jean d'Angély...... 2710 Arrêté n° 11-2778 en date du 11 août 2011 portant autorisation d'un système de vidéoprotection à l'Epicerie Saint Maurice à La Rochelle...... 2712 Arrêté n° 11-2779 en date du 11 août 2011 portant autorisation d'un système de vidéoprotection à la Médiathèque à La Rochelle...... 2713 Arrêté n° 11-2780 en date du 11 août 2011 portant autorisation d'un système de vidéoprotection à la discothèque Autour de Minuit à La Rochelle...... 2715 Arrêté n° 11-2781 en date du 11 août 2011 portant autorisation d'un système de vidéoprotection à Millésime moto à ...... 2716 Arrêté n° 11-2782 en date du 11 août 2011 portant autorisation d'un système de vidéoprotection à Millésime Moto / suzuki à Puilboreau...... 2718 Arrêté n° 11-2783 en date du 11 août 2011 portant autorisation d'un système de vidéoprotection au Flamenka à Saintes ...... 2719 Arrêté n° 11-2805 en date du 16 août 2011 portant autorisation d'un système de vidéoprotection situé Terrasse Colbert à Rochefort...... 2721 Arrêté n° 11-2806 en date du 16 août 2011 portant autorisation partielle d'un système de vidéoprotection situé Le Quai Ouest à Royan...... 2722 Arrêté n° 11-2807 en date du 16 août 2011 portant autorisation d'un système de vidéoprotection au restaurant Le Régent à Royan...... 2723 Arrêté n° 11-2808 en date du 16 août 2011 portant autorisation d'un système de vidéoprotection au restaurant Le Panini à Royan...... 2725 Arrêté n° 11-2809 en date du 16 août 2011 portant autorisation d'un système de vidéoprotection au Tabac Le Bordeaux à Saintes...... 2726 Arrêté n° 11-2810 en date du 16 août 2011 portant autorisation d'un système de vidéoprotection au CIC Saintes CIC Ouest à Saintes...... 2728 Arrêté n° 11-2855 en date du 23 août 2011 portant autorisation d'un système de vidéoprotection situé Le Fourn'Ile de Dolus à Dolus d'Oléron...... 2729 Arrêté n° 11-2888 en date du 30 août 2011 portant autorisation d'un système de vidéoprotection à La Cervoiserie à Puilboreau...... 2731 Arrêté n° 11-2889 en date du 30 août 2011 portant autorisation d'un système de vidéoprotection au Carrefour Market à Arvert...... 2732 Arrêté n° 11-2890 en date du 30 août 2011 portant autorisation d'un système de vidéoprotection à la pharmacie de l'Aunis à Surgères...... 2734 Arrêté n° 11-2959 en date du 6 septembre 2011 portant autorisation d'un système de vidéoprotection au Carrefour Market à ...... 2735 Arrêté n° 11-3041 en date du 15 septembre 2011 portant autorisation d'un système de vidéoprotection à la mairie à Saintes...... 2737 Arrêté n° 11-3042 en date du 15 septembre 2011 portant modification de la composition du comité technique paritaire départemental de la Police Nationale...... 2738 Arrêté n° 11-3107 en date du 26 septembre 2011 portant autorisation d'un système de vidéoprotection à l'Hôtel F1 à Saintes...... 2739 1.4. Préfecture de la Charente-Maritime - SOUS-PREFECTURE DE ...... 2740 Arrêté n° 2011-78/SPJ portant adhésion de la commune de Polignac au syndicat intercommunal à vocation scolaire de Bédenac, et Polignac et adoption des nouveaux statuts du syndicat...... 2740 1.5. Préfecture de la Charente-Maritime - SOUS-PREFECTURE DE ROCHEFORT...... 2741 Arrêté n°11-211 du 12 septembre 2011 reconnaissant les aptitudes techniques de M. Serge BOURDEAU en qualité de garde-chasse particulier...... 2741 Arrêté n°11-212 du 12 septembre 2011 portant agrément de M. Serge BOURDEAU en qualité de garde-chasse particulier...... 2742 Arrêté n°11-213 du septembre 2011 reconnaissant les aptitudes techniques de M.Rémi CHALMEL en qualité de garde- chasse particulier...... 2743 Arrêté n°11-214 du 12 septembre 2011 portant agrément de M. Rémi CHALMEL en qualité de garde-chasse particulier...... 2743 Arrêté n°11-215 du 12 septembre 2011 reconnaissant les aptitudes techniques de M. Dominique MERIGOUT en qualité de garde-chasse particulier...... 2744 Arrêté n°11-216 du 12 septmbre 2011 portant agrément de M. Dominique MERIGOUT en qualité de garde-chasse particulier...... 2745

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Arrêté n°11-220 du 27 septembre 2011 reconnaissant les aptitudes techniques de M. Richard JOUBERT en qualité de garde-chasse particulier dispensé du suivi d'une formation...... 2746 Arrêté n°11-221 du 27 septembre 2011 portant agrément de M. Richard JOUBERT en qualité de garde-chasse particulier...... 2747 1.6. AGENCE REGIONALE DE SANTE...... 2748 Arrêté n°1249/2011 relatif à la capacité autorisée de l'Etablissement d'Hébergement pour Personnes Agées Dépendantes (EHPAD) "L'Océane d'Oléron" au Grand-Village-Plage...... 2748 Arrêté n°1263/2011 en date du 28 septembre 2011 modifiant la composition de la conférence du territoire nord de la Charente-Maritime...... 2749 1.7. Conservation des Antiquités et des Objets d'Art...... 2752 Arrêté portant composition et fonctionnement de la commission départementale des objets d'art de la Charente-Maritime...... 2752 1.8. Direction Départementale Cohésion sociale...... 2754 Ârrêté fixant la dotation globale de financement du CHRS "Foyer Saint-Antoine"...... 2754 Arrêté fixant la dotation globale de financement du CHRS "Service d'Accueil et d'Orientation" géré par l'association "Altéa"...... 2755 Arrêté fixant la dotation globale de financement du CHRS "Les Cordeliers - Louis Jardonnet" géré par l'association "L'Escale"...... 2757 Arrêté fixant la dotation globale de financement du CHRS "Lits de stabilisation de La Rochelle" géré par l'association "L'Escale"...... 2759 Arrêté fixant la dotation globale de financement pour 2011 du CHRS "Accueil de nuit de La Rochelle" géré par l'association l'Escale...... 2761 Arrêté fixant la dotation globale de financement du CHRS "Centre d'Adaptation à la Vie Active de La Rochelle" géré par l'association "L'Escale"...... 2763 Arrêté fixant la dotation globale de financement du CHRS "Accueil de jour de La Rochelle" géré par l'association "L'Escale"...... 2765 Arrêté fixant la dotation globale de financement du CHRS "Foyer Le Cabestan" géré par l'association "Le Cabestan"2767 Arrêté fixant la dotation globale de financement du CHRS "Accueil de nuit de Rochefort" géré par l'association "Le Cabestan"...... 2769 Arrêté fixant la dotation globale de financement du CHRS "Les Combôts" géré par l'association "Le Tremplin 17".....2771 Arrêté fixant la dotation globale de financement des places CHRS de stabilisation à Royan gérées par l'association "Le Tremplin 17"...... 2773 Arrêté fixant la dotation globale de financement du CHRS "Halte d'urgence" géré par l'association "Le Tremplin 17". 2775 Arrêté n° 11-3024 en date du 14 septembre 2011 portant composition de la Commission Départementale de Réforme des agents de la fonction publique territoriale auprès du centre de gestion de la Charente-Maritime...... 2777 Arrêté n° 11-3025 en date du 14 septembre 2011 portant institution d'une régie d'avances auprès de la direction départementale de la cohésion sociale de la Charente-Maritime...... 2778 Arrêté n° 11-3026 du 14 septembre 2011 portant nomination à la direction départementale de la cohésion sociale de la Charente-Maritime d'un régisseur d'avances et de son suppléant...... 2779 Arrêté n° 11-3052 en date du 16 septembre 2011 modifiant la liste des mandataires judiciaires à la protection des majeurs et des délégués aux trestations familiales...... 2779 1.9. Direction départementale des Finance Publiques...... 2787 Délégation adjoint PRS...... 2787 Délégation responsable PRS (V. Guilgault)...... 2788 Délégation responsable SIP LRE (D. MOURET)...... 2789 Délégation responsable SIP LRO (A. RAYMOND)...... 2790 Délégation responsable SIP-SIE Jonzac (T. ANDREU)...... 2790 Délégation responsable SIP-SIE MARENNES (C. TOSELLI)...... 2792 Délégation responsable SIP-SIE ROCHEFORT (JL DERREY)...... 2793 Délégation responsable SIP-SIE SAINT-JEAN D'ANGELY (M. MULLER)...... 2794 Délégation responsable SIP ROYAN (F. LEPRETRE)...... 2795 Délégation responsable SIP SAINTES (D. STRICH)...... 2796 1.10. Direction Départementale des territoires et de la mer...... 2797 RN 10 - charente-maritime...... 2797 RD150/RD731...... 2797 Arrêté conjoint modification du régime de priorité...... 2797 commune de Saint-Hilaire de Villefranche...... 2797 Arrêté modifiant le territoire cynégétique de l'Association Communale de Chasse Agréée de ANDILLY...... 2798 Arrêté interpréfectoral du 20 septembre 2011 autorisant le renouvellement d'une zone de mouillages au lieu-dit "Les Saumonards" à Saint-Georges-d'Oléron...... 2799 Arrêté interpréfectoral du 20 septembre 2011 autorisant le renouvellement d'une zone de mouillages au lieu-dit "La Menounière" sur la commune de Saint-Pierre-d'Oléron...... 2801 Arrêté portant nomination des membres de la Commission Départementale d'Orientation de l'Agriculture...... 2804 Arrêté limitant provisoirement les prélèvements d'eau douce pour le remplissage des mares de tonne de chasse...... 2806 ARRETÉ RELATIF A LA MISE EN PLACE D'UN PROGRAMME D'INTÉRÊT GÉNÉRAL SUR LE TERRITOIRE DE LA COMMUNE DE LA ROCHELLE...... 2807

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1.11. Direction Départementale protection des populations...... 2808 arrêté portant subdélégation de signature de Monsieur Jean-Michel EMERIQUE...... 2808 portant autorisation d'organiser une épreuve de motocross dénommée « Motocross des Nations » sur le circuit situé sur la commune de ,...... 2809 au lieu dit « le Puy de Poursay »,les 17 et 18 septembre 2011...... 2809 1.12. Direction régionale entreprises concurrence consommation travail emploi...... 2811 Décision de subdélégation Responsable unité territoriale 17 des pouvoirs propres du DIRECCTE...... 2811 1.13. Direction régionale entreprises concurrence consommation travail emploi - UT 17 2814 Décision relative à l'organisation de l'inspection du travail dans le département de la Charente-Maritime...... 2814 Arrêté portant agrément simple d'un organisme de services à la personne (EURL WG ZEN SERVICES)...... 2816 Arrêté portant agrément simple d'un organisme de services à la personne (Entreprise Alexandre GRASSY)...... 2817 1.14. Visiteur...... 2819 arrêté portant délégation de signature...... 2819 Décision portant délégation permanente de signature, lors des astreintes donnée à chaque permanencier à la direction de l'administration pénitentiaire...... 2819 arrêté portant création d'une zone interdite à la circulation maritime à l'occasion du départ de la course "Charente Maritime / Bahia Transat 6.50" le 25 septembre 2011 à La Rochelle...... 2820

2. AVIS...... 2822

2.1. Préfecture de la Charente-Maritime - Services du cabinet...... 2822 Convention de coordination entre l'Etat et la commune de Royan...... 2822 2.2. Préfecture de la Charente-Maritime - SOUS-PREFECTURE DE SAINT-JEAN-D'ANGELY 2822 décision de la CDAC du 13 septembre 2011 accordant à la SCI SO.CI.COM l'autorisation d'étendre de 455m2 un supermarché à l'enseigne Intermarché à Montendre...... 2822 Décision de la CDAC du 13 septembre 2011 accordant à M.REYMOND l'autorisation de créer un magasin d'une surface de vente à l'enseigne CUISINELLE à SAINT GEORGES DES COTEAUX...... 2823 décision de la CDAC du 13 septembre 2011 accordant l'autorisation à la SAS JABEAU l'autorisation d'étendre un ensemble commercial par regroupement de surface de vente de 650m2 et extension d'un magasin de 1118,15m2 à l'enseigne BRICOMARCHE à MONTENDRE...... 2823

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1. Arrêtés

1.1. Préfecture de la Charente-Maritime - Direction des Relations avec les Collectivités territoriales et de l'environnement

arrêté portant prolongation du délai d'approbation du PPRT des établissements PICOTY/SDLP

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE ARTICLE 1 : délai Le délai d’approbation du plan de prévention des risques technologiques des établissements PICOTY SA et SDLP sur la commune de La Rochelle est prolongé jusqu’au 10 mars 2013. ARTICLE 2 : Un exemplaire du présent arrêté est notifié aux personnes et organismes associés définis dans l’article 4 de l’arrêté du 10 septembre 2008. Il devra être affiché pendant une durée minimale d’un mois à la mairie de la commune de La Rochelle pour y être porté à la connaissance du public. Mention de cet affichage sera insérée, par les soins du préfet, dans le journal Sud-Ouest. Il sera publié au recueil des actes administratifs de l’Etat dans le département. ARTICLE 3 : Le Secrétaire général de la Préfecture de Charente-Maritime, le Directeur régional de l'environnement, de l’aménagement et du logement, le Directeur départemental des territoires et de la mer, le maire de la commune de La Rochelle, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté. La Rochelle, le 9 septembre 2011 La Préfète, signé : Béatrice ABOLLIVIER

______arrêté portant DUP de la liaison souterraine de raccordement du poste de la Beaucoursière au Chateau d'Oléron à la ligne électrique aérienne La Valinière-Marennes

LE PREFET DE LA CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d'Honneur Chevalier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1er Est déclarée d'utilité publique, en vue de l'application des servitudes, la liaison électrique souterraine à 90KV de raccordement du poste de LA BEAUCOURSIERE sur la ligne électrique aérienne à 90KV LA VALINIERE- MARENNES, telle qu'elle est définie dans le dossier présenté par Réseau de transport d'électricité .

Article 2 Le présent arrêté sera affiché pendant un mois à la mairie de CHÂTEAU d’OLERON; le maire établira le certificat d'affichage correspondant et l'adressera au Directeur régional de l'environnement, de l'aménagement et du logement de Poitou-Charentes.

Un avis destiné à assurer la publicité de la déclaration d'utilité publique sera inséré en caractères apparents par les soins de la Préfecture de la Charente-Maritime dans deux journaux diffusés dans tout le département.

Article 3 La présente décision peut faire l’objet, dans un délai de 2 mois, à compter de sa publication : - soit d’un recours administratif (gracieux devant le préfet ou hiérarchique devant le ministre concerné), - soit d’un recours contentieux devant le Tribunal administratif de Poitiers.

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Le recours contentieux peut être précédé d’un seul recours administratif et n’a pas d’effet suspensif.

Article 4 Le Secrétaire général de la Préfecture, le directeur régional de l'environnement, de l'aménagement et du logement de Poitou-Charentes, le directeur départemental des territoires et de la Mer, le directeur de Réseau de transport d'électricité et le maire de Château d’Oléron sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Charente-Maritime.

Fait à La Rochelle, le 20 septembre 2011 La Préfète, Pour la Préfète et par délégation , Le Secrétaire Général

Signé Julien CHARLES

(Le texte intégral du(des) arrêté(s) ci-dessus inséré(s) peut être consulté à la "Préfecture de la Charente-Maritime - Direction des Relations avec les Collectivités territoriales et de l'environnement") ______

1.2. Préfecture de la Charente-Maritime - Service de la coordination de l'action départementale

Arrêté n° 11-3044 du 16 septembre 2011 donnant subdélégation de signature à M. gilles Servanton, Directeur départemental des territoires et de la mer de la Charente-Maritime, pour l'ordonnancement secondaire des recettes et des dépenses du budget de l'Etat imutées au titre de l'action 6 "plan d'action gouvernemental pour le marais poitevin" du BOP 162 "Interventions teritoriales de l'Etat"

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

ARTICLE 1 : Délégation est donnée à M. Gilles SERVANTON, Directeur départemental des territoires et de la mer, responsable d’Unité Opérationnelle (UO), à l’effet de procéder à l’ordonnancement secondaire des recettes et des dépenses de l’État imputées sur le titre VI de l’action 6 du Budget Opérationnel de Programme n° 162 « Interventions Territoriales de l’Etat ».

Cette délégation porte sur l'engagement, la liquidation et le mandatement des dépenses ainsi que sur la constatation des droits et l’émission des titres de recettes.

ARTICLE 2 : Cette délégation de signature s’applique également aux décisions d’opposition et de relèvement de la prescription quadriennale des créances sur l’Etat.

ARTICLE 3 : La présente délégation de signature ne s’applique pas :

- aux décisions attributives de subventions de plus de 50 000 euros, - aux décisions de passer outre aux refus de visa du Directeur départemental des finances publiques chargé du contrôle financier des dépenses déconcentrées, - aux ordres de réquisition du comptable public.

ARTICLE 4 : En application de l'article 44 du décret n° 2004-374 du 29 avril 2004 susvisé, M. Gilles SERVANTON, Directeur départemental des territoires et de la mer, peut subdéléguer sa signature aux agents placés sous son autorité. Copie de cette décision sera adressée à la Préfète et au Directeur départemental des finances publiques.

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ARTICLE 5 : Un compte-rendu d’utilisation des crédits pour l’exercice budgétaire, sera adressé trimestriellement au Préfet de la région Poitou-Charentes, Préfet de la Vienne, coordonnateur du « Plan d’action gouvernemental pour le Marais Poitevin » sous le couvert de la Préfète de la Charente-Maritime.

ARTICLE 6 : Le Secrétaire général de la préfecture et le Directeur départemental des territoires et de la mer sont chargés de l'exécution du présent arrêté qui sera notifié au Directeur départemental des finances publiques de la Charente-Maritime, affiché à la préfecture de la Charente-Maritime et publié au recueil des actes administratifs du département.

La Rochelle, le 16 septembre 2011

La Préfète,

Béatrice ABOLLIVIER

______

Arrêté N° 11-3047 du 16 septembre 2011 modifiant et complétant l'arrêté préfectoral N° 11-2388 du juillet 2011 donnant délégation de signature à M. Jean-Michel EMERIQUE, Directeur départemental de la protection des populations

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

ARTICLE 1er : Les dispositions de l’article 1er – I - Administration générale - de l’arrêté préfectoral susvisé n° 11-2388 du 4 juillet 2011 donnant délégation de signature à M. Jean-Michel EMERIQUE, Directeur départemental de la protection des populations, sont modifiées et complétées ainsi qu’il suit :

« I – Administration générale :

…………………………………………………………………………………….

- L’octroi des congés de maternité, de paternité, d’adoption et du congé bonifié, dans le cadre des instructions ministérielles en vigueur - Les sanctions disciplinaires du premier groupe - L’exercice d’une activité accessoire dans le cas de cumul d’activité »

ARTICLE 2 : Les dispositions de l’article 1er – II - Mesures relatives aux établissements, aux produits et aux services - de l’arrêté préfectoral susvisé n° 11-2388 du 4 juillet 2011 donnant délégation de signature à M. Jean-Michel EMERIQUE, Directeur départemental de la protection des populations, sont modifiées et complétées ainsi qu’il suit :

« II – Mesures relatives aux établissements, aux produits et aux services :

………………………………………………………………………………………….

17° Tous actes d’administration concernant la recherche et la constatation des infractions au livre II (Alimentation, santé publique vétérinaire et protection des végétaux) du code rural et de la pêche maritime »

ARTICLE 3 : Le Secrétaire général de la préfecture et le Directeur départemental de la protection des populations, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture.

La Rochelle, le 16 septembre 2011

La Préfète,

Béatrice ABOLLIVIER

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(Le texte intégral du(des) arrêté(s) ci-dessus inséré(s) peut être consulté à la "Préfecture de la Charente-Maritime - Service de la coordination de l'action départementale") ______

1.3. Préfecture de la Charente-Maritime - Services du cabinet

Arrêté n° 11-1493 en date du 28 avril 2011 modifiant l'arrêté n° 03-3022 DIR1/B1 du 25 juin 2003 modifié portant autorisation d'un système de vidéosurveillance

LE PREFET DE LA CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

ARTICLE 1 : L’article 1 de l’arrêté préfectoral n° 03-2022 DIR1/B1 du 25 juin 2003 modifié, est modifié comme suit :

« M. TIRBOIS, Directeur Général du Casino de , est autorisé, dans les conditions fixées aux articles suivants du présent arrêté, à installer et à exploiter un système de vidéosurveillance composé de 46 caméras intérieures et de 4 caméras extérieures, conformément au dossier présenté, sur le site du Casino de Fouras – Place Bugeau. »

ARTICLE 2 : L’article 3 de l’arrêté préfectoral n° 03-2022 DIR1/B1 du 25 juin 2003 modifié et repris à l’article 4 de l’arrêté préfectoral n° 10-2873/CAB/BC du 21 octobre 2010, est modifié comme suit :

« Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de M. TIRBOIS, Directeur Général du Casino de Fouras ».

Les autres dispositions demeurent sans changement.

ARTICLE 3 : Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du Préfet de la Charente-Maritime, Le Colonel, Commandant le Groupement de Gendarmerie de la Charente-Maritime, Le Maire de Fouras, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au Recueil des Actes Administratifs.

LA ROCHELLE, le 28 avril 2011

LE PREFET, Pour le préfet et par délégation Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet signé : Bruno CASSETTE

______

Arrêté n° 11-2311 en date du 28 juin 2011 portant autorisation d'un système de vidéoprotection situé SA SOLDOGA au Gua

LE PREFET DE LA CHARENTE-MARITIME

ARRETE

2682 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

Article 1er – Monsieur Hervé DAVID est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en oeuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection composé de 2 caméras intérieures et de 5 caméras extérieures conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0123.

Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :

Prévention des atteintes aux biens, Lutte contre la démarque inconnue.

Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.

- l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable et sera revêtue d’un pictogramme représentant une caméra.

Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de M. DAVID, directeur.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé(e) aura été mis(e) à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, notamment dans l’hypothèse d’atteintes aux libertés individuelles et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente- Maritime.

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de POITIERS dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai.

2683 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

Article 12 – L’arrêté préfectoral n° 99-4326 DIR1/B1 du 20 décembre 1999 portant autorisation d’un système de vidéoprotection sur le site de la SA Soldoga sise 115 rue Samuel Champlain au Gua est abrogé.

Article 13 – Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du Préfet de la Charente-Maritime, Le Colonel, Commandant le Groupement de Gendarmerie de la Charente-Maritime, Le Maire du GUA sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu’à Monsieur Hervé DAVID , 115 rue Samuel Champlain 17600 LE GUA.

La Rochelle, le 28 juin 2011

Pour le Secrétaire Général et par délégation Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet signé : Bruno CASSETTE

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Arrêté n° 11-2312 en date du 28 juin 2011 portant autorisation d'un système de vidéoprotection situé Carrefour Contact à Sainte Marie de Ré

LE PREFET DE LA CHARENTE-MARITIME

ARRETE

Article 1er – Madame Catherine REY est autorisée, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en oeuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection composé de 11 caméras intérieures conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0191.

Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :

Sécurité des personnes, Protection Incendie/Accidents, Prévention des atteintes aux biens, Lutte contre la démarque inconnue.

Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.

- l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable et sera revêtue d’un pictogramme représentant une caméra.

Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de Mme REY, PDG.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 7 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

2684 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé(e) aura été mis(e) à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, notamment dans l’hypothèse d’atteintes aux libertés individuelles et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente- Maritime.

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de POITIERS dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai.

Article 12 – Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du Préfet de la Charente-Maritime, Le Colonel, Commandant le Groupement de Gendarmerie de la Charente-Maritime, Le Maire de SAINTE MARIE DE RE sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu’à Madame Catherine REY , 120 rue du 14 juillet 17740 SAINTE MARIE DE RE.

La Rochelle, le 28 juin 2011

Pour le Secrétaire Général et par délégation Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet signé : Bruno CASSETTE

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Arrêté n° 11-2313 en date du 28 juin 2011 portant autorisation d'un système de vidéoprotection situé SAS Coop Atlantique à Surgères

LE PREFET DE LA CHARENTE-MARITIME

ARRETE

Article 1er – Monsieur G. SOLA est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en oeuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection composé de 10 caméras intérieures et d’1 caméra extérieure conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0222.

Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :

2685 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

Sécurité des personnes, Protection Incendie/Accidents, Prévention des atteintes aux biens, Lutte contre la démarque inconnue.

Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.

- l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable et sera revêtue d’un pictogramme représentant une caméra.

Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de M. SOLA, directeur.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 9 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé(e) aura été mis(e) à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, notamment dans l’hypothèse d’atteintes aux libertés individuelles et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente- Maritime.

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de POITIERS dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai.

Article 12 – L’arrêté préfectoral n° 06-1395 DIR1/B1 du 27 avril 2006 est abrogé.

Article 13 – Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du Préfet de la Charente-Maritime, Le Colonel, Commandant le Groupement de Gendarmerie de la Charente-Maritime, Le Maire de Surgères sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu’à Monsieur G. SOLA , 13 avenue Saint Pierre 17700 SURGERES.

2686 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

La Rochelle, le 28 juin 2011

Pour le Secrétaire Général et par délégation Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet signé : Bruno CASSETTE

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Arrêté n° 11-2314 en date du 28 juin 2011 portant autorisation d'un système de vidéoprotection au magasin Lidl à Saint Jean d'Angély

LE PREFET DE LA CHARENTE-MARITIME

ARRETE

Article 1er – Monsieur Pascal PICAZO est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en oeuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection composé de 11 caméras intérieures conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0160.

Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :

Sécurité des personnes, Protection Incendie/Accidents, Prévention des atteintes aux biens, Lutte contre la démarque inconnue.

Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.

- l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable et sera revêtue d’un pictogramme représentant une caméra.

Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de M. PICAZO, directeur régional.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 10 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

2687 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé(e) aura été mis(e) à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, notamment dans l’hypothèse d’atteintes aux libertés individuelles et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente- Maritime.

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de POITIERS dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai.

Article 12 – Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du Préfet de la Charente-Maritime, Le Colonel, Commandant le Groupement de Gendarmerie de la Charente-Maritime, Le Maire de SAINT JEAN D'ANGELY sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu’à Monsieur Pascal PICAZO , ZA DES COTEAUX 16300 VARS.

La Rochelle, le 28 juin 2011

Pour le Secrétaire Général et par délégation le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet signé : Bruno CASSETTE

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Arrêté n° 11-2315 en date du 28 juin 2011 portant modification d'un système de vidéoprotection situé SAS THAMA à Matha

LE PREFET DE LA CHARENTE-MARITIME

ARRETE

Article 1er – Madame Dominique LAPOUGE est autorisée, dans les conditions fixées au présent arrêté, à modifier à l'adresse sus-indiquée l’installation de vidéoprotection, conformément au dossier annexé à la demande enregistrée sous le n° 2011/0257.

Cette modification intervient sur l’installation de vidéoprotection précédemment autorisée par arrêté préfectoral n° 10- 1170 CAB/BC du 17 mai 2010 susvisé.

Article 2 – Les modifications portent sur : le nombre de caméras : 17 caméras intérieures et 3 caméras extérieures les personnes habilitées à accéder aux images.

Article 3 – Le reste des dispositions prévues par l’arrêté préfectoral n° 10-1170 CAB/BC du 17 mai 2010 demeure applicable.

2688 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

Article 4 - Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du Préfet de la Charente-Maritime, Le Colonel, Commandant le Groupement de Gendarmerie de la Charente-Maritime, Le Maire de Matha, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu’à Madame Dominique LAPOUGE, 36 rue Marc Jeanjean 17160 MATHA.

La Rochelle, le 28 juin 2011

Pour le Secrétaire Général et par délégation le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet signé : Bruno CASSETTE

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Arrêté n° 2344 en date du 30 juin 2011 portant autorisation d'un système de vidéoprotection à la Pharmacie Moderne à Meschers sur Gironde

LE PREFET DE LA CHARENTE-MARITIME

ARRETE

Article 1er – Monsieur Robert ALAIN est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en oeuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection composé de 4 caméras intérieures conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0162.

Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :

Sécurité des personnes, Protection Incendie/Accidents, Prévention des atteintes aux biens, Lutte contre la démarque inconnue.

Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.

- l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable et sera revêtue d’un pictogramme représentant une caméra.

Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de M. ALAIN Robert, titulaire.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

2689 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé(e) aura été mis(e) à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, notamment dans l’hypothèse d’atteintes aux libertés individuelles et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente- Maritime.

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de POITIERS dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai.

Article 12 – Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du Préfet de la Charente-Maritime, Le Colonel, Commandant le Groupement de Gendarmerie de la Charente-Maritime, Le Maire de MESCHERS SUR GIRONDE sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu’à Monsieur Robert ALAIN , 32 rue Paul Massy 17132 MESCHERS SUR GIRONDE.

La Rochelle, le 30 juin 2011

Pour le Secrétaire Général et par délégation Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet signé : Bruno CASSETTE

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Arrêté n° 11-2511 en date du 18 juillet 2011 portant autorisation d'un système de vidéoprotection situé place de l'Océan à Saint Palais sur Mer

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1er - M. Le Maire de SAINT PALAIS SUR MER est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté, à mettre en œuvre à l’adresse susindiquée, un système de vidéoprotection composé de 3 caméras extérieures visionnant la voie publique conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro

Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :

Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens, Protection des bâtiments publics.

2690 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Article 2 - : L'information sur l'existence d'un système fixe de vidéosurveillance filmant la voie publique est apportée au moyen de panonceaux comportant notamment un pictogramme représentant une caméra.

Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de M. Le Maire de SAINT PALAIS SUR MER.

Article 3 – Hormis le cas d’une enquête de flagrant délit, d’une enquête préliminaire ou d’un information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 15 jours.

Article 4 - Le titulaire de l’autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 - Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d’intervenir dans l’exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées et/ou enregistrées et des atteintes à la vie privée qu’elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 6 – L’accès à la salle de visionnage, d’enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n’y ayant pas une fonction précise ou qui n’aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l’autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d’accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 - Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l’objet d’une déclaration auprès des services de la Préfecture (notamment changement d’activité dans les lieux protégés – changement dans la configuration des lieux - changement du système autorisé, des modalités d’enregistrement, de conservation ou de destruction - modification du nombre et de l’emplacement des caméras.).

Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l’intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l’article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu’au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle es délivrée sans préjudice d’autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal…).

Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture.

Elle pourra faire l’objet d’un recours devant le Tribunal Administratif de Poitiers dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l’intéressé ou de sa publication au document précité.

Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai de cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai.

Article 12 : Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du Préfet de la Charente-Maritime, Le Colonel, Commandant le Groupement de Gendarmerie de la Charente-Maritime, Le Maire de SAINT PALAIS SUR MER, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé.

La Rochelle, le 18 juillet 2011

La Préfète Pour la Préfète et par délégation le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet signé : Bruno CASSETTE

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2691 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

Arrêté n° 11-2748 en date du 9 août 2011 portant autorisation d'un système de vidéoprotection situé Le Fournil des Claires à Arvert

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1er – Madame Véronique LEVOT épouse CLAIR est autorisée pour la partie ouverte au public, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en oeuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection composé d’une caméra intérieure conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0109.

Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :

Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens.

Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.

- l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable et sera revêtue d’un pictogramme représentant une caméra.

Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de Mme CLAIR, gérante.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé(e) aura été mis(e) à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, notamment dans l’hypothèse d’atteintes aux libertés individuelles et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

2692 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente- Maritime.

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de POITIERS dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressée ou de sa publication au document précité.

Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai.

Article 12 – Le Secrétaire Général de la Préfecture, Le Colonel, Commandant le Groupement de Gendarmerie de la Charente-Maritime, Le Maire de ARVERT sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu’à Madame Véronique LEVOT épouse CLAIR , 24 avenue de la Presqu'île 17530 ARVERT.

La Rochelle, le 9 août 2011

LA PREFETE, Pour la Préfète absente, Le Secrétaire Général signé : Julien CHARLES

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Arrêté n° 11-2749 en date du 9 août 2011 portant autorisation d'un système de vidéoprotection à la déchetterie de Guitinières

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1er – Monsieur Claude BELOT est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en oeuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection composé de 3 caméras extérieures conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0165.

Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :

Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens.

Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.

- l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable et sera revêtue d’un pictogramme représentant une caméra.

Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de Mme WILFART Carine, Directrice générale des services..

2693 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 7 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé(e) aura été mis(e) à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, notamment dans l’hypothèse d’atteintes aux libertés individuelles et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente- Maritime.

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de POITIERS dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication au document précité.

Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai.

Article 12 – Le Secrétaire Général de la Préfecture, Le Colonel, Commandant le Groupement de Gendarmerie de la Charente-Maritime, Le Maire de GUITINIERES sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu’à Monsieur Claude BELOT , 7 rue Taillefer 17500 JONZAC.

La Rochelle, le 9 août 2011

La Préfète Pour la Préfète absente Le Secrétaire Général signé : Julien CHARLES

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Arrêté n° 11-2750 en date du 9 août 2011 portant autorisation d'un système de vidéoprotection à la déchetterie d'Arthénac

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME

2694 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1er – Monsieur Claude BELOT est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en oeuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection composé de 4 caméras extérieures conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0169.

Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :

Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens.

Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.

- l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable et sera revêtue d’un pictogramme représentant une caméra.

Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de Mme WILFART Carine, Directrice générale des services.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 7 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé(e) aura été mis(e) à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, notamment dans l’hypothèse d’atteintes aux libertés individuelles et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente- Maritime.

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de POITIERS dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication au document précité.

2695 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai.

Article 12 – Le Secrétaire Général de la Préfecture, Le Colonel, Commandant le Groupement de Gendarmerie de la Charente-Maritime, Le Maire d’ sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu’à Monsieur Claude BELOT , 7 rue Taillefer 17500 JONZAC.

La Rochelle, le 9 août 2011

La Préfète Pour la Préfète absente Le Secrétaire Général signé : Julien CHARLES

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Arrêté n° 11-2751 en date du 9 août 2011 portant autorisation d'un système de vidéoprotection à l'Auberge des Lacs Bleus à Clérac

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1er – Monsieur Pascal LEFEBVRE est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en oeuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0172.

Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :

Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens.

Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.

- l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable et sera revêtue d’un pictogramme représentant une caméra.

Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de M. LEFEBVRE, gérant.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 20 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place.

2696 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé(e) aura été mis(e) à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, notamment dans l’hypothèse d’atteintes aux libertés individuelles et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente- Maritime.

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de POITIERS dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication au document précité.

Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai.

Article 12 – Le Secrétaire Général de la Préfecture, Le Colonel, Commandant le Groupement de Gendarmerie de la Charente-Maritime, Le Maire de CLERAC sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu’à Monsieur Pascal LEFEBVRE , 4 rue du Jeu de Quilles 17270 CLERAC.

La Rochelle, le 9 août 2011

LA PREFETE, Pour la Préfète absente, Le Secrétaire Général signé : Julien CHARLES

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Arrêté n° 11-2752 en date du 9 août 2011 portant autorisation d'un système de vidéoprotection à la Pharmacie Levraud-Guillien à Montguyon

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1er – Madame Isabelle GUILLIEN est autorisée, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en oeuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection composé de 5 caméras intérieures conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0263.

2697 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :

Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens, Lutte contre la démarque inconnue.

Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.

- l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable et sera revêtue d’un pictogramme représentant une caméra.

Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de Mme GUILLIEN, pharmacien titulaire.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 15 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé(e) aura été mis(e) à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, notamment dans l’hypothèse d’atteintes aux libertés individuelles et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente- Maritime.

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de POITIERS dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressée ou de sa publication au document précité.

Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai.

Article 12 – Le Secrétaire Général de la Préfecture, Le Colonel, Commandant le Groupement de Gendarmerie de la Charente-Maritime, Le Maire de MONTGUYON, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu’à Madame Isabelle GUILLIEN , 1 place de la Mairie 17270 MONTGUYON.

2698 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

La Rochelle, le 9 août 2011

La Préfète Pour la Préfète absente le Secrétaire Général signé : Julien CHARLES

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Arrêté n° 11-2753 en date du 9 août 2011 portant autorisation d'un système de vidéoprotection à Lidl à Saintes

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1er – Monsieur Pascal PICAZO est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en oeuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection composé de 12 caméras intérieures conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0164.

Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :

Sécurité des personnes, Protection Incendie/Accidents, Prévention des atteintes aux biens, Lutte contre la démarque inconnue.

Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.

- l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable et sera revêtue d’un pictogramme représentant une caméra.

Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de M. PICAZO, Directeur régional.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 10 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

2699 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé(e) aura été mis(e) à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, notamment dans l’hypothèse d’atteintes aux libertés individuelles et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente- Maritime.

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de POITIERS dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication au document précité.

Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai.

Article 12 – Le Secrétaire Général de la Préfecture, Le Directeur Départemental de la Sécurité Publique de la Charente-Maritime, Le Maire de SAINTES sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu’à Monsieur Pascal PICAZO , ZA DES COTEAUX 16300 VARS.

La Rochelle, le 9 août 2011

La Préfète Pour la Préfète absente le Secrétaire Général signé : Julien CHARLES

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Arrêté n° 11-2754 en date du 9 août 2011 portant autorisation d'un système de vidéoprotection au Bar PMU Le Jockey à Royan

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1er – Monsieur Laurent CADUC est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en oeuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection composé de 8 caméras intérieures conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0253.

Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :

Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens.

Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

2700 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.

- l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable et sera revêtue d’un pictogramme représentant une caméra.

Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de M. et Mme CADUC, co-gérant.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 10 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé(e) aura été mis(e) à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, notamment dans l’hypothèse d’atteintes aux libertés individuelles et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente- Maritime.

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de POITIERS dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication au document précité.

Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai.

Article 12 – L’arrêté préfectoral n° 07-3414 DIR1/B1 du 27 septembre 2007 portant autorisation d’un système de vidéoprotection situé au Bar PMU Le Jockey, 88 boulevard Aristide Briand à ROYAN à M. CHARLOT est abrogé en raison de la cession du commerce à M. CADUC.

Article 13 – Le Secrétaire Général de la Préfecture, Le Directeur Départemental de la Sécurité Publique de la Charente-Maritime, Le Maire de ROYAN sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu’à Monsieur Laurent CADUC , 88 boulevard Aristide Briand 17200 ROYAN.

La Rochelle, le 9 août 2011

2701 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

LA PREFETE, Pour la Préfète absente, Le Secrétaire Général signé : Julien CHARLES

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Arrêté n° 11-2755 en date du 9 août 2011 portant autorisation d'un système de vidéoprotection situé à l'Alimentation des Minimes à La Rochelle

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1er – Monsieur Said MEDAOUD est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en oeuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection composé de 4 caméras intérieures conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0092.

Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :

Sécurité des personnes, Lutte contre la démarque inconnue.

Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.

- l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable et sera revêtue d’un pictogramme représentant une caméra.

Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de M. MEDAOUD, exploitant.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 10 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

2702 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé(e) aura été mis(e) à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, notamment dans l’hypothèse d’atteintes aux libertés individuelles et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente- Maritime.

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de POITIERS dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication au document précité.

Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai.

Article 12 – Le Secrétaire Général de la Préfecture, Le Directeur Départemental de la Sécurité Publique de la Charente-Maritime, Le Maire de LA ROCHELLE sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu’à Monsieur Said MEDAOUD , avenue du Lazaret 17000 La Rochelle.

La Rochelle, le 9 août 2011

LA PREFETE, Pour la Préfète absente, Le Secrétaire Général signé : Julien CHARLES

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Arrêté n° 11-2756 en date du 9 août 2011 portant autorisation d'un système de vidéoprotection au Medigo à La Rochelle

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1er – Monsieur Said Medaoud est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en oeuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection composé de 4 caméras intérieures conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0095.

Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :

Sécurité des personnes, Lutte contre la démarque inconnue.

Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :

2703 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

- de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.

- l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable et sera revêtue d’un pictogramme représentant une caméra.

Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de M. MEDAOUD, exploitant.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 10 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé(e) aura été mis(e) à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, notamment dans l’hypothèse d’atteintes aux libertés individuelles et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente- Maritime.

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de POITIERS dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication au document précité.

Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai.

Article 12 – Le Secrétaire Général de la Préfecture, Le Directeur Départemental de la Sécurité Publique de la Charente-Maritime, Le Maire de LA ROCHELLE sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu’à Monsieur Said Medaoud, avenue du Lazaret 17000 La Rochelle.

La Rochelle, le 9 août 2011

La Préfète Pour la Préfète absente le Secrétaire Général signé : Julien CHARLES

2704 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

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Arrêté n° 11-2773 en date du 11 août 2011 portant autorisation d'un système de vidéoprotection au Crédit Mutuel Océan à La Jarne

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1er – Le Responsable sécurité est autorisé pour la partie ouverte au public, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en oeuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0127.

Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :

Sécurité des personnes, Protection Incendie/Accidents.

Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.

- l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable et sera revêtue d’un pictogramme représentant une caméra.

Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès du Responsable sécurité.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé(e) aura été mis(e) à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, notamment dans

2705 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011 l’hypothèse d’atteintes aux libertés individuelles et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente- Maritime.

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de POITIERS dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication au document précité.

Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai.

Article 12 – Le Secrétaire Général de la Préfecture, Le Colonel, Commandant le Groupement de Gendarmerie de la Charente-Maritime, Le Maire de LA JARNE sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu’au Responsable sécurité , 34 rue Leandre Merlet - BP 17 85001 LA ROCHE SUR YON CEDEX.

La Rochelle, le 11 août 2011

LA PREFETE, Pour la Préfète absente, Le Secrétaire Général signé : Julien CHARLES

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Arrêté n° 11-2774 en date du 11 août 2011 portant autorisation d'un système de vidéoprotection au Crédit Mutuel Océan à Echillais

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1er – Le Responsable Sécurité est autorisé pour la partie ouverte au public, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en oeuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0129.

Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :

Sécurité des personnes, Protection Incendie/Accidents.

Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.

- l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable et sera revêtue d’un pictogramme représentant une caméra.

2706 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès du Responsable sécurité.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé(e) aura été mis(e) à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, notamment dans l’hypothèse d’atteintes aux libertés individuelles et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente- Maritime.

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de POITIERS dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication au document précité.

Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai.

Article 12 – Le Secrétaire Général de la Préfecture, Le Colonel, Commandant le Groupement de Gendarmerie de la Charente-Maritime, Le Maire d’ECHILLAIS sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu’au Responsable Sécurité , 34 rue Léandre Merlet - BP 17 - 85001 LA ROCHE SUR YON Cedex.

La Rochelle, le 11 août 2011

LA PREFETE, Pour la Préfète absente, Le Secrétaire Général signé : Julien CHARLES

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2707 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

Arrêté n° 11-2775 en date du 11 août 2011 portant autorisation d'un système de vidéoprotection au Crédit Mutuel Océan à Saint Denis d'Oléron

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1er – Le Responsable Sécurité est autorisé pour la partie ouverte au public, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en oeuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0128.

Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :

Sécurité des personnes, Protection Incendie/Accidents.

Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.

- l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable et sera revêtue d’un pictogramme représentant une caméra.

Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès du responsable Sécurité.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé(e) aura été mis(e) à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, notamment dans l’hypothèse d’atteintes aux libertés individuelles et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

2708 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente- Maritime.

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de POITIERS dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication au document précité.

Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai.

Article 12 – Le Secrétaire Général de la Préfecture, Le Colonel, Commandant le Groupement de Gendarmerie de la Charente-Maritime, Le Maire de SAINT DENIS D'OLERON sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu’au Responsable Sécurité , 34 rue Léandre Merlet - BP 17 85001 LA ROCHE SUR YON CEDEX.

La Rochelle, le 11 août 2011

LA PREFETE, Pour la Préfète absente, Le Secrétaire Général signé : Julien CHARLES

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Arrêté n° 11-2776 en date du 11 août 2011 portant autorisation d'un système de vidéoprotection au Centre de Détention de Bédenac

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1er – Monsieur Bruno GAGNIER est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en oeuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0147.

Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :

Sécurité des personnes, Protection des bâtiments publics.

Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.

- l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable et sera revêtue d’un pictogramme représentant une caméra.

Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de M. GAGNIER, Adjoint au Chef d’établissement.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 10 jours.

2709 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé(e) aura été mis(e) à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, notamment dans l’hypothèse d’atteintes aux libertés individuelles et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente- Maritime.

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de POITIERS dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication au document précité.

Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai.

Article 12 – L’arrêté préfectoral n° 98-462 DIR1/B1 du 20 février 1998 portant autorisation d’un système de vidéoprotection sur le site du centre de détention de Bédenac est abrogé.

Article 13 – Le Secrétaire Général de la Préfecture, Le Colonel, Commandant le Groupement de Gendarmerie de la Charente-Maritime, Le Maire de sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu’à Monsieur Bruno GAGNIER , BP 9 17210 BEDENAC.

La Rochelle, le 11 août 2011

La Préfète Pour la Préfète absente Le Secrétaire Général signé : Julien CHARLES

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Arrêté n° 11-2777 en date du 11 août 2011 portant autorisation partielle d'un système de vidéoprotection au RECAM à Saint Jean d'Angély

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME

2710 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1er – Monsieur Jean-Philippe BRILLET est autorisé pour la partie ouverte au public, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en oeuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection composé de 3 caméras intérieures conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0161.

Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :

Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens, Lutte contre la démarque inconnue.

Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.

- l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable et sera revêtue d’un pictogramme représentant une caméra.

Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de M. BRILLET, responsable de direction.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 7 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé(e) aura été mis(e) à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, notamment dans l’hypothèse d’atteintes aux libertés individuelles et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente- Maritime.

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de POITIERS dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication au document précité.

2711 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai.

Article 12 – Le Secrétaire Général de la Préfecture, Le Colonel, Commandant le Groupement de Gendarmerie de la Charente-Maritime, Le Maire de SAINT JEAN D'ANGELY sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu’à Monsieur Jean-Philippe BRILLET , 6 rue de l'Industrie 41600 NOUAN-LE-FUZELIER.

La Rochelle, le 11 août 2011

La Préfète Pour la Préfète absente le Secrétaire Général signé : Julien CHARLES

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Arrêté n° 11-2778 en date du 11 août 2011 portant autorisation d'un système de vidéoprotection à l'Epicerie Saint Maurice à La Rochelle

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1er – Monsieur Said Medaoud est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en oeuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection composé de 4 caméras intérieures conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0093.

Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :

Sécurité des personnes, Lutte contre la démarque inconnue.

Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.

- l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable et sera revêtue d’un pictogramme représentant une caméra.

Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de M. MEDAOUD, exploitant.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 10 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

2712 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé(e) aura été mis(e) à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, notamment dans l’hypothèse d’atteintes aux libertés individuelles et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente- Maritime.

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de POITIERS dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai.

Article 12 – Le Secrétaire Général de la Préfecture, Le Directeur Départemental de la Sécurité Publique de la Charente-Maritime, Le Maire de LA ROCHELLE sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu’à Monsieur Said Medaoud , 14 avenue des corsaires 17000 La Rochelle.

La Rochelle, le 11 août 2011

La Préfète Pour la Préfète absente Le Secrétaire Général signé : Julien CHARLES

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Arrêté n° 11-2779 en date du 11 août 2011 portant autorisation d'un système de vidéoprotection à la Médiathèque à La Rochelle

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

2713 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

Article 1er – Monsieur Said Medaoud est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en oeuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection composé de 4 caméras intérieures conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0096.

Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :

Sécurité des personnes, Lutte contre la démarque inconnue.

Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.

- l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable et sera revêtue d’un pictogramme représentant une caméra.

Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de M. MEDAOUD, dirigeant.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 10 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé(e) aura été mis(e) à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, notamment dans l’hypothèse d’atteintes aux libertés individuelles et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente- Maritime.

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de POITIERS dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication au document précité.

Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai.

Article 12 – Le Secrétaire Général de la Préfecture, Le Directeur Départemental de la Sécurité Publique de la Charente-Maritime,

2714 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

Le Maire de LA ROCHELLE sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu’à Monsieur Said Medaoud , 7 avenue des Amériques 17000 La Rochelle.

La Rochelle, le 11 août 2011

La Préfète Pour la Préfète absente le Secrétaire Général signé : Julien CHARLES

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Arrêté n° 11-2780 en date du 11 août 2011 portant autorisation d'un système de vidéoprotection à la discothèque Autour de Minuit à La Rochelle

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1er – Monsieur Jonathan GAILLARD est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en oeuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection composé de 4 caméras intérieures et de 2 caméras extérieures conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0256.

Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :

Sécurité des personnes, Autres (Exigence compagnie d'assurance).

Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.

- l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable et sera revêtue d’un pictogramme représentant une caméra.

Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de M. GAILLARD, gérant.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

2715 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé(e) aura été mis(e) à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, notamment dans l’hypothèse d’atteintes aux libertés individuelles et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente- Maritime.

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de POITIERS dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai.

Article 12 – Le Secrétaire Général de la Préfecture, Le Directeur Départemental de la Sécurité Publique de la Charente-Maritime, Le Maire de LA ROCHELLE sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu’à Monsieur Jonathan GAILLARD , 14 rue Léonce Vieljeux 17000 LA ROCHELLE.

La Rochelle, le 11 août 2011

La Préfète Pour la Préfète absente Le Secrétaire Général signé : Julien CHARLES

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Arrêté n° 11-2781 en date du 11 août 2011 portant autorisation d'un système de vidéoprotection à Millésime moto à Puilboreau

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1er – Monsieur Jean-Claude PAGE est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en oeuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection composé de 5 caméras intérieures et d’1 caméra extérieure conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0173.

Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :

2716 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens, Lutte contre la démarque inconnue.

Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.

- l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable et sera revêtue d’un pictogramme représentant une caméra.

Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de M. PAGE, gérant.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé(e) aura été mis(e) à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, notamment dans l’hypothèse d’atteintes aux libertés individuelles et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente- Maritime.

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de POITIERS dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication au document précité.

Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai.

Article 12 – Le Secrétaire Général de la Préfecture, Le Directeur Départemental de la Sécurité Publique de la Charente-Maritime, Le Maire de PUILBOREAU sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu’à Monsieur Jean-Claude PAGE , 10 rue du 11 novembre - ZAC de Beaulieu 17138 PUILBOREAU.

2717 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

La Rochelle, le 11 août 2011

La Préfète Pour la Préfète absente le Secrétaire Général signé : Julien CHARLES

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Arrêté n° 11-2782 en date du 11 août 2011 portant autorisation d'un système de vidéoprotection à Millésime Moto / suzuki à Puilboreau

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1er – Monsieur Jean-Claude PAGE est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en oeuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection composé de 3 caméras intérieures et d’1 caméra extérieure conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0174.

Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :

Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens, Lutte contre la démarque inconnue.

Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.

- l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable et sera revêtue d’un pictogramme représentant une caméra.

Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de M. PAGE, gérant.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

2718 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé(e) aura été mis(e) à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, notamment dans l’hypothèse d’atteintes aux libertés individuelles et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente- Maritime.

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de POITIERS dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai.

Article 12 – Le Secrétaire Général de la Préfecture, Le Directeur Départemental de la Sécurité Publique de la Charente-Maritime, Le Maire de PUILBOREAU sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu’à Monsieur Jean-Claude PAGE , 4 rue du 11 novembre - ZAC de Beaulieu 17138 PUILBOREAU.

La Rochelle, le 11 août 2011

La Préfète Pour la Préfète absente le Secrétaire Général signé : Julien CHARLES

______

Arrêté n° 11-2783 en date du 11 août 2011 portant autorisation d'un système de vidéoprotection au Flamenka à Saintes

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1er – Monsieur Pascal ABADIE est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en oeuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection sans enregistrement composé de 3 caméras intérieures conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0186.

Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :

Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens, Lutte contre la démarque inconnue.

Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

2719 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.

- l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable et sera revêtue d’un pictogramme représentant une caméra.

Article 3 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 4 – L'accès à la salle de visionnage devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 5 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 6 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé(e) aura été mis(e) à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, notamment dans l’hypothèse d’atteintes aux libertés individuelles et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 7 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente- Maritime.

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de POITIERS dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication au document précité.

Article 8 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai.

Article 9 – Le Secrétaire Général de la Préfecture, Le Directeur Départemental de la Sécurité Publique de la Charente-Maritime, Le Maire de SAINTES sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu’à Monsieur Pascal ABADIE , 64 rue Alsace Lorraine 17100 SAINTES.

La Rochelle, le 11 août 2011

LA PREFETE, Pour la Préfète absente, Le Secrétaire Général signé : Julien CHARLES

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2720 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

Arrêté n° 11-2805 en date du 16 août 2011 portant autorisation d'un système de vidéoprotection situé Terrasse Colbert à Rochefort

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1er – Madame Ouaria KARPENKO est autorisée, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en oeuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection composé de 3 caméras intérieures et de 2 caméras extérieures conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0175.

Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :

Sécurité des personnes, Protection Incendie/Accidents, Prévention des atteintes aux biens.

Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.

- l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable et sera revêtue d’un pictogramme représentant une caméra.

Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de la société SURVEIL – 5 rue Cochon Duvivier – 17300 ROCHEFORT.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 28 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé(e) aura été mis(e) à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, notamment dans l’hypothèse d’atteintes aux libertés individuelles et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

2721 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente- Maritime.

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de POITIERS dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai.

Article 12 – Le Secrétaire Général de la Préfecture, Le Directeur Départemental de la Sécurité Publique de la Charente-Maritime, Le Maire de ROCHEFORT sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu’à Madame Ouaria KARPENKO , 27 rue Audry de Puyravault 17300 ROCHEFORT.

La Rochelle, le 16 août 2011

LA PREFETE, Pour la Préfète absente, Le Secrétaire Général signé : Julien CHARLES

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Arrêté n° 11-2806 en date du 16 août 2011 portant autorisation partielle d'un système de vidéoprotection situé Le Quai Ouest à Royan

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1er – Monsieur Patrice ROUILLET est autorisé pour la partie ouverte au public, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en oeuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection composé de 3 caméras intérieures conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0223.

Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :

Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens.

Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.

- l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.

Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de M. ROUILLET, gérant.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 10 jours.

2722 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé(e) aura été mis(e) à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, notamment dans l’hypothèse d’atteintes aux libertés individuelles et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente- Maritime.

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de POITIERS dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication au document précité.

Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai.

Article 12 – Le Secrétaire Général de la Préfecture, Le Directeur Départemental de la Sécurité Publique de la Charente-Maritime, Le Maire de Royan sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu’à Monsieur Patrice ROUILLET , 25 Front de Mer 17200 ROYAN.

La Rochelle, le 16 août 2011

La Préfète Pour la Préfète absente le Secrétaire Général signé : Julien CHARLES

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Arrêté n° 11-2807 en date du 16 août 2011 portant autorisation d'un système de vidéoprotection au restaurant Le Régent à Royan

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

2723 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

ARRETE

Article 1er – Monsieur Patrice ROUILLET est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en oeuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection composé de 4 caméras intérieures et 2 caméras extérieures conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0224.

Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :

Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens.

Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.

- l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable et sera revêtue d’un pictogramme représentant une caméra.

Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de M. ROUILLET, gérant.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 10 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé(e) aura été mis(e) à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, notamment dans l’hypothèse d’atteintes aux libertés individuelles et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente- Maritime.

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de POITIERS dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication au document précité.

2724 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai.

Article 12 – Le Secrétaire Général de la Préfecture, Le Directeur Départemental de la Sécurité Publique de la Charente-Maritime, Le Maire de ROYAN sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu’à Monsieur Patrice ROUILLET , 12 Front de Mer 17206 ROYAN CEDEX.

La Rochelle, le 16 août 2011

La Préfète Pour la Préfète absente le Secrétaire Général signé : Julien CHARLES

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Arrêté n° 11-2808 en date du 16 août 2011 portant autorisation d'un système de vidéoprotection au restaurant Le Panini à Royan

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1er – Monsieur Patrice ROUILLET est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en oeuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection composé de 4 caméras intérieures conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0225.

Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :

Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens.

Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.

- l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable et sera revêtue d’un pictogramme représentant une caméra.

Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de M. ROUILLET, gérant.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 10 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place.

2725 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé(e) aura été mis(e) à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, notamment dans l’hypothèse d’atteintes aux libertés individuelles et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente- Maritime.

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de POITIERS dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.

Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai.

Article 12 – Le Secrétaire Général de la Préfecture, Le Directeur Départemental de la Sécurité Publique de la Charente-Maritime, Le Maire de ROYAN sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu’à Monsieur Patrice ROUILLET , 1 rue Grandière 17206 ROYAN CEDEX.

La Rochelle, le 16 août 2011

La Préfète Pour la Préfète absente le Secrétaire Général signé : Julien CHARLES

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Arrêté n° 11-2809 en date du 16 août 2011 portant autorisation d'un système de vidéoprotection au Tabac Le Bordeaux à Saintes

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1er – Monsieur Michel GUIOT est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en oeuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection composé de 3 caméras

2726 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011 intérieures et d’1 caméra extérieure conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0159.

Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :

Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens.

Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.

- l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable et sera revêtue d’un pictogramme représentant une caméra.

Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de M. GUIOT, gérant.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 14 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé(e) aura été mis(e) à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, notamment dans l’hypothèse d’atteintes aux libertés individuelles et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente- Maritime.

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de POITIERS dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication au document précité.

Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai.

Article 12 – Le Secrétaire Général de la Préfecture, Le Directeur Départemental de la Sécurité Publique de la Charente-Maritime, Le Maire de SAINTES

2727 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011 sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu’à Monsieur Michel GUIOT , 28 avenue du Président Salvador Allende 17100 SAINTES.

La Rochelle, le 16 août 2011

La Préfète Pour la Préfète absente le Secrétaire Général signé : Julien CHARLES

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Arrêté n° 11-2810 en date du 16 août 2011 portant autorisation d'un système de vidéoprotection au CIC Saintes CIC Ouest à Saintes

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1er – Le Chargé de sécurité est autorisé, pour une durée d’un an, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en oeuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0176.

Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :

Sécurité des personnes, Protection Incendie/Accidents, Prévention des atteintes aux biens, Prévention d'actes terroristes.

Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.

- l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable et sera revêtue d’un pictogramme représentant une caméra.

Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès du chargé de sécurité.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

2728 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé(e) aura été mis(e) à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, notamment dans l’hypothèse d’atteintes aux libertés individuelles et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente- Maritime.

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de POITIERS dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication au document précité.

Article 11 – Le Secrétaire Général de la Préfecture, Le Directeur Départemental de la Sécurité Publique de la Charente-Maritime, Le Maire de SAINTES sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu’au chargé de sécurité , 2 avenue Jean-Claude Bonduelle 44040 NANTES CEDEX 1.

La Rochelle, le 16 août 2011

La Préfète Pour la Préfète absente Le Secrétaire Général signé : Julien CHARLES

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Arrêté n° 11-2855 en date du 23 août 2011 portant autorisation d'un système de vidéoprotection situé Le Fourn'Ile de Dolus à Dolus d'Oléron

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1er – Madame Véronique LE VOT épouse CLAIR est autorisée pour la partie ouverte au public, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en oeuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection composé d’1 caméra intérieure conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0110.

Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :

Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens.

Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

2729 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.

- l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable et sera revêtue d’un pictogramme représentant une caméra.

Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de Mme CLAIR, gérante.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé(e) aura été mis(e) à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, notamment dans l’hypothèse d’atteintes aux libertés individuelles et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente- Maritime.

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de POITIERS dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressée ou de sa publication au document précité.

Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai.

Article 12 – Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du Préfet de la Charente-Maritime, Le Colonel, Commandant le Groupement de Gendarmerie de la Charente-Maritime, Le Maire de DOLUS D'OLERON sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu’à Madame Véronique LE VOT , 1 Le Moulin de l'Abreuvoir 17550 DOLUS D'OLERON.

La Rochelle, le 23 août 2011

LA PREFETE, Pour la Préfète et par délégation Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet

2730 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

Bruno CASSETTE

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Arrêté n° 11-2888 en date du 30 août 2011 portant autorisation d'un système de vidéoprotection à La Cervoiserie à Puilboreau

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1er – Monsieur Dominique BATARD est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en oeuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection composé de 8 caméras intérieures et d’1 caméra extérieure conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0218.

Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :

Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens, Lutte contre la démarque inconnue.

Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.

- l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable et sera revêtue d’un pictogramme représentant une caméra.

Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de M. BATARD, gérant.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé(e) aura été mis(e) à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles

2731 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, notamment dans l’hypothèse d’atteintes aux libertés individuelles et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente- Maritime.

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de POITIERS dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication au document précité.

Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai.

Article 12 – Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du Préfet de la Charente-Maritime, Le Directeur Départemental de la Sécurité Publique de la Charente-Maritime, Le Maire de PUILBOREAU sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu’à Monsieur Dominique BATARD , rue du 18 juin - ZAC de Beaulieu 17138 PUILBOREAU.

La Rochelle, le 30 août 2011

La Préfète Pour la Préfète et par délégation le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet signé : Bruno CASSETTE

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Arrêté n° 11-2889 en date du 30 août 2011 portant autorisation d'un système de vidéoprotection au Carrefour Market à Arvert

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1er – Monsieur Michel DEVOYON est autorisé pour la partie ouverte au public, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en oeuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection composé de 10 caméras intérieures et d’1 caméra extérieure conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0163.

Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :

Sécurité des personnes, Protection Incendie/Accidents, Prévention des atteintes aux biens, Lutte contre la démarque inconnue.

Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.

2732 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

- l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable et sera revêtue d’un pictogramme représentant une caméra.

Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de M. DEVOYON, directeur.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 9 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé(e) aura été mis(e) à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, notamment dans l’hypothèse d’atteintes aux libertés individuelles et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente- Maritime.

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de POITIERS dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication au document précité.

Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai.

Article 12 – L’arrêté préfectoral n° 05-2745 DIR1/B1 du 19 août 2005 est abrogé.

Article 13 – Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du Préfet de la Charente-Maritime, Le Colonel, Commandant le Groupement de Gendarmerie de la Charente-Maritime, Le Maire de ARVERT sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu’à Monsieur Michel DEVOYON , 107 avenue Etrade 17530 ARVERT.

La Rochelle, le 30 août 2011

La Préfète Pour la Préfète et par délégation Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet signé : Bruno CASSETTE

2733 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

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Arrêté n° 11-2890 en date du 30 août 2011 portant autorisation d'un système de vidéoprotection à la pharmacie de l'Aunis à Surgères

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1er – Monsieur Thierry PLAIRE est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en oeuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection composé de 3 caméras intérieures conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0122.

Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :

Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens.

Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.

- l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable et sera revêtue d’un pictogramme représentant une caméra.

Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de M. PLAIRE, gérant.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé(e) aura été mis(e) à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, notamment dans l’hypothèse d’atteintes aux libertés individuelles et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

2734 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente- Maritime.

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de POITIERS dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication au document précité.

Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai.

Article 12 – Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du Préfet de la Charente-Maritime, Le Colonel, Commandant le Groupement de Gendarmerie de la Charente-Maritime, Le Maire de SURGERES sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu’à Monsieur Thierry PLAIRE , 66 rue Audry de Puyravault 17700 SURGERES.

La Rochelle, le 30 août 2011

La Préfète Pour la Préfète et par délégation le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet signé : Bruno CASSETTE

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Arrêté n° 11-2959 en date du 6 septembre 2011 portant autorisation d'un système de vidéoprotection au Carrefour Market à Montendre

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1er – Monsieur David GUIGNARD est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en oeuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection composé de 11 caméras intérieures et 2 caméras extérieures conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0170.

Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :

Sécurité des personnes, Protection Incendie/Accidents, Prévention des atteintes aux biens, Lutte contre la démarque inconnue.

Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.

2735 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

- l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable et sera revêtue d’un pictogramme représentant une caméra.

Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de M. GUIGNARD, directeur.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 9 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé(e) aura été mis(e) à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, notamment dans l’hypothèse d’atteintes aux libertés individuelles et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente- Maritime.

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de POITIERS dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication au document précité.

Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai.

Article 12 – Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet du Préfet de la Charente-Maritime, Le Colonel, Commandant le Groupement de Gendarmerie de la Charente-Maritime, Le Maire de MONTENDRE sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu’à Monsieur David GUIGNARD , 6 avenue de la République 17130 MONTENDRE.

La Rochelle, le 6 septembre 2011

La Préfète Pour la Préfète et par délégation Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet signé : Bruno CASSETTE

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2736 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

Arrêté n° 11-3041 en date du 15 septembre 2011 portant autorisation d'un système de vidéoprotection à la mairie à Saintes

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1er – Monsieur Jean ROUGER est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en oeuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection composé de 3 caméras extérieures conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0149.

Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :

Protection des bâtiments publics.

Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.

- l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable et sera revêtue d’un pictogramme représentant une caméra.

Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès du service Informatique et Nouvelles Technologies de la Ville de Saintes.

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 14 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé(e) aura été mis(e) à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, notamment dans l’hypothèse d’atteintes aux libertés individuelles et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

2737 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente- Maritime.

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de POITIERS dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressé ou de sa publication au document précité.

Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai.

Article 12 – L’arrêté préfectoral n° 01-2983 DIR1/B1 du 3 octobre 2001 est abrogé.

Article 13 – Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet de la Préfète de la Charente-Maritime, - Le Directeur Départemental de la Sécurité Publique de la Charente-Maritime, - Le Maire de Saintes sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu’à Monsieur Jean ROUGER , square André Maudet 17100 SAINTES.

La Rochelle, le 15 septembre 2011

LA PREFETE, Pour la Préfète et par délégation Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet signé : Bruno CASSETTE

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Arrêté n° 11-3042 en date du 15 septembre 2011 portant modification de la composition du comité technique paritaire départemental de la Police Nationale

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

ARTICLE 1er : L'article 3 de l’arrêté Préfectoral n° 2010-844 du 30 mars 2010 portant création du comité technique paritaire départemental de la Police Nationale est modifié comme suit :

"ARTICLE 3 : Ont été désignés par les organisations syndicales pour représenter les personnels actifs :

 En qualité de Titulaires :

- Monsieur Franck LEQUET, Brigadier Chef à la Circonscription de Sécurité Publique de Royan (SGP – Unité Police) - Monsieur Pascal FAYE, Brigadier à la Circonscription de Sécurité Publique de La Rochelle (SGP – Unité Police) - Monsieur Gérard PASQUALINI, Brigadier à la Circonscription de Sécurité Publique de La Rochelle (SGP – Unité Police) - Monsieur David BUSOM, Gardien de la Paix à la Circonscription de Sécurité Publique de Saintes (SGP – Unité Police) - Monsieur Laurent RAMOS, Capitaine de Police à la Circonscription de Sécurité Publique de La Rochelle (Syndicat National des Officiers de Police) - Monsieur Arnaud TERRIER, Brigadier à la Circonscription de Sécurité Publique de La Rochelle (Alliance Police Nationale) - Monsieur Frédéric DELORT, Brigadier Chef à la Circonscription de Sécurité Publique de Saintes (Alliance Police Nationale) »

ARTICLE 2 : Les autres dispositions de l’arrêté préfectoral du 30 mars 2010 susvisé demeurent inchangées.

ARTICLE 3 : le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet, le Directeur Départemental de la Sécurité Publique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au recueil des actes administratifs.

2738 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

LA ROCHELLE, le 15 septembre 2011

La Préfète signée : Béatrice ABOLLIVIER

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Arrêté n° 11-3107 en date du 26 septembre 2011 portant autorisation d'un système de vidéoprotection à l'Hôtel F1 à Saintes

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1er – Madame PASCALE CHARDON est autorisée, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en oeuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéoprotection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2011/0031.

Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :

Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens.

Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.

Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.

Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :

- de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de vidéoprotection et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.

- l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable et sera revêtue d’un pictogramme représentant une caméra.

Le droit d’accès aux images pourra s’exercer auprès de Mme CHARDON, directrice .

Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 15 jours.

Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.

Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.

Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.

Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.

Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).

2739 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé(e) aura été mis(e) à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés, notamment dans l’hypothèse d’atteintes aux libertés individuelles et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.

Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).

Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente- Maritime.

Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de POITIERS dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification à l'intéressée ou de sa publication au document précité.

Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant l’échéance de ce délai.

Article 12 – Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet de la Préfète de la Charente-Maritime, - Le Directeur Départemental de la Sécurité Publique de la Charente-Maritime, - Le Maire de SAINTES sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu’à Madame PASCALE CHARDON , 3 rue DE LA COTE DE BEAUTE 17100 SAINTES.

La Rochelle, le 26 septembre 2011

LA PREFETE, Pour la Préfète et par délégation Le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet signé : Bruno CASSETTE

(Le texte intégral du(des) arrêté(s) ci-dessus inséré(s) peut être consulté à la "Préfecture de la Charente-Maritime - Services du cabinet") ______

1.4. Préfecture de la Charente-Maritime - SOUS-PREFECTURE DE JONZAC

Arrêté n° 2011-78/SPJ portant adhésion de la commune de Polignac au syndicat intercommunal à vocation scolaire de Bédenac, Chepniers et Polignac et adoption des nouveaux statuts du syndicat

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

ARTICLE PREMIER : à dater du présent arrêté est entériné l’adhésion de la commune de Polignac au syndicat intercommunal à vocation scolaire de Bédenac - Chepniers qui devient syndicat intercommunal à vocation scolaire de Bédenac, Chepniers et Polignac conformément aux statuts annexés.

ARTICLE 2 : le syndicat a pour objet (suivant l'article 3 de ses statuts) : Le fonctionnement du regroupement pédagogique à l’exclusion des cantines de chaque commune, du transport scolaire et de la garderie périscolaire.

ARTICLE 3 : le siège de syndicat est fixé à la mairie de Chepniers (suivant l'article 2 des statuts).

ARTICLE 4 : Toutes dispositions non prévues aux statuts seront réglées conformément au Code Général des Collectivités Territoriales.

2740 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

ARTICLE 5 : Monsieur le sous-préfet de Jonzac, Monsieur le directeur départemental des finances publiques de la Charente-Maritime, Monsieur l’inspecteur d’académie, directeur des services départementaux de l’éducation nationale, Madame la présidente du syndicat, Messieurs les maires de Bédenac, Chepniers et Polignac, sont chargés chacun en ce qui le concerne de l’exécution du présent arrêté qui sera inséré au recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Charente-Maritime.

Fait à Jonzac, le 20 septembre 2011

La Préfète, Pour la Préfète, Le sous-préfet de Jonzac

Philippe Brugnot

(Le texte intégral du(des) arrêté(s) ci-dessus inséré(s) peut être consulté à la "Préfecture de la Charente-Maritime - SOUS-PREFECTURE DE JONZAC") ______

1.5. Préfecture de la Charente-Maritime - SOUS-PREFECTURE DE ROCHEFORT

Arrêté n°11-211 du 12 septembre 2011 reconnaissant les aptitudes techniques de M. Serge BOURDEAU en qualité de garde-chasse particulier.

LE PREFET DE LA CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

ARTICLE 1: M. Serge BOURDEAU, né le 24 juillet 1955 à SAINT VIVIEN (17), est reconnu techniquement apte à exercer les fonctions de garde particulier.

ARTICLE 2 : Il est en outre reconnu techniquement apte à exercer les fonctions

de garde chasse particulier .

ARTICLE 3 : Le présent arrêté devra être présenté pour toute demande d'agrément à ces fonctions.

ARTICLE 4 : Le présent arrêté peut faire l’objet, dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification, d’un recours gracieux auprès de la Sous-Préfecture de ROCHEFORT ou d’un recours hiérarchique auprès du Ministre de l’Ecologie, du Développement Durable, des Transports et du Logement, ou d’un recours contentieux devant le tribunal administratif. L’exercice d’un recours gracieux ou hiérarchique proroge de deux mois le délai pour exercer un recours contentieux.

ARTICLE 5 : Le Sous-Préfet de Rochefort, Le Directeur des Archives Départementales - 17000 LA ROCHELLE, Le Président de la Fédération Départementale des Chasseurs de la Charente-Maritime, Le Chef de Service, Office National de la Chasse et de la Faune Sauvage 17100 , M. Serge BOURDEAU 17 rue de la bascule 17290 sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la Préfecture.

2741 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

Rochefort le 12 septembre 2011 LE SOUS-PREFET DE ROCHEFORT POUR LE SOUS-PREFET par délégation LE CHEF DE BUREAU Dominique GRANGÉ-COURTY

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Arrêté n°11-212 du 12 septembre 2011 portant agrément de M. Serge BOURDEAU en qualité de garde-chasse particulier

LE PREFET DE LA CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

ARTICLE 1: M. Serge BOURDEAU, né le 24 juillet 1955 à SAINT VIVIEN (17) demeurant : 17 rue de la bascule à 17290 LE THOU, EST AGREE en qualité de Garde-Chasse Particulier pour constater tous délits et contraventions dans le domaine de la chasse qui portent préjudice au détenteur des droits de chasse qui l’emploie.

La liste des propriétés ou des terrains concernés est celle figurant dans l’arrêté n°68-788-1/2 du 18 juin 1968 et ses annexes I et II modifiés, fixant la liste des terrains devant être soumis à l’action de l'Association Communale de Chasse Agréée de LE THOU.

ARTICLE 2: La qualité de garde particulier chargé de certaines fonctions de police judiciaire est strictement limitée au territoire pour lequel M. Serge BOURDEAU a été commissionné par son employeur et agréé. En dehors de ce territoire, M. Serge BOURDEAU n’a pas compétence pour dresser procès-verbal.

ARTICLE 3 : Le présent agrément est délivré pour une durée de CINQ ANS.

ARTICLE 4 : Préalablement à son entrée en fonctions, M. Serge BOURDEAU doit prêter serment devant le Tribunal d’Instance de ROCHEFORT.

ARTICLE 5 : Dans l’exercice de ses fonctions, M. Serge BOURDEAU doit être porteur en permanence du présent agrément et doit le présenter à toute personne qui en fait la demande.

ARTICLE 6 : Le présent agrément doit être retourné sans délai à la Sous-Préfecture de ROCHEFORT en cas de cessation de fonctions, que celle-ci résulte de l’initiative du garde particulier, de son employeur ou de la perte des droits du commettant.

ARTICLE 7 : Le présent arrêté peut faire l’objet, dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification, d’un recours gracieux auprès de la Sous-Préfecture de ROCHEFORT ou d'un recours hiérarchique auprès du Ministre de l’Ecologie, du Développement Durable, des Transports et du Logement, ou d'un recours contentieux devant le tribunal administratif. L'exercice d'un recours gracieux ou hiérarchique proroge de deux mois le délai pour exercer un recours contentieux.

ARTICLE 8 : Le Sous-Préfet de Rochefort, Le Maire de la commune de : LE THOU, Le Commandant de la Compagnie de Gendarmerie de ROCHEFORT, Le Directeur des Archives Départementales - 17000 LA ROCHELLE, Le Procureur de la République près le Tribunal d’Instance de ROCHEFORT, Le Président de la Fédération Départementale des Chasseurs de la Charente-Maritime, Le Chef de Service, Office National de la Chasse et de la Faune Sauvage 17100 COURCOURY, M. Jean-Claude GENEAU 32 d rue du champs de foire 17290 LE THOU, M. Serge BOURDEAU 17 rue de la bascule 17290 LE THOU sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la Préfecture .

2742 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

Rochefort le 12 septembre 2011 LE SOUS-PREFET DE ROCHEFORT POUR LE SOUS-PREFET par délégation LE CHEF DE BUREAU Dominique GRANGÉ-COURTY

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Arrêté n°11-213 du septembre 2011 reconnaissant les aptitudes techniques de M.Rémi CHALMEL en qualité de garde-chasse particulier.

LE PREFET DE LA CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

ARTICLE 1 : M. Dominique MERIGOUT, né le 1er avril 1950 à LOUDUN (86), est reconnu techniquement apte à exercer les fonctions de garde-chasse particulier. ARTICLE 2 : Le présent arrêté devra être présenté pour toute demande d’agrément à ces fonctions.

ARTICLE 3 : Le présent arrêté peut faire l’objet, dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification, d’un recours gracieux auprès de la Sous-Préfecture de ROCHEFORT ou d’un recours hiérarchique auprès du Ministre de l’Ecologie, du Développement Durable, des Transports et du Logement, ou d’un recours contentieux devant le tribunal administratif. L’exercice d’un recours gracieux ou hiérarchique proroge de deux mois le délai pour exercer un recours contentieux.

ARTICLE 4 : Le Sous-Préfet de Rochefort, Le Directeur des Archives Départementales - 17000 LA ROCHELLE, Le Président de la Fédération Départementale des Chasseurs de la Charente-Maritime, Le Chef de Service, Office National de la Chasse et de la Faune Sauvage 17100 COURCOURY, M. Dominique MERIGOUT 1 rue des Figuiers 17180 PERIGNY sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la Préfecture.

Rochefort le 12 septembre 2011 LE SOUS-PREFET DE ROCHEFORT POUR LE SOUS-PREFET par délégation LE CHEF DE BUREAU Dominique GRANGÉ-COURTY

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Arrêté n°11-214 du 12 septembre 2011 portant agrément de M. Rémi CHALMEL en qualité de garde-chasse particulier.

LE PREFET DE LA CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

ARTICLE 1: M. Rémi CHALMEL, né le 23 avril 1980 à NANTES (44) demeurant : 34 ter rue du Docteur Peltier à 17300 ROCHEFORT,

2743 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

EST AGREE en qualité de Garde-Chasse Particulier pour surveiller, constater tous délits et contraventions sur les territoires de la Ligue pour la Protection des Oiseaux.

La liste des parcelles que le garde est chargé de surveiller est annexée au présent arrêté.

ARTICLE 2: La qualité de garde particulier chargé de certaines fonctions de police judiciaire est strictement limitée au territoire pour lequel M. Rémi CHALMEL a été commissionné par son employeur et agréé. En dehors de ce territoire, M. Rémi CHALMEL n’a pas compétence pour dresser procès-verbal.

ARTICLE 3 : Le présent agrément est délivré pour une durée de CINQ ANS.

ARTICLE 4 : Préalablement à son entrée en fonctions, M. Rémi CHALMEL doit prêter serment devant le Tribunal d’Instance de ROCHEFORT.

ARTICLE 5 : Dans l’exercice de ses fonctions, M. Rémi CHALMEL doit être porteur en permanence du présent agrément et doit le présenter à toute personne qui en fait la demande.

ARTICLE 6 : Le présent agrément doit être retourné sans délai à la Sous-Préfecture de ROCHEFORT en cas de cessation de fonctions, que celle-ci résulte de l’initiative du garde particulier, de son employeur ou de la perte des droits du commettant.

ARTICLE 7 : Le présent arrêté peut faire l’objet, dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification, d’un recours gracieux auprès de la Sous-Préfecture de ROCHEFORT ou d'un recours hiérarchique auprès du Ministre de l’Ecologie, du Développement Durable, des Transports et du Logement, ou d'un recours contentieux devant le tribunal administratif. L'exercice d'un recours gracieux ou hiérarchique proroge de deux mois le délai pour exercer un recours contentieux.

ARTICLE 8 : Le Sous-Préfet de Rochefort, Le Maire des communes de : BREUIL MAGNE, CIRE D'AUNIS, ST LAURENT DE LA PREE, YVES, Le Commissaire de Police Chef de la Circonscription de la Sécurité Publique de ROCHEFORT, Le Directeur des Archives Départementales - 17000 LA ROCHELLE, Le Procureur de la République près le Tribunal d’Instance de ROCHEFORT, Le Président de la Fédération Départementale des Chasseurs de la Charente-Maritime, Le Chef de Service, Office National de la Chasse et de la Faune Sauvage 17100 COURCOURY, M. Michel METAIS Fonderies Royales 8 rue du Docteur Pujos BP 90263 17305 ROCHEFORT CEDEX, M. Rémi CHALMEL 34 ter rue du Docteur Peltier 17300 ROCHEFORT sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la Préfecture .

Rochefort le 12 septembre 2011 LE SOUS-PREFET DE ROCHEFORT POUR LE SOUS-PREFET par délégation LE CHEF DE BUREAU Dominique GRANGÉ-COURTY

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Arrêté n°11-215 du 12 septembre 2011 reconnaissant les aptitudes techniques de M. Dominique MERIGOUT en qualité de garde-chasse particulier

LE PREFET DE LA CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

ARTICLE 1 : M. Dominique MERIGOUT, né le 1er avril 1950 à LOUDUN (86), est reconnu techniquement apte à exercer les fonctions de garde-chasse particulier.

2744 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

ARTICLE 2 : Le présent arrêté devra être présenté pour toute demande d’agrément à ces fonctions.

ARTICLE 3 : Le présent arrêté peut faire l’objet, dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification, d’un recours gracieux auprès de la Sous-Préfecture de ROCHEFORT ou d’un recours hiérarchique auprès du Ministre de l’Ecologie, du Développement Durable, des Transports et du Logement, ou d’un recours contentieux devant le tribunal administratif. L’exercice d’un recours gracieux ou hiérarchique proroge de deux mois le délai pour exercer un recours contentieux.

ARTICLE 4 : Le Sous-Préfet de Rochefort, Le Directeur des Archives Départementales - 17000 LA ROCHELLE, Le Président de la Fédération Départementale des Chasseurs de la Charente-Maritime, Le Chef de Service, Office National de la Chasse et de la Faune Sauvage 17100 COURCOURY, M. Dominique MERIGOUT 1 rue des Figuiers 17180 PERIGNY sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la Préfecture.

Rochefort le 12 septembre 2011 LE SOUS-PREFET DE ROCHEFORT POUR LE SOUS-PREFET par délégation LE CHEF DE BUREAU Dominique GRANGÉ-COURTY

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Arrêté n°11-216 du 12 septmbre 2011 portant agrément de M. Dominique MERIGOUT en qualité de garde-chasse particulier

LE PREFET DE LA CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

ARTICLE 1: M. Dominique MERIGOUT, né le 1er avril 1950 à LOUDUN (86) demeurant : 1 rue des Figuiers à 17180 PERIGNY, EST AGREE en qualité de Garde-Chasse Particulier pour constater tous délits et contraventions dans le domaine de la chasse qui portent préjudice au détenteur des droits de chasse qui l’emploie.

La liste des propriétés ou des terrains concernés est celle figurant dans l’arrêté n°68-1320-1/2 du 21 octobre 1968 et ses annexes I et II modifiés, fixant la liste des terrains devant être soumis à l’action de l'Association Communale de Chasse Agréée de YVES.

ARTICLE 2: La qualité de garde particulier chargé de certaines fonctions de police judiciaire est strictement limitée au territoire pour lequel M. Dominique MERIGOUT a été commissionné par son employeur et agréé. En dehors de ce territoire, M. Dominique MERIGOUT n’a pas compétence pour dresser procès-verbal.

ARTICLE 3 : Le présent agrément est délivré pour une durée de CINQ ANS.

ARTICLE 4 : Préalablement à son entrée en fonctions, M. Dominique MERIGOUT doit prêter serment devant le Tribunal d’Instance de ROCHEFORT.

ARTICLE 5 : Dans l’exercice de ses fonctions, M. Dominique MERIGOUT doit être porteur en permanence du présent agrément et doit le présenter à toute personne qui en fait la demande.

ARTICLE 6 : Le présent agrément doit être retourné sans délai à la Sous-Préfecture de ROCHEFORT en cas de cessation de fonctions, que celle-ci résulte de l’initiative du garde particulier, de son employeur ou de la perte des droits du commettant.

ARTICLE 7 : Le présent arrêté peut faire l’objet, dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification, d’un recours gracieux auprès de la Sous-Préfecture de ROCHEFORT ou d'un recours hiérarchique auprès du Ministre

2745 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011 de l’Ecologie, du Développement Durable, des Transports et du Logement, ou d'un recours contentieux devant le tribunal administratif. L'exercice d'un recours gracieux ou hiérarchique proroge de deux mois le délai pour exercer un recours contentieux.

ARTICLE 8 : Le Sous-Préfet de Rochefort, Le Maire de la commune de : YVES, Le Commissaire de Police Principal Directeur Départemental de la Sécurité Publique Hôtel de Police 17023 LA ROCHELLE cedex, Le Directeur des Archives Départementales - 17000 LA ROCHELLE, Le Procureur de la République près le Tribunal d’Instance de ROCHEFORT, Le Président de la Fédération Départementale des Chasseurs de la Charente-Maritime, Le Chef de Service, Office National de la Chasse et de la Faune Sauvage 17100 COURCOURY, M. Serge PICHARD 7 avenue d' 17340 CHATELAILLON, M. Dominique MERIGOUT 1 rue des Figuiers 17180 PERIGNY sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la Préfecture .

Rochefort le 12 septembre 2011 LE SOUS-PREFET DE ROCHEFORT POUR LE SOUS-PREFET par délégation LE CHEF DE BUREAU Dominique GRANGÉ-COURTY

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Arrêté n°11-220 du 27 septembre 2011 reconnaissant les aptitudes techniques de M. Richard JOUBERT en qualité de garde-chasse particulier dispensé du suivi d'une formation.

LE PREFET DE LA CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

ARTICLE 1 : M. Richard JOUBERT, né le 10 mai 1963 à CHATEAUNEUF SUR CHARENTE (16), est reconnu techniquement apte à exercer les fonctions de garde-chasse particulier. ARTICLE 2 : Le présent arrêté devra être présenté pour toute demande d’agrément à ces fonctions.

ARTICLE 3 : Le présent arrêté peut faire l’objet, dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification, d’un recours gracieux auprès de la Sous-Préfecture de ROCHEFORT ou d’un recours hiérarchique auprès du Ministre de l’Ecologie, du Développement Durable, des Transports et du Logement, ou d’un recours contentieux devant le tribunal administratif. L’exercice d’un recours gracieux ou hiérarchique proroge de deux mois le délai pour exercer un recours contentieux.

ARTICLE 4 : Le Sous-Préfet de Rochefort, Le Directeur des Archives Départementales - 17000 LA ROCHELLE, Le Président de la Fédération Départementale des Chasseurs de la Charente-Maritime, Le Chef de Service, Office National de la Chasse et de la Faune Sauvage 17100 COURCOURY, M. Richard JOUBERT 7 rue des Grandes Palisses 17620 LA GRIPPERIE SAINT SYMPHORIEN sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la Préfecture.

Rochefort le 27 septembre 2011 LE SOUS-PREFET DE ROCHEFORT POUR LE SOUS-PREFET par délégation LE CHEF DE BUREAU

2746 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

Dominique GRANGÉ-COURTY

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Arrêté n°11-221 du 27 septembre 2011 portant agrément de M. Richard JOUBERT en qualité de garde-chasse particulier.

LE PREFET DE LA CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

ARTICLE 1: M. Richard JOUBERT, né le 10 mai 1963 à CHATEAUNEUF SUR CHARENTE (16) demeurant : 7 rue des Grandes Palisses à 17620 LA GRIPPERIE SAINT SYMPHORIEN, EST AGREE en qualité de Garde-Chasse Particulier pour constater tous délits et contraventions dans le domaine de la chasse qui portent préjudice au détenteur des droits de chasse qui l’emploie.

La liste des propriétés ou des terrains concernés est celle figurant dans l’arrêté n°68-806-1/2 du 26 juin 1968 et son annexe I modifiés, fixant la liste des terrains devant être soumis à l’action de l'Association Communale de Chasse Agréée de LA GRIPPERIE SAINT SYMPHORIEN.

ARTICLE 2: La qualité de garde particulier chargé de certaines fonctions de police judiciaire est strictement limitée au territoire pour lequel M. Richard JOUBERT a été commissionné par son employeur et agréé. En dehors de ce territoire, M. Richard JOUBERT n’a pas compétence pour dresser procès-verbal.

ARTICLE 3 : Le présent agrément est délivré pour une durée de CINQ ANS.

ARTICLE 4 : Préalablement à son entrée en fonctions, M. Richard JOUBERT doit prêter serment devant le Tribunal d’Instance de ROCHEFORT.

ARTICLE 5 : Dans l’exercice de ses fonctions, M. Richard JOUBERT doit être porteur en permanence du présent agrément et doit le présenter à toute personne qui en fait la demande.

ARTICLE 6 : Le présent agrément doit être retourné sans délai à la Sous-Préfecture de ROCHEFORT en cas de cessation de fonctions, que celle-ci résulte de l’initiative du garde particulier, de son employeur ou de la perte des droits du commettant.

ARTICLE 7 : Le présent arrêté peut faire l’objet, dans un délai de deux mois à compter de la date de sa notification, d’un recours gracieux auprès de la Sous-Préfecture de ROCHEFORT ou d'un recours hiérarchique auprès du Ministre de l’Ecologie, du Développement Durable, des Transports et du Logement, ou d'un recours contentieux devant le tribunal administratif. L'exercice d'un recours gracieux ou hiérarchique proroge de deux mois le délai pour exercer un recours contentieux.

ARTICLE 8 : Le Sous-Préfet de Rochefort, Le Maire de la commune de : LA GRIPPERIE SAINT SYMPHORIEN, Le Commandant de la Compagnie de Gendarmerie de ROCHEFORT, Le Directeur des Archives Départementales - 17000 LA ROCHELLE, Le Procureur de la République près le Tribunal d’Instance de ROCHEFORT, Le Président de la Fédération Départementale des Chasseurs de la Charente-Maritime, Le Chef de Service, Office National de la Chasse et de la Faune Sauvage 17100 COURCOURY, M. Mickaël DAUNAS 30 rue de l'abadaire 17620 LA GRIPPERIE SAINT SYMPHORIEN, M. Richard JOUBERT 7 rue des Grandes Palisses 17620 LA GRIPPERIE SAINT SYMPHORIEN sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la Préfecture .

Rochefort le 27 septembre 2011 LE SOUS-PREFET DE ROCHEFORT POUR LE SOUS-PREFET par délégation LE CHEF DE BUREAU

2747 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

Dominique GRANGÉ-COURTY

(Le texte intégral du(des) arrêté(s) ci-dessus inséré(s) peut être consulté à la "Préfecture de la Charente-Maritime - SOUS-PREFECTURE DE ROCHEFORT") ______

1.6. AGENCE REGIONALE DE SANTE

Arrêté n°1249/2011 relatif à la capacité autorisée de l'Etablissement d'Hébergement pour Personnes Agées Dépendantes (EHPAD) "L'Océane d'Oléron" au Grand-Village-Plage

LE DIRECTEUR GENERAL de l’Agence Régionale de Santé de Poitou-Charentes

ARRETE ARTICLE 1 : La capacité de l'EHPAD "L’Océane d’Oléron" au GRAND-VILLAGE-PLAGE géré par l’Association Laïque PRADO à TALENCE, est fixée à 75 lits d’hébergement permanent.

ARTICLE 2 : La capacité globale de l’établissement est répartie, sur les différents sites, de la façon suivante : Site du GRAND-VILLAGE-PLAGE : - 65 lits d’hébergement permanent

Site de DOLUS-D’OLERON : - 10 lits d’hébergement permanent

ARTICLE 3 : L'établissement n'est pas habilité à recevoir des bénéficiaires de l'aide sociale départementale.

ARTICLE 4 : Cette autorisation est délivrée pour 15 ans à compter du 5 mars 2002. Son renouvellement sera subordonné aux résultats de l’évaluation externe mentionnée à l’article L.312-8 du Code de l’Action Sociale et des Familles, dans les conditions prévues par l’article L.313-5 du même code.

ARTICLE 5 : Tout changement important dans l’activité, l’installation, l’organisation, la direction ou le fonctionnement de l’établissement par rapport aux caractéristiques prises en considération pour son autorisation devra être porté à la connaissance de l’autorité compétente selon l’article L.313-1 du code de l’action sociale et des familles. L’autorisation ne peut être cédée sans l’accord des autorités compétentes concernées.

ARTICLE 6 : Cet établissement (ou service) est répertorié dans le Fichier National des Etablissements Sanitaires et Sociaux (FINESS) de la façon suivante :

Entité juridique : N° FINESS : 33 078 169 1 Code statut juridique : 60 – Association Loi 1901 non Reconnue d’Utilité Publique

Entité établissement principal au Grand-Village-Plage : N° FINESS : 17 001 630 7 Code catégorie : 200 – Maison de retraite Capacité : 65

Code discipline : 924 – Accueil en maison de retraite Code activité / fonctionnement : 11 – Hébergement complet internat Code clientèle : 711 – Personnes âgées dépendantes Capacité : 75

Entité établissement secondaire à Dolus-d’Oléron : N° FINESS : A définir Code catégorie : 200 – Maison de retraite Capacité : 10

Code discipline : 924 – Accueil en maison de retraite Code activité / fonctionnement : 11 – Hébergement complet internat Code clientèle : 711 – Personnes âgées dépendantes Capacité : 10

2748 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

Code Tarif (MFT) : 25 – Directeur Général ARS – Président du Conseil général EHPAD non habilité aide sociale avec tarif partiel.

ARTICLE 6 : Il peut être fait appel de cette décision en formant un recours gracieux et/ou contentieux. - Le recours gracieux peut être présenté dans le délai de deux mois suivant la date de notification. - Le recours contentieux contre le présent arrêté peut être présenté devant le Tribunal Administratif de Poitiers. Si un recours gracieux est présenté, le recours contentieux peut être présenté dans un délai de deux mois après la notification d'une décision expresse de rejet ou l’intervention d’une décision implicite de rejet. Le silence de l’administration, gardé pendant deux mois après le recours gracieux, vaut décision de rejet implicite de celui-ci. En l'absence de recours gracieux, le recours contentieux peut être présenté dans un délai de deux mois après la date de notification.

ARTICLE 7 : Le Délégué Territorial du département de la Charente-Maritime de l'ARS Poitou-Charentes, le Directeur Général des Services du Département, le Directeur de l'Autonomie, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté qui sera inséré au Recueil des Actes Administratifs de la préfecture de la Charente- Maritime et au bulletin officiel des actes du département. Poitiers, le 20/09/2011

Le Directeur Général de Le Président du Conseil général l'Agence Régionale de Santé de la Charente-Maritime,

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Arrêté n°1263/2011 en date du 28 septembre 2011 modifiant la composition de la conférence du territoire nord de la Charente-Maritime

LE DIRECTEUR GENERAL de l’Agence Régionale de Santé de Poitou-Charentes

ARRETE ARTICLE 1er : L’article 1 de l’arrêté n° 389/2011 du 25 mai 2011 modifiant la composition de la conférence du territoire nord de la Charente-Maritime, est modifié comme suit :

1° Représentants des établissements de santé : a) représentants des personnes morales gestionnaires des établissements : au titre de la Fédération Hospitalière de France Poitou-Charentes - Monsieur Alain MICHEL, directeur du Centre Hospitalier de La Rochelle suppléé par Madame Elisabeth TURPIN, directrice adjointe du Centre Hospitalier de La Rochelle - Monsieur Pierrick DIEUMEGARD, directeur du Centre Hospitalier de Rochefort suppléé par Monsieur Fabrice PRIGNEAU, directeur adjoint du Centre Hospitalier de Rochefort - Monsieur Alain LEROUX, directeur du Centre Hospitalier de St Pierre d’Oléron suppléé par Monsieur Francis BRU, directeur adjoint du Centre Hospitalier de La Rochelle au titre du Syndicat régional des établissements d’hospitalisation privée du Poitou-Charentes (FHP) - Monsieur Jean VILLETTE, directeur de la Clinique du Mail de La Rochelle suppléé par Monsieur Yildiray KUCUKOGLU, directeur de la Clinique de l’Atlantique de Puilboreau - Monsieur Jean DE NAUROIS, directeur du centre de rééducation Cardiocean de Puilboreau suppléé par Monsieur Dominique MENAGER, directeur de la Clinique Korian b) présidents de commission médicale ou de conférence médicale d’établissement : au titre de la Fédération Hospitalière de France Poitou-Charentes - Docteur Thierry GODEAU, président de la CME du Centre Hospitalier de La Rochelle suppléé par le Docteur David LEMERRE, vice-président de la CME du Centre Hospitalier de La Rochelle - Docteur Philippe MARCHAND, président de la CME du Centre Hospitalier de Rochefort, suppléé par le Docteur Jean-Marc EVEN, vice-président de la CME du Centre Hospitalier de Rochefort - Docteur Patrick TREUSSART, président de la CME du Centre Hospitalier de St Pierre d’Oléron, suppléé par le Docteur Philippe BALLEY, président de la CME du Centre Hospitalier St Honoré de St Martin-de-ré au titre du Syndicat régional des établissements d’hospitalisation privée du Poitou-Charentes (FHP)

2749 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

- Docteur Jérôme MENARD, président de la CME de la Clinique du Mail de La Rochelle suppléé par Docteur Erick DRILLAUD, président de la CME de la Clinique Korian Clavette - Docteur Sileke SPIELMAN, président de la CME du centre de rééducation Cardiocean de Puilboreau suppléé par Docteur Bruno BERTRAND, président de la CME de la Clinique de l’Atlantique de Puilboreau

2° Représentants des personnes morales gestionnaires des services et établissements sociaux et médico-sociaux mentionnés au I de l’article L. 312-1 et à l’article L. 344-1 du code de l’action sociale et des familles, œuvrant en faveur des personnes âgées : - Monsieur Nicolas POMIES, SYNERPA suppléé par Madame Michèle BEILLARD, SYNERPA - Monsieur Philippe BOISSEAU, UNCCAS suppléé par Monsieur Michel CHAUVIN, ADMR - Madame Françoise COFFEC, UNA suppléée par Madame Béatrice BALLEY, UNA - Monsieur Alain DREANO, PEP 17 suppléé par Madame Françoise CHANNAROND, FHF

œuvrant en faveur des personnes handicapées - Monsieur Pascal VIAUD, Fédération des établissements hospitaliers et d’assistance privée à but non lucratif (FEHAP) suppléé par Monsieur Paul BAUTZ, Croix Rouge 17 - Monsieur Patrice GHERARDI, FEGAPEI suppléé par Monsieur Franck RICHE, Association des Paralysés de France (APF)

- Monsieur Jacques DAVID, URIOPSS suppléé par Monsieur Philippe ESCURE-DELPEUCH, Ordre de Malte - Monsieur Thierry BOSCARIOL, UNISS, Association Emmanuelle suppléé par Monsieur Patrick RENAUD, Croix Rouge 17

3° Représentants des organismes œuvrant dans les domaines de la promotion de la santé et de la prévention ou en faveur de l’environnement et de la lutte contre la précarité : - Monsieur Yann MOISAN, IREPS, antenne 17 suppléé par Madame Corinne RONDEL, prévention du suicide et promotion de la santé mentale, coordination territoriale 17 nord - Madame Chantal DUFEE, CPAM de la Charente-Maritime suppléée par Madame Christine COURAUD, CPAM de la Charente-Maritime - Monsieur Michel PETIT, Nature Environnement 17 suppléé par Monsieur Raoul HEYMANN, Fédération Nationale des associations d’Accueil et de Réinsertion Sociale (FNARS)

4° Représentants des professionnels de santé libéraux et représentant des internes : - Docteur Didier LAPEGUE, URML suppléé par le Docteur Gilles MICHAUDEL, URML - Docteur Philippe DURANDET, URML suppléé par le Docteur François THISSE, URML - Docteur Béatrice FAZILLEAUD, URML supplée par le Docteur Jacques AUGER - Madame Sylvie CORSIN, Syndicat National des Infirmiers et Infirmières Libéraux (SNIIL) suppléée par Madame Pascale LEJEUNE, Fédération Nationale des Infirmières (FNI) - Madame Christine SALAVERT-GRIZET, Syndicat des pharmaciens de la Charente-Maritime suppléée par le Docteur Eric VERGNES, Syndicat départemental des chirurgiens-dentistes - Monsieur Luc ANDRE, Syndicat national des masseurs kinésithérapeutes rééducateurs suppléé par Madame Perrine BERNARDON, Syndicat des orthophonistes de la Charente-Maritime - suppléé par

5° Représentants des centres de santé, maisons de santé, pôles de santé et réseaux de santé : - Docteur Jean-Louis MARIE, réseau Résaunis suppléé par le Docteur Didier GOUET, réseau Atlantique Diabète - Docteur Philippe BINDER, réseau ICARES suppléé par le Docteur Charlotte DJAKOURE, réseau Atlantique Diabète

6° Représentant des établissements assurant des activités de soins à domicile :

2750 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

- Monsieur Pascal OTHABURU, Fédération Nationales des Etablissements d’Hospitalisation à Domicile (FNEHAD) suppléé par Monsieur Daniel BOFFARD, Fédération Nationale des Etablissements d’Hospitalisation à Domicile (FNEHAD)

7° Représentant des services de santé au travail : - Docteur Bruno AUDOUIN, APAS de Charente-Maritime suppléé par Monsieur Jean-Baptiste PERIE, Santé au Travail d’Aunis

8° Représentants des usagers : au titre des associations agréées conformément à l’article L. 1114-1 au niveau régional ou, à défaut, au niveau national - Monsieur Christian BEAUDEAU, UFC Que Choisir suppléé par Michèle DUPUY, UFC Que Choisir - Monsieur Jean-Jacques HUGER, Fédération nationale d’aide aux insuffisants rénaux suppléé par Monsieur Dany RAMBAUD, Fédération nationale d’aide aux insuffisants rénaux - Madame Sylvie DE VERDELHAN, Association France Alzheimer et apparentés suppléée par Monsieur Jean-Paul GALERNEAU, Association France Alzheimer et apparentés

- Madame Monique ROY, CISS de Poitou-Charentes suppléée par Madame Jeanny CANTAT, CISS de Poitou-Charentes - Madame Sophie BILLON, Union Départementale des Associations Familiales (UDAF) suppléée par Madame Odette TOURILLON, Union Départementale des Associations Familiales (UDAF) au titre des associations des personnes handicapées ou des associations de retraités et personnes âgées, - Monsieur Bernard CHARRON, Association Valentin Haüy (AVH) suppléé par Monsieur Raymond ANGIBAUD, Association des accidentés de la vie (FNATH) - Madame Brigitte BRUNETIERE, Union nationale des amis et familles des malades psychiques (UNAFAM) suppléée par Monsieur Louis CHARAVAIN, CODERPA - Madame Marie AUDUREAU, CODERPA suppléée par Madame Marie-Madeleine BRAUD, CODERPA

9° Représentants des collectivités territoriales et de leurs groupements : au titre du Conseil Régional de Poitou-Charentes - Madame Marie-Laure TISSANDIER suppléée par Monsieur Patrick LARIBLE

au titre des communautés mentionnées aux articles L. 5214-1, L. 5215-1 ou L. 5216-1 du code général des collectivités territoriales regroupant des communes situées en tout ou en partie dans le territoire de santé auquel est rattachée la conférence - Monsieur Bernard GRASSET, président de la Communauté d’Agglomération du Pays Rochefortais suppléé par Monsieur Patrick MOQUAY, président de la Communauté de Communes de l’Ile d’Oléron - Monsieur Patrice RAFFARIN, vice-président de la Communauté de Communes de l’Ile de Ré suppléé par Monsieur Guy BEUGNON, président de la Communauté de Communes de Surgères au titre des communes - Madame Sylvie RODIER, maire de Saint Germain de Marencennes suppléée par Monsieur Raymond MINIER, maire de Saint Laurent de la Prée - Madame Christiane LE ROUX, maire de Saint Nazaire sur Charente suppléée par Monsieur Aimé GLOUX, maire de Marsilly

au titre du Conseil Général de Charente-Maritime - Monsieur Jean-Louis FROT, 1er vice-président suppléé par Stéphane VILLAIN, vice-président - Monsieur Denis PETIT suppléé par Monsieur Christian BRUNIER

10° Représentant de l’ordre des médecins : - Docteur Michel ARNAUD suppléé par le Docteur Jean POZZI

11° Personnalités qualifiées : - Madame Sylviane DULIOUST - Monsieur Georges QUEFFELEC

2751 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

ARTICLE 2: Le reste de l’arrêté est inchangé.

ARTICLE 3 : Le présent arrêté peut être contesté par voie de recours administratif (gracieux ou hiérarchique) ou par voie de recours contentieux devant le Tribunal Administratif dans un délai de deux mois à compter de sa notification, ou, à l’égard des tiers, à compter de sa publication.

ARTICLE 4 : Le délégué territorial de la Charente-Maritime est chargé de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié aux recueils des actes administratifs de la préfecture de la région Poitou-Charentes et de la Préfecture de la Charente- Maritime.

Fait à Poitiers, le 28 septembre 2011

Le Directeur Général

François-Emmanuel BLANC

(Le texte intégral du(des) arrêté(s) ci-dessus inséré(s) peut être consulté au service "AGENCE REGIONALE DE SANTE") ______

1.7. Conservation des Antiquités et des Objets d'Art

Arrêté portant composition et fonctionnement de la commission départementale des objets d'art de la Charente- Maritime.

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE ARTICLE 1er : La commission départementale des objets mobiliers de la Charente-Maritime est présidée par la Préfète de la Charente-Maritime ou son représentant. La composition de cette instance est fixée aux articles 2 et 3.

ARTICLE 2 : Sont membres de droit de la Commission départementale des objets mobiliers de La Charente-Maritime : le Directeur régional des affaires culturelles ou son représentant ; le Conservateur régional des monuments historiques ou son représentant ; le Conservateur du patrimoine, chargé des monuments historiques territorialement compétent ou son représentant ; le Chef de service des opérations d'inventaire du patrimoine culturel ou son représentant ; le Conservateur des antiquités et objets d'art et l'un de ses délégués ou leurs représentants ; l'Architecte des Bâtiments de France ou son représentant ; le Directeur des Archives départementales ou son représentant ; le Directeur départemental de la sécurité publique ou son représentant ; le Commandant de groupement de la gendarmerie ou son représentant ;

ARTICLE 3 : Sont nommés à la Commission départementale des objets mobiliers de la Charente-Maritime : Conservateur de musée : titulaire : M. Claude STEFANI, conservateur des musées municipaux de Rochefort suppléant : M. Denis ROLAND, conservateur du musée national de la Marine de Rochefort

Conservateur de bibliothèque : titulaire : Mme Françoise GOUEZIGOU-PAGE, directrice de la médiathèque de Saintes suppléant : M. Olivier CAUDRON, directeur du service commun de la documentation de l’université de La Rochelle

Elus :

2752 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011 titulaires : M. Stéphane VILLAIN, vice-président du Conseil général, conseiller général du canton d’Aytré M. David BAUDON, conseiller général du canton de Mme Marie-Pierre BRUNET, maire de Saint-Saturnin-du-Bois, conseillère générale du canton de Surgères Mme Ornella TACHE, maire de Paillé M. Pierre ROZE, maire de Salignac-de-Mirambeau

Suppléants : M. Michel PARENT, maire du Château d’Oléron, conseiller général du canton du Château d’Oléron Mme Isabelle PICHARD-CHAUCHÉ, conseiller général du canton de Saintes-Ouest. M. Pierre CHEVILLON, maire de Saint-Hippolyte M. Jacky CALLEAU, maire de M. Jean-Jacques ELIE, maire de Mazerolles

Personnalités qualifiées : M. Yves BLOMME, historien M. Frédéric CHASSEBOEUF, historien d'art M. Marc FARDET, historien M. Christian GENSBEITEL, historien d'art Mme Francette JOANNE, historienne d'art

Associations ayant pour objet de favoriser la connaissance, la protection et la conservation du patrimoine: M. Jean FLOURET, Président de la Fédération des sociétés savantes de la Charente-Maritime M. Hubert LAVOISSIERE, membre de la Société des amis des arts de La Rochelle

ARTICLE 4: Les membres de la Commission départementale des objets mobiliers sont nommés pour une durée de quatre ans, hormis pour les personnalités désignées en qualité d'élus, dont la désignation est subordonnée à la durée de leur mandat.

ARTICLE 5 : Le conservateur des antiquités et objets d'art de la Charente-Maritime ou le conservateur délégué des antiquités et objets d’art assureront les fonctions de rapporteur auprès de la Commission départementale des objets mobiliers.

ARTICLE 6 : La commission se prononce à la majorité des voix des membres présents ou représentés. Le Président à voix prépondérante en cas de partage égal des voix.

ARTICLE 7 : L'arrêté préfectoral du 5 mai 2003, modifié le 14 mai 2004 et le 25 octobre 2006, portant composition de la Commission départementale des objets mobiliers de la Charente-Maritime est abrogé ;

ARTICLE 8 : M. le Secrétaire Général de la Préfecture de la Charente-Maritime et le conservateur des antiquités et objets d’art sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture et notifié à chacune des personnes concernées.

Fait à La Rochelle, le 14 septembre 2011 La Préfète Béatrice ABOLLIVIER

(Le texte intégral du(des) arrêté(s) ci-dessus inséré(s) peut être consulté au service "Conservation des Antiquités et des Objets d'Art") ______

2753 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

1.8. Direction Départementale Cohésion sociale

Ârrêté fixant la dotation globale de financement du CHRS "Foyer Saint-Antoine"

PREFET DE LA REGION POITOU-CHARENTES DIRECTION REGIONALE DE LA JEUNESSE DES SPORTS ET DE LA COHESION SOCIALE

A R R E T E N° 59 /DRJSCS/2011 en date du 16 août 2011

Fixant la dotation globale de financement pour 2011 du C.H.R.S " Foyer Saint-Antoine " géré par l’association "ALTEA "

A R R E T E :

ARTICLE 1 : Au titre du fonctionnement de 60 places d’insertion du CHRS "St Antoine", le budget s’établit comme suit :

ARTICLE 2 : Compte tenu de la reprise du résultat cumulé excédentaire 2009 d’un montant de 2 756,99 €, la dotation globale de financement du CHRS " Foyer Saint-Antoine " géré par l'association "ALTEA" est arrêtée à : huit cent huit mille vingt euros (808 020 euros). Le forfait mensuel arrêté à 1/12ème de la dotation globale de financement s’élève à : soixante sept mille trois cent trente cinq euros (67 335 €). Dans l’attente de l’arrêté préfectoral fixant la dotation globale de financement pour l’exercice 2012, l’allocation des moyens s’effectuera, à compter du 1er janvier 2012, sur la base d’un forfait mensuel égal au douzième du montant de la somme allouée en 2011.

ARTICLE 3 :

2754 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

Cette dotation sera imputée sur le budget de l’Etat 2011 au programme 177 (0177-12-10) du Ministère de l’écologie, du développement durable, des transports et du logement. Elle sera versée sur le compte de l’association "ALTEA" FSA : Crédit agricole Charente-Maritime Deux-Sèvres Code Banque : 11706 Code Guichet : 11050 Numéro de compte : 41812263000 47 L’ordonnateur de la dépense est le Préfet du département de la Charente-Maritime et par délégation le directeur départemental de la Cohésion Sociale du département de la Charente- Maritime. Le comptable assignataire est le Directeur Régional des Finances Publiques.

ARTICLE 4 : Le présent arrêté peut faire l’objet, dans le délai franc d’un mois à partir de la publication ou de la notification de cette décision, d’un recours contentieux adressé au secrétariat du Tribunal interrégional de la tarification sanitaire et sociale - DRJSCS Aquitaine - Espace RODESSE, 103bis, rue de Belleville - BP 952 - 33063 Bordeaux Cedex. Il peut également, dans un délai de deux mois à compter de sa notification faire l’objet : • d’un recours gracieux présenté auprès de l’auteur de cette décision, • d’un recours hiérarchique auprès de Madame la Ministre de l'écologie, du développement durable, des transports et du logement.

ARTICLE 5 : Une copie du présent arrêté sera notifiée à l’établissement.

ARTICLE 6 : En application des dispositions de l'article R314-36 du code de l’action sociale et des familles, le tarif fixé à l’article 2 du présent arrêté sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de la Charente-Maritime.

ARTICLE 7 : Le secrétaire général de la Préfecture de la Charente-Maritime, le directeur départemental de la Cohésion Sociale de la Charente-Maritime et le président de l'association "ALTEA" sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté.

Pour LE PREFET DE REGION, par délégation, Le Directeur Régional de la Jeunesse Des Sports et de la Cohésion Sociale Adjoint Christian TARDY

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Arrêté fixant la dotation globale de financement du CHRS "Service d'Accueil et d'Orientation" géré par l'association "Altéa"

PREFET DE LA REGION POITOU-CHARENTES DIRECTION REGIONALE DE LA JEUNESSE DES SPORTS ET DE LA COHESION SOCIALE

2755 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

A R R E T E N° 60/DRJSCS/2011 en date du 16 août 2011

Fixant la dotation globale de financement pour 2011 du C.H.R.S " Service d'Accueil et d'Orientation " géré par l’association "ALTEA "

A R R E T E :

ARTICLE 1 : Au titre du fonctionnement du S.A.O., le budget s’établit comme suit :

ARTICLE 2 : La dotation globale de financement du S.A.O. géré par l'association "ALTEA" est arrêtée à : cent cinquante sept mille cent cinquante deux euros ( 157 152 euros). Le forfait mensuel arrêté à 1/12ème de la dotation globale de financement s’élève à : treize mille quatre vingt seize euros (13 096 €). Dans l’attente de l’arrêté préfectoral fixant la dotation globale de financement pour l’exercice 2012, l’allocation des moyens s’effectuera, à compter du 1er janvier 2012, sur la base d’un forfait mensuel égal au douzième du montant de la somme allouée en 2011.

ARTICLE 3 : Cette dotation sera imputée sur le budget de l’Etat 2011 au programme 177 (0177-12-10) du Ministère de l’écologie, du développement durable, des transports et du logement. Elle sera versée sur le compte de l’association "ALTEA" SAO 17 » : Crédit agricole Charente-Maritime Deux-Sèvres Code Banque : 11706 Code Guichet : 11050 Numéro de compte : 53302982001 58 L’ordonnateur de la dépense est le Préfet du département de la Charente-Maritime et par délégation le directeur départemental de la Cohésion Sociale du département de la Charente- Maritime. Le comptable assignataire est le Directeur Régional des Finances Publiques.

ARTICLE 4 :

2756 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

Le présent arrêté peut faire l’objet, dans le délai franc d’un mois à partir de la publication ou de la notification de cette décision, d’un recours contentieux adressé au secrétariat du Tribunal interrégional de la tarification sanitaire et sociale - DRJSCS Aquitaine - Espace RODESSE, 103bis, rue de Belleville - BP 952 - 33063 Bordeaux Cedex. Il peut également, dans un délai de deux mois à compter de sa notification faire l’objet : • d’un recours gracieux présenté auprès de l’auteur de cette décision, • d’un recours hiérarchique auprès de Madame la Ministre de l’écologie, du développement durable, des transports et du logement.

ARTICLE 5 : Une copie du présent arrêté sera notifiée à l’établissement.

ARTICLE 6 : En application des dispositions de l'article R314-36 du code de l’action sociale et des familles, le tarif fixé à l’article 2 du présent arrêté sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de la Charente-Maritime.

ARTICLE 7 : Le secrétaire général de la Préfecture de la Charente-Maritime, le directeur départemental de la Cohésion Sociale de la Charente-Maritime et le président de l'association "ALTEA" sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté.

Pour LE PREFET DE REGION, par délégation, Le Directeur Régional de la Jeunesse Des Sports et de la Cohésion Sociale Adjoint Christian TARDY

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Arrêté fixant la dotation globale de financement du CHRS "Les Cordeliers - Louis Jardonnet" géré par l'association "L'Escale"

PREFET DE LA REGION POITOU-CHARENTES DIRECTION REGIONALE DE LA JEUNESSE DES SPORTS ET DE LA COHESION SOCIALE

A R R E T E N° 61/DRJSCS/2011 en date du 16 août 2011

Fixant la dotation globale de financement pour 2011 du C.H.R.S "Les Cordeliers-Louis Jardonnet" géré par l'association l'Escale

A R R E T E :

ARTICLE 1 : Au titre du fonctionnement de 103 places d’insertion, le budget du CHRS « Les Cordeliers-Louis Jardonnet » s’établit comme suit :

2757 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

ARTICLE 2 : Compte tenu de la reprise du résultat cumulé 2009 excédentaire d'un montant de 8 068,31 €, la dotation globale de financement du CHRS « Les Cordeliers-Louis Jardonnet » est arrêtée à : un million trois cent soixante sept mille deux cent quarante deux euros (1 367 242 €). Le forfait mensuel arrêté à 1/12ème de la dotation globale de financement s’élève à : cent treize mille neuf cent trente six euros et quatre vingt centimes (113 936,80 €) durant les onze premiers mois et cent treize mille neuf cent trente sept euros et vingt centimes (113 937,20 €) en décembre 2011. Dans l’attente de l’arrêté préfectoral fixant la dotation globale de financement pour l’exercice 2012, l’allocation des moyens s’effectuera, à compter du 1er janvier 2012, sur la base d’un forfait mensuel égal au douzième du montant de la somme allouée en 2011.

ARTICLE 3 : Cette dotation sera imputée sur le budget de l’Etat 2011 au programme 177 (0177-12-10) du Ministère de l’écologie, du développement durable, des transports et du logement. Elle sera versée sur le compte de l’association « L’Escale » : Banque : Société Générale Code Banque : 30003 Code Guichet : 01730 N° de compte : 00037263957 – Clé : 42 L’ordonnateur de la dépense est le Préfet du département de la Charente-Maritime et par délégation le directeur départemental de la Cohésion Sociale du département de la Charente- Maritime. Le comptable assignataire est le Directeur Régional des Finances Publiques.

ARTICLE 4 : Le présent arrêté peut faire l’objet, dans le délai franc d’un mois à partir de la publication ou de la notification de cette décision, d’un recours contentieux adressé au secrétariat du Tribunal interrégional de la tarification sanitaire et sociale - DRJSCS Aquitaine - Espace RODESSE, 103bis, rue de Belleville - BP 952 - 33063 Bordeaux Cedex. Il peut également, dans un délai de deux mois à compter de sa notification faire l’objet : • d’un recours gracieux présenté auprès de l’auteur de cette décision, • d’un recours hiérarchique auprès de Madame la Ministre de l’écologie, du développement durable, des transports et du logement.

ARTICLE 5 :

2758 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

Une copie du présent arrêté sera notifiée à l’établissement.

ARTICLE 6 : En application des dispositions de l'article R314-36 du code de l’action sociale et des familles, le tarif fixé à l’article 2 du présent arrêté sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de la Charente-Maritime.

ARTICLE 7 : Le secrétaire général de la Préfecture de la Charente-Maritime, le directeur départemental de la Cohésion Sociale de la Charente-Maritime et le président de l'association « L’Escale » sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté.

Pour LE PREFET DE REGION, par délégation, Le Directeur Régional de la Jeunesse Des Sports et de la Cohésion Sociale Adjoint Christian TARDY

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Arrêté fixant la dotation globale de financement du CHRS "Lits de stabilisation de La Rochelle" géré par l'association "L'Escale"

PREFET DE LA REGION POITOU-CHARENTES DIRECTION REGIONALE DE LA JEUNESSE DES SPORTS ET DE LA COHESION SOCIALE

A R R E T E N° 62/DRJSCS/2011 en date du 16 août 2011

Fixant la dotation globale de financement pour 2011 du C.H.R.S "Lits de stabilisation de La Rochelle" géré par l'association l'Escale

A R R E T E :

ARTICLE 1 : Au titre du fonctionnement de 8 places de stabilisation, le budget du CHRS « Lits de stabilisation de La Rochelle » s’établit comme suit :

2759 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

ARTICLE 2 : La dotation globale de financement du CHRS « Lits de stabilisation de La Rochelle » est arrêtée à : quatre vingt seize mille quatre cent quatre vingt six euros (96 486 €). Le forfait mensuel arrêté à 1/12ème de la dotation globale de financement s’élève à : huit mille quarante euros et cinquante centimes (8 040,50 €). Dans l’attente de l’arrêté préfectoral fixant la dotation globale de financement pour l’exercice 2012, l’allocation des moyens s’effectuera, à compter du 1er janvier 2012, sur la base d’un forfait mensuel égal au douzième du montant de la somme allouée en 2011.

ARTICLE 3 : Cette dotation sera imputée sur le budget de l’Etat 2011 au programme 177 (0177-12-10) du Ministère de l’écologie, du développement durable, des transports et du logement. Elle sera versée sur le compte de l’association « L’Escale » : Banque : Société Générale Code Banque : 30003 Code Guichet : 01730 N° de compte : 00037263957 – Clé : 42 L’ordonnateur de la dépense est le Préfet du département de la Charente-Maritime et par délégation le directeur départemental de la Cohésion Sociale du département de la Charente- Maritime. Le comptable assignataire est le Directeur Régional des Finances Publiques.

ARTICLE 4 : Le présent arrêté peut faire l’objet, dans le délai franc d’un mois à partir de la publication ou de la notification de cette décision, d’un recours contentieux adressé au secrétariat du Tribunal interrégional de la tarification sanitaire et sociale - DRJSCS Aquitaine - Espace RODESSE, 103bis, rue de Belleville - BP 952 - 33063 Bordeaux Cedex. Il peut également, dans un délai de deux mois à compter de sa notification faire l’objet : • d’un recours gracieux présenté auprès de l’auteur de cette décision, • d’un recours hiérarchique auprès de Madame la Ministre de l’écologie, du développement durable, des transports et du logement.

ARTICLE 5 : Une copie du présent arrêté sera notifiée à l’établissement.

ARTICLE 6 :

2760 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

En application des dispositions de l'article R314-36 du code de l’action sociale et des familles, le tarif fixé à l’article 2 du présent arrêté sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de la Charente-Maritime.

ARTICLE 7 : Le secrétaire général de la Préfecture de la Charente-Maritime, le directeur départemental de la Cohésion Sociale de la Charente-Maritime et le président de l'association « L’Escale » sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté.

Pour LE PREFET DE REGION, par délégation, Le Directeur Régional de la Jeunesse Des Sports et de la Cohésion Sociale Adjoint Christian TARDY

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Arrêté fixant la dotation globale de financement pour 2011 du CHRS "Accueil de nuit de La Rochelle" géré par l'association l'Escale

PREFET DE LA REGION POITOU-CHARENTES DIRECTION REGIONALE DE LA JEUNESSE DES SPORTS ET DE LA COHESION SOCIALE

A R R E T E N° 63/DRJSCS/2011 en date du 16 août 2011

Fixant la dotation globale de financement pour 2011 du C.H.R.S "Accueil de nuit de La Rochelle" géré par l'association l'Escale

A R R E T E :

ARTICLE 1 : Au titre du fonctionnement de 27 places d’hébergement d'urgence, le budget du CHRS « Accueil de nuit de La Rochelle » s’établit comme suit :

2761 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

ARTICLE 2 : La dotation globale de financement du CHRS « Accueil de nuit de La Rochelle » est arrêtée à : deux cent quatre vingt sept mille neuf cent quarante six euros et dix centimes (287 946,10 €).

Le forfait mensuel arrêté à 1/12ème de la dotation globale de financement s’élève à : vingt trois mille neuf cent quatre vint quinze euros et cinquante centimes (23 995,50 €) durant les onze premiers mois et vingt trois mille neuf cent quatre vint quinze euros et soixante centimes (23 995,60 €) en décembre 2011. Dans l’attente de l’arrêté préfectoral fixant la dotation globale de financement pour l’exercice 2012, l’allocation des moyens s’effectuera, à compter du 1er janvier 2012, sur la base d’un forfait mensuel égal au douzième du montant de la somme allouée en 2011.

ARTICLE 3 : Cette dotation sera imputée sur le budget de l’Etat 2011 au programme 177 (0177-12-10) du Ministère de l’écologie, du développement durable, des transports et du logement. Elle sera versée sur le compte de l’association « L’Escale » : Banque : Société Générale Code Banque : 30003 Code Guichet : 01730 N° de compte : 00037263957 – Clé : 42 L’ordonnateur de la dépense est le Préfet du département de la Charente-Maritime et par délégation le directeur départemental de la Cohésion Sociale du département de la Charente- Maritime. Le comptable assignataire est le Directeur Régional des Finances Publiques.

ARTICLE 4 : Le présent arrêté peut faire l’objet, dans le délai franc d’un mois à partir de la publication ou de la notification de cette décision, d’un recours contentieux adressé au secrétariat du Tribunal interrégional de la tarification sanitaire et sociale - DRJSCS Aquitaine - Espace RODESSE, 103bis, rue de Belleville - BP 952 - 33063 Bordeaux Cedex. Il peut également, dans un délai de deux mois à compter de sa notification faire l’objet : • d’un recours gracieux présenté auprès de l’auteur de cette décision,

2762 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

• d’un recours hiérarchique auprès de Madame la Ministre de l’écologie, du développement durable, des transports et du logement.

ARTICLE 5 : Une copie du présent arrêté sera notifiée à l’établissement.

ARTICLE 6 : En application des dispositions de l'article R314-36 du code de l’action sociale et des familles, le tarif fixé à l’article 2 du présent arrêté sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de la Charente-Maritime.

ARTICLE 7 : Le secrétaire général de la Préfecture de la Charente-Maritime, le directeur départemental de la Cohésion Sociale de la Charente-Maritime et le président de l'association « L’Escale » sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté.

Pour LE PREFET DE REGION, par délégation, Le Directeur Régional de la Jeunesse Des Sports et de la Cohésion Sociale Christian TARDY

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Arrêté fixant la dotation globale de financement du CHRS "Centre d'Adaptation à la Vie Active de La Rochelle" géré par l'association "L'Escale"

PREFET DE LA REGION POITOU-CHARENTES DIRECTION REGIONALE DE LA JEUNESSE DES SPORTS ET DE LA COHESION SOCIALE

A R R E T E N° 64/DRJSCS/2011 en date du 16 août 2011

Fixant la dotation globale de financement pour 2011 du C.H.R.S "Centre d'Adaptation à la Vie Active de La Rochelle" géré par l'association l'Escale

A R R E T E :

ARTICLE 1 : Au titre du fonctionnement de 35 places d’adaptation à la vie active, le budget du CHRS « Centre d'Adaptation à la Vie Active de La Rochelle » s’établit comme suit :

2763 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

ARTICLE 2 : Compte tenu de la reprise du résultat cumulé 2009 déficitaire d'un montant de 13 081,89 €, la dotation globale de financement du CHRS « Centre d'Adaptation à la Vie Active de La Rochelle » est arrêtée à : deux cent quatre vingt onze mille cent quarante trois euros et quatre vingt neuf centimes (291 143,89 €). Le forfait mensuel arrêté à 1/12ème de la dotation globale de financement s’élève à : vingt quatre mille deux cent soixante deux euros (24 262 €) durant les onze premiers mois et vingt quatre mille deux cent soixante et un euros et quatre vingt neuf centimes (24 261,89 €) en décembre 2011. Dans l’attente de l’arrêté préfectoral fixant la dotation globale de financement pour l’exercice 2012, l’allocation des moyens s’effectuera, à compter du 1er janvier 2012, sur la base d’un forfait mensuel égal au douzième du montant de la somme allouée en 2011.

ARTICLE 3 : Cette dotation sera imputée sur le budget de l’Etat 2011 au programme 177 (0177-12-10) du Ministère de l’écologie, du développement durable, des transports et du logement. Elle sera versée sur le compte de l’association « L’Escale » : Banque : Société Générale Code Banque : 30003 Code Guichet : 01730 N° de compte : 00037263957 – Clé : 42 L’ordonnateur de la dépense est le Préfet du département de la Charente-Maritime et par délégation le directeur départemental de la Cohésion Sociale du département de la Charente- Maritime. Le comptable assignataire est le Directeur Régional des Finances Publiques.

ARTICLE 4 : Le présent arrêté peut faire l’objet, dans le délai franc d’un mois à partir de la publication ou de la notification de cette décision, d’un recours contentieux adressé au secrétariat du Tribunal interrégional de la tarification sanitaire et sociale - DRJSCS Aquitaine - Espace RODESSE, 103bis, rue de Belleville - BP 952 - 33063 Bordeaux Cedex. Il peut également, dans un délai de deux mois à compter de sa notification faire l’objet : • d’un recours gracieux présenté auprès de l’auteur de cette décision, • d’un recours hiérarchique auprès de Madame la Ministre de l’écologie, du développement durable, des transports et du logement.

ARTICLE 5 :

2764 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

Une copie du présent arrêté sera notifiée à l’établissement.

ARTICLE 6 : En application des dispositions de l'article R314-36 du code de l’action sociale et des familles, le tarif fixé à l’article 2 du présent arrêté sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de la Charente-Maritime.

ARTICLE 7 : Le secrétaire général de la Préfecture de la Charente-Maritime, le directeur départemental de la Cohésion Sociale de la Charente-Maritime et le président de l'association « L’Escale » sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté.

Pour LE PREFET DE REGION, par délégation, Le Directeur Régional de la Jeunesse Des Sports et de la Cohésion Sociale Adjoint Christian TARDY

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Arrêté fixant la dotation globale de financement du CHRS "Accueil de jour de La Rochelle" géré par l'association "L'Escale"

PREFET DE LA REGION POITOU-CHARENTES DIRECTION REGIONALE DE LA JEUNESSE DES SPORTS ET DE LA COHESION SOCIALE

A R R E T E N° 65/DRJSCS/2011 en date du 16 août 2011

Fixant la dotation globale de financement pour 2011 du C.H.R.S "Accueil de jour de La Rochelle" géré par l'association l'Escale

A R R E T E :

ARTICLE 1 : Le budget du CHRS « Accueil de jour de La Rochelle » s’établit comme suit :

2765 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

ARTICLE 2 : La dotation globale de financement du CHRS « Accueil de jour de La Rochelle » est arrêtée à : cent quinze mille neuf cent quatre vingt trois euros (115 983 €). Le forfait mensuel arrêté à 1/12ème de la dotation globale de financement s’élève à : neuf mille six cent soixante cinq euros et vingt cinq centimes (9 665,25 €). Dans l’attente de l’arrêté préfectoral fixant la dotation globale de financement pour l’exercice 2012, l’allocation des moyens s’effectuera, à compter du 1er janvier 2012, sur la base d’un forfait mensuel égal au douzième du montant de la somme allouée en 2011.

ARTICLE 3 : Cette dotation sera imputée sur le budget de l’Etat 2011 au programme 177 (0177-12-10) du Ministère de l’écologie, du développement durable, des transports et du logement. Elle sera versée sur le compte de l’association « L’Escale » : Banque : Société Générale Code Banque : 30003 Code Guichet : 01730 N° de compte : 00037263957 – Clé : 42 L’ordonnateur de la dépense est le Préfet du département de la Charente-Maritime et par délégation le directeur départemental de la Cohésion Sociale du département de la Charente- Maritime. Le comptable assignataire est le Directeur Régional des Finances Publiques.

ARTICLE 4 : Le présent arrêté peut faire l’objet, dans le délai franc d’un mois à partir de la publication ou de la notification de cette décision, d’un recours contentieux adressé au secrétariat du Tribunal interrégional de la tarification sanitaire et sociale - DRJSCS Aquitaine - Espace RODESSE, 103bis, rue de Belleville - BP 952 - 33063 Bordeaux Cedex. Il peut également, dans un délai de deux mois à compter de sa notification faire l’objet : • d’un recours gracieux présenté auprès de l’auteur de cette décision, • d’un recours hiérarchique auprès de Madame la Ministre de l’écologie, du développement durable, des transports et du logement.

ARTICLE 5 : Une copie du présent arrêté sera notifiée à l’établissement.

ARTICLE 6 :

2766 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

En application des dispositions de l'article R314-36 du code de l’action sociale et des familles, le tarif fixé à l’article 2 du présent arrêté sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de la Charente-Maritime.

ARTICLE 7 : Le secrétaire général de la Préfecture de la Charente-Maritime, le directeur départemental de la Cohésion Sociale de la Charente-Maritime et le président de l'association « L’Escale » sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté.

Pour LE PREFET DE REGION, par délégation, Le Directeur Régional de la Jeunesse Des Sports et de la Cohésion Sociale Adjoint Christian TARDY

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Arrêté fixant la dotation globale de financement du CHRS "Foyer Le Cabestan" géré par l'association "Le Cabestan"

PREFET DE LA REGION POITOU-CHARENTES DIRECTION REGIONALE DE LA JEUNESSE DES SPORTS ET DE LA COHESION SOCIALE

A R R E T E N° 66/DRJSCS/2011 en date du 16 août 2011

Fixant la dotation globale de financement pour 2011 du C.H.R.S "Foyer Le Cabestan" géré par l'association Le Cabestan"

A R R E T E :

ARTICLE 1 : Au titre du fonctionnement de 60 places d’insertion, le budget du CHRS "Le Cabestan" s’établit comme suit :

2767 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

ARTICLE 2 : Compte tenu de la reprise du résultat cumulé excédentaire 2009 d'un montant de 4 739,19 €, la dotation globale de financement du CHRS "Le Cabestan" est arrêtée à : sept cent quatre vingt quinze mille deux cent neuf euros et quatre vingt un centimes (795 209,81 €). Le forfait mensuel arrêté à 1/12ème de la dotation globale de financement s’élève à : soixante six mille deux cent soixante sept euros et cinquante centimes (66 267,50 €) durant les onze premiers mois de l'année 2011 et soixante six mille deux cent soixante sept euros et trente et un centimes (66 267,31 €) en décembre 2011. Dans l’attente de l’arrêté préfectoral fixant la dotation globale de financement pour l’exercice 2012, l’allocation des moyens s’effectuera, à compter du 1er janvier 2012, sur la base d’un forfait mensuel égal au douzième du montant de la somme allouée en 2011.

ARTICLE 3 : Cette dotation sera imputée sur le budget de l’Etat 2011 au programme 177 (0177-12-10) du Ministère de l’écologie, du développement durable, des transports et du logement. Elle sera versée sur le compte de l’association « Le Cabestan » : Caisse d'épargne Aquitaine-Poitou-Charentes Code Banque : 13 335 Code Guichet : 00401 Numéro de compte : 08934945842 57 L’ordonnateur de la dépense est le Préfet du département de la Charente-Maritime et par délégation le directeur départemental de la Cohésion Sociale du département de la Charente- Maritime. Le comptable assignataire est le Directeur Régional des Finances Publiques.

ARTICLE 4 : Le présent arrêté peut faire l’objet, dans le délai franc d’un mois à partir de la publication ou de la notification de cette décision, d’un recours contentieux adressé au secrétariat du Tribunal interrégional de la tarification sanitaire et sociale - DRJSCS Aquitaine - Espace RODESSE, 103bis, rue de Belleville - BP 952 - 33063 Bordeaux Cedex. Il peut également, dans un délai de deux mois à compter de sa notification faire l’objet : • d’un recours gracieux présenté auprès de l’auteur de cette décision, • d’un recours hiérarchique auprès de Madame la Ministre de l’écologie, du développement durable, des transports et du logement.

ARTICLE 5 :

2768 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

Une copie du présent arrêté sera notifiée à l’établissement.

ARTICLE 6 : En application des dispositions de l'article R314-36 du code de l’action sociale et des familles, le tarif fixé à l’article 2 du présent arrêté sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de la Charente-Maritime.

ARTICLE 7 : Le secrétaire général de la Préfecture de la Charente-Maritime, le directeur départemental de la Cohésion Sociale de la Charente-Maritime et le président de l'association "Le Cabestan" sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté.

Pour LE PREFET DE REGION, par délégation, Le Directeur Régional de la Jeunesse Des Sports et de la Cohésion Sociale Adjoint Christian TARDY

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Arrêté fixant la dotation globale de financement du CHRS "Accueil de nuit de Rochefort" géré par l'association "Le Cabestan"

PREFET DE LA REGION POITOU-CHARENTES DIRECTION REGIONALE DE LA JEUNESSE DES SPORTS ET DE LA COHESION SOCIALE

A R R E T E N° 67/DRJSCS/2011 en date du 16 août 2011

Fixant la dotation globale de financement pour 2011 du C.H.R.S "Accueil de nuit de Rochefort" géré par l'association "Le Cabestan"

A R R E T E :

ARTICLE 1 : Au titre du fonctionnement de 10 places d’hébergement d'urgence, le budget de "l'accueil de nuit de Rochefort" s’établit comme suit :

2769 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

ARTICLE 2 : Compte tenu de la reprise du résultat cumulé excédentaire 2009 d'un montant de 6 856,07 €, la dotation globale de financement de "l'accueil de nuit de Rochefort" est arrêtée à : quatre vingt quatre mille cinq cent quatre vingt dix sept euros et quatre vingt treize centimes (84 597,93 €). Le forfait mensuel arrêté à 1/12ème de la dotation globale de financement s’élève à : sept mille quarante neuf euros et quatre vingt dix centimes (7 049,90 €) durant les onze premiers mois de l'année 2011 et sept mille quarante neuf euros et trois centimes (7 049,03 €) en décembre 2011. Dans l’attente de l’arrêté préfectoral fixant la dotation globale de financement pour l’exercice 2012, l’allocation des moyens s’effectuera, à compter du 1er janvier 2012, sur la base d’un forfait mensuel égal au douzième du montant de la somme allouée en 2011.

ARTICLE 3 : Cette dotation sera imputée sur le budget de l’Etat 2011 au programme 177 (0177-12-10) du Ministère de l’écologie, du développement durable, des transports et du logement. Elle sera versée sur le compte de l’association "Le Cabestan" : Caisse d'épargne Aquitaine Poitou-Charentes Code Banque : 13335 Code Guichet : 00401 Numéro de compte : 08934945842 57 L’ordonnateur de la dépense est le Préfet du département de la Charente-Maritime et par délégation le directeur départemental de la Cohésion Sociale du département de la Charente- Maritime. Le comptable assignataire est le Directeur Régional des Finances Publiques.

ARTICLE 4 : Le présent arrêté peut faire l’objet, dans le délai franc d’un mois à partir de la publication ou de la notification de cette décision, d’un recours contentieux adressé au secrétariat du Tribunal interrégional de la tarification sanitaire et sociale - DRJSCS Aquitaine - Espace RODESSE, 103bis, rue de Belleville - BP 952 - 33063 Bordeaux Cedex. Il peut également, dans un délai de deux mois à compter de sa notification faire l’objet : • d’un recours gracieux présenté auprès de l’auteur de cette décision, • d’un recours hiérarchique auprès de Madame la Ministre de l’écologie, du développement durable, des transports et du logement.

ARTICLE 5 : Une copie du présent arrêté sera notifiée à l’établissement.

2770 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

ARTICLE 6 : En application des dispositions de l'article R314-36 du code de l’action sociale et des familles, le tarif fixé à l’article 2 du présent arrêté sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de la Charente-Maritime.

ARTICLE 7 : Le secrétaire général de la Préfecture de la Charente-Maritime, le directeur départemental de la Cohésion Sociale de la Charente-Maritime et le président de l'association "Le Cabestan" sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté.

Pour LE PREFET DE REGION, par délégation, Le Directeur Régional de la Jeunesse Des Sports et de la Cohésion Sociale Adjoint Christian TARDY

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Arrêté fixant la dotation globale de financement du CHRS "Les Combôts" géré par l'association "Le Tremplin 17"

PREFET DE LA REGION POITOU-CHARENTES DIRECTION REGIONALE DE LA JEUNESSE DES SPORTS ET DE LA COHESION SOCIALE

A R R E T E N° 68/DRJSCS/2011 en date du 16 août 2011

Fixant la dotation globale de financement pour 2011 du C.H.R.S "Les Combôts" géré par l'association "Le Tremplin 17"

A R R E T E :

ARTICLE 1 : Au titre du fonctionnement de 70 places d’insertion, le budget du CHRS "Les Combôts" s’établit comme suit :

2771 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

ARTICLE 2 : Compte tenu de la reprise du résultat cumulé 2009 excédentaire de 10 000 €, la dotation globale de financement du CHRS "Les Combôts" est arrêtée à : un million quarante sept mille neuf cent soixante douze euros (1 047 972 €). Le forfait mensuel arrêté à 1/12ème de la dotation globale de financement s’élève à : quatre vingt sept mille trois cent trente et un euros (87 331 €). Dans l’attente de l’arrêté préfectoral fixant la dotation globale de financement pour l’exercice 2012, l’allocation des moyens s’effectuera, à compter du 1er janvier 2012, sur la base d’un forfait mensuel égal au douzième du montant de la somme allouée en 2011.

ARTICLE 3 : Cette dotation sera imputée sur le budget de l’Etat 2011 au programme 177 (0177-12-10) du Ministère de l’écologie, du développement durable, des transports et du logement. Elle sera versée sur le compte de l’association « Le Tremplin 17 »: Crédit coopératif LA ROCHELLE Code Banque : 42559 Code Guichet : 00046 Numéro de compte : 21025483401 67 L’ordonnateur de la dépense est le Préfet du département de la Charente-Maritime et par délégation le directeur départemental de la Cohésion Sociale du département de la Charente- Maritime. Le comptable assignataire est le Directeur Régional des Finances Publiques.

ARTICLE 4 : Le présent arrêté peut faire l’objet, dans le délai franc d’un mois à partir de la publication ou de la notification de cette décision, d’un recours contentieux adressé au secrétariat du Tribunal interrégional de la tarification sanitaire et sociale - DRJSCS Aquitaine - Espace RODESSE, 103bis, rue de Belleville - BP 952 - 33063 Bordeaux Cedex. Il peut également, dans un délai de deux mois à compter de sa notification faire l’objet : • d’un recours gracieux présenté auprès de l’auteur de cette décision, • d’un recours hiérarchique auprès de Madame la Ministre de l’écologie, du développement durable, des transports et du logement.

ARTICLE 5 : Une copie du présent arrêté sera notifiée à l’établissement.

2772 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

ARTICLE 6 : En application des dispositions de l'article R314-36 du code de l’action sociale et des familles, le tarif fixé à l’article 2 du présent arrêté sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de la Charente-Maritime.

ARTICLE 7 : Le secrétaire général de la Préfecture de la Charente-Maritime, le directeur départemental de la Cohésion Sociale de la Charente-Maritime et le président de l'association "Le Tremplin 17" sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté.

Pour LE PREFET DE REGION, par délégation, Le Directeur Régional de la Jeunesse Des Sports et de la Cohésion Sociale Adjoint Christian TARDY

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Arrêté fixant la dotation globale de financement des places CHRS de stabilisation à Royan gérées par l'association "Le Tremplin 17"

PREFET DE LA REGION POITOU-CHARENTES DIRECTION REGIONALE DE LA JEUNESSE DES SPORTS ET DE LA COHESION SOCIALE

A R R E T E N° 69/DRJSCS/2011 en date du 16 août 2011

Fixant la dotation globale de financement pour 2011 des places CHRS de stabilisation à Royan gérées par l'association "Le Tremplin 17"

A R R E T E :

ARTICLE 1 : Au titre du fonctionnement de 9 places CHRS de stabilisation, le budget des lits de stabilisation de Royan s’établit comme suit :

2773 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

ARTICLE 2 : La dotation globale de financement des Lits de stabilisation de Royan est arrêtée à : cent huit mille cinq cent quarante six euros (108 546 €). Le forfait mensuel arrêté à 1/12ème de la dotation globale de financement s’élève à : neuf mille quarante cinq euros et cinquante centimes (9 045,50 €). Dans l’attente de l’arrêté préfectoral fixant la dotation globale de financement pour l’exercice 2012, l’allocation des moyens s’effectuera, à compter du 1er janvier 2012, sur la base d’un forfait mensuel égal au douzième du montant de la somme allouée en 2011.

ARTICLE 3 : Cette dotation sera imputée sur le budget de l’Etat 2011 au programme 177 (0177-12-10) du Ministère de l’écologie, du développement durable, des transports et du logement. Elle sera versée sur le compte de l’association « Le Tremplin 17 » : Crédit agricole Charente-Maritime Deux-Sèvres Code Banque : 42559 Code Guichet : 00046 Numéro de compte : 21025483401 39 L’ordonnateur de la dépense est le Préfet du département de la Charente-Maritime et par délégation le directeur départemental de la Cohésion Sociale du département de la Charente- Maritime. Le comptable assignataire est le Directeur Régional des Finances Publiques.

ARTICLE 4 : Le présent arrêté peut faire l’objet, dans le délai franc d’un mois à partir de la publication ou de la notification de cette décision, d’un recours contentieux adressé au secrétariat du Tribunal interrégional de la tarification sanitaire et sociale - DRJSCS Aquitaine - Espace RODESSE, 103bis, rue de Belleville - BP 952 - 33063 Bordeaux Cedex. Il peut également, dans un délai de deux mois à compter de sa notification faire l’objet : • d’un recours gracieux présenté auprès de l’auteur de cette décision, • d’un recours hiérarchique auprès de Madame la Ministre de l'écologie, du développement durable, des transports et du logement.

ARTICLE 5 : Une copie du présent arrêté sera notifiée à l’établissement.

2774 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

ARTICLE 6 : En application des dispositions de l'article R314-36 du code de l’action sociale et des familles, le tarif fixé à l’article 2 du présent arrêté sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de la Charente-Maritime.

ARTICLE 7 : Le secrétaire général de la Préfecture de la Charente-Maritime, le directeur départemental de la Cohésion Sociale de la Charente-Maritime et le président de l'association "Le Tremplin 17" sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté.

Pour LE PREFET DE REGION, par délégation, Le Directeur Régional de la Jeunesse Des Sports et de la Cohésion Sociale Adjoint Christian TARDY

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Arrêté fixant la dotation globale de financement du CHRS "Halte d'urgence" géré par l'association "Le Tremplin 17"

PREFET DE LA REGION POITOU-CHARENTES DIRECTION REGIONALE DE LA JEUNESSE DES SPORTS ET DE LA COHESION SOCIALE

A R R E T E N° 70/DRJSCS/2011 en date du 16 août 2011

Fixant la dotation globale de financement pour 2011 du C.H.R.S "Halte d'urgence" géré par l'association "Le Tremplin 17"

A R R E T E :

ARTICLE 1 : Au titre du fonctionnement de 12 places d’hébergement d'urgence, le budget du CHRS "Halte d'urgence" s’établit comme suit :

2775 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

ARTICLE 2 : Compte tenu de la reprise du résultat cumulé 2009 déficitaire de 2 848,27 €, la dotation globale de financement du CHRS « Les Combôts » est arrêtée à : quatre vingt quatorze mille quatre cent soixante cinq euros et vingt sept centimes (94 465,27 €). Le forfait mensuel arrêté à 1/12ème de la dotation globale de financement s’élève à : sept mille huit soixante douze euros et dix centimes (7 872,10 €) durant les onze premiers mois et sept mille huit soixante douze euros et dix sept centimes (7 872,17 €) en décembre 2011. Dans l’attente de l’arrêté préfectoral fixant la dotation globale de financement pour l’exercice 2012, l’allocation des moyens s’effectuera, à compter du 1er janvier 2012, sur la base d’un forfait mensuel égal au douzième du montant de la somme allouée en 2011.

ARTICLE 3 : Cette dotation sera imputée sur le budget de l’Etat 2011 au programme 177 (0177-12-10) du Ministère de l’écologie, du développement durable, des transports et du logement. Elle sera versée sur le compte de l’association ASS DE REINSERTION SOCIALE TREMPLIN : Crédit agricole Charente-Maritime Deux-Sèvres Code Banque : 11706 Code Guichet : 11022 Numéro de compte : 53936280001 82 L’ordonnateur de la dépense est le Préfet du département de la Charente-Maritime et par délégation le directeur départemental de la Cohésion Sociale du département de la Charente- Maritime. Le comptable assignataire est le Directeur Régional des Finances Publiques.

ARTICLE 4 : Le présent arrêté peut faire l’objet, dans le délai franc d’un mois à partir de la publication ou de la notification de cette décision, d’un recours contentieux adressé au secrétariat du Tribunal interrégional de la tarification sanitaire et sociale - DRJSCS Aquitaine - Espace RODESSE, 103bis, rue de Belleville - BP 952 - 33063 Bordeaux Cedex. Il peut également, dans un délai de deux mois à compter de sa notification faire l’objet : • d’un recours gracieux présenté auprès de l’auteur de cette décision, • d’un recours hiérarchique auprès de Madame la Ministre de l’écologie, du développement durable, des transports et du logement.

ARTICLE 5 :

2776 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

Une copie du présent arrêté sera notifiée à l’établissement.

ARTICLE 6 : En application des dispositions de l'article R314-36 du code de l’action sociale et des familles, le tarif fixé à l’article 2 du présent arrêté sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de la Charente-Maritime.

ARTICLE 7 : Le secrétaire général de la Préfecture de la Charente-Maritime, le directeur départemental de la Cohésion Sociale de la Charente-Maritime et le président de l'association "Le Tremplin 17" sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté.

Pour LE PREFET DE REGION, par délégation, Le Directeur Régional de la Jeunesse Des Sports et de la Cohésion Sociale Adjoint Christian TARDY

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Arrêté n° 11-3024 en date du 14 septembre 2011 portant composition de la Commission Départementale de Réforme des agents de la fonction publique territoriale auprès du centre de gestion de la Charente-Maritime

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1 : La composition de la commission départementale de réforme des fonctionnaires territoriaux de la Charente- Maritime est fixée ainsi qu’il suit :

Président : M Bernard DRAPPEAU, Maire de Courçon, représentant la préfète en sa qualité d’élu,

Vice-Président : M Jean-Pierre GUILLON, Conseiller Général, représentant la préfète en sa qualité d’élu

Représentants du corps médical :

Membres titulaires :

M le Docteur MAIGRET Alain M le Docteur VINCENEUX Denis

Membres suppléants :

M le Docteur BARON Denis M le Docteur MALINEAU Patrice

Article 2 : L’arrêté préfectoral n° 9-66 du 12 janvier 2009 est abrogé.

Article 3 : Le secrétaire Général de la Préfecture, le Président du Centre de Gestion de la fonction publique territoriale de la Charente-Maritime sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera notifié à M le Directeur Général de la Caisse des Dépôts et Consignations et publié au Recueil des Actes Administratifs.

2777 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

Fait à La Rochelle, le 14 septembre 2011

La préfète de la Charente-Maritime Pour la Préfète et par délégation, Le Secrétaire Général,

Signé Julien CHARLES

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Arrêté n° 11-3025 en date du 14 septembre 2011 portant institution d'une régie d'avances auprès de la direction départementale de la cohésion sociale de la Charente-Maritime

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1 : Il est institué auprès de la direction départementale de la cohésion sociale de la Charente-Maritime une régie d’avances pour le paiement des avances sur frais de mission et de stage, et des remboursements de frais de mission et de stage.

Article 2 : Le montant maximal de l‘avance à consentir au régisseur est fixé à 2500€. L’avance est versée par le comptable public assignataire, le directeur régional des Finances Publiques, sur demande du régisseur visée par l’ordonnateur des crédits du budget opérationnel de programme 333 (action 1).

Article 3 : Un compte de dépôts de fonds au Trésor sera ouvert pour la régie d’avances.

Article 4 : Le régisseur remet à l’ordonnateur les pièces justificatives des dépenses payées dans le délai maximum de trente jours à compter de la date de paiement.

Article 5 : Le secrétaire Général de la Préfecture et le Directeur départemental de la Cohésion Sociale de la Charente- Maritime sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au Recueil des Actes Administratifs.

Fait à La Rochelle, le 14 septembre 2011

La Préfète de la Charente-Maritime Pour la Préfète et par délégation, Le Secrétaire Général,

Signé : Julien CHARLES

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2778 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

Arrêté n° 11-3026 du 14 septembre 2011 portant nomination à la direction départementale de la cohésion sociale de la Charente-Maritime d'un régisseur d'avances et de son suppléant

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1 : Madame Valérie JOURDAIN, secrétaire administrative de classe supérieure, est nommée régisseur d’avances auprès de la direction départementale de la cohésion sociale de la Charente-Maritime. En cas d’absence pour maladie, congé ou tout autre empêchement exceptionnel, Madame Evelyne LE GARREC, secrétaire administrative, est désignée suppléante.

Article 2 : Le cautionnement du régisseur est de 300€.

Article 3 : Le régisseur percevra une indemnité de responsabilité annuelle s’élevant à 110€.

Article 4 : Le secrétaire Général de la Préfecture et le Directeur départemental de la Cohésion Sociale de la Charente- Maritime sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au Recueil des Actes Administratifs.

Fait à La Rochelle, le 14 septembre 2011

La Préfète de la Charente-Maritime, Pour la Préfète et par délégation, Le Secrétaire Général, Signé : Julien CHARLES

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Arrêté n° 11-3052 en date du 16 septembre 2011 modifiant la liste des mandataires judiciaires à la protection des majeurs et des délégués aux trestations familiales.

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1er

La liste des personnes habilitées pour être désignées en qualité de mandataire judiciaire à la protection des majeurs par les juges des tutelles pour exercer des mesures de protection des majeurs au titre de la tutelle, de la curatelle ou du mandat spécial auquel il peut être recouru dans le cadre de la sauvegarde de justice est ainsi établie pour le département de Charente-Maritime :

2779 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

I° Tribunal de Grande Instance de La Rochelle

a) Pendant le délai mentionné aux I, II et IV de l’article 44 de la loi du 5 mars 2007 mentionnée ci-dessus :

1) Personnes morales gestionnaires de services :

ADEI - ADPP 8 Bd du Commandant Charcot 17443 AYTRE cedex BP 107 APAJH - APTAS rue du Cerf Volant 17000 La Rochelle

MSAIS Fief Montlouis 17100 Saintes Mutualité Générale 3 Square Max-Hymans 75748 Paris cedex15 Education Nationale antenne de La Rochelle 17180 PERIGNY Les Tausières UDAF 5 rue du Bois d’Huré 17140

2) Personnes physiques exerçant à titre individuel :

NOM PRENOM ADRESSE BAFOIL Véronique 104 rue Audry de Puyravault 17700 Surgères BOE Roger Résidence Beauregard 17000 La Rochelle 34 bis rue de Beauregard BUISSON Jean Claude 28 rue Charles GOUNOD 79000 Niort DUMOND Joëlle 16 rue des Poilus 17340 Chatelaillon GOYE Danielle Rue Brétinière Saint Eloi 17000 La Rochelle LAFOND Wladislawa 24 rue Cadorette 17740 Sainte Marie de Ré LERICHE Marc 25 bis rue du Port 17137 Marsilly NAUD Marie-Elisabeth La Bridonnerie 17780 Saint Nazaire/Charente NOURAUD Jean-Claude 21 rue Eugène Delacroix 17180 Périgny RAVARD Ginette Le Clos Bouchot 17340 Chatelaillon 9 bis rue de l’Abbé Guichard ROSSIGNOL Isabelle 116B avenue Denfert 17010 La Rochelle Rochereau BP 22072 YVIN François 34 rue de Beauregard BT C 17000 La Rochelle ZERBIB Sébastien 29 route du Puy Gibaud 17100 Fontcouverte

3) Personnes physiques et services préposés d’établissement :

NOM PRENOM ADRESSE DRAPEAU Chantal Centre Hospitalier de La Rochelle 17000 La Rochelle rue du Docteur Schweitzer GAILLARD Corinne Centre Départemental d’accueil de l’Ile de Ré 17410 St Martin de Ré 40 avenue du Général de Gaulle

b) Au titre de l’article L. 471-2 du code de l’action sociale et des familles :

1) Personnes morales gestionnaires de services Mandataires Judiciaires : Néant 2) Personnes physiques exerçant à titre individuel : Néant 3) Personnes physiques et services préposés d’établissement : Néant

2780 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

II° Tribunal de Grande Instance de Rochefort

a) Pendant le délai mentionné aux I, II et IV de l’article 44 de la loi du 5 mars 2007 mentionnée ci-dessus :

1) Personnes morales gestionnaires de services :

ADEI - ADPP 8 Bd du Commandant Charcot 17443 AYTRE cedex BP 107 APAJH - APTAS rue du Cerf Volant 17000 La Rochelle MSAIS Fief Montlouis 17106 Saintes cedex Mutuelle Générale de l’Education Nationale 3 Square Max-Hymans 75748 Paris cedex 15

antenne de La Rochelle 17180 Périgny Les Tausières UDAF 5 rue du Bois d’Huré 17140 Lagord

2) Personnes physiques exerçant à titre individuel :

NOM PRENOM ADRESSE BAFOIL Véronique 104 rue Audry de Puyravault 17700 Surgères BARILLEC Michèle 263 rue du Prieuré Charentenay 17700 St Mard BUISSON Jean-Claude 28 rue Charles Gounod 79000 Niort DUBOURG Monique 52 bis rue Baudin 17300 Rochefort DUMOND Joëlle 16 rue des Poilus 17340 Chatelaillon GOYE Danielle rue Brétinière St Eloi 17000 La Rochelle LERICHE Marc 25 bis rue du Port 17137 Marsilly NAUD Marie-Elisabeth La Bridonnerie 17780 ST Nazaire/Charente NOURAUD Jean-Claude 21 rue Eugène Delacroix 17180 Périgny PERROCHAUD Marc 18 rue de Bellevue 17620 Echillais RAVARD Ginette Le Clot Bouchot 9 bis de l’Abbé Guichard 17340 Chatelaillon ROSSIGNOL Isabelle 116B Av Denfert Rochereau BP 22072 17010 La Rochelle ZERBIB Sébastien 29 route du Puy Gibaud 17100 Foncouverte

3) Personnes physiques et services préposés d’établissement :

NOM PRENOM ADRESSE HUCHET Christian Centre Hospitalier de Rochefort 16 rue du Docteur Peltier 17301 Rochefort cedex

b) Au titre de l’article L. 471-2 du code de l’action sociale et des familles :

1) Personnes morales gestionnaires de services mandataires judiciaires : Néant

2) Personnes physiques exerçant à titre individuel : Néant

3).Personnes physiques et services préposés d’établissement : Néant

III° Tribunal de Grande Instance de Saintes

2781 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

a) Pendant le délai mentionné aux I, II et IV de l’article 44 de la loi du 5 mars 2007 mentionnée ci-dessus :

1)- Personnes morales gestionnaires de services :

ADEI – ADPP 8 Bd du Commandant Charcot BP 17443 AYTRE cedex 107 ADAPEI Avenue Paul Langevin 17184 Perigny cedex Association Aide Ménagère aux Personnes 1 rue des Tulipes 17400 St Jean d’Angély Agées APAJH – APTAS rue du Cerf Volant 17000 La Rochelle Association de Tutelle des Personnes Ferme de Magné 17250 Saint Gemme Handicapées – APAGESMS MSAIS Fief Montlouis 17106 Saintes cedex Mutuelle Générale de l’Education Nationale 3 Square Max Hymans 75748 Paris cedex15

antenne de La Rochelle 17180 PERIGNY Les Tausières Mutuelle Générale 6 rue Vandrezanne 75634 Paris cedex 13 Mutuelle Générale des PTT BP 241 17108 SAINTES UDAF 5 rue du Bois d’Huré 17140 Lagord

2)- Personnes physiques exerçant à titre individuel :

NOM PRENOM ADRESSE ALLAIN Didier 4 Chemin de la Pièce Bellivet 17100 Saintes BAFOIL Véronique 104 rue Audry de Puyravault 17700 Surgères CLISSON Evelyne 2 rue chez Couillaud 17800 Fléac sur Seugne COLLET Micheline Les Châtaigniers 17270 DUBREUILH Françoise 3 impasse Georges Brassens 17360 Saint Aigulin GUENAUD Perrine 26 rue Saint Thomas 17100 Saintes GUICHARD Anne 5 rue Burgaud Desmarets 17100 Saintes MATHIOT Jacques 4 rue haute rive 17100 Saintes MESNARD Michèle 2 rue des Fauvettes 17110 Saint Georges de Didonne NOURAUD Jean-Claude 21 rue Eugène Delacroix 17180 Périgny LERICHE Marc 25 bis rue du Port 17137 Marsilly PRADIER Joël Lieu dit Les Ouches 16300 Saint Médard de Barbezieux SOULARD Michèle 6 rue de l’Eglise 17210 Chevanceau ROSSIGNOL Isabelle 116B Av Denfert Rochereau 17010 La Rochelle BP 22072 VERDIER Marcel 10 rue des écoles 17200 Royan ZERBIB Sébastien 30 C route de Beausseuil 17100 Foncouverte

3)- Personnes physiques et services préposés d’établissement :

NOM PRENOM ADRESSE DOUTEAU Joëlle Centre Hospitalier de Jonzac Avenue Winston Churchill BP 109 17503, Jonzac cedex

Centre hospitalier les Bruyères 17360 Boscamnant KRAKARIS Jean-Philippe Centre hospitalier Saint Jean d’Angély 18 rue du Port BP 93 17415, St Jean d’Angély PRAUD Marie-France Centre Hospitalier Jonzac Avenue Winston Churchill BP 109 17503 Jonzac cedex VALLADEAU Marie-Jeanne Centre Hospitalier de Saintonge 11 Bd Ambroise Paré 17100 Saintes MALEYRAN Marie-Claude EPD Les Deux Monts 17210 Montlieu La Garde

b) Au titre de l’article L. 471-2 du code de l’action sociale et des familles :

2782 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

1) Personnes morales gestionnaires de services mandataire judiciaire : Néant

2) Personnes physiques exerçant à titre individuel : Néant

3) Personnes physiques et services préposés d’établissement : Néant

Article 2

La liste des personnes habilitées pour être désignées en qualité de mandataire judiciaire à la protection des majeurs par les juges des tutelles pour exercer des mesures de protection des majeurs au titre de la tutelle aux prestations sociales versées aux adultes ou de la mesure d’accompagnement judiciaire est ainsi établie pour le département de Charente-Maritime :

I Tribunal de Grande Instance de La Rochelle

a) Pendant le délai mentionné aux I, II et IV de l’article 44 de la loi du 5 mars 2007 mentionnée ci-dessus :

1) Personnes morales gestionnaires de services :

ADEI - ADPP 8 Bd du Commandant Charcot BP 107 17443 Aytré cedex APAJH - APTAS rue du Cerf Volant 17000 La Rochelle MSAIS Fief Montlouis 17100 Saintes UDAF 5 rue du Bois d’Huré 17140 Lagord

2) Personnes physiques exerçant à titre individuel : Néant

3) Personnes physiques et services préposés d’établissement : Néant

b) Au titre de l’article L. 471-2 du code de l’action sociale et des familles :

1) Personnes morales gestionnaires de services : Néant

2) Personnes physiques exerçant à titre individuel : Néant

3) Personnes physiques et services préposés d’établissement : Néant

II Tribunal de de Grande Instance de Rochefort

a) Pendant le délai mentionné aux I, II et IV de l’article 44 de la loi du 5 mars 2007 mentionnée ci-dessus :

1) Personnes morales gestionnaires de services :

ADPP - ADEI 8 Bd du Commandant Charcot BP 107 17443 Aytré APAJH - APTAS rue du Cerf Volant 17000 La Rochelle MSAIS Fief Montlouis 17100 Saintes UDAF 5 rue du Bois d’Huré 17140 Lagord

2783 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

2) Personnes physiques exerçant à titre individuel : Néant

3) Personnes physiques et services préposés d’établissement : Néant

b) Au titre de l’article L. 471-2 du code de l’action sociale et des familles :

1) Personnes morales gestionnaires de services : Néant

2) Personnes physiques exerçant à titre individuel : Néant

3) Personnes physiques et services préposés d’établissement : Néant

III Tribunal de Grande Instance de Saintes

a) Pendant le délai mentionné aux I, II et IV de l’article 44 de la loi du 5 mars 2007 mentionnée ci-dessus :

1) Personnes morales gestionnaires de services :

ADEI - ADPP 8 Bd du Commandant Charcot BP 17443 Aytré 107 APAJH - APTAS rue du Cerf Volant 17000 La Rochelle MSAIS Fief Montlouis 17100 Saintes UDAF 5 rue du Bois d’Huré 17140 Lagord

2) Personnes physiques exerçant à titre individuel : Néant

3) Personnes physiques et services préposés d’établissement : Néant

b) Au titre de l’article L. 471-2 du code de l’action sociale et des familles :

1) Personnes morales gestionnaires de services : Néant

2) Personnes physiques exerçant à titre individuel : Néant

3) Personnes physiques et services préposés d’établissement : Néant

Article 3

La liste des personnes habilitées pour être désignées par les juges en qualité de délégué aux prestations familiales est ainsi établie pour le département de Charente-Maritime :

I° Tribunal de Grande Instance La Rochelle

2784 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

a) Pendant le délai mentionné au V de l’article 44 de la loi du 5 mars 2007 mentionnée ci- dessus,

1) Personnes morales gestionnaires de services :

ADEI - ADPP 8 Bd du Commandant Charcot BP 107 17443 Aytré UDAF 5 rue du Bois d’Huré 17140 Lagord

2) Personnes physiques exerçant à titre individuel : Néant

b) Au titre de l’article L. 474-1 du code de l’action sociale et des familles :

1) Personnes morales gestionnaires de services : Néant

2) Personnes physiques exerçant à titre individuel : Néant

II° Tribunal de Grande Instance de Rochefort

a) Pendant le délai mentionné au V de l’article 44 de la loi du 5 mars 2007 mentionnée ci- dessus,

1) Personnes morales gestionnaires de services :

ADEI - ADPP 8 Bd du Commandant Charcot BP 107 17443 Aytré UDAF 5 rue du Bois d’Huré 17140 Lagord

2) Personnes physiques exerçant à titre individuel : Néant

b) Au titre de l’article L. 474-1 du code de l’action sociale et des familles :

1) Personnes morales gestionnaires de services : Néant

2) Personnes physiques exerçant à titre individuel : Néant

III° Tribunal de Grande Instance de Saintes

a) Pendant le délai mentionné au V de l’article 44 de la loi du 5 mars 2007 mentionnée ci- dessus,

1) Personnes morales gestionnaires de services :

ADEI - ADPP 8 Bd du Commandant Charcot BP 107 17443 Aytré UDAF 5 rue du Bois d’Huré 17140 Lagord

2) Personnes physiques exerçant à titre individuel : Néant

b) Au titre de l’article L. 474-1 du code de l’action sociale et des familles :

2785 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

1) Personnes morales gestionnaires de services : Néant

2) Personnes physiques exerçant à titre individuel : Néant

Article 4

Une ampliation du présent arrêté sera notifiée : - aux intéressés ; - aux procureurs de la République près :

le tribunal de grande instance de La Rochelle le tribunal de grande instance de Saintes

- aux juges des tutelles du : tribunal d’instance de La Rochelle tribunal d’instance de Rochefort tribunal d’instance de Saintes tribunal d’instance de Marennes tribunal d’instance de Jonzac

- aux juges des enfants du : tribunal de grande instance de La Rochelle

Article 5

Ce présent arrêté abrogeant l’arrêté préfectoral du 12 janvier 2010 AP n°10-75, peut faire l’objet d’un recours administratif, soit gracieux auprès de Monsieur le Préfet du Charente- Maritime, soit hiérarchique auprès du Ministre en charge de la famille, dans les deux mois suivant la notification. Un recours contentieux peut être déposé auprès du Tribunal Administratif de Poitiers également dans un délai de deux mois à compter de la notification, ou dans le délai de deux mois à partir de la réponse de l’administration si un recours administratif a été déposé, l’absence de réponse au terme d’un délai de deux mois valant rejet implicite.

Article 6

Le présent arrêté sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Charente-Maritime.

Article 7

Le secrétaire général de la préfecture et le directeur départemental de la cohésion sociale sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté.

La Rochelle, le 16 septembre 2011

2786 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

P/La Préfète et par délégation Le Secrétaire Général

Julien CHARLES

(Le texte intégral du(des) arrêté(s) ci-dessus inséré(s) peut être consulté au service "Direction Départementale Cohésion sociale") ______

1.9. Direction départementale des Finance Publiques

Délégation adjoint PRS

LE DIRECTEUR DEPARTEMENTAL DES FINANCES PUBLIQUES DE LA CHARENTE-MARITIME

ARRETE

Vu le code général des impôts, et notamment l'article 410 de son annexe II , Vu le décret n°2008-309 du 3 avril 2008 portant dispositions transitoires relatives à la direction générale des finances publiques, notamment son article 6, Vu le décret n°2008-446 du 7 mai 2008 portant dispositions transitoires relatives aux conditions de mise en jeu de la responsabilité de certains comptables des services déconcentrés de la DGFIP, Vu le décret n° 2009-707 du 16 juin 2009 relatif aux services déconcentrés de la direction générale des finances publiques, Vu l’arrêté du 7 avril 2010 pris pour l’application de l’article 6 du décret n° 2008-309 du 3 avril 2008, Vu l'instruction du 13 novembre 2003, Décide :

Article 1er. – Délégation de signature est donnée à Mme Sabine ANDRAULT, Inspectrice des finances publiques au Pôle de recouvrement spécialisé de Charente-Maritime à l’effet :

1° en matière de recouvrement des impôts des professionnels : de prendre des décisions sur les demandes de remise ou de modération portant sur les majorations de recouvrement et intérêts de retard prévus aux articles 1727 et 1731 du Code Général des Impôts, dans la limite de 15 000 euros ;

2° en matière de recouvrement des impôts sur rôles : de prendre des décisions sur les demandes de remise ou modération portant sur la majoration de recouvrement de 10% prévue à l’article 1730 du Code Général des Impôts, les intérêts moratoires et les frais de poursuite prévus par l’article L 209 du Livre des Procédures Fiscales, dans la limite de 15 000 euros ;

3° d’accomplir tous actes de recouvrement et de procédure contentieuse relatifs : - aux rôles de cotisation foncière des entreprises et à l’ensemble des taxes et impositions figurant sur l’avis d’imposition de cotisation foncière des entreprises émis au titre de l’année d’imposition 2010 et des années suivantes pour le département de Charente-Maritime ; - aux rôles supplémentaires de taxe professionnelle et à l’ensemble des taxes figurant sur l’avis d’imposition de taxe professionnelle mis en recouvrement à compter du 30 novembre 2010 pour le département de Charente-Maritime ;

2787 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

4° de prendre, en ce qui concerne les majorations, frais de poursuite et intérêts moratoires liés au recouvrement de la taxe professionnelle les décisions gracieuses de rejet, remise, modération ou transaction, dans la limite de 15 000 euros ;

Article 2. – La présente décision sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de Charente-Maritime et affiché dans les locaux du service.

A La Rochelle, le 01/09/2011

Dominique SUDRET

______

Délégation responsable PRS (V. Guilgault)

LE DIRECTEUR DEPARTEMENTAL DES FINANCES PUBLIQUES DE LA CHARENTE-MARITIME

ARRETE

Vu le code général des impôts, et notamment l'article 410 de son annexe II , Vu le décret n°2008-309 du 3 avril 2008 portant dispositions transitoires relatives à la direction générale des finances publiques, notamment son article 6, Vu le décret n°2008-446 du 7 mai 2008 portant dispositions transitoires relatives aux conditions de mise en jeu de la responsabilité de certains comptables des services déconcentrés de la DGFIP, Vu le décret n° 2009-707 du 16 juin 2009 relatif aux services déconcentrés de la direction générale des finances publiques, Vu l’arrêté du 7 avril 2010 pris pour l’application de l’article 6 du décret n° 2008-309 du 3 avril 2008 portant dispositions transitoires relatives à la direction générale des finances publiques ; Vu l'instruction du 13 novembre 2003, Décide :

Article 1er. – Délégation de signature est donnée à M. Vincent GUILGAULT, responsable du Pôle de recouvrement spécialisé de Charente-Maritime à l’effet :

1° en matière de recouvrement des impôts des professionnels : de prendre des décisions sur les demandes de remise ou de modération portant sur les majorations de recouvrement et intérêts de retard prévus aux articles 1727 et 1731 du Code Général des Impôts, dans la limite de 50 000 euros ;

2° en matière de recouvrement des impôts sur rôles : de prendre des décisions sur les demandes de remise ou modération portant sur la majoration de recouvrement de 10% prévue à l’article 1730 du Code Général des Impôts, les intérêts moratoires et les frais de poursuite prévus par l’article L 209 du Livre des Procédures Fiscales, dans la limite de 50 000 euros ;

3° d’accomplir tous actes de recouvrement et de procédure contentieuse relatifs : - aux rôles de cotisation foncière des entreprises et à l’ensemble des taxes et impositions figurant sur l’avis d’imposition de cotisation foncière des entreprises émis au titre de l’année d’imposition 2010 et des années suivantes pour le département de Charente-Maritime ; - aux rôles supplémentaires de taxe professionnelle et à l’ensemble des taxes figurant sur l’avis d’imposition de taxe professionnelle mis en recouvrement à compter du 30 novembre 2010 pour le département de Charente-Maritime ;

4° de prendre, en ce qui concerne les majorations, frais de poursuite et intérêts moratoires liés au recouvrement de la taxe professionnelle les décisions gracieuses de rejet, remise, modération ou transaction, dans la limite de 50 000 euros ;

Article 2. En cas d’absence du responsable du pôle de recouvrement spécialisé, délégation de signature est donnée dans les conditions et limites fixées à l’article 1er à Mme Sabine ANDRAULT, inspectrice des finances publiques.

2788 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

Article 3. – La présente décision sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de Charente-Maritime et affiché dans les locaux du service.

A La Rochelle, le 01/09/2011

Dominique SUDRET

______

Délégation responsable SIP LRE (D. MOURET)

LE DIRECTEUR DEPARTEMENTAL DES FINANCES PUBLIQUES DE LA CHARENTE-MARITIME

ARRETE

Vu le code général des impôts, et notamment les articles 396 A et 410 de son annexe II , Vu le décret n°2008-309 du 3 avril 2008 portant dispositions transitoires relatives à la direction générale des finances publiques, Vu le décret n° 2009-707 du 16 juin 2009 relatif aux services déconcentrés de la direction générale des finances publiques, Vu l’arrêté du 08 juin 2010 portant création de services des impôts des particuliers dans les services déconcentrés de la direction générale des finances publiques, Vu l'instruction du 13 novembre 2003,

Décide :

Article 1er. - Délégation de signature est donnée à Monsieur Daniel MOURET, inspecteur divisionnaire des finances publiques, responsable du service des impôts des particuliers de La Rochelle Est à l’effet :

1° de prendre des décisions contentieuses d’admission totale, d’admission partielle, de rejet, de dégrèvement ou restitution d’office ou, en ce qui concerne les droits, des décisions gracieuses de rejet, remise ou modération dans la limite de 50 000 euros ;

2° de prendre, en ce qui concerne les pénalités, des décisions gracieuses de rejet, remise, modération ou transaction dans la limite de 50 000 euros ;

3° de prendre des décisions sur les demandes de remise ou de modération portant sur la majoration de recouvrement de 10% prévue par l’article 1730 du code général des impôts, les frais de poursuite ou les intérêts moratoires, dans la limite de 50 000 euros, et à l'effet de signer les certificats de dégrèvements relatifs aux décisions contentieuses et gracieuses, quel que soit le montant des sommes dégrevées et l’autorité ayant prononcé la décision.

Article 2. En cas d’absence du responsable du service des impôts des particuliers, délégation de signature est donnée dans les conditions et limites fixées à l’article 1er à Mme Juliette ALLERY et M. Christophe DE CONTET, inspecteurs des finances publiques.

Article 3. - La présente décision sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de Charente-Maritime et affichée dans les locaux du service.

A La Rochelle le 01/09/2011

Dominique SUDRET

2789 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

______

Délégation responsable SIP LRO (A. RAYMOND)

LE DIRECTEUR DEPARTEMENTAL DES FINANCES PUBLIQUES DE LA CHARENTE-MARITIME

ARRETE

Vu le code général des impôts, et notamment les articles 396 A et 410 de son annexe II , Vu le décret n°2008-309 du 3 avril 2008 portant dispositions transitoires relatives à la direction générale des finances publiques, Vu le décret n° 2009-707 du 16 juin 2009 relatif aux services déconcentrés de la direction générale des finances publiques, Vu l’arrêté du 08 juin 2010 portant création de services des impôts des particuliers dans les services déconcentrés de la direction générale des finances publiques, Vu l'instruction du 13 novembre 2003,

Décide :

Article 1er. - Délégation de signature est donnée à Madame Annie RAYMOND, inspectrice divisionnaire des finances publiques , responsable du service des impôts des particuliers de La Rochelle Ouest à l’effet :

1° de prendre des décisions contentieuses d’admission totale, d’admission partielle, de rejet, de dégrèvement ou restitution d’office ou, en ce qui concerne les droits, des décisions gracieuses de rejet, remise ou modération dans la limite de 50 000 euros ;

2° de prendre, en ce qui concerne les pénalités, des décisions gracieuses de rejet, remise, modération ou transaction dans la limite de 50 000 euros ;

3° de prendre des décisions sur les demandes de remise ou de modération portant sur la majoration de recouvrement de 10% prévue par l’article 1730 du code général des impôts, les frais de poursuite ou les intérêts moratoires, dans la limite de 50 000 euros, et à l'effet de signer les certificats de dégrèvements relatifs aux décisions contentieuses et gracieuses, quel que soit le montant des sommes dégrevées et l’autorité ayant prononcé la décision.

Article 2. En cas d’absence du responsable du service des impôts des particuliers, délégation de signature est donnée dans les conditions et limites fixées à l’article 1er à M Patrice GUERIN et M Christophe RICHET, inspecteurs des finances publiques.

Article 3. - La présente décision sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de Charente-Maritime et affichée dans les locaux du service.

A La Rochelle le 01/09/2011

Dominique SUDRET

______

Délégation responsable SIP-SIE Jonzac (T. ANDREU)

LE DIRECTEUR DEPARTEMENTAL DES FINANCES PUBLIQUES DE LA CHARENTE-MARITIME

2790 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

ARRETE

Vu le code général des impôts, et notamment les articles 396 A et 410 de son annexe II , Vu le décret n°2008-309 du 3 avril 2008 portant dispositions transitoires relatives à la direction générale des finances publiques, notamment son article 6, Vu le décret n° 2008-446 du 7 mai 2008 portant dispositions transitoires relatives aux conditions de mise en jeu de la responsabilité de certains comptables des services déconcentrés de la DGFIP ; Vu le décret n° 2009-707 du 16 juin 2009 relatif aux services déconcentrés de la direction générale des finances publiques, Vu l’arrêté du 26 mars 2010 portant création de services des impôts des particuliers dans les services déconcentrés de la direction générale des finances publiques, Vu l’arrêté du 7 avril 2010 pris pour l’application de l’article 6 du décret n° 2008-309 du 3 avril 2008 , Vu l'instruction du 13 novembre 2003,

Décide :

Article 1er. - Délégation de signature est donnée à Madame Thérèse ANDREU, inspectrice divisionnaire des finances publiques, responsable du service des impôts des particuliers et du service des impôts des entreprises de Jonzac à l’effet : 1° de prendre des décisions contentieuses d’admission totale, d’admission partielle, de rejet, de dégrèvement ou restitution d’office ou, en ce qui concerne les droits, des décisions gracieuses de rejet, remise ou modération dans la limite de 50 000 euros ; 2° de prendre, en ce qui concerne les pénalités, des décisions gracieuses de rejet, remise, modération ou transaction dans la limite de 50 000 euros ; 3° de prendre des décisions sur les demandes de remise ou de modération portant sur la majoration de recouvrement de 10% prévue par l’article 1730 du code général des impôts, les frais de poursuite ou les intérêts moratoires, dans la limite de 50 000 euros, 4° de statuer sur les demandes de plafonnement en fonction de la valeur ajoutée des cotisations de taxe professionnelle et de contribution économique territoriale, formulées par les entreprises disposant d’un seul établissement ou dont tous les établissements sont situés dans le ressort du service, quel que soit le montant de la demande, 5° de signer les certificats de dégrèvements relatifs aux décisions contentieuses et gracieuses, quel que soit le montant des sommes dégrevées et l’autorité ayant prononcé la décision. 6° de statuer sur les demandes de remboursements de crédit de taxe sur la valeur ajoutée non imputable dans la limite de 50 000 euros.

Article 2 - Mme Thérèse ANDREU, en sa qualité de comptable du service des impôts des particuliers - service des impôts des entreprises (SIP-SIE) de Jonzac, au nom du directeur départemental des finances publiques : 1° accomplit tous actes de recouvrement et de procédure contentieuse relatifs : - aux rôles de cotisation foncière des entreprises et à l’ensemble des taxes et impositions figurant sur l’avis d’imposition de cotisation foncière des entreprises émis au titre de l’année d’imposition 2010 et des années suivantes pour le département de Charente-Maritime ; - aux rôles supplémentaires de taxe professionnelle et à l’ensemble des taxes figurant sur l’avis d’imposition de taxe professionnelle mis en recouvrement à compter du 30 novembre 2010 pour le département de Charente-Maritime ; 2° prend, en ce qui concerne les majorations, frais de poursuite et intérêts moratoires liés au recouvrement de la taxe professionnelle les décisions gracieuses de rejet, remise, modération ou transaction, dans la limite de 50 000 euros ;

Article 3 - En cas d’absence du responsable du service des impôts des particuliers et des entreprises, délégation de signature est donnée dans les conditions et limites fixées à l’article 1er à M. Jean-Philippe FAVREAU et à M. Jean- Jacques DELFOUR , inspecteurs des finances publiques.

Article 4. - La présente décision sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de Charente-Maritime et affichée dans les locaux du service.

A La Rochelle, le 01/09/2011

Dominique SUDRET

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2791 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

Délégation responsable SIP-SIE MARENNES (C. TOSELLI)

LE DIRECTEUR DEPARTEMENTAL DES FINANCES PUBLIQUES DE LA CHARENTE-MARITIME

ARRETE

Vu le code général des impôts, et notamment les articles 396 A et 410 de son annexe II , Vu le décret n°2008-309 du 3 avril 2008 portant dispositions transitoires relatives à la direction générale des finances publiques, notamment son article 6, Vu le décret n° 2008-446 du 7 mai 2008 portant dispositions transitoires relatives aux conditions de mise en jeu de la responsabilité de certains comptables des services déconcentrés de la DGFIP ; Vu le décret n° 2009-707 du 16 juin 2009 relatif aux services déconcentrés de la direction générale des finances publiques, Vu l’arrêté du 26 mars 2010 portant création de services des impôts des particuliers dans les services déconcentrés de la direction générale des finances publiques, Vu l’arrêté du 7 avril 2010 pris pour l’application de l’article 6 du décret n° 2008-309 du 3 avril 2008 , Vu l'instruction du 13 novembre 2003,

Décide :

Article 1er. - Délégation de signature est donnée à Monsieur Christian TOSELLI, inspecteur divisionnaire des finances publiques, responsable du service des impôts des particuliers et du service des impôts des entreprises de Marennes à l’effet : 1° de prendre des décisions contentieuses d’admission totale, d’admission partielle, de rejet, de dégrèvement ou restitution d’office ou, en ce qui concerne les droits, des décisions gracieuses de rejet, remise ou modération dans la limite de 50 000 euros ; 2° de prendre, en ce qui concerne les pénalités, des décisions gracieuses de rejet, remise, modération ou transaction dans la limite de 50 000 euros ; 3° de prendre des décisions sur les demandes de remise ou de modération portant sur la majoration de recouvrement de 10% prévue par l’article 1730 du code général des impôts, les frais de poursuite ou les intérêts moratoires, dans la limite de 50 000 euros, 4° de statuer sur les demandes de plafonnement en fonction de la valeur ajoutée des cotisations de taxe professionnelle et de contribution économique territoriale, formulées par les entreprises disposant d’un seul établissement ou dont tous les établissements sont situés dans le ressort du service, quel que soit le montant de la demande, 5° de signer les certificats de dégrèvements relatifs aux décisions contentieuses et gracieuses, quel que soit le montant des sommes dégrevées et l’autorité ayant prononcé la décision. 6° de statuer sur les demandes de remboursements de crédit de taxe sur la valeur ajoutée non imputable dans la limite de 50 000 euros.

Article 2 – Monsieur Christian TOSELLI, en sa qualité de comptable du service des impôts des particuliers - service des impôts des entreprises (SIP-SIE) de Marennes, au nom du directeur départemental des finances publiques : 1° accomplit tous actes de recouvrement et de procédure contentieuse relatifs : - aux rôles de cotisation foncière des entreprises et à l’ensemble des taxes et impositions figurant sur l’avis d’imposition de cotisation foncière des entreprises émis au titre de l’année d’imposition 2010 et des années suivantes pour le département de Charente-Maritime ; - aux rôles supplémentaires de taxe professionnelle et à l’ensemble des taxes figurant sur l’avis d’imposition de taxe professionnelle mis en recouvrement à compter du 30 novembre 2010 pour le département de Charente-Maritime ; 2° prend, en ce qui concerne les majorations, frais de poursuite et intérêts moratoires liés au recouvrement de la taxe professionnelle les décisions gracieuses de rejet, remise, modération ou transaction, dans la limite de 50 000 euros ;

Article 3 - En cas d’absence du responsable du service des impôts des particuliers et des entreprises, délégation de signature est donnée dans les conditions et limites fixées à l’article 1er à Mme Marie-Claude MAURY et à M. Jean-Yves ROY, inspecteurs des finances publiques.

Article 4. - La présente décision sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de Charente-Maritime et affichée dans les locaux du service.

A La Rochelle, le 01/09/2011

Dominique SUDRET

2792 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

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Délégation responsable SIP-SIE ROCHEFORT (JL DERREY)

LE DIRECTEUR DEPARTEMENTAL DES FINANCES PUBLIQUES DE LA CHARENTE-MARITIME

ARRETE

Vu le code général des impôts, et notamment les articles 396 A et 410 de son annexe II , Vu le décret n°2008-309 du 3 avril 2008 portant dispositions transitoires relatives à la direction générale des finances publiques, notamment son article 6, Vu le décret n° 2008-446 du 7 mai 2008 portant dispositions transitoires relatives aux conditions de mise en jeu de la responsabilité de certains comptables des services déconcentrés de la DGFIP ; Vu le décret n° 2009-707 du 16 juin 2009 relatif aux services déconcentrés de la direction générale des finances publiques, Vu l’arrêté du 26 mars 2010 portant création de services des impôts des particuliers dans les services déconcentrés de la direction générale des finances publiques, Vu l’arrêté du 7 avril 2010 pris pour l’application de l’article 6 du décret n° 2008-309 du 3 avril 2008 , Vu l'instruction du 13 novembre 2003,

Décide :

Article 1er. - Délégation de signature est donnée à Monsieur Jean-Loup DERREY, inspecteur divisionnaire des finances publiques, responsable du service des impôts des particuliers et du service des impôts des entreprises de Rochefort à l’effet : 1° de prendre des décisions contentieuses d’admission totale, d’admission partielle, de rejet, de dégrèvement ou restitution d’office ou, en ce qui concerne les droits, des décisions gracieuses de rejet, remise ou modération dans la limite de 50 000 euros ; 2° de prendre, en ce qui concerne les pénalités, des décisions gracieuses de rejet, remise, modération ou transaction dans la limite de 50 000 euros ; 3° de prendre des décisions sur les demandes de remise ou de modération portant sur la majoration de recouvrement de 10% prévue par l’article 1730 du code général des impôts, les frais de poursuite ou les intérêts moratoires, dans la limite de 50 000 euros, 4° de statuer sur les demandes de plafonnement en fonction de la valeur ajoutée des cotisations de taxe professionnelle et de contribution économique territoriale, formulées par les entreprises disposant d’un seul établissement ou dont tous les établissements sont situés dans le ressort du service, quel que soit le montant de la demande, 5° de signer les certificats de dégrèvements relatifs aux décisions contentieuses et gracieuses, quel que soit le montant des sommes dégrevées et l’autorité ayant prononcé la décision. 6° de statuer sur les demandes de remboursements de crédit de taxe sur la valeur ajoutée non imputable dans la limite de 50 000 euros.

Article 2 – Monsieur Jean-Loup DERREY, en sa qualité de comptable du service des impôts des particuliers - service des impôts des entreprises (SIP-SIE) de Rochefort, au nom du directeur départemental des finances publiques : 1° accomplit tous actes de recouvrement et de procédure contentieuse relatifs : - aux rôles de cotisation foncière des entreprises et à l’ensemble des taxes et impositions figurant sur l’avis d’imposition de cotisation foncière des entreprises émis au titre de l’année d’imposition 2010 et des années suivantes pour le département de Charente-Maritime ; - aux rôles supplémentaires de taxe professionnelle et à l’ensemble des taxes figurant sur l’avis d’imposition de taxe professionnelle mis en recouvrement à compter du 30 novembre 2010 pour le département de Charente-Maritime ; 2° prend, en ce qui concerne les majorations, frais de poursuite et intérêts moratoires liés au recouvrement de la taxe professionnelle les décisions gracieuses de rejet, remise, modération ou transaction, dans la limite de 50 000 euros ;

Article 3 - En cas d’absence du responsable du service des impôts des particuliers et des entreprises, délégation de signature est donnée dans les conditions et limites fixées à l’article 1er à Mme Catherine RIPPES, à Mme Martine EMANUELLI et à M. Denis MOUTON , inspecteurs des finances publiques.

Article 4. - La présente décision sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de Charente-Maritime et affichée dans les locaux du service.

2793 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

A La Rochelle, le 01/09/2011

Dominique SUDRET

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Délégation responsable SIP-SIE SAINT-JEAN D'ANGELY (M. MULLER)

LE DIRECTEUR DEPARTEMENTAL DES FINANCES PUBLIQUES DE LA CHARENTE-MARITIME

ARRETE

Vu le code général des impôts, et notamment les articles 396 A et 410 de son annexe II , Vu le décret n°2008-309 du 3 avril 2008 portant dispositions transitoires relatives à la direction générale des finances publiques, notamment son article 6, Vu le décret n° 2008-446 du 7 mai 2008 portant dispositions transitoires relatives aux conditions de mise en jeu de la responsabilité de certains comptables des services déconcentrés de la DGFIP ; Vu le décret n° 2009-707 du 16 juin 2009 relatif aux services déconcentrés de la direction générale des finances publiques, Vu l’arrêté du 26 mars 2010 portant création de services des impôts des particuliers dans les services déconcentrés de la direction générale des finances publiques, Vu l’arrêté du 7 avril 2010 pris pour l’application de l’article 6 du décret n° 2008-309 du 3 avril 2008 , Vu l'instruction du 13 novembre 2003,

Décide :

Article 1er. - Délégation de signature est donnée à Monsieur Maurice MULLER, inspecteur divisionnaire des finances publiques, responsable du service des impôts des particuliers et du service des impôts des entreprises de Saint Jean d’Angély à l’effet : 1° de prendre des décisions contentieuses d’admission totale, d’admission partielle, de rejet, de dégrèvement ou restitution d’office ou, en ce qui concerne les droits, des décisions gracieuses de rejet, remise ou modération dans la limite de 50 000 euros ; 2° de prendre, en ce qui concerne les pénalités, des décisions gracieuses de rejet, remise, modération ou transaction dans la limite de 50 000 euros ; 3° de prendre des décisions sur les demandes de remise ou de modération portant sur la majoration de recouvrement de 10% prévue par l’article 1730 du code général des impôts, les frais de poursuite ou les intérêts moratoires, dans la limite de 50 000 euros, 4° de statuer sur les demandes de plafonnement en fonction de la valeur ajoutée des cotisations de taxe professionnelle et de contribution économique territoriale, formulées par les entreprises disposant d’un seul établissement ou dont tous les établissements sont situés dans le ressort du service, quel que soit le montant de la demande, 5° de signer les certificats de dégrèvements relatifs aux décisions contentieuses et gracieuses, quel que soit le montant des sommes dégrevées et l’autorité ayant prononcé la décision. 6° de statuer sur les demandes de remboursements de crédit de taxe sur la valeur ajoutée non imputable dans la limite de 50 000 euros.

Article 2 – Monsieur Maurice MULLER, en sa qualité de comptable du service des impôts des particuliers - service des impôts des entreprises (SIP-SIE) de Saint Jean d’Angély, au nom du directeur départemental des finances publiques : 1° accomplit tous actes de recouvrement et de procédure contentieuse relatifs : - aux rôles de cotisation foncière des entreprises et à l’ensemble des taxes et impositions figurant sur l’avis d’imposition de cotisation foncière des entreprises émis au titre de l’année d’imposition 2010 et des années suivantes pour le département de Charente-Maritime ; - aux rôles supplémentaires de taxe professionnelle et à l’ensemble des taxes figurant sur l’avis d’imposition de taxe professionnelle mis en recouvrement à compter du 30 novembre 2010 pour le département de Charente-Maritime ; 2° prend, en ce qui concerne les majorations, frais de poursuite et intérêts moratoires liés au recouvrement de la taxe professionnelle les décisions gracieuses de rejet, remise, modération ou transaction, dans la limite de 50 000 euros ;

Article 3 - En cas d’absence du responsable du service des impôts des particuliers et des entreprises, délégation de signature est donnée dans les conditions et limites fixées à l’article 1er à Mme Marie CHAUDRON et à Mme Yveline GREBOT, inspectrices des finances publiques.

2794 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

Article 4. - La présente décision sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de Charente-Maritime et affichée dans les locaux du service.

A La Rochelle, le 01/09/2011

Dominique SUDRET

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Délégation responsable SIP ROYAN (F. LEPRETRE)

LE DIRECTEUR DEPARTEMENTAL DES FINANCES PUBLIQUES DE LA CHARENTE-MARITIME

ARRETE

Vu le code général des impôts, et notamment les articles 396 A et 410 de son annexe II , Vu le décret n°2008-309 du 3 avril 2008 portant dispositions transitoires relatives à la direction générale des finances publiques, Vu le décret n° 2009-707 du 16 juin 2009 relatif aux services déconcentrés de la direction générale des finances publiques, Vu l’arrêté du 19 novembre 2009 portant création de services des impôts des particuliers dans les services déconcentrés de la direction générale des finances publiques, Vu l'instruction du 13 novembre 2003,

Décide :

Article 1er. - Délégation de signature est donnée à Madame Francine LEPRETRE, inspectrice divisionnaire des finances publiques , responsable du service des impôts des particuliers de Royan à l’effet :

1° de prendre des décisions contentieuses d’admission totale, d’admission partielle, de rejet, de dégrèvement ou restitution d’office ou, en ce qui concerne les droits, des décisions gracieuses de rejet, remise ou modération dans la limite de 50 000 euros ;

2° de prendre, en ce qui concerne les pénalités, des décisions gracieuses de rejet, remise, modération ou transaction dans la limite de 50 000 euros ;

3° de prendre des décisions sur les demandes de remise ou de modération portant sur la majoration de recouvrement de 10% prévue par l’article 1730 du code général des impôts, les frais de poursuite ou les intérêts moratoires, dans la limite de 50 000 euros, et à l'effet de signer les certificats de dégrèvements relatifs aux décisions contentieuses et gracieuses, quel que soit le montant des sommes dégrevées et l’autorité ayant prononcé la décision.

Article 2. En cas d’absence du responsable du service des impôts des particuliers, délégation de signature est donnée dans les conditions et limites fixées à l’article 1er à M. Jean-Louis OSTENNE et M. Joseph PEREZ , inspecteurs des finances publiques et Mme Agnès BEAUPIED, inspectrice divisionnaire des finances publiques.

Article 3. - La présente décision sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de Charente-Maritime et affichée dans les locaux du service.

A La Rochelle, le 01/09/2011

Dominique SUDRET

2795 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

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Délégation responsable SIP SAINTES (D. STRICH)

LE DIRECTEUR DEPARTEMENTAL DES FINANCES PUBLIQUES DE LA CHARENTE-MARITIME

ARRETE

Vu le code général des impôts, et notamment les articles 396 A et 410 de son annexe II , Vu le décret n°2008-309 du 3 avril 2008 portant dispositions transitoires relatives à la direction générale des finances publiques, Vu le décret n° 2009-707 du 16 juin 2009 relatif aux services déconcentrés de la direction générale des finances publiques, Vu l’arrêté du 19 novembre 2009 portant création de services des impôts des particuliers dans les services déconcentrés de la direction générale des finances publiques, Vu l'instruction du 13 novembre 2003,

Décide :

Article 1er. - Délégation de signature est donnée à Madame Danielle STRICH, inspectrice divisionnaire des finances publiques, responsable du service des impôts des particuliers de Saintes à l’effet :

1° de prendre des décisions contentieuses d’admission totale, d’admission partielle, de rejet, de dégrèvement ou restitution d’office ou, en ce qui concerne les droits, des décisions gracieuses de rejet, remise ou modération dans la limite de 50 000 euros ;

2° de prendre, en ce qui concerne les pénalités, des décisions gracieuses de rejet, remise, modération ou transaction dans la limite de 50 000 euros ;

3° de prendre des décisions sur les demandes de remise ou de modération portant sur la majoration de recouvrement de 10% prévue par l’article 1730 du code général des impôts, les frais de poursuite ou les intérêts moratoires, dans la limite de 50 000 euros, et à l'effet de signer les certificats de dégrèvements relatifs aux décisions contentieuses et gracieuses, quel que soit le montant des sommes dégrevées et l’autorité ayant prononcé la décision.

Article 2. En cas d’absence du responsable du service des impôts des particuliers, délégation de signature est donnée dans les conditions et limites fixées à l’article 1er à Mme Annie CHARRON et Mme Nathalie BRUNETEAU-SPRANG, inspectrices des finances publiques.

Article 3. - La présente décision sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de Charente-Maritime et affichée dans les locaux du service.

A La Rochelle le 01/09/2011

Dominique SUDRET

(Le texte intégral du(des) arrêté(s) ci-dessus inséré(s) peut être consulté au service "Direction départementale des Finance Publiques") ______

2796 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

1.10. Direction Départementale des territoires et de la mer

RN 10 - charente-maritime

LE PREFET DE LA CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

ARTICLE PREMIER – Dispositions générales Le présent arrêté annule et remplace l’arrêté préfectoral n° 08-582 du 18 février 2008.

ARTICLE 2 – Vitesse maximale autorisée La vitesse maximale autorisée des véhicules, véhicules articulés, trains doubles ou ensembles de véhicules dont le poids total autorisé en charge ou le poids total roulant autorisé est supérieur à 3,5 tonnes est fixée à 80km/h du PR 0+000 au PR 19+762 sur la RN 10 dans le département de la Charente-Maritime, dans les deux sens de circulation.

ARTICLE 3 – Interdiction de dépasser Il est interdit aux véhicules, véhicules articulés, trains doubles ou ensembles de véhicules dont le poids total autorisé en charge ou le poids total roulant autorisé est supérieur à 3,5 tonnes, de dépasser tous les véhicules à moteur autres que ceux à deux roues sans side-car, du PR 0+000 au PR 19+762 sur la RN10 dans le département de la Charente- Maritime, dans les deux sens de circulation.

ARTICLE 4 – Une signalisation réglementaire, conforme aux dispositions de l’instruction interministérielle précitée - quatrième partie - signalisation de prescription, sera mise en place, à la charge de la direction interdépartementale des routes Atlantique.

ARTICLE 5 – Les dispositions définies ci-dessus prendront effet le 30 septembre 2011 à 6h00.

ARTICLE 6 – · M. le secrétaire général de la préfecture de la Charente-Maritime, · M. le directeur régional de l'environnement, de l'aménagement et du logement de Poitou-Charentes, · M. le directeur interdépartemental des routes Atlantique, · M. le directeur départemental des territoires et de la mer de la Charente Maritime, · M. le commandant du groupement de gendarmerie départementale de la Charente Maritime, · M. le directeur du centre régional d'information et de coordination routière du Sud-Ouest, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Charente-Maritime.

Fait à La Rochelle, le

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RD150/RD731

Arrêté conjoint modification du régime de priorité

commune de Saint-Hilaire de Villefranche

LE PREFET DE LA CHARENTE-MARITIME

2797 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article premier : En agglomération, à l’intersection formée par la RD 150. (PR :00+000), voie classée à grande circulation, et la RD 731, tout conducteur circulant sur cette dernière devra marquer un temps d’arrêt à la limite de la chaussée abordée (régime « stop »). Il devra ensuite céder le passage aux véhicules circulant sur la RD 150 et ne s’y engager qu’après s’être assuré qu’il peut le faire sans danger.

Article 2 : Les prescriptions imposées par le présent arrêté seront signalées aux usagers par une signalisation conforme à l’instruction interministérielle sur la signalisation routière approuvée par arrêté successifs.

Article 3 : Le présent arrêté sera affiché dans la commune de Saint-Hillaire-de-Villefranche par les soins de monsieur le maire.

Article 4 : - Monsieur le maire de Saint-Hillaire-de-Villefranche, - Monsieur le président du conseil général de la Charente-Maritime, - Monsieur le commandant du groupement de gendarmerie de la Charente-Maritime, sont chargés, chacun en ce qui les concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au registre des actes administratifs du département de la Charente-Maritime.

Saint-Hillaire-de-Villefranche, le La Rochelle le 7/09/2011

Le Maire Saint-Hillaire-de-Villefranche, Le Directeur de Cabinet, Bruno Cassette

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Arrêté modifiant le territoire cynégétique de l'Association Communale de Chasse Agréée de ANDILLY

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

ARTICLE 1 : Sont exclues du territoire cynégétique de l’Association Communale de Chasse Agréée de Andilly, les parcelles ci-dessous cadastrées :

Identité de l’opposant Section cadastrale N° des parcelles Surface Type de l’opposition Monsieur et Madame LEONARD A 13 5 ha 15 a 00 ca Gibier d’eau

ARTICLE 2 : Les présentes dispositions seront applicables à compter de la date de publication du présent arrêté.

ARTICLE 3 : Le présent arrêté peut faire l’objet, dans le délai de 2 mois à compter de la date de notification, d’un recours gracieux auprès du Préfet et/ou d’un recours contentieux auprès du Tribunal Administratif de Poitiers. L’éventuel recours gracieux n’interrompt pas le délai de recours contentieux.

ARTICLE 4 : Le Secrétaire Général de la Préfecture de la Charente Maritime, le sous-préfet, le Directeur Départemental des territoires et de la Mer, Le colonel, commandant le Groupement de Gendarmerie de Charente Maritime, Le Chef du Service départemental de l'Office National de la Chasse et de la Faune Sauvage, Le Président de la Fédération des Chasseurs de la Charente Maritime, Le Président de l’ACCA de Andilly sont chargés de l'exécution du présent arrêté qui sera publié au Recueil des Actes Administratifs. Une copie sera affichée en mairie et une adressée au propriétaire.

A La Rochelle, le 20 septembre 2011

LA PREFETE, Pour la Préfète et par délégation, Pour le Directeur Départemental Des Territoires et de la Mer,

2798 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

Le responsable de l'Unité Milieux et Biodiversité

Yann FONTAINE

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Arrêté interpréfectoral du 20 septembre 2011 autorisant le renouvellement d'une zone de mouillages au lieu-dit "Les Saumonards" à Saint-Georges-d'Oléron

LA PRÉFÈTE DE LA CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d’Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1er - L'autorisation d'organiser une zone de mouillages et d'équipements légers entraînant une occupation temporaire du domaine public maritime de 10 ha est accordée à la SARL Marine NLBO. La période d'occupation du site se situe entre le 1er avril et le 31 octobre

Article 2 – Définition de la zone

Cette zone est représentée sur le plan joint en annexe. Elle se situe au large de la plage de Boyardville, entre l'anse du Cavalier et la pointe des Saumonards.

L'aire d'implantation devra être balisée par des bouées jaunes passives de marque spéciale. La position géographique inscrite sur le plan est la suivante :

A - 45° 58'51.2078'' N 1° 13'56.9617'' W

B – 45° 58'50.6028'' N 1° 13'42.9823'' W

C – 45° 58'39.9415'' N 1° 13'43.2928'' W

D – 45° 58'40.4078'' N 1° 13'57.7416'' N

L'éclairage des deux poubelles flottantes mises à disposition des navigateurs devra être remplacé par des bandes rétrofléchissantes blanches de classe 2 sur le pourtour des poubelles.

Article 3 – Objet

Cette autorisation est consentie en vue de l'aménagement, de l'organisation et de la gestion d'une zone de mouillages et d'équipements légers destinée à l'accueil et au stationnement des navires de plaisance. Elle comprend 60 mouillages sur une surface de 10 ha.

Durant le temps de cette autorisation, les installations et équipements ci-dessus définis restent propriété du bénéficiaire et ne doivent pas entraîner une modification irréversible du site.

Article 4 – Durée

L'autorisation d'occupation temporaire est accordée pour une durée de 15 ans à compter de la date de notification de l'arrêté.

À l'issue de cette période, elle peut être renouvelée, sur demande formelle du bénéficiaire. Le refus de renouvellement n'ouvre droit à aucune indemnité.

2799 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

Article 5 – Exécution – Entretien

Le bénéficiaire maintiendra en bon état les installations autorisées ainsi que le balisage, et il assurera la sécurité et la salubrité des lieux, notamment l'évacuation des déchets et l'installation d'un container à ordures.

Le bénéficiaire est responsable de tout dommage causé par la mise en place et l'exploitation des ouvrages et outillages.

Il doit contracter une assurance couvrant sa responsabilité civile en raison des dommages que ces installations peuvent causer aux tiers.

Il n'est admis à formuler aucune réclamation au sujet de la consistance et des dispositions du terrain et des ouvrages existants qu'il est censé bien connaître. Il fait son affaire personnelle de toutes les autorisations administratives nécessaires.

Le bénéficiaire ne saurait se prévaloir de cette autorisation pour demander le ramassage des algues d'échouage afin de faciliter le seul accès à la mer et aux annexes.

Article 6 – Sous-traitance

Le bénéficiaire peut, avec l'agrément préalable du directeur départemental des Territoires et de la Mer, sous-traiter à un tiers l'exploitation de tout ou partie des équipements de mouillage, mais demeure personnellement responsable envers l'administration et envers les tiers de l'accomplissement des obligations du présent arrêté.

Article 7 – Accès au public

Le bénéficiaire, ou le gestionnaire, propose les services de la zone de mouillages aux usagers sous la forme de contrats dont les conditions générales et les tarifs sont visiblement affichés.

Il est tenu de mettre à disposition en permanence et d'entretenir à ses frais 25 % des mouillages qui sont réservés aux bateaux de passage. Les usagers y sont admis dans l'ordre de leur inscription préalable ou à défaut dans l'ordre de leur arrivée.

Le bénéficiaire est habilité à percevoir des usagers une redevance pour services rendus.

Article 8 – Redevance domaniale

L'autorisation accordée pour occuper le domaine public maritime donne lieu à la perception, au profit du Trésor, d'une redevance domaniale.

Pour l'année 2011, la redevance annuelle pour 60 mouillages est de 3 420 €.

La redevance est payable en une seule fois à réception de l'avis de redevance. La redevance est révisable chaque année.

Article 9 – Règlement de police

Un règlement de police est établi pour l'exécution du présent arrêté. Il comprend notamment les prescriptions nécessaires pour assurer la sécurité des personnes et des biens et la protection de l'environnement.

Il est porté à la connaissance des usagers et du public par voie d'affiches apposées à proximité de la zone de mouillages, à des emplacements agréés par l'autorité chargée du contrôle.

Le règlement est imprimé et diffusé aux frais du bénéficiaire et un exemplaire en est remis à chaque utilisateur d'un poste de mouillage.

Article 10 – Obligations du pétitionnaire

Un mois au plus tard après notification qui lui est faite de cet arrêté, le titulaire de l'autorisation ou le gestionnaire adressera à la direction départementale des Territoires et de la Mer ( délégation Mer et Littoral ) les consignes précisant à l'égard des usagers les conditions d'utilisation des ouvrages, installations et services, les règles prises pour la lutte contre l'incendie, ainsi que les mesures relatives à la conservation et à la propreté du plan d'eau et à la protection des navires et embarcations.

Article 11 – Fin de l'autorisation

L'autorisation est délivrée à titre précaire et pourra être retirée à charge d'indemnité, dans l'intérêt du domaine ou pour des motifs d'intérêt général.

2800 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

Elle peut être également retirée, sans indemnité, en cas d'inexécution des obligations fixées par le décret du 22 octobre 1991 ou par le présent arrêté.

Elle est résiliée de plein droit sans indemnité s'il n'en a pas été fait usage dans un délai d'un an ou en cas de liquidation judiciaire, de décès du titulaire ou de dissolution s'il s'agit d'une personne morale.

Elle s'éteint à son terme.

Sauf convention contraire, les équipements doivent être démontés à la fin de l'autorisation et les lieux remis en état sans indemnité et aux frais du bénéficiaire.

En cas de non-exécution des travaux de démolition, il peut y être pourvu d'office aux frais du titulaire de l'autorisation, après mise en demeure restée san effet dans le délai qu'elle a fixé. Le titulaire de l'autorisation demeure responsable des ouvrages et installations jusqu'à leur démolition complète ou leur remise à l'administration.

Article 12 - Le secrétaire général de la préfecture de Charente-Maritime, le préfet Maritime de l’Atlantique, le directeur départemental des Territoires et de la Mer et le directeur départemental des Finances publiques sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera affiché en mairie et publié au recueil des actes administratifs de la préfecture.

Le Préfet maritime de l’Atlantique et par délégation, Le Directeur départemental des Territoires et de la mer adjoint, délégué à la mer et au littoral de Charente-Maritime (AP du 1er septembre 2011)

Christian LE COZ La Rochelle, le 20 septembre 2011

Pour la Préfète de la Charente-Maritime Le Secrétaire Général Julien CHARLES

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Arrêté interpréfectoral du 20 septembre 2011 autorisant le renouvellement d'une zone de mouillages au lieu-dit "La Menounière" sur la commune de Saint-Pierre-d'Oléron

LA PRÉFÈTE DE LA CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d’Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1er - L'autorisation d'organiser une zone de mouillages et d'équipements légers entraînant une occupation temporaire du domaine public maritime de 5,1 ha est accordée à l'association des usagers du Cleune. La période d'occupation du site se situe entre le 1er avril et le 31 octobre de chaque année

Article 2 – Définition de la zone

Cette zone est située entre l'écluse de Neuve et l'écluse du Prioulet sur le littoral ouest de Saint-Pierre-d'Oléron.

2801 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

L'aire d'implantation est délimitée par deux bouées jaunes qui indiquent les limites de la zone de mouillages sur la plage et deux espars matérialisent les limites nord de la zone. Leurs coordonnées sont indiquées sur un des plans annexés au présent arrêté.

Article 3 – Objet

Cette autorisation est consentie en vue de l'aménagement, de l'organisation et de la gestion d'une zone de mouillages et d'équipements légers destinés à l'accueil et au stationnement des navires de plaisance. Elle comprend 55 mouillages sur une surface de 5,1 ha.

Durant le temps de cette autorisation, les installations et équipements ci-dessus définis restent propriété du bénéficiaire et ne doivent pas entraîner une modification irréversible du site.

Article 4 – Durée

L'autorisation d'occupation temporaire est accordée pour une durée de 15 ans à compter de la date de notification de l'arrêté.

À l'issue de cette période, elle peut être renouvelée, sur demande formelle du bénéficiaire. Le refus de renouvellement n'ouvre droit à aucune indemnité.

Article 5 – Exécution – Entretien

Le bénéficiaire maintiendra en bon état les installations autorisées ainsi que le balisage, et il assurera la sécurité et la salubrité des lieux, notamment l'évacuation des déchets et l'installation d'un container à ordures.

Le bénéficiaire est responsable de tout dommage causé par la mise en place et l'exploitation des ouvrages et outillages.

Il doit contracter une assurance couvrant sa responsabilité civile en raison des dommages que ces installations peuvent causer aux tiers.

Il n'est admis à formuler aucune réclamation au sujet de la consistance et des dispositions du terrain et des ouvrages existants qu'il est censé bien connaître. Il fait son affaire personnelle de toutes les autorisations administratives nécessaires.

Le bénéficiaire ne saurait se prévaloir de cette autorisation pour demander le ramassage des algues d'échouage afin de faciliter le seul accès à la mer et aux annexes.

Article 6 – Sous-traitance

Le bénéficiaire peut, avec l'agrément préalable du directeur départemental des Territoires et de la Mer, sous-traiter à un tiers l'exploitation de tout ou partie des équipements de mouillage, mais demeure personnellement responsable envers l'administration et envers les tiers de l'accomplissement des obligations du présent arrêté.

Article 7 – Accès au public

Le bénéficiaire, ou le gestionnaire, propose les services de la zone de mouillages aux usagers sous la forme de contrats dont les conditions générales et les tarifs sont visiblement affichés. Il est tenu de mettre à disposition en permanence et d'entretenir à ses frais 25 % des mouillages qui sont réservés aux bateaux de passage. Les usagers y sont admis dans l'ordre de leur inscription préalable ou à défaut dans l'ordre de leur arrivée.

Le bénéficiaire est habilité à percevoir des usagers une redevance pour services rendus.

Article 8 – Redevance domaniale

L'autorisation accordée pour occuper le domaine public maritime donne lieu à la perception, au profit du Trésor, d'une redevance domaniale.

Les tarifs applicables en 2010, comme en 2011, sont de 57 € par mouillages. Cette redevance annuelle est révisable par la direction départementale des Finances publiques de la Charente-maritime, division Domaine, au premier février de chaque année et payable d'avance.

Article 9 – Règlement de police

2802 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

Un règlement de police est établi pour l'exécution du présent arrêté. Il comprend notamment les prescriptions nécessaires pour assurer la sécurité des personnes et des biens et la protection de l'environnement.

Il est porté à la connaissance des usagers et du public par voie d'affiches apposées à proximité de la zone de mouillages, à des emplacements agréés par l'autorité chargée du contrôle.

Le règlement est imprimé et diffusé aux frais du bénéficiaire et un exemplaire en est remis à chaque utilisateur d'un poste de mouillage.

Article 10 – Obligations du pétitionnaire

Un mois au plus tard après notification qui lui est faite de cet arrêté, le titulaire de l'autorisation ou le gestionnaire adressera à la direction départementale des Territoires et de la Mer ( délégation Mer et Littoral ) les consignes précisant à l'égard des usagers les conditions d'utilisation des ouvrages, installations et services, les règles prises pour la lutte contre l'incendie, ainsi que les mesures relatives à la conservation et à la propreté du plan d'eau et à la protection des navires et embarcations.

Article 11 – Fin de l'autorisation

L'autorisation est délivrée à titre précaire et pourra être retirée à charge d'indemnité, dans l'intérêt du domaine ou pour des motifs d'intérêt général.

Elle peut être également retirée, sans indemnité, en cas d'inexécution des obligations fixées par le décret du 22 octobre 1991 ou par le présent arrêté.

Elle est résiliée de plein droit sans indemnité s'il n'en a pas été fait usage dans un délai d'un an ou en cas de liquidation judiciaire, de décès du titulaire ou de dissolution s'il s'agit d'une personne morale.

Elle s'éteint à son terme.

Sauf convention contraire, les équipements doivent être démontés à la fin de l'autorisation et les lieux remis en état sans indemnité et aux frais du bénéficiaire.

En cas de non-exécution des travaux de démolition, il peut y être pourvu d'office aux frais du titulaire de l'autorisation, après mise en demeure restée san effet dans le délai qu'elle a fixé.

Le titulaire de l'autorisation demeure responsable des ouvrages et installations jusqu'à leur démolition complète ou leur remise à l'administration.

Article 12 - Le secrétaire général de la préfecture de Charente-Maritime, le préfet Maritime de l’Atlantique, le directeur départemental des Territoires et de la Mer et le directeur départemental des Finances publiques sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera affiché en mairie et publié au recueil des actes administratifs de la préfecture.

Le Préfet maritime de l’Atlantique et par délégation, ( AP du 1er septembre 2011 )

Le Directeur départemental des Territoires et de la mer adjoint, délégué à la mer Christian LE COZ La Rochelle, le 20 septembre 2011

Pour la Préfète Le Secrétaire Général Julien CHARLES

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2803 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

Arrêté portant nomination des membres de la Commission Départementale d'Orientation de l'Agriculture

La PREFETE de la CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d'Honneur, Officier de l'Ordre National du Mérite

ARRETE

ARTICLE 1 : La Commission Départementale d'Orientation de l'Agriculture est composée des membres désignés ci-après : - La Préfète ou son représentant, Présidente de la Commission, - La Présidente du Conseil Régional ou son représentant, - Le Président du Conseil Général ou son représentant, - Le Président de l'Agglomération Royan Atlantique ou son représentant, - Le Directeur Départemental des Territoires et de la Mer ou son représentant, - Le Directeur Départemental des Finances Publiques ou son représentant, - Le Président de la Caisse de Mutualité Sociale Agricole des Charentes ou son représentant.

- Représentants de la Chambre d’Agriculture - Hors Sociétés Coopératives Agricoles : M. Luc SERVANT suppléants : M. Michel RENOULEAU M. Christophe FORGET M. Sylvain PERRIER suppléants : M. Laurent OCTEAU M. Francis RENAUD - Au titre des Sociétés Coopératives Agricoles : M. Jean-Michel SOLEAU suppléants : M. Frédéric JAFFRES M. Cédric TRANQUARD - Représentants des activités de transformation des produits de l’agriculture - Coopératives : M. Daniel BENETEAUD suppléants M. Louis AUVRAY M. Jacques DRUAUD - Entreprises agroalimentaires non coopératives : M. Christian D’AMBRIERE suppléants : M. Alain ROUIL M. Jérôme LANDRIAU - Représentants des organisations syndicales d'exploitants agricoles : - Fédération Nationale des Syndicats d'Exploitants Agricoles Charente-Maritime (F.N.S.E.A. 17) M. François AVRARD suppléants : M. Michel AMBLARD M. Jean-Louis PIERROIS M. Daniel TARDET suppléants : M. Bernard DUBOIS M. Valéry BOUYER M. Jean-Jacques GAUCHER suppléants : M. Patrice RAINJONNEAU M. David SAILLANT - Jeunes Agriculteurs Charente-Maritime (J.A. 17) M. Jean-Marc MARTIN suppléants : M. Olivier BAYOU M. Adrien LOURADOUR M. Dimitri BOUJU suppléants : M. Cédric TRANQUARD M. Laurent NEZEREAU - Coordination Rurale Charente-Maritime (C.R. 17) M. Thierry BOUCARD suppléants : M Alain GANDOUET M. Sébastien DE LA FORGE M. Vincent TOURNE suppléants : M. Gérard LAFOND M. Jean-Luc THOMAS M. Stéphane PALISSIER

2804 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

suppléants : M. Daniel DAVID M. Guillaume DEFOIS - Représentant des salariés agricoles M. Michel PENAUD (CGT agriculture) suppléants : M. André MARET M. Philippe LAROCHE - Représentants de la distribution des produits agroalimentaires M. Bruno CAILLAUD - Coopérative Atlantique Saintes suppléants : M. Jean-Pierre ISIDORE, membre de la C.C.I. Rochefort M. Jean-Francis THIAULT - Coopérative Atlantique SAINTES M. Yves TOUBLANC, Président de la Fédération de la Boulangerie suppléants : M. Gérard MONTHUBERT, boucher-charcutier M. Christian LACAUD, charcutier - Représentant du financement de l'agriculture M. Serge PIEFORT - CRCAM Charente-Maritime - Deux-Sèvres Suppléants : Mme Valérie ARRIGNON - CRCAM Charente-Maritime - Deux-Sèvres M. Eric TRAIN - Crédit Mutuel Agricole et Rural Océan - Représentant des fermiers et métayers M. Patrice FROUIN suppléants : M. Christophe DEDOUCHE M. Jean FOUCHER - Représentant des propriétaires agricoles M. Henri BONNET suppléants : M. Jean-Claude PACAUD M. Dominique BOUTIN - Représentant de la propriété forestière M. Patrice JOLLY suppléants : Mme Catherine ALLAIN M. Emmanuel BENOIT du REY - Représentants d'associations agréées pour la protection de l'environnement M. Michel METAIS, au titre de la L.P.O. suppléants : Mme Sophie RASPAIL, au titre de la L.P.O. M. Jean-Yves PIEL, au titre de "Nature Environnement 17" M. Michel ROLLIER - Fédération Départementale des Chasseurs suppléants : M. Jean-Pierre POINOT - Fédération Départementale des chasseurs M. Jean-Paul GIRARD - Fédération Départementale pour la Pêche et la Protection du Milieu Aquatique - Représentant de l'artisanat Mme Véronique HEINGLE suppléants : M. Philippe GABORIAUD, mécanicien agricole M. Jean DOIGNON, imprimeur - Représentant des consommateurs Mme Marie-José VAN DEN DRIESSCHE, au titre de l’Union Départementale des Associations Familiales (UDAF) suppléants : M. Joseph MERCERON, au titre de l'UDAF Mme Claudine GUERIN, au titre de l'UDAF - Personnes qualifiées M. Etienne MOREL M. Pascal MORILLON

ARTICLE 2 : La durée du mandat des membres non désignés ès-qualité est fixée à trois ans.

ARTICLE 3 : L'arrêté préfectoral susvisé du 4 juillet 2006 et les arrêtés modificatifs s'y référant sont abrogés.

ARTICLE 4 : Le Secrétaire Général de la Préfecture et le Directeur Départemental des Territoires et de la Mer sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté qui sera publié au Recueil des Actes Administratifs.

LA ROCHELLE, le 22 septembre 2011

La Préfète, Signé : Béatrice ABOLLIVIER

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2805 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

Arrêté limitant provisoirement les prélèvements d'eau douce pour le remplissage des mares de tonne de chasse

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

Article 1 : REMPLISSAGE DES MARES DE TONNE INTERDIT

Conformément à l'article 5.2 de l'arrêté n°818 quarter du 04 avril 2011, le remplissage et la remise à niveau des mares de tonne en eau douce sont interdits dans les bassins suivant :

BASSINS Curé et Sèvre Niortaise Antenne et Rouzille Lary et Palais Fleuve Charente

Article 2 : REMPLISSAGE DES MARES DE TONNE AUTORISE

Conformément à l'article 5.2 de l'arrêté n°818 quarter du 04 avril 2011,

- le remplissage et la remise à niveau des mares de tonne en eau douce sont autorisés dans la limite d'une surface inférieure à 1 ha par mare dans les bassins suivants :

BASSINS Mignon Seugne Boutonne et affluents Marais de Rochefort Nord Marais de Rochefort Sud Seudre Marais bord de Gironde Nord Marais bord de Gironde Sud

- le remplissage et la remise à niveau des mares de tonne en eau douce sont autorisés sans limitation

BASSINS Dronne aval

Article 3 : DUREE D’APPLICATION

Les présentes dispositions sont applicables à compter du 26 septembre 2011 à 20 heures.

Article 4 : ABROGATION

L'arrêté préfectoral n° 11-2987 du 9 septembre 2011 est abrogé à la date d'application du présent arrêté précisée à l'article 3.

Article 5 : SANCTIONS

Tout contrevenant aux dispositions du présent arrêté s’expose à la peine d’amende prévue à l’article R216-9 du code de l'environnement.

Article 6 : RECOURS

2806 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

Le présent arrêté peut faire l’objet, dans le délai de 2 mois à compter de la date de notification, d’un recours gracieux auprès du Préfet et/ou d’un recours contentieux auprès du Tribunal Administratif de Poitiers. L’éventuel recours gracieux n’interrompt pas le délai de recours contentieux.

Article 7 : EXECUTION

Le Secrétaire Général de la Préfecture, les Sous-Préfets de JONZAC, ROCHEFORT, SAINTES, ST JEAN-D'ANGELY, le Commandant du Groupement de Gendarmerie de la Charente-Maritime, le Délégué Inter Services de l'Eau, le Directeur Départemental de la Sécurité Publique, les Maires du département, le Directeur Départemental des Territoires et de la Mer, le responsable départemental de l'Office National de l'Eau et des Milieux Aquatiques, le responsable départemental de l'Office National de la Chasse et de la Faune Sauvage, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture de la Charente- Maritime, affiché en mairies et adressé pour information aux préfets coordonnateurs des bassins Loire-Bretagne et Adour-Garonne.

Fait à La Rochelle, le 23 septembre 2011 La Préfète,

Béatrice ABOLLIVIER

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ARRETÉ RELATIF A LA MISE EN PLACE D'UN PROGRAMME D'INTÉRÊT GÉNÉRAL SUR LE TERRITOIRE DE LA COMMUNE DE LA ROCHELLE

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE Article 1er Est considérée comme constituant un programme d'intérêt général au sens du Code de la construction et de l'habitation : l'amélioration des immeubles ou des logements appartenant à des propriétaires bailleurs privés, et notamment ceux destinés à la production de logements à loyers conventionnés au titre de l'article L.321-4 (loyers intermédiaires sans aide personnalisée au logement) et au titre de l'article L.321-8 (convention à loyer social ou très social ouvrant droit à l'aide personnalisée au logement) du Code de la construction et de l'habitation,

Article 2 Le périmètre de ce programme d'intérêt général couvre le centre ancien protégé de la commune de La Rochelle, dont le plan figure au protocole d'accord.

Article 3 Les dispositions du présent arrêté prennent effet à compter de la date de signature du protocole et jusqu'au 31 décembre 2012.

Article 4 Le Secrétaire Général de la Préfecture de la Charente-Maritime, le Directeur Départemental des Territoires et de la Mer et le Délégué de l'Agence dans le département, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’application du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Charente-Maritime.

La Rochelle, le 23 sept 2011 La préfète, Béatrice Abollivier

2807 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

(Le texte intégral du(des) arrêté(s) ci-dessus inséré(s) peut être consulté au service "Direction Départementale des territoires et de la mer") ______

1.11. Direction Départementale protection des populations

arrêté portant subdélégation de signature de Monsieur Jean-Michel EMERIQUE

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

ARTICLE 1ER : En cas d’absence ou d’empêchement de Monsieur Jean-Michel EMERIQUE, les délégations de signature qui sont conférées par l’article 1er de l’arrêté préfectoral susvisé, seront exercées par :

- le Dr Valérie CAMPOS, inspecteur en chef de la santé publique vétérinaire, pour la totalité des décisions énumérées à l’article 1er

En cas d‘absence ou d’empêchement simultané de M. Jean-Michel EMERIQUE et de Mme Valérie CAMPOS, délégation est donnée, à chacun dans son domaine de compétences, à :

- Dr Virginie BRUYERE, inspecteur en chef de la santé publique vétérinaire, pour l’ensemble des matières énumérées à l’article 1er chapitre II « Mesures relatives aux établissements, aux produits et aux services », paragraphes 4 à 13 et 17;

- Monsieur Patrick TOULOU, inspecteur principal de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes, pour l’ensemble des matières énumérées à l’article 1er chapitre II « Mesures relatives aux établissements, aux produits et aux services », paragraphes 1 à 3 et paragraphes 14 et 15;

- Dr Catherine NICOLLET, inspecteur de la santé publique vétérinaire, pour l’ensemble des matières énumérées à l’article 1er chapitre II « Mesures relatives aux établissements, aux produits et aux services », paragraphes 4 à 13 et paragraphe 16 et 17;

- Dr Laurence DURRIEU-CHAUMETTE, inspecteur de la santé publique vétérinaire, pour les matières énumérées à l’article 1er chapitre II « Mesures relatives aux établissements, aux produits et aux services », paragraphes de 4 à 13 et 17;

- Madame Annette ROSSARD, attachée principale d’administration, secrétaire générale de la DDPP, pour ce qui concerne les matières énumérées à l’article 1er chapitre I relative à l’administration générale.

ARTICLE 2 : La Préfète de la Charente-Maritime et le directeur départemental de la protection des populations de Charente-Maritime sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture.

ARTICLE 3 : L’arrêté N° 11-00008 du 4 juillet 2011 portant subdélégation de signature de Monsieur Jean-Michel EMERIQUE est abrogé.

2808 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

La Rochelle, le 16 septembre 2011

Pour La Préfète et par délégation, le directeur départemental de la protection des populations

Jean-Michel EMERIQUE

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portant autorisation d'organiser une épreuve de motocross dénommée « Motocross des Nations » sur le circuit situé sur la commune de Mazeray,

au lieu dit « le Puy de Poursay »,les 17 et 18 septembre 2011

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

ARTICLE 1 : Monsieur Jean-Marie BOISSONNOT, Président du Moto-Club Angérien, est autorisé à organiser une épreuve de motocross dénommée « Moto Cross des Nations », les 17 et 18 septembre 2011 sur le circuit situé sur la commune de Mazeray, au lieu dit “ Puy de Poursay”, ci-annexé.

Le(s) document(s) annexé(s) est/sont consultable(s) à l’adresse suivante : Direction Départementale de la Protection des Populations Service de la Protection du Consommateur 2 av. de Fétilly CS 40263 17012 LA ROCHELLE Cédex 1

ARTICLE 2 : Cette autorisation est accordée sous réserve du respect des éléments figurant au dossier et de la stricte observation des mesures suivantes :

Samedi 17 septembre *Essais libres à partir de 10 h 00 Courses de qualification à partir de 14 h 20

Dimanche 18 septembre « Warm up » à partir de 8 h 40 Courses à partir de 10 h 50 a) dispositif de sécurité : - Des commissaires de course en nombre suffisant, munis de brassards et de fanions, auront la charge d'assurer la sécurité des concurrents et des spectateurs. - La protection du public sera assurée par la mise en place d’une protection grillagée. - Le parc des concurrents sera clos et interdit au public. - Le nombre maximum de concurrents autorisés sur la piste est de 40. - Le stationnement des véhicules devra être assuré en dehors du domaine routier communal et départemental. - La circulation sera réglementée par les autorités territoriales compétentes. - Le plan spécifique de circulation établi pour les manifestations regroupant plus de 10 000 personnes sur le site sera activé. - la circulation des mini motos est interdite dans les zones réservées au public

2809 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011 b) dispositif de secours : - service médical : ( 5 médecins) - responsable Dr Alexandre LESAGE - Ambulances: ( 2 ) ADPC 17 - Secouristes (65 ) : ADPC 17 - Extincteurs : 30 Les numéros d’appel des secours 15-18 ou 112 devront être affichés. Le SAMU 17, le Centre Hospitalier et le Centre de Secours de Saintes devront être avertis par les organisateurs du déroulement de la manifestation. c) Tranquillité Publique Il est interdit de faire fonctionner des moteurs « individuels détachés », après 23 h.

ARTICLE 3 : La fourniture du dispositif de sécurité et de protection du public sera assurée par l'organisateur.

ARTICLE 4 : M. Jean Marie BOISSONNOT, Président du Moto Club Angérien, organisateur technique, ou son représentant dûment mandaté en cas d’empêchement, procédera les 17 et 18 septembre 2011, avant le départ des épreuves, à une reconnaissance du circuit et attestera de sa conformité tant au regard du règlement fédéral qu’aux prescriptions du présent arrêté. Un exemplaire de l’attestation jointe en annexe sera remis ou adressé à la Gendarmerie nationale et l’autre exemplaire sera transmis directement à Direction Départementale de la Protection des Populations ( service de la protection du consommateur).

ARTICLE 5 : L’autorisation peut être suspendue ou rapportée à tout moment s’il apparaît que les conditions de sécurité ne se trouvent plus réunies ou que l’organisateur, malgré la mise en demeure qui lui en est faite par l’autorité administrative, ne respecte plus ou ne fait plus respecter par les participants et les spectateurs les dispositions prévues par le règlement particulier de la manifestation en vue de leur protection.

ARTICLE 6 : L’organisateur est débiteur envers l’Etat et les collectivités territoriales des redevances représentatives du coût de la mise en place du service d’ordre particulier nécessaire pour assurer la sécurité des spectateurs et de la circulation lors du déroulement de la manifestation ainsi que, le cas échéant, de sa préparation et des essais.

ARTICLE 7 : L’organisation de cette manifestation est également subordonnée à la décision de la Commission Départementale de Sécurité contre les Risques d’Incendie et de Panique.

ARTICLE 8 : En aucun cas la responsabilité de l’administration ne pourra être engagée et aucun recours ne pourra être exercé contre elle.

ARTICLE 9 : Le Secrétaire Général de la Préfecture, Le Directeur Départemental de la Protection des Populations, Le Sous-Préfet de St Jean d’Angély, Le Président du Conseil Général, Le Maire de Mazeray, Le Colonel, Commandant le Groupement de Gendarmerie de la Charente-Maritime, Le Directeur Départemental du Service Incendie et Secours, Le Directeur de la Santé Publique – ARS Poitou-Charentes, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Charente-Maritime et dont une copie sera adressée à l'organisateur.

La Rochelle, le 16 septembre 2011

La Préfète, Pour la Préfète et par délégation, Le Secrétaire Général,

Julien CHARLES

(Le texte intégral du(des) arrêté(s) ci-dessus inséré(s) peut être consulté au service "Direction Départementale protection des populations") ______

2810 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

1.12. Direction régionale entreprises concurrence consommation travail emploi

Décision de subdélégation Responsable unité territoriale 17 des pouvoirs propres du DIRECCTE

LE RESPONSABLE DE L’UNITE TERRITORIALE DE LA CHARENTE-MARITIME

DECIDE

Article 1 – Subdélégation de signature est donnée à MM. Jean-Marc CORNUAU, Jean-Paul LE CORNEC et Thomas DUCROT, Directeurs adjoints du travail et à M. Paul-Henri JUTANT, attaché d’administration principal placés sous son autorité, de signer au nom de la Directrice régionale par intérim des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l’emploi du Poitou-Charentes, toute décision d’accord, de retrait ou de refus relevant sur le département des affaires suivantes définies dans l’arrêté du 1 septembre 2011 susvisé :

Egalité hommes femmes : - décision d’opposition au plan pour l’égalité professionnelle hommes femmes (art. L. 1143-3-35 et art. D. 1143-6 du code du travail).

Licenciements pour motif économique : - décision d’autorisation de réduction de délai de notification des licenciements (art. L. 3121-35 et art R. 3121-23 du code du travail), - délivrance de l’avis concernant le respect de la procédure légale et conventionnelle (art. L. 1233-56 et art D. 1233-13 du code du travail), - décision de constat de carence (art. L. 1233-52, art. D. 1233-11 et art D. 1233-13 du code du travail), - proposition de complément ou de modification du plan social (art. L. 233-57 et art. D. 1233-13 du code du travail).

Rupture conventionnelle : - décision d’homologation des ruptures conventionnelles (art. L. 1237-14 et R. 1237-3 du code du travail).

Groupement d’employeurs (GE) : - décision d’opposition à tout moment à l’activité du GE (D. 1253-8 du code du travail), - décision d’agrément du GE (art. R. 1253-19 du code du travail), - demande de changement de convention collective de l’autorité administrative (art. R. 1253-26 du code du travail), - décision de retrait d’agrément par l’autorité administrative (art. R. 1253-27 du code du travail), - décision d’opposition à l’exercice de l’activité du groupement (art. L. 1253-17 et art. D. 1253-7 à D. 1253-11 du code du travail).

Représentant du personnel : - décision d’autorisation de suppression du mandat de délégué syndical (art. L. 2143-11 et art. R. 2143-6 du code du travail), - décision d’autorisation de suppression du mandat de représentant d’une section syndicale (art. L. 2142-1-2, art. L. 2143-11 et art. R. 2143-6 du code du travail).

Représentant du personnel (délégués du personnel) : - décision de répartition du personnel dans les collèges et des sièges entre les catégories pour les élections de délégués du personnel (art. L. 2314-11 et art. R. 2314-6 du code du travail), - détermination du caractère d’établissement distinct pour l’organisation d’élections de délégué du personnel (art. L. 2314-31 et art. R. 2312-2), - décision de mise en place d’un délégué de site et fixation des modalités électorales (art. L. 2312-5 et art. R. 2312-2).

Représentant du personnel (comité d’entreprise) : - décision de reconnaissance de la qualité d’établissement distinct pour l’organisation d’élections au comité d’entreprise (art. L. 2322-5 et art. R. 2322-1 du code du travail), - décision d’autorisation de suppression du comité d’entreprise (art. L. 2322-7 et art. R. 2322-2 du code du travail), - décision de répartition du personnel dans les collèges et des sièges entre les catégories pour les élections de comité d’entreprise (art. L. 2324-13 et art. R. 2324-3), - exercice de la mission de surveillance de la dévolution des biens du comité d’entreprise (art. R. 2323-39 du code du travail) et affectation des biens du CE en cas de cessation d’activité de l’entreprise, - décision de reconnaissance de la qualité d’établissement distinct pour l’organisation d’élections au comité central d’entreprise et répartition des sièges entre les différents établissements et les différentes catégories (art. L. 2327-7 et art. R. 2327-3 du code du travail),

2811 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

- décision de répartition des sièges entre les élus au comité de groupe (art. L. 2333-4 et art. R. 2332-1 du code du travail), - désignation du remplaçant du représentant au comité de groupe ayant cessé ses fonctions (art. L. 2333-6 et art. R. 2332-1 du code du travail), - décision d’autorisation de suppression du comité d’entreprise européen (art. L. 2345-1 et R. 2345-1 du code du travail).

Durée du travail : - décision de dérogation à la durée maximale hebdomadaire absolue (art. L. 3121-35 et art. R. 3121-23 du code du travail), - décision de dérogation à la durée maximale hebdomadaire moyenne (art. L. 3121-36 et art. R. 3121-28 du code du travail).

Accords d’intéressement, de participation aux résultats de l’entreprise, dépôt de règlements de plans d’épargne d’entreprise : - délivrance de l’accusé de réception des accords d’intéressement (art. D. 3313-4 du code du travail), - délivrance de l’accusé de réception des accords de participation (art. D. 3323-7 du code du travail), - délivrance de l’accusé de réception des règlements de plans d’épargne d’entreprises (art. D. 3332-6 du code du travail), - délivrance de l’accusé de réception en cas de dépôt d’un accord d’intéressement, de participation, d’un plan d’épargne d’entreprise, interentreprises ou pour la retraite conclu autrement que dans le cadre d’une convention ou d’un accord collectif de travail (art. D. 3345-5 du code du travail), - demande de retrait ou de modification de dispositions contraires aux dispositions légales dans un accord d’intéressement, d’un accord de participation ou d’un règlement d’épargne salariale (art. L. 3345-2 du code du travail).

Local allaitement (art. R. 4152-17 du code du travail) : - Dérogation à la capacité d’accueil (art. D. 4152-17 du code du travail).

Dérogation exceptionnelle à l’interdiction de faire effectuer des travaux dangereux par une personne en CDD ou en emploi temporaire : - décision d’autorisation pour l’accomplissement par ces salariés de travaux dangereux (art. D. 4154-3 du code du travail), - décision de retrait de l’autorisation de dérogation exceptionnelle (art. D. 4154-6 du code du travail).

Santé et sécurité au travail : - dérogation en matière de voie et réseaux divers pour certaines opérations de bâtiment ou de génie civil (art. R.4533-6), - mises en demeure sur rapport de l’inspecteur du travail constatant une situation dangereuse (art. L.4721-1 et art. R.4721-1), - autorisation pour le chef d’établissement de procéder aux contrôles techniques destinés à vérifier le respect des valeurs limites de concentration pour certaines substances ou préparations chimiques dangereuses (art. R.4724-8), - avis dans le cas d’adoption par le juge d’un plan de rétablissement des conditions de santé et de travail présenté par une entreprise (art. L. 4741-11 du code du travail), - approbation préalable de l’étude de sécurité sur les établissements pyrotechniques (art. 85 du décret du 28/09/1979), - dispense de l’obligation de mettre des douches à la disposition du personnel (art. 3 de l’arrêté du 23/07/1947).

Reconnaissance de la lourdeur du handicap : - décision de reconnaissance (art. L. 5212-9 et R. 5213-39 du code du travail), - décision d’attribution de l’aide relative au salaire du travailleur handicapé (art. L. 5213-11 et R. 5213-39 du code du travail).

Contrats d’apprentissage : - décision de non validité de l’enregistrement des contrats d’apprentissage (art. L. 6224-5 et art. R. 6224-7 du code du travail), - décision d’enregistrement d’une déclaration valant contrat d’apprentissage (art. L. 6222-5 et art. R. 6224-7 du code du travail), - décision de suspension des contrats d’apprentissage (art. L. 6225-4 et art. R. 6225-9 du code du travail),

- décision d’autorisation de reprise de l’exécution du contrat de travail après suspension du contrat d’apprentissage (art. L. 6225-5 du code du travail), - décision d’interdiction de recrutement de nouveaux apprentis ou de jeunes titulaires de contrats d’insertion en alternance (art. L. 6225-6 du code du travail).

Contrats de professionnalisation : - décision de refus d’enregistrement d’un contrat de professionnalisation (art. R. 6325-2 du code du travail), - décision de retrait des exonérations prévues aux articles L. 6325-16 et L. 6325-17 du code du travail (art. L. 6325-22 et art. R. 6325-20 du code du travail).

Indemnisation des travailleurs involontairement privés d’emploi :

2812 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

- détermination du salaire de référence pour les salariés privés d’emploi qui ont été occupés dans un établissement de la Communauté Européenne (art. R. 5422-3 du code du travail), -délivrance de l’attestation concernant les périodes à prendre en compte pour l’octroi des prestations de chômage - formulaire E301- (art. 80 et 82 et annexe 3 du règlement CEE n° 574/12 du code du travail).

Emploi Etrangers sans titre du travail : - notification à l’employeur et/ou au donneur d’ordre de la mise en œuvre de la procédure relative à la contribution spéciale à acquitter à l’O.F.I.I (art. R. 8253-3 et art. D. 8254-7 du code du travail), - production et notification de l’avis à l’O.F.I.I sur l’opportunité d’engager la procédure de recouvrement de la contribution spéciale (art. R. 8253-5 du code du travail), - proposition de réduction faite à l’OF.I.I du taux de la contribution spéciale à recouvrer (art. R. 8253-11 et art D. 8254-11 du code du travail).

Statuts particuliers : travail à domicile - demande de contrôle de la comptabilité de l’entreprise donneur d’ordre (art. R.7413-2 du code du travail).

Mise en œuvre de la solidarité financière du donneur d’ordre en cas d’emploi d’étranger sans titre de travail : - information sur la mise en oeuvre de la solidarité financière du donneur d’ordre (art. L. 8254-2 et D.8254-7 du code du travail), - demande d’informations complémentaires à l’agent verbalisateur (art. D. 8254-11 du code du travail).

Dispositions relevant du code rural : - décision de dérogation à la durée maximale hebdomadaire absolue du travail pour les professions agricoles (art. R. 713-32 du code rural), - décision de dérogation à la durée hebdomadaire maximale moyenne concernant un secteur départemental d’activité agricole (art. R. 713-26 du code rural), - décision de dérogation à la durée hebdomadaire maximale moyenne concernant une entreprise agricole (art. R.713-28 du code rural), - décision sur recours hiérarchique contre la décision de l’inspecteur du travail d’imposer un mode de contrôle de la durée du travail (art. R. 713-44 du code rural).

Délivrance des titres professionnels : - désignation du jury du titre professionnel et des certificats complémentaires (art. R. 338-6 du code de l’éducation), - délivrance du titre professionnel, des certificats de compétences professionnelles qui le composent et des certificats complémentaires qui s’y rapportent (art. R 338 – 7 du code de l’éducation).

Affectation des Inspecteurs et Contrôleurs du travail chargés du contrôle des entreprises dans les sections d’inspection à compétence départementale ou infra-départementale.

Article 2 – En cas d’absence ou d’empêchement simultanés de MM. Jean-Marc CORNUAU, Jean-Paul LE CORNEC et Thomas DUCROT, Directeurs adjoints du travail, et de M. Paul-Henri JUTANT, attaché d’administration principal, la présente délégation est étendue à :

- Mmes Rebecca BEN ABED, Véronique BESSE, Vanessa MEGE, Martine TURPEAU, Florence VIGNAU et M. William VITEK, Inspectrices et Inspecteur du Travail, placés sous son autorité, à l’exception : des décisions prises sur rapport de l’inspecteur du travail des constats de carence des plans de sauvegarde de l’emploi des oppositions à l’exercice de l’activité de groupement d’employeurs des décisions d’affectation des Inspecteurs et des Contrôleur du travail

- Mme Elodie GLANDIER et M. Christophe GOURDON, attachés d’administration des affaires sociales pour ce qui concerne les décisions relatives à : la lourdeur du handicap (art. L 5212-9 et R. 5213-39 du code du travail) l’attribution de l’aide relative au salaire du travailleur handicapé (art L. 5213-11 et R. 5213-39 du code du travail) au refus d’enregistrement d’un contrat de professionnalisation (art. R. 6325-2 du code du travail) la désignation du jury du titre professionnel et des certificats complémentaires (art. R. 338-6 du code de l’éducation) la délivrance du titre professionnel, des certificats de compétences professionnelles qui le composent et des certificats complémentaires qui s’y rapportent (art R. 338-7 du code de l’éducation) la non validité de l’enregistrement des contrats d’apprentissage (art L. 6224-5 et art. R. 6224-7 du code du travail)

2813 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011 l’enregistrement d’une déclaration valant contrat d’apprentissage (art. L. 6222-5 et art. R.6224-7 du code du travail)

Article 3 - La présente décision sera publiée au Recueil des Actes Administratifs du département de la Charente- Maritime.

Fait à La Rochelle, le 8 septembre 2011 Le Responsable de l’unité territoriale, Signé : Bernard GUEGUEN

(Le texte intégral du(des) arrêté(s) ci-dessus inséré(s) peut être consulté au service "Direction régionale entreprises concurrence consommation travail emploi") ______

1.13. Direction régionale entreprises concurrence consommation travail emploi - UT 17

Décision relative à l'organisation de l'inspection du travail dans le département de la Charente-Maritime

LE DIRECTEUR REGIONAL DES ENTREPRISES, DE LA CONCURRENCE, DE LA CONSOMMATION; DU TRAVAIL ET DE L’EMPLOI DE POITOU-CHARENTES

DECIDE

Article 1 - A compter du 01 juillet 2011, les directeurs adjoints, les inspectrices et inspecteurs du travail dont les noms suivent sont chargés du contrôle des entreprises relevant des sections d’inspection du département de Charente- Maritime :

1ère section : Responsable : Mme Martine TURPEAU, inspectrice du travail Avenue de la Porte Dauphine Centre Administratif Chasseloup-Laubat 17021 LA ROCHELLE Cedex 01 Tel : 05 46 50 86 39

Délimitation de la section :

Ile d’OLERON.

Cantons de ST AGNANT, TONNAY CHARENTE, MARENNES sauf la commune du GUA.

Ville de ROCHEFORT.

Ville de La ROCHELLE : secteur délimité par l’avenue du Président Wilson n° impairs jusqu’à la mer, l’avenue Jean Guitton n° impairs, et l’avenue Maurice Delmas coté Mail, jusqu’à la mer, et secteur délimité par l’avenue Bouquet n° pairs, de l’avenue Denfert Rochereau jusqu’à la mer, l’avenue Denfert Rochereau n° impairs, la rue de la Muse n° pairs, et la rue de Québec n° pairs jusqu’à la mer.

2ème section : Responsable : Mme Vanessa MEGE, inspectrice du travail 1, rue du docteur Laennec 17100 Saintes Tel : 05 46 93 85 90

Délimitation de la section :

Cantons de , GEMOZAC, PONS, , ST GENIS DE SAINTONGE, JONZAC, MIRAMBEAU, MONTENDRE, MONTLIEU LA GARDE, MONTGUYON.

Communes de ROYAN, ST GEORGES DE DIDONNE, , COLOMBIERS.

Ville de SAINTES : secteur à l’ouest de la Charente, jusqu’au pont de la rocade 141, la rocade 141 (exclue) à partir de ce pont jusqu’au rond point de la Diconche, la rocade 137 (exclue) de ce rond point jusqu’à la D114, et la D 114 (exclue) à partir de la rocade 137 jusqu’à la limite de la commune de Saintes en direction de Rétaud.

2814 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

3ème section : Responsable : Mme Florence VIGNAU, inspectrice du travail

Avenue de la Porte Dauphine Centre Administratif Chasseloup-Laubat 17021 LA ROCHELLE Cedex 01 Tel : 05 46 50 86 34

Délimitation de la section :

Ile de RE.

Cantons de LA JARRIE, SURGERES, .

Communes de DOMPIERRE S/MER, PERIGNY.

Ville de LA ROCHELLE : secteur délimité par la rue Marius Lacroix n° pairs, le Bd de Cognehors n° pairs situé entre la rue M. Lacroix et l’avenue Porte Dauphine, l’avenue Porte Dauphine n° pairs, la rue Albert 1er n° pairs, la rue du Palais n° impairs, le quai Duperré inclus, le quai Valin inclus, l’avenue du 123ème RI n° pairs et la rue Normandin n° impairs.

4ème section : Responsable : Mme Rebecca BEN-ABED, inspectrice du travail Avenue de la Porte Dauphine Centre Administratif Chasseloup-Laubat 17021 LA ROCHELLE Cedex 01 Tel : 05 46 50 86 53

Délimitation de la section :

Ile d’AIX.

Canton d’AIGREFEUILLE.

Communes de AYTRE, ANGOULINS, CHATELAILLON, YVES, ST LAURENT DE LA PREE, BREUIL MAGNE, LOIRE LES MARAIS, FOURAS, .

Ville de LA ROCHELLE : secteur délimité par la rue Normandin n° pairs, l’avenue du 123ème RI n° pairs jusqu’au quai Simenon, et le quai Simenon jusqu’au pont tournant.

5ème section : Responsable : M. William VITEK, inspecteur du travail Avenue de la Porte Dauphine Centre Administratif Chasseloup-Laubat 17021 LA ROCHELLE Cedex 01 Tel : 05 46 50 86 47

Délimitation de la section :

Cantons de MARANS, COURÇON.

Communes de , MARSILLY, ST XANDRE, NIEUL S/MER, L’HOUMEAU, LAGORD, PUILBOREAU.

Ville de LA ROCHELLE : secteur délimité par l’avenue Bouquet n° impairs de la mer jusqu’à l’avenue Denfert Rochereau, l’avenue Denfert Rochereau n° pairs, la rue de la Muse n° impairs, et la rue de Québec n° impairs jusqu’à la mer, puis l’avenue du Président Wilson n° pairs jusqu’à la mer, l’avenue Jean Guitton n° pairs et l’avenue Maurice Delmas côté ville jusqu’à la mer, puis à partir du pont tournant le quai Simenon inclus, l’avenue du 123ème RI en direction du quai Valin, le quai Valin exclu, le quai Duperré exclu, la rue du Palais n° pairs, la rue Albert 1er n° impairs, l’avenue Porte Dauphine n° impairs, le Bd de Cognehors n° impairs situé entre l’avenue Porte Dauphine et la rue Marius Lacroix et la rue Marius Lacroix n° impairs.

Cette section est par ailleurs compétente au plan départemental pour le contrôle des établissements et sites de la SNCF y compris les chantiers ferroviaires.

6ème section : Responsable : M. Thomas DUCROT, directeur adjoint du travail

1, rue du docteur Laennec 17100 Saintes Tel : 05 46 93 85 90

Délimitation de la section :

Cantons de , , ST PORCHAIRE, ST SAVINIEN, TONNAY BOUTONNE, ST JEAN D’ANGELY, AULNAY, MATHA, ST HILAIRE DE VILLEFRANCHE, , ROYAN sauf la commune de ROYAN, SAINTES sauf le secteur de la ville de Saintes situé à l’ouest de la Charente, jusqu’au pont de la rocade 141, la rocade 141 (exclue) à partir de ce pont jusqu’au rond point de la Diconche, la rocade 137 (exclue) de ce rond point jusqu’à la D114, et la D 114 (exclue) à partir de la rocade 137 jusqu’à la limite de la commune de Saintes en direction de Rétaud et sauf les communes de LA JARD et COLOMBIERS

2815 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

Commune du GUA.

7ème section : Responsable : M. Jean-Paul LE CORNEC, directeur adjoint du travail Avenue de la Porte Dauphine Centre Administratif Chasseloup-Laubat 17021 LA ROCHELLE Cedex 01 Tel : 05 46 50 86 68

Délimitation de la section :

Cette section a une compétence sur l’ensemble du département pour le secteur « agriculture » pour le contrôle des entreprises visées à l’article L. 717-1 du code rural.

Cette section a également une compétence sur l’ensemble du département pour les entreprises relevant du secteur maritime (pêche et autres activités).

Article 2 - En cas d'absence ou d'empêchement de l'un des responsables de section ci-dessus désignés, son remplacement est assuré par l'un ou l'autre d'entre eux.

Article 3 - De même, en cas de vacance de poste sur l’une ou l’autre des sept sections, l’intérim sera assuré dans les mêmes conditions.

Article 4 - Afin de répondre aux exigences du service public pour les opérations exceptionnelles, ponctuelles ou concertées de contrôle, nécessitant la constatation d'infractions flagrantes et/ou la participation d'agents de contrôle qualifiés ou en nombre accru, les inspectrices, inspecteurs et directeurs adjoints du travail ci-dessus désignés pourront intervenir sur le territoire des sept sections, notamment les chantiers du bâtiment, l'emploi de salariés le dimanche et les situations relatives au travail illégal.

Article 5 - Cette décision annule et remplace la décision du 6 janvier 2010. Elle est applicable au 01 juillet 2011.

Article 6 - La présente décision sera publiée au Recueil des Actes Administratifs du département de la Charente- Maritime.

Fait à La Rochelle, le 8 septembre 2011 Pour le Directeur régional Le Responsable de l’Unité territoriale Signé : Bernard GUEGUEN

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Arrêté portant agrément simple d'un organisme de services à la personne (EURL WG ZEN SERVICES)

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

ARTICLE 1 : L’EURL WG ZEN SERVICES, représentée par Madame Aurélie WEGSCHEIDER, Gérante, dont le siège social est situé 27 rue Gill – 17000 LA ROCHELLE, est agréée conformément aux dispositions des articles susvisés pour la fourniture de services aux personnes.

ARTICLE 2 : L’agrément est délivré pour une durée de cinq ans à compter de la date de signature du présent arrêté. Il est valable sur l’ensemble du territoire national. L’ouverture d’un établissement devra faire l’objet d’une déclaration préalable auprès du préfet de département du lieu d’implantation du nouvel établissement. La demande de renouvellement devra être déposée au plus tard trois mois avant le terme de la période d’agrément de cinq ans. En cas de certification de l’organisme agréé, l’agrément sera renouvelé tacitement.

ARTICLE 3 : L’Entreprise est agréée pour la fourniture des services suivants :

2816 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

- ENTRETIEN DE LA MAISON ET TRAVAUX MENAGERS - PETITS TRAVAUX DE JARDINAGE - COLLECTE ET LIVRAISON A DOMICILE DE LINGE REPASSE - LIVRAISON DE COURSES A DOMICILE

ARTICLE 4 : L’Entreprise est agréée pour fournir les services mentionnés à l’article 3 en mode prestataire.

ARTICLE 5 : Si l’Entreprise envisage de fournir des services autres que ceux pour lesquels elle est agréée, elle devra solliciter une modification de son agrément. La demande devra préciser les modifications envisagées et les moyens nouveaux correspondants.

ARTICLE 6 : L’Entreprise s’engage à renseigner: - des états statistiques mensuels et annuels sur la base de données Nova - à produire annuellement un bilan qualitatif et quantitatif de l’activité exercée au titre de l’année écoulée.

ARTICLE 7 : Le présent agrément pourra être retiré ou le renouvellement refusé si l’Entreprise : 1°) cesse de remplir les conditions ou de respecter les obligations mentionnées aux articles R 7232-4 à R 7232-10 du code du travail; 2°) ne respecte pas la réglementation en matière d’hygiène, de sécurité et de conditions de travail ; 3°) exerce des activités autres que celles déclarées dans la demande d’agrément ; 4°) n’est pas en mesure de justifier à tout moment du caractère exclusif de son activité de service ; 5°) ne transmet pas au Préfet compétent (responsable de l’unité territoriale, par délégation), avant la fin du premier semestre de l’année, le bilan qualitatif et quantitatif de l’activité exercée au titre de l’année écoulée.

ARTICLE 8 : Le Responsable de l’Unité Territoriale de la Charente-Maritime est chargé de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au Recueil des Actes Administratifs de Charente-Maritime. Une copie du présent agrément est également transmise à l’Agence nationale des services à la personne et à l’organisme chargé du recouvrement des cotisations de sécurité sociale.

Fait à La Rochelle, le 12 septembre 2011

P/La Préfète et par délégation du Directeur Régional des Entreprises, de la Concurrence, de la Consommation, du Travail et de l’Emploi, Le Responsable de l’Unité Territoriale de Charente-Maritime, Signé : Bernard GUEGUEN

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Arrêté portant agrément simple d'un organisme de services à la personne (Entreprise Alexandre GRASSY)

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME Chevalier de la Légion d'Honneur Officier de l’Ordre National du Mérite

ARRETE

ARTICLE 1 : L’Entreprise Alexandre GRASSY dont le siège social est situé 27 rue Gill – 17000 LA ROCHELLE, est agréée conformément aux dispositions des articles susvisés pour la fourniture de services aux personnes.

ARTICLE 2 : L’agrément est délivré pour une durée de cinq ans à compter de la date de signature du présent arrêté.

2817 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

Il est valable sur l’ensemble du territoire national. L’ouverture d’un établissement devra faire l’objet d’une déclaration préalable auprès du préfet de département du lieu d’implantation du nouvel établissement. La demande de renouvellement devra être déposée au plus tard trois mois avant le terme de la période d’agrément de cinq ans. En cas de certification de l’organisme agréé, l’agrément sera renouvelé tacitement.

ARTICLE 3 : L’Entreprise est agréée pour la fourniture des services suivants : - ENTRETIEN DE LA MAISON ET TRAVAUX MENAGERS - PETITS TRAVAUX DE JARDINAGE - PRESTATIONS DE PETIT BRICOLAGE DITES « HOMMES TOUTES MAINS »

ARTICLE 4 : L’Entreprise est agréée pour fournir les services mentionnés à l’article 3 en mode prestataire.

ARTICLE 5 : Si l’Entreprise envisage de fournir des services autres que ceux pour lesquels elle est agréée, elle devra solliciter une modification de son agrément. La demande devra préciser les modifications envisagées et les moyens nouveaux correspondants.

ARTICLE 6 : L’Entreprise s’engage à renseigner: - des états statistiques mensuels et annuels sur la base de données Nova - à produire annuellement un bilan qualitatif et quantitatif de l’activité exercée au titre de l’année écoulée.

ARTICLE 7 : Le présent agrément pourra être retiré ou le renouvellement refusé si l’Entreprise : 1°) cesse de remplir les conditions ou de respecter les obligations mentionnées aux articles R 7232-4 à R 7232-10 du code du travail; 2°) ne respecte pas la réglementation en matière d’hygiène, de sécurité et de conditions de travail ; 3°) exerce des activités autres que celles déclarées dans la demande d’agrément ; 4°) n’est pas en mesure de justifier à tout moment du caractère exclusif de son activité de service ; 5°) ne transmet pas au Préfet compétent (responsable de l’unité territoriale, par délégation), avant la fin du premier semestre de l’année, le bilan qualitatif et quantitatif de l’activité exercée au titre de l’année écoulée.

ARTICLE 8 : Le Responsable de l’Unité Territoriale de la Charente-Maritime est chargé de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au Recueil des Actes Administratifs de Charente-Maritime. Une copie du présent agrément est également transmise à l’Agence nationale des services à la personne et à l’organisme chargé du recouvrement des cotisations de sécurité sociale.

Fait à La Rochelle, le 12 septembre 2011

P/La Préfète et par délégation du Directeur Régional des Entreprises, de la Concurrence, de la Consommation, du Travail et de l’Emploi, Le Responsable de l’Unité Territoriale de Charente-Maritime, Signé : Bernard GUEGUEN

(Le texte intégral du(des) arrêté(s) ci-dessus inséré(s) peut être consulté au service "Direction régionale entreprises concurrence consommation travail emploi - UT 17") ______

2818 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

1.14. Visiteur

arrêté portant délégation de signature

DIRECTION GENERALE DES FINANCES PUBLIQUES

DIRECTION REGIONALE DES FINANCES PUBLIQUES

Division DOMAINE POLE DE GESTION DES PATRIMOINES PRIVES - BP 908 - 33060 BORDEAUX CEDEX

LE DIRECTEUR REGIONAL DES FINANCES PUBLIQUES D’AQUITAINE ET DU DEPARTEMENT DE LA GIRONDE

ARRETE portant délégation de signature

Le Directeur Régional des Finances Publiques d’Aquitaine et du département de la Gironde arrête :

Article 1 : En cas d'absence ou d'empêchement de M. Jean-Denis de VOYER d’ARGENSON, la délégation de signature qui lui est conférée, sera exercée par Monsieur Bernard GABORIAU, Administrateur Général des Finances Publiques ou à défaut par Monsieur Paul GIRONA, Administrateur des Finances Publiques ou à défaut par Madame Cécile ULLRICH, Administrateur des Finances Publiques Adjoint, ou a défaut par Monsieur Bruno BENEDETTO, inspecteur divisionnaire, ou à défaut par Madame Vanessa de CRASTO, inspectrice.

Article 2 : A l'exclusion de la correspondance avec le tribunal (notamment les requêtes), des actes de disposition d’immeubles et des comptes rendus de gestion au tribunal, la délégation de signature conférée à M. Jean-Denis de VOYER d’ARGENSON, sera exercée, en cas d'absence ou d'empêchement des fonctionnaires ci- dessus désignés, par Mesdames Josette BARRERE, Colette BRAVI, Valérie LEFEVRE, Marie-Christine LESCLAUX, Solange RIVET, Michèle VILLENAVE et Soizic LASCARAY, contrôleurs.

Article 3 : L’arrêté de subdélégation en date du 4 juillet 2011 est abrogé.

Article 4 : Cet arrêté de subdélégation sera adressé à Monsieur Le Secrétaire Général de la Préfecture de la Charente- Maritime et publié au Recueil des actes administratifs de la préfecture.

Fait à Bordeaux, le 12 septembre 2011 Pour Le Préfet et par délégation, Le Directeur Régional des Finances Publiques d’Aquitaine et du département de la Gironde, Jean-Denis de VOYER d’ARGENSON

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Décision portant délégation permanente de signature, lors des astreintes donnée à chaque permanencier à la direction de l'administration pénitentiaire

DIRECTION DE L'ADMINISTRATION PENITENTIAIRE

DIRECTION INTERREGIONALE DE BORDEAUX

DEPARTEMENT SECURITE ET DETENTION

UNITE DU DROIT PENITENTIAIRE

2819 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

La Directrice Interrégionale des Services Pénitentiaires de BORDEAUX

DECISION

Décide : délégation permanente de signature, lors des astreintes, est donnée à chaque permanencier suivant :

- M. Barthélémy BORGHINO, directeur hors classe, secrétaire général - Mme Hélène BOULON, CAMJ, chef du département Budget-Finances - M. Daniel GERMAIN, directeur, chargé de mission à la gestion déléguée - M. David PERNET, APMJ, chef du département Ressources Humaines et des relations sociales - M. DANNE Philippe, DPIP, Chef du département des politiques d'insertion, de probation et de prévention de la récidive - M. Joseph GOMEZ, Directeur, Chef du département sécurité et détention - Mme Aurélie JAMMES, directrice, adjointe au Chef du département sécurité et détention - M. Jean Claude BOZZI, directeur, département sécurité et détention - M. Olivier CALVET, directeur, directeur placé

Aux fin de : ordonner des transfèrements individuels ou collectifs (art. D84, D 301, D360 CPP)

La directrice interrégionale Marie-Line HANICOT

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arrêté portant création d'une zone interdite à la circulation maritime à l'occasion du départ de la course "Charente Maritime / Bahia Transat 6.50" le 25 septembre 2011 à La Rochelle

PREFECTURE MARITIME DE L’ATLANTIQUE

Division « action de l’Etat en mer »

ARRETE

Article 1er : A l’occasion du départ de la course « Charente-Maritime / Bahia Transat 6,50 » qui si déroulera le dimanche 25 septembre 2011 à La Rochelle, il est créé une zone interdite à la circulation maritime.

Article 2 : La zone d’interdiction est définie par un quadrilatère délimité par les points suivants dont les coordonnées sont rapportées au système géodésique WGS 84 :

- A : 46° 06' 84 N - 001° 12' 70 W - B : 46° 06' 00 N - 001° 11' 59 W - C : 46° 05' 26 N - 001° 12' 70 W - D : 46° 06' 00 N - 001° 13' 87 W

La zone de départ sera balisée par l’organisateur avec des bouées de couleur noire.

Article 3 : Dans la zone définie à l’article 2, la circulation, le stationnement et le mouillage de tous navires ou engins nautiques sont interdits, le dimanche 25 septembre 2011, de 15h00 à 19h00 (heures locales).

Article 4 : Les dispositions de l’article 3 ne sont pas applicables aux navires de l’Etat chargés de la sécurité et de la police du plan d’eau ainsi qu’aux navires de service public et de sauvetage si leur mission l’exige. De même, elles ne s’appliquent pas aux navires des concurrents, à leurs navires accompagnateurs et aux navires de l’organisation de la course; ceux-ci arboreront une marque distinctive dont les caractéristiques seront communiquées au directeur départemental des territoires et de la mer adjoint, délégué à la mer et au littoral de la Charente Maritime, au plus tard le 24 septembre 2011.

Article 5 : L’attention des capitaines devra être appelée sur leur propre responsabilité au titre de la réglementation sur la sauvegarde de la vie humaine en mer et du code des transports.

Article 6 : Le règlement pour prévenir les abordages en mer devra être appliqué par tous les navires, y compris les concurrents. Les navires ne participant pas à la course, en dehors de la zone définie à l’article 2 doivent privilégier le passage des concurrents, en évitant de les gêner ou de leur couper la route.

2820 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

Article 7 : L’organisateur disposera des moyens suffisants pour assurer la surveillance de la manifestation et la sécurité dans la zone réglementée. Il tiendra à la disposition des concurrents des informations sur les conditions et prévisions météorologiques.

Il devra prendre à l’avance toutes les dispositions nécessaires pour pouvoir alerter, en cas d’accident ou d’incident concernant la sécurité des personnes le CROSS Etel (Tél. 02.97.55.35.35).

Article 8 : L’organisateur pourra retarder, annuler ou interrompre la manifestation de sa propre initiative s’il estime que les conditions de sécurité pour les concurrents et les spectateurs ne sont pas remplies. Sa décision sera notifiée immédiatement au directeur départemental des territoires et de la mer de la Charente-Maritime et au CROSS Etel. En cas de départ retardé, l’heure de fin d’interdiction de navigation, de stationnement et de mouillage sera décalée d’autant.

Article 9 : L’organisateur devra assurer une large publicité du présent arrêté auprès des participants et des personnes chargées par ses soins de la surveillance du plan d’eau. Il devra en outre prévenir les usagers du plan d’eau et assurer une information la plus large possible sur le déroulement de cette épreuve.

Article 10 : Le directeur départemental des territoires et de la mer adjoint, délégué à la mer et au littoral de la Charente-Maritime est chargé de la coordination des moyens nautiques de l’Etat affectés à la police du plan d’eau.

Article 11 : Les infractions au présent arrêté exposent leurs auteurs aux poursuites et peines prévues par les articles 131-13 et R610-5 du code pénal et par les articles L 5242-1 et L 5242-2 du code des transports.

Article 12 : Le directeur départemental des territoires et de la mer adjoint, délégué à la mer et au littoral de la Charente-Maritime, les officiers et agents habilités en matière de police maritime sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’application du présent arrêté.

Le préfet maritime de l’Atlantique par ordre, l’administrateur général de 2ème classe des affaires maritimes Loïc Laisné adjoint au préfet maritime, signé : Loïc Laisné

ANNEXE I

La zone d’interdiction est définie par un quadrilatère délimité par les points suivants dont les coordonnées sont rapportées au système géodésique WGS 84 :

- A : 46° 06' 84 N - 001° 12' 70 W - B : 46° 06' 00 N - 001° 11' 59 W - C : 46° 05' 26 N - 001° 12' 70 W - D : 46° 06' 00 N - 001° 13' 87 W

(Le texte intégral du(des) arrêté(s) ci-dessus inséré(s) peut être consulté au service "Visiteur") ______

2821 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

2. Avis

2.1. Préfecture de la Charente-Maritime - Services du cabinet

Convention de coordination entre l'Etat et la commune de Royan

En application de la loi 99-291 du 15 avril 1999 relative aux polices municipales, une convention entre la Commune de ROYAN et l'Etat a été renouvelée et signée, le 1er Août 2011, après avis du Procureur de la République près le Tribunal de Grande Instance de La Rochelle, pour formaliser la coordination entre la Police municipale et les forces de sécurité de l'Etat, représentées au cas présent par la Police Nationale.

(Le texte intégral du(des) arrêté(s) ci-dessus inséré(s) peut être consulté à la "Préfecture de la Charente-Maritime - Services du cabinet") ______

2.2. Préfecture de la Charente-Maritime - SOUS-PREFECTURE DE SAINT- JEAN-D'ANGELY

décision de la CDAC du 13 septembre 2011 accordant à la SCI SO.CI.COM l'autorisation d'étendre de 455m2 un supermarché à l'enseigne Intermarché à Montendre

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME

A DECIDE

D’ACCORDER A L’UNANIMITE DES MEMBRES PRESENTS à S.C.I. SO.CI.COM, dont le siège social est domicilié à MONTENDRE (17130 ) La Devallée, agissant en en tant que société propriétaire, représentée par Monsieur Éric RICHARD, gérant, l'autorisation d’étendre un ensemble commercial de 2 400 m2, par extension de 455 m2 d'un supermarché à l'enseigne INTERMARCHE, pour aboutir à une surface de vente totale de 2 855 m2, à MONTENDRE (17130) Centre Commercial de la Vallée, Boulevard de Saintonge.

Conformément aux dispositions de l’article R752-25, au 2° du décret n° 2008-1212 du 24 novembre 2008, cette décision a été transmise au maire de la commune d’implantation concernée en vue de son affichage pendant une durée d’un mois.

A LA ROCHELLE le 13 septembre 2011

Le Président de la Commission Départementale d’Aménagement Commercial de la Charente- Maritime, Le Sous-Préfet de SAINT-JEAN D'ANGELY

2822 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

Frédéric BRASSAC

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Décision de la CDAC du 13 septembre 2011 accordant à M.REYMOND l'autorisation de créer un magasin d'une surface de vente à l'enseigne CUISINELLE à SAINT GEORGES DES COTEAUX

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME

A DECIDE

D’ACCORDER A L’UNANIMITE DES MEMBRES PRESENTS à Monsieur Emmanuel REYMOND domicilié à SAINTES (17100) 13 rue Eugène Pelletan, agissant en tant que futur exploitant du magasin, l'autorisation d’étendre un ensemble commercial par création d'un magasin d'une surface de vente de 350 m2 dédié à l'équipement de la maison, à l'enseigne CUISINELLA, à SAINT-GEORGES DES COTEAUX (17810) 15 rue Champagne Saint Georges.

Conformément aux dispositions de l’article R752-25, au 2° du décret n° 2008-1212 du 24 novembre 2008, cette décision a été transmise au maire de la commune d’implantation concernée en vue de son affichage pendant une durée d’un mois.

A LA ROCHELLE le 13 septembre 2011

Le Président de la Commission Départementale d’Aménagement Commercial de la Charente- Maritime, Le Sous-Préfet de SAINT-JEAN D'ANGELY

Frédéric BRASSAC

______décision de la CDAC du 13 septembre 2011 accordant l'autorisation à la SAS JABEAU l'autorisation d'étendre un ensemble commercial par regroupement de surface de vente de 650m2 et extension d'un magasin de 1118,15m2 à l'enseigne BRICOMARCHE à MONTENDRE

LA PREFETE DE LA CHARENTE-MARITIME

A DECIDE

D’ACCORDER A L’UNANIMITE DES MEMBRES PRESENTS à la S.A.S. JABEAU, dont le siège social est domicilié à MONTENDRE (17130) Centre Commercial de la Vallée, boulevard de Saintonge, agissant en tant que société exploitante, représentée par Monsieur Damien VIDEAU, Président, l'autorisation d’étendre un ensemble commercial de 1 715 m2, par regroupement de surface de vente de 650 m2 et extension d'un magasin de 1 118,15 m2, pour aboutir à une surface de vente totale de 3 483,15 m2, à l'enseigne BRICOMARCHE à MONTENDRE (17130). Centre Commercial de la Vallée, Boulevard de Saintonge.

2823 Recueil des Actes Administratifs - Mois de septembre - Date de publication : 29/09/2011

Conformément aux dispositions de l’article R752-25, au 2° du décret n° 2008-1212 du 24 novembre 2008, cette décision a été transmise au maire de la commune d’implantation concernée en vue de son affichage pendant une durée d’un mois.

A LA ROCHELLE le 13 septembre 2011

Le Président de la Commission Départementale d’Aménagement Commercial de la Charente- Maritime, Le Sous-Préfet de SAINT-JEAN D'ANGELY

Frédéric BRASSAC

(Le texte intégral du(des) arrêté(s) ci-dessus inséré(s) peut être consulté à la "Préfecture de la Charente-Maritime - SOUS-PREFECTURE DE SAINT-JEAN-D'ANGELY") ______

Imprimé à la Préfecture de Charente-Maritime Date de publication le 29/09/2011

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