METROPOLITAN FILMEXPORT présente Un film Columbia Pictures et Annapurna Pictures Une production Atlas Entertainment Un film de David O. Russell AMERICAN BLUFF (American Hustle) Christian Bale Bradley Cooper Jeremy Renner Amy Adams Jennifer Lawrence Scénario : Eric Warren Singer et David O. Russell Image : Linus Sandgren, F.S.F. Décors : Judy Becker Montage : Jay Cassidy, A.C.E., Crispin Struthers, Alan Baumgarten, A.C.E. Costumes : Michael Wilkinson Musique : Danny Elfman Un film produit par Charles Roven, Richard Suckle, Megan Ellison, Jonathan Gordon Durée : 2h17 Sortie : 5 février 2014 Notre portail est à votre disposition. Inscrivez-vous à l’espace pro pour récupérer le matériel promotionnel du film sur : www.metrofilms.com Distribution : Relations presse : METROPOLITAN FILMEXPORT KINEMA FILM 29, rue Galilée - 75116 Paris François Frey Tél. 01 56 59 23 25 15, rue Jouffroy-d’Abbans – 75017 Paris Fax 01 53 57 84 02 Tél. 01 43 18 80 00 info@metropolitan -films.com Fax 01 43 18 80 09 Programmation : Partenariats et promotion : Tél. 01 56 59 23 25 AGENCE MERCREDI Tél. 01 56 59 66 66 1 L’HISTOIRE Entre fiction et réalité, AMERICAN BLUFF nous plonge dans l’univers fascinant de l’un des plus extraordinaires scandales à avoir secoué l’Amérique dans les années 70. Un escroc particulièrement brillant, Irving Rosenfeld, et sa belle complice, Sydney Prosser, se retrouvent obligés par un agent du FBI, Richie DiMaso, de nager dans les eaux troubles de la mafia et du pouvoir pour piéger un homme politique corrompu, Carmine Polito. Le piège est risqué, d’autant que l’imprévisible épouse d’Irving, Rosalyn, pourrait bien tous les conduire à leur perte… 2 NOTES DE PRODUCTION Toute ressemblance avec des faits réels ou des personnages ayant existé serait fortuite et involontaire, sauf que… David O. Russell, l’un des réalisateurs les plus intéressants de sa génération, à qui l’on doit HAPPINESS THERAPY – déJà avec Bradley Cooper et Jennifer Lawrence, FIGHTER avec Christian Bale et LES ROIS DU DÉSERT – revient avec une histoire de haut vol autour d’un piège aussi machiavélique que risqué. Une pluie de stars ont répondu présent pour donner vie à ce thriller virtuose d’une densité rare. Christian Bale, Bradley Cooper, Amy Adams, Jeremy Renner et Jennifer Lawrence, entre autres, se retrouvent au cœur d’une machination dans laquelle chacun a beaucoup à perdre. Le film est inspiré de l’un des scandales les plus retentissants qu’aient connu les États-Unis, baptisé « Abscam scandal » – Abscam étant la contraction du nom de la fausse entreprise créée par le FBI, Abdul , et de scam (arnaque) pour confondre des politiciens véreux. L’affaire aboutit à la condamnation d’un sénateur et de six membres de la Chambre des Représentants, entre autres. Comme touJours dans ses films, David O. Russell fait la part belle aux dialogues ciselés, aux situations pleines de suspense et d’enJeux, en dirigeant un plateau exceptionnel de stars avec qui il a déJà souvent travaillé. L’extrême finesse du script et la tension des personnages exigeait ce niveau de comédiens et de mise en scène. L’action du film se situe à la charnière des années 70 et 80 et réunit un couple de voleurs d’exception, un agent du FBI prêt à enfreindre les règles pour parvenir à ses fins, la mafia toute-puissante et des politiques qui n’œuvrent que pour eux. C’est une partie d’échecs où tout le monde est tour à tour le pion ou le roi. Une fois encore, David O. Russell signe un film rempli de personnages hauts en couleur servi par des comédiens prestigieux dans une intrigue qui ne ressemble à aucune autre. Une histoire d’amour, de métamorphose et de survie… AMERICAN BLUFF vient d’obtenir 7 nominations aux 71e Golden Globes qui auront lieu en Janvier 2014 : meilleur film, catégorie comédie ou comédie musicale, meilleur acteur (Christian Bale), meilleure actrice (Amy Adams), meilleur acteur dans un second rôle (Bradley Cooper), meilleure actrice dans un second rôle (Jennifer Lawrence), meilleur réalisateur (David O. Russell), meilleur scénario (David O. Russell). Les acteurs ont en outre été nommés au Screen Actors Guild Award de la meilleure interprétation d’ensemble, et Jennifer Lawrence à celui de la meilleure actrice dans un second rôle. AMERICAN BLUFF a également été couronné par quatre New York Film Critics Circle Awards dont celui du meilleur film, et nommé à huit Satellite Awards. 3 CHANGER POUR SURVIVRE Après FIGHTER et HAPPINESS THERAPY, AMERICAN BLUFF est le troisième film du réalisateur David O. Russell à mettre en scène des personnages prêts à tout pour changer de vie et se réinventer. Celui-ci déclare : « Ces films racontent l’histoire de personnages dont la vie ne s’est pas déroulée comme ils l’auraient voulu ou l’avaient prévu. Il y a chez eux quelque chose d’à la fois déchirant et de profondément attachant. Ils se cherchent et se demandent comment ils vont pouvoir reprendre goût à la vie. L’identité de ces personnages a volé en éclats et ils s’interrogent non seulement sur ce qu’ils vont devenir, mais aussi sur le moyen d’accorder à nouveau de l’importance à la vie, d’aimer. Il est important à mes yeux que ce soient des êtres passionnés qui aiment la vie ou l’ont profondément aimée, chacun à sa manière. C’est aussi important pour moi que leur persévérance et les épreuves qu’ils affrontent et dont ils doivent sortir grandis et plus humbles, avec un amour pour la vie intact ou renouvelé. Ce n’est pas un cliché lorsque Irving dit qu’il s’est fait tout seul. » AMERICAN BLUFF raconte l’histoire d’amour passionnée d’Irving Rosenfeld et Sydney Prosser, âmes sœurs et associés. David O. Russell commente : « L’amour qu’ils se portent leur donne une force particulière, dont tous ceux qui ont déJà aimé ont pu faire l’expérience. Lorsqu’on est amoureux, on est invincible, on vit quelque chose de sublime. Dans la première partie du film, Je tenais à expliquer comment ils étaient tombés amoureux, combien chacun se sent spécial dans le regard de l’autre et combien ils aiment leur vie. Arriver à décrire cet enchantement était essentiel. Le but était que l’on tombe sous le charme de leur appétit de vivre avant qu’ils ne connaissent des difficultés. Ils vont alors devoir se réinventer pour survivre… mais qu’adviendra-t-il alors de leurs sentiments ? » Le film traite en définitive de l’amour sous toutes ses formes. Le réalisateur déclare : « Il est question de l’amour que se portent Irving et Sydney, mais également de la brève relation entre Richie et Sydney, et des dernières étincelles du mariage d’Irving et Rosalyn. Il traite aussi de l’amitié entre Irving et Carmine, et du mariage de Carmine et Dolly. Et à bien des égards, le métier d’arnaqueur d’Irving est également romanesque, car il a le don d’envoûter ses interlocuteurs, de leur faire croire ce qu’il veut, de susciter leur désir et de les faire rêver. » Le producteur Charles Roven observe : « L’idée de l’escroquerie est présente dans tous les aspects du film. Qui Irving et Sydney arnaquent-ils vraiment : ceux à qui ils soutirent de l’argent, ou bien eux-mêmes, en se convainquant qu’ils ne font rien de mal ? Qui se sert de qui dans un couple ? Admire-t-on l’autre ou a-t-on seulement besoin de lui ? » Le producteur Richard Suckle commente : « Le thème principal du film est celui de l’arnaque, du bluff, qu’il s’agisse de tromper les autres ou soi-même. Lorsqu’on est pris au piège d’un métier que l’on déteste ou d’une relation toxique, on se persuade que ça n’est pas la fin du monde, que tout ira bien. Nous devons tous trouver le moyen de faire face, car nous n’avons pas le choix. Et c’est précisément ce que font les personnages du film. » L’idée de AMERICAN BLUFF est née dans l’esprit du scénariste Eric Warren Singer, qui a proposé à Charles Roven et Richard Suckle d’écrire un film sur le 4 scandale Abscam pour Atlas Entertainment. Son scénario a atterri sur la Black List. Il déclare : « Tous les escrocs sont de brillants conteurs – c’est la raison pour laquelle ils m’intéressent tant. Nous exerçons une profession similaire : raconter une histoire pour attirer le public comme s’il s’agissait d’une proie. Pour raconter une bonne histoire, il faut faire preuve d’autant de séduction qu’un arnaqueur. » Lorsque Charles Roven et Richard Suckle ont soumis le proJet à David O. Russell, celui-ci a proposé que le film s’attache moins aux tenants et aux aboutissants du scandale et davantage à l’intime, en invoquant ses souvenirs, son ressenti et sa propre imagination pour créer une fiction portée par des personnages forts. Il explique : « Dans les années 60 et 70, mon père était homme d’affaires. Il ressemblait beaucoup au père du personnage interprété par Christian Bale dans le film : il était scrupuleux et extrêmement honnête, et Je l’ai vu se faire duper dans les affaires. Les gens bien se font avoir. Et cela a eu un impact important sur ma famille, par conséquent, Je m’identifie aux deux facettes du personnage d’Irving : s’il admire l’homme honnête qu’était son père, il est prêt à tout pour ne pas finir comme lui. » Charles Roven commente : « Eric a fait un travail incroyable et a écrit un scénario palpitant. Inspiré par ce coup monté hors du commun, David a retravaillé le script d’Eric pour en faire une fiction sur le thème de la survie et la transformation de soi.
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