Dossier de presse Orléans, le mardi 16 juin 2015 Mairie d’Orléans - Festival Hip Hop Orléans 2015 Programme de la soirée du 27 juin Jardin de l’Evêché 18h-minuit Programme de la soirée du samedi 27 juin au Jardin de l'Evêché : • 18h30 - 19h : Black Jack • 19h15 - 19h45 : Nemo • 20h - 20h45 : Radikal MC • 21h - 22h : Blacko • 22h15 - 23h30 : Nemo 18h30 - 19h : Black Jack Artiste de rap orléanais, ancien membre du groupe Democrates D. 19h15 - 19h45 : Nemo (DJ orléanais) Le Captain Nemo a toujours été actif sur la scène rap d'Orléans. Animateur d'une émission spécialisée pendant 10 ans, il est aussi à l'origine du label Nautilus Recordz et membre du groupe Antipode. En produisant des disques et organisant de nombreux concerts et soirées, il a aidé à développer ce style musical dans la région orléanaise depuis la fin des années 90. Maintenant journaliste et DJ pour l’Abcdr du Son, le webzine rap de référence en France, Nemo continue de défricher la musique actuelle, toujours friand de nouveautés et d'innovations multimédia. Il proposera donc une sélection pointue mais dansante, un mix liant toutes ses influences, une recette pour tous les goûts." 20h - 20h45 : Radikal MC Radikal MC a tout juste dix ans quand il découvre le rap en 1997, à travers des artistes comme Kery James, IAM, Diam's ou encore le Saïan Supa Crew. L'évidence est flagrante, son amour pour le rap est né. Il crée alors son premier groupe avec deux amis d'enfance et écrit son premier texte. Entre 2001 et 2005, il enchaine ses premières séances d'enregistrement au sein du studio de la mythique association "Mouvement Authentique" (New Generation MC, Les Littles, EJM, Saliha...) et se succèdent les premiers concerts et premières parties d'artistes tels que Sinik ou encore le 113. Mais c'est seulement à 17 ans lorsqu'il se lance en solo, qu'il se distingue par un style d'écriture plus personnel. Dix ans plus tard, après un premier E.P. "Maturité" et deux mix-tapes gratuites ("#Kicktape"), Radikal MC nous présente aujourd'hui son premier album "Lever L'encre" dans les bacs depuis le 8 juin 2015. Plus d'infos sur : www.facebook.com/radikalmc www.radikalmc.com 1 21h - 22h : Blacko LE TEMPS EST COMPTE – MINI ALBUM / MAINTENANT DISPONIBLE ALBUM "Dualité" A VENIR « La musique, ça vient du coeur. Il y en a qui font des punchlines, moi j’écris des ’heart-lines’. » Les pieds sur le bitume et la tête dans les étoiles, Blacko est un artiste à part. Il a pour ainsi dire inventé son propre style, entre rap et reggae, hip hop et dancehall, flow et chant. Après un retour aux sources salvateur, il est désormais prêt à s’offrir une nouvelle jeunesse avec un EP aussi lourd que le poids de ses lyrics enfumés. Faya ! Avec ses longues dreadlocks noires et son charisme naturel, Karl Appela, alias Blacko, peut se targuer d’une carrière exemplaire. Celui qui a commencé en trainant ses guêtres dans les sessions « open-mic » du 9.3. de son enfance, Montfermeil, là où il a grandi en Seine-Saint-Denis, a connu un parcours mouvementé. Un chemin semé d’embûches, avec de nombreux hauts, notamment l’énorme succès commercial (disques d’or et Zéniths complets à l’appui) de son groupe de l’époque, Sniper, mais aussi quelques bas, comme cet accident de scooter qui a failli lui coûter la vie en 2009. Aujourd’hui, c’est avec le sourire qu’il se rappelle de cette époque difficile : « J’ai eu deux accidents de bécane en une semaine. On m’a refait un quart du visage. J’avais un casque semi-intégral et il s’est explosé dans ma tête. J’ai dû rester chez moi pendant six mois, du coup j’ai écrit. J’ai eu envie de faire un disque un peu spirituel ». En résulte Enfant du Soleil , un album reggae-roots mis en ligne gratuitement. « Ce n’est pas que je n’aimais plus le rap, j’ai commencé ma carrière en faisant du rap, mais j’avais envie de faire du reggae. C’est la musique que je préfère, donc j’avais envie d’une expérience dans ce style-là ». Ce « choc » physique et artistique permet à l’artiste de se remettre en question et de se redécouvrir en tant que personne. « J’avais besoin de prendre du recul. Dans la vraie vie je m’appelle Karl Appela. Je n’ai aucune formation à part la musique, j’ai arrêté l’école à 16 ans ! Ma formation professionnelle c’est ’1, 2 check le mic !’ ». C’est d’ailleurs avec quelques regrets que le « MC Reggaeman » se rappelle de ses débuts : « Ma conseillère d’orientation m’a fait une désorientation : elle m’a envoyé dans l’ébénisterie. Je n’ai pas compris ce qu’il se passait. J’ai pris la décision d’arrêter, et de me consacrer uniquement à la musique » . Quinze ans plus tard, il n’a pas changé, c’est toujours le même Blacko « à l’ancienne mais avec le mental d’un mec de son âge ! ». À 35 ans et père de famille, il se considère désormais trop vieux pour raconter des histoires. « Je chante ce que je ressens, ce que je pense, parce que l’on ne vit qu’une fois. La vie est trop courte pour jouer un rôle. Si demain tu prends un bus dans la gueule, tu seras mort dans quel film ? ». Il insiste : «Je ne me considère pas comme un rappeur. Je suis un griot. Un slammeur bizarre. Je n’ai même pas le terme. Mais un rappeur aujourd’hui, c’est trop de clichés : la voiture de sport, le cul qui remue à gauche, le flingue à droite… Ce n’est pas moi ça ! ». Ce nouveau projet, c’est donc un peu le meilleur des deux mondes, couvrant tous les spectres de sa carrière, allant du Black Renega, pointure rapologique, jusqu’à l’Afrikaf, ambianceur reconnu dans les meilleurs sound- systems. Soit la musicalité et l’énergie du hip hop additionnées à la sagesse et aux émotions transmises dans le reggae. Avec comme point d’orgue des textes audacieux, profonds et engagés. « Je dirai même plus : ’consciencial’. Ce mot n’existe pas, mais il signifie ’conscient et social’. » (Rires ). Blacko nous offre une flopée de chansons et de concepts forts, dont le premier single « Le Temps est Compté » signé E-Rise (compositeur pour Soprano, La Fouine ou encore Rohff, qui réalise ici la majorité des titres), le bien trempé « Préviens-les», le déterminé « La Rue c’est pas ma Mère », ou encore « Accroché à mes Rêves ». « On s’est trainé dans la boue, mais on est encore là ! Il faut continuer rêver, même en vieillissant, sinon ça ne sert rien. ». Six morceaux (et un titre bonus) qui montrent que Karl n’est pas prêt d’abandonner son art aux sirènes du « tout commercial ». Original, authentique, différent mais toujours détonnant. C’est ce qu’on appelle réussir son comeback ! 22h15 - 23h30 : Nemo Contact Presse : Thomas Galopin – 02 38 79 29 98 Votre espace presse est disponible sur [email protected] http://www.orleans.fr/espace-presse.htm www.orleans.fr www.agglo-orleans.fr www.facebook.com/OrleansetsonAgglO www.twitter.com/OrleansAgglO #OrleansetsonAgglO 2 .
Details
-
File Typepdf
-
Upload Time-
-
Content LanguagesEnglish
-
Upload UserAnonymous/Not logged-in
-
File Pages2 Page
-
File Size-