Mardi 30 Janvier 2018 DS sera bien représentée au Salon Rétromobile Lors du Salon Rétromobile (du 7 au 11 février), la marque DS jouera les prolongations de la campagne présidentielle qui s’est tenue il y a un an en présentant le DS 7 Crossback Présidentiel, voiture d’exception spécialement conçue pour l’investiture du 25ème président de la République Française, Emmanuel Macron. Les véhicules qui ont accompagné les Présidents de la Vème République française, du Général de Gaulle à François Hollande, seront exposés à ses côtés avec les versions présidentielles des DS 21, SM et DS 5. Le patrimoine d’exception de DS sera également mis en valeur au travers de l’exposition de la DS 21 Pallas, voiture personnelle du Général de Gaulle, d’une DS 19 de 1961, l’une des dernières à emprunter le dessin d’origine de la DS de 1955, d’une DS Lorraine signée Chapron, ayant appartenu au Président du Sénat Alain Poher, et d’une SM de 1971 commandée par Line Renaud. Grâce au précieux concours de l’Amicale Citroën & DS France, celui des Clubs DS et SM et de DS Héritage, les visiteurs pourront apprécier l’excellence du savoir-faire français cher à DS Automobiles. (COMMUNIQUE DE PRESSE DS 29/1/18) Le véhicule d’occasion contribue à la performance du Groupe PSA Dans un entretien accordé au JOURNALAUTO.COM (29/1/18), le directeur de la business unit véhicules d’occasion du Groupe PSA, Marc Lechantre, dresse le bilan de sa première année d’activité. « Parmi nos développements, Aramis nous délivre beaucoup de satisfaction car l’entreprise continue sa croissance, de l’ordre de 20 % de hausse de chiffre d’affaires. Les synergies imaginées sont aujourd'hui à l'œuvre notamment dans le domaine du marketing, des économies de coûts sur quelques postes d’achats. Ce que l’on avait imaginé fonctionne. Enfin, nous avions investi dans Aramis pour accompagner son développement à l’international. Or, 2017 a connu la première étape de ce développement avec une implantation en Espagne », explique-t-il. Concernant la prise de participation de 34 % dans Autobiz, le dirigeant annonce « deux motifs de satisfaction : l’un vu de PSA et l’autre d’Autobiz. Nous avons signé ce partenariat pour progresser sur la data et le pricing, y compris sur nos métiers traditionnels. En tant que partenaire stratégique, nous avons maintenant une utilisation d’outils Autobiz beaucoup plus systématique dans nos process. Nous travaillons également sur la logique suivante : quel est le pricing VO dans l’ensemble de nos opérations ? Et nous y parvenons grâce à l’aide d’Autobiz, qui nous apporte une 1 vision européenne et sur la base d’une méthodologie et d’outils homogènes. Désormais, dans chaque filiale européenne, nous avons un pricing comity pour estimer, chaque mois, si notre positionnement prix, sur le BtoB, est pertinent pour tous les marchés. Comme Autobiz est présent dans tous les pays européens et dispose d’un portefeuille de clients très varié, ils ont cette capacité à être pertinents sur la quasi-totalité des pays européens ». « Nous avions deux priorités en termes de développement, qui étaient la Chine et l’Amérique latine. Le bilan est un peu plus mitigé. En Chine, nous n’avons pas encore déterminé le bon vecteur de développement sur ce marché, compliqué, qui échappe encore à notre réseau existant. En revanche, nous avons identifié désormais le chemin à parcourir pour y parvenir. Nous voulions également nous développer en Amérique latine, et nous avons trouvé un partenaire au Brésil (Autoavaliar), qui va nous permettre d'y développer un business VO. Le Brésil est le 3ème marché VO du monde. Cette société est positionnée sur le segment des ventes BtoB et son objectif est d’aider les professionnels de l’auto à faire des reprises avec une technologie très intéressante qui mixe les datas émanant du Net, mais aussi des concessionnaires. La base de pricing est ainsi extrêmement pertinente », explique par ailleurs M. Lechantre. Le dernier développement connu de la division concerne la plateforme Carventura. « Nous sommes restés très discrets pendant longtemps sur Carventura et, encore aujourd’hui, nous devons les laisser construire leur expérience et tester les fonctionnements. Les premiers mois d’existence nous confortent dans l’intuition et les choix réalisés. Nous devons opérer sur le CtoC pour ramener les clients particuliers dans le réseau et, pour ceux qui ne le souhaitent pas, leur apporter une aide dans la transaction », remarque en outre le dirigeant. « On a réalisé, tous canaux confondus, plus de 10 % de croissance cette année. Nous sommes donc dans le trend fixé, avec ce point d'étape en 2017 à 490 000 voitures environ. Nous sommes dans les temps sachant que nos objectifs sont mondiaux. Le véhicule d'occasion contribue à la performance de PSA », se félicite M. Lechantre. En 2018, « nous poursuivons notre travail sur les labels et les ventes BtoB. Ce sont deux axes que nous devons travailler en même temps. Nous ne sommes pas encore au bon niveau dans la gestion de notre Wholesale et nos labels. Nous pouvons encore nous améliorer, notamment sur la rotation et le pricing. Enfin, nous allons également axer nos efforts sur PSA Retail. Nous souhaitons en faire un groupe excellent en matière de VO en nous inspirant des meilleurs exemples hors d'Europe. Cela nécessite des modifications dans nos process et certains projets comme Cardayz vont nous y aider », ajoute-t-il. Renault prévoit de lancer de nombreux modèles d’ici à 2022 Renault prépare de nombreux modèles pour les quatre prochaines années, à commencer par la Mégane RS, commercialisée dès ce mois de février (la déclinaison Trophy complètera 2 le renouvellement de la famille Mégane fin 2018) et la cinquième génération de la Clio, qui devrait faire son apparition en septembre 2018, juste avant le Kangoo III (novembre 2018). La deuxième génération du Captur devrait être commercialisée en décembre 2019. Pour compléter l’offre des Captur, Scénic, Kadjar, Espace et Alaskan, la marque au losange envisagerait par ailleurs de se doter d’un petit véhicule de loisir chic : d’un gabarit plus restreint que celui du futur Captur, le modèle aurait une vocation sportive avec des trains- roulants typés dynamiques. Chez Dacia, outre le récent Duster II, on attend la Sandero Stepway II pour juin 2019. (AUTOPLUS 26/1/18) Renault Parc Entreprises peaufine son offre pour les petites flottes Dans sa conquête des flottes, Renault Parc Entreprises ajoute à son portefeuille un nouveau produit. Après avoir lancé pour les clients grands comptes Overlease, offre de LLD sur mesure de sa filiale de financement Diac, et Easy Pack pro, solution de crédit-bail pour les petites flottes, le groupement d’intérêt économique propose désormais Easy loc Pro. Cette offre vise les artisans-commerçants et professions libérales, ainsi que les très petites, petites et moyennes flottes. Outre un socle de prestations traditionnelles telles que le financement, l’entretien, l’assistance, la protection financière, ainsi que la possibilité de participer à un stade de récupération de point à tarif privilégié, Easy loc Pro intègre aussi trois solutions complémentaires : Easy Loc Business, pour la location d’un VP, additionne la provision Easy Restit pour anticiper les frais de remise en état du véhicule en fin de contrat ; Easy Loc Société pour la location d’un modèle de société, comprend le remplacement des pneumatiques ; et Easy Loc Pro+, adapté à la location d’un VU, intègre la compensation financière Garantie Secure en cas d’immobilisation de plus de quatre heures. En parallèle, Renault Parc Entreprise proposera à partir du premier semestre un nouvel espace client pour le pilotage de gestion du parc automobile et un assistant personnel digital. Sur cette application smartphone gratuite, l’utilisateur pourra obtenir des informations sur son véhicule et des conseils pratiques via un chatbot. (JOURNALAUTO.COM 29/1/18) Année stable pour les ventes de pneumatiques En léger déclin lors d'une grande partie de l'année, le marché des pneumatiques TC4 a réussi à inverser la tendance au tout dernier moment. A la faveur d'un mois de décembre particulièrement porteur, au cours duquel les ventes ont augmenté de 13,4 %, les TC4 (tourisme, VUL/4x4, VUL) ont finalement conclu l’exercice 2017 en hausse, d’après une étude réalisée par le cabinet GfK pour le compte du Syndicat des Professionnels du Pneu (SPP). Une croissance qu'il convient toutefois de pondérer avec une évolution globale très faible sur un an (+ 0,3 %) et davantage de mois négatifs que positifs (huit sur douze). Sans grande surprise, les pneumatiques de grandes dimensions (SUV & 4x4) ont porté le marché avec des ventes en progression de 12,3 %, alors que celles de pneumatiques pour camionnettes ont reculé de 1,2 %, enregistrant un deuxième exercice négatif d’affilée. Côté 3 prix, si ceux des VUL sont en baisse de deux points sur un an, les tarifs en SUV/4x4 et tourisme s'avèrent globalement stables avec une tendance à - 0,9 % dans le premier cas et à + 0,8 % dans le second. Au niveau des marques ensuite, si les acteurs du haut de gamme restent très largement majoritaires (58,6 % de part de marché), ces derniers voient leur mainmise sur le marché s'éroder avec des ventes en baisse de 5,4 %. A l'inverse, les marques B ont enregistré une progression de 16,3 %, pour une part de marché qui s’est établie à 19,1 %. Derrière elles, les marques de distributeurs ont gagné un peu plus de quatre points, grâce notamment à la période hivernale, alors que les « budget » se sont stabilisés (+ 0,3 %). Sur le plan de la saisonnalité, GfK et le SPP notent qu'après une année 2016 difficile, les ventes 2017 des pneus hiver ont été sauvées par les mois de janvier (+ 29,4 %) et de décembre (+53,3 %).
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