Premiers Pas Sur Scène

Premiers Pas Sur Scène

76 SIMPLE PLAN – L’HISTOIRE OFFICIELLE PREMIERS PAS SUR SCÈNE C’est sur la scène que le groupe a évacué les frustrations vécues au Les séances d’enregistrement se sont finalement terminées le cours de l’enregistrement de No Pads et la pression de voir d’autres 17 septembre 2001, soit cinq jours avant une nouvelle presta- groupes du même acabit, comme les Canadiens de Sum 41, appa- tion dans la métropole ontarienne, au Snow Jam, et une autre, à raître sur les palmarès au même moment. À l’époque, Coalition la mi-décembre, sur la scène de la Kool Haus. Seules les voix de Entertainment avait cru bon profiter de leur présence à Toronto deux collaborateurs, soit Mark Hoppus sur I’d Do Anything et Joel pour leur programmer des spectacles. Du coup, le nom de Simple Madden sur You Don’t Mean Anything to Me, seraient ajoutées Plan pourrait commencer à circuler dans la métropole ontarienne. plus tard. Le mixage a quant à lui été terminé pendant la période des Fêtes. Les cinq musiciens ont d’abord cassé la glace sur une scène secon- daire lors de la tournée Warped Tour, à Montréal et Toronto. Rien de trop prestigieux, mais leur participation leur a permis d’avoir un accès direct à un public parfait pour eux. Avant chacune de leurs prestations, les membres du groupe tentaient d’attirer des fans potentiels en se promenant dans la foule avec des écouteurs et des affiches annonçant leurs spectacles. Ils diffusaient ainsi la musique de leur maquette, qu’ils distribuaient gratuitement aux fans, puis invitaient ces derniers à assister à leur concert. Plus tard cet été-là, ils ont aussi assuré la première partie d’American Hi-Fi, à London et Ottawa, puis participé au Edgefest, en compa- gnie de Blink-182, New Found Glory, Sum 41, Mellincolin, Jimmy Eat World, Good Riddance, Good Charlotte, Project Wyze et Planet Smashers, à Toronto et Montréal. « Il y a un moment qui m’a énormément marqué, raconte Sébastien. C’était avant même la sortie du premier album, au Edgefest. On était le premier band sur la scène. Quand on est arrivés au refrain de Worst Day Ever, là où Pierre ne chante pas fort, je me souviens d’avoir entendu distinctement les gens chanter. C’était la première fois que ça arrivait. On avait joué quatre ou cinq fois à Toronto dans l’année. Les gens commençaient à nous connaî- tre un peu. ».

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