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La cave12 à L’écurie (#286) La cave12 CHEZ RAKI

mercredi 3 octobre 21 h 00 à l’ESPACE RIEN (#1)

Noveller (usa) vendredi 5 octobre 22 h 00 Guitare électrique, effets + Chez Raki Bar expérimental Aidan Baker (can) Guitare électrique, effets après le spectacle de la Tête dans le Sac + « LA NUIT FINIRA-T-ELLE UN JOUR ? » Ned Collette & Wirewalker (aus) Des marionnettes vivant d’elle-même, ayant leur Ned Colette : guitare, chat propre vie au-delà de la manipulation de leurs « créa- Joe Talia : batterie teurs » et qui se retrouvent toutes, en fin de spec- tacle, Chez Raki, bar « universel », refermant la porte Belle soirée de progression dronique-guitaristique- sur nous, pauvres voyeurs humains, nous laissant annick F ranck électrique lorgnant/débouchant en fin de soirée sur le à notre nuit, tandis que Chez Raki, il doit s’en pas- très bon songwriting aventureux de l’Australien Ned ser des choses. Mais de ce bar, les humains que nous Colette. Trois actes provenant de trois pays hors-eu- sommes s’en retrouvent, soir après soir, irrémédiable- ropéens différents et régulièrement salués par les cri- ment exclus. tiques spécialisées. Le tout pour un parfait mercredi soir de denses explorations droniques à la guitare élec- Or, ce soir, aubaine fantastique, le bar de CHEZ RAKI, trique en perspective, posément atmosphériques et s’ouvre de manière exceptionnelle, les marionnettes le prenantes. hantant étant d’accord de nous convier chez elles, au sein de leur intimité de comptoir, après le spectacle, in- Noveller vitant quelques musiciens humains de Sex & Drugs & est le projet solo de la guitariste et réalisatrice de films Rebetiko et de Ultra Turk pour improviser avec elles basée à Brooklyn, Sarah Lipstate. Traitant sa guitare et, nous, voyeurs-spectateurs devenant acteurs, pour électrique comme sa muse, Noveller rassemble une pa- boire, partager, fumer, danser, chanter, etc… avec elles. lette sonore d’une grande richesse, défiant par moment la conception de l’auditeur qui se demande comment Marionettes/personnages aux personnalités fortes, tous ces sons faits de textures luminescentes et fanto- grotesques, énervantes, dégueulasses, drôles, émou- matiques, peuvent sortir d’un seul instrument manipu- vantes avec comme ligne de fond omniprésente, le lé par une performeuse solitaire. rebetiko, musique clandestine et « undergound » grecque. AIDAN BAKER membre du fameux duo doom-ambient Nadja, Aidan Bar expérimental s’il en est, rencontre improbable Baker explore en solo les possibilités de reconstruc- entre marionnettes et humains, hautement improvisé, tions sonores de la guitare électrique, créant une mu- voire risqué pour les sens, où l’on y trouvera ce que sique incorporant des éléments de musiques expéri- nous voudrons bien y apporter ou ce que nous serons mentales, ambient, jazz, métal, postrock, et calssique d’accord d’y recevoir ou pas : du rebetiko, sûrement, contemporain. Créateur d’une musique ambient-dro- vu les musiciens conviés. Pour le reste… à voir ? nique à l’évolution/ampleur stupéfiante, remplissant l’espace d’une manière implacable et majestueuse. A 22 h 00 donc ! Juste après le spectacle qui débute lui-même à 20 h 30 précises. NED COLLETTE & WIREWALKER Originiare de Melbourne, Australie, Ned Collette est ESPACE RIEN – 1, 3 rue Lissignol un songwriter-chanteur bien connu dans son pays na- exil an VI tal et dans les cercles undergrounds autour du globe. Mélangeant songwriting pop expérimentale, pay- sages sonores à la noirceur folk, éléments de musique concrète, loops, technique d’orchestrations contempo- La cave12 à l’écurie (#287) raines, manipulations de cassettes, samplers, etc… il délivre, en duo avec la batteur/expérimentateur éga- dimanche 7 octobre 21 h 00 lement australien Joe Talia (long compagnon de route de l’immense entres autres), un cycle Elastic dada voice with deed de chansons expérimentales hautement séductrices sound-textures improv trio et attirantes, rappelant inévitablement par moments Léonard Cohen ou Lee Hazlewood. HüBeBlo (deu/nld) Carl Ludwig Hübsch : tuba Bref, en tout 3 actes de progression constante posée, Claus van Bebber : tourne-disque intriquée l’un l’autre et fortement complémentaire. épublique et canton de Genève, de la R épublique et canton Genève, ille de Genève, Jaap Blonk : voix V

I #1 Ordre de passage non défini.

K Facétieuse rencontre improvisée et de haut calibre ÉCURIE de l’Ilôt13 – 14 rue de Montbrillant entre trois excellents « vétérans » un brin loufoques de la scène expérimentale européenne avec de plus une

Z RA configuration totalement inusuelle : un tuba forte- E ment détourné, une platine abrasive et des voix/ono- H ’écurie #286 / #287 / #288 / #289 / #290 / #291 / #292 / #293 /

www.cave12.org matopéees et autres « bruits de bouche » totalement Avec le soutien de la Avec de la Loterie R omande et tous les Lieux qui nous accueillent l C / / H ü B e lo K orekyo j inn Y owie F rancisco M eirino T he enses iko C . E sseiva N oveller / A idan B aker ed C ollette & W irewalker / M icro_ P enis Y MC B lack S aturn / Junzo S usuki A un [sic] F u j ako feat. new H awks D an H aywood’s déjantés, voire cartoonesque. Le tout pour une inte- accabit. Avec des albums signés entres autres sur le Composée entre 2008 et 2011, « Untitled Phenome- Joycienne du quotidien moderne, inspiré de ses ob- & kosmish originaires du Canada, avec d’un côté singulier de Franck se trouve à la fois dans l’héritage raction évoluant vers des images sonores dépeignant label de , Tzadik, et cultisme au Japon, nas In Concrete » (titre du cd verni ce soir donc) est servations lors de ses voyages/pérégrinations dans les AUN, figures-clé de l’underground canadien, pourfen- de Phill Niblock, Zoviet France, Esplendor Geomé- un paysage auditif complexe, multi-facette et géniale- KOREKYOJINN débarque, wouahou, pour la toute une pièce assemblée à partir de 85 sessions UPIC, agré- Highland écossais. deurs d’un immense doom ambient, sombre, psyché- trico ou encore Coil. Franck utilise sa voix de façon ment facétieux. Sonorité de tuba couplé à une amplifi- première fois en Europe. mentés de 18 sons externes (entre autres, des enregis- délique, extrêmement massif et à l’ample magnitude. très intuitive, tant pour déclamer et chanter ses textes cation sensible de l’embouchure de l’instrument ainsi trements de neige qui tombe, de craquements d’os, de ÉCURIE de l’Ilôt13 – 14 rue de Montbrillant Et de l’autre, [sic], canadienne « exilée » à Lausanne, qu’en utilisant le throat singing pour générer des si- que des effet produits par les clés et les valves du tuba. Une aubaine incroyable et pour les amateurs de la champs magnétiques et d’insectes). L’UPIC est un outil qui nous avait déjà gratifié d’un concert à l’impact gnaux qu’il altère en temps réel à l’aide de pédales et Des mix de sons sélectionnés et partiellement prépa- scène rock expérimentale nippone, immanquable. de composition musicale assisté par ordinateur inventé sonore sur-puissant et terrassant/englobant en février de filtres divers, il utilise également des instruments rés d’extraits de vinyles sur des tourne-disques vintage. par le compositeur . D’un point de vue passé ici et qui nous avait littéralement estomaqué. préparés et des objets non musicaux ainsi que plus ré- L’exploration stéréophonique à partir de deux micros Et en première partie, complétant parfaitement l’af- matériel, l’UPIC est une tablette graphique, reliée à un La cave12 à l’ÉCURIE (#291) cemment un synthétiseur analogique. combinant les multiplicités sonores produites par la fiche,Y OWIE, groupe signé sur le label également culte ordinateur, avec un affichage vectoriel. Et en troisième partie de soirée, FUJAKO, proposé par voix, la gorge, la langue, les lèvres et les joues… dans un certain milieu, SKIN GRAFT (Melt-Banana, dimanche 21 octobre 21 h 00 nos amis de l’Ecurie, pourfendeur d’un Hip-Hop In- Bref, une excellente soir de déconstruction sonore U.S. Maple, Zeni Geva, etc. . ), pour un déversement Un excellent travail d’expérimentation sonore que dustriel au son semble-t-il monstrueux fait de basses puissante, puis psycho-malade-brut. Depuis des années, le hollandais dadaïste Jaap Blonk tout azimut de spazz noise jazz avant-gardiste déroulé nous nous réjouissons de faire écouter. Delicate, deep & loud intestinales et des beats à fendre le cerveau en deux et ÉCURIE est probablement l’un des improvisateurs vocaux les à cent à l’heure, avec une rigidité de structure et une Diffusion intégrale du cd ce soir par Francisco guitar exploration signés sur le culte label hip-hop underground Word- de l’Ilôt13 – 14 rue de Montbrillant plus fous/déchainés/tumultueux qui soit. Sa voix élas- intense discipline, pour un résultat aussi spasmodique Meirino, si possible à grand volume (pour que cela sound. Pour nous, à découvrir en tout cas. tique semble être capable de produire n’importe quel que faussement chaotique. prenne vraiment sens) et d’une durée de 36 minutres Junzo Suzuki (jap) son. Accompagné par les étranges sons générés par le et 42 secondes. electric guitar solo ÉCURIE de l’Ilôt13 – 14 rue de Montbrillant tuba de Carl Ludwig Hübsch et le tourne-disque d’un ÉCURIE de l’Ilôt13 – 14 rue de Montbrillant autre génial vétéran, Claus van Bebber, l’art décalé et Et, juste après la diffusion de Meirino et pour décidé- Figure guitaristique intense de la scène underground hautement spirituel/drôlatique de Jaap Blonk prend ment bien se préparer au bain de densité/bordel/folie « noire » tokyoïte, l’excellent guitariste JUNZO toute son ampleur, se démenant spectaculairement LUFFien qui s’annonce à Lausanne du 17 au 20 Oc- SUZUKI rappelle de manière dense et parfois incen- entre abrasion appliquée, langage fantaisiste, superpo- tobre, superbe venue de The Tenses, membres haute- diaire les univers électriques de Keiji Haino, Makoto La cave12 à l’ÉCURIE (#293) sitions sonores monstrueuses et effectives. La cave12 à l’ÉCURIE (#289) fidélité du légendaire et cultisme collectif SMEGMA, Kawabata (Acid Mother Temple) ou encore Mitsuro point d’achoppement névralgique de la fameuse et his- Tabata (Zeni Geva). JUNZO SUZUKI déverse un ma- mercredi 31 octobre 21 h 00 Du grand art improvisé avec une bienvenue touche dimanche 14 octobre 21 h 00 torique Los Angeles Free Music Society. Avec une ap- jestueusement lugubre jeu de guitare, fait d’allusions d’humour par 3 spécialistes aguerris du genre. Promet- proche « bordélique » à peut-être l’opposé du travail au blues et au folk qui l’ont inspiré (notamment le teur et, dans le genre, très très bon. tout en finesse de Francisco Meirino, mais, comme le pionnier black américain Lonnie Johnson), allusions Micro_Penis (fra) (début 21 h 30 précises !) dit si bien le grand manitou du LUFF, Thibault Walter : étreintes de boucles fantasmagoriques/fantomatiques Heyer : trompe, trombone, electronique, ÉCURIE de l’Ilôt13 – 14 rue de Montbrillant « Malgré la faille de San Andreas entre le boulot de emmêlées et de rafales de feed-back. Sa guitare réson- voix vernissage du label cave12 et Francisco et de The Tenses, cette soirée serait en fait nante et ses rifts méditatifs hantent un monde tendu et Kittel : sample, ordi, voix soirée pre-LUFF assez représentative des deux plaques noise toniques avide de calme miroitant et de dissonances en lévita- Ogrob : trompe, électronique, voix Francisco Meirino (che) californiennes ». tion. Passant du calme à la tempête abrasive et épous- Spenlehauer : sax, électronique, voix « Untitled Phenomenas In Concrete » touflante avec un volume abrupt et une énergie sou- + La cave12 à L’ÉCURIE (#288) diffusion live du nouveau cd Enfin, en première partie de soirée, une courte inter- tenue, fait de sonorités raclantes, de nuage électrique de FRANCISCO MEIRINO édité par le vention d’un autre résident Lausannois d’exception, le statique et de réverbération écrasante avant de retom- Yannick Franck (bel) méticuleux compositeur Kiko. C. Esseiva, qui propo- ber dans un blues-fantôme, plaintif et discret. mardi 9 octobre 21 h 00 label cave12 Auto Deconstructive Solo sera un fait d’une musique concrète remplie de poésie Le travail de Junzo Suzuki dégage une émotion + abstraite, où les sons prendront un malin plaisir à se puissante et crue, intensifiée à travers l’amplification Korekyojinn (jap) The Tenses (from SMEGMA/usa) mêler. Un assemblage dynamique d’instruments bri- jusqu’à devenir aussi abstraite qu’une douleur ressen- « Je ne veux pas que tu t’effraies ; laisse-les grincer des Yoshida Tatsuya (from Ruins alone, colés et objets sonores faits « maison » et de sons sur tie dans un rêve. dents tout à leur aise, car ils le font pour les pauvres Oblivia : tourne-disque, foutoir Zeni Geva, Acid Mothers Temple, etc. ) : bandes magnétiques manipulées en direct. bouillis. » — Dante. électronique, jouets/objets divers, voix, batterie, composition ÉCURIE de l’Ilôt13 – 14 rue de Montbrillant Nasuno Mitsuru (from Ground Zero, peut-être costume, collage vidéo, etc… ÉCURIE de l’Ilôt13 – 14 rue de Montbrillant Ben nous voilà prévenu. Une façade littéraire pour dis- Altered States, etc. ) : basse électrique Ju Suk Reet Meate : guitare électrique, simuler l’horreur débile mentale que peuvent être les Kido Natsuki (from Bondage Fruit, etc. ) : instruments divers, gadgets, jouets, voix, Micro_penis. Un bordel sonore et fiasco performatif guitare électrique collage vidéo, etc… (sur scène ils peuvent vraiment faire peur si leur cami- + La cave12 à l’ÉCURIE (#292) sole de force cérébrale part en éclat) et oh, un membre + La cave12 à l’Écurie (#290) de Ich Bin et Sun Plexus dans l’histoire ? Mm, pas Yowie (usa) Kiko C. Esseiva (che) dimanche 28 octobre 21 h 00 étonnant, avec un nom de groupe pareil. Bon, Micro_ Jeremiah Wonsewitz : guitare électrique Bandes magnétiques, instruments mardi 16 octobre 21 h 00 penis est un groupe Mulhousien formé de Heyer (Ptaz), Alexandre Kittel (Rosetta Stone), Ogrob (Sun Jimbo « Moppy » : guitare électrique bricolés et faits « maison » (concerts 21 h 30 précises !) Plexus, Ich Bin, l’Autopsie a révélé que la mort était Shawn O’Connor « The Defenestrator » : Dan Haywood’s new Hawks (gbr) due à l’autopsie), et Spenlehauer (Myself, Hell’s Gate, batterie Belle, belle, belle soirée en perspective, annoncée Dan Haywood : guitare, voix Aun (can) Hit the dog). Deux de ses membres font régulièrement comme une sorte de clin d’oeil PRE-LUFFien genevois Mikey : violon Martin Dumais : guitares, synthétiseurs, des séjours à l’Hôpital Psychiatrique (Haute-Sécurité) Grosse et excellente soirée d’’avant-rock progressif, (LUFF, on le rappelle, qui EST le meilleur et plus insen- Andy : mandoline violons, percussion de Rouffach en Alsace du Sud, et ils hurlent, grognent, polyrythmique, jazz-noise sur-aiguisé, avec un véri- sé Festival sonore de Suisse !!!) Julie Leblanc : voix, synthétiseurs, soufflent comme on sait pas trop quoi. table trio dream-team de l’historique scène expérimen- Dan Haywood est une incroyable nouvelle voix let- percussion, visuel live tale underground japonaise, KOREKYOJINN, derrière D’un côté, et nous ne sommes pas peu fiers, le ver- trée du folk anglais, délivrant une collection de chan- En tout cas, un sacré bordel autant scénique que so- qui se cache des figures aussi incontournables que le nissage de la sortie annuelle du label cave12, soit sons fabuleuses accompagné de son groupe dont les + nore et, ouaaaaaaaaaaaaaais, jubilatoire !!! batteur des Ruins, Zeni Geva ou Acid Mother Temple, l’incroyable et excellent travail d’assemblage/mon- envolées épiques marient racines cosmiques transat- [sic] (can) Pour amateurs de films d’horreur, d’art brut, de l’inénarrable et increvable Yoshida Tatsuya, avec à ses tage millimétrique et acharné du résident lausannois lantiques avec la profonde mélancolie du folk British. électronique, pédales de guitare, effets cruauté, de « Vol au dessus d’un nid de coucou », et de cotés le bassiste-pivot du cultisme groupe tokyoïte Francisco Meirino. Il nous fallait, ici, absolument sor- Une entité dont la folle présence scénique (avec divers certaines références du label No Fun Productions : un Ground Zero, Nasuno Mitsuru, et le guitariste incisif/ tir un enregistrement de cette montagne d’actionnisme musiciens changeant instruments et pouvoirs psy- + régal d’insupportable insolence provocatrice et dans le aiguisé du métallique groupe Bondage Fruit. et de production sonore inarrêtable qu’est Francisco chiques entre eux) leur a déjà assuré un statut culte proposé par Kro et nos amis de l’Ecurie : genre, fortement déconseillé (ou conseillé, c’est selon). Meirino. Devenu, avec le temps et à force d’abatte- en Angleterre. Fujako feat. MC Black Saturn Bref, un trio résumant à lui seul un pan de l’histoire ment/expérimentation sonique tout azimut, une pièce (bel/por/usa) Et en première partie, le courageux (parce qu’il ose se de la folie sauvage rock expérimentale japonaise de maîtresse et essentielle de la, mm, disons « post-mu- Dan Haywood lui-même est une figure frontale fasci- Industrial Hip-Hop frotter aux insupportables Micro_penis) performeur ces 30 dernières années, déversant un flux sur-jouis- sique concrète/noise/électroacoustique & autre… » nante, déclamant ses aventures avec une certaine dé- sonore belge Yannick Franck, qui développe une esthé- sif de rock progressif entrant en collision avec le helvète ET internationale, son oeuvre grandissante et lectation gauche et une étincelle bizarre dans les yeux, tique sonore mariant recherche fréquentielle ténue et jazz contemporain pour se transformer en en épous- exponentielle atteint par moments à des sommets de à la fois fou du roi et roi lui-même. En charismatique Belle soirée de grosse immersion sonore physique, avec murs de son abrasifs. À mi-chemin entre drone mu- touflant et futuriste hard-rock funk de tout premier maturités-profondeurs-qualités terrassantes. navigateur poète, il délivre une vaste cartographie deux actes de grosses sonorités droniques sensorielles sic incantatoire et immersions métallisées, le travail graphisme : Eva Rittmeyer Xavier Robel : impression Noir sur