1 Table des matières 1- Préface 2- Introduction 3- Une offrande d’amour 4- Saï, l’Incarnation divine de notre ère Des Ondes de joyeuse espièglerie 5- Voyage à Puttaparthi 6- Le jeune Saï, le Bien-aimé du monde entier 7- L’Ashram 8- Saï, le Maître de musique 9- Le vieux Mandir 10- Célébrations de Dasara 1945 11- Saï Krishna 12- L’exorcisme 13- Saï le tendre coquin 14- Saï l’espiègle, inaccessible 15- Manifestations et faits stupéfiants 16- Des miracles exceptionnels 17- Saï, le plaisantin diverti 18- Le jeune Saï l’adorable farceur 19- L’extraction du poison 20- Les examens de fin d’études secondaires 21- Les grandes célébrations de Navaratri 22- Saï, ‘Homme des miracles 23- Le deuxième jour 24- Le troisième jour 25- Le quatrième jour 26- Le cinquième jour 27- Le sixième jour 28- Le septième jour 29- Le huitième jour 30- Le neuvième jour 31- Vijayadasami 32- Salutations à Ses pieds sacrés 33- Visite de Saï à Kuppam 34- Tour dans l’inde du Sud 35- L’arrangement du mariage 2 Des Ondes de miracles 36- Des miracles hilarants 37- Transe 38- Sai, le Protecteur de ses fidèles 39- Le mariage — 1948 Des Ondes d’Enseignement 40- Vijayadasami— 1949 41- Le Sauveur 42- Cérémonie d’inauguration de Prashanti Nilayam 43- Les nuits de pleine lune 44- Saï ne laissera pas se perdre la foi des croyants 45- Célébration de l’anniversaire de Swami — 1953 46- Le test— enquête 47- Le don de la vie (5-8-53) 48- Les doux discours de Swami 49- Quelques aperçus sur l’enfance de Swami 50- Les soixante ans de mon père 51- Dîpavali 52- Les rives du Chitravati, essence de la Spiritualité 53- Le service social 54- L’assemblée des poètes 55- Le rassemblement d’Anantapur 56- La Splendeur de l’Anniversaire 57- La cour de Venkatagiri 58- Le jardin de la méditation 59- La Déesse Lakshmi du Dasara 60- Nandavanam 61- Madras 62- Le Naturel de Swami 63- Les fermes résolutions de Sai 64- Sri Vedapurusha Saptaha Janayagne Mahotsavam — 1961 65- Je M’incarne d’ère en ère, pour le rétablissement de la justice 66- Conquête des trois mondes 67- La maladie de Swami 68- Sri Ratnakaram Pedavenkama Raju, l’homme béni 89- La maison de Brindavan 70- Célébration de l’investiture du cordon sacré (1964) 71- Le Srimantharn de Jalaja 72- Guru Purnima 73- La réunion des serviteurs volontaires 74- Première conférence mondiale 75- Dharmakshetra 3 76- Notre installation à Whitefield — 1968 77- Voyage de Swami en Afrique — 1968 78- La pratique du yoga en présence de Swami 79- L’innocence de Saï Des Ondes de directives sur l’Education 80- Balvikasi — Cours d’Eté 81- Vous êtes bénie, lshvaramba 82- Quelques réflexions anciennes 83- Notre famille 84- Le divin Médecin 85- Saï, notre Ami fidèle en temps d’épreuves 86- La grande chance du service volontaire 87- Le cosmos entier est Saï Glossaire 4 Préface La lecture de l’ouvrage Anyadhâ Saranam Nasthi, rédigé par Smt. Vijaya Kumari, en hommage intensément dévotionnel à Bhâgavan Sri Sathya Saï Baba, la Divinité incarnée de notre ère, a constitué pour moi une expérience de profond retournement de l’âme. Chaque aperçu des années de jeunesse de Bhâgavan, chaque détail sur l’amour débordant de Swami pour Ses fidèles, chaque description de Ses pouvoirs incroyables, qu’il s’agisse de matérialisation d’objets (de la vibhuti— cendre sacrée — aux bijoux en or et diamants ou aux figurines de Dieux), ou de Sa maîtrise en matière de clairvoyance, claire-audience, apports, etc., tout est utilisé par l’auteur pour mettre en évidence la compassion infinie de Swami à l’égard du genre humain, ainsi que Ses efforts inlassables pour créer un nouvel ordre mondial fondé sur la Vérité, la Bonté, la Paix et l’Amour. Cette ère est celle de Saï. Tout le monde se tourne vers Swami, parce que Son message divin de la « sâdhana — exercice spirituel — à travers le service » touche un besoin vital du moment et est le seul remède sûr pour accéder à une sérénité mentale durable en famille, dans la société qui nous entoure et dans le monde en général. La tâche de traduire cet ouvrage, je l’ai assumée en vue de partager avec tout un chacun l’expérience de la présence irrésistible de Swami que je fis par cotte lecture, et le zeste de complétude qu’elle imprima sur ma foi dans les divins Pieds de lotus de Saï qui nous guident tous vers un Havre de Paix, à travers les eaux houleuses, pleines de tensions et de mécanismes, de la vie moderne. Je me prosterne devant Swami, afin que, sous l’excuse de cette traduction, j’occupe mon temps à Le contempler et à méditer sur Son amour pour le genre humain, plutôt que de « tuer » ce temps en bavardages inutiles. J’exprime à Smt. Vijaya Kumari toutes mes félicitations pour avoir illuminé des milliers de cœurs ardents comme le mien par la lampe de son merveilleux ouvrage. J’étends mes sincères remerciements à tous mes frères en Sa?, tels que le Prof. Nanjundaiah, Sri Sri Râm et mes sœurs en Saï: Mademoiselle Sita Lakshmi et Smt. Vijaya Kumari pour leur aimable support moral. Je dois des remerciements particuliers aux membres du Centre Sathya Saï local, tels que le Prof. C. Bhakara Sarma, le Prof. C.V. Nageswara Sastry et Sridhar, pour avoir pris part à la préparation des clichés. Je suis reconnaissante à ma mère et à mes filles pour leur chaleureux soutien. Je reconnais avec gratitude l’aide précieuse de mon mari, le Prof. T. Ramesh Dutta, sans la cordiale collaboration de qui je n’aurais pas mené à terme mon aventure de traduction, afin qu’elle soit posée en offrande devant les Pieds de Lotus de Bhâgavan Sri Sathya Saï Baba, notre Swami bien-aimé, avec un abandon sincère: Anyathâ Saranam Nasthi — Tu es mon seul refuge — Andhra University Visakhapatnam, 9juin 1999 T. Padma 5 Préface à l’édition française Sri Sathya Sai Baba a dit à plusieurs reprises, à l’occasion de Ses discours, que l’homme actuel a perdu l’amour pour Dieu, la crainte de la faute et la moralité en société. Lisant l’ouvrage de Smt. Vijayamma, nous ne pouvons- nous abstenir de constater combien la société indienne a su maintenir ces trois points dans sa vie quotidienne, au moins jusqu’à nos jours. En Inde, la dévotion sincère à Dieu n’est généralement pas, comme en Occident, une attitude dont on cherche à se cacher, sous peine d’être pris en dérision par l’entourage. Les chercheurs spirituels et les sâdhus déferlent encore dans tout le pays, le long des grands fleuves sacrés ou dans les lieux de pèlerinages et les ashrams. Smt. Vijayamma nous enseigne pas à pas, par sa spontanéité et sa profondeur sans pareille, comment aimer Dieu « de tout son corps, de tout son cœur et de tout son esprit ». Avions-nous appris cette science parfaite? Ne nous a-t-on pas inculqué, dans le meilleur des cas, à craindre Dieu, mais bien peu à l’aimer? On trouve ici des traces du grand mouvement spirituel qui a marqué l’Hindouisme du XVIIe siècle, appelé Madhura Bhakti — la douceur de la dévotion à Dieu — et dont tant de saints ont été les interprètes, dans leur aspiration intense à réaliser l’unicité divine. Cette attitude d’abandon inconditionné à Saï Baba, cet Etre incommensurable qui incarne pleinement les qualités d’omniprésence, omniscience et toute- puissance, est une porte ouverte sur la grande aventure intérieure, celle du réveil et de l’épanouissement de la conscience du Soi. Grâce au Seigneur Saï, la Madhura Bhakti assume, à présent, un caractère universel d’amour de tous les êtres comme expressions du Divin, et se déploie en pure connaissance de sa propre divinité intérieure. Smt. Vijayamma nous offre son expérience, avec la modestie et la chaleur humaine des femmes indiennes éduquées strictement selon les normes de la culture traditionnelle. Son but est toujours celui d’exalter la figure et les actes du Seigneur Saï, sans jamais chercher à valoriser sa propre personne. Son témoignage nous est donc doublement précieux, car elle nous fait connaître des aspects de Sa? Baba qui seraient, sans elle, restés inexorablement inconnus à la plupart d’entre nous, venus tardivement aux pieds de ce Maître sacré. Notre profonde gratitude au Seigneur Sal et à Son instrument. La traductrice 6 OM SRI SAI RAM MES HOMMAGE A SAI KRISHNA J’ai griffonné en bref les paroles de Swami Bien plus que ne le permet mon habilité à écrire ! Car penser à Lui, c’est se sentir béni. Je Lui donne ce petit livre en offrande d’amour! 7 Introduction Les chapitres de cet ouvrage sont subdivisés en quatre parties, appelées successivement: Lîla Tarangani (Des ondes de joyeuse espièglerie), Mahima Tarangani (Des ondes de miracles), Upadesha Tarangani (Des ondes d’enseignements) et Vidya Tarangani (Des ondes de directives sur l’Education). Ces paroles recouvrent une signification profonde. Tarangani signifie «onde». A partir de l’instant où l’on entre dans les ondes, on se sent emporté par le courant. Comment sont ces «ondes»? Elles sont sans fin, elles ne s’arrêtent jamais. Jour après jour, les ondes viennent, les unes après les autres, incessamment. De la même façon, les Lîlas de Saï, incroyables et merveilleux, ne tarissent jamais. Ils se manifestent d’ère en ère, continuellement, et ses prodiges ne connaissent ni épuisement ni limites : ils se révèlent partout et à tout instant, simultanément. Lorsque le jour se lève, le soleil fait son apparition à l’est, pour disparaîtra ensuite derrière l’horizon à l’ouest, mais pas le Seigneur Saï.
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