6 décembre 2005 JOURNAL OFFICIEL DE LA REPUBLIQUE FRANCAISE Sommaire

Mardi 6 décembre 2005 / N° 283

SOMMAIRE ANALYTIQUE

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Décrets, arrêtés, circulaires

textes généraux

Premier ministre

1 Décret n° 2005-1495 du 5 décembre 2005 instituant un délégué interministériel à la Coupe du monde de rugby de 2007

ministère de l'intérieur et de l'aménagement du territoire

2 Décret n° 2005-1496 du 29 novembre 2005 fixant pour l'année 2005 le taux de concours prévu par l'article R. 1614-59 du code général des collectivités territoriales relatif au concours particulier créé au sein de la dotation générale de décentralisation au titre des ports maritimes départementaux de commerce et de pêche 3 Décret n° 2005-1497 du 29 novembre 2005 fixant pour l'année 2005 le taux de concours prévu par l'article R. 1614-79 du code général des collectivités territoriales relatif au concours particulier de la dotation générale de décentralisation pour les bibliothèques municipales 4 Décret du 29 novembre 2005 portant modification des limites territoriales de communes et de cantons du département du Bas-Rhin 5 Décret du 29 novembre 2005 portant modification des limites territoriales de communes et de cantons du département du Haut-Rhin 6 Arrêté du 25 octobre 2005 fixant les modalités d'organisation et le programme des concours pour le recrutement des officiers de la police nationale 7 Circulairedu14novembre2005relativeaudéveloppementduvolontariatchezlessapeurs-pompiers 6 décembre 2005 JOURNAL OFFICIEL DE LA REPUBLIQUE FRANCAISE Sommaire 6 décembre 2005 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Sommaire

ministère de la défense

8 Circulaire du 3 novembre 2005 relative au concours d'admission à l'Ecole polytechnique en 2006 (filières MP et PC)

ministère des affaires étrangères

9 Décret n° 2005-1498 du 29 novembre 2005 portant publication de l'accord entre le Gouvernement du Canada, les gouvernements d'Etats membres de l'Agence spatiale européenne, le Gouvernement du Japon, le Gouvernement de la Fédération de Russie et le Gouvernement des Etats-Unis d'Amérique sur la coopération relative à la station spatiale internationale civile (ensemble une annexe), fait à Washington le 29 janvier 1998

ministère de l'économie, des finances et de l'industrie

10 Arrêté du 5 décembre 2005 portant transfert de crédits industrie 11 Arrêté du 18 novembre 2005 autorisant la SNC COGESTAR 2 à exploiter une installation de production d'électricité 12 Arrêté du 24 novembre 2005 fixant le pourcentage de prise en compte, dans les charges de service public de l'électricité, de la participation instituée en faveur des personnes en situation de précarité 13 Arrêté du 24 novembre 2005 acceptant la renonciation à une concession de mines de houille 14 Arrêté du 24 novembre 2005 acceptant la renonciation à une concession de mines de houille 15 Arrêté du 24 novembre 2005 acceptant la renonciation à une concession de mines de houille 16 Arrêté du 24 novembre 2005 acceptant la renonciation à une concession de mines de houille 17 Arrêté du 1er décembre 2005 relatif à l'interdiction d'exploitation de canalisations de distribution de gaz en fonte grise 18 Circulaire du 1er décembre 2005 relative à la mise en oeuvre de l'arrêté du 1er décembre 2005 relatif à l'interdiction d'exploitation de canalisations de distribution de gaz en fonte grise

ministère de la justice

19 Arrêté du 3 décembre 2005 habilitant le garde des sceaux, ministre de la justice, à instituer des régies de recettes et des régies d'avances auprès des résidences administratives des directions régionales des services pénitentiaires, de la mission des services pénitentiaires d'outre-mer, des établissements pénitentiaires et des services pénitentiaires d'insertion et de probation ainsi que des régies de recettes et d'avances chargées de la gestion des comptes nominatifs des détenus auprès des établissements pénitentiaires 20 Arrêté du 3 décembre 2005 portant institution de régies de recettes et de régies d'avances chargées de la gestion des comptes nominatifs des détenus auprès des établissements pénitentiaires 21 Arrêté du 3 décembre 2005 portant suppression d'une régie d'avances

ministère des transports, de l'équipement, du tourisme et de la mer

22 Décret n° 2005-1499 du 5 décembre 2005 relatif à la consistance du réseau routier national 23 Décret n° 2005-1500 du 5 décembre 2005 portant application de l'article 18 de la loi n° 2004-809 du 13 août 2004 relative aux libertés et responsabilités locales 24 Arrêté du 23 novembre 2005 modifiant l'arrêté du 24 août 1995 fixant les taux des primes allouées à certains personnels techniques de l'aviation civile 25 Arrêté du 23 novembre 2005 fixant les montants de la prime de technicité prévue par le décret du 5 août 1970 modifié fixant le régime particulier des primes accordées à certains personnels techniques de la navigation aérienne 26 Arrêté du 24 novembre 2005 portant déclassement du domaine public routier national et remise au service des domaines pour aliénation d'une parcelle de terrain 27 Arrêté du 28 novembre 2005 autorisant au titre de l'année 2006 l'ouverture et fixant la date des épreuves écrites des concours pour le recrutement d'officiers de port (capitaines de port de 2e classe) 6 décembre 2005 JOURNAL OFFICIEL DE LA REPUBLIQUE FRANCAISE Sommaire 6 décembre 2005 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Sommaire

28 Arrêté du 28 novembre 2005 autorisant au titre de l'année 2006 l'ouverture et fixant la date des épreuves écrites du concours externe pour le recrutement d'officiers de port adjoints (lieutenants de port)

ministère de la santé et des solidarités

29 Arrêté du 24 novembre 2005 organisant le versement des sommes visées au 1° de l'article L. 251- 6-1 du code de la sécurité sociale au titre de 2004 30 Arrêté du 24 novembre 2005 modifiant la liste des spécialités pharmaceutiques remboursables aux assurés sociaux 31 Arrêté du 24 novembre 2005 modifiant la liste des spécialités pharmaceutiques agréées à l'usage des collectivités et divers services publics 32 Arrêté du 29 novembre 2005 désignant l'organisme de recouvrement du régime général habilité à gérer les déclarations et les paiements des particuliers employeurs utilisant le chèque emploi- service universel

ministère de l'agriculture et de la pêche

33 Arrêté du 15 novembre 2005 modifiant l'arrêté du 13 septembre 1985 portant règlement du pari mutuel 34 Arrêté du 29 novembre 2005 autorisant au titre de l'année 2006 l'ouverture de concours pour le recrutement d'ingénieurs-élèves du génie rural, des eaux et des forêts

ministère de l'écologie et du développement durable

35 Arrêté du 30 septembre 2005 modifiant l'arrêté du 28 juillet 2005 relatif à la vérification et à la quantification des émissions déclarées dans le cadre du système d'échange de quotas d'émission de gaz à effet de serre 36 Arrêté du 14 octobre 2005 fixant la liste des tortues marines protégées sur le territoire national et les modalités de leur protection 37 Arrêté du 15 novembre 2005 relatif aux justificatifs à apporter pour les demandes d'affectation et de conservation de quotas d'émission de gaz à effet de serre en cas d'installation nouvelle, d'installation modifiée ou de transfert d'activité

ministère des petites et moyennes entreprises, du commerce, de l'artisanat et des professions libérales

38 Arrêté du 24 novembre 2005 autorisant la chambre de commerce et d'industrie de -Côte d'Azur à recourir à l'emprunt 39 Arrêté du 24 novembre 2005 autorisant la chambre de commerce et d'industrie de Perpignan et des Pyrénées-Orientales à recourir à l'emprunt

mesures nominatives

ministère de l'intérieur et de l'aménagement du territoire

collectivités territoriales 40 Arrêté du 21 novembre 2005 portant nomination au conseil d'administration de l'Etablissement public chargé de l'aménagement du secteur IV de Marne-la-Vallée

ministère de la défense

41 Arrêté du 18 novembre 2005 portant maintien dans son emploi d'une officière recrutée au titre de l'article 29 du statut général des militaires 6 décembre 2005 JOURNAL OFFICIEL DE LA REPUBLIQUE FRANCAISE Sommaire 6 décembre 2005 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Sommaire

ministère des affaires étrangères

42 Arrêté du 14 novembre 2005 portant nomination au cabinet du ministre coopération, développement et francophonie 43 Arrêté du 1er décembre 2005 portant nomination à la commission du volontariat de solidarité internationale

ministère de l'économie, des finances et de l'industrie

44 Arrêté du 25 novembre 2005 portant radiation (administration centrale) 45 Arrêté du 28 novembre 2005 plaçant en position hors cadres (administrateurs civils) 46 Arrêté du 28 novembre 2005 portant détachement (chambres régionales des comptes) budget et réforme de l'état 47 Arrêtés du 21 novembre 2005 portant nomination (régisseurs d'avances) commerce extérieur 48 Arrêté du 28 novembre 2005 relatif à une situation administrative (services à l'étranger)

ministère de l'éducation nationale, de l'enseignement supérieur et de la recherche

49 Arrêtés du 25 novembre 2005 portant intégration (administration centrale) 50 Arrêté du 25 novembre 2005 portant nomination à une section du Comité national de la recherche scientifique 51 Arrêté du 25 novembre 2005 portant nomination à une commission interdisciplinaire du Comité national de la recherche scientifique 52 Arrêtés du 28 novembre 2005 portant intégration (administration centrale) 53 Arrêté du 28 novembre 2005 portant radiation (administration centrale)

ministère de la justice

54 Décret du 29 novembre 2005 portant détachement (magistrature) 55 Décret du 29 novembre 2005 portant maintien en disponibilité (magistrature) 56 Arrêté du 29 novembre 2005 portant désignation des membres du jury de l'examen professionnel pour l'accès au premier grade du corps des greffiers des services judiciaires au titre de l'année 2006 57 Arrêté du 3 décembre 2005 portant nomination (régisseurs de recettes et d'avances) 58 Arrêté du 3 décembre 2005 portant nomination (régisseurs de recettes et d'avances) 59 Arrêté du 3 décembre 2005 portant nomination (régisseurs de recettes et d'avances) 60 Arrêté du 3 décembre 2005 portant nomination (régisseurs de recettes et d'avances) 61 Décision du 3 décembre 2005 portant cessation de fonctions (régisseurs d'avances)

ministère de la santé et des solidarités

62 Arrêté du 1er décembre 2005 portant nomination du jury des cycles de formation continue de l'Ecole nationale supérieure de sécurité sociale pour l'année 2005

ministère de l'agriculture et de la pêche

63 Arrêté du 21 novembre 2005 fixant la composition de la commission disciplinaire nationale prévue à l'article D. 723-149 du code rural relatif au service de contrôle médical des régimes agricoles de protection sociale 6 décembre 2005 JOURNAL OFFICIEL DE LA REPUBLIQUE FRANCAISE Sommaire 6 décembre 2005 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Sommaire

ministère de la fonction publique

64 Arrêté du 25 octobre 2005 portant nomination à la commission commune de suivi des transferts de personnels entre l'Etat et les collectivités territoriales 65 Arrêté du 24 novembre 2005 portant suppression de bourse à un stagiaire du cycle de préparation au troisième concours d'entrée à l'Ecole nationale d'administration 66 Arrêté du 5 décembre 2005 portant cessation de fonctions au cabinet du ministre

ministère de la culture et de la communication

67 Arrêté du 25 novembre 2005 portant nomination à la commission chargée d'instruire et d'émettre unavisconsultatifsurlesdossiersdedemanded'agrémentdesorganismesassurantuneformation spécifique à la sécurité des spectacles

conventions collectives

ministère de l'emploi, de la cohésion sociale et du logement

68 Avis relatif à l'extension d'accords régionaux (Auvergne) conclus dans le cadre de la convention collective nationale des ouvriers employés par les entreprises du bâtiment non visées par le décret du 1er mars 1962 (c'est-à-dire occupant plus de dix salariés) 69 Avis relatif à l'extension d'accords régionaux (Auvergne) conclus dans le cadre de la convention collective nationale des ouvriers employés par les entreprises du bâtiment visées par le décret du 1er mars 1962 (entreprises occupant jusqu'à dix salariés) Cour des comptes

70 Avis du premier président de la Cour des comptes relatif à la nomination au tour extérieur à la Cour des comptes Conseil supérieur de l'audiovisuel

71 Décision n° 2005-916 du 15 novembre 2005 portant renouvellement d'un membre titulaire du comité technique radiophonique de Paris 72 Décision n° 2005-917 du 15 novembre 2005 portant attribution de fréquences à la société nationale de programme 2 73 Décision n° 2005-918 du 15 novembre 2005 portant attribution de fréquences à la société nationale de programme France 3 74 Information relative à la désignation des présidents des comités techniques radiophoniques de Paris et des Antilles-Guyane 75 Résultats de délibérations Autorité de régulation des communications électroniques et des postes

76 Décision n° 2005-0988 du 8 novembre 2005 fixant le taux de rémunération du capital employé pour évaluer les tarifs du dégroupage de la boucle locale de France Télécom pour les années 2006 et 2007 Informations parlementaires

Assemblée nationale

77 ORDRE DU JOUR 78 CONFÉRENCE DES PRÉSIDENTS 79 COMMISSIONS 6 décembre 2005 JOURNAL OFFICIEL DE LA REPUBLIQUE FRANCAISE Sommaire 6 décembre 2005 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Sommaire

80 DÉLÉGATIONS PARLEMENTAIRES 81 DOCUMENTS ET PUBLICATIONS

Sénat

82 ORDRE DU JOUR 83 COMMISSIONS 84 DÉLÉGATIONS PARLEMENTAIRES 85 DOCUMENTS PARLEMENTAIRES

commissions mixtes paritaires

86 RÉUNION

Offices parlementaires

87 OFFICE PARLEMENTAIRE D'ÉVALUATION DES CHOIX SCIENTIFIQUES ET TECHNOLOGIQUES (OPECST) Informations relatives au Conseil économique et social

88 ASSEMBLÉE PLÉNIÈRE 89 SECTIONS Avis et communications

avis de concours et de vacance d'emplois

ministère de l'économie, des finances et de l'industrie

90 Avis relatif à la nomination au tour extérieur à la Cour des comptes

ministère de la santé et des solidarités

91 Avis de vacance d'emplois de direction dans les établissements mentionnés à l'article 2 (1°, 2° et 3°) de la loi n°86-33 du 9 janvier 1986 modifiée portant dispositions statutaires relatives à la fonction publique hospitalière 92 Avis de vacance d'emplois de directeur des soins de la fonction publique hospitalière 93 Avis de concours professionnel sur titres pour le recrutement d'un cadre supérieur de santé (techniciens de laboratoire) 94 Avis de concours professionnels sur titres pour le recrutement de cadres supérieurs de santé 95 Avis relatifs à l'ouverture de concours sur titres pour le recrutement de conseillers en économie sociale et familiale de la fonction publique hospitalière 96 Avis relatifs à l'ouverture de concours sur titres pour le recrutement d'assistants socio-éducatifs (emploi d'assistant de service social) de la fonction publique hospitalière 97 Avis relatifs à l'ouverture de concours sur titres pour le recrutement d'assistants socio-éducatifs (emploi d'éducateur spécialisé) de la fonction publique hospitalière 98 Avis relatif à l'ouverture d'un concours sur titres pour le recrutement d'assistants socio-éducatifs (emploi d'éducateur spécialisé) de la fonction publique hospitalière 99 Avis relatif à l'ouverture d'un concours sur titres pour le recrutement d'un assistant socio-éducatif (assistant de service social) de la fonction publique hospitalière 100 Avis relatifs à l'ouverture de concours sur titres pour le recrutement d'éducateurs techniques spécialisés de la fonction publique hospitalière 6 décembre 2005 JOURNAL OFFICIEL DE LA REPUBLIQUE FRANCAISE Sommaire 6 décembre 2005 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Sommaire

101 Avis relatifs à l'ouverture de concours sur titres pour le recrutement d'éducateurs de jeunes enfants de la fonction publique hospitalière 102 Avis relatifs à l'ouverture de concours sur titres pour le recrutement de moniteurs-éducateurs de la fonction publique hospitalière 103 Avis relatif à l'ouverture d'un concours sur titres pour le recrutement de moniteurs-éducateurs de la fonction publique hospitalière 104 Avis relatifs à l'ouverture de concours sur titres pour le recrutement d'animateurs de la fonction publique hospitalière 105 Avis d'examen professionnel pour le recrutement d'un technicien supérieur hospitalier-chef 106 Avis de concours externes sur titres pour le recrutement de techniciens supérieurs hospitaliers

avis divers

ministère de l'économie, des finances et de l'industrie

107 Avis relatif au jeu n° 175 Cote & Match 108 Résultats des tirages du Loto du samedi 3 décembre 2005 109 Résultats de l'événement n° 174 Cote & Match du samedi 3 décembre 2005 et du dimanche 4 décembre 2005 110 Résultats des tirages du Keno du samedi 3 décembre 2005 et du dimanche 4 décembre 2005 111 Résultats du Loto Foot 15 n° 66 et Loto Foot 7 n° 82

ministère de la santé et des solidarités

112 Avis relatif à la décision de l'Union nationale des caisses d'assurance maladie portant fixation du taux de participation de l'assuré applicable à des spécialités pharmaceutiques 113 Avis relatif aux prix de spécialités pharmaceutiques Informations diverses

liste de cours indicatifs

114 Cours indicatifs du 5 décembre 2005

statistique mensuelle des vins

115 Relevé par département des stocks de vins campagne 2004-2005 Annonces

116 Annonces judiciaires et légales (textes 116 et 117) 118 Demandes de changement de nom 6 décembre 2005 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 1 sur 118

Décrets, arrêtés, circulaires

TEXTES GÉNÉRAUX

PREMIER MINISTRE

Décret no 2005-1495 du 5 décembre 2005 instituant un délégué interministériel à la Coupe du monde de rugby de 2007

NOR : PRMX0508890D

Le Premier ministre, Vu la Constitution, notamment son article 37, Décrète : Art. 1er.−Il est institué, auprès du ministre chargé des sports, un délégué interministériel à la Coupe du monde de rugby de 2007. Art. 2. − Le délégué interministériel anime et coordonne les activités des administrations de l’Etat et des établissements publics nationaux concourant à l’accueil en France de la Coupe du monde de rugby de 2007. Il assure les relations de l’Etat avec le comité d’organisation de la Coupe du monde de rugby de 2007 et, en lien avec les préfets, avec les collectivités territoriales intéressées par cette manifestation. Il participe aux actions d’information du public. Il suscite ou encourage les initiatives destinées à tirer parti de cette manifestation dans les domaines économique, social et culturel. Il conseille le Gouvernement dans la définition des modalités d’accueil des autres grandes manifestations sportives de dimension internationale dont l’organisation incombe à la France. Art. 3. − Un comité de coordination est placé auprès du délégué interministériel, qui en assure la présidence. Ce comité comprend, outre un représentant du ministre chargé des sports : – un représentant du ministre de l’intérieur ; – un représentant du ministre de la défense ; – un représentant du ministre des affaires étrangères ; – un représentant du ministre chargé de l’économie ; – un représentant du ministre chargé du budget ; – un représentant du ministre chargé de l’éducation nationale ; – un représentant du ministre chargé des transports et de l’équipement ; – un représentant du ministre chargé du tourisme ; – un représentant du ministre chargé de la santé ; – un représentant du ministre de la culture. D’autres ministres peuvent être appelés à se faire représenter aux travaux du comité, selon la nature des questions inscrites à son ordre du jour. Les préfets des régions et des départements concernés sont associés, en tant que de besoin, à ses travaux. Le représentant du comité d’organisation de la Coupe du monde de rugby de 2007 peut être invité à participer aux travaux du comité. Le comité se réunit sur convocation du délégué interministériel, qui en fixe l’ordre du jour. Art. 4. − Pour l’exercice de ses missions, le délégué interministériel dispose des services et organismes placés sous l’autorité du ministre chargé des sports. Il peut faire appel, en tant que de besoin, aux services des autres ministères représentés au comité de coordination. Il peut bénéficier du concours d’agents mis à sa disposition par ces ministères ainsi que par des établissements publics relevant de l’Etat. Art. 5. − Le ministre d’Etat, ministre de l’intérieur et de l’aménagement du territoire, la ministre de la . défense, le ministre des affaires étrangères, le ministre de l’économie, des finances et de l’industrie, le ministre .

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de l’éducation nationale, de l’enseignement supérieur et de la recherche, le ministre des transports, de l’équipement, du tourisme et de la mer, le ministre de la santé et des solidarités, le ministre de la culture et de la communication et le ministre de la jeunesse, des sports et de la vie associative sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent décret, qui sera publié au Journal officiel de la République française. Fait à Paris, le 5 décembre 2005. DOMINIQUE DE VILLEPIN Par le Premier ministre : Le ministre d’Etat, ministre de l’intérieur et de l’aménagement du territoire, NICOLAS SARKOZY La ministre de la défense, MICHÈLE ALLIOT-MARIE Le ministre des affaires étrangères, PHILIPPE DOUSTE-BLAZY Le ministre de l’économie, des finances et de l’industrie, THIERRY BRETON Le ministre de l’éducation nationale, de l’enseignement supérieur et de la recherche, GILLES DE ROBIEN Le ministre des transports, de l’équipement, du tourisme et de la mer, DOMINIQUE PERBEN Le ministre de la santé et des solidarités, XAVIER BERTRAND Le ministre de la culture et de la communication, RENAUD DONNEDIEU DE VABRES Le ministre de la jeunesse, des sports et de la vie associative, JEAN-FRANÇOIS LAMOUR

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Décrets, arrêtés, circulaires

TEXTES GÉNÉRAUX

MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR ET DE L’AMÉNAGEMENT DU TERRITOIRE

Décret no 2005-1496 du 29 novembre 2005 fixant pour l’année 2005 le taux de concours prévu par l’article R. 1614-59 du code général des collectivités territoriales relatif au concours particulier créé au sein de la dotation générale de décentralisation au titre des ports maritimes départementaux de commerce et de pêche

NOR : INTB0500327D

Le Premier ministre, Sur le rapport du ministre d’Etat, ministre de l’intérieur et de l’aménagement du territoire, du ministre de l’économie, des finances et de l’industrie, du ministre des transports, de l’équipement, du tourisme et de la mer, du ministre de l’outre-mer, du ministre délégué aux collectivités territoriales et du ministre délégué au budget et à la réforme de l’Etat, porte-parole du Gouvernement, Vu le code général des collectivités territoriales, et notamment ses articles L. 1614-1, L. 1614-4, L. 1614-8 ainsi que les articles R. 1614-58 à R. 1614-63 ; Vu la loi no 83-663 du 22 juillet 1983 complétant la loi no 83-8 du 7 janvier 1983, et notamment son article 6 ; Vu l’avis du comité des finances locales en date du 5 juillet 2005, Décrète : Art. 1er.−Le taux de concours de l’Etat défini à l’article R. 1614-59 du code général des collectivités territoriales, applicable aux dépenses d’investissement d’infrastructure portuaire que les départements réalisent directement ou subventionnent au titre de l’exercice budgétaire 2005, est fixé à 34,81 %. Art. 2. − Le ministre d’Etat, ministre de l’intérieur et de l’aménagement du territoire, le ministre de l’économie, des finances et de l’industrie, le ministre des transports, de l’équipement, du tourisme et de la mer, le ministre de l’outre-mer, le ministre délégué au budget et à la réforme de l’Etat, porte-parole du Gouvernement, et le ministre délégué aux collectivités territoriales sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent décret, qui sera publié au Journal officiel de la République française. Fait à Paris, le 29 novembre 2005. DOMINIQUE DE VILLEPIN Par le Premier ministre : Le ministre d’Etat, ministre de l’intérieur et de l’aménagement du territoire, NICOLAS SARKOZY Le ministre de l’économie, des finances et de l’industrie, THIERRY BRETON Le ministre des transports, de l’équipement, du tourisme et de la mer, DOMINIQUE PERBEN Le ministre de l’outre-mer, FRANÇOIS BAROIN Le ministre délégué au budget et à la réforme de l’Etat, porte-parole du Gouvernement, JEAN-FRANÇOIS COPÉ Le ministre délégué aux collectivités territoriales, . BRICE HORTEFEUX .

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TEXTES GÉNÉRAUX

MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR ET DE L’AMÉNAGEMENT DU TERRITOIRE

Décret no 2005-1497 du 29 novembre 2005 fixant pour l’année 2005 le taux de concours prévu par l’article R. 1614-79 du code général des collectivités territoriales relatif au concours particulier de la dotation générale de décentralisation pour les bibliothèques municipales

NOR : INTB0500328D

Le Premier ministre, Sur le rapport du ministre d’Etat, ministre de l’intérieur et de l’aménagement du territoire, du ministre de l’économie, des finances et de l’industrie, du ministre de la culture et de la communication, du ministre de l’outre-mer, du ministre délégué aux collectivités territoriales et du ministre délégué au budget et à la réforme de l’Etat, porte-parole du Gouvernement, Vu le code général des collectivités territoriales, et notamment ses articles L. 1422-1, L. 1614-1, L. 1614-4, L. 1614-10 ainsi que les articles R. 1614-75 à R. 1614-81, R. 1614-102 et R. 1614-103 ; Vu la loi no 83-663 du 22 juillet 1983 complétant la loi no 83-8 du 7 janvier 1983, et notamment son article 61-2 ; Vu le décret no 86-102 du 20 janvier 1986 relatif à l’entrée en vigueur du transfert de compétences dans le domaine de la culture ; Vu l’avis du comité des finances locales du 5 juillet 2005, Décrète : Art. 1er.−Le taux de concours prévu par l’article R. 1614-79 du code général des collectivités territoriales est fixé à 3,16 % au titre de l’exercice 2005. Art. 2. − Le ministre d’Etat, ministre de l’intérieur et de l’aménagement du territoire, le ministre de l’économie, des finances et de l’industrie, le ministre de la culture et de la communication, le ministre de l’outre-mer, le ministre délégué au budget et à la réforme de l’Etat, porte-parole du Gouvernement, et le ministre délégué aux collectivités territoriales sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent décret, qui sera publié au Journal officiel de la République française. Fait à Paris, le 29 novembre 2005. DOMINIQUE DE VILLEPIN Par le Premier ministre : Le ministre d’Etat, ministre de l’intérieur et de l’aménagement du territoire, NICOLAS SARKOZY Le ministre de l’économie, des finances et de l’industrie, THIERRY BRETON Le ministre de la culture et de la communication, RENAUD DONNEDIEU DE VABRES Le ministre de l’outre-mer, FRANÇOIS BAROIN Le ministre délégué au budget et à la réforme de l’Etat, porte-parole du Gouvernement, JEAN-FRANÇOIS COPÉ Le ministre délégué aux collectivités territoriales, . BRICE HORTEFEUX .

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TEXTES GÉNÉRAUX

MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR ET DE L’AMÉNAGEMENT DU TERRITOIRE

Décret du 29 novembre 2005 portant modification des limites territoriales de communes et de cantons du département du Bas-Rhin

NOR : INTA0500325D

Le Premier ministre, Sur le rapport du ministre d’Etat, ministre de l’intérieur et de l’aménagement du territoire, Vu le code général des collectivités territoriales, notamment ses articles L. 2112-2 et suivants ; Vu les délibérations du conseil municipal d’Obernai en date du 29 juin 1994 et du 10 juillet 2000 ; Vu les délibérations du conseil municipal de Boersch en date du 24 juin 1994 et du 30 juin 2000 ; Vu l’avis émis par le conseil général du Bas-Rhin le 16 octobre 2000 ; Vu le plan des lieux (*) ; Vu le procès-verbal de l’enquête publique ouverte par arrêté préfectoral du 2 mai 2000 ; Vu les autres pièces du dossier ; Le Conseil d’Etat (section de l’intérieur) entendu, Décrète : Art. 1er.−La partie de territoire de la commune d’Obernai (canton d’Obernai, arrondissement de Sélestat- Erstein, département du Bas-Rhin), d’une superficie de 356,18 ares, dont le pourtour figure en jaune sur le plan annexé au présent décret, est rattachée à la commune de Boersch (canton de Rosheim, arrondissement de Molsheim, département du Bas-Rhin). Art. 2. − La partie de territoire de la commune de Boersch (canton de Rosheim, arrondissement de Molsheim, département du Bas-Rhin), d’une superficie de 31,98 ares, dont le pourtour figure en bleu sur le plan annexé au présent décret, est rattachée à la commune d’Obernai (canton d’Obernai, arrondissement de Sélestat-Erstein, département du Bas-Rhin). Art. 3. − Ces rattachements sont effectués sans préjudice des droits d’usage ou autres qui peuvent avoir été acquis. Art. 4. − Les conseils municipaux des deux communes sont maintenus en fonction. Art. 5. − Ces modifications n’entraînent aucun changement dans la population des communes. Art. 6. − Les limites territoriales des cantons d’Obernai et de Rosheim ainsi que des arrondissements de Sélestat-Erstein et de Molsheim sont modifiées en conséquence de la délimitation résultant des articles 1er et 2. Art. 7. − Les modalités particulières de ces modifications, notamment en matière financière et patrimoniale, seront fixées en tant que de besoin par arrêté du préfet. Art. 8. − Le ministre d’Etat, ministre de l’intérieur et de l’aménagement du territoire, est chargé de l’exécution du présent décret, qui sera publié au Journal officiel de la République française. Fait à Paris, le 29 novembre 2005. DOMINIQUE DE VILLEPIN Par le Premier ministre : Le ministre d’Etat, ministre de l’intérieur et de l’aménagement du territoire, NICOLAS SARKOZY

. (*) Le plan des lieux pourra être consulté à la préfecture du Bas-Rhin. .

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Décrets, arrêtés, circulaires

TEXTES GÉNÉRAUX

MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR ET DE L’AMÉNAGEMENT DU TERRITOIRE

Décret du 29 novembre 2005 portant modification des limites territoriales de communes et de cantons du département du Haut-Rhin

NOR : INTA0500326D

Le Premier ministre, Sur le rapport du ministre d’Etat, ministre de l’intérieur et de l’aménagement du territoire, Vu le code général des collectivités territoriales, notamment les articles L. 2112-2 et suivants ; Vu les délibérations du conseil municipal de Mulhouse en date du 5 mai 1997, du 10 juillet 2000 et du 15 avril 2002 ; Vu les délibérations du conseil municipal d’Illzach en date du 16 juin 1997, du 15 juin 1998, du 16 octobre 2000 et du 18 mars 2002 ; Vu l’avis émis par le conseil général du Haut-Rhin au cours de sa séance du 25 février 2005 ; Vu les plans des lieux (*) ; Vu le procès-verbal de l’enquête publique ouverte par arrêté préfectoral du 19 octobre 2001 ; Vu les autres pièces du dossier ; Le Conseil d’Etat (section de l’intérieur) entendu, Décrète : Art. 1er.−La partie de territoire de la commune de Mulhouse (canton de Mulhouse-Est, arrondissement de Mulhouse, département du Haut-Rhin), d’une superficie de 29 ares 78 centiares, figurant en teinte bleue sur le plan annexé au présent décret, est rattachée à la commune d’Illzach (canton d’Illzach, mêmes arrondissement et département). Art. 2. − La partie de territoire de la commune d’Illzach, d’une superficie de 2 hectares 64 ares 99 centiares, figurant en teinte rouge sur le plan annexé au présent décret, est rattachée à la commune de Mulhouse. Art. 3. − Ces rattachements sont effectués sans préjudice des droits d’usage ou autres qui peuvent avoir été acquis. Art. 4. − Les conseils municipaux des deux communes sont maintenus en fonction. Art. 5. − Ces modifications n’entraînent aucun changement dans la population des communes. Art. 6. − Les limites territoriales des cantons de Mulhouse-Est et d’Illzach sont modifiées en conséquence de la délimitation résultant des articles 1er et 2. Art. 7. − Les modalités particulières de cette modification, notamment en matière financière et patrimoniale, seront fixées en tant que de besoin par arrêté du préfet. Art. 8. − Le ministre d’Etat, ministre de l’intérieur et de l’aménagement du territoire, est chargé de l’exécution du présent décret, qui sera publié au Journal officiel de la République française. Fait à Paris, le 29 novembre 2005. DOMINIQUE DE VILLEPIN Par le Premier ministre : Le ministre d’Etat, ministre de l’intérieur et de l’aménagement du territoire, NICOLAS SARKOZY

. (*) Les plans des lieux pourront être consultés à la préfecture du Haut-Rhin. .

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Décrets, arrêtés, circulaires

TEXTES GÉNÉRAUX

MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR ET DE L’AMÉNAGEMENT DU TERRITOIRE

Arrêté du 25 octobre 2005 fixant les modalités d’organisation et le programme des concours pour le recrutement des officiers de la police nationale

NOR : INTC0500642A

Le ministre d’Etat, ministre de l’intérieur et de l’aménagement du territoire, et le ministre de la fonction publique, Vu la loi no 48-1504 du 28 septembre 1948 modifiée relative au statut spécial des personnels de police ; Vu la loi no 66-492 du 9 juillet 1966 modifiée portant organisation de la police nationale ; Vu la loi no 83-634 du 13 juillet 1983 modifiée portant droits et obligations des fonctionnaires, ensemble la loi no 84-16 du 1l janvier 1984 modifiée portant dispositions statutaires relatives à la fonction publique de l’Etat ; Vu la loi no 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée d’orientation et de programmation relative à la sécurité ; Vu le décret no 94-741 du 30 août 1994 modifié relatif à l’assimilation pour l’accès aux concours de la fonction publique de l’Etat, des diplômes délivrés dans d’autres Etats membres de la Communauté européenne et Etats associés ; Vu le décret no 95-654 du 9 mai 1995 modifié fixant les dispositions communes applicables aux fonctionnaires actifs des services de la police nationale ; Vu le décret no 2005-716 du 29 juin 2005 portant statut particulier du corps de commandement de la police nationale, notamment ses articles 6 et 7 ; Sur la proposition du directeur général de la police nationale,

Arrêtent :

TITRE Ier DE LA NATURE ET DES MODALITÉS DES ÉPREUVES

CHAPITRE Ier Epreuves du concours externe Art. 1er.−Le concours externe d’officier de la police nationale, prévu au II de l’article 6 du décret du 29 juin 2005 susvisé, comporte des épreuves d’admissibilité et d’admission.

1. Admissibilité Le principe de l’anonymat est garanti lors du passage des épreuves. Les épreuves d’admissibilité comportent : Une épreuve de culture générale consistant en une dissertation sur un sujet faisant appel à des connaissances générales (durée : quatre heures ; coefficient 4). Une épreuve de note de synthèse à partir d’un dossier à caractère général sur un sujet d’actualité (durée : quatre heures ; coefficient 4). Une épreuve portant sur le droit pénal général et/ou la procédure pénale (durée : trois heures ; coefficient 4). Une épreuve obligatoire à option (durée : trois heures ; coefficient 3), au choix parmi les matières suivantes : – droit public (droit administratif, droit constitutionnel, libertés publiques) et institutions européennes ; – droit privé : droit civil, droit des affaires ; . – géographie économique et humaine ; .

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– histoire contemporaine ; – technologies de l’information et de la communication ; – mathématiques et statistique ; – psychologie ; – sciences économiques ; – sociologie des organisations et gestion des ressources humaines. Le candidat indique, sur sa demande d’inscription, la matière à option choisie. Il ne peut en aucun cas en changer au moment des épreuves. Les épreuves écrites font l’objet d’une double correction. Les candidats doivent se présenter à l’ensemble des épreuves. A l’admissibilité, les candidats passent en outre des tests psychotechniques destinés à évaluer leur profil psychologique et leur capacité à travailler en groupe (durée : deux heures trente). Les résultats de ces tests sont utilisés à l’admission.

2. Admission a) Elle comporte des épreuves obligatoires : Un entretien d’évaluation permettant d’apprécier les qualités de réflexion et les connaissances du candidat ainsi que son aptitude et sa motivation à exercer l’emploi postulé (durée : trente minutes ; coefficient 5). Toute note inférieure à 5 sur 20 est éliminatoire. Les membres du jury disposent, pour aide à la décision, des résultats des tests psychotechniques passés par le candidat au moment de l’admissibilité, interprétés par le psychologue. Une interrogation orale portant sur une épreuve à option (durée : vingt minutes ; coefficient 2), au choix parmi les matières non retenues à l’épreuve d’admissibilité. La matière obligatoire à option, choisie lors de l’inscription, ne peut en aucun cas faire l’objet d’un changement lors des épreuves orales. Une épreuve orale de langue étrangère consistant en une conversation (durée : quinze minutes ; coefficient 3). Les langues admises sont l’allemand, l’anglais, l’arabe, l’espagnol, l’italien. Le candidat indique son choix dans sa demande d’inscription au concours. Il ne peut en aucun cas en changer au moment des épreuves. Des épreuves d’exercices physiques, dont la nature et les barèmes sont fixés par arrêté du ministre de l’intérieur et de l’aménagement du territoire et du ministre chargé de la fonction publique (coefficient 3). b) Une épreuve orale facultative de langue étrangère consistant en une conversation (durée : quinze minutes ; coefficient 1). Seuls les points au-dessus de la moyenne sont pris en compte. Les langues admises sont le grec, le japonais, le mandarin, le néerlandais, le polonais, le portugais, le russe, le turc. Le candidat indique son choix dans sa demande d’inscription au concours. Il ne peut en aucun cas en changer au moment des épreuves.

CHAPITRE II Epreuves du concours interne Art. 2. − Le concours interne d’officier de la police nationale, prévu au III de l’article 6 du décret du 29 juin 2005 susvisé, comporte des épreuves d’admissibilité et d’admission.

1. Admissibilité Le principe de l’anonymat est garanti lors du passage des épreuves. Les épreuves d’admissibilité comprennent : Une épreuve de culture générale consistant en une dissertation sur un sujet faisant appel à des connaissances générales (durée : quatre heures ; coefficient 4). Une épreuve de note de synthèse à partir d’un dossier sur un sujet en rapport avec la sécurité intérieure (durée : quatre heures ; coefficient 4). Un questionnaire à choix multiple portant sur l’organisation et le fonctionnement de la police nationale (durée : deux heures ; coefficient 3). Les épreuves écrites font l’objet d’une double correction, à l’exception du questionnaire à choix multiple. Les candidats doivent se présenter à l’ensemble des épreuves. A l’admissibilité, les candidats passent en outre des tests psychotechniques destinés à évaluer leur profil psychologique et leur capacité à travailler en groupe (durée : deux heures trente). Les résultats de ces tests sont . utilisés à l’admission. .

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2. Admission a) Elle comporte des épreuves obligatoires : Un entretien d’évaluation permettant d’apprécier les qualités de réflexion et les connaissances du candidat ainsi que son aptitude et sa motivation à exercer l’emploi postulé (durée : trente minutes ; coefficient 5). Toute note inférieure à 5 sur 20 est éliminatoire. Les membres du jury disposent, pour aide à la décision, des résultats des tests psychotechniques passés par le candidat au moment de l’admissibilité, interprétés par le psychologue. Une interrogation orale portant sur le droit pénal général et/ou le droit pénal spécial et/ou la procédure pénale (durée : vingt minutes ; coefficient 3). Une épreuve orale de langue étrangère consistant en une conversation (durée : quinze minutes ; coefficient 3). Les langues admises sont l’allemand, l’anglais, l’arabe, l’espagnol, l’italien. Le candidat indique son choix dans sa demande d’inscription au concours. Il ne peut en aucun cas en changer au moment des épreuves. Des épreuves d’exercices physiques, dont la nature et les barèmes sont fixés par arrêté du ministre de l’intérieur et de l’aménagement du territoire et du ministre chargé de la fonction publique (coefficient 3) ; b) Une épreuve facultative de langue étrangère consistant en une conversation (durée : quinze minutes ; coefficient 1). Seuls les points au-dessus de la moyenne sont pris en compte. Les langues admises sont le grec, le japonais, le mandarin, le néerlandais, le polonais, le portugais, le russe, le turc. Le candidat indique son choix dans sa demande d’inscription au concours. Il ne peut en aucun cas en changer au moment des épreuves.

CHAPITRE III Programme des épreuves Art. 3. − Le programme des épreuves est joint en annexe du présent arrêté et fait l’objet d’une publication au Journal officiel.

CHAPITRE IV Notation Art. 4. − Il est attribué à chaque épreuve d’admissibilité et d’admission une note de 0 à 20. Elle est multipliée par les coefficients fixés ci-dessus. La somme des points ainsi obtenue forme le total de points des épreuves.

TITRE II DES JURYS Art. 5. − Les jurys des deux concours, externe et interne, et de la sélection prévue à l’article 7 du décret du 29 juin 2005 susvisé sont nommés par arrêté du ministre de l’intérieur et de l’aménagement du territoire, sur proposition du directeur général de la police nationale. Un président unique, assisté d’un vice-président par concours, assure la direction de ces jurys, dont certains membres peuvent être communs. Art. 6. − La présidence des jurys chargés d’apprécier la valeur des épreuves définies au titre Ier du présent arrêté est assurée par un inspecteur général de l’administration, par un directeur de l’administration centrale du ministère de l’intérieur et de l’aménagement du territoire, par un préfet, par un directeur ou un directeur adjoint des services actifs de la police nationale ou par un inspecteur général de la police nationale. La vice-présidence est assurée par l’un des magistrats de l’ordre judiciaire membres du jury. Art. 7. − La composition des jurys est fixée comme suit : 1. Concours externe : – deux hauts fonctionnaires de la police nationale ayant le grade d’inspecteur général de la police nationale ou de contrôleur général de la police nationale ; – deux magistrats de l’ordre judiciaire, dont le vice-président du jury ; – deux administrateurs civils ou attachés principaux d’administration centrale ou de police du ministère de l’intérieur et de l’aménagement du territoire ; – deux membres du corps de conception et de direction de la police nationale, dont un affecté à l’Ecole nationale supérieure des officiers de la police nationale ; – deux membres du corps de commandement de la police nationale ayant le grade de commandant de . police ; .

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– deux psychologues. 2. Concours interne : – deux magistrats de l’ordre judiciaire, dont le vice-président du jury ; – un administrateur civil ou attaché principal d’administration centrale ou de police du ministère de l’intérieur et de l’aménagement du territoire ; – deux membres du corps de conception et de direction de la police nationale ; – trois membres du corps de commandement de la police nationale ayant le grade de commandant de police, dont un affecté à l’Ecole nationale supérieure des officiers de la police nationale ; – un psychologue. Art. 8. − En outre, des correcteurs et examinateurs qualifiés peuvent être adjoints au jury. Art. 9. − Seuls les candidats ayant obtenu, pour les épreuves d’admissibilité, après application des coefficients, un total de points déterminé par les jurys, qui ne pourra être inférieur à 120 points pour le concours externe et 88 points pour le concours interne, ont accès aux épreuves d’admission. Les jurys dressent, par ordre alphabétique, la liste des candidats admissibles aux concours externe et interne. Art. 10. − A l’issue des épreuves d’admission, les jurys dressent, pour chaque concours, la liste de classement des candidats définitivement admis, par ordre de mérite. Si plusieurs candidats totalisent le même nombre de points, la priorité est accordée à celui qui a obtenu la meilleure note à l’épreuve d’admissibilité portant sur la culture générale ; puis, en cas de nouvelle égalité, à celui ayant obtenu la meilleure note à l’épreuve d’entretien à l’admission.

TITRE III DISPOSITIONS DIVERSES Art. 11. − La procédure de sélection prévue à l’article 7 du décret du 29 juin 2005 susvisé, ouverte aux candidats admissibles aux concours de commissaire de police, consiste en deux épreuves : – un entretien permettant d’apprécier les qualités de réflexion et les connaissances du candidat ainsi que son aptitude et sa motivation à exercer l’emploi postulé (durée : trente minutes ; coefficient 5). Toute note inférieure à 5 sur 20 est éliminatoire. Les membres du jury disposent, pour aide à la décision, des résultats des tests psychotechniques passés par le candidat au moment de l’admissibilité des concours de commissaire de police, interprétés par le psychologue selon les critères requis pour les officiers de la police nationale ; – une épreuve orale de droit pénal général et/ou de procédure pénale (durée : vingt minutes ; coefficient 3). Le programme de cette épreuve est celui de l’épreuve écrite du concours externe d’officier de la police nationale. Le jury est composé de membres du jury des concours externe et interne d’officier de la police nationale. Sa composition est fixée comme suit : – un haut fonctionnaire de la police nationale ayant le grade d’inspecteur général de la police nationale ou de contrôleur général de la police nationale ; – deux magistrats de l’ordre judiciaire ; – un administrateur civil ou attaché principal d’administration centrale ou de police du ministère de l’intérieur et de l’aménagement du territoire ; – deux membres du corps de conception et de direction de la police nationale ; – trois membres du corps de commandement de la police nationale ayant le grade de commandant de police ; – un psychologue. Le jury dresse la liste de classement des candidats définitivement admis, par ordre de mérite. Si plusieurs candidats totalisent le même nombre de points, la priorité est accordée à celui qui a obtenu la meilleure note à l’épreuve d’entretien. Art. 12. − Les candidats à l’emploi d’officier de la police nationale doivent répondre aux critères d’aptitude physique définis par arrêté du ministre de l’intérieur et de l’aménagement du territoire et du ministre chargé de la fonction publique. Ils doivent se soumettre aux examens et tests médicaux qui leur sont prescrits en vue d’établir qu’ils remplissent les conditions d’aptitude physique requises. Art. 13. − La nomination des lauréats en tant qu’élèves officiers de la police nationale est subordonnée à l’obtention de l’agrément du ministre de l’intérieur et de l’aménagement du territoire et à la reconnaissance de leur aptitude physique par un médecin de la police nationale. Art. 14. − Est abrogé l’arrêté du 18 octobre 1995 modifié fixant les modalités d’organisation et le programme des concours pour le recrutement des lieutenants de police de la police nationale ainsi que ses . annexes fixant le programme des épreuves. .

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Art. 15. − Les dispositions du présent arrêté seront applicables à compter des concours ouverts au titre de l’année 2006. Art. 16. − Le directeur général de la police nationale est chargé de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au Journal officiel de la République française. Fait à Paris, le 25 octobre 2005. Le ministre d’Etat, ministre de l’intérieur et de l’aménagement du territoire, NICOLAS SARKOZY Le ministre de la fonction publique, Pour le ministre et par délégation : Par empêchement du directeur général de l’administration et de la fonction publique : Le sous-directeur de la gestion des ressources humaines, J.-P. JOURDAIN ANNEXE

PROGRAMME DES ÉPREUVES

Concours externe

Droit pénal général 1. La loi pénale : a) La loi pénale en elle-même : – son importance ; – sa nature ; – son domaine d’application dans le temps et dans l’espace. b) La loi pénale et le juge : – la qualification des faits ; – l’interprétation de la loi ; – le contrôle de régularité de la loi. c) La loi pénale et l’infraction : – les éléments constitutifs de l’infraction ; – les qualifications des infractions. 2. Le délinquant : a) La responsabilité pénale du délinquant : – principe et limites de la responsabilité personnelle ; – la distinction auteur/coauteur/complice ; – la tentative ; – la distinction personne physique/personne morale, mineur/majeur ; – le cas particulier des responsables politiques. b) L’irresponsabilité pénale du délinquant : – causes objectives d’irresponsabilité pénale ; – causes subjectives d’irresponsabilité pénale ; – immunités diverses. 3. Les peines : a) La peine encourue ; b) La peine prononcée ; c) La peine exécutée.

Procédure pénale 1. Les principes directeurs de la procédure pénale. 2. Les acteurs de la procédure pénale : . a) Police judiciaire ; .

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b) Parquet ; c) Avocats ; d) Juridictions d’instruction et de jugement ; e) Cour pénale internationale et les tribunaux pénaux internationaux. 3. La dynamique de la procédure pénale : a) Action publique ; b) Action civile. 4. La mise en état des affaires pénales : a) La preuve pénale ; b) Les enquêtes de police ; c) L’instruction préparatoire. 5. Le jugement des affaires pénales : a) Les diverses procédures de jugement ; b) Les voies de recours internes ; c) Les voies de recours internationales. 6. L’entraide répressive internationale : a) Accords de Schengen ; b) Mandat d’arrêt européen ; c) Extradition ; d) EUROJUST ; e) EUROPOL ; f) Equipes communes d’enquête ; g) Magistrats de liaison.

Epreuve à option obligatoire

Droit public

Droit administratif 1. Les sources du droit administratif : a) Les sources internes ; b) Les traités internationaux. 2. L’organisation administrative : a) L’administration d’Etat : – l’administration centrale : le Président de la République ; le Premier ministre, les ministres, l’administration consultative, les autorités administratives indépendantes ; – l’administration d’Etat déconcentrée (préfet, sous-préfet), les services déconcentrés de l’Etat. b) Les collectivités locales : – la région ; – le département ; – la commune ; – les groupements de collectivités locales ; – le statut de Paris - Lyon - Marseille ; – le contrôle administratif des collectivités locales. c) Les établissements publics ; d) Les rapports entre les personnes publiques : – centralisation ; – décentralisation ; – déconcentration. 3. L’action de l’administration : a) Le principe de la légalité administrative ; b) L’objet de l’action de l’administration : – la théorie générale des services publics et modes de gestion (régie directe, gestion déléguée) ; – la police administrative. c) La responsabilité administrative extracontractuelle : . – responsabilité pour faute ; .

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– responsabilité sans faute. 4. La justice administrative : a) Les principales juridictions administratives : – le Conseil d’Etat ; – les cours administratives d’appel ; – les tribunaux administratifs ; – le tribunal des conflits. b) Les recours contentieux : – les prérogatives de l’administration ; – la distinction des recours contentieux ; – les voies de recours ; – la procédure contentieuse. 5. La fonction publique : a) La théorie générale du droit de la fonction publique : – les sources ; – la composition et la situation juridique du personnel ; – l’organisation générale de la fonction publique. b) Le régime juridique de la fonction publique : – la carrière du fonctionnaire ; – les droits et obligations du fonctionnaire.

Droit constitutionnel 1. Théorie générale du droit constitutionnel : a) Les éléments constitutifs et les formes de l’Etat. b) L’organisation du pouvoir dans l’Etat : – la Constitution (écrite ou coutumière, rigide ou souple), le contenu du bloc de constitutionnalité, la révision constitutionnelle ; – le principe de séparation des pouvoirs et son application : régimes parlementaire, présidentiel, mixte. 2. Les institutions politiques françaises : a) L’histoire constitutionnelle française depuis 1875 ; b) La Constitution de la Ve République : – les caractéristiques du régime ; – les organes de la Ve République : – le pouvoir exécutif : le Président de la République, le Gouvernement ; – le parlement : organisation, élection et statut des parlementaires, fonctions du parlement ; – le Conseil constitutionnel : juge de la constitutionnalité et juge électoral ; – les autres pouvoirs ou organes : l’autorité judiciaire, la Haute Cour de justice de la République, le Conseil économique et social.

Libertés publiques 1. Théorie générale des libertés publiques : a) Les sources des libertés publiques : – la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen (26 août 1789) ; – le Préambule de la Constitution de 1946 ; – la Déclaration universelle des droits de l’homme (10 décembre 1948) ; – le Préambule de la Constitution de 1958 ; – la Convention européenne des droits de l’homme. b) L’aménagement des libertés publiques : – les régimes exceptionnels (article 16, état de siège, état d’urgence, théorie des circonstances exceptionnelles). c) La protection juridictionnelle des libertés publiques : . – juge administratif ; .

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– juge judiciaire ; – Conseil constitutionnel ; – juges européen et communautaire. 2. Le régime juridique des principales libertés publiques : a) L’égalité ; b) Les libertés de la personne physique : – la sûreté ; – la liberté d’aller et venir ; – le respect de la personnalité : – le droit à la vie et au respect de l’intégrité physique ; – la protection de la vie privée à travers ses contours (inviolabilité du domicile, inviolabilité du secret des correspondances). c) Les libertés de l’esprit : – la liberté de la presse ; – La liberté de communication ; – la liberté de l’enseignement ; – la liberté de religion. d) Les libertés propres aux groupements d’individus : – la liberté de manifestation et d’attroupement ; – la liberté de réunion ; – la liberté d’association.

Institutions européennes 1. Structures : les organes d’action : a) Le Conseil de l’Union européenne (comité des représentants permanents – COREPER – et Conseil européen) ; b) La Commission européenne. 2. Les organes de contrôle : a) Le Parlement européen ; b) La juridiction communautaire. 3. Les organes complémentaires : a) La Cour des comptes ; b) Les organismes consultatifs ; c) Les organes de gestion ; d) Les établissements publics communautaires. 4. Les fonds communautaires : a) Fonds structurels ; b) Autres fonds. 5. Le processus de décision communautaire.

Droit privé

Droit civil

Le droit des personnes 1. La classification des personnes : a) Personnes physiques : – existence (acquisition et perte de la personnalité juridique) ; – attributs des personnes physiques (droit à l’intégrité physique/morale). b) Personnes morales : – nature juridique ; – diversité des personnes morales ; – régime juridique (constitution, fonctionnement, dissolution). 2. L’identification des personnes physiques : . a) Le nom ; .

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b) Le domicile ; c) Les actes de l’état civil. 3. La capacité des personnes physiques : a) Les incapables mineurs : – la condition juridique du mineur ; – l’autorité parentale ; – la gestion des biens du mineur. b) Les incapables majeurs : – la tutelle ; – la curatelle ; – la sauvegarde de justice.

Le droit de la famille 1. Le couple : a) Le mariage : – les conditions ; – les effets (d’ordre personnel, d’ordre pécuniaire) ; – la dissolution (divorce, séparation de corps). b) Le concubinage : – la notion de concubinage ; – les effets du concubinage ; – la rupture du concubinage. c) Le pacte civil de solidarité (PACS) : – les conditions de formation du PACS ; – les effets du PACS ; – la dissolution du PACS. 2. L’enfant : a) La filiation légitime ; b) La filiation naturelle ; c) La filiation adoptive ; d) La filiation par procréation médicalement assistée.

Le droit des obligations 1. L’acte juridique. Le contrat : a) Les conditions de formation du contrat ; b) L’exécution du contrat : – l’effet obligatoire du contrat entre les parties ; – l’effet obligatoire du contrat à l’égard du juge ; – l’effet relatif du contrat à l’égard des tiers. c) L’inexécution du contrat : – le régime général de la responsabilité contractuelle ; – les règles spécifiques à l’inexécution des contrats synallagmatiques. d) Les modes d’exécution du contrat : – le paiement ; – les autres modes. 2. Les quasi-contrats : a) La gestion d’affaires ; b) La répétition de l’indu ; c) L’enrichissement sans cause. 3. Le fait juridique. La responsabilité civile délictuelle : a) Les éléments constants de la responsabilité civile délictuelle : – le dommage ; – le lien de causalité. b) L’élément variable de la responsabilité civile délictuelle : le fait générateur : . – la responsabilité du fait personnel ; .

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– la responsabilité du fait des choses ; – la responsabilité du fait d’autrui. c) La mise en œuvre de la responsabilité civile délictuelle : – l’action en réparation ; – la réparation du dommage.

Le droit des biens 1. Les fondements du droit des biens : a) La notion de biens ; b) Les classifications des biens ; c) Le réceptacle des biens : le patrimoine. 2. La possession : a) La notion de possession ; b) Les effets de la possession ; c) La protection de la possession. 3. La propriété : a) La structure du droit de propriété : – les caractères du droit de propriété ; – les attributs du droit de propriété ; – les limites apportées à l’exercice du droit de propriété. b) L’acquisition de la propriété ; c) L’étendue du droit de propriété : – dans l’espace ; – dans le temps : l’accession. d) La protection de la propriété : – l’action en revendication ; – la preuve du droit de propriété. e) Les modalités du droit de propriété : – l’indivision ; – la copropriété des immeubles bâtis. f) Les servitudes. 4. Les démembrements de la propriété : a) L’usufruit et la nue-propriété ; b) L’usage et l’habitation : les diminutifs de l’usufruit.

Droit des affaires 1. Les commerçants : a) Activité commerciale ; b) Qualité de commerçant ; c) Statut du commerçant ; d) Fonds de commerce ; e) Tribunaux de commerce. 2. Les sociétés commerciales : a) Notion ; b) Droit commun ; c) Sociétés de capitaux et de personnes ; d) Droit pénal des sociétés commerciales : – abus de biens sociaux ; – présentation de bilan inexact ; – distribution de dividendes fictifs ; – majoration des apports ; . – banqueroute. .

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3. Les modes de règlements commerciaux : a) Lettre de change ; b) Billet à ordre ; c) Chèque. 4. Les entreprises en difficulté : a) Prévention des difficulté ; b) Procédures collectives.

Géographie économique et humaine 1. Les grands ensembles régionaux du monde : a) La Triade (Amérique du Nord, Europe, Asie orientale) et la globalisation ; b) Pays en développement et pays émergents ; c) L’Europe et ses voisins (monde russe, Proche-Orient, Maghreb). 2. L’espace urbain : a) La ville : – définitions ; – délimitation. b) L’urbanisation dans le monde ; c) Les réseaux urbains en France et en Europe ; d) L’espace urbain et les sociétés urbaines. 3. L’espace rural : a) Les espaces ruraux dans le monde ; b) Les mutations agricoles ; c) L’incidence de la politique agricole commune sur l’espace rural français. 4. Les outils de l’analyse spatiale : a) Les transformations récentes de la cartographie ; b) Les nouveaux usages de l’image géographique : – la photographie aérienne ; – l’image satellite ; – la vidéo.

Histoire contemporaine 1. La construction du monde contemporain (de 1945 aux années 60) : a) Le monde en 1945 ; b) Le modèle communiste et son expansion mondiale ; c) Puissance et influence du modèle américain ; d) La renaissance de l’Europe et ses limites ; e) La fin des empires coloniaux ; f) Un monde bipolaire : guerre froide et coexistence pacifique. 2. La croissance et la crise (des années 60 à la fin des années 80) : a) La croissance économique et la société de la prospérité (1950-1973) ; b) Les relations Est-Ouest à l’heure de l’équilibre ; c) Le tiers monde à l’écart de la croissance ; d) La longue crise, sa signification et ses retombées sociales ; e) L’échec du modèle communiste en Europe et la fin de l’URSS ; f) L’élaboration d’un nouvel ordre mondial dominé par l’hyperpuissance américaine. 3. La France depuis 1945 : a) La reconstruction politique et économique de la France après 1945 ; b) Les guerres coloniales et l’échec de la IVe République ; c) Naissance et consolidation de la Ve République (1958-1969) ; d) La Ve République après 1969 : les expériences néo-gaullistes, libérales, socialistes ; e) L’évolution de la Ve République au temps des alternances et des cohabitations (1986-2002) ; f) Les mutations sociales et culturelles depuis 1945.

4. Le monde au début du XXIe siècle : . a) L’hyperpuissance américaine ; .

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b) La mondialisation : signification, aspects et problèmes ; c) La percée de l’islam intégriste et la menace du terrorisme ; d) Approfondissement et élargissement de la construction européenne ; e) Les contrastes de l’aire asiatique ; f) La diversité des tiers mondes.

Technologies de l’information et de la communication 1. Programmation-algorithmique : – structures de données : piles, file, tables de hachage, arbres ; – algorithmes : méthodes de recherche, algorithmes de tri ; – programmation objet : typage, héritage, liaison dynamique, exceptions ; – bases de données : modèles de données, modèle relationnel, langage de requêtes structuré (SQL). 2. Architecture-système-réseau : – architecture : circuits logiques, représentation des nombres, processeur, jeu d’instructions ; – système : système de fichiers, processus ; – réseau : réseaux locaux, protocoles internet.

Mathématiques et statistique

Mathématiques 1. Entiers naturels : a) Bon ordre ; b) Preuve par récurrence. 2. Entiers relatifs : a) Divisibilité, éléments d’arithmétique, algorithme d’Euclide, identité de Bézout ; b) Décomposition en facteurs premiers, lemme d’Euclide-Gauss ; c) Difficulté de la factorisation et applications en cryptographie. 3. Nombres réels : a) Définition du corps des nombres réels par la propriété de la borne supérieure ; b) Suites de réels. Limite supérieure et inférieure d’une suite bornée ; c) Convergence, linéarité de la limite, théorèmes classiques pour établir la convergence des suites ; d) Critère de Cauchy, applications contractantes et théorème du point fixe. 4. Fonctions réelles de la variable réelle : a) Limite, continuité, fonctions continues sur un segment, continuité uniforme ; b) Fonctions dérivables, théorème de Rolle, des accroissements finis ; c) Formule de Taylor. Fonctions élémentaires, étude de fonctions. 5. Polynômes et fractions rationnelles : a) Polynômes et fonctions polynômes, zéros, divisibilité, division euclidienne ; b) Etude locale des fonctions : développements limités. 6. Intégration : a) Intégration des fonctions continues sur un segment ; b) Calcul de primitives, en particulier aspects algorithmiques liés à la décomposition en éléments simples des fractions rationnelles. 7. Algèbre linéaire en dimension finie : a) Familles libres, génératrices, bases, dimension ; b) Matrices et calcul matriciel, déterminants ; c) Réduction des endomorphismes et conjugaison de matrices carrées à des formes particulières, diagonales ou triangulaires ; d) Séries numériques, critères de convergence absolue. Intégrale généralisée. Comparaison des deux problèmes ; e) Suites et séries de fonctions, théorèmes de convergence. 8. Nombres complexes et applications : a) Géométrie plane ; b) Trigonométrie. 9. Fonctions vectorielles de la variable réelle : . a) Courbes planes paramétrées, longueur, courbure ; .

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b) Intégrales curvilignes et doubles, formule de Green-Riemann ; c) Formes quadratiques : produit scalaire, projecteurs orthogonaux, réduction de matrices réelles symétriques. 10. Fonctions de plusieurs variables : a) Eléments de calcul différentiel ; b) Fonctions implicites et théorème d’inversion locale ; c) Optimisation libre et sous contraintes de type équation. 11. Equations différentielles : a) Théorème local d’existence ; b) Pratique algorithmique de la résolution des équations différentielles ordinaires répertoriées. 12. Techniques de calcul numérique : a) Calcul approché des zéros d’une fonction (interpolation, méthode de Newton) ; b) Calcul approché d’une intégrale définie (méthode des trapèzes et de Simpson).

Statistique 1. Eléments de statistique descriptive : a) Indicateurs de tendance centrale ; b) Indicateurs de dispersion ; c) Indicateurs de forme ; d) Indicateurs de concentration ; e) Séries chronologiques ; f) Régression, corrélation et ajustement : notion de modèle, modèle linéaire à une équation. 2. Eléments de statistique mathématique : a) Echantillonnage ; b) Estimation ponctuelle ; c) Estimation par intervalles ; d) Tests paramétriques ; e) Tests non paramétriques ; f) Analyse de liaisons linéaires entre variables.

Psychologie 1. Psychologie clinique et psychopathologique : a) Les théories psychanalytiques de la personnalité et du fonctionnement de l’individu : les grands modèles de l’organisation psychique (Freud, Klein, Winnicott...) ; b) Les théories du fonctionnement psychique en groupe : – grandes approches cliniques des relations interindividuelles ; – le fonctionnement psychique de l’individu en situation de foule. c) Psychopathologie des conduites addictives ; d) Enfance, risques et prévention précoce : – la maltraitance et les abus sexuels ; – psychopathologie des violences intrafamiliales. e) Approches psychologiques de la délinquance et des violences juvéniles : – la violence en milieu scolaire : perspectives psychologiques. 2. Psychologie du travail et gestion des ressources humaines : a) Les activités managériales et le développement des compétences des collaborateurs : – perspectives psychologiques sur la planification et la coordination des actions au sein des collectifs de travail. b) La gestion des communications dans le travail : – la communication de groupe. 3. Psychologie sociale : a) Approches psychosociales des comportements d’agression ; b) Les phénomènes de groupe : leadership, imitation et conduites de transgression ; c) Identités de groupe et relations interculturelles ; d) Formation des impressions, catégorisation sociale et comportements : – la formation des stéréotypes. . 4. La conduite des entretiens : savoir-faire et biais potentiels. .

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Sciences économiques 1. Les représentations de l’économie. a) Comptabilité nationale : – valeur ajoutée, produit intérieur brut (PIB), formation brute de capital fixe (FBCF) ; – indices, indices chaînés ; – ratios significatifs pour l’analyse des sociétés et quasi-sociétés non financières (SQS) ; – tableau économique d’ensemble (TEE) et comparaison internationale d’agrégats ; – polémiques autour de la notion de revenu disponible. b) Les grands courants théoriques : – les physiocrates, les classiques : capital et croissance ; – la théorie néoclassique : prix et optimalité ; – Keynes, IS-LM et sa critique. 2. Economie budgétaire, fiscale et de la sécurité sociale : a) La loi organique relative aux lois de finances (LOLF) ; b) Le Trésor public, pivot du financement budgétaire : les fonctions du Trésor public, la dette publique ; c) Le budget et l’impôt : structure de la charge fiscale, notion de pression fiscale ; d) Les organismes sociaux et le débat sur le « poids de l’Etat ». 3. Economie internationale (éléments de géographie économique) : a) Compétitivité – concurrence ; b) Les régions de production industrielle ; c) Eléments de démographie : – la dynamique des populations ; – les migrations. 4. Les inégalités et les politiques sociales : a) Les inégalités : – mesures ; – salaires, revenus, patrimoines ; – histoire et idéologie des inégalités. b) Les politiques sociales : – Bismarck, Beveridge, Keynes ; – crise des finances publiques ou crise des politiques sociales ? 5. Les politiques économiques : a) Les politiques conjoncturelles de soutien à l’activité ; b) Les politiques douanières ; c) Politique industrielle et politique commerciale stratégique. 6. La finance : a) Les produits financiers : – produits primaires ; – produits dérivés. b) Les usages de la finance : – le financement ; – l’échange de risque. c) La place de la finance : – capitalisme financier et capitalisme industriel ; – finance et nouvelle économie ; – la régulation de la finance.

Sociologie des organisations et gestion des ressources humaines 1. Le système social : – organisation, administration et bureaucratie ; – la régulation sociale. 2. Les statuts et les rôles : – la hiérarchie ; . – les réseaux sociaux. .

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3. Vie publique et vie privée : – la ville et les modes de vie urbains ; – les nouveaux territoires urbains. 4. Motivations et participation : – contrainte et coopération ; – de la coercition à la négociation. 5. Ordre et désordre : – normes et déviances ; – le conflit social : origines, types, modes de résolution.

Concours interne

Droit pénal général 1. La loi pénale : a) La loi pénale en elle-même : – son importance ; – sa nature ; – son domaine d’application dans le temps et dans l’espace. b) La loi pénale et le juge : – la qualification des faits ; – l’interprétation de la loi ; – le contrôle de régularité de la loi. c) La loi pénale et l’infraction : – les éléments constitutifs de l’infraction ; – les qualifications des infractions. 2. Le délinquant : a) La responsabilité pénale du délinquant : – principe et limites de la responsabilité personnelle ; – la distinction auteur/coauteur/complice ; – la tentative ; – la distinction personne physique/personne morale, mineur/majeur ; – le cas particulier des responsables politiques. b) L’irresponsabilité pénale du délinquant : – causes objectives d’irresponsabilité pénale ; – causes subjectives d’irresponsabilité pénale ; – immunités diverses. 3. Les peines : a) La peine encourue ; b) La peine prononcée ; c) La peine exécutée.

Procédure pénale 1. Les principes directeurs de la procédure pénale. 2. Les acteurs de la procédure pénale : a) Police judiciaire ; b) Parquet ; c) Avocats ; d) Juridictions d’instruction et de jugement ; e) Cour pénale internationale et les tribunaux pénaux internationaux. 3. La dynamique de la procédure pénale : a) Action publique ; b) Action civile. 4. La mise en état des affaires pénales : . a) La preuve pénale ; .

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b) Les enquêtes de police ; c) L’instruction préparatoire. 5. Le jugement des affaires pénales : a) Les diverses procédures de jugement ; b) Les voies de recours internes ; c) Les voies de recours internationales. 6. L’entraide répressive internationale : a) Accords de Schengen ; b) Mandat d’arrêt européen ; c) Extradition ; d) EUROJUST ; e) EUROPOL ; f) Equipes communes d’enquête ; g) Magistrats de liaison.

Droit pénal spécial 1. Les crimes et délits contre les personnes : a) Les atteintes volontaires à la vie ; b) Les atteintes involontaires à la vie et à l’intégrité de la personne ; c) Les atteintes volontaires à l’intégrité physique ou psychique de la personne ; d) Les agressions sexuelles : le viol, les autres agressions sexuelles, l’exhibition sexuelle et le harcèlement sexuel ; e) La mise en danger de la personne ; f) Les atteintes à la liberté de la personne. 2. Les crimes et délits contre les biens : a) Le vol ; b) L’escroquerie ; c) Les infractions voisines de l’escroquerie ; d) Le recel et la non-justification de ressources ; e) L’immunité familiale ; f) Les destructions, dégradations et détériorations. 3. Les crimes et délits contre la nation, l’Etat et la paix publique : a) Les abus d’autorité contre les particuliers ; b) Les manquements au devoir de probité ; c) Les atteintes à l’administration publique commises par des particuliers ; d) L’usurpation de fonctions ; e) L’usurpation de signes réservés à l’autorité publique. 4. Les atteintes à la dignité de la personne : a) Les discriminations ; b) La traite des humains ; c) Le proxénétisme et les infractions assimilées ; d) Le recours à la prostitution de mineurs ou de personnes particulièrement vulnérables ; e) Les conditions de travail et d’hébergement contraires à la dignité humaine ; f) Les atteintes au respect dû aux morts. 5. Les atteintes aux mineurs et à la famille : a) Le délaissement de mineur ; b) L’abandon de famille ; c) Les atteintes à l’exercice de l’autorité parentale ; d) Les atteintes à la filiation ; e) La mise en péril des mineurs. 6. L’usage et le trafic de stupéfiants : a) Définition légale des stupéfiants ; b) Usage et provocation à l’usage illicite de stupéfiants ; c) Le trafic de stupéfiants. 7. La participation à une association de malfaiteurs. 8. L’extorsion, le chantage et la demande de fonds sous contrainte. 9. Les atteintes à la confiance publique : les faux et usages de faux. 10. Les détournements : . a) L’abus de confiance ; .

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b) La destruction ou détournement d’objet gage ; c) La destruction ou détournement d’objet saisi ; d) L’organisation frauduleuse d’insolvabilité.

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Décrets, arrêtés, circulaires

TEXTES GÉNÉRAUX

MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR ET DE L’AMÉNAGEMENT DU TERRITOIRE

Circulaire du 14 novembre 2005 relative au développement du volontariat chez les sapeurs-pompiers

NOR : INTE0500100C

Paris, le 14 novembre 2005.

Le ministre d’Etat, ministre de l’intérieur et de l’aménagement du territoire, et le ministre de l’économie, des finances et de l’industrie à Madame et Messieurs les préfets de région, Mesdames et Messieurs les préfets de département et Monsieur le préfet de police Le dispositif de sécurité civile compte plus de 200 000 sapeurs-pompiers volontaires. Ces derniers forment l’ossature principale des secours qui permet d’assurer une couverture opérationnelle suffisante de notre pays. Ils remplissent les missions les plus diverses et font face à tout type de risques en marge de leur profession, de leurs études et de leur vie familiale. La loi no 2004-811 du 13 août 2004 relative à la modernisation de la sécurité civile a réaffirmé la place des sapeurs-pompiers volontaires au sein des services départementaux d’incendie et de secours ; même si de nombreuses dispositions ont été prises pour favoriser le volontariat, il apparaît néanmoins que de nombreux volontaires éprouvent des difficultés à concilier leur mission avec les impératifs de la vie professionnelle. Celles-ci sont souvent avancées pour expliquer le non-renouvellement des engagements. Les employeurs font état d’une organisation du travail plus contraignante pour la présence du salarié et observent que la présence de sapeurs-pompiers volontaires représente une charge financière pour l’entreprise. Soucieux de compenser et valoriser l’acte de civisme de l’employeur qui favorise le volontariat, le Gouvernement a décidé de permettre aux entreprises qui mettent à disposition des SDIS des salariés sapeurs- pompiers volontaires pour intervenir pendant les heures de travail, tout en maintenant leur rémunération, de bénéficier des dispositions de l’article 238 bis du code général des impôts relatives au mécénat. Il sera admis que la mise à disposition par une entreprise de salariés sapeurs-pompiers volontaires pendant les heures de travail à titre gratuit au profit des services départementaux d’incendie et de secours, organismes d’intérêt général au regard de l’article 238 bis précité, constitue un don en nature ouvrant droit à réduction d’impôt égale à 60 % de leur montant dans la limite de 5 % du chiffre d’affaires. Les salariés mis à disposition par l’entreprise devront exercer réellement et effectivement une activité de sapeurs-pompiers au sein des services départementaux d’incendie et de secours. Le don, qui devra être évalué à son prix de revient, c’est-à-dire rémunération et charges sociales y afférentes desquelles seront réduits les éventuels dédommagements versés par le SDIS à l’entreprise (subrogation de l’indemnité du sapeur-pompier), devra être réintégré extracomptablement par l’entreprise sur l’imprimé 2058-A de la liasse fiscale. Il appartiendra aux services départementaux d’incendie et de secours de remettre aux employeurs les attestations de dons selon le modèle fixé par les services fiscaux. Il est à noter que ces dispositions ne valent que pour la mise à disposition de salariés pendant les heures de travail et pour des interventions opérationnelles. En effet, les mises à disposition pour des activités de formation relèvent des dispositions de l’article 8 de la loi no 96-970 du 3 mai 1996 relative au développement du volontariat chez les sapeurs-pompiers et sont admises au titre de la participation des employeurs au financement de la formation professionnelle continue prévue à l’article 950-1 du code du travail. Cette mesure nouvelle devrait faciliter grandement l’engagement opérationnel des sapeurs-pompiers volontaires, aussi j’attacherais de l’intérêt à ce que vous veilliez, dans chaque département, à ce que toutes les dispositions soient prises pour que ce dispositif soit mis en application dans les meilleurs délais. Le ministre d’Etat, ministre de l’intérieur et de l’aménagement du territoire, NICOLAS SARKOZY Le ministre de l’économie, des finances et de l’industrie, . THIERRY BRETON .

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Décrets, arrêtés, circulaires

TEXTES GÉNÉRAUX

MINISTÈRE DE LA DÉFENSE

Circulaire du 3 novembre 2005 relative au concours d’admission à l’Ecole polytechnique en 2006 (filières MP et PC)

NOR : DEFA0501490C

L’arrêté du 23 novembre 2001 modifié fixe les conditions relatives au concours d’admission à l’Ecole polytechnique dans les filières MP et PC. La présente circulaire a pour but, en application de l’article 1er de l’arrêté précité, de compléter ses dispositions en ce qui concerne le concours de l’année 2006.

I. – Inscription des candidats Les candidats devront suivre strictement la procédure d’inscription sur internet (http://www.scei- concours.org) mise en place par le service concours écoles d’ingénieurs, BP 4410, 31405 Toulouse Cedex 4.

II. – Liste des centres d’épreuves écrites Les candidats choisiront parmi les villes suivantes le centre d’épreuves écrites dans lequel ils souhaitent composer : Bordeaux, Caen, Dijon, Grenoble, La Flèche, Lille, Lyon, Marseille, Montpellier, Metz, , Nice, Orléans, Paris, , Rabat, Rennes, , Saint-Denis (Réunion), Strasbourg, Toulouse, Tours, Tunis et Versailles.

III. – Calendrier des épreuves écrites Les épreuves écrites du concours 2006 se dérouleront les mercredi 10, jeudi 11, vendredi 12 et la matinée du lundi 15 mai 2006 comme indiqué sur les tableaux ci-dessous. Le début des séances est fixé à 8 heures le matin et à 14 heures l’après-midi (heure de Paris), sauf pour l’épreuve du lundi 15 mai, qui aura lieu de 9 heures à 11 heures. L’accès aux salles d’examen est possible dix minutes avant le début des séances, sauf pour la première épreuve, pour laquelle ce délai est porté à trente minutes.

1. Filière MP, option informatique

MATIN APRÈS-MIDI

Mercredi 10 mai...... Physique (4 heures) Français (4 heures)

Jeudi 11 mai ...... Mathématiques I (4 heures) Langue vivante (1 h 30 + 1 h 30)

Vendredi 12 mai...... Informatique (4 heures) Mathématiques II (4 heures)

2. Filière MP, option physique et sciences de l’ingénieur

MATIN APRÈS-MIDI

Mercredi 10 mai...... Physique (4 heures) Français (4 heures)

Jeudi 11 mai ...... Mathématiques I (4 heures) Langue vivante (1 h 30 + 1 h 30) . .

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MATIN APRÈS-MIDI

Vendredi 12 mai...... Physique et sciences de l’ingénieur (4 heures) Mathématiques II (4 heures)

Lundi 15 mai ...... Informatique (2 heures)

3. Filière PC

MATIN APRÈS-MIDI

Mercredi 10 mai...... Physique I (4 heures) Français (4 heures)

Jeudi 11 mai ...... Mathématiques (4 heures) Langue vivante (1 h 30 + 1 h 30)

Vendredi 12 mai...... Physique II (4 heures) Chimie (4 heures)

Lundi 15 mai ...... Informatique (2 heures)

IV. – Calendrier des épreuves orales Les candidats de chacune des filières MP et PC seront répartis pour les examens oraux dans quatre séries. Les épreuves orales se dérouleront du mercredi 14 juin au mardi 11 juillet 2006. La totalité des épreuves orales de la filière MP aura lieu à l’Ecole polytechnique. Celles de mathématiques, physique et chimie de la filière PC auront lieu à l’ESPCI pour l’ensemble des candidats des trois commissions. Les épreuves de travaux pratiques auront lieu à l’Ecole polytechnique pour les candidats des 1re et 3e commissions et à l’ESPCI pour la 2e commission. Les autres épreuves se dérouleront à l’Ecole polytechnique. Le calendrier prévisionnel des épreuves orales est le suivant :

AFFICHAGE DES RÉSULTATS SÉRIES de l’écrit APPEL ORAL ET NATATION ÉPREUVES D’ATHLÉTISME

Filières MP ...... 19 heures 8 h 30 7 h 30

1re série...... Jeudi 8 juin Mercredi 14 juin Lundi 19 juin 2e série ...... Jeudi 15 juin Mercredi 21 juin Lundi 26 juin 3e série ...... Jeudi 22 juin Mercredi 28 juin Lundi 3 juillet 4e série ...... Jeudi 29 juin Mercredi 5 juillet Lundi 10 juillet

Filières PC ...... 19 heures 8 h 30 7 h 30

1re série...... Jeudi 8 juin Mercredi 14 juin Mardi 20 juin 2e série ...... Jeudi 15 juin Mercredi 21 juin Mardi 27 juin 3e série ...... Jeudi 22 juin Mercredi 28 juin Mardi 4 juillet 4e série ...... Jeudi 29 juin Mercredi 5 juillet Mardi 11 juillet

V. – Affichage des résultats Les listes d’admission seront affichées le mercredi 19 juillet 2006, à 19 heures, après la réunion du jury d’admission. Les candidats pourront prendre connaissance de leurs notes à partir du vendredi 21 juillet par voie d’affichage à l’Ecole polytechnique. Tous les candidats inscrits sur les listes d’admission recevront ce jour-là leur dossier d’admission. Aucune réclamation concernant les notes attribuées aux candidats ne sera recevable au-delà d’un délai de cinq jours après leur affichage, soit le mercredi 26 juillet 2006, à 12 heures. Fait à Paris, le 3 novembre 2005. Pour la ministre et par délégation : Le directeur des ressources humaines, R. PICON-DUPRÉ

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Décrets, arrêtés, circulaires

TEXTES GÉNÉRAUX

MINISTÈRE DES AFFAIRES ÉTRANGÈRES

Décret no 2005-1498 du 29 novembre 2005 portant publication de l’accord entre le Gouvernement du Canada, les gouvernements d’Etats membres de l’Agence spatiale européenne, le Gouvernement du Japon, le Gouvernement de la Fédération de Russie et le Gouvernement des Etats-Unis d’Amérique sur la coopération relative à la station spatiale internationale civile (ensemble une annexe), fait à Washington le 29 janvier 1998 (1)

NOR : MAEJ0530092D

Le Président de la République, Sur le rapport du Premier ministre et du ministre des affaires étrangères, Vu les articles 52 à 55 de la Constitution ; Vu la loi no 2004-1107 du 20 octobre 2004 autorisant l’approbation de l’accord entre le Gouvernement du Canada, les gouvernements d’Etats membres de l’Agence spatiale européenne, le Gouvernement du Japon, le Gouvernement de la Fédération de Russie et le Gouvernement des Etats-Unis d’Amérique sur la coopération relative à la station spatiale internationale civile (ensemble une annexe) ; Vu le décret no 53-192 du 14 mars 1953 modifié relatif à la ratification et à la publication des engagements internationaux souscrits par la France ; Vu le décret no 70-960 du 16 octobre 1970 portant publication du traité sur les principes régissant les activités des Etats en matière d’exploration et d’utilisation de l’espace extra- atmosphérique, y compris la Lune et les autres corps célestes, ouvert à la signature à Londres, Moscou et Washington le 27 janvier 1967 ; Vu le décret no 74-976 du 20 novembre 1974 portant publication de la convention instituant l’Organisation mondiale de la propriété intellectuelle, signée à Stockholm le 14 juillet 1967 ; Vu le décret no 76-1 du 2 janvier 1976 portant publication de l’accord sur le sauvetage des astronautes, le retour des astronautes et la restitution des objets lancés dans l’espace extra-atmosphérique, fait à Londres, Moscou et Washington le 22 avril 1968, et de la convention sur la responsabilité internationale pour les dommages causés par des objets spatiaux, faite à Londres, Moscou et Washington le 29 mars 1972 ; Vu le décret no 77-1462 du 19 décembre 1977 portant publication de la convention sur l’immatriculation des objets lancés dans l’espace extra-atmosphérique, ouverte à la signature à New York le 14 janvier 1975,

Décrète : Art. 1er.−L’accord entre le Gouvernement du Canada, les gouvernements d’Etats membres de l’Agence spatiale européenne, le Gouvernement du Japon, le Gouvernement de la Fédération de Russie et le Gouvernement des Etats-Unis d’Amérique sur la coopération relative à la station spatiale internationale civile (ensemble une annexe), fait à Washington le 29 janvier 1998, sera publié au Journal officiel de la République française. Art. 2. − Le Premier ministre et le ministre des affaires étrangères sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent décret, qui sera publié au Journal officiel de la République française. Fait à Paris, le 29 novembre 2005. JACQUES CHIRAC Par le Président de la République : Le Premier ministre, DOMINIQUE DE VILLEPIN Le ministre des affaires étrangères, PHILIPPE DOUSTE-BLAZY

. (1) Le présent accord est entré en vigueur le 28 juin 2005. .

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ACCORD

ENTRE LE GOUVERNEMENT DU CANADA, LES GOUVERNEMENTS D’ÉTATS MEMBRES DE L’AGENCE SPATIALE EUROPÉENNE, LE GOUVERNEMENT DU JAPON, LE GOUVERNEMENT DE LA FÉDÉRATION DE RUSSIE ET LE GOUVERNEMENT DES ÉTATS-UNIS D’AMÉRIQUE SUR LA COOPÉRATION RELATIVE À LA STATION SPATIALE INTERNATIONALE CIVILE (ENSEMBLE UNE ANNEXE) Le Gouvernement du Canada (ci-après également dénommé « le Canada »), Les Gouvernements de la République fédérale d’Allemagne, du Royaume de Belgique, du Royaume de Danemark, du Royaume d’Espagne, de la République française, de la République italienne, du Royaume de Norvège, du Royaume des Pays-Bas, du Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d’Irlande du Nord, du Royaume de Suède et de la Confédération suisse, les Gouvernements d’Etats membres de l’Agence spatiale européenne (ci-après collectivement dénommés « les Gouvernements européens » ou « le Partenaire européen »), Le Gouvernement du Japon (ci-après également dénommé « le Japon »), Le Gouvernement de la Fédération de Russie (ci-après également dénommé « la Russie ») et Le Gouvernement des Etats-Unis d’Amérique (ci-après dénommé « le Gouvernement des Etats-Unis » ou « les Etats-Unis »), Rappelant qu’en janvier 1984, le Président des Etats-Unis a chargé l’Administration nationale de l’aéronautique et de l’espace (la NASA) de réaliser et de mettre sur orbite une Station spatiale habitée en permanence et a invité les amis et les alliés des Etats-Unis à participer à son développement et à son utilisation et à partager les bénéfices en découlant, Rappelant que le Premier Ministre du Canada a accepté l’invitation susmentionnée lors de la réunion au sommet avec le Président des Etats-Unis tenue à Québec en mars 1985 et que les deux Gouvernements ont confirmé leur intérêt pour la coopération lors de la réunion au sommet de Washington, DC, en mars 1986, Rappelant les termes des Résolutions applicables adoptées le 31 janvier 1985 et le 20 octobre 1995 par le Conseil de l’Agence spatiale européenne (l’ASE) siégeant au niveau ministériel, et rappelant que le programme Columbus et le programme de développement relatif à la participation de l’Europe à la Station spatiale internationale ont été entrepris dans le cadre de l’ASE, en conformité avec sa mission définie à l’article II de la Convention qui l’a créée, afin de développer des éléments de la Station spatiale internationale civile, Rappelant l’intérêt que le Japon a manifesté pour le programme de Station spatiale lors des visites de l’Administrateur de la NASA au Japon en 1984 et en 1985 et la participation du Japon au programme spatial des Etats-Unis par le biais du Premier essai de traitement de matériaux, Rappelant la participation de l’ASE et du Canada au système de transport spatial des Etats-Unis par le biais de la réalisation par l’Europe du premier laboratoire spatial habité, Spacelab, et de la réalisation par le Canada du système télémanipulateur, Rappelant le partenariat établi par l’Accord entre le Gouvernement des Etats-Unis d’Amérique, les Gouvernements d’Etats membres de l’Agence spatiale européenne, le Gouvernement du Japon et le Gouvernement du Canada relatif à la coopération en matière de conception détaillée, de développement, d’exploitation et d’utilisation de la Station spatiale civile habitée en permanence (ci-après dénommé « l’Accord de 1988 »), conclu à Washington le 29 septembre 1988 et les Mémorandums d’Accord correspondants entre la NASA et le ministère d’Etat des Sciences et de la Technologie (le MEST) du Canada, la NASA et l’ASE, ainsi que la NASA et le Gouvernement du Japon, Reconnaissant que l’Accord de 1988 est entré en vigueur le 30 janvier 1992 entre les Etats-Unis et le Japon, Rappelant que la NASA, l’ASE, le Gouvernement du Japon et le MEST ont mis en œuvre des activités de coopération visant à concrétiser le partenariat relatif au programme de Station spatiale, conformément à l’Accord de 1988 et aux Mémorandums d’Accord correspondants, et reconnaissant qu’à sa création le 1er mars 1989, l’Agence spatiale canadienne (l’ASC) a repris la responsabilité de l’exécution du programme canadien de Station spatiale précédemment assumée par le MEST, Convaincus, au vu de l’expérience et des réalisations exceptionnelles de la Fédération de Russie dans les domaines du vol spatial habité et des missions habitées de longue durée, y compris l’exploitation à long terme, couronnée de succès, de la Station spatiale russe Mir, que sa participation au partenariat améliorera considérablement les capacités de la Station spatiale au bénéfice de tous les partenaires, Rappelant que le Gouvernement du Canada, les Gouvernements européens, le Gouvernement du Japon et le Gouvernement des Etats-Unis ont invité, le 6 décembre 1993, le Gouvernement de la Fédération de Russie à s’associer en tant que Partenaire à la conception détaillée, au développement, à l’exploitation et à l’utilisation de la Station spatiale dans le cadre fixé par les Accords relatifs à cette dernière, et que le Gouvernement de la Fédération de Russie a répondu positivement à cette invitation le 17 décembre 1993, Rappelant les arrangements entre le Président du Gouvernement de la Fédération de Russie et le Vice- Président des Etats-Unis en vue de promouvoir la coopération portant sur des activités importantes de vol spatial habité, y compris dans le cadre du programme américano-russe Navette-Mir, afin de préparer la . construction de la Station spatiale internationale, .

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Rappelant le Traité sur les principes régissant les activités des Etats en matière d’exploration et d’utilisation de l’espace extra-atmosphérique, y compris la Lune et les autres corps célestes (ci-après dénommé « le Traité sur l’espace extra-atmosphérique »), entré en vigueur le 10 octobre 1967, Rappelant l’Accord sur le sauvetage des astronautes, le retour des astronautes et la restitution des objets lancés dans l’espace extra-atmosphérique (ci-après dénommé « l’Accord sur le sauvetage »), entré en vigueur le 3 décembre 1968, Rappelant la Convention sur la responsabilité internationale pour les dommages causés par des objets spatiaux (ci-après dénommée « la Convention sur la responsabilité »), entrée en vigueur le 1er septembre 1972, Rappelant la Convention sur l’immatriculation des objets lancés dans l’espace extra-atmosphérique (ci-après dénommée « la Convention sur l’immatriculation »), entrée en vigueur le 15 septembre 1976, Convaincus que la collaboration à la Station spatiale internationale civile élargira la coopération en établissant des relations à long terme mutuellement avantageuses et la développera dans le domaine de l’exploration et de l’utilisation pacifique de l’espace extra-atmosphérique, Reconnaissant que la NASA et l’ASC, la NASA et l’ASE, la NASA et le Gouvernement du Japon, et la NASA et l’Agence spatiale de Russie (la RKA) ont élaboré des Mémorandums d’Accord en liaison avec la négociation du présent Accord par leurs gouvernements, et que ces Mémorandums d’Accord définissent en détail les modalités d’application du présent Accord, Reconnaissant, à la lumière de ce qui précède, qu’il est souhaitable d’établir entre le Gouvernement du Canada, les Gouvernements européens, le Gouvernement du Japon, le Gouvernement de la Fédération de Russie et le Gouvernement des Etats-Unis un cadre pour la conception, le développement, l’exploitation et l’utilisation de la Station spatiale, sont convenus de ce qui suit :

Article 1er Objet et portée 1. Le présent Accord a pour objet d’établir, sur la base d’une véritable association, un cadre de coopération internationale à long terme entre les Partenaires, en vue de la conception détaillée, du développement, de l’exploitation et de l’utilisation d’une Station spatiale internationale civile habitée en permanence, à des fins pacifiques, conformément au droit international. Cette Station spatiale internationale civile intensifiera l’utilisation scientifique, technologique et commerciale de l’espace extra-atmosphérique. Le présent Accord définit spécifiquement le programme relatif à la Station spatiale internationale civile et la nature de cette association, y compris les droits et obligations respectifs des Partenaires dans le cadre de cette coopération. L’Accord prévoit en outre des mécanismes et arrangements conçus pour faire en sorte que son objet soit rempli. 2. Les Partenaires uniront leurs efforts, les Etats-Unis ayant le rôle de chef de file en ce qui concerne la gestion et la coordination d’ensemble, en vue de créer une Station spatiale internationale intégrée. Les Etats-Unis et la Russie, tirant parti de leur grande expérience des vols spatiaux habités, produiront des éléments qui serviront de fondation à la Station spatiale internationale. Le Partenaire européen et le Japon produiront des éléments qui accroîtront sensiblement les capacités de la Station spatiale. La contribution du Canada sera un élément essentiel de la Station spatiale. Le présent Accord énumère en Annexe les éléments à fournir par les Partenaires pour constituer la Station spatiale internationale. 3. La Station spatiale internationale civile habitée en permanence (ci-après dénommée « la Station spatiale ») sera une installation polyvalente placée sur orbite terrestre basse, composée d’éléments de vol et d’éléments au sol spécifiques de la Station spatiale fournis par tous les Partenaires. En fournissant des éléments de vol de la Station spatiale, chaque Partenaire acquiert certains droits d’utiliser la Station spatiale et participe à sa gestion conformément aux dispositions du présent Accord, des Mémorandums d’Accord et des arrangements d’exécution. 4. La Station spatiale est de conception évolutive. Les droits et obligations des Etats partenaires concernant son évolution sont soumis à des dispositions spécifiques conformément à l’article 14.

Article 2 Droits et obligations internationaux 1. La Station spatiale est développée, exploitée et utilisée conformément au droit international, y compris le Traité sur l’espace extra-atmosphérique, l’Accord sur le sauvetage, la Convention sur la responsabilité et la Convention sur l’immatriculation. 2. Aucune disposition du présent Accord ne peut être interprétée comme : a) Modifiant les droits et obligations des Etats partenaires entre eux ou à l’égard d’autres Etats tels qu’ils sont fixés dans les Traités énumérés au paragraphe 1 ci-dessus, sauf dans la mesure où l’article 16 en dispose autrement ; b) Affectant les droits et obligations des Etats partenaires lorsqu’ils explorent ou utilisent l’espace extra- atmosphérique, soit individuellement, soit en coopération avec d’autres Etats, dans le cadre d’activités sans . rapport avec la station spatiale ou .

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c) Constituant la base d’une revendication d’appropriation nationale de l’espace extra-atmosphérique ou d’une partie quelconque de cet espace.

Article 3

Définitions Aux fins du présent Accord : a) L’expression « le présent Accord » désigne le présent Accord, y compris son Annexe ; b) L’expression « les Partenaires » (ou, le cas échéant, « chaque Partenaire ») désigne le Gouvernement du Canada ; les Gouvernements européens énumérés dans le préambule, qui deviennent parties au présent Accord ainsi que tout autre Gouvernement européen pouvant adhérer au présent Accord conformément aux dispositions de l’article 25.3, agissant collectivement en qualité de Partenaire unique ; le Gouvernement du Japon ; le Gouvernement de la Fédération de Russie et le Gouvernement des Etats-Unis ; c) L’expression « Etat partenaire » désigne chaque Partie contractante pour laquelle le présent Accord est entré en vigueur, conformément aux dispositions de l’article 25.

Article 4

Agences coopérantes 1. Les Partenaires conviennent que l’Agence spatiale canadienne (ci-après dénommée « l’ASC ») pour le Gouvernement du Canada, l’Agence spatiale européenne (ci-après dénommée « l’ASE ») pour les Gouvernements européens, l’Agence spatiale de Russie (ci-après dénommée « la RKA ») pour la Russie, et l’Administration nationale de l’Aéronautique et de l’Espace (ci-après dénommée « la NASA ») pour les Etats-Unis sont les Agences coopérantes responsables de la mise en œuvre de la coopération relative à la Station spatiale. La désignation de l’Agence coopérante du Gouvernement du Japon aux fins de la mise en œuvre de la coopération relative à la Station spatiale est faite dans le Mémorandum d’Accord entre la NASA et le Gouvernement du Japon mentionné au paragraphe 2 ci-dessous. 2. Les Agences coopérantes mettent en œuvre la coopération relative à la Station spatiale conformément aux dispositions applicables du présent Accord, aux Mémorandums d’Accord respectifs signés entre la NASA et l’ASC, la NASA et l’ASE, la NASA et le Gouvernement du Japon, ainsi qu’entre la NASA et la RKA sur la coopération relative à la Station spatiale internationale civile (les Mémorandums d’Accord) et aux arrangements conclus entre la NASA et les autres Agences coopérantes pour l’application des Mémorandums d’Accord (les arrangements d’exécution). Les Mémorandums d’Accord sont subordonnés au présent Accord et les arrangements d’exécution sont compatibles avec les Mémorandums d’Accord et subordonnés à ceux-ci. 3. Lorsqu’une disposition d’un Mémorandum d’Accord énonce des droits ou obligations acceptés par une Agence coopérante (ou, dans le cas du Japon, par le Gouvernement du Japon), qui n’est pas partie à ce Mémorandum d’Accord, cette disposition ne peut pas être modifiée sans le consentement écrit de cette Agence coopérante (ou, dans le cas du Japon, du Gouvernement du Japon).

Article 5

Immatriculation ; juridiction et contrôle 1. Conformément à l’article 2 de la Convention sur l’immatriculation, chaque Partenaire immatricule comme objets spatiaux les éléments de vol qu’il fournit énumérés à l’Annexe, le Partenaire européen ayant délégué cette responsabilité à l’ASE, agissant au nom et pour le compte dudit Partenaire. 2. Conformément à l’article 8 du Traité sur l’espace extra-atmosphérique et à l’article 2 de la Convention sur l’immatriculation, chaque Partenaire conserve sous sa juridiction et sous son contrôle les éléments qu’il immatricule conformément au paragraphe 1 ci-dessus et les personnels dans ou sur la Station spatiale qui sont ses ressortissants. L’exercice de cette juridiction et de ce contrôle est subordonné à toute disposition applicable du présent Accord, des Mémorandums d’Accord et des arrangements d’exécution, y compris les mécanismes de procédure appropriés qui y sont fixés.

Article 6

Propriété des éléments et des équipements 1. Le Canada, le Partenaire européen, la Russie et les Etats-Unis, par l’intermédiaire de leurs Agences coopérantes respectives, et une entité que le Japon désignera au moment où il déposera un instrument au titre de l’article 25-2, sont propriétaires des élements énumérés à l’Annexe qu’ils ont respectivement fournis, sauf dispositions contraires du présent Accord. Les Partenaires, agissant par l’intermédiaire de leurs Agences coopérantes, se notifient mutuellement les informations concernant la propriété de tout équipement installé dans . ou sur la Station spatiale. .

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2. Le Partenaire européen confère à l’ASE, agissant en son nom et pour son compte, la propriété des éléments qu’il fournit ainsi que de tout autre équipement élaboré et financé dans le cadre d’un programme de l’ASE à titre de contribution à la Station spatiale à son exploitation ou à son utilisation. 3. Le transfert de propriété des éléments énumérés à l’Annexe ou d’équipements installés dans ou sur la Station spatiale n’affecte en rien les droits et obligations des Partenaires au titre du présent Accord, des Mémorandums d’Accord ou des arrangements d’exécution. 4. Un non-Partenaire ou une entité privée placée sous sa juridiction ne peut être propriétaire d’équipements installés dans ou sur la Station spatiale et la propriété des éléments énumérés à l’Annexe ne peut lui être transférée sans l’assentiment préalable des autres Partenaires. Tout transfert de propriété de l’un quelconque des éléments énumérés à l’Annexe doit être préalablement notifié aux autres Partenaires. 5. La présence dans ou sur la Station spatiale d’équipements ou de matériels fournis par un utilisateur n’affecte pas en soi les droits de propriété y afférents. 6. La propriété ou l’immatriculation d’éléments ou la propriété d’équipements n’est en aucun cas considérée comme constituant une indication de la propriété du matériel ou des données qui résulteront d’activités conduites dans ou sur la Station spatiale. 7. L’exercice du droit de propriété afférent aux éléments et équipements est subordonné à toute disposition applicable du présent Accord, des Mémorandums d’Accord et des arrangements d’exécution, y compris les mécanismes de procédure appropriés qui y sont fixés.

Article 7

Gestion 1. La gestion de la Station spatiale sera organisée sur une base multilatérale et les Partenaires, agissant par l’intermédiaire de leurs Agences coopérantes, participeront à des organes de gestion et s’acquitteront de leurs responsabilités au sein de ces organes de gestion, mis sur pied conformément aux dispositions des Mémorandums d’Accord et des arrangements d’exécution, comme il est prévu ci-après. Ces organes de gestion planifient et coordonnent les activités touchant à la conception et au développement de la Station spatiale, à son exploitation et à son utilisation sûres et efficaces, comme prévu dans le présent Accord et dans les Mémorandums d’Accord. Ces organes de gestion ont pour objectif la prise de décision par consensus. Les Mémorandums d’Accord spécifient les mécanismes de prise de décision au sein de ces organes de gestion lorsque les Agences coopérantes ne peuvent parvenir à un consensus. Le présent Accord et les Mémorandums d’Accord précisent les responsabilités des Partenaires et de leurs Agences coopérantes en matière de prise de décision sur les éléments qu’ils fournissent. 2. Les Etats-Unis, agissant par l’intermédiaire de la NASA et conformément aux dispositions des Mémorandums d’Accord et des arrangements d’exécution, sont responsables de la gestion de leur propre programme, y compris leurs activités d’utilisation. Les Etats-Unis, agissant par l’intermédiaire de la NASA et conformément aux dispositions des Mémorandums d’Accord et des arrangements d’exécution, sont également responsables : de la gestion et de la coordination d’ensemble du programme de Station spatiale, sauf dans la mesure où le présent article et les Mémorandums d’Accord en disposent autrement ; de l’ingénierie et de l’intégration d’ensemble du système ; des impératifs et plans d’ensemble en matière de sécurité, ainsi que de la planification et de la coordination d’ensemble de la mise en œuvre de l’exploitation intégrée d’ensemble de la Station spatiale. 3. Le Canada, le Partenaire européen, le Japon et la Russie, agissant par l’intermédiaire de leurs Agences coopérantes et conformément aux dispositions des Mémorandums d’Accord et des arrangements d’exécution, sont respectivement responsables : de la gestion de leurs propres programmes, y compris de leurs activités d’utilisation ; de l’ingénierie système et de l’intégration des éléments qu’ils fournissent ; de l’élaboration et de la mise en œuvre des impératifs et plans détaillés de sécurité pour les éléments qu’ils fournissent, ainsi que, conformément au paragraphe 2 ci-dessus, du soutien à accorder aux Etats-Unis dans l’exercice de leurs responsabilités d’ensemble, y compris la participation à la planification et à la coordination de la mise en œuvre de l’exploitation intégrée de la Station spatiale. 4. Lorsqu’une question de conception et de développement porte exclusivement sur un élément de la Station spatiale fourni par le Canada, le Partenaire européen, le Japon ou la Russie et n’est pas traitée dans la documentation de programme approuvée, telle que la prévoient les Mémorandums d’Accord, les décisions concernant cet élément peuvent être prises par le Partenaire considéré agissant par l’intermédiaire de son Agence coopérante.

Article 8

Conception détaillée et développement Conformément aux dispositions de l’article 7 et aux autres dispositions applicables du présent Accord, et conformément aux Mémorandums d’Accord et aux arrangements d’exécution, chaque Partenaire, agissant par l’intermédiaire de son Agence coopérante, conçoit et développe les éléments qu’il fournit, y compris les . éléments au sol spécifiques de la Station spatiale adéquats pour assurer le soutien de l’exploitation continue et .

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de la pleine utilisation internationale des éléments de vol, et agit en liaison avec les autres Partenaires, par l’intermédiaire de leurs Agences coopérantes, pour parvenir à des solutions en ce qui concerne la conception et le développement de leurs éléments respectifs.

Article 9 Utilisation 1. Les droits d’utilisation sont fonction de la fourniture par les Partenaires d’éléments destinés aux utilisateurs, d’éléments d’infrastructure, ou des uns et des autres. Tout Partenaire qui fournit des éléments de la Station spatiale destinés aux utilisateurs conserve l’utilisation de ces éléments, sauf dispositions contraires du présent paragraphe. Les Partenaires qui fournissent, pour exploiter et utiliser la Station spatiale, des ressources tirées de leurs éléments d’infrastructure de la Station spatiale reçoivent en contrepartie une part fixe de l’utilisation de certains éléments destinés aux utilisateurs. Les allocations spécifiques, aux Partenaires, d’éléments de la Station spatiale destinés aux utilisateurs et de ressources tirées de l’infrastructure de la Station spatiale sont fixées dans les Mémorandums d’Accord et les arrangements d’exécution. 2. Les Partenaires ont le droit d’échanger ou de vendre telle ou telle partie de leurs allocations respectives. Les modalités de ces échanges ou de ces ventes sont fixées cas par cas par les parties à la transaction. 3. Chaque Partenaire peut utiliser ses allocations et choisir pour celles-ci des utilisateurs pour toute fin compatible avec l’objet du présent Accord et avec les dispositions des Mémorandums d’Accord et des arrangements d’exécution, avec les réserves suivantes : a) Toute utilisation envisagée d’un élément destiné aux utilisateurs par un non-Partenaire, ou une entité privée placée sous sa juridiction, doit être préalablement notifiée à tous les Partenaires par l’intermédiaire de leurs Agences coopérantes et faire l’objet d’un consensus en temps voulu entre eux ; b) Le Partenaire fournissant un élément détermine si l’utilisation prévue de cet élément répond à des fins pacifiques ; le présent alinéa ne peut toutefois pas être invoqué pour empêcher l’un des Partenaires d’utiliser des ressources tirées de l’infrastructure de la Station spatiale. 4. Dans son utilisation de la Station spatiale, chaque Partenaire, agissant par l’intermédiaire de son Agence coopérante, s’efforce, au moyen des mécanismes établis dans les Mémorandums d’Accord, de ne pas perturber gravement l’utilisation de la Station par les autres Partenaires. 5. Chaque Partenaire assure aux autres, conformément à leurs allocations respectives, l’accès à ses éléments de la Station spatiale et l’utilisation de ceux-ci. 6. Aux fins du présent article, un Etat membre de l’ASE n’est pas considéré comme un « non-Partenaire ».

Article 10 Exploitation Les Partenaires, agissant par l’intermédiaire de leurs Agences coopérantes, ont des responsabilités dans l’exploitation des éléments qu’ils fournissent respectivement, conformément aux dispositions de l’article 7 et aux autres dispositions applicables du présent Accord, et conformément aux Mémorandums d’Accord et aux arrangements d’exécution. Les Partenaires, agissant par l’intermédiaire de leurs Agences coopérantes, mettent au point et appliquent des procédures permettant une exploitation de la Station spatiale sûre et efficace pour ses utilisateurs et ses exploitants, conformément aux dispositions des Mémorandums d’Accord et des arrangements d’exécution. De plus, chaque Partenaire, agissant par l’intermédiaire de son Agence coopérante, est responsable du maintien en état opérationnel des éléments qu’il fournit.

Article 11 Equipage 1. Chaque Partenaire a le droit de fournir du personnel qualifié pour exercer, selon une répartition équitable, les fonctions de membres de l’équipage de la Station spatiale. Les sélections et les décisions concernant les affectations à des vols de membres de l’équipage relevant d’un Partenaire déterminé sont conformes aux procédures prévues dans les Mémorandums d’Accord et les arrangements d’exécution. 2. Le Code de conduite de l’équipage de la Station spatiale sera élaboré et approuvé par tous les Partenaires, conformément aux procédures internes de chaque Partenaire et conformément aux dispositions des Mémorandums d’Accord. Tout Partenaire doit avoir approuvé le Code de conduite avant de fournir des membres de l’équipage de la Station spatiale. Dans l’exercice de son droit, chaque Partenaire s’assure que les membres de l’équipage qu’il fournit observent le Code de conduite.

Article 12 Transport 1. Chacun des Partenaires a le droit d’accéder à la Station spatiale à l’aide de ses propres systèmes de . transport spatial du secteur public ou du secteur privé, s’ils sont compatibles avec la Station spatiale. Les .

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Etats-Unis, la Russie, le Partenaire européen et le Japon, par l’intermédiaire de leurs Agences coopérantes respectives, mettent à disposition des services de lancement et de retour sur Terre pour la Station spatiale (en utilisant des systèmes de transport spatial tels que la Navette spatiale américaine, les lanceurs russes Proton et Soyouz, le lanceur européen Ariane 5 et le lanceur japonais H-II). Dans un premier temps, les systèmes de transport spatial américains et russes seront utilisés pour fournir des services de lancement et de retour sur Terre pour la Station spatiale ; les autres systèmes de transport spatial seront, en outre, utilisés à mesure qu’ils deviendront disponibles. L’accès ainsi que les services de lancement et de retour sur Terre sont assurés conformément aux dispositions des Mémorandums d’Accord et des arrangements d’exécution applicables. 2. Les Partenaires qui fournissent des services de lancement et de retour sur Terre à d’autres Partenaires et à leurs utilisateurs respectifs moyennant paiement ou selon d’autres modalités fournissent ce type de service conformément aux conditions spécifiées dans les Mémorandums d’Accord et les arrangements d’exécution applicables. Les Partenaires qui fournissent des services de lancement et de retour sur Terre moyennant paiement fournissent ces services à un autre Partenaire ou aux utilisateurs de ce Partenaire, dans des circonstances comparables, sur la même base que la fourniture de ces services à tout autre Partenaire ou aux utilisateurs de cet autre Partenaire. Les Partenaires font tout leur possible pour répondre aux propositions des autres Partenaires relatives à leurs impératifs et calendriers de vol. 3. Les Etats-Unis, par l’intermédiaire de la NASA, agissant en collaboration avec les Agences coopérantes des autres Partenaires au sein des organes de gestion, planifient et coordonnent les services de lancement et de retour sur Terre pour la Station spatiale, en accord avec la procédure de planification intégrée des vols, comme le prévoient les Mémorandums d’Accord et les arrangements d’exécution. 4. Chaque Partenaire respecte les droits de propriété sur les biens et données dûment identifiés devant être transportés par son système de transport spatial, ainsi que le caractère confidentiel de ces biens et données.

Article 13 Télécommunications 1. Les Etats-Unis et la Russie, par l’intermédiaire de leurs Agences coopérantes, fournissent les deux principaux réseaux de communications spatial et terrestre de systèmes de satellites et relais de données pour assurer la commande, le contrôle et l’exploitation des éléments et charges utiles de la Station spatiale et faire face à d’autres besoins de télécommunications de cette dernière. Les autres Partenaires peuvent fournir des réseaux de communications spatial et terrestre de systèmes de satellites de relais de données s’ils sont compatibles avec la Station spatiale et avec l’utilisation par la Station spatiale des deux réseaux principaux. La fourniture de services de télécommunications pour la Station spatiale respecte les dispositions des Mémorandums d’Accord et des arrangements d’exécution applicables. 2. Les Agences coopérantes font tout leur possible pour répondre, en utilisant leurs systèmes de télécommunications respectifs et moyennant paiement, à leurs besoins spécifiques réciproques liés à la Station spatiale, dans le respect des conditions spécifiées dans les Mémorandums d’Accord et les arrangements d’exécution applicables. 3. Les Etats-Unis, par l’intermédiaire de la NASA, agissant en collaboration avec les Agences coopérantes des autres Partenaires au sein des organes de gestion, planifient et coordonnent les services de télécommunications spatial et au sol pour la Station spatiale, conformément à la documentation de programme appropriée, comme prévu dans les Mémorandums d’Accord et les arrangements d’exécution. 4. Des mesures visant à protéger le caractère confidentiel des données d’utilisation transitant par le système d’information de la Station spatiale et par d’autres systèmes de télécommunications utilisés en liaison avec celle-ci peuvent être mises en œuvre comme prévu dans les Mémorandums d’Accord. Lorsqu’il fournit des services de télécommunications à un autre Partenaire, chaque Partenaire respecte les droits de propriété sur les données d’utilisation transitant par ses systèmes de télécommunications, y compris son réseau au sol et les systèmes de télécommunications de ses contractants, ainsi que le caractère confidentiel de ces données.

Article 14 Evolution 1. Les Partenaires envisagent une évolution de la Station spatiale par adjonction de capacité et s’efforcent de maximiser les chances de voir tous les Partenaires contribuer à cette évolution. A cette fin, chaque Partenaire se fixe pour objectif de donner, le cas échéant, aux autres Partenaires la possibilité de coopérer à ses propositions d’adjonctions de capacité. La Station spatiale avec ses adjonctions de capacité reste une station civile et est exploitée et utilisée à des fins pacifiques, conformément au droit international. 2. Le présent Accord énonce les droits et obligations relatifs aux seuls éléments énumérés en Annexe, à l’exception du présent article et de l’article 16 qui s’appliquent à toutes adjonctions de capacité. Le présent Accord n’oblige aucun Etat partenaire à contribuer à l’adjonction de capacité et ne confère à aucun Partenaire de droit sur cette adjonction. 3. Les Mémorandums d’Accord prévoient des procédures pour la coordination des études respectives des Partenaires sur l’évolution et pour l’examen de propositions spécifiques d’adjonction de capacité. 4. La coopération entre deux ou plusieurs Partenaires en ce qui concerne le partage d’une ou de plusieurs . adjonction(s) de capacité requiert, après la coordination et les examens prévus au paragraphe 3 ci-dessus, soit .

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une modification du présent Accord, soit un accord distinct auquel sont parties les Etats-Unis, afin de s’assurer que toute adjonction est compatible avec l’ensemble du programme, et tout autre Partenaire fournissant un élément de la Station spatiale ou un système de transport spatial sur lequel cette adjonction a une incidence opérationnelle ou technique. 5. Après la coordination et les examens prévus au paragraphe 3 ci-dessus, l’adjonction de capacité par un Partenaire requiert de celui-ci une notification préalable aux autres Partenaires et un accord avec les Etats-Unis (afin de s’assurer que toute adjonction est compatible avec l’ensemble du programme) et avec tout autre Partenaire fournissant une élément de la Station spatiale ou un système de transport spatial sur lequel cette adjonction a une incidence opérationnelle ou technique. 6. Un Partenaire susceptible d’être affecté par l’adjonction de capacité visée aux paragraphes 4 et 5 ci-dessus peut demander des consultations avec les autres Partenaires comme prévu à l’article 23. 7. L’adjonction de capacité ne modifie en aucun cas les droits et obligations d’un Etat partenaire, au titre du présent Accord et des Mémorandums d’Accord, en ce qui concerne les éléments énumérés en Annexe, sauf si l’Etat partenaire intéressé accepte qu’il en soit autrement.

Article 15

Financement 1. Chaque Partenaire prend à sa charge les dépenses nécessaires pour s’acquitter de ses propres responsabilités au titre du présent Accord, y compris en partageant équitablement les activités ou les coûts communs d’exploitation des systèmes qui auront été agréés et qui se rapporteront à l’exploitation de la Station spatiale dans son ensemble, comme prévu dans les Mémorandums d’Accord et les arrangements d’exécution. 2. Les obligations financières de chaque Partenaire en application du présent Accord sont subordonnées à ses procédures de financement et à la disponibilité des fonds budgétaires. Reconnaissant l’importance de la coopération relative à la Station spatiale, chaque Partenaire s’engage à faire tout son possible pour obtenir l’approbation des fonds nécessaires pour s’acquitter de telles obligations, dans la mesure compatible avec ses procédures de financement. 3. S’il se pose des problèmes de financement susceptibles d’affecter la capacité d’un Partenaire de s’acquitter de ses responsabilités au titre de la coopération relative à la Station spatiale, celui-ci, agissant par l’intermédiaire de son Agence coopérante, en informe les autres Agences coopérantes et les consulte. Les Partenaires peuvent également se consulter si nécessaire. 4. Les Partenaires s’efforcent de réduire au minimum les coûts d’exploitation de la Station spatiale. En particulier, les Partenaires, par l’intermédiaire de leurs Agences coopérantes et conformément aux dispositions des Mémorandums d’Accord, mettent au point des procédures visant à contenir les activités et les coûts communs d’exploitation des systèmes dans les limites des niveaux estimatifs approuvés. 5. Dans la mise en œuvre de la coopération relative à la Station spatiale, les Partenaires s’efforcent également de réduire au minimum les échanges de fonds, y compris en menant des activités opérationnelles spécifiques comme prévu dans les Mémorandums d’Accord et les arrangements d’exécution ou, si les Partenaires intéressés l’acceptent, en procédant à des échanges.

Article 16

Renonciation mutuelle à recours en matière de responsabilité 1. Le présent article a pour objet d’établir une renonciation mutuelle à recours en matière de responsabilité de la part des Etats partenaires et des entités associées en vue d’encourager la participation à l’exploration, à l’exploitation et à l’utilisation de l’espace extra-atmosphérique au moyen de la Station spatiale. Cette renonciation mutuelle à recours fera l’objet d’une interprétation large en vue d’atteindre cet objectif. 2. Aux fins du présent article : a) L’expression « Etat partenaire » s’étend à son Agence coopérante. Cette expression inclut également toute entité désignée dans le Mémorandum d’Accord entre la NASA et le Gouvernement du Japon pour aider l’Agence coopérante du Gouvernement du Japon dans la mise en œuvre dudit Mémorandum d’Accord ; b) L’expression « entité associée » désigne : 1. un contractant ou un sous-contractant d’un Etat partenaire à quelque niveau que ce soit, 2. un utilisateur ou un client d’un Etat partenaire, à quelque niveau que ce soit, ou 3. un contractant ou un sous-contractant d’un utilisateur ou d’un client d’un Etat partenaire à quelque niveau que ce soit. Le présent alinéa peut également s’appliquer à un Etat, ou à une agence ou une institution d’un Etat, entretenant avec un Etat partenaire des relations semblables à celles qui sont décrites aux alinéas 2 b, 1 à 2 b, 3 ci-dessus ou s’occupant à un autre titre de la mise en œuvre d’opérations spatiales protégées telles qu’elles sont définies à l’alinéa 2 f ci-dessous. . Les « contractants » et les « sous-contractants » comprennent les fournisseurs de toute nature. .

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c) Le terme « dommage » désigne : 1. les lésions corporelles ou autres atteintes à la santé causées à une personne ou le décès d’une personne ; 2. les dommages matériels, la perte d’un bien ou de son usage ; 3. la perte de recettes ou de bénéfices ; ou 4. les autres dommages directs, indirects ou consécutifs ; d) Le terme « lanceur » désigne un objet (ou une partie d’un objet) destiné au lancement, lancé à partir de la Terre ou revenant sur Terre et emportant des charges utiles ou des personnes ou les deux ; e) L’expression « charge utile » désigne tout bien destiné à être embarqué ou utilisé dans ou sur un lanceur ou la Station spatiale ; f) L’expression « opérations spatiales protégées » désigne toutes les activités relatives au lanceur, à la Station spatiale et aux charges utiles à Terre, dans l’espace extra-atmosphérique ou en transit entre la Terre et l’espace extra-atmosphérique en application du présent Accord, des Mémorandums d’Accord et des arrangements d’exécution. Cette expression comprend, de manière non limitative : 1. La recherche, la conception, la mise au point, les essais, la fabrication, l’assemblage, l’intégration, l’exploitation ou l’utilisation de lanceurs ou de véhicules de transfert, de la Station spatiale, ou d’une charge utile, ainsi que des équipements, installations et services de soutien connexes ; et 2. Toutes les activités liées aux équipements de soutien au sol, d’essais, d’entraînement, de simulation, de pilotage et de contrôle, et aux installations ou services connexes. L’expression « opérations spatiales protégées » désigne également toutes les activités liées à l’évolution de la Station spatiale, comme prévu à l’article 14. Ne sont pas considérées comme « opérations spatiales protégées » les activités menées sur Terre au retour de la Station spatiale pour poursuivre la mise au point d’un produit ou d’un procédé relevant d’une charge utile à des fins autres que des activités liées à la Station spatiale en application du présent Accord. 3. a) Chaque Etat partenaire consent à une renonciation mutuelle à recours par laquelle il renonce à toute demande de réparation à l’encontre de l’une quelconque des entités ou des personnes énumérées aux alinéas 3 a) 1 à 3 a) 3 ci-dessous au titre de dommages découlant d’opérations spatiales protégées. Cette renonciation mutuelle à recours ne s’applique que dans le cas où la personne, l’entité ou le bien ayant causé le dommage participe à des opérations spatiales protégées et où la personne, l’entité ou le bien lésé l’a été du fait de sa participation à des opérations spatiales protégées. La renonciation mutuelle à recours s’applique à toutes demandes de réparation en cas de dommage, quelle qu’en soit la base juridique, à l’encontre : 1. d’un autre Etat partenaire ; 2. d’une entité associée d’un autre Etat partenaire ; 3. du personnel de l’une quelconque des entités énumérées aux alinéas 3 a, 1 et 3 a, 2 ci-dessus. b) En outre, chaque Etat partenaire étend, par contrat ou de toute autre manière, la renonciation à recours énoncée à l’alinéa 3 a ci-dessus à ses entités associées en leur demandant : 1. de renoncer à toute demande de réparation à l’encontre des entités ou personnes énumérées aux alinéas 3 a, 1 à 3 a, 3 ci-dessus ; et 2. d’exiger de leurs entités associées qu’elles renoncent à toute demande de réparation à l’encontre des entités ou personnes énumérées aux alinéas 3 a, 1 à 3 a, 3 ci-dessus. c) Pour éviter toute ambiguïté, la présente renonciation mutuelle à recours comprend la renonciation à une demande de réparation en cas de responsabilité découlant de la Convention sur la responsabilité, lorsque la personne, l’entité ou le bien ayant causé le dommage participe à des opérations spatiales protégées et lorsque la personne, l’entité ou le bien lésé l’a été du fait de sa participation à des opérations spatiales protégées. d) Nonobstant les autres dispositions du présent article, la présente renonciation mutuelle à recours n’est pas applicable aux demandes de réparation : 1. entre un Etat partenaire et son entité associée ou entre ses entités associées ; 2. émanant, en cas de lésion corporelle ou autres atteintes à la santé ou de décès d’une personne physique, de cette personne, de ses héritiers, de ses ayants droits ou de ses subrogés (sauf lorsqu’un subrogé est un Etat partenaire) ; 3. pour dommage résultant d’une faute intentionnelle ; 4. au titre de la propriété intellectuelle ; 5. résultant du manquement d’un Etat partenaire à éteindre la renonciation mutuelle à recours en matière de responsabilité à ses entités associées, en application de l’alinéa 3 b ci-dessus. e) Eu égard à l’alinéa 3 d, 2 ci-dessus, lorsqu’une demande de réparation en subrogation du Gouvernement du Japon ne repose pas sur la législation en matière d’indemnisation des employés gouvernementaux en cas d’accident, le Gouvernement du Japon s’acquitte de son obligation à renoncer à ses demandes de réparation en subrogation en s’assurant que l’entité auxiliaire désignée conformément à l’alinéa 2 a ci-dessus dédommage, dans le respect de l’article 15.2 et de la législation et réglementation en vigueur au Japon, toute entité ou personne énumérée aux alinéas 3 a, 1 à 3 a, 3 ci-dessus pour les reponsabilités découlant des demandes de réparation en subrogation du Gouvernement du Japon. Aucune disposition du présent article n’empêche le Gouvernement du Japon de renoncer aux demandes de réparation en subrogation décrites ci-dessus. f) Aucune disposition du présent article ne doit être interprétée comme ouvrant droit à une demande de . réparation ou à des poursuites qui autrement n’auraient pas été fondées. .

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Article 17 Convention sur la responsabilité 1. Sauf dispositions contraires de l’article 16, les Etats partenaires, ainsi que l’ASE, restent responsables conformément aux dispositions de la Convention sur la responsabilité. 2. Dans le cas d’une demande en réparation fondée sur les dispositions de la Convention sur la responsabilité, les Partenaires (et l’ASE, le cas échéant) se consultent dans les meilleurs délais sur toute responsabilité éventuelle, sur toute répartition de cette responsabilité et sur la défense à opposer à cette demande. 3. En ce qui concerne la fourniture de services de lancement et de retour sur Terre prévus à l’article 12.2, les Partenaires intéressés (et l’ASE, le cas échéant) peuvent conclure des accords distincts relatifs à la répartition de la responsabilité solidaire éventuelle découlant de la Convention sur la responsabilité.

Article 18 Douanes et immigration 1. Chaque Etat partenaire facilite, dans le respect de sa législation et de sa réglementation, l’entrée et la sortie de son territoire pour les personnes et les biens nécessaires aux fins de mise en œuvre du présent Accord. 2. Chaque Etat partenaire facilite, dans le respect de sa législation et de sa réglementation, la fourniture de la documentation applicable en matière d’entrée et de séjour sur son territoire aux ressortissants d’un autre Etat partenaire et aux membres de leur famille qui entrent sur son territoire, en sortent ou y séjournent pour y exercer des fonctions nécessaires à la mise en œuvre du présent Accord. 3. Chaque Etat partenaire accorde l’autorisation d’importer sur son territoire et d’exporter de son territoire, en franchise des droits de douanes, des biens et des logiciels nécessaires à la mise en œuvre du présent Accord et fait en sorte que ces biens et logiciels soient exemptés de tout autre taxe ou droit prélevé par les autorités douanières. Le présent paragraphe s’applique quel que soit le pays d’origine de ces biens et logiciels nécessaires.

Article 19 Echange de données et de biens 1. Sauf dispositions contraires du présent paragraphe, chaque Partenaire, agissant par l’intermédiaire de son Agence coopérante, transfère toutes les données techniques et tous les biens considérés (par les deux parties au transfert) comme nécessaire à l’Agence coopérante de ce Partenaire pour s’acquitter de ses obligations au titre des Mémorandums d’Accord et arrangements d’exécution applicables. Chaque Partenaire s’engage à traiter avec célérité toute demande de données techniques ou de biens présentée par l’Agence coopérante d’un autre Partenaire à des fins de coopération relative à la Station spatiale. Le présent article ne fait pas obligation à un Etat partenaire de transférer des données techniques ou des biens en infraction à sa législation ou à sa réglementation nationale. 2. Les Partenaires font tout leur possible pour traiter avec célérité les demandes d’autorisation de transferts de données techniques et de biens par des personnes ou par des entités autres que les Partenaires ou leurs Agences coopérantes (par exemple, les échanges entre firmes qui se développeront vraisemblablement) ; ils encouragent et facilitent ces transferts pour les besoins de la coopération relative à la Station spatiale au titre du présent Accord. Les dispositions du présent article ne s’appliquent pas par ailleurs à ces transferts. Ceux-ci sont régis par les législations et réglementations nationales. 3. Les Partenaires conviennent que les transferts de données techniques et de biens au titre du présent Accord sont assujettis aux restrictions énoncées dans le présent paragraphe. Les restrictions énoncées dans le présent paragraphe ne s’appliquent pas en règle générale aux transferts de données techniques visant à ce que les Partenaires s’acquittent de leurs responsabilités en matière d’interfaces, d’intégration et de sécurité. Si des données détaillées sur la conception, la fabrication et les procédés ainsi que les logiciels associés sont nécessaires à des fins d’interfaçage, d’intégration ou de sécurité, leur transfert se fait conformément au paragraphe 1 ci-dessus mais les données et les logiciels associés peuvent être signalés par une mention appropriée comme il est indiqué ci-après. Sauf restrictions résultant par ailleurs de la législation ou de la réglementation nationales, les données techniques et les biens non couverts par les restrictions énoncées dans le présent paragraphe sont transférés sans restriction. a) L’Agence coopérante qui fournit les données techniques ou les biens signale par une mention ou identifie spécifiquement de toute autre manière les données techniques ou les biens qui doivent être protégés aux fins du contrôle à l’exportation. Cette mention ou marque d’identification indique toute condition spécifique concernant les modalités d’utilisation de ces données techniques ou de ces biens par l’Agence coopérante qui les reçoit, ses contractants et sous-contractants, y compris (1) que ces données techniques ou biens ne peuvent être utilisés par l’Agence coopérante qui les reçoit qu’aux fins des responsabilités dont elle doit s’acquitter au titre du présent Accord et des Mémorandums d’Accord applicables et (2) que ces données techniques ou biens ne peuvent être utilisés par des personnes ou entités autres que l’Agence coopérante qui les reçoit, ses contractants ou sous- contractants ni à quelque autre fin que ce soit sans l’autorisation écrite préalable de l’Etat partenaire qui les . fournit, agissant par l’intermédiaire de son Agence coopérante. .

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b) L’Agence coopérante qui fournit les données techniques signale par une mention celles qui doivent faire l’objet d’une protection au titre des droits de propriété. Cette mention indique toute condition spécifique concernant les modalités d’utilisation de ces données techniques par l’Agence coopérante qui les reçoit, ses contractants et sous-contractants, y compris (1) que ces données techniques seront utilisées, reproduites ou communiquées aux seules fins de l’exercice des responsabilités incombant à l’Agence coopérante qui les reçoit au titre du présent Accord et des Mémorandums d’Accord applicables, et (2) que ces données techniques ne peuvent être utilisées par des personnes ou entités autres que l’Agence coopérante qui les reçoit, ses contractants ou sous-contractants ni à quelque autre fin que ce soit sans l’autorisation écrite préalable de l’Etat partenaire qui les fournit, agissant par l’intermédiaire de son Agence coopérante. c) En cas de transfert au titre du présent Accord de données techniques ou de biens classifiés, l’Agence coopérante qui les fournit signale par une mention ou identifie spécifiquement de quelque autre manière ces données techniques ou ces biens. L’Etat partenaire auquel ces données techniques ou ces biens sont demandés peut exiger que le transfert s’effectue sur la base d’un accord ou d’un arrangement sur la sécurité de l’information énonçant les conditions de transfert et de protection de ces données techniques ou de ces biens. Le transfert n’est pas obligatoire si l’Etat partenaire qui reçoit les données techniques ou les biens n’assure pas la protection du secret des demandes de brevet comportant des informations classifiées ou autrement tenues secrètes à des fins de sécurité nationale. Il n’est transféré au titre du présent Accord aucune donnée technique ni aucun bien classifiés à moins que les deux parties n’aient approuvé le transfert. 4. Chaque Etat partenaire prend toutes les mesures nécessaires pour faire en sorte que les données techniques ou les biens reçus par lui au titre des alinéas 3 a, 3 b ou 3 c ci-dessus soient traités par l’Etat partenaire qui les reçoit, son Agence coopérante et les autres personnes ou entités (y compris les contractants et sous-contractants) auxquels les données techniques ou les biens sont par la suite transférés, conformément aux conditions fixées dans la notice ou la marque d’identification. Chaque Etat partenaire et chaque Agence coopérante prend toutes les mesures nécessaires dans les limites du raisonnable, entre autres par la spécification de conditions contractuelles appropriées dans ses contrats et sous-contrats, pour prévenir l’utilisation, la communication ou le transfert non autorisés de ces données techniques ou de ces biens reçus au titre de l’alinéa 3 c ci-dessus, l’Etat partenaire ou l’Agence coopérante qui les reçoit leur applique un niveau de protection au moins équivalent à celui qui est appliqué par l’Etat partenaire ou l’Agence coopérante qui les fournit. 5. Par le présent Accord ou les Mémorandums d’Accord applicables, les Partenaires n’entendent accorder à un bénéficiaire d’autre droit que celui d’utiliser, de communiquer ou de retransférer des données techniques ou des biens reçus, conformément aux conditions imposées par le présent article. 6. Le retrait du présent Accord d’un Etat partenaire n’affecte pas les droits et obligations en ce qui concerne la protection des données techniques et des biens transférés au titre du présent Accord avant ce retrait, sauf s’il en est autrement convenu dans un accord de retrait en application de l’article 28. 7. Aux fins du présent article, tout transfert par une Agence coopérante de données techniques ou de biens à l’ASE est considéré comme destiné à l’ASE, à tous les Etats partenaires européens ainsi qu’aux contractants et sous-contractants de la Station spatiale désignés par l’ASE, sauf disposition contraire expressément prévue au moment du transfert. 8. Les Partenaires, par l’intermédiaire de leurs Agences coopérantes, élaboreront des directives en matière de sécurité de l’information.

Article 20

Traitement des données et des biens en transit Reconnaissant l’importance de l’exploitation continue et de la pleine utilisation internationale de la Station spatiale, chaque Etat partenaire permet, dans la mesure où l’y autorisent sa législation et sa réglementation nationales, le transit rapide des données et des biens des autres Partenaires, de leurs Agences coopérantes et de leurs utilisateurs. Le présent article ne s’applique qu’aux données et aux biens en transit à destination ou en provenance de la Station spatiale y compris, de manière non limitative, le transit entre ses frontières nationales et un site de lancement ou d’atterrissage situé sur son territoire et le transit entre un site de lancement ou d’atterrissage et la Station spatiale.

Article 21

Propriété intellectuelle 1. Aux fins du présent Accord, l’expression « propriété intellectuelle » a le sens que lui donne l’article 2 de la Convention portant création de l’Organisation mondiale de la propriété intellectuelle, signée à Stockholm le 14 juillet 1967. 2. Pour l’application du droit en matière de propriété intellectuelle, et sous réserve des dispositions du présent article, une activité se déroulant dans ou sur un élément de vol de la Station spatiale est réputée n’avoir eu lieu que sur le territoire de l’Etat partenaire ayant immatriculé cet élément, à ceci près que, pour les éléments immatriculés par l’ASE, chaque Etat partenaire européen peut estimer que l’activité s’est déroulée . dans les limites de son territoire. Pour éviter toute ambiguïté, la participation d’un Etat partenaire, de son .

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Agence coopérante ou de ses entités associées à une activité se déroulant dans ou sur un élément de vol de la Station spatiale de tout autre partenaire ne modifie ni n’affecte en soi la juridiction applicable à cette activité telle que la prévoit la phrase précédente. 3. Pour les inventions faites dans ou sur un élément de vol de la Station spatiale par une personne qui n’est pas ressortissante d’un Etat partenaire ou qui n’y réside pas, celui-ci n’applique pas sa législation en matière de secret de l’invention, dans la mesure où ceci empêcherait (par exemple en imposant un délai ou en exigeant une autorisation préalable) le dépôt d’une demande de brevet dans un autre Etat partenaire qui assure la protection du secret des demandes de brevet contenant des informations classifiées ou autrement protégées à des fins de sécurité nationale. Cette disposition n’affecte pas (a) le droit d’un Etat partenaire auprès duquel une demande de brevet est déposée en premier lieu, de contrôler la confidentialité ou de limiter la possibilité de dépôts ultérieurs d’une telle demande ou (b) le droit de tout autre Etat partenaire auprès duquel une demande de brevet est déposée par la suite de restreindre, conformément aux obligations internationales, la diffusion d’une demande de brevet. 4. Lorsqu’une personne ou une entité détient des droits de propriété intellectuelle protégés dans plus d’un Etat partenaire européen, cette personne ou entité ne peut obtenir réparation dans plus d’un de ces Etats pour la même atteinte aux mêmes droits de propriété intellectuelle se produisant dans ou sur un élément immatriculé par l’ASE. Lorsque la même atteinte intervenant dans ou sur un élément immatriculé par l’ASE donne lieu à l’engagement de procédures par différents détenteurs de droits de propriété intellectuelle du fait que plus d’un Etat partenaire européen considère que l’acte s’est produit sur son territoire, un tribunal peut, dans l’attente du résultat d’une procédure en cours, décider la suspension temporaire d’une procédure engagée ultérieurement. Lorsque plusieurs procédures sont engagées, l’exécution d’un jugement accordant des dommages et intérêts, au titre de l’une d’entre elles, exclut toute indemnisation ultérieure au titre d’une action en cours ou future, relative à une atteinte, fondée sur le même motif. 5. En ce qui concerne les activités se déroulant dans ou sur un élément immatriculé par l’ASE, aucun Etat partenaire européen ne peut refuser de reconnaître une licence pour l’exercice d’un quelconque droit de propriété intellectuelle si la validité de cette licence est reconnue par la législation de l’un des Etats partenaires européens, et l’observation des clauses de cette licence exclut par ailleurs toute indemnisation pour une atteinte intervenant dans un Etat partenaire européen. 6. La présence temporaire sur le territoire d’un Etat partenaire de tous articles, y compris les composants d’un élément de vol, en transit entre un point quelconque au sol et un quelconque élément de vol de la Station spatiale immatriculé par un autre Etat partenaire ou par l’ASE ne constitue pas en soi un motif permettant d’engager, dans le premier Etat partenaire, une quelconque action pour contrefaçon de brevet.

Article 22

Juridiction pénale

Eu égard au caractère unique et sans précédent de cette forme particulière de coopération internationale dans l’espace : 1. Le Canada, les Etats partenaires européens, le Japon, la Russie et les Etats-Unis peuvent exercer la juridiction pénale sur les personnels dans ou sur tout élément de vol qui sont leurs ressortissants. 2. En cas d’infraction en orbite : (a) portant atteinte à la vie ou à la sécurité d’un ressortissant d’un autre Etat partenaire ou (b) survenant dans ou sur l’élément de vol d’un autre Etat partenaire ou endommageant cet élément, l’Etat partenaire dont le ressortissant est l’auteur présumé de l’infraction consulte, à la demande de l’un quelconque des Etats partenaires lésés, ledit Etat au sujet de leurs intérêts respectifs en matière de poursuites. Un Etat partenaire lésé peut, après une telle consultation, exercer la juridiction pénale sur l’auteur présumé de l’infraction à condition que dans les 90 jours suivant cette consultation ou dans un autre délai à arrêter d’un commun accord, l’Etat partenaire dont le ressortissant est l’auteur présumé de l’infraction : 1. donne son accord à l’exercice de cette juridiction pénale, ou 2. ne donne pas les assurances qu’il soumettra cette affaire à ses autorités compétentes en vue de poursuites. 3. Si un Etat partenaire pour lequel l’extradition est assujettie à l’existence d’un traité reçoit une demande d’extradition émanant d’un autre Etat partenaire avec lequel il n’a pas conclu de traité d’extradition, il peut s’il le désire considérer que le présent Accord constitue le fondement juridique de l’extradition liée à l’infraction présumée en orbite. L’extradition est soumise aux règles de procédure et autres conditions de la législation de l’Etat partenaire requis. 4. Chaque Etat partenaire prête assistance, dans le respect de sa législation et de sa réglementation nationales, aux autres Partenaires en cas d’infraction présumée en orbite. 5. Le présent article ne vise pas à restreindre les pouvoirs et les procédures applicables au maintien de l’ordre et au déroulement des activités de l’équipage dans ou sur la Station spatiale définis dans le Code de conduite en application de l’article 11, et le Code de conduite ne vise pas à limiter l’application du présent . article. .

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Article 23

Consultations 1. Les Partenaires, agissant par l’intermédiaire de leurs Agences coopérantes, peuvent se consulter mutuellement sur toute question découlant de la coopération relative à la Station spatiale. Les Partenaires font tout leur possible pour régler ces questions par voie de consultations entre deux ou plusieurs de leurs Agences coopérantes conformément aux procédures prévues dans les Mémorandums d’Accord. 2. Tout Partenaire peut demander que se tiennent des consultations au niveau gouvernemental avec un autre Partenaire sur toute question découlant de la coopération relative à la Station spatiale. Le Partenaire sollicité accède à cette demande dans les meilleurs délais. Si le Partenaire demandeur informe les Etats-Unis que l’objet de ces consultations se prête à un examen par tous les Partenaires, les Etats-Unis organisent, aussi rapidement que possible, des consultations multilatérales auxquelles ils invitent tous les Partenaires. 3. Tout Partenaire qui compte procéder à des modifications notables de la conception d’un élément de vol susceptibles d’avoir une incidence pour les autres Partenaires en avise les autres Partenaires dans les meilleurs délais. Un Partenaire ainsi avisé peut demander que l’affaire soit soumise à la procédure de consultation prévue aux paragraphes 1 et 2 ci-dessus. 4. Si une question non résolue par voie de consultations reste à resoudre, les Partenaires intéressés peuvent la soumettre à une procédure agréée de règlement des différends telle que la conciliation, la médiation ou l’arbitrage.

Article 24

Examen de la coopération relative à la Station spatiale En raison du caractère à long terme, complexe et évolutif de leur coopération au titre du présent Accord, les Partenaires se tiennent mutuellement informés des évolutions susceptibles d’affecter cette coopération. A partir de l’année 1999, et tous les trois ans par la suite, les Partenaires se réunissent pour traiter les questions liées à leur coopération et pour examiner et promouvoir la coopération relative à la Station spatiale.

Article 25

Entrée en vigueur 1. Le présent Accord reste ouvert à la signature des Etats énumérés au préambule. 2. Le présent Accord est soumis à ratification, acceptation, approbation ou adhésion. La ratification, l’acceptation, l’approbation ou l’adhésion sont effectuées par chaque Etat conformément à ses procédures constitutionnelles. Les instruments de ratification, d’acceptation, d’approbation ou d’adhésion sont déposés auprès du Gouvernement des Etats-Unis, ici désigné comme Dépositaire. 3. a) Le présent Accord entrera en vigueur à la date à laquelle le dernier instrument de ratification, d’acceptation ou d’approbation du Japon, de la Russie et des Etats-Unis aura été déposé. Le Dépositaire notifiera l’entrée en vigueur du présent Accord à tous les Etats signataires. b) Le présent Accord n’entrera pas en vigueur pour un Etat partenaire européen avant d’entrer en vigueur pour le Partenaire européen. Il entrera en vigueur pour le Partenaire européen lorsque le Dépositaire aura reçu les instruments de ratification, d’acceptation, d’approbation ou d’adhésion d’au moins quatre Etats européens signataires ou adhérents et, en outre, une notification officielle du Président du Conseil de l’ESA. c) Après l’entrée en vigueur du présent Accord pour le Partenaire européen, il entrera en vigueur, pour tout Etat européen figurant au préambule qui n’aura pas déposé son instrument de ratification, d’acceptation ou d’approbation, au moment du dépôt de cet instrument. Tout Etat membre de l’ASE qui ne figure pas au préambule peut adhérer au présent Accord en déposant son instrument d’adhésion auprès du Dépositaire. 4. Dès l’entrée en vigueur du présent Accord, l’Accord de 1988 deviendra caduc. 5. Si le présent Accord n’est pas entré en vigueur pour un Partenaire dans les deux ans suivant sa signature, les Etats-Unis peuvent réunir une conférence des signataires du présent Accord pour examiner les mesures, y compris d’éventuelles modifications du présent Accord, nécessaires pour tenir compte de ces circonstances.

Article 26

Effet exécutoire entre certaines Parties Nonobstant l’article 25.3 (a) ci-dessus, le présent Accord devient exécutoire entre les Etats-Unis et la Russie à la date à laquelle ils signifient leur volonté de se lier en déposant leurs instruments de ratification, d’acceptation ou d’approbation. Si le présent Accord devient exécutoire entre les Etats-Unis et la Russie en . vertu du présent article, le Dépositaire le notifie à tous les Etats signataires. .

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Article 27 Modifications Le présent Accord, y compris son Annexe, peut être modifié par accord écrit des Gouvernements des Etats partenaires pour lesquels il est entré en vigueur. Les modifications apportées au présent Accord, excepté celles qui sont apportées exclusivement à l’Annexe, sont soumises à ratification, acceptation, approbation ou adhésion par ces Etats conformément à leurs procédures constitutionnelles respectives. Les modifications apportées exclusivement à l’Annexe nécessitent uniquement l’accord écrit des Gouvernements des Etats partenaires pour lesquels le présent Accord sera entré en vigueur.

Article 28 Retrait 1. Tout Etat partenaire peut se retirer du présent Accord à tout moment en donnant notification écrite de ce retrait au Dépositaire au moins un an à l’avance. Le retrait d’un Etat partenaire européen n’affecte pas les droits et obligations du Partenaire européen au titre du présent Accord. 2. Si un Partenaire donne notification de son retrait du présent Accord, les Partenaires s’efforcent, afin d’assurer la poursuite de l’ensemble du programme, de parvenir à un accord sur les modalités du retrait de ce Partenaire avant la date effective de son retrait. 3. a) La contribution du Canada constituant un élément essentiel de la Station spatiale, le Canada fera en sorte, en cas de retrait, que les Etats-Unis soient en mesure d’utiliser et d’exploiter effectivement les éléments canadiens énumérés à l’Annexe. A cette fin, le Canada fournira avec célérité le matériel, les dessins, la documentation, le logiciel, les pièces de rechange, l’outillage, les équipements d’essais spéciaux et/ou tous autres articles nécessaires demandés par les Etats-Unis. b) En cas de notification de son retrait par le Canada pour quelque raison que ce soit, les Etats-Unis et le Canada négocient avec célérité un accord de retrait. Dans l’hypothèse où cet accord prévoit le transfert aux Etats-Unis des éléments nécessaires à la poursuite du programme d’ensemble, il prévoit également que les Etats;l-Unis assurent au Canada une compensation adéquate pour ce transfert. 4. Si un Partenaire notifie son retrait du présent Accord, son Agence coopérante est réputée s’être retirée du Mémorandum d’Accord correspondant signé avec la NASA, ce retrait prenant effet à la même date que son retrait du présent Accord. 5. Le retrait d’un Etat partenaire n’affecte pas les droits et obligations permanents de cet Etat partenaire au titre des articles 16, 17 et 19, sauf dispositions contraires d’un accord de retrait convenu conformément au paragraphe 2 ou 3 ci-dessus. En foi de quoi les soussignés, dûment autorisés par leurs Gouvernements respectifs, ont signé le présent Accord. Fait à Washington, ce 29e jour de janvier 1998. Les textes du présent Accord en langues allemande, anglaise, française, italienne, japonaise et russe font également foi. Un texte original unique en chaque langue sera déposé aux archives du Gouvernement des Etats-Unis. Le Dépositaire en transmettra des copies certifiées à tous les Etats signataires. Dès l’entrée en vigueur du présent Accord, le Dépositaire l’enregistrera conformément aux dispositions de l’article 102 de la Charte des Nations unies.

ANNEXE ÉLÉMENTS DE LA STATION SPATIALE À FOURNIR PAR LES PARTENAIRES Les éléments de la Station spatiale à fournir par les Partenaires sont énumérés succinctement ci-après ; une description détaillée en est donnée dans les Mémorandums d’Accord. 1. Le Gouvernement du Canada, par l’intermédiaire de l’ASC, fournit : – à titre d’élément de l’infrastructure de la Station spatiale, le Centre d’entretien et de réparation mobile (MSC) ; – à titre d’élément de vol additionnel, le manipulateur agile spécialisé ; et – en sus des éléments de vol énumérés ci-dessus, des éléments au sol spécifiques de la Station spatiale. 2. Les Gouvernements européens, par l’intermédiaire de l’ASE, fournissent : – à titre d’élément destiné aux utilisateurs, le laboratoire pressurisé européen (y compris l’équipement fonctionnel de base) ; – d’autres éléments de vol pour le ravitaillement et le rehaussement de l’orbite de la Station spatiale ; et – en sus des éléments de vol énumérés ci-dessus, des éléments au sol spécifiques de la Station spatiale. 3. Le Gouvernement du Japon fournit : – à titre d’élément destiné aux utilisateurs, le module d’expériences japonais (y compris l’équipement fonctionnel de base ainsi que l’installation d’exposition au vide spatial et les modules logistiques des . expériences) ; .

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– d’autres éléments de vol pour le ravitaillement de la Station spatiale ; et – en sus des éléments de vol énumérés ci-dessus, des éléments au sol spécifiques de la Station spatiale. 4. Le Gouvernement de la Russie, par l’intermédiaire de la RKA, fournit : – des éléments d’infrastructure de la Station spatiale, y compris des modules de servitude et autres ; – à titre d’éléments destinés aux utilisateurs, des modules de recherche (y compris l’équipement fonctionnel de base) et des équipements raccordés pour l’installation des charges utiles ; – d’autres éléments de vol pour le ravitaillement et le rehaussement de l’orbite de la Station spatiale ; et – en sus des éléments de vol énumérés ci-dessus, des éléments au sol spécifiques de la Station spatiale. 5. Le Gouvernement des Etats-Unis, par l’intermédiaire de la NASA, fournit : – des éléments d’infrastructure de la Station spatiale, y compris un module d’habitation ; – à titre d’éléments destinés aux utilisateurs, des modules-laboratoires (y compris l’équipement fonctionnel de base), et des équipements raccordés pour l’installation de charges utiles ; – d’autres éléments de vol pour le ravitaillement de la Station spatiale ; et – en sus des éléments de vol énumérés ci-dessus, des éléments au sol spécifiques de la Station spatiale.

Déclaration Le Gouvernement de la République française interprète l’article 15 de l’Accord intergouvernemental sur la coopération relative à la Station spatiale internationale civile, notamment ses paragraphes 2 et 4, dans le sens que sa participation, en tant qu’Etat partenaire européen, aux activités et coûts communs d’exploitation des systèmes, ne pourra être supérieure au montant déterminé par ses procédures budgétaires nationales.

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MINISTÈRE DE L’ÉCONOMIE, DES FINANCES ET DE L’INDUSTRIE

Arrêté du 5 décembre 2005 portant transfert de crédits

NOR : BUDB0550095A

Le ministre de l’économie, des finances et de l’industrie, Vu l’article 14 de l’ordonnance no 59-2 du 2 janvier 1959 portant loi organique relative aux lois de finances ; Vu la loi de finances et les textes portant ouverture et annulation de crédits pour 2005,

Arrête : Art. 1er.−Sont annulés sur 2005 une autorisation de programme de 17 200 000 € et un crédit de paiement de 2 000 000 € applicables au budget et au chapitre mentionnés dans le tableau A annexé au présent arrêté. Art. 2. − Sont ouverts sur 2005 une autorisation de programme de 17 200 000 € et un crédit de paiement de 2 000 000 € applicables au budget et au chapitre mentionnés dans le tableau B annexé au présent arrêté. Art. 3. − Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française. Fait à Paris, le 5 décembre 2005. Pour le ministre et par délégation : Par empêchement du directeur du budget : La sous-directrice, C. BUHL

TABLEAU A AUTORISATION CRÉDIT de programme de paiement SERVICE CHAPITRE annulée annulé (en euros) (en euros)

INTÉRIEUR, SÉCURITÉ INTÉRIEURE ET LIBERTÉS LOCALES

TITRE V Equipement matériel ...... 57-50 17 200 000 2 000 000

TABLEAU B AUTORISATION CRÉDIT de programme de paiement SERVICE CHAPITRE accordée ouvert (en euros) (en euros)

DÉFENSE

TITRE V Equipements communs, interarmées et de la gendarmerie ...... 53-71 17 200 000 2 000 000

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MINISTÈRE DE L’ÉCONOMIE, DES FINANCES ET DE L’INDUSTRIE

INDUSTRIE

Arrêté du 18 novembre 2005 autorisant la SNC COGESTAR 2 à exploiter une installation de production d’électricité

NOR : INDI0506184A

Par arrêté du ministre délégué à l’industrie en date du 18 novembre 2005, la SNC COGESTAR 2, dont le siège social est situé 33, place Ronde, quartier Valmy, 92800 Puteaux, est autorisée à exploiter une installation de cogénération d’électricité et de chaleur valorisée fonctionnant au gaz naturel, d’une capacité de production de 5,6 MW, localisée à la chaufferie de l’université Rennes-I, campus Beaulieu, rue Victor-Grignard, 35700 Rennes.

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MINISTÈRE DE L’ÉCONOMIE, DES FINANCES ET DE L’INDUSTRIE

INDUSTRIE

Arrêté du 24 novembre 2005 fixant le pourcentage de prise en compte, dans les charges de service public de l’électricité, de la participation instituée en faveur des personnes en situation de précarité

NOR : INDI0506185A

Le ministre délégué à l’industrie, Vu le code de l’action sociale et des familles, notamment ses articles L. 115-3 et R. 261-1 ; Vu la loi no 90-449 du 31 mai 1990 visant à la mise en œuvre du droit au logement, notamment son article 6-3 ; Vu la loi no 2000-108 du 10 février 2000 modifiée relative à la modernisation et au développement du service public de l’électricité, notamment le I de son article 5 ; Vu le décret no 2004-90 du 28 janvier 2004 relatif à la compensation des charges de service public de l’électricité, notamment le VII de son article 4 ; Vu le décret no 2004-325 du 8 avril 2004 relatif à la tarification spéciale de l’électricité comme produit de première nécessité ; Vu l’avis du Conseil supérieur de l’électricité et du gaz en date du 18 octobre 2005,

Arrête : Art. 1er.−Dans la limite de son concours financier au fonds de solidarité pour le logement, mentionné à l’article 6-3 de la loi du 31 mai 1990 susvisée, les coûts supportés par un fournisseur d’électricité, au titre du 2o du b du I de l’article 5 de la loi du 10 février 2000 susvisée, sont pris en compte dans les charges de service public de l’électricité à hauteur de 20 % des pertes de recettes et des coûts relatifs à la mise en œuvre de la tarification spéciale de l’électricité comme produit de première nécessité supportés, par ce fournisseur, pour l’année considérée. Art. 2. − Le directeur de la demande et des marchés énergétiques est chargé de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au Journal officiel de la République française. Fait à Paris, le 24 novembre 2005. Pour le ministre et par délégation : Le directeur de la demande et des marchés énergétiques, F. JACQ

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MINISTÈRE DE L’ÉCONOMIE, DES FINANCES ET DE L’INDUSTRIE

INDUSTRIE

Arrêté du 24 novembre 2005 acceptant la renonciation à une concession de mines de houille

NOR : INDI0506192A

Par arrêté du ministre délégué à l’industrie en date du 24 novembre 2005, la renonciation de Charbonnages de France à la concession de mines de houille d’Auriol (Bouches-du-Rhône) est acceptée. En conséquence, il est mis fin à cette concession et le gisement correspondant est replacé dans la situation de gisement ouvert aux recherches.

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MINISTÈRE DE L’ÉCONOMIE, DES FINANCES ET DE L’INDUSTRIE

INDUSTRIE

Arrêté du 24 novembre 2005 acceptant la renonciation à une concession de mines de houille

NOR : INDI0506193A

Par arrêté du ministre délégué à l’industrie en date du 24 novembre 2005, la renonciation de Charbonnages de France à la concession de mines de houille de Peypin-Saint-Savournin Sud (Bouches-du-Rhône) est acceptée. En conséquence, il est mis fin à cette concession et le gisement correspondant est replacé dans la situation de gisement ouvert aux recherches.

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MINISTÈRE DE L’ÉCONOMIE, DES FINANCES ET DE L’INDUSTRIE

INDUSTRIE

Arrêté du 24 novembre 2005 acceptant la renonciation à une concession de mines de houille

NOR : INDI0506190A

Par arrêté du ministre délégué à l’industrie en date du 24 novembre 2005, la renonciation de Charbonnages de France à la concession de mines de houille de Dourges (Nord et Pas-de-Calais) est acceptée. En conséquence, il est mis fin à cette concession et le gisement correspondant est replacé dans la situation de gisement ouvert aux recherches.

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INDUSTRIE

Arrêté du 24 novembre 2005 acceptant la renonciation à une concession de mines de houille

NOR : INDI0506194A

Par arrêté du ministre délégué à l’industrie en date du 24 novembre 2005, la renonciation de Charbonnages de France à la concession de mines de houille de Trets (Bouches-du-Rhône) est acceptée. En conséquence, il est mis fin à cette concession et le gisement correspondant est replacé dans la situation de gisement ouvert aux recherches.

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MINISTÈRE DE L’ÉCONOMIE, DES FINANCES ET DE L’INDUSTRIE

INDUSTRIE

Arrêté du 1er décembre 2005 relatif à l’interdiction d’exploitation de canalisations de distribution de gaz en fonte grise

NOR : INDI0506059A

Le ministre délégué à l’industrie, Vu la loi no 2005-781 du 13 juillet 2005 de programme fixant les orientations de la politique énergétique, notamment son article 93,

Arrête : Art. 1er.−Les réseaux ou éléments de réseaux de distribution du gaz constitués de tubes en fonte à graphite lamellaire, dite fonte grise ou fonte cassante, doivent être mis hors service, remplacés ou retirés au plus tard le 31 décembre 2007. Art. 2. − Les opérateurs des réseaux ou éléments de réseaux visés à l’article 1er traitent en priorité les éléments de canalisation les plus proches d’immeubles d’habitation ou d’établissements recevant du public. Art. 3. − Les opérateurs transmettent aux préfets, au plus tard le 31 décembre 2005, leur programme de mise hors service, de remplacement ou de retrait des canalisations concernées et les informent semestriellement de l’état d’avancement de ce programme en justifiant du respect des priorités fixées à l’article 2. Art. 4. − Le directeur de l’action régionale, de la qualité et de la sécurité industrielle est chargé de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au Journal officiel de la République française. Fait à Paris, le 1er décembre 2005. FRANÇOIS LOOS

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MINISTÈRE DE L’ÉCONOMIE, DES FINANCES ET DE L’INDUSTRIE

INDUSTRIE

Circulaire du 1er décembre 2005 relative à la mise en œuvre de l’arrêté du 1er décembre 2005 relatif à l’interdiction d’exploitation de canalisations de distribution de gaz en fonte grise

NOR : INDI0506062C

Paris, le 1er décembre 2005.

Le ministre délégué à l’industrie à Mesdames et Messieurs les préfets (directions régionales de l’industrie, de la recherche et de l’environnement) Des ruptures de canalisations de distribution de gaz en fonte à graphite lamellaire, dite « fonte grise », ont été constatées, ces dernières années, dans des cas d’accidents graves, tels que l’explosion du 26 décembre 2004 à Mulhouse qui a entraîné le décès de 17 personnes. Il apparaît ainsi que ces canalisations ne présentent pas de garanties suffisantes en matière de sécurité pour les personnes et les biens. C’est pourquoi, j’ai estimé nécessaire, en application de l’article 93 de la loi no 2005-781 du 13 juillet 2005 de programme fixant les orientations de la politique énergétique, de prescrire l’interdiction d’exploitation de ces canalisations dans des délais aussi brefs que possible. L’arrêté que j’ai signé le 1er décembre 2005 rend ainsi obligatoire, pour tous les opérateurs de réseau de distribution de gaz combustible, la mise hors service, le remplacement ou le retrait de tous les tronçons de canalisations en fonte grise, pour le 31 décembre 2007 au plus tard. Cet arrêté s’applique à toutes les canalisations en fonte grise constitutives des réseaux de distribution de gaz au sens de l’article 2 de l’arrêté du 13 juillet 2000 portant règlement de sécurité de la distribution de gaz combustible par canalisations, y compris les branchements. En ce qui concerne les parties privatives de ces branchements situées en aval de l’organe de coupure générale défini à l’article 13 de l’arrêté du 2 août 1977 modifié fixant les règles techniques et de sécurité applicables aux installations de gaz combustibles situées à l’intérieur des bâtiments d’habitation, et pour les parties dont les opérateurs de réseaux n’ont pas la garde, il conviendra de demander que ces derniers informent les propriétaires sur les risques encourus et leur proposent le remplacement des éléments de canalisation en fonte grise. L’arrêté s’applique également aux tronçons en fonte grise à l’intérieur desquels un revêtement d’étanchéité tel qu’un matériau composite a été posé. Toutefois il ne s’applique pas aux tronçons utilisés comme fourreaux pour des canalisations en polyéthylène. Pour la mise en œuvre de la mesure, les opérateurs de réseaux devront établir des programmes de mise hors service, de remplacement ou de retrait des tronçons en fonte grise de leur réseau, programmes qui devront vous êtes communiqués dans les meilleurs délais. Je vous demande, en vous appuyant sur les directions régionales de l’industrie, de la recherche et de l’environnement, de vous assurer que chaque opérateur de réseau relevant de votre compétence territoriale met effectivement en œuvre un programme de résorption des ouvrages précités s’achevant au plus tard au 31 décembre 2007. Ce document doit vous être présenté dès que possible et en tout état de cause avant le 31 décembre 2005. Il est établi par chaque opérateur de réseau sous sa propre responsabilité et il devra indiquer au moins : 1. La localisation exacte et la longueur de chaque canalisation ou élément de canalisation à mettre hors service, remplacer ou retirer en précisant par commune le nom de la rue. Si des risques de confusion sont à craindre sur la localisation du ou des tronçons, notamment en cas de rue très longue, l’opérateur de réseau devra compléter leur repérage par des moyens appropriés (par exemple en repérant les extrémités des tronçons par rapport aux adresses des bâtiments les plus proches). 2. L’ordre de résorption des canalisations afin que les plus proches d’immeubles d’habitation ou d’établissements recevant du public (ERP) soient traitées en priorité. 3. La date prévisionnelle (année et semestre) de traitement de chaque canalisation ou élément de . canalisation. .

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Conformément à l’article 3 de l’arrêté, les opérateurs de réseaux devront justifier l’ordre de priorité proposé, en s’appuyant sur le critère de distance aux habitations et aux ERP. Toutefois, d’autres facteurs de risques pourront être pris en considération tels que la présence de cavités souterraines ou d’immeubles avec caves susceptibles de donner lieu à une accumulation de gaz en cas de diffusion de celui-ci dans le sol. Je souligne la nécessité d’examiner avec attention le programme de résorption établi par chaque opérateur de réseau. En effet, même si la responsabilité des opérateurs reste entière, il est clair que vos services ne doivent pas hésiter à les interroger afin de s’assurer qu’ils ont bien pris en compte les éléments précités pour l’établissement de leur programme de résorption. Il conviendra en outre que vous puissiez vous assurer périodiquement, avec chaque opérateur de réseau, du bon avancement des travaux et de sa conformité au programme annoncé. Un bilan semestriel des actions mises en œuvre par ce dernier, complété par un examen trimestriel des points ayant soulevé d’éventuelles interrogations, devra être réalisé. Je vous saurais gré d’apporter votre concours si nécessaire aux opérateurs de réseau dans leurs démarches auprès des autorités administratives concernées afin que les autorisations d’ouverture de chantier soient délivrées dans des délais permettant la bonne exécution du programme de résorption. Je vous demande enfin de me rendre compte semestriellement, sous le couvert de la direction de l’action régionale, de la qualité et de la sécurité industrielle, de l’avancement de ce dossier et de me faire part des éventuelles difficultés que vous auriez rencontrées ainsi que des moyens mis en œuvre pour y remédier. Je souhaite qu’un premier compte rendu sur la mise en œuvre de ces mesures me parvienne pour le 15 janvier 2006. FRANÇOIS LOOS

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TEXTES GÉNÉRAUX

MINISTÈRE DE LA JUSTICE

Arrêté du 3 décembre 2005 habilitant le garde des sceaux, ministre de la justice, à instituer des régies de recettes et des régies d’avances auprès des résidences administratives des directions régionales des services pénitentiaires, de la mission des services pénitentiaires d’outre-mer, des établissements pénitentiaires et des services pénitentiaires d’insertion et de probation ainsi que des régies de recettes et d’avances chargées de la gestion des comptes nominatifs des détenus auprès des établissements pénitentiaires

NOR : JUSK0540139A

Le ministre de l’économie, des finances et de l’industrie et le garde des sceaux, ministre de la justice, Vu le code de procédure pénale (partie réglementaire : Décrets simples) de la gestion des biens des détenus : valeurs pécuniaires et valeurs non pécuniaires, notamment des articles D. 318 à D. 341 ; Vu le décret no 62-1587 du 29 décembre 1962 portant règlement général sur la comptabilité publique, et notamment son article 18 ; Vu le décret no 65-73 du 27 janvier 1965 relatif à l’organisation des services de l’administration pénitentiaire ; Vu le décret no 66-614 du 10 août 1966 relatif à l’organisation des services de l’Etat dans la région parisienne ; Vu le décret no 66-850 du 15 novembre 1966 modifié relatif à la responsabilité personnelle et pécuniaire des régisseurs ; Vu le décret no 92-681 du 20 juillet 1992 modifié relatif aux régies de recettes et aux régies d’avances des organismes publics ; Vu le décret no 99-276 du 13 avril 1999 modifiant le code de procédure pénale (troisième partie : Décrets) et portant création des services pénitentiaires d’insertion et de probation, notamment son article 35 modifié ; Vu le décret no 2005-1490 du 2 décembre 2005 relatif à l’organisation financière et comptable des services déconcentrés de l’administration pénitentiaire ; Vu l’arrêté du 20 juillet 1992 relatif au seuil de dispense de cautionnement des régisseurs d’avances et des régisseurs de recettes, modifié par l’arrêté du 27 décembre 2001 ; Vu l’arrêté du 28 mai 1993 fixant les taux de l’indemnité de responsabilité susceptible d’être allouée aux régisseurs de recettes et aux régisseurs d’avances relevant des organismes publics et montant du cautionnement imposé à ces agents, modifié par l’arrêté du 3 septembre 2001 ; Vu l’arrêté du 4 juin 1996 relatif au montant par opération des dépenses de matériel et de fonctionnement payables par l’intermédiaire d’un régisseur d’avances, modifié par l’arrêté du 28 janvier 2002 ; Vu l’arrêté du 29 décembre 1998 modifié portant règlement de comptabilité pour la désignation des ordonnateurs secondaires du budget du ministère de la justice et de leurs délégués,

Arrêtent :

PREMIÈRE PARTIE RÉGIES DE RECETTES ET D’AVANCES

TITRE Ier RÉGIE DE RECETTES Art. 1er.−Le garde des sceaux, ministre de la justice, peut, par arrêté pris sous sa seule signature et publié au Journal officiel, instituer des régies de recettes auprès des établissements pénitentiaires, des résidences administratives des directions régionales de services pénitentiaires et de la mission des services pénitentiaires . d’outre-mer pour l’encaissement des produits suivants : .

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– remboursement des frais de photocopie ; – remboursement des charges des agents logés ; – numéraire n’appartenant pas aux personnes placées sous main de justice ; – menues recettes. Art. 2. − Le garde des sceaux, ministre de la justice, peut, par arrêté, pris sous sa seule signature et publié au Journal officiel, instituer des régies de recettes auprès des services pénitentiaires d’insertion et de probation pour l’encaissement des produits suivants : – remboursement des frais de photocopie ; – dons et legs ; – remboursement des prêts accordés aux personnes suivies par le service pénitentiaire d’insertion et de probation, détenues ou pas ; – remboursement des cautions ; – menues recettes. Art. 3. − Les recettes prévues à l’article 1er sont encaissées par les régisseurs des établissements pénitentiaires ou de la direction régionale et versées aux comptables assignataires dans les conditions fixées aux articles 7 et 9 du décret du 20 juillet 1992 susvisé. L’acte constitutif de la régie de recettes prévoit le montant de son encaisse maximum et du fonds de caisse permanent. Il peut, par ailleurs, fixer un seuil au-delà duquel les recettes seront encaissées par le comptable et non par le régisseur. Les régisseurs d’établissements pénitentiaires peuvent, en accord avec le chef d’établissement, désigner des mandataires parmi le personnel où est située la régie. Les régisseurs de recettes peuvent autoriser les mandataires à percevoir tout ou partie des recettes prévues à l’article 1er du présent arrêté. Art. 4. − Les recettes prévues à l’article 2 sont encaissées par les régisseurs des services pénitentiaires d’insertion et de probation et versées aux comptables assignataires dans les conditions fixées aux articles 7 et 9 du décret du 20 juillet 1992 susvisé. L’acte constitutif de la régie de recettes prévoit le montant de son encaisse maximum et du fonds de caisse permanent. Il peut, par ailleurs, fixer un seuil au-delà duquel les recettes seront encaissées par le comptable et non par le régisseur. Les régisseurs des services pénitentiaires d’insertion et de probation peuvent, en accord avec le chef de service, désigner comme mandataires le personnel d’encadrement et les travailleurs sociaux des services pénitentiaires d’insertion et de probation. Les régisseurs de recettes peuvent autoriser les mandataires à percevoir les remboursements des prêts accordés aux personnes suivies par le service pénitentiaire d’insertion et de probation, détenues ou pas.

TITRE II RÉGIES D’AVANCES Art. 5. − Le garde des sceaux, ministre de la justice, peut, par arrêté pris sous sa seule signature et publié au Journal officiel, instituer des régies d’avances auprès des établissements pénitentiaires, des résidences administratives de directions régionales des services pénitentiaires et de la mission outre-mer, pour le paiement des dépenses énumérées au paragraphe 1 de l’article 10 du décret du 20 juillet 1992 susvisé, liées à des dépenses urgentes et exceptionnelles ou des petites fournitures pour des réparations conservatoires. Peuvent en outre être payées par l’intermédiaire des régies d’avances prévues ci-dessus les dépenses urgentes relatives à l’achat de biens et de prestations de services nécessaires à l’entretien (hygiène, alimentation, habillement) des personnes détenues et le transport des personnes indigentes libérales. Le montant maximal des dépenses de matériel et de fonctionnement susceptibles d’être payées par la régie d’avances est fixé à 70 € par opération. Les régisseurs d’avances sont autorisés à détenir des valeurs correspondant à diverses prestations qu’ils sont appelés à remettre aux personnes indigentes détenues ou libérales ou pour le fonctionnement de l’établissement. La liste de ces valeurs est fixée par les arrêtés ministériels précités. Art. 6. − Les régisseurs d’avances peuvent, avec l’accord du chef d’établissement, désigner des mandataires parmi le personnel de l’établissement pénitentiaire où est située la régie, pour effectuer des opérations de menues dépenses urgentes et exceptionnelles ou pour l’achat de petites fournitures pour des répérations conservatoires. Les mandataires peuvent également être habilités par les régisseurs à détenir les valeurs mentionnées à l’article 5 du présent arrêté. Art. 7. − Le garde des sceaux, ministre de la justice, peut, par arrêté pris sous sa seule signature et publié . au Journal officiel, instituer des régies d’avances auprès des services pénitentiaires d’insertion et de probation .

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pour le paiement des dépenses énumérées au paragraphe 1 de l’article 10 du décret du 20 juillet 1992 susvisé, liées à des dépenses urgentes et exceptionnelles ou pour l’achat de petites fournitures pour des réparations conservatoires. Le montant maximal des dépenses de matériel et de fonctionnement susceptibles d’être payées par la régie d’avances est fixé à 70 euros par opération. Peuvent, en outre, être payés par l’intermédiaire des régies d’avances prévues ci-dessus : – les secours et les aides financières directes ; – les dépenses urgentes relatives à l’achat de biens et de prestations de service nécessaires à l’hébergement, l’entretien (hygiène, alimentation, habillement), la santé, le transport, l’éducation, la culture, le travail et la formation des personnes suivies par le service pénitentiaire d’insertion et de probation, détenues ou pas ; – les prêts accordés aux personnes suivies par le service pénitentiaire d’insertion et de probation, détenues ou pas. Les prêts doivent être enregistrés par le régisseur dans une comptabilité auxiliaire faisant apparaître un suivi rigoureux des prêts et des remboursements. Les régisseurs d’avances sont autorisés à détenir des valeurs correspondant à diverses prestations qu’ils sont appelés à remettre aux personnes suivies par les services pénitentaires d’insertion et de probation, détenues ou pas, et pour le fonctionnement du service. La liste de ces valeurs est fixée par les arrêtés ministériels précités. Art. 8. − Les régisseurs d’avances peuvent, avec l’accord du directeur du service pénitentiaire d’insertion et de probation, désigner des mandataires parmi le personnel d’encadrement et les travailleurs sociaux des services pénitentiaires d’insertion et de probation pour effectuer des opérations de menues dépenses des personnes suivies par le service pénitentiaire d’insertion et de probation, détenues ou pas, dans la limite d’un montant de 160 euros. Les mandataires peuvent également être habilités par les régisseurs à détenir les valeurs mentionnées à l’article 7 du présent arrêté. Art. 9. − Le montant des avances à consentir aux régisseurs d’avances des établissements pénitentiaires est fixé dans chaque cas par les arrêtés mentionnés à l’article 5, dans la limite d’un montant maximum fixé par l’article 11 du décret du 20 juillet 1992 susvisé. Art. 10. − Le montant des avances à consentir aux régisseurs d’avances des services pénitentiaires d’insertion et de probation est fixé dans chaque cas par les arrêtés mentionnés à l’article 7, dans la limite d’un montant maximum fixé par l’article 11 du décret du 20 juillet 1992 susvisé. Art. 11. − Les régisseurs remettent les pièces justificatives des dépenses payées par leurs soins, au comptable assignataire, auprès duquel la régie est rattachée, au minimum une fois par mois.

DEUXIÈME PARTIE RÉGIES DES COMPTES NOMINATIFS Art. 12. − Sauf dispositions contraires énumérées aux articles 13 à 27 du présent arrêté, les modalités d’organisation, de fonctionnement et de contrôle des régies de recettes et des régies d’avances des organismes publics fixées par le décret du 20 juillet 1992 susvisé sont applicables aux régies chargées de la gestion des comptes nominatifs des détenus.

TITRE Ier RÉGIES DE RECETTES Art. 13. − Le garde des sceaux, ministre de la justice, peut, par arrêté pris sous sa seule signature et publié au Journal officiel, instituer dans chaque établissement pénitentiaire des régies de recettes chargées de la gestion des comptes nominatifs en application de l’article 2 du décret du 2 décembre 2005 susvisé. Outre l’encaissement des fonds appartenant aux détenus, les régies de recettes sont également chargées de la perception, la conservation des bijoux, valeurs et objets précieux appartenant ou qui viennent à être dues à ces personnes détenues. Art. 14. − Les recettes prévues à l’article 13 qui précède sont encaissées par les régisseurs, gérants des comptes nominatifs, et versées aux comptables assignataires dans les conditions fixées par les articles 7 et 9 du décret du 20 juillet 1992 susvisé. L’acte constitutif de la régie de recettes prévoit le montant de son encaisse maximum. Il peut, par ailleurs, fixer un seuil au-delà duquel les recettes seront encaissées par le comptable et non par le régisseur. L’acte constitutif prévoit en outre le montant maximum au-delà duquel les sommes déposées sur le compte de dépôts de fonds au Trésor du régisseur doivent être reversées aux comptables assignataires. Les régisseurs, gérants des comptes nominatifs, peuvent expressément constituer mandataire, avec l’accord du chef d’établissement, le personnel du service du greffe, ou celui qui en tient lieu, de l’établissement . pénitentiaire où est située la régie. .

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Les régisseurs de recettes peuvent autoriser les mandataires à percevoir les sommes, les bijoux, valeurs et objets précieux, dont les personnes détenues sont en possession à leur entrée dans l’établissement pénitentiaire. Les bijoux, valeurs et objets précieux, appartenant aux personnes détenues et dont les régisseurs, gérants des comptes nominatifs, assurent la garde et la conservation, sont enregistrés dans une comptabilité auxiliaire faisant apparaître un suivi rigoureux.

TITRE II RÉGIES D’AVANCES Art. 15. − Le garde des sceaux, ministre de la justice, peut, par arrêté pris sous sa seule signature et publié au Journal officiel, instituer dans chaque établissement pénitentiaire des régies d’avances chargées de la gestion des comptes nominatifs, en application de l’article 2 du décret du 2 décembre 2005 susvisé, pour le paiement de toutes les sommes qui viennent à être dues par ces personnes détenues ainsi que pour le versement des sommes appartenant aux détenus lors de leur permission de sortir, de leur transfert ou de leur libération. Art. 16. − Les régisseurs d’avances peuvent également constituer mandataire, avec l’accord du chef d’établissement, le personnel du service du greffe, ou celui qui en tient lieu, de l’établissement pénitentiaire où est située la régie. Les régisseurs d’avances peuvent autoriser les mandataires à payer les sommes et à remettre les bijoux, valeurs et objets précieux aux personnes détenues à l’occasion des permissions de sortir, des transferts ou de leur libération. Art. 17. − Le montant des avances à consentir aux régisseurs d’avances gérant des comptes nominatifs est fixé dans chaque cas par les arrêtés mentionnés à l’article 15, dans la limite d’un montant maximum fixé par l’article 11 du décret du 20 juillet 1992 susvisé. Art. 18. − Les régisseurs remettent les pièces justificatives des dépenses payées par leurs soins au comptable assignataire auprès duquel la régie est rattachée, au minimum une fois par mois. Art. 19. − Par dérogation, l’augmentation temporaire ou la diminution temporaire des avances relève, après agrément du comptable assignataire, d’une décision du chef de service, responsable de l’unité opérationnelle auprès de laquelle la régie est instituée. Art. 20. − Le régisseur est autorisé à verser en numéraire la somme due aux détenus lors de leur libération ou à l’occasion de leur transfert, y compris lorsque le montant excède le seuil fixé par l’arrêté du 23 juillet 1991, modifié par l’arrêté du 3 septembre 2001. Il est également autorisé à verser, en numéraire, la somme due aux créanciers lors de l’achat par les détenus de biens et services quel que soit le montant de ces achats.

TROISIÈME PARTIE DISPOSITIONS COMMUNES Art. 21. − Les régisseurs sont nommés par arrêté du ministre de la justice après agrément du comptable assignataire. Art. 22. − Les mandataires ne sont pas tenus de souscrire un cautionnement et ne bénéficient pas de l’indemnité de responsabilité. L’acte de désignation du mandataire déterminera la nature des dépenses que ce dernier est autorisé à payer, le montant de l’avance à lui accorder, la nature des recettes qu’il est autorisé à encaisser et les modalités de reversement auprès du régisseur ainsi que la durée du mandat. Art. 23. − Les régisseurs perçoivent une indemnité de responsabilité dans les conditions fixées par l’arrêté du 28 mai 1993 susvisé. Avant d’entrer en fonction, les régisseurs sont tenus de constituer un cautionnement. Art. 24. − Les fonctions de régisseur de recettes et de régisseur d’avances des régies instituées auprès d’un même service peuvent être confiées à un même agent. Les fonctions de régisseur de recettes et de régisseur d’avances pour la gestion des comptes nominatifs dans les établissements pénitentiaires peuvent être confiées à un même agent. Les fonctions de régisseur de recettes et d’avances chargé de la gestion des comptes nominatifs et de régisseur de recettes et d’avances dans les établissements pénitentiaires peuvent être exceptionnellement confiées à un même agent lorsque le fonctionnement du service l’impose. Art. 25. − Une instruction conjointe de la direction de l’administration pénitentiaire et de la direction générale de la comptabilité publique précise les conditions de fonctionnement financier et comptable des établissements pénitentiaires, des résidences administratives des directions régionales ainsi que de la mission des services pénitentiaires d’outre-mer, des services pénitentiaires d’insertion et de probation et la gérance des . comptes nominatifs des personnes détenues. .

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Art. 26. − Les dispositions prévues par l’arrêté du 13 décembre 1993 relatif à l’organisation financière et comptable des comités de probation et d’assistance aux libérés, par l’arrêté du 10 janvier 1994 relatif aux fonctions de comptable des comités de probation et d’assistance aux libérés et par l’arrêté du 24 janvier 2001 modifié relatif à l’organisation financière et comptable des services pénitentiaires d’insertion et de probation sont abrogées à compter du 1er janvier 2006. Art. 27. − Le directeur de l’administration pénitentiaire au ministère de la justice et le directeur de la comptabilité publique au ministère de l’économie, des finances et de l’industrie sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au Journal officiel de la République française. Fait à Paris, le 3 décembre 2005. Le garde des sceaux, ministre de la justice, Pour le ministre et par délégation : Le directeur de l’administration pénitentiaire, P. MOLLE Le ministre de l’économie, des finances et de l’industrie, Pour le ministre et par délégation : Par empêchement du directeur général de la comptabilité publique : Le sous-directeur, B. SOULIÉ

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Décrets, arrêtés, circulaires

TEXTES GÉNÉRAUX

MINISTÈRE DE LA JUSTICE

Arrêté du 3 décembre 2005 portant institution de régies de recettes et de régies d’avances chargées de la gestion des comptes nominatifs des détenus auprès des établissements pénitentiaires

NOR : JUSK0540140A

Le garde des sceaux, ministre de la justice, Vu le décret no 62-1587 du 29 décembre 1962 portant règlement général sur la comptabilité publique ; Vu le décret no 92-681 du 20 juillet 1992 relatif aux régies de recettes et aux régies d’avances des organismes publics ; Vu le décret no 2005-1490 du 2 décembre 2005 relatif à l’organisation financière et comptable des services déconcentrés de l’administration pénitentiaire, notamment son article 2 ; Vu l’arrêté du 3 décembre 2005 habilitant le garde des sceaux, ministre de la justice, à instituer des régies de recettes et des régies d’avances auprès des résidences administratives des directions régionales des services pénitentiaires, de la mission des services pénitentiaires d’outre-mer, des établissements pénitentiaires et des services pénitentiaires d’insertion et de probation ainsi que des régies de recettes et d’avances chargées de la gestion des comptes nominatifs des détenus auprès des établissements pénitentiaires, notamment ses articles 13 à 20, Arrête :

TITRE Ier RÉGIE DE RECETTES Art. 1er.−Il est institué auprès de chaque établissement pénitentiaire, dont la liste figure en annexe, une régie de recettes chargée de la gestion des comptes nominatifs pour l’encaissement des produits mentionnés à l’article 13 de l’arrêté du 3 décembre 2005 susvisé. Art. 2. − Les régisseurs, gérants des comptes nominatifs, peuvent autoriser les mandataires désignés à l’article 14 de l’arrêté du 3 décembre 2005 susvisé à percevoir les sommes, les bijoux, valeurs et objets précieux dont les personnes détenues sont en possession à leur entrée dans l’établissement.

TITRE II RÉGIE D’AVANCES Art. 3. − Il est institué auprès de chaque établissement pénitentiaire, dont la liste figure en annexe, une régie d’avances chargée de la gestion des comptes nominatifs pour le paiement des dépenses mentionnées à l’article 15 de l’arrêté du 3 décembre 2005 susvisé. Art. 4. − Les régisseurs, gérants des comptes nominatifs, peuvent autoriser les mandataires expressément désignés par eux pour le paiement des dépenses mentionnées à l’article 16 de l’arrêté du 3 décembre 2005 susvisé. Les régisseurs d’avances peuvent autoriser les mandataires à payer les sommes et à remettre les bijoux, valeurs et objets précieux aux personnes détenues à l’occasion des permissions de sortir, de leur transfert ou de leur libération. Art. 5. − Le montant de l’avance à consentir à chaque régisseur, gérant des comptes nominatifs, figure en annexe.

TITRE III DISPOSITIONS COMMUNES Art. 6. − Les fonctions de régisseur de recettes et de régisseur d’avances pour la gestion des comptes . nominatifs dans les établissements pénitentiaires peuvent être confiées à un même agent. .

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Les fonctions de régisseur de recettes et d’avances chargé de la gestion des comptes nominatifs et de régisseur de recettes et d’avances dans les établissements pénitentiaires peuvent être exceptionnellement confiées à un même agent lorsque le fonctionnement du service l’impose. Art. 7. − Les régisseurs sont tenus de se faire ouvrir un compte de dépôt de fonds au Trésor. Art. 8. − Les montants maxima autorisés de l’encaisse en numéraire au-delà de laquelle les sommes doivent être versées par les régisseurs, gérants des comptes nominatifs, sur leur compte de dépôts de fonds au Trésor figurent en annexe. Les recettes encaissées ou déposées sur le compte de dépôt de fonds au Trésor du régisseur doivent être reversées au comptable assignataire lorsque leur montant atteint le seuil fixé en annexe. Art. 9. − Le directeur de l’administration pénitentiaire au ministère de la justice est chargé de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au Journal officiel de la République française. Fait à Paris, le 3 décembre 2005. Pour le ministre et par délégation : Le directeur de l’administration pénitentiaire, P. MOLLE

ANNEXE

LISTE DES ÉTABLISSEMENTS PÉNITENTIAIRES AUPRÈS DESQUELS SONT INSTITUÉES DES RÉGIES DE RECETTES ET DES RÉGIES D’AVANCES CHARGÉES DE LA GESTION DES COMPTES NOMINATIFS DES DÉTENUS AUPRÈS DES ÉTABLISSEMENTS PÉNITENTIAIRES

LIMITE AUTORISÉE DIRECTION du montant de l’encaisse MONTANT DE L’AVANCE régionale ÉTABLISSEMENT NATURE en numéraire à consentir au régisseur (en euros) (en euros)

Bordeaux. Maison d’arrêt d’. Régie d’avances et 4 000 87 000 de recettes.

Bordeaux. Maison d’arrêt d’Angoulême. Régie d’avances et 8 000 120 000 de recettes.

Bordeaux. Maison d’arrêt de Bayonne. Régie d’avances et 7 000 65 000 de recettes.

Bordeaux. Centre de détention régional de Bédenac. Régie d’avances et 10 000 110 000 de recettes.

Bordeaux. Maison d’arrêt de Bordeaux Gradignan. Régie d’avances et 20 000 375 000 de recettes.

Bordeaux. Centre de détention national d’Eysses. Régie d’avances et 10 000 251 000 de recettes.

Bordeaux. Maison d’arrêt de Guéret. Régie d’avances et 4 000 32 000 de recettes.

Bordeaux. Maison d’arrêt de . Régie d’avances et 7 000 86 000 de recettes.

Bordeaux. Centre de détention national de Mauzac. Régie d’avances et 10 000 276 000 de recettes.

Bordeaux. Maison d’arrêt de Mont-de-Marsan. Régie d’avances et 3 000 37 000 de recettes.

Bordeaux. Centre de détention régional de Neuvic-sur-l’Isle. Régie d’avances et 10 000 272 000 de recettes.

Bordeaux. Maison d’arrêt de . Régie d’avances et 7 000 52 000 de recettes. . .

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LIMITE AUTORISÉE DIRECTION du montant de l’encaisse MONTANT DE L’AVANCE régionale ÉTABLISSEMENT NATURE en numéraire à consentir au régisseur (en euros) (en euros)

Bordeaux. Maison d’arrêt de Pau. Régie d’avances et 6 000 107 000 de recettes.

Bordeaux. Maison d’arrêt de Périgueux. Régie d’avances et 7 000 78 000 de recettes.

Bordeaux. Maison d’arrêt de Poitiers. Régie d’avances et 10 000 78 000 de recettes.

Bordeaux. Maison d’arrêt de Rochefort. Régie d’avances et 8 000 43 000 de recettes.

Bordeaux. Maison centrale de Saint-Martin-de-Ré. Régie d’avances et 10 000 455 000 de recettes.

Bordeaux. Maison d’arrêt de Saintes. Régie d’avances et 10 000 49 000 de recettes.

Bordeaux. Maison d’arrêt de Tulle. Régie d’avances et 4 000 39 000 de recettes.

Bordeaux. Centre de détention régional d’Uzerche. Régie d’avances et 11 000 420 000 de recettes.

Dijon. Maison d’arrêt d’Auxerre. Régie d’avances et 20 000 71 000 de recettes.

Dijon. Maison d’arrêt de Belfort. Régie d’avances et 3 000 20 000 de recettes.

Dijon. Maison d’arrêt de Besançon. Régie d’avances et 25 000 220 000 de recettes.

Dijon. Centre de semi-liberté de Besançon. Régie d’avances et 500 1 500 de recettes.

Dijon. Maison d’arrêt de Châlons-en-Champagne. Régie d’avances et 20 000 160 000 de recettes.

Dijon. Maison d’arrêt de Charleville-Mézières. Régie d’avances et 4 000 20 000 de recettes.

Dijon. Maison d’arrêt de Chaumont. Régie d’avances et 18 000 72 000 de recettes.

Dijon. Centre pénitentiaire de Clairvaux. Régie d’avances et 100 000 300 000 de recettes.

Dijon. Maison d’arrêt de Dijon. Régie d’avances et 25 000 170 000 de recettes.

Dijon. Centre de détention de Joux-la-Ville. Régie d’avances et 100 000 500 000 de recettes.

Dijon. Maison d’arrêt de Lons-le-Saunier. Régie d’avances et 8 000 40 000 de recettes.

Dijon. Maison d’arrêt de Lure. Régie d’avances et 4 000 25 000 de recettes.

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LIMITE AUTORISÉE DIRECTION du montant de l’encaisse MONTANT DE L’AVANCE régionale ÉTABLISSEMENT NATURE en numéraire à consentir au régisseur (en euros) (en euros)

Dijon. Maison d’arrêt de Montbéliard. Régie d’avances et 5 000 28 000 de recettes.

Dijon. Maison d’arrêt de Nevers. Régie d’avances et 6 000 65 000 de recettes.

Dijon. Maison d’arrêt de Reims. Régie d’avances et 12 000 100 000 de recettes.

Dijon. Maison d’arrêt de Troyes. Régie d’avances et 5 000 80 000 de recettes.

Dijon. Centre pénitentiaire de Varennes-le-Grand. Régie d’avances et 100 000 300 000 de recettes.

Dijon. Maison d’arrêt de Vesoul. Régie d’avances et 6 000 40 000 de recettes.

Dijon. Centre de détention de Villenauxe-la-Grande. Régie d’avances et 80 000 300 000 de recettes.

Lille. Maison d’arrêt d’. Régie d’avances et 10 000 280 000 de recettes.

Lille. Maison d’arrêt d’Arras. Régie d’avances et 6 000 90 000 de recettes.

Lille. Centre de détention national de Bapaume. Régie d’avances et 8 000 470 000 de recettes.

Lille. Maison d’arrêt de Beauvais. Régie d’avances et 6 000 68 000 de recettes.

Lille. Maison d’arrêt de Béthune. Régie d’avances et 6 000 140 000 de recettes.

Lille. Centre pénitentiaire de Château-Thierry. Régie d’avances et 7 000 50 000 de recettes.

Lille. Maison d’arrêt de Compiègne. Régie d’avances et 6 000 55 000 de recettes.

Lille. Maison d’arrêt de Douai. Régie d’avances et 6 000 350 000 de recettes.

Lille. Maison d’arrêt de Dunkerque. Régie d’avances et 7 500 50 000 de recettes.

Lille. Maison d’arrêt d’Evreux. Régie d’avances et 7 500 165 000 de recettes.

Lille. Centre de semi-liberté d’Haubourdin. Régie d’avances et 1 000 7 000 de recettes.

Lille. Centre pénitentiaire de Laon. Régie d’avances et 10 000 100 000 de recettes.

Lille. Maison d’arrêt du Havre. Régie d’avances et 4 000 100 000 de recettes.

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LIMITE AUTORISÉE DIRECTION du montant de l’encaisse MONTANT DE L’AVANCE régionale ÉTABLISSEMENT NATURE en numéraire à consentir au régisseur (en euros) (en euros)

Lille. Centre pénitentiaire de Liancourt. Régie d’avances et 7 500 180 000 de recettes.

Lille. Centre pénitentiaire de Longuenesse. Régie d’avances et 8 000 430 000 de recettes.

Lille. Maison d’arrêt de Loos et de Lille-Sequedin. Régie d’avances et 10 000 450 000 de recettes.

Lille. Centre de détention régional de Loos. Régie d’avances et 9 000 130 000 de recettes.

Lille. Centre pénitentiaire de Maubeuge. Régie d’avances et 10 000 100 000 de recettes.

Lille. Maison d’arrêt de Rouen. Régie d’avances et 7 500 380 000 de recettes.

Lille. Centre de détention national de Val-de-Reuil. Régie d’avances et 10 000 550 000 de recettes.

Lille. Maison d’arrêt de Valenciennes. Régie d’avances et 8 000 150 000 de recettes.

Lyon. Centre pénitentiaire d’Aiton. Régie d’avances et 15 000 350 000 de recettes.

Lyon. Maison d’arrêt d’Aurillac. Régie d’avances et 2 000 33 000 de recettes.

Lyon. Maison d’arrêt de Bonneville. Régie d’avances et 10 000 125 000 de recettes.

Lyon. Maison d’arrêt de Bourg-en-Bresse. Régie d’avances et 3 500 46 000 de recettes.

Lyon. Maison d’arrêt de Chambéry. Régie d’avances et 5 000 80 000 de recettes.

Lyon. Maison d’arrêt de Clermont-Ferrand. Régie d’avances et 3 000 60 000 de recettes.

Lyon. Maison d’arrêt de Grenoble-Varces. Régie d’avances et 10 000 200 000 de recettes.

Lyon. Centre de semi-liberté de Grenoble. Régie d’avances et 1 500 5 000 de recettes.

Lyon. Maison d’arrêt du Puy-en-Velay. Régie d’avances et 2 000 35 000 de recettes.

Lyon. Maison d’arrêt de Lyon-Perrache. Régie d’avances et 15 000 600 000 de recettes.

Lyon. Centre de semi-liberté de Lyon. Régie d’avances et 1 500 10 000 de recettes.

Lyon. Maison d’arrêt de Montluçon. Régie d’avances et 2 000 30 000 de recettes.

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LIMITE AUTORISÉE DIRECTION du montant de l’encaisse MONTANT DE L’AVANCE régionale ÉTABLISSEMENT NATURE en numéraire à consentir au régisseur (en euros) (en euros)

Lyon. Centre pénitentiaire de Moulins-Yzeure. Régie d’avances et 15 000 280 000 de recettes.

Lyon. Maison d’arrêt de Privas. Régie d’avances et 3 000 50 000 de recettes.

Lyon. Maison d’arrêt de Riom. Régie d’avances et 5 000 70 000 de recettes.

Lyon. Centre de détention de Riom. Régie d’avances et 10 000 160 000 de recettes.

Lyon. Maison d’arrêt de Saint-Etienne. Régie d’avances et 10 000 245 000 de recettes.

Lyon. Centre pénitentiaire de Saint-Quentin - Fallavier. Régie d’avances et 10 000 360 000 de recettes.

Lyon. Maison d’arrêt de Valence. Régie d’avances et 10 000 145 000 de recettes.

Lyon. Maison d’arrêt de Villefranche-sur-Saône. Régie d’avances et 10 000 425 000 de recettes.

Marseille. Maison d’arrêt d’Aix-Luynes. Régie d’avances et 20 000 600 000 de recettes.

Marseille. Maison d’arrêt d’Ajaccio. Régie d’avances et 10 000 45 000 de recettes.

Marseille. Maison centrale d’Arles. Régie d’avances et 5 000 12 000 de recettes.

Marseille. Centre pénitentiaire d’Avignon-Le Pontet. Régie d’avances et 18 000 425 000 de recettes.

Marseille. Maison d’arrêt de Borgo. Régie d’avances et 15 000 190 000 de recettes.

Marseille. Centre de détention national de Casabianda. Régie d’avances et 20 000 150 000 de recettes.

Marseille. Maison d’arrêt de Digne. Régie d’avances. 5 000 20 000

Marseille. Centre pénitentiaire de Draguignan. Régie d’avances et 10 000 218 000 de recettes.

Marseille. Maison d’arrêt de Gap. Régie d’avances et 3 000 15 000 de recettes.

Marseille. Maison d’arrêt de Grasse. Régie d’avances et 12 000 470 000 de recettes.

Marseille. Centre pénitentiaire de Marseille. Régie d’avances et 35 000 1100 000 de recettes.

Marseille. Maison d’arrêt de Nice. Régie d’avances et 20 000 200 000 de recettes.

Marseille. Centre de détention régional de Salon-de-Provence. Régie d’avances et 13 000 422 000 de recettes. . .

. . 6 décembre 2005 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 20 sur 118

LIMITE AUTORISÉE DIRECTION du montant de l’encaisse MONTANT DE L’AVANCE régionale ÉTABLISSEMENT NATURE en numéraire à consentir au régisseur (en euros) (en euros)

Marseille. Centre de détention régional de Tarascon. Régie d’avances et 13 000 426 000 de recettes.

Marseille. Centre pénitentiaire de -La Farlède. Régie d’avances et 15 000 600 000 de recettes.

Paris. Maison d’arrêt de Blois. Régie d’avances et 17 000 125 000 de recettes.

Paris. Maison d’arrêt de Bois-d’Arcy. Régie d’avances et 21 000 500 000 de recettes.

Paris. Maison d’arrêt de Bourges. Régie d’avances et 12 000 100 000 de recettes.

Paris. Maison d’arrêt de Chartres. Régie d’avances et 10 000 100 000 de recettes.

Paris. Centre de détention régional de Châteaudun. Régie d’avances et 44 000 440 000 de recettes.

Paris. Centre pénitentiaire de Châteauroux. Régie d’avances et 23 000 230 000 de recettes.

Paris. Centre de semi-liberté de Corbeil. Régie d’avances et 2400 15 000 de recettes.

Paris. Maison d’arrêt de Fleury-Mérogis. Régie d’avances et 100 000 1 500 000 de recettes.

Paris. Maison d’arrêt de Fresnes. Régie d’avances et 83 000 1 000 000 de recettes.

Paris. Centre de semi-liberté de Gagny. Régie d’avances et 2600 20 000 de recettes.

Paris. Centre pénitentiaire de Meaux-Chauconin. Régie d’avances et 37 000 370 000 de recettes.

Paris. Maison d’arrêt de Melun. Régie d’avances et 12 000 120 000 de recettes.

Paris. Centre de détention national de Melun. Régie d’avances et 31 000 430 000 de recettes.

Paris. Centre de semi-liberté de Montargis. Régie d’avances et 600 5 000 de recettes.

Paris. Maison d’arrêt de Nanterre. Régie d’avances et 52 000 520 000 de recettes.

Paris. Maison d’arrêt d’Orléans. Régie d’avances et 22 000 200 000 de recettes.

Paris. Maison d’arrêt d’. Régie d’avances et 48 000 480 000 de recettes.

Paris. Maison d’arrêt de Paris-la Santé. Régie d’avances et 75 000 750 000 de recettes.

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. . 6 décembre 2005 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 20 sur 118

LIMITE AUTORISÉE DIRECTION du montant de l’encaisse MONTANT DE L’AVANCE régionale ÉTABLISSEMENT NATURE en numéraire à consentir au régisseur (en euros) (en euros)

Paris. Maison centrale de Poissy. Régie d’avances et 16 000 250 000 de recettes.

Paris. Maison centrale de Saint-Maur. Régie d’avances et 15 000 250 000 de recettes.

Paris. Maison d’arrêt de Tours. Régie d’avances et 14 000 140 000 de recettes.

Paris. Maison d’arrêt de Versailles. Régie d’avances et 7 500 75 000 de recettes.

Paris. Centre pour peines aménagées de Villejuif. Régie d’avances et 10 000 15 000 de recettes.

Paris. Maison d’arrêt de Villepinte. Régie d’avances et 43 000 450 000 de recettes.

Rennes. Maison d’arrêt d’Alençon. Régie d’avances et 2 100 35 000 de recettes.

Rennes. Maison d’arrêt d’Angers. Régie d’avances et 4 900 250 000 de recettes.

Rennes. Centre de détention régional d’Argentan. Régie d’avances et 20 000 380 000 de recettes.

Rennes. Maison d’arrêt de Brest. Régie d’avances et 5 600 190 000 de recettes.

Rennes. Maison d’arrêt de Caen. Régie d’avances et 7 200 220 000 de recettes.

Rennes. Centre pénitentiaire de Caen. Régie d’avances et 40 000 460 000 de recettes.

Rennes. Maison d’arrêt de Cherbourg. Régie d’avances et 3 200 31 000 de recettes.

Rennes. Maison d’arrêt de Coutances. Régie d’avances et 4 400 36 000 de recettes.

Rennes. Maison d’arrêt de Fontenay-le-Comte. Régie d’avances et 4 300 45 000 de recettes.

Rennes. Maison d’arrêt de La Roche-sur-Yon. Régie d’avances et 5 000 45 000 de recettes.

Rennes. Maison d’arrêt de Laval. Régie d’avances et 4 000 75 000 de recettes.

Rennes. Maison d’arrêt du Mans. Régie d’avances et 4 500 68 000 de recettes.

Rennes. Centre pénitentiaire de -Ploemeur. Régie d’avances et 4 000 200 000 de recettes.

Rennes. Centre pénitentiaire de Nantes. Régie d’avances et 50 000 150 000 de recettes.

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LIMITE AUTORISÉE DIRECTION du montant de l’encaisse MONTANT DE L’AVANCE régionale ÉTABLISSEMENT NATURE en numéraire à consentir au régisseur (en euros) (en euros)

Rennes. Maison d’arrêt de Rennes. Régie d’avances et 4 500 246 000 de recettes.

Rennes. Centre pénitentiaire de Rennes. Régie d’avances et 7 000 220 000 de recettes.

Rennes. Maison d’arrêt de Saint-Brieuc. Régie d’avances et 5 700 75 000 de recettes.

Rennes. Maison d’arrêt de Saint-Malo. Régie d’avances et 2 400 55 000 de recettes.

Rennes. Maison d’arrêt de . Régie d’avances et 5 000 75 000 de recettes.

Strasbourg. Maison d’arrêt de Bar-le-Duc. Régie d’avances et 8 000 66 000 de recettes.

Strasbourg. Centre de semi-liberté de Briey. Régie d’avances et 2 000 2 000 de recettes.

Strasbourg. Maison d’arrêt de Colmar. Régie d’avances et 11 000 80 000 de recettes.

Strasbourg. Centre de détention d’Ecrouves. Régie d’avances et 10 000 150 000 de recettes.

Strasbourg. Maison centrale d’Ensisheim. Régie d’avances et 3 500 230 000 de recettes.

Strasbourg. Maison d’arrêt d’Epinal. Régie d’avances et 8 000 100 000 de recettes.

Strasbourg. Centre de semi-liberté de Maxéville. Régie d’avances et 3 000 9 000 de recettes.

Strasbourg. Centre pénitentiaire de Metz. Régie d’avances et 20 000 500 000 de recettes.

Strasbourg. Centre de détention de Montmédy. Régie d’avances et 16 000 270 000 de recettes.

Strasbourg. Maison d’arrêt de Mulhouse. Régie d’avances et 15 000 250 000 de recettes.

Strasbourg. Maison d’arrêt de Nancy. Régie d’avances et 9 000 240 000 de recettes.

Strasbourg. Centre de détention régional d’Oermingen. Régie d’avances et 15 000 250 000 de recettes.

Strasbourg. Centre de détention régional de Saint-Mihiel. Régie d’avances et 9 000 250 000 de recettes.

Strasbourg. Maison d’arrêt de Sarreguemines. Régie d’avances et 3 000 57 000 de recettes.

Strasbourg. Centre de semi-liberté de Souffelweyersheim. Régie d’avances et 3 000 8 000 de recettes.

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. . 6 décembre 2005 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 20 sur 118

LIMITE AUTORISÉE DIRECTION du montant de l’encaisse MONTANT DE L’AVANCE régionale ÉTABLISSEMENT NATURE en numéraire à consentir au régisseur (en euros) (en euros)

Strasbourg. Maison d’arrêt de Strasbourg. Régie d’avances et 19 000 350 000 de recettes.

Strasbourg. Centre de détention de Toul. Régie d’avances et 10 000 400 000 de recettes.

Toulouse. Maison d’arrêt d’Albi. Régie d’avances et 4 000 56 000 de recettes.

Toulouse. Maison d’arrêt de Béziers. Régie d’avances et 5 000 58 000 de recettes.

Toulouse. Maison d’arrêt de Cahors. Régie d’avances et 4 000 35 000 de recettes.

Toulouse. Maison d’arrêt de Carcassonne. Régie d’avances et 5 000 84 000 de recettes.

Toulouse. Maison d’arrêt de Foix. Régie d’avances et 3 000 42 000 de recettes.

Toulouse. Centre pénitentiaire de Lannemezan. Régie d’avances et 5 000 150 000 de recettes.

Toulouse. Maison d’arrêt de Mende. Régie d’avances et 4 000 33 000 de recettes.

Toulouse. Maison d’arrêt de Montauban. Régie d’avances et 4 000 68 000 de recettes.

Toulouse. Centre de semi-liberté de Montpellier. Régie d’avances et 1 000 3 000 de recettes.

Toulouse. Centre de détention national de Muret. Régie d’avances et 20 000 800 000 de recettes.

Toulouse. Maison d’arrêt de Nîmes. Régie d’avances et 5 000 200 000 de recettes.

Toulouse. Centre pénitentiaire de Perpignan. Régie d’avances et 20 000 465 000 de recettes.

Toulouse. Maison d’arrêt de Rodez. Régie d’avances et 3 000 26 000 de recettes.

Toulouse. Centre de détention régional de Saint-Sulpice-la-Pointe. Régie d’avances et 5 000 71 000 de recettes.

Toulouse. Maison d’arrêt de . Régie d’avances et 5 000 71 000 de recettes.

Toulouse. Maison d’arrêt de Toulouse-Seysses. Régie d’avances et 20 000 466 000 de recettes.

Toulouse. Centre de semi-liberté de Toulouse. Régie d’avances et 1 000 5 500 de recettes.

Toulouse. Maison d’arrêt de Villeneuve-lès-Maguelone. Régie d’avances et 25 000 400 000 de recettes.

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. . 6 décembre 2005 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 20 sur 118

LIMITE AUTORISÉE DIRECTION du montant de l’encaisse MONTANT DE L’AVANCE régionale ÉTABLISSEMENT NATURE en numéraire à consentir au régisseur (en euros) (en euros)

Mission outre-mer. Centre pénitentiaire de Baie-Mahault. Régie d’avances et 4 600 155 000 de recettes.

Mission outre-mer. Maison d’arrêt de Basse-Terre. Régie d’avances et 2 500 50 000 de recettes.

Mission outre-mer. Centre pénitentiaire de Ducos. Régie d’avances et 1 500 200 000 de recettes.

Mission outre-mer. Centre pénitentiaire de Faa’a Nuutania. Régie d’avances et 2 000 5 000 de recettes.

Mission outre-mer. Maison d’arrêt de Majicavo. Régie d’avances et 1 200 2 500 de recettes.

Mission outre-mer. Centre pénitentiaire de Nouméa. Régie d’avances et 4 000 14 000 de recettes.

Mission outre-mer. Centre pénitentiaire Le Port. Régie d’avances et 15 000 250 000 de recettes.

Mission outre-mer. Centre pénitentiaire de Remire-Montjoly. Régie d’avances et 4 000 100 000 de recettes.

Mission outre-mer. Maison d’arrêt de Saint-Denis-de-la-Réunion. Régie d’avances et 5 000 45 000 de recettes.

Mission outre-mer. Maison d’arrêt de Saint-Pierre-de-la-Réunion. Régie d’avances et 4 000 45 000 de recettes.

Mission outre-mer. Centre de détention de Taiohae. Régie d’avances et 1 600 5 000 de recettes.

Mission outre-mer. Centre de détention d’Uturoa. Régie d’avances et 1 600 5 000 de recettes.

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. . 6 décembre 2005 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 21 sur 118

Décrets, arrêtés, circulaires

TEXTES GÉNÉRAUX

MINISTÈRE DE LA JUSTICE

Arrêté du 3 décembre 2005 portant suppression d’une régie d’avances

NOR : JUSK0540148A

Par arrêté du garde des sceaux, ministre de la justice, en date du 3 décembre 2005, l’arrêté du 26 décembre 1984, portant institution auprès des ateliers de la Régie industrielle des établissements pénitentiaires du centre de détention national de Melun d’une régie d’avances, est abrogé à compter du 30 novembre 2005.

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. . 6 décembre 2005 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 22 sur 118

Décrets, arrêtés, circulaires

TEXTES GÉNÉRAUX

MINISTÈRE DES TRANSPORTS, DE L’ÉQUIPEMENT, DU TOURISME ET DE LA MER

Décret no 2005-1499 du 5 décembre 2005 relatif à la consistance du réseau routier national

NOR : EQUR0501219D

Le Premier ministre, Sur le rapport du ministre des transports, de l’équipement, du tourisme et de la mer, Vu le code de la voirie routière ; Vu la loi no 2004-809 du 13 août 2004 relative aux libertés et responsabilités locales, notamment son article 18 ; Vu les délibérations : – du conseil général de l’Ain en date du 22 mars 2005 ; – du conseil général de l’Aisne en date du 21 février 2005 ; – du conseil général de l’Allier en date du 16 décembre 2004 ; – du conseil général des Alpes-de-Haute-Provence en date du 18 mars 2005 ; – du conseil général des Hautes-Alpes en date du 15 mars 2005 ; – du conseil général des Alpes-Maritimes en date du 11 mars 2005 ; – du conseil général de l’Ardèche en date du 21 mars 2005 ; – du conseil général des Ardennes en date du 1er avril 2005 ; – du conseil général de l’Ariège en date du 7 janvier 2005 ; – du conseil général de l’Aube en date du 21 février 2005 ; – du conseil général de l’Aude en date du 31 janvier 2005 ; – du conseil général de l’Aveyron en date du 21 mars 2005 ; – du conseil général des Bouches-du-Rhône en date du 18 mars 2005 ; – du conseil général du Calvados en date du 14 mars 2005 ; – du conseil général du Cantal en date du 18 mars 2005 ; – du conseil général de la Charente en date du 2 février 2005 ; – du conseil général de la Charente-Maritime en date du 25 février 2005 ; – du conseil général du Cher en date du 28 février 2005 ; – du conseil général de la Corrèze en date du 18 mars 2005 ; – du conseil général de la Côte-d’Or en date du 27 janvier 2005 ; – du conseil général des Côtes-d’Armor en date du 3 février 2005 ; – du conseil général de la Creuse en date du 7 février 2005 ; – du conseil général de la Dordogne en date du 21 janvier 2005 ; – du conseil général du Doubs en date du 22 mars 2005 ; – du conseil général de la Drôme en date du 7 mars 2005 ; – du conseil général de l’ en date du 12 janvier 2005 ; – du conseil général d’Eure-et-Loir en date du 4 mars 2005 et du 9 septembre 2005 ; – du conseil général du Finistère en date du 28 janvier 2005 ; – du conseil général du Gard en date du 9 mars 2005 ; – du conseil général de la Haute-Garonne en date du 14 mars 2005 ; – du conseil général du Gers en date du 10 février 2005 ; . – du conseil général de la Gironde en date du 25 mars 2005 ; .

. . 6 décembre 2005 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 22 sur 118

– du conseil général de l’Hérault en date du 31 janvier 2005 ; – du conseil général d’Ille-et-Vilaine en date du 17 février 2005 ; – du conseil général de l’Indre en date du 17 janvier 2005 ; – du conseil général d’Indre-et-Loire en date du 10 mars 2005 ; – du conseil général de l’Isère en date du 10 février 2005 ; – du conseil général du Jura en date du 21 mars 2005 ; – du conseil général des Landes en date du 25 mars 2005 ; – du conseil général de Loir-et-Cher en date du 14 mars 2005 ; – du conseil général de la Loire en date du 21 janvier 2005 ; – du conseil général de la Haute-Loire en date du 4 février 2005 ; – du conseil général de la Loire-Atlantique en date du 21 mars 2005 ; – du conseil général du Loiret en date du 9 mars 2005 et du 26 septembre 2005 ; – du conseil général du Lot en date du 21 janvier 2005 ; – du conseil général de Lot-et-Garonne en date du 16 mars 2005 ; – du conseil général de la Lozère en date du 21 mars 2005 ; – du conseil général de Maine-et-Loire en date du 14 mars 2005 ; – du conseil général de la Manche en date du 4 février 2005 et du 26 septembre 2005 ; – du conseil général de la Marne en date du 1er avril 2005 ; – du conseil général de la Haute-Marne en date du 18 mars 2005 ; – du conseil général de la Mayenne en date du 21 mars 2005 ; – du conseil général de Meurthe-et-Moselle en date du 31 janvier 2005 ; – du conseil général de la Meuse en date du 25 janvier 2005 ; – du conseil général du Morbihan en date du 26 janvier 2005 ; – du conseil général de la Moselle en date du 1er mars 2005 ; – du conseil général de la Nièvre en date du 29 mars 2005 ; – du conseil général du Nord en date du 21 mars 2005 ; – du conseil général de l’Oise en date du 3 février 2005 ; – du conseil général de l’Orne en date du 14 mars 2005 ; – du conseil général du Pas-de-Calais en date du 21 février 2005 ; – du conseil général du Puy-de-Dôme en date du 25 mars 2005 ; – du conseil général des Pyrénées-Atlantiques en date du 24 mars 2005 ; – du conseil général des Hautes-Pyrénées en date du 1er avril 2005 ; – du conseil général des Pyrénées-Orientales en date du 14 mars 2005 ; – du conseil général du Bas-Rhin en date du 14 mars 2005 ; – du conseil général du Haut-Rhin en date du 25 février 2005 ; – du conseil général du Rhône en date du 21 janvier 2005 ; – du conseil général de la Haute-Saône en date du 25 mars 2005 ; – du conseil général de Saône-et-Loire en date du 15 mars 2005 ; – du conseil général de la Sarthe en date du 11 février 2005 ; – du conseil général de la Savoie en date du 7 février 2005 ; – du conseil général de la Haute-Savoie en date du 14 mars 2005 ; – du conseil général de la Seine-Maritime en date du 22 mars 2005 ; – du conseil général de Seine-et-Marne en date du 25 mars 2005 ; – du conseil général des Yvelines en date du 25 mars 2005 ; – du conseil général des Deux-Sèvres en date du 21 mars 2005 ; – du conseil général de la Somme en date du 21 mars 2005 ; – du conseil général du Tarn en date du 24 janvier 2005 ; – du conseil général de Tarn-et-Garonne en date du 24 mars 2005 ; – du conseil général du en date du 25 mars 2005 ; – du conseil général de Vaucluse en date du 25 mars 2005 ; – du conseil général de la Vendée en date du 18 février 2005 ; – du conseil général de la Vienne en date du 20 décembre 2004 ; – du conseil général de la Haute-Vienne en date du 22 février 2005 ; – du conseil général des Vosges en date du 25 mars 2005 ; – du conseil général de l’Yonne en date du 25 mars 2005 ; . – du conseil général du Territoire de Belfort en date du 21 mars 2005 ; .

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– du conseil général de l’Essonne en date du 18 février 2005 ; – du conseil général des Hauts-de-Seine en date du 7 mars 2005 ; – du conseil général de la Seine-Saint-Denis en date du 1er février 2005 ; – du conseil général du Val-de-Marne en date du 21 mars 2005 ; – du conseil général du Val-d’Oise en date du 18 février 2005 ; Le Conseil d’Etat (section des travaux publics) entendu,

Décrète : Art. 1er.−Le réseau routier national est constitué des itinéraires suivants, représentés sur les plans annexés (« France entière » et « Ile-de-France ») :

Nord et Nord-Est 1. Les liaisons Paris–Lille–frontière belge assurées par les autoroutes A 1, A 3 puis A 27 et A 22, y compris, d’une part, la 227 et, d’autre part, la route nationale 356 entre les autoroutes A 1 et A 22. 2. La liaison Paris–frontière belge via Valenciennes assurée par les autoroutes A 1 et A 2. 3. La liaison Paris (route nationale 184 dans le département du Val-d’Oise)–Amiens–Boulogne-sur- Mer–Calais–Dunkerque–frontière belge assurée par l’autoroute A 16 et la (entre l’autoroute A 16 et la route départementale 104 dans le département du Val-d’Oise). 4. La liaison Paris–Amiens–Lille–frontière belge assurée par l’autoroute A 16 et les routes nationales suivantes : – la route nationale 1 entre l’autoroute A 16 et la à Amiens ; – la route nationale 25 entre la route nationale 1 et la route nationale 425 à Arras ; – la route nationale 425 entre la route nationale 25 et la ; – la route nationale 17 entre la route nationale 425 et l’autoroute A 211 puis l’autoroute A 21 à Lens ; – la route nationale 47 entre l’autoroute A 21 et la route nationale 41 ; – la route nationale 41 entre la route nationale 47 et l’autoroute A 25 à Lille. Les routes nationales susmentionnées cesseront d’appartenir au réseau routier national au fur et à mesure de la mise en service des sections correspondantes de l’autoroute A 24. 5. Les liaisons Calais (A 16)–A 5 et Boulogne-sur-Mer (A 16)–A 5 assurées, d’une part, par l’autoroute A 26 via l’autoroute A 4 (y compris l’autoroute A 216 et la route nationale 216) et par la route nationale 42 (y compris la route nationale 416, entre l’autoroute A 16 et la route nationale 1, et la route nationale 1, entre la route nationale 416 et le port de Boulogne), puis par l’autoroute A 26 via l’autoroute A 4 et, d’autre part, à partir de l’autoroute A 4, par l’ensemble des routes suivantes : – la route départementale 21 dans la Marne (en cours de reclassement dans le domaine public routier national), entre l’autoroute A 4 et la route nationale 44 ; – la route nationale 44 entre la route départementale 21 et la à Vitry-le-François ; – la route nationale 4 entre la route nationale 44 et la route nationale 67 à Saint-Dizier ; – la route nationale 67 entre la route nationale 4 et la route départementale 10 à Chaumont dans la Haute- Marne ; – la route départementale 10 (en cours de reclassement dans le domaine public routier national), entre la route nationale 67 et l’autoroute A 5. 6. La liaison Reims–Rouen via Laon et Amiens (y compris la rocade nord constituée par la route nationale 25, entre l’autoroute A 29 et la route nationale 1, et la route nationale 1, entre la route nationale 25 et l’autoroute A 16), assurée par les autoroutes A 26, A 29, A 16, A 28, la (entre la et l’autoroute A 28) et la route nationale 15 (entre les routes nationales 28 et 138). 7. La liaison Valenciennes–Lille–Dunkerque (A 16) assurée par les autoroutes A 23, A 27, A 22, A 1 et A 25 et la route nationale 225 (entre les autoroutes A 25 et A 16), y compris la route nationale 316. 8. La liaison Valenciennes (A 2)–Lens (A 26) assurée par la route nationale 455 et les autoroutes A 21 et A 211. 9. La liaison Paris (A 1)–frontière belge via Laon assurée par l’autoroute A 170, la (entre l’autoroute A 170 et le contournement sud-ouest de Maubeuge), le contournement sud-ouest de Maubeuge, la route nationale 49 (entre le contournement sud-ouest de Maubeuge et la route nationale 2) puis la route nationale 2. 10. La liaison Reims (A 4)–Charleville-Mézières–frontière belge assurée par la route nationale 244, entre les autoroutes A 4 et A 34, l’autoroute A 34 jusqu’à Charleville-Mézières puis, d’une part, vers l’est, par l’autoroute A 34 (anciennement dénommée A 203) et les routes nationales 43, 1043 (entre l’autoroute A 34 et la route nationale 58) et 58 via Sedan et, d’autre part, vers l’ouest, par les routes nationales 43 et 51 jusqu’à Rocroi (route départementale 985). 11. La liaison Reims (A 4)–Rouen (route nationale 28) assurée par la jusqu’à la route nationale 2 à Soissons, la partie de la route nationale 2 (pour sa section assurant la continuité de la route . nationale 31), puis la route nationale 31 jusqu’à la rocade nord-est de Compiègne (en projet), le projet de .

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rocade nord-est de Compiègne, la route nationale 1031 au droit de Compiègne, puis la route nationale 31 jusqu’à l’autoroute A 16 au droit de Beauvais, le contournement de Beauvais entre la déviation de Laversines et Saint-Paul, enfin la route nationale 31 jusqu’à Rouen.

Est 12. La liaison Paris–Allemagne via Reims, Metz et Strasbourg (pont Pierre-Pflimlin) assurée par les autoroutes A 4 (y compris le contournement sud de Reims en projet), A 35 et la route nationale 83 (entre l’autoroute A 35 et la route nationale 353), la route nationale 353, y compris les liaisons avec l’Allemagne assurées par la route nationale 33, la bretelle de Forbach (autoroute A 320) et la route nationale 61 entre l’autoroute A 4 et la frontière allemande et la bretelle d’Haguenau (autoroute A 340). 13. La liaison Paris (route nationale 104)–Nancy–Strasbourg assurée par la route nationale 4 jusqu’à la route départementale 982 à Vitry-le-François, la route départementale 982 (en cours de reclassement dans le domaine public routier national), entre la route nationale 4 et la route nationale 44, la route nationale 44 entre la route départementale 982 et la route nationale 4, la route nationale 4, les autoroutes A 31 et A 33, la route nationale 333 et la route nationale 4 jusqu’à Phalsbourg puis l’autoroute A 4, y compris la route nationale 135 (entre la route nationale 4 et la route nationale 35). 14. La liaison Paris (route nationale 104)–frontière suisse via Troyes, Langres, Vesoul et Belfort assurée par les autoroutes A 5 et A 105 (y compris la route nationale 105 entre l’autoroute A 105 et la ), l’autoroute A 31, la (entre l’autoroute A 31 et la limite départementale entre le Territoire de Belfort et la Haute-Saône), puis la route nationale 1019 (entre la route départementale 438 à l’ouest de l’autoroute A 36 et la nouvelle route nationale 19 à Morvillars) et la nouvelle route nationale 19 jusqu’à la frontière suisse. La continuité de l’itinéraire entre Lure et Belfort sera assurée par la route départementale 438, sous réserve de son reclassement dans le domaine public routier national. 15. La liaison nord–sud de la plaine d’Alsace via Strasbourg et Colmar assurée par l’autoroute A 35 (y compris les autoroutes A 350, A 351, prolongée par la route nationale 4 jusqu’à Ittenheim, A 352 et la route nationale 363 assurant la continuité nord de l’autoroute A 35 jusqu’à l’Allemagne) et la partie de la route nationale 83 assurant la continuité de l’autoroute A 35 entre Sélestat et Colmar (y compris la route nationale 1083). 16. La liaison val de Saône–Luxembourg via Dijon, Nancy et Metz assurée par l’autoroute A 31, y compris l’antenne de Longwy (autoroute A 30 et route nationale 52), les bretelles autoroutières A 313 (Pont-à- Mousson), A 314, A 315 (agglomération de Metz), la jonction de l’autoroute A 31 et de la route nationale 411 (Dommartin-lès-Toul), la route nationale 52 entre les autoroutes A 4 et A 30 dans l’attente de la réalisation de l’autoroute A 32, et la route nationale 431 (déviation sud-est de Metz entre la bretelle A 315 et l’autoroute A 31). 17. Le projet de l’autoroute A 32 assurant le doublement de l’autoroute A 31 entre Toul et l’autoroute A 30. 18. La liaison val de Saône (A 6)–Mulhouse–Allemagne via Besançon et Belfort assurée par l’autoroute A 36. 19. La liaison Dijon–Bourg-en-Bresse (A 40)–Lyon assurée par les autoroutes A 39, A 40 et A 42, y compris la liaison avec la Suisse assurée par la bretelle autoroutière A 391 et les routes nationales 83 (entre l’autoroute A 391 et la à Poligny) et 5 (entre la route nationale 83 à Poligny et La Cure). 20. La liaison autoroute A 6–autoroute A 31 via Dijon assurée par l’autoroute A 38, la route nationale 274 et l’autoroute A 311. 21. La liaison Nancy (A 330)–Mulhouse (A 36) via Epinal assurée par les routes nationales 57 et 66 (y compris la route nationale 2066). 22. La liaison Nancy–Colmar (A 35) via Sélestat assurée par l’autoroute A 33, la route nationale 333, puis la route nationale 59 jusqu’au carrefour de Raves, la route nationale 159 jusqu’à Sainte-Marie-aux-Mines, puis la route nationale 59 jusqu’à l’autoroute A 35. 23. La liaison A 39 (Poligny)–A 36 (Besançon) assurée par l’autoroute A 391, la route nationale 83 (entre l’autoroute A 391 et la route nationale 273 à Besançon) et les routes nationales 273, 1057 et 57 (entre la route nationale 1057 et l’autoroute A 36). 24. La liaison Nancy–frontière suisse via Epinal, Vesoul et Besançon assurée par l’autoroute A 330 et la route nationale 57.

Sud-Est 25. La liaison Paris–Lyon–Marseille assurée par l’autoroute A 6 (y compris la au droit de Tassin-la-Demi-Lune en tant que bretelle d’accès à l’autoroute A 6), l’autoroute A 7, y compris l’autoroute A 46 et la route nationale 346 (contournement est de Lyon), la liaison entre l’autoroute A 7 et l’autoroute A 9 au sud d’Avignon constituée par les routes nationales 129 et 7 (entre l’autoroute A 7 et la future liaison est–ouest d’Avignon [LEO]), la LEO et la route nationale 100 (entre la LEO et l’autoroute A 9). 26. La liaison A 46 (Les Echets)–A 42 (La Boisse)–A 43 (Saint-Laurent-de-Mure) assurée par l’autoroute A 432 (en partie en projet). 27. La liaison Ambérieu (A 42)–Bourgoin-Jallieu (A 43) assurée par l’autoroute A 48 (en projet). . 28. La liaison Paris–Béziers (A 9) via Orléans, Bourges et Clermont-Ferrand, assurée par les autoroutes A 10 .

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et A 71 (y compris la desserte de Vichy assurée par l’autoroute A 719 partiellement en projet), puis l’autoroute A 75 (partiellement en projet), y compris la , entre l’autoroute A 75 et la rocade nord de Béziers, la bretelle de raccordement de l’autoroute A 75 à la rocade est de Béziers et l’antenne assurant la desserte de Montpellier par la route nationale 109 (autoroute A 750 en projet) et le contournement ouest de Montpellier (en projet) jusqu’au raccordement à l’autoroute A 9. 29. La liaison Paris (A 6)–Saint-Etienne (route nationale 88) via Nevers et Moulins assurée par les autoroutes A 6 et A 77, la route nationale 7 (entre l’autoroute A 77 et la route nationale 82), la route nationale 82 (entre la route nationale 7 et l’autoroute A 89) puis les autoroutes A 89 et A 72, y compris la desserte de Vichy par la route nationale 209 (entre la route nationale 7 et l’agglomération de Vichy, au niveau de la route départementale 67) et sa déviation nord-ouest (en projet entre la route nationale 209 et l’autoroute A 719). 30. La liaison vallée du Rhône–Espagne via Orange, Nîmes, Montpellier, Narbonne et Perpignan assurée, successivement, d’une part, par les autoroutes A 7 et A 9 et, d’autre part, par la route nationale 7 entre l’autoroute A 46 et l’autoroute A 7 à Orange (échangeur sud), par la route départementale 994D dans les départements de Vaucluse et du Gard (sous réserve de son reclassement dans le domaine public routier national, entre la route nationale 7 et la route nationale 86), la route nationale 86 entre Pont-Saint-Esprit (route départementale 994D) et Bagnols-sur-Cèze (route départementale 6), la route départementale 6 (en cours de reclassement dans le domaine public routier national, entre la route nationale 86 et la route nationale 580), la route nationale 580, entre Bagnols-sur-Cèze (route départementale 6) et l’autoroute A 9, puis la route nationale 113 entre Nîmes (échangeur sud de l’autoroute A 9) et Montpellier (échangeur nord de l’autoroute A 9). 31. Les liaisons vallée du Rhône–Italie et Marseille–Italie via Toulon ou Aix-en-Provence assurées par les autoroutes A 8, A 50, A 51, A 52, A 57, A 500, A 501, A 502, A 507 (liaison L 2), A 520 et A 570, la section de entre l’autoroute A 570 et l’avenue Godillot au droit de Hyères, y compris le tunnel de Toulon et la route nationale 1050 assurant la continuité entre ce tunnel et l’autoroute A 57. 32. Les liaisons Nîmes–Marseille ou Nîmes–Aix-en-Provence assurées par les autoroutes A 7, A 8, A 51, A 54, A 55, A 507, A 515, A 516, A 517, A 551, A 552, A 557 et la route nationale 568 (hormis la section déviée par l’autoroute A 55 au droit de Martigues), la route nationale 569 (hormis les sections déviées au droit de Miramas et Istres par la route nationale 1569), les routes nationales 1569, 572 (continuité de l’autoroute A 54, entre l’autoroute A 54 et la route nationale 113) et la route nationale 113 (continuité de l’autoroute A 54, entre la route nationale 572 et l’autoroute A 54). 33. La liaison Orléans (A 10)–Sens (A 5) assurée par l’autoroute A 19 (en partie en projet). 34. La liaison val de Saône (Mâcon, A 6)–Italie (tunnel du Mont Blanc) assurée, d’une part, au nord de Mâcon, par la section de l’autoroute A 40 (entre l’autoroute A 6 et Saint-André-de-Bagé) et, d’autre part, au sud de Mâcon, par la route nationale 79 (entre l’autoroute A 6 et l’autoroute A 406) et l’autoroute A 406 (entre la route nationale 79 et l’autoroute A 40–Saint-André-de-Bagé), puis l’autoroute A 40 et la route nationale 205 (entre l’autoroute A 40 au Fayet et le tunnel du Mont Blanc), y compris l’autoroute A 404 (bretelle d’Oyonnax) et le projet de liaison entre l’autoroute A 40 et Thonon. 35. La liaison Lyon–Italie (tunnel du Fréjus) via Chambéry assurée par les autoroutes A 43 et A 41, la route nationale 201 (continuité de l’autoroute A 41 au droit de Chambéry) et le tunnel du Fréjus, y compris la desserte de la vallée de la Tarentaise assurée par l’autoroute A 430 puis la route nationale 90 jusqu’à Bourg- Saint-Maurice. 36. La liaison Grenoble–Annecy–Genève (Suisse) assurée par les autoroutes A 41 (en partie en projet), A 43, A 410, A 411, A 40 et A 401, la route nationale 201 (continuité de l’autoroute A 41 au droit de Chambéry) et la route nationale 87 (rocade sud de Grenoble). 37. La liaison Lyon–Grenoble assurée par les autoroutes A 43, A 48 et A 480. 38. La liaison Grenoble–Valence assurée par les autoroutes A 48 et A 49 et la route nationale 532 (entre l’autoroute A 49 et la route nationale 7). 39. La liaison Grenoble–Marseille via Aix-en-Provence assurée par les autoroutes A 480 et A 51, la route nationale 85 entre l’autoroute A 480 à Pont-de-Claix et l’autoroute A 51 à La Saulce, les routes nationales 296 et 7 (pour les sections assurant la continuité de la route nationale 296), y compris la desserte de Digne assurée par la route nationale 85, entre l’autoroute A 51 (Aubignosc) et Digne, et la liaison avec la vallée du Var assurée par la route nationale 85 entre Digne et la à Barrême puis la route nationale 202 entre la route nationale 85 et la route départementale 902. La route nationale 85 entre l’autoroute A 51 (Aubignosc) et Digne, cessera d’appartenir au réseau routier national lors de la mise en service de l’autoroute A 585 (en projet). Entre l’autoroute A 480 à Pont-de-Claix et La Saulce, la route nationale 85 cessera d’appartenir au réseau routier national en cas de mise en service d’une nouvelle liaison entre Grenoble et Gap. 40. La liaison entre Gap et l’Italie assurée par la route nationale 94 (entre la route nationale 85 à Gap et la frontière italienne). 41. La liaison Clermont-Ferrand (A 71)–Lyon (A 6) assurée par les autoroutes A 710 (y compris les bretelles autoroutières A 711 et A 712), A 72, A 89 (en partie en projet) jusqu’à la Tour-de-Salvagny et par la route nationale 7 (entre la route nationale 82 et la route nationale 489), la route nationale 489 et la route nationale 6 (entre la route nationale 489 et l’autoroute A 6). La section de la route nationale 7 doublant l’autoroute A 89 cessera d’appartenir au réseau routier national lors de la mise en service de la section de cette autoroute en . projet. .

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42. La liaison entre l’autoroute A 6 et l’autoroute A 71 assurée par, d’une part, les routes nationales 80 et 70 (entre Chalon-sur-Saône – route nationale 6 – et Paray-le-Monial) et, d’autre part, la route nationale 79 (entre Mâcon – autoroute A 6 – et Paray-le-Monial), puis la route nationale 79, entre Paray-le-Monial et l’autoroute A 71 (Montmarault). 43. La liaison entre l’autoroute A 75 et Lyon via Mende, Le Puy-en-Velay et Saint-Etienne assurée par la route nationale 88 (y compris la route nationale 488 à Saint-Etienne) et les autoroutes A 47 et A 7, y compris l’autoroute A 45 (nouvelle liaison Saint-Etienne–Lyon en projet). 44. La liaison entre les autoroutes A 75 (Lempdes-sur-Allagnon) et A 7 (Montélimar) via Le Puy-en-Velay assurée par les routes nationales 102, 88 et 7. 45. La desserte d’Aurillac et de Figeac assurée depuis l’autoroute A 75 par la route nationale 122. 46. La liaison Nîmes–Mende via Alès assurée par la route nationale 106 (de l’autoroute A 9 à la route nationale 88 à Mende). 47. La liaison Châteauroux (A 20)–Bourges–Auxerre–Troyes (A 5) assurée par la route nationale 151 (entre l’autoroute A 20 et la route nationale 142), la route nationale 142 (pour sa section assurant la continuité de la route nationale 151), la route nationale 151 (entre la route nationale 142 et la route nationale 77) et la route nationale 77 (entre la route nationale 151 à Auxerre et la rocade ouest de Troyes), y compris la route nationale 6 entre l’autoroute A 6 (Les Bries) et la route nationale 65 ainsi que la route nationale 65.

Sud-Ouest 48. La liaison Paris (A 6)–Espagne assurée successivement par l’autoroute A 10 de Paris à Bordeaux (via Orléans, Tours, Poitiers, Saintes), le périphérique de Bordeaux (l’autoroute A 630 et la route nationale 230, y compris la bretelle autoroutière A 631), l’autoroute A 63 au sud de Bordeaux (y compris l’autoroute A 660 et la route nationale 250 jusqu’à la route départementale 259), la entre Belin-Béliet et Saint- Geours-de Maremne et l’autoroute A 63 jusqu’à la frontière espagnole. 49. La liaison Paris (A 6)–Toulouse (A620) via Orléans, Limoges, Cahors et Montauban assurée par les autoroutes A 10, A 71, A 20 (y compris la section de la assurant la continuité de l’autoroute A 20 au droit de Montauban) et l’autoroute A 62. 50. La liaison Bayonne–Toulouse via Pau et Tarbes assurée par les autoroutes A 64 et A 620 (rocade ouest et sud de Toulouse), y compris la route départementale 1 dans les Pyrénées-Atlantiques, sous réserve de son reclassement dans le domaine public routier national, l’autoroute A 641 et les liaisons transfrontalières assurées, d’une part, par l’antenne autoroutière A 645 à Montréjeau et les sections de la route nationale 125 comprises respectivement entre l’autoroute A 645 et la route départementale 33 à Labroquère et entre la route départementale 33 à Chaum et la frontière espagnole et, d’autre part, par les routes nationales 134 et 1134 entre Pau (route départementale 2) et la frontière espagnole, la section comprise entre Pau et Oloron étant remplacée par la liaison Pau–Oloron en projet après sa mise en service. La continuité de l’itinéraire entre Labroquère et Chaum sera assurée par la route départementale 33, sous réserve de son reclassement dans le domaine public routier national. 51. La liaison Bordeaux–Toulouse via Agen assurée par l’autoroute A 62. 52. La liaison Bordeaux–Pau (A 64) assurée par les autoroutes A 62 et A 65 (en projet). 53. La liaison Bordeaux (route nationale 230)–Clermont-Ferrand (A 71) via Périgueux et Tulle, assurée par la route nationale 89 entre la route nationale 230 et l’autoroute A 89, puis l’autoroute A 89. 54. La liaison Nantes–Bordeaux via Niort assurée par les autoroutes A 811, A 83 et A 10 et via Rochefort par les autoroutes A 83, A 831 (en projet), A 837 et A 10. 55. La liaison Angers (A11)–Tours–Vierzon (A 71) assurée par l’autoroute A 85 (en projet pour partie). 56. La liaison Toulouse–Narbonne (A 9) via Carcassonne assurée par l’autoroute A 61. 57. La liaison Toulouse–Espagne via Foix assurée par les autoroutes A 61 (y compris la bretelle autoroutière A 623), l’autoroute A 66 et la route nationale 20 (entre le carrefour de Trémèges et la frontière espagnole), y compris la liaison avec l’Andorre assurée par les routes nationales 22 et 320. 58. La liaison Perpignan–Espagne assurée par la route nationale 116 entre le raccordement de la rocade ouest de Perpignan (en projet) et la route nationale 20. 59. La liaison Toulouse (A 62)–Castres–Mazamet assurée par les autoroutes A 68 et A 680 (en projet en partie), la route nationale 126 (entre la route départementale 42 et la route nationale 112) et la route nationale 112 (entre la route nationale 126 et la route départementale 612). La continuité de l’itinéraire sera assurée par la route départementale 20 en Haute-Garonne et la route départementale 42 dans le Tarn, sous réserve de leur reclassement dans le domaine public routier national. 60. La liaison autoroute A 71–Royan via Montluçon, Guéret, Limoges, Angoulême, Saintes assurée par l’antenne autoroutière de Montluçon (entre l’autoroute A 71 et la route nationale 145), la route nationale 145 (y compris la section comprise entre l’autoroute A 20 et la route nationale 147), l’autoroute A 20 jusqu’à Limoges, les routes nationales 520 et 141 (entre la route nationale 520 et la route nationale 137), la route nationale 137 (entre les routes nationales 141 et 150) et la route nationale 150 jusqu’à Royan. 61. La liaison Bordeaux–Toulouse via Langon et assurée par l’autoroute A 62, les routes nationales 524 et 124 (jusqu’à l’autoroute A 624), l’autoroute A 624 et les routes nationales 542 et 224 (y compris la bretelle autoroutière A 621). 62. La liaison Toulouse–autoroute A 75 via Albi et Rodez assurée par l’autoroute A 68 et la route . nationale 88. .

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63. La liaison Poitiers (A 10)– assurée par l’autoroute A 10, la route nationale 248 (entre l’autoroute A 10 et la ), la route nationale 11, y compris la route nationale 237 jusqu’au giratoire de La Repentie, les routes nationales 537 et 137 jusqu’à la voie communale dénommée « route de Rochefort » à Aytré. 64. La liaison Limoges (route nationale 520)–Poitiers () assurée par la route nationale 147. 65. La liaison entre Chartres et Tours assurée par la route nationale 10 (entre l’autoroute A 11 à Thivars et la route départementale 31 à Château-Renault) et la route départementale 31 (en cours de reclassement dans le domaine public routier national, entre la route nationale 10 et l’autoroute A 10). 66. La liaison Poitiers (échangeur sud de l’autoroute A 10)–Bordeaux (A 10 à Saint-André-de-Cubzac) via Angoulême assurée par la route nationale 10. 67. La liaison Limoges (A 20)–Périgueux–Agen–Auch–Tarbes–Lourdes assurée par les routes nationales 520 et 21 jusqu’à la route nationale 221 au nord de Périgueux, la route nationale 221, l’autoroute A 89 au sud-est de Périgueux, la jusqu’au nord d’Agen (route départementale 13), la route nationale 1021, y compris la section en cours de réalisation, et la route nationale 1113 assurant la continuité de la route nationale 21 pour traverser Agen, la route nationale 21 entre Agen et Lourdes (jusqu’à la route départementale 914).

Ouest 68. La liaison Paris–Rennes assurée par, d’une part, les autoroutes A 10, A 11 et A 81 et les routes nationales 157 (entre l’autoroute A 81 et la route nationale 136) et 136 (périphérique de Rennes) et, d’autre part, la (entre les autoroutes A 12 et A 84), y compris les routes nationales 162 (entre les routes nationales 12 et 1162) et 1162 (entre la route nationale 162 et la route départementale 863 dans le département de Maine-et-Loire). 69. La liaison Rennes–Brest assurée par, d’une part, la route nationale 12 (jusqu’à la route nationale 265) et la route nationale 265 (entre les routes nationales 12 et 165) et, d’autre part, la route nationale 164 (entre les routes nationales 12 et 165) et la (entre les routes nationales 164 et 265). 70. La liaison Paris–Nantes via Chartres, , Angers (contournement nord) assurée par les autoroutes A 10, A 11 et A 811, y compris le périphérique de Nantes assuré par l’autoroute A 844, la voie communale 844 (en cours de reclassement dans le domaine public routier national entre l’autoroute A 844 et l’autoroute A 811), la route départementale 844 (en cours de reclassement dans le domaine public routier national, entre la route nationale 249 et la route nationale 844), la route nationale 844 (entre la route départementale 844 et l’autoroute A 844) et la section de route départementale 201 (en cours de reclassement dans le domaine public routier national) entre la route nationale 844 et la route nationale 165. 71. La liaison Caen–Brest assurée par l’autoroute A 84, la route nationale 175 (entre l’autoroute A 84 et la route nationale 176), la route nationale 176 (entre les routes nationales 175 et 12) et la route nationale 12 (entre la route nationale 176 et la route nationale 265). 72. La liaison Rennes (route nationale 136)–Lorient assurée par la route nationale 24. 73. La liaison Rennes (route nationale 136)–Vannes (route nationale 165) assurée par les routes nationales 24 et 166. 74. La liaison Nantes–Brest assurée par l’autoroute A 844, la route nationale 165 (entre l’autoroute A 844 et la route nationale 265 à Brest), y compris la desserte de Saint-Nazaire par la route nationale 171 (entre la route nationale 137 à Nozay et l’échangeur de Certé à Saint-Nazaire). 75. La liaison Nantes–Poitiers via Cholet assurée par la route nationale 249 (entre Nantes et la route nationale 2249), la route nationale 2249 (entre la route nationale 249 et la route départementale 752) et la route nationale 149 (entre les routes nationales 160 et 147). 76. La liaison Angers–La Roche-sur-Yon assurée par la route nationale 1160 (rocade est d’Angers, assurant la continuité entre les autoroutes A 11 et A 87), la route nationale 260 (déviation des Ponts-de-Cé, autoroute A 87 en projet) et l’autoroute A 87. 77. La liaison Rennes (route nationale 136)–Nantes (A 844) assurée par la route nationale 137.

Nord-Ouest 78. La liaison Paris–Rouen–Caen assurée par les autoroutes A 14 (y compris son prolongement par les routes nationales 1014 et 13 jusqu’au boulevard périphérique de Paris) et A 13, y compris l’antenne d’Evreux (assurée par la jusqu’à la , puis la route nationale 1013 et la déviation sud-ouest d’Evreux jusqu’à Parville), la desserte de Rouen, assurée par l’autoroute A 139, les routes nationales 138 (entre l’autoroute A 13 et la route nationale 338 à Petit-Couronne), 338 et 138 (entre l’extrémité nord de la route nationale 338, au niveau du boulevard de l’Europe, et la route nationale 15), l’antenne de Deauville (assurée par l’autoroute A 132) et le périphérique de Caen (route nationale 814). 79. La liaison Rouen (A 13)–Tours (A 10) assurée par l’autoroute A 28 (en cours de réalisation pour partie) via l’autoroute A 11. 80. La liaison Dunkerque–Caen via Calais, Boulogne-sur-Mer, et assurée par les autoroutes A 16, A 28, A 29 et A 13, y compris le pont de Normandie au droit du Havre et la route . départementale 929 (en cours de reclassement dans le domaine public routier national). .

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81. La liaison Caen (route nationale 814)–Le Mans (A 11) assurée par la route nationale 158 et les autoroutes A 88 (en projet pour partie) et A 28. 82. La liaison Caen–Rennes assurée par l’autoroute A 84 et la route nationale 175 (continuité de l’autoroute A 84 entre Avranches et Pontaubault). 83. La liaison Caen (route nationale 814)–Cherbourg assurée par la route nationale 13 (jusqu’à la route nationale 132), la route nationale 132, puis la déviation de Tourlaville et le barreau des Flamands. 84. La liaison Rennes–Cherbourg via Saint-Lô assurée par l’autoroute A 84, la route nationale 174 (entre l’autoroute A 84 et la route départementale 974), le contournement de Saint-Lô par la route départementale 974 (en cours de reclassement dans le domaine public routier national), la route nationale 174 jusqu’à la route nationale 13, puis la route nationale 13. 85. La liaison Rouen–Le Havre assurée par, d’une part, les autoroutes A 150, A 151 et A 29 et, d’autre part, les autoroutes A 13 et A 131, y compris la route nationale 282 au Havre et la route nationale 182 (pont de Tancarville). 86. La liaison Rouen– assurée par l’autoroute A 151 puis la (jusqu’à la route départementale 925 à Dieppe). 87. La liaison Rouen (A 13)–Orléans via Evreux, Dreux et Chartres assurée par les routes nationales 12 et 154 (entre l’autoroute A 13 et la route nationale 1154 à Chartres), la route nationale 1154 (entre la route nationale 154 et la route départementale 905), la route départementale 905 (en cours de reclassement dans le domaine public routier national, entre les routes nationales 1154 et 123), la route nationale 123 (entre la route départementale 905 et la route nationale 154), la route nationale 154 (entre la route nationale 123 et la route nationale 254), la route nationale 254 (entre la route nationale 154 et la route départementale 927), la route départementale 927 (en cours de reclassement dans le domaine public routier national, entre la route nationale 254 et l’autoroute A 10) et l’autoroute A 10.

Ile-de-France 88. La rocade d’Ile-de-France assurée par l’autoroute A 86 (pour partie en projet) et, lorsqu’elles assurent la continuité de l’autoroute A 86, les routes nationales 186, 286 et 385, ainsi que la section de la route nationale 486, dans le Val-de-Marne, assurant la continuité entre l’autoroute A4 est et l’autoroute A 86 nord. 89. La rocade, dite , assurée par l’autoroute A 104 et la route nationale 104 (y compris la route nationale 449, considérée comme bretelle de la route nationale 104 entre la route départementale 91 et la route nationale 104, et la section de la route nationale 446 à Ris-Orangis - Courcouronnes, considérée comme une bretelle de la route nationale 104 à l’ouest de l’avenue Pierre Bérégovoy), complétées par la route nationale 184 (entre l’autoroute A 16 et la route nationale 13), la route nationale 13 (entre le futur échangeur autoroutier du Chemin Neuf et la route nationale 186) et la route nationale 186 (entre la route nationale 13 et l’autoroute A 13), y compris la route départementale 104 dans le département du Val-d’Oise (en cours de reclassement dans le domaine public routier national). 90. La liaison entre les autoroutes A 5 et A 1 assurée par la route nationale 36 (entre les autoroutes A 5 et A 4), l’autoroute A 4, l’autoroute A 140, la déviation de Meaux (en construction), la route nationale 330 (de la déviation de Meaux à l’autoroute A 1), à l’exception de la traversée d’Ermenonville, remplacée par les sections de routes départementales 922 et 84 assurant le contournement, en cours de reclassement dans le domaine public routier national, et la route nationale 324 jusqu’à l’échangeur en direction de Paris. 91. Les liaisons A 10–Paris-Ouest assurées par, d’une part, la route nationale 191 (de l’autoroute A 10 à la route nationale 10), la route nationale 10 (de la route nationale 191 à l’autoroute A 12), puis l’autoroute A 12 et, d’autre part, la route nationale 118 (de l’autoroute A 10 au pont de Sèvres), y compris la route nationale 306 (entre la route nationale 118 et l’autoroute A 86) complétant l’échangeur de Vélizy. 92. La liaison autoroute A 86–route nationale 104 assurée par la route nationale 406 et la route nationale 19 (entre les routes nationales 406 et 104), y compris les sections de la route départementale 60 (en cours de reclassement dans le domaine public routier national) comprises respectivement entre la route nationale 406 et l’autoroute A 86 et entre les routes nationales 406 et 6 (carrefour de Pompadour). 93. Les pénétrantes et bretelles suivantes, complétant le maillage : a) L’autoroute A 15 (y compris la , entre l’autoroute A 15 et la route départementale 14 dans le Val-d’Oise, et la route nationale 315) et l’autoroute A 115 (Cergy-) ; b) La entre le contournement sud-ouest de Meaux, en cours de construction, et la Francilienne. La section de la route nationale 3 comprise entre la route départementale 212 en cours de réalisation et la Francilienne sera remplacée par la route départementale 212 après sa mise en service, sous réserve de son reclassement dans le domaine public routier national ; c) Les autoroutes A 103 (Rosny), A 126 (liaison entre les autoroutes A 6 et A 10 prolongée jusqu’à la route départementale 36, à Palaiseau) et A 106 (y compris son prolongement par la section de la route nationale 7 dans la traversée sous l’aéroport d’Orly) ; d) La route nationale 6 entre l’autoroute A 86 (échangeur de Pompadour) et la route nationale 104 ; e) Le barreau de jonction entre les autoroutes A 1 et A 86 à La Courneuve ; f) Le boulevard circulaire de La Défense (route nationale 13), les sections des routes nationales 192 et 1013 à l’intérieur du boulevard circulaire de La Défense et les sections de la route nationale 314 assurant la liaison . entre l’autoroute A 14 et le boulevard circulaire ; .

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g) La route nationale 186 à Bobigny (entre les bretelles de l’autoroute A 3 nord et les bretelles de l’autoroute A 86 vers l’ouest) ; h) La section de la route nationale 3 à Bondy (en tant que bretelle de l’autoroute A 3) jusqu’à son raccordement à la voirie locale ; i) La route nationale 37 à Saint-Germain-sur-Ecole (en tant que bretelle de l’autoroute A 6) jusqu’à la route départementale 372 ; j) La section de la route nationale 2 à Aulnay-sous-Bois et Villepinte (en tant que bretelle de l’autoroute A 104) jusqu’à la route départementale 401 (carrefour Jean-Monnet) ; k) Les routes nationales 301, 401 et 410 (en tant que bretelles de l’autoroute A 1) jusqu’à leur raccordement à la voirie locale ; l) Les routes nationales 337, 440 et 441 (en tant que bretelles de l’autoroute A 6) jusqu’à leur raccordement à la voirie locale ; m) La bretelle de raccordement de l’autoroute A 10 à la route nationale 20 à Champlan. Art. 2. − Le ministre d’Etat, ministre de l’intérieur et de l’aménagement du territoire, le ministre des transports, de l’équipement, du tourisme et de la mer et le ministre délégué aux collectivités territoriales sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent décret, qui sera publié au Journal officiel de la République française. Fait à Paris, le 5 décembre 2005. DOMINIQUE DE VILLEPIN Par le Premier ministre : Le ministre des transports, de l’équipement, du tourisme et de la mer, DOMINIQUE PERBEN Le ministre d’Etat, ministre de l’intérieur et de l’aménagement du territoire, NICOLAS SARKOZY Le ministre délégué aux collectivités territoriales, BRICE HORTEFEUX

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Décrets, arrêtés, circulaires

TEXTES GÉNÉRAUX

MINISTÈRE DES TRANSPORTS, DE L’ÉQUIPEMENT, DU TOURISME ET DE LA MER

Décret no 2005-1500 du 5 décembre 2005 portant application de l’article 18 de la loi no 2004-809 du 13 août 2004 relative aux libertés et responsabilités locales

NOR : EQUR0501076D

Le Premier ministre, Sur le rapport du ministre d’Etat, ministre de l’intérieur et de l’aménagement du territoire, et du ministre des transports, de l’équipement, du tourisme et de la mer, Vu le code général des collectivités territoriales, notamment son article L. 1321-1 ; Vu le code de la voirie routière, notamment son article L. 121-1 ; Vu la loi no 2004-809 du 13 août 2004 relative aux libertés et responsabilités locales, notamment son article 18 ; Le Conseil d’Etat (section des travaux publics) entendu, Décrète : Art. 1er.−Les arrêtés préfectoraux constatant les transferts prévus par le III de l’article 18 de la loi du 13 août 2004 sont publiés au recueil des actes administratifs de la préfecture et notifiés au président du conseil général. Une liste des actes ayant conféré des droits à l’Etat ou fait naître des obligations à sa charge en ce qui concerne la gestion du réseau routier national transféré est annexée aux arrêtés de transfert. Art. 2. − Pour l’application du cinquième alinéa du III de l’article 18 de la loi du 13 août 2004 susvisée, sont considérés comme acquis par l’Etat en vue de l’aménagement des routes transférées les terrains acquis en vue d’aménagements déjà réalisés ainsi que les terrains acquis, en application d’une déclaration d’utilité publique ou d’une décision de l’autorité administrative ayant la capacité d’exproprier, en vue de la réalisation d’aménagements projetés et non abandonnés ou en cours de travaux. Les terrains appartenant à l’Etat qui ont fait partie de la voie transférée sont cédés dans les mêmes conditions. Les cessions au département des biens affectés à une opération routière en application du présent article sont constatées par un acte en la forme administrative, réalisées à titre gratuit et en l’état actuel d’occupation. Art. 3. − Pour l’application du dernier alinéa de l’article L. 121-1 du code de la voirie routière, le déclassement et le reclassement des sections de routes nationales n’ayant pas de vocation départementale sont prononcés par arrêté du préfet, après accord de la commune ou de l’établissement public de coopération intercommunale exprimé avant l’expiration d’un délai de cinq mois à compter de leur saisine. Les arrêtés constatant le transfert de sections de routes nationales à des communes ou à des établissements publics de coopération intercommunale sont publiés au recueil des actes administratifs de la préfecture et notifiés au maire ou au président de l’établissement public intéressé. Le présent article n’est pas applicable dans les départements et régions d’outre-mer. Art. 4. − Le transfert du domaine public routier prévu au premier alinéa du III de l’article 18 de la loi du 13 août 2004 entraîne, conformément aux dispositions de l’article L. 1321-1 du code général des collectivités territoriales, la mise à disposition, au bénéfice du département, des immeubles ou parties d’immeubles occupés par les services de l’Etat et entièrement affectés à des services contribuant à l’exécution des missions d’entretien, d’exploitation et d’aménagement des voies transférées. Art. 5. − L’article R.* 123-2 du code de la voirie routière est modifié comme suit : 1o Le I est remplacé par les dispositions suivantes : « Le déclassement d’une route ou d’une section de route nationale est prononcé par arrêté préfectoral. » 2o Dans le II, les mots : « par le ministre chargé de la voirie routière nationale ou dans le cas où ce reclassement est consécutif à l’ouverture d’une voie nouvelle ou au changement de tracé d’une voie existante, » . sont supprimés. .

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Art. 6. − Pour l’application dans les départements et régions d’outre-mer des articles 1er, 2 et 4 du présent décret, les mots : « département » et « conseil général » sont remplacés par les mots : « la collectivité bénéficiaire ». Art. 7. − Le ministre d’Etat, ministre de l’intérieur et de l’aménagement du territoire, le ministre de l’économie, des finances et de l’industrie, le ministre des transports, de l’équipement, du tourisme et de la mer, le ministre de l’outre-mer et le ministre délégué aux collectivités territoriales sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent décret, qui sera publié au Journal officiel de la République française. Fait à Paris, le 5 décembre 2005. DOMINIQUE DE VILLEPIN Par le Premier ministre : Le ministre des transports, de l’équipement, du tourisme et de la mer, DOMINIQUE PERBEN Le ministre d’Etat, ministre de l’intérieur et de l’aménagement du territoire, NICOLAS SARKOZY Le ministre de l’économie, des finances et de l’industrie, THIERRY BRETON Le ministre de l’outre-mer, FRANÇOIS BAROIN Le ministre délégué aux collectivités territoriales, BRICE HORTEFEUX

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TEXTES GÉNÉRAUX

MINISTÈRE DES TRANSPORTS, DE L’ÉQUIPEMENT, DU TOURISME ET DE LA MER

Arrêté du 23 novembre 2005 modifiant l’arrêté du 24 août 1995 fixant les taux des primes allouées à certains personnels techniques de l’aviation civile

NOR : EQUA0501699A

Le ministre de l’économie, des finances et de l’industrie, le ministre des transports, de l’équipement, du tourisme et de la mer et le ministre de la fonction publique, Vu le décret du 28 octobre 1970 modifié fixant le régime particulier des primes accordées à certains personnels techniques de l’aviation civile ; Vu l’arrêté du 24 août 1995 modifié fixant les taux des primes allouées à certains personnels techniques de l’aviation civile,

Arrêtent : Art. 1er.−L’article 1er de l’arrêté du 24 août 1995 susvisé est rédigé ainsi qu’il suit : « Art. 1er. − Les taux mensuels de la prime de technicité prévue à l’article 2 du décret du 28 octobre 1970 susvisé sont fixés ainsi qu’il suit : Ingénieurs principaux des études et de l’exploitation de l’aviation civile ...... 532,50 € Ingénieurs des études et de l’exploitation de l’aviation civile de classe normale ...... 443,16 € Agents sur contrat hors catégorie ...... 532,50 € Agents sur contrat 1re catégorie ...... 443,16 € Art. 2. − L’arrêté du 23 mars 2005 modifiant l’arrêté du 24 août 1995 modifié fixant les taux des primes allouées à certains personnels techniques de l’aviation civile est abrogé. Art. 3. − Le directeur général de l’aviation civile est chargé de l’exécution du présent arrêté, qui prend effet au 1er juillet 2005 et sera publié au Journal officiel de la République française. Fait à Paris, le 23 novembre 2005. Le ministre des transports, de l’équipement, du tourisme et de la mer, Pour le ministre et par délégation : Par empêchement du directeur général de l’aviation civile : Le secrétaire général de la direction générale de l’aviation civile, J.-F. GRASSINEAU Le ministre de l’économie, des finances et de l’industrie, Pour le ministre et par délégation : Par empêchement du directeur du budget : Le sous-directeur, V. BERJOT Le ministre de la fonction publique, Pour le ministre et par délégation : Par empêchement du directeur général de l’administration et de la fonction publique : La sous-directrice, . A. WAGNER .

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MINISTÈRE DES TRANSPORTS, DE L’ÉQUIPEMENT, DU TOURISME ET DE LA MER

Arrêté du 23 novembre 2005 fixant les montants de la prime de technicité prévue par le décret du 5 août 1970 modifié fixant le régime particulier des primes accordées à certains personnels techniques de la navigation aérienne

NOR : EQUA0501698A

Le ministre de l’économie, des finances et de l’industrie, le ministre des transports, de l’équipement, du tourisme et de la mer et le ministre de la fonction publique, Vu le décret du 5 août 1970 modifié fixant le régime particulier des primes accordées à certains personnels techniques de la navigation aérienne ; Vu l’arrêté du 26 octobre 1987 modifié fixant les modalités d’application du décret du 5 août 1970 modifié fixant le régime particulier des primes accordées à certains personnels techniques de la navigation aérienne,

Arrêtent : Art. 1er.−Les montants mensuels de la prime de technicité prévue à l’article 2 du décret du 5 août 1970 susvisé sont fixés ainsi qu’il suit :

Niveau 1 ...... 233,78 € Niveau 2 ...... 280,27 € Niveau 3 ...... 326,98 € Niveau 4 ...... 391,56 € Niveau 5 ...... 481,95 € Art. 2. − L’arrêté du 23 mars 2005 fixant les montants de la prime de technicité prévue par le décret du 5 août 1970 modifié fixant le régime particulier des primes accordées à certains personnels techniques de la navigation aérienne est abrogé. Art. 3. − Le directeur général de l’aviation civile est chargé de l’exécution du présent arrêté, qui prend effet au 1er juillet 2005 et sera publié au Journal officiel de la République française. Fait à Paris, le 23 novembre 2005. Le ministre des transports, de l’équipement, du tourisme et de la mer, Pour le ministre et par délégation : Par empêchement du directeur général de l’aviation civile : Le secrétaire général de la direction générale de l’aviation civile, J.-F. GRASSINEAU Le ministre de l’économie, des finances et de l’industrie, Pour le ministre et par délégation : Par empêchement du directeur du budget : Le sous-directeur, . V. BERJOT .

. . 6 décembre 2005 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 25 sur 118

Le ministre de la fonction publique, Pour le ministre et par délégation : Par empêchement du directeur général de l’administration et de la fonction publique : La sous-directrice, A. WAGNER

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TEXTES GÉNÉRAUX

MINISTÈRE DES TRANSPORTS, DE L’ÉQUIPEMENT, DU TOURISME ET DE LA MER

Arrêté du 24 novembre 2005 portant déclassement du domaine public routier national et remise au service des domaines pour aliénation d’une parcelle de terrain

NOR : EQUR0501852A

Par arrêté du ministre des transports, de l’équipement, du tourisme et de la mer en date du 24 novembre 2005, est déclassée du domaine public routier national et remise au service des domaines pour aliénation la parcelle de terrain située sur le territoire de la commune de Voiron (Isère), rue du Carlin, cadastrée section AP no 670, d’une superficie de 648 mètres carrés environ, figurée en couleur jaune sur le plan annexé au présent arrêté.

Nota. – Le plan peut être consulté à la direction départementale de l’équipement de l’Isère, 17, boulevard Joseph-Vallier, BP 45, 38040 Grenoble Cedex 9, ou aux archives centrales du ministère des transports, de l’équipement, du tourisme et de la mer, Arche sud, 92055 La Défense Cedex.

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TEXTES GÉNÉRAUX

MINISTÈRE DES TRANSPORTS, DE L’ÉQUIPEMENT, DU TOURISME ET DE LA MER

Arrêté du 28 novembre 2005 autorisant au titre de l’année 2006 l’ouverture et fixant la date des épreuves écrites des concours pour le recrutement d’officiers de port (capitaines de port de 2e classe)

NOR : EQUP0501763A

Par arrêté du ministre des transports, de l’équipement, du tourisme et de la mer en date du 28 novembre 2005, est autorisée au titre de l’année 2006 l’ouverture de deux concours (externe et interne) pour le recrutement d’officiers de port (capitaines de port de 2e classe). La période d’inscription débutera le jeudi 15 décembre 2005 et se clôturera le lundi 30 janvier 2006. Les dates des épreuves sont fixées aux 22 et 23 mars 2006. Le nombre total des places offertes aux concours fera l’objet d’un arrêté du ministre des transports, de l’équipement, du tourisme et de la mer, qui sera publié au Journal officiel de la République française. La composition du jury fera l’objet d’un arrêté du ministre des transports, de l’équipement, du tourisme et de la mer.

Nota. – Retrait des dossiers : Par téléchargement : Le dossier spécifiquement établi pour ce concours et sa notice explicative sont disponibles à compter du jour d’ouverture des inscriptions (par téléchargement quatre à six semaines avant la date de clôture) : – sur intranet, pour les agents du ministère, à l’adresse : http://intra.dpsm.i2/dossierconcours ; – sur internet, à l’adresse : www.equipement.gouv.fr/recrutement. Aucun dossier n’est envoyé sur demande par courrier électronique ou sur demande téléphonique. Par lettre ou visite : 1. Si vous ne résidez pas à Paris (75) : – à la DDE de votre département de résidence ; – à la DRAM ou à la DDAM de votre département de résidence. 2. Si vous résidez à Paris (75) : – à la direction régionale de l’équipement d’Ile-de-France (DREIF) (bureau de la formation et des concours), 21-23, rue Miollis, 75732 Paris Cedex 15. Pour recevoir un dossier par courrier, joignez impérativement à la demande une enveloppe au format 22,9 × 32,4 cm, libellée à vos nom et adresse et affranchie au tarif en vigueur pour une lettre d’un poids de 200 grammes, en précisant à quel concours vous souhaitez vous inscrire et à quel titre (externe, interne). A défaut, aucun dossier ne sera envoyé. Dépôt des dossiers : Pour tous les candidats, la demande d’inscription sera obligatoirement présentée sur le formulaire spécifiquement établi pour ce concours. La période d’inscription débutera le jeudi 15 décembre 2005 et se clôturera le lundi 30 janvier 2006. Le dossier d’inscription, accompagné des pièces justificatives éventuelles et de trois enveloppes timbrées, devra être confié directement aux services postaux en temps utile pour que l’enveloppe d’expédition, adressée exclusivement au ministère des transports, de l’équipement, du tourisme et de la mer, direction générale du personnel et de l’administration (sous-diretion du recrutement, des concours et de la formation, bureau RCF 2), à l’attention de M. Hauray ou M. Hede, concours « officier de port adjoint », tour Pascal B, 92055 La Défense Cedex, puisse être oblitérée à la date du 30 janvier 2006 au plus tard (le cachet de la poste faisant foi). Tout dossier déposé après cette date ou parvenant au bureau RCF 2 dans une enveloppe portant un cachet de la poste postérieur au 30 janvier 2006 ou parvenant après cette date dans une enveloppe ne portant aucun cachet de la poste sera refusé.

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TEXTES GÉNÉRAUX

MINISTÈRE DES TRANSPORTS, DE L’ÉQUIPEMENT, DU TOURISME ET DE LA MER

Arrêté du 28 novembre 2005 autorisant au titre de l’année 2006 l’ouverture et fixant la date des épreuves écrites du concours externe pour le recrutement d’officiers de port adjoints (lieutenants de port)

NOR : EQUP0501764A

Par arrêté du ministre des transports, de l’équipement, du tourisme et de la mer en date du 28 novembre 2005, est autorisée au titre de l’année 2006 l’ouverture d’un concours externe pour le recrutement d’officiers de port adjoints (lieutenants de port). La période d’inscription débutera le jeudi 15 décembre 2005 et se clôturera le lundi 30 janvier 2006. Les dates des épreuves sont fixées les 20 et 21 mars 2006. Le nombre total des places offertes au concours fera l’objet d’un arrêté du ministre des transports, de l’équipement, du tourisme et de la mer, qui sera publié au Journal officiel de la République française. La composition du jury fera l’objet d’un arrêté du ministre des transports, de l’équipement, du tourisme et de la mer.

Nota. – Retrait des dossiers : Par téléchargement : Le dossier spécifiquement établi pour ce concours et sa notice explicative sont disponibles à compter du jour d’ouverture des inscriptions (par téléchargement quatre à six semaines avant la date de clôture) : – sur intranet, pour les agents du ministère, à l’adresse : http:/intra.dpsm.i2/dossierconcours ; – sur internet, à l’adresse : www.equipement.gouv.fr/recrutement. Aucun dossier n’est envoyé sur demande par courrier électronique ou sur demande téléphonique. Par lettre ou visite : 1. Si vous ne résidez pas à Paris (75) : – à la DDE de votre département de résidence ; – à la DRAM ou à la DDAM de votre département de résidence. 2. Si vous résidez à Paris (75) : – à la direction régionale de l’équipement d’Ile-de-France (DREIF) (bureau de la formation et des concours), 21-23, rue Miollis, 75732 Paris Cedex 15. Pour recevoir un dossier par courrier, joignez impérativement à la demande une enveloppe au format 22,9 × 32,4 cm, libellée à vos nom et adresse et affranchie au tarif en vigueur pour une lettre d’un poids de 200 grammes, en précisant à quel concours vous souhaitez vous inscrire et à quel titre (externe, interne). A défaut, aucun dossier ne sera envoyé. Dépôt des dossiers : Pour tous les candidats, la demande d’inscription sera obligatoirement présentée sur le formulaire spécifiquement établi pour ce concours. La période d’inscription débutera le jeudi 15 décembre 2005 et se clôturera le lundi 30 janvier 2006. Le dossier d’inscription, accompagné des pièces justificatives éventuelles et de trois enveloppes timbrées, devra être confié directement aux services postaux en temps utile pour que l’enveloppe d’expédition adressée exclusivement au ministère des transports, de l’équipement, du tourisme et de la mer, direction générale du personnel et de l’administration (sous-direction du recrutement, des concours et de la formation, bureau RCF 2), à l’attention de MM. Hauray ou Hede, concours « officier de port adjoint », tour Pascal B, 92055 La Défense Cedex, puisse être oblitérée à la date du 30 janvier 2006 au plus tard (le cachet de la poste faisant foi). Tout dossier déposé après cette date ou parvenant au bureau RCF 2 dans une enveloppe portant un cachet de la poste postérieur au 30 janvier 2006 ou parvenant après cette date dans une enveloppe ne portant aucun cachet de la poste sera refusé.

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TEXTES GÉNÉRAUX

MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SOLIDARITÉS

Arrêté du 24 novembre 2005 organisant le versement des sommes visées au 1o de l’article L. 251-6-1 du code de la sécurité sociale au titre de 2004

NOR : SANS0524302A

Le ministre de l’économie, des finances et de l’industrie et le ministre de la santé et des solidarités, Vu les articles L. 135-6, L. 135-7 et L. 251-6-1 du code de la sécurité sociale ; Vu l’avis du conseil d’administration de la Caisse nationale d’assurance vieillesse des travailleurs salariés du 2 novembre 2005 ; Vu l’avis du conseil d’administration de l’Agence centrale des organismes de sécurité sociale en date du 28 octobre 2005,

Arrêtent : Art. 1er.−La Caisse nationale de l’assurance vieillesse des travailleurs salariés verse au fonds de réserve mentionné à l’article L. 135-6 du code de la sécurité sociale la somme de 254 574 282,85 euros. Ces sommes sont représentatives du résultat excédentaire de l’exercice 2004 de chacun des fonds dont elle a la gestion, à l’exception de celui du régime spécial mentionné à l’article L. 715-1 du code de la sécurité sociale. Art. 2. − Le directeur de la sécurité sociale au ministère de la santé et des solidarités et le directeur du budget au ministère de l’économie, des finances et de l’industrie sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au Journal officiel de la République française. Fait à Paris, le 24 novembre 2005. Le ministre de la santé et des solidarités, Pour le ministre et par délégation : Par empêchement du directeur de la sécurité sociale : Le sous-directeur du financement de la sécurité sociale, J.-L. REY Le ministre de l’économie, des finances et de l’industrie, Pour le ministre et par délégation : Par empêchement du directeur du budget : Le sous-directeur, F. CARAYON

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Décrets, arrêtés, circulaires

TEXTES GÉNÉRAUX

MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SOLIDARITÉS

Arrêté du 24 novembre 2005 modifiant la liste des spécialités pharmaceutiques remboursables aux assurés sociaux

NOR : SANS0524276A

Le ministre de la santé et des solidarités, Vu le code de la sécurité sociale ; Vu le code de la santé publique ; Vu les avis de la Commission de la transparence,

Arrête : Art. 1er.−La liste des spécialités pharmaceutiques remboursables aux assurés sociaux est modifiée conformément aux dispositions qui figurent en annexe. Art. 2. − Le directeur général de la santé et le directeur de la sécurité sociale sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié ainsi que son annexe au Journal officiel de la République française. Fait à Paris, le 24 novembre 2005. Pour le ministre et par délégation : Par empêchement du directeur Par empêchement de la sécurité sociale : du directeur général de la santé : L’administrateur civil, La sous-directrice de la politique S. SEILLER des produits de santé, H. SAINTE MARIE

ANNEXE

PREMIÈRE PARTIE

(2 inscriptions) Sont inscrites sur la liste des médicaments remboursables aux assurés sociaux les spécialités suivantes. Les seules indications thérapeutiques ouvrant droit à la prise en charge ou au remboursement par l’assurance maladie sont, pour les spécialités visées ci-dessous, celles qui figurent à l’autorisation de mise sur le marché à la date de publication du présent arrêté :

CODE CIP PRÉSENTATION

365 702-5 APIDRA 100 U/ml (insuline glulisine), solution injectable, 3 ml en stylo prérempli OptiSet (B/5) (laboratoires AVENTIS).

363 668-4 MONOSEPT 0,25 pour mille (0,1 mg/0,4 ml) (bromure de céthexonium), collyre en solution en récipient unidose (B/30) (laboratoires HORUS PHARMA).

DEUXIÈME PARTIE

(Extensions d’indications) I. – Les indications thérapeutiques ouvrant droit à la prise en charge ou au remboursement par l’assurance . maladie pour les spécialités citées ci-après sont désormais : .

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Traitement hormonal substitutif (THS) des symptômes de déficit en estrogènes chez les femmes ménopausées. Climaston 1 mg/5 mg ne doit être utilisé que chez les femmes en ménopause confirmée (plus de 12 mois après les dernières règles spontanées). Prévention de l’ostéoporose postménopausique chez la femme ayant un risque accru de fracture ostéoporotique et présentant une intolérance ou une contre-indication aux autres traitements indiqués dans la prévention de l’ostéoporose. L’expérience de ce traitement chez les femmes âgées de plus de 65 ans est limitée.

CODE CIP PRÉSENTATION

356 603-8 CLIMASTON 1 mg/5 mg (estradiol hémihydraté, dydrogestérone), comprimés pelliculés (B/28) (laboratoires SOLVAY PHARMA).

352 643-5 CLIMASTON 1 mg/10 mg (estradiol hémihydraté, dydrogestérone), comprimés pelliculés (B/28) (laboratoires SOLVAY PHARMA).

343 852-4 CLIMASTON 2 mg/10 mg (estradiol, dydrogestérone), comprimés pelliculés, 14 comprimés roses + 14 comprimés jaunes (B/28) (laboratoires SOLVAY PHARMA).

II. – Les indications thérapeutiques ouvrant droit à la prise en charge ou au remboursement par l’assurance maladie pour les spécialités citées ci-après sont désormais : Traitement symptomatique de la rhinite allergique (incluant la rhinite allergique persistante) et de l’urticaire chronique idiopathique.

CODE CIP PRÉSENTATION

358 502-4 XYZALL 5 mg (dichlorhydrate de lévocétirizine), comprimés pelliculés (B/14) (laboratoires UCB PHARMA).

358 505-3 XYZALL 5 mg (dichlorhydrate de lévocétirizine), comprimés pelliculés (B/28) (laboratoires UCB PHARMA).

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MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SOLIDARITÉS

Arrêté du 24 novembre 2005 modifiant la liste des spécialités pharmaceutiques agréées à l’usage des collectivités et divers services publics

NOR : SANS0524277A

Le ministre de la santé et des solidarités, Vu le code de la sécurité sociale ; Vu le code de la santé publique ; Vu le code général des impôts, notamment l’article 281 octies ; Vu le décret no 82-253 du 16 mars 1982 portant application des articles L. 618 et L. 619 (L. 5123-2 et L. 5123-3) du code de la santé publique ; Vu les avis de la Commission de la transparence,

Arrête : Art. 1er.−La liste des spécialités pharmaceutiques agréées à l’usage des collectivités et divers services publics est modifiée conformément aux dispositions qui figurent en annexe. Art. 2. − Le directeur général de la santé et le directeur de la sécurité sociale sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié ainsi que son annexe au Journal officiel de la République française. Fait à Paris, le 24 novembre 2005. Pour le ministre et par délégation : Par empêchement du directeur Par empêchement de la sécurité sociale : du directeur général de la santé : L’administrateur civil, La sous-directrice S. SEILLER de la politique des produits de santé, H. SAINTE MARIE

ANNEXE

(2 inscriptions) Les spécialités pharmaceutiques suivantes sont inscrites sur la liste des médicaments agréés à l’usage des collectivités et divers services publics :

CODE CIP PRÉSENTATION

365 702-5 APIDRA 100 U/ml (insuline glulisine), solution injectable, 3 ml en stylo prérempli OptiSet (B/5) (laboratoires AVENTIS).

363 668-4 MONOSEPT 0,25 pour mille (0,1 mg/0,4 ml) (bromure de céthexonium), collyre en solution en récipient unidose (B/30) (laboratoires HORUS PHARMA).

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MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SOLIDARITÉS

Arrêté du 29 novembre 2005 désignant l’organisme de recouvrement du régime général habilité à gérer les déclarations et les paiements des particuliers employeurs utilisant le chèque emploi-service universel

NOR : SANS0524368A

Le ministre de la santé et des solidarités, Vu le code du travail, notamment les articles L. 129-5, L. 129-6, D. 129-1 et D. 129-3 ; Vu l’avis du conseil d’administration de l’Agence centrale des organismes de sécurité sociale en date du 21 novembre 2005,

Arrête : Art. 1er.−En application du deuxième alinéa de l’article L. 129-6 du code du travail, l’URSSAF de Saint- Etienne est désignée, sous la dénomination de Centre national du chèque emploi-service universel, pour assurer la gestion des déclarations et des paiements des cotisations et contributions sociales des particuliers employeurs utilisant le chèque emploi-service universel pour rémunérer leurs salariés. Art. 2. − Les missions confiées par le présent arrêté à l’URSSAF de Saint-Etienne s’exercent dans le cadre de la convention établie par l’Agence centrale des organismes de sécurité sociale, prévue par le premier alinéa de l’article D. 129-3 du même code. Art. 3. − Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française. Fait à Paris, le 29 novembre 2005. Pour le ministre et par délégation : Par empêchement du directeur de la sécurité sociale : Le sous-directeur du financement de la sécurité sociale, J.-L. REY

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MINISTÈRE DE L’AGRICULTURE ET DE LA PÊCHE

Arrêté du 15 novembre 2005 modifiant l’arrêté du 13 septembre 1985 portant règlement du pari mutuel

NOR : AGRF0502613A

Le ministre de l’économie, des finances et de l’industrie et le ministre de l’agriculture et de la pêche, Vu la loi du 2 juin 1891 réglementant l’autorisation et le fonctionnement des courses de chevaux, modifiée par l’article 186 de la loi du 16 avril 1930, le décret-loi du 30 octobre 1935 et la loi du 24 mai 1951 ; Vu le décret du 11 juillet 1930 portant extension du pari mutuel hors les hippodromes, modifié par le décret du 12 mai 1948 ; Vu le décret no 97-456 du 5 mai 1997 relatif aux sociétés de courses de chevaux et au pari mutuel, et notamment son article 39, modifié par le décret no 2002-1346 du 12 novembre 2002 ; Vu l’arrêté du 13 septembre 1985 modifié portant règlement du pari mutuel ; Après avis du ministre d’Etat, ministre de l’intérieur et de l’aménagement du territoire ; Sur proposition du groupement d’intérêt économique Pari mutuel urbain,

Arrêtent : Art. 1er.−Après le quatrième alinéa de l’article 15 de l’arrêté du 13 septembre 1985 susvisé, il est ajouté un nouvel alinéa ainsi rédigé : « Tout pari dont le montant est supérieur à un seuil porté à la connaissance des parieurs ne peut être engagé qu’en compte courant, selon les dispositions des articles 100 à 107 et 109 à 111, aux guichets des hippodromes connectés au système central du Pari mutuel urbain fonctionnant en temps réel ou dans les agences du Pari mutuel urbain. » Art. 2. − Le nouveau sixième alinéa de l’article 15 de l’arrêté du 13 septembre 1985 susvisé est modifié ainsi qu’il suit : « Les paris enregistrés au Pari mutuel urbain par téléphone, par Minitel, par terminal numérique et par terminal mobile ainsi que par l’internet ne donnent pas lieu à la remise d’un récépissé. » Art. 3. − L’article 20, paragraphe 2 (a), de l’arrêté du 13 septembre 1985 susvisé est modifié ainsi qu’il suit : « 2. Paris enregistrés au Pari mutuel urbain : a) Les paris enregistrés par téléphone ou par Minitel, par terminal numérique et par terminal mobile ainsi que par internet sont automatiquement crédités au compte du parieur. » Art. 4. − L’article 99-1 de l’arrêté du 13 septembre 1985 susvisé est remplacé par les dispositions suivantes : « Art. 99-1. − Paris à distance. Les paris peuvent être enregistrés par téléphone, par Minitel ou par terminal numérique, selon les dispositions des articles 100 à 107, et par terminal mobile ou par internet selon les dispositions des articles 109 à 111. » Art. 5. − Le titre du chapitre VI « Paris par internet » et le premier alinéa de l’article 109 de l’arrêté du 13 septembre 1985 susvisé sont modifiés ainsi qu’il suit :

«CHAPITRE VI « Paris par internet et par terminal mobile « Art. 109. − Les paris par internet ou par terminal mobile sur le site de prises de paris du Pari mutuel . urbain ne peuvent être enregistrés qu’en compte courant. » .

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Art. 6. − Le troisième alinéa de l’article 109-2 de l’arrêté du 13 septembre 1985 susvisé est modifié ainsi qu’il suit : « Le compte est considéré comme ouvert pour une durée déterminée, portée à la connaissance des parieurs, dans l’attente de la réception par le Pari mutuel urbain de l’imprimé spécial d’ouverture de compte, accompagné de l’ensemble des documents s’y rapportant et, lorsque le parieur a fait un versement initial, par télépaiement, exclusivement par carte de paiement, à titre de provision, dont les montants minimum et maximum sont portés à sa connaissance par un message sur l’écran lors de sa demande d’ouverture de compte. » Art. 7. − Après le troisième alinéa de l’article 109-2 de l’arrêté du 13 septembre 1985 susvisé, il est ajouté un nouvel alinéa ainsi rédigé : « Dans l’attente de l’ouverture définitive du compte courant, intervenant postérieurement à la réception par le Pari mutuel urbain de l’imprimé spécial d’ouverture et des documents visés par cet imprimé, aucun versement complémentaire ne sera porté au crédit de son compte. » Art. 8. − L’article 109-4 de l’arrêté du 13 septembre 1985 susvisé est modifié ainsi qu’il suit : « Les ordres transmis par le parieur par internet ou par terminal mobile sont reçus tous les jours. Les horaires d’ouverture et de clôture des opérations ainsi que les paris et les formules acceptés par internet ou par terminal mobile sont portés à la connaissance des parieurs, entre autres, par un message sur l’écran. » Art. 9. − Le premier alinéa de l’article 110 de l’arrêté du 13 septembre 1985 susvisé est modifié ainsi qu’il suit : « Après s’être connecté sur le site de prise de paris du Pari mutuel urbain, le parieur doit s’authentifier, préalablement à toutes opérations sur son compte courant, selon les procédures indiquées sur son écran de réception. » Art. 10. − Le directeur général de la forêt et des affaires rurales est chargé de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au Journal officiel de la République française. Fait à Paris, le 15 novembre 2005. Le ministre de l’agriculture et de la pêche, Pour le ministre et par délégation : Par empêchement du directeur général de la forêt et des affaires rurales : L’administrateur civil, C. SODORE Le ministre de l’économie, des finances et de l’industrie, Pour le ministre et par délégation : Par empêchement du directeur du budget : Le sous-directeur, J. DUBERTRET

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TEXTES GÉNÉRAUX

MINISTÈRE DE L’AGRICULTURE ET DE LA PÊCHE

Arrêté du 29 novembre 2005 autorisant au titre de l’année 2006 l’ouverture de concours pour le recrutement d’ingénieurs-élèves du génie rural, des eaux et des forêts

NOR : AGRS0502540A

Par arrêté du ministre de l’agriculture et de la pêche en date du 29 novembre 2005, est autorisée au titre de l’année 2006 l’ouverture de concours pour le recrutement d’ingénieurs-élèves du génie rural, des eaux et des forêts.

Concours ouvert en 2006 aux élèves de l’Institut national agronomique Paris-Grignon Au titre de l’année 2006, le concours prévu au 3 de l’article 6 du décret no 2002-261 du 22 février 2002 comportera une épreuve écrite d’admissibilité d’une durée de 4 heures qui aura lieu le mercredi 1er février 2006 à l’ENGREF (Ecole nationale du génie rural, des eaux et des forêts), centre de Paris. Cette épreuve s’adresse aux élèves de l’Institut national agronomique Paris-Grignon titulaires d’un diplôme d’agronomie générale, admis en 3e année et préparant le diplôme d’ingénieur d’agronomie approfondie. Les entretiens d’admission se dérouleront les mercredi 8 et jeudi 9 mars 2006 à l’ENGREF, centre de Paris. La date de clôture des inscriptions est fixée au 3 janvier 2006 (le cachet de la poste faisant foi).

Concours ouvert en 2006 aux élèves des écoles nationales supérieures agronomiques autres que l’INA P-G, de l’Ecole nationale supérieure des industries agricoles et alimentaires, de l’Ecole nationale supérieure de l’horticulture et de l’aménagement du paysage et des écoles nationales vétérinaires Au titre de l’année 2006, le concours prévu au 4 de l’article 6 du décret no 2002-261 du 22 février 2002 comportera une épreuve écrite d’admissibilité d’une durée de 4 heures qui aura lieu le mercredi 1er février 2006 à l’ENGREF, centre de Paris. Cette épreuve s’adresse aux élèves : – des écoles supérieures agronomiques, de l’Ecole nationale supérieure des industries agricoles et alimentaires, de l’Ecole nationale supérieure d’horticulture et de l’aménagement du paysage qui, titulaires du diplôme sanctionnant la 2e année de scolarité de ces écoles, ont été admis en 3e année et préparent le diplôme sanctionnant celle-ci ; – des écoles nationales vétérinaires qui, admis en dernière année du 2e cycle d’études de ces écoles, préparent le diplôme d’études fondamentales vétérinaires. Les entretiens d’admission se dérouleront les mercredi 22 et jeudi 23 mars 2006 à l’ENGREF, centre de Paris. La date de clôture des inscriptions est fixée au 3 janvier 2006 (le cachet de la poste faisant foi).

Concours ouvert en 2006 aux élèves des sections scientifiques des écoles normales supérieures Au titre de l’année 2006, le concours prévu au 2 de l’article 6 du décret no 2002-261 du 22 février 2002 comportera une épreuve orale d’admission qui aura lieu les mardi 25 et mercredi 26 avril 2006 à l’ENGREF, centre de Paris. Cette épreuve s’adresse aux élèves des sections scientifiques des écoles normales supérieures qui, admis en 3e année de scolarité, préparent le diplôme sanctionnant celle-ci. La date de clôture des inscriptions est fixée au 24 février 2006 (le cachet de la poste faisant foi).

Concours ouvert en 2006 aux fonctionnaires des corps d’ingénieurs des travaux des eaux et forêts, d’ingénieurs des travaux ruraux, d’ingénieurs des travaux agricoles, d’ingénieurs de recherche du ministère de l’agriculture et de la pêche, d’ingénieurs de recherche du Centre national du machinisme agricole, du génie rural, des eaux et des forêts ainsi qu’à des fonctionnaires du corps des professeurs agrégés en . fonction au ministère de l’agriculture ou dans les établissements publics d’enseignement agricole .

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Au titre de l’année 2006, le concours prévu au 5 de l’article 6 du décret no 2002-261 du 22 février 2002 comportera une épreuve écrite d’admissibilité d’une durée de 4 heures qui aura lieu le jeudi 16 mars 2006 à l’ENGREF, centre de Paris. Les entretiens d’admission se dérouleront les mercredi 23 et jeudi 24 mai 2006 à l’ENGREF, centre de Paris. La date de clôture des inscriptions est fixée au 16 février 2006 (le cachet de la poste faisant foi). Un arrêté sera pris ultérieurement pour fixer la composition du jury ainsi que pour fixer le nombre total de places offertes aux concours externe et interne.

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MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

Arrêté du 30 septembre 2005 modifiant l’arrêté du 28 juillet 2005 relatif à la vérification et à la quantification des émissions déclarées dans le cadre du système d’échange de quotas d’émission de gaz à effet de serre

NOR : DEVP0540388A

La ministre de l’écologie et du développement durable, Vu la directive 2003/87/CE du Parlement européen et du Conseil du 13 octobre 2003 établissant un système d’échange de quotas d’émission de gaz à effet de serre dans la Communauté et modifiant la directive 96/61/CE du Conseil ; Vu la décision no 2004/156/CE du 29 janvier 2004 de la Commission approuvant les lignes directrices pour la surveillance et la déclaration des émissions de gaz à effet de serre en application de la directive 2003/87/CE ; Vu le code de l’environnement, notamment ses articles L. 229-5 à L. 229-19 ; Vu le décret no 2004-832 du 19 août 2004 modifié pris pour l’application des articles L. 229-5 à L. 229-19 du code de l’environnement et relatif au système d’échange de quotas d’émission de gaz à effet de serre ; Vu le document « EA-6/03 » contenant les orientations du Bureau européen d’accréditation pour la reconnaissance des organismes de vérification dans le cadre de la directive 2003/87/CE relative au système d’échange de quotas d’émission dans l’Union européenne ; Vu l’arrêté du 25 février 2005 modifié fixant la liste des exploitants auxquels sont affectés des quotas d’émission de gaz à effet de serre et le montant des quotas affectés ; Vu l’arrêté du 28 juillet 2005 relatif à la vérification et à la quantification des émissions déclarées dans le cadre du système d’échange de quotas d’émission de gaz à effet de serre ; Vu l’avis du Conseil supérieur des installations classées en date du 21 juin 2005 ; Sur proposition du directeur de la prévention des pollutions et des risques,

Arrête : Art. 1er.−Au V de l’article 12 de l’arrêté du 28 juillet 2005 susvisé, les mots : « pour les émissions de cette année » sont remplacés par les mots : « effectuée cette année pour les émissions de l’année précédente ». Art. 2. − Au 2 de l’annexe III de l’arrêté du 28 juillet 2005 susvisé, la formule :

CC = [Combustible entrant] – [Combustible sortant] – [⌬stock]

CC : consommation de combustible au cours de la période de déclaration (N). Combustible entrant : quantité de combustible entré en stock au cours de la période de déclaration. Combustible sortant : quantité de combustible utilisé à d’autres fins (transport ou revente). ⌬stock : stock de combustible au 31/12/N – stock de combustible au 31/12/(N – 1).

est remplacée par la formule :

Emissions de CO2 (tco2)=CC×PCI*×FE×FO * Pour le gaz naturel, on utilisera le PCS.

CC : quantité de combustible consommé au cours de la période de déclaration (t ou m3). PCI : pouvoir calorifique inférieur du combustible (TJ/t ou TJ/m3). PCS : pouvoir calorifique supérieur du combustible (MW.h/m3).

FE : facteur d’émission du combustible (tco2/TJ PCI ou tco2/MW.h PCS pour le gaz naturel). . FO : facteur d’oxydation du combustible. .

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Art. 3. − Le directeur de la prévention des pollutions et des risques est chargé de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au Journal officiel de la République française. Fait à Paris, le 30 septembre 2005. Pour la ministre et par délégation : Le directeur de la prévention des pollutions et des risques, délégué aux risques majeurs, T. TROUVÉ

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MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

Arrêté du 14 octobre 2005 fixant la liste des tortues marines protégées sur le territoire national et les modalités de leur protection

NOR : DEVN0540395A

Le ministre de l’agriculture et de la pêche, le ministre de la culture et de la communication, la ministre de l’écologie et du développement durable et le ministre des petites et moyennes entreprises, du commerce, de l’artisanat et des professions libérales, Vu la directive du Conseil 92/43/CEE du 21 mai 1992 concernant la conservation des habitats naturels ainsi que de la faune et de la flore sauvages ; Vu le règlement (CE) no 338/97 du Conseil du 9 décembre 1996 relatif à la protection des espèces de faune et de flore sauvages par le contrôle de leur commerce ; Vu le code de l’environnement, notamment ses articles L. 411-1 à L. 412-1 et R. 411-1 à R. 412-7 ; Vu le décret no 78-959 du 30 août 1978 modifié portant publication de la convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d’extinction ; Vu l’arrêté du 30 juin 1998 fixant les modalités d’application de la convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d’extinction et des règlements (CE) no 338/97 du Conseil européen et (CE) no 939/97 de la Commission européenne ; Vu l’avis du Conseil national de la protection de la nature en date du 27 octobre 2004,

Arrêtent : Art. 1er.−Le présent arrêté s’applique aux espèces de tortues marines suivantes : Tortue luth (Dermochelys coriacea) ; Tortue caouanne (Caretta caretta) ; Tortue olivâtre (Lepidochelys olivacea) ; Tortue de Kemp (Lepidochelys kempii) ; Tortue imbriquée (Eretmochelys imbricata) ; Tortue verte (Chelonia mydas). Art. 2. − On entend par spécimen tout œuf de tortue et toute tortue, vivants ou morts, ainsi que toute partie ou tout produit obtenu à partir de l’œuf ou de la tortue. Est réputé prélevé dans le milieu naturel tout spécimen dont le détenteur ne peut justifier qu’il est issu d’un élevage dont le cheptel a été constitué conformément à la réglementation en vigueur au moment de l’acquisition des animaux. Art. 3. − I. – Sont interdits, sur tout le territoire national et en tout temps : – la destruction, l’altération ou la dégradation du milieu particulier des tortues marines ; – la destruction ou l’enlèvement des œufs et des nids ; – la destruction, la mutilation, la capture ou l’enlèvement, la perturbation intentionnelle des tortues marines. II. – Sont interdits, sur tout le territoire national et en tout temps, la détention, le transport, la naturalisation, le colportage, la mise en vente, la vente ou l’achat, l’utilisation, commerciale ou non, des spécimens de tortues marines prélevés : – dans le milieu naturel du territoire métropolitain de la France ou du département de la Guyane, après le 17 août 1991 ; – dans le milieu naturel du département de la Guadeloupe, après le 19 novembre 1991 ; – dans le milieu naturel du département de la Martinique, après le 26 mars 1993 ; . – dans le milieu naturel du reste du territoire national, après le 7 décembre 2000 ; .

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– dans le milieu naturel du territoire européen des autres Etats membres de l’Union européenne, après la date d’entrée en vigueur de la directive du 21 mai 1992 susvisée. Art. 4. − A condition qu’il n’existe pas une autre solution satisfaisante et que la mesure ne nuise pas au maintien, dans un état de conservation favorable, des populations des espèces concernées dans leur aire de répartition naturelle, l’autorité administrative compétente peut délivrer, en application des articles L. 411-1 et L. 411-2 du code de l’environnement et selon la procédure définie par arrêté du ministre chargé de la protection de la nature, des autorisations exceptionnelles par dérogation aux interdictions fixées à l’article 3 pour les motifs ci-après : a) Dans l’intérêt de la protection de la faune et de la flore sauvages et de la conservation des habitats naturels ; b) Dans l’intérêt de la santé et de la sécurité publiques ; c) A des fins de recherche et d’éducation, de repeuplement et de réintroduction de ces espèces et pour des opérations de reproduction nécessaires à ces fins ainsi que pour l’élevage se rapportant à ces actions. Ces autorisations ne dispensent pas de la délivrance des documents prévus par le règlement (CE) no 338/97 susvisé pour le transport et l’utilisation de certains spécimens de tortues marines. Art. 5. − Sont soumis à autorisation préalable en application de l’article L. 412-1 du code de l’environnement, sur tout le territoire national et en tout temps, la vente, l’achat, le prêt avec contrepartie, l’échange ou l’utilisation à des fins commerciales des spécimens de tortues marines relevant de l’annexe A du règlement (CE) no 338/97 susvisé, autres que ceux prélevés : – dans le milieu naturel du territoire métropolitain de la France ou du département de la Guyane, après le 17 août 1991 ; – dans le milieu naturel du département de la Guadeloupe, après le 19 novembre 1991 ; – dans le milieu naturel du département de la Martinique, après le 26 mars 1993 ; – dans le milieu naturel du reste du territoire national, après le 7 décembre 2000 ; – dans le milieu naturel du territoire européen des autres Etats membres de l’Union européenne, après la date d’entrée en vigueur de la directive du 21 mai 1992 susvisée. L’autorisation prend la forme des documents délivrés pour l’application du règlement (CE) no 338/97 susvisé. Elle est délivrée par le préfet du département du domicile de la personne physique ou morale demanderesse. Pour les spécimens provenant d’un autre Etat membre de l’Union européenne, l’autorisation délivrée par l’autorité compétente de cet Etat membre vaut autorisation pour l’application du présent article. Art. 6. − Par dérogation aux dispositions de l’article 5, ne sont pas soumis à autorisation, sur tout le territoire national, la vente, l’achat, le prêt avec contrepartie, l’échange ou l’utilisation à des fins commerciales des spécimens datant d’avant le 1er juin 1947, dès lors que leur état brut naturel a été largement modifié pour en faire des bijoux, objets décoratifs, artistiques ou utilitaires, ou des instruments de musique, qu’ils peuvent être utilisés sans être sculptés, ouvragés ou transformés davantage et que la facture ou l’attestation de cession mentionne leur ancienneté. Art. 7. − Est soumis à autorisation préalable en application de l’article L. 412-1 du code de l’environnement, en tout temps et sur tout le territoire national, le transport des spécimens vivants de tortues marines autres que ceux prélevés : – dans le milieu naturel du territoire métropolitain de la France ou du département de la Guyane, après le 17 août 1991 ; – dans le milieu naturel du département de la Guadeloupe, après le 19 novembre 1991 ; – dans le milieu naturel du département de la Martinique, après le 26 mars 1993 ; – dans le milieu naturel du reste du territoire national, après le 7 décembre 2000 ; – dans le milieu naturel du territoire européen des autres Etats membres de l’Union européenne, après la date d’entrée en vigueur de la directive du 21 mai 1992 susvisée. L’autorisation prend la forme des documents délivrés pour l’application du règlement (CE) no 338/97 susvisé. Elle est délivrée par le préfet du département de provenance du spécimen. Pour les spécimens provenant d’un autre Etat membre de l’Union européenne, l’autorisation délivrée par l’autorité compétente de cet Etat membre vaut autorisation pour l’application du présent article. Art. 8. − Sont soumises à autorisation du préfet du département du siège social de l’entreprise, en France métropolitaine et dans le département de la Réunion, la détention et l’utilisation, par les fabricants ou les restaurateurs d’objets qui en sont composés, des spécimens : – de l’espèce Eretmochelys imbricata issus des stocks d’écaille déclarés au ministère de l’environnement avant le 1er octobre 1993 ; – de l’espèce Chelonia mydas issus des stocks d’écaille déclarés au préfet du département du lieu de . détention avant le 31 décembre 2001 ; .

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– des espèces Eretmochelys imbricata et Chelonia mydas acquis conformément aux dispositions du règlement (CE) no 338/97 du Conseil du 9 décembre 1996 susvisé. Art. 9. − L’autorisation prévue à l’article 8 est individuelle et incessible. Elle est valable cinq ans et peut être renouvelée à la demande du bénéficiaire. Elle est subordonnée à la tenue à jour par le titulaire d’un registre d’entrées et sorties des spécimens. Elle peut être retirée à tout moment conformément aux dispositions de l’article R. 412-3 du code de l’environnement. L’autorisation prévue à l’article 8 permet : – la cession et l’acquisition de stocks d’écaille ou de produits semi-finis entre professionnels titulaires d’une autorisation, sous couvert d’une facture comportant les références de l’autorisation du cédant ; – la vente sur le territoire national d’objets finis fabriqués en France à l’aide des stocks d’écaille mentionnés à l’article 8, dès lors que ces objets sont estampillés du poinçon ou de la marque propre au bénéficiaire de l’autorisation, sous couvert d’une facture comportant les références de l’autorisation du cédant ; – le commerce de prestations de restauration d’objets à l’aide des stocks d’écaille mentionnés à l’article 8, sous couvert d’une facture comportant les références de l’autorisation du restaurateur. Le dossier de demande de l’autorisation prévue à l’article 8 comporte : – le nom du demandeur et son adresse ; – ses références professionnelles ; – le nom et les coordonnées de son entreprise ; – une description de la nature de ses activités ; – un engagement écrit de se soumettre au contrôle des agents de l’administration désignés à l’article L. 415-1 du code de l’environnement ; – une description précise de la marque ou du poinçon spécifique apposé sur les objets fabriqués. Art. 10. − Les dispositions du présent arrêté ne dispensent pas des autorisations requises pour le franchissement des frontières à destination ou en provenance d’un Etat ou d’un territoire non membre de l’Union européenne, notamment en ce qui concerne l’article 7. Art. 11. − Les arrêtés du 17 juillet 1991 fixant la liste des tortues marines protégées dans le département de la Guyane, du 2 octobre 1991 fixant la liste des tortues marines protégées dans le département de la Guadeloupe, du 16 mars 1993 fixant la liste des tortues marines protégées dans le département de la Martinique et du 9 novembre 2000 fixant la liste des tortues marines protégées sur le territoire national sont abrogés. Art. 12. − Le directeur des pêches maritimes et de l’aquaculture, la directrice des musées de France, le directeur de la nature et des paysages et le directeur du commerce, de l’artisanat, des services et des professions libérales sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au Journal officiel de la République française. Fait à Paris, le 14 octobre 2005. La ministre de l’écologie et du développement durable, Pour la ministre et par délégation : Le directeur de la nature et des paysages, J.-M. MICHEL Le ministre de l’agriculture et de la pêche, Pour le ministre et par délégation : Le directeur des pêches maritimes et de l’aquaculture, D. CAZÉ Le ministre de la culture et de la communication, Pour le ministre et par délégation : La directrice des musées de France, F. MARIANI-DUCRAY Le ministre des petites et moyennes entreprises, du commerce, de l’artisanat et des professions libérales, Pour le ministre et par délégation : Le directeur du commerce, de l’artisanat, des services et des professions libérales, . J.-C. MARTIN .

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Décrets, arrêtés, circulaires

TEXTES GÉNÉRAUX

MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

Arrêté du 15 novembre 2005 relatif aux justificatifs à apporter pour les demandes d’affectation et de conservation de quotas d’émission de gaz à effet de serre en cas d’installation nouvelle, d’installation modifiée ou de transfert d’activité

NOR : DEVP0540437A

La ministre de l’écologie et du développement durable, Vu la directive 2003/87/CE du Parlement européen et du Conseil du 13 octobre 2003 établissant un système d’échange de quotas d’émission de gaz à effet de serre dans la Communauté et modifiant la directive 96/61/CE du Conseil ; Vu le code de l’environnement, notamment ses articles L. 229-5 à L. 229-19 ; Vu le décret no 77-1133 du 21 septembre 1977 modifié pris pour l’application de la loi no 76-663 du 19 juillet 1976 relative aux installations classées pour la protection de l’environnement ; Vu le décret no 2004-832 du 19 août 2004, modifié par le décret no 2005-189 du 25 février 2005, pris pour l’application des articles L. 229-5 à L. 229-19 du code de l’environnement et relatif au système d’échange de quotas d’émission de gaz à effet de serre ; Vu le décret no 2005-190 du 25 février 2005 approuvant le plan national d’affectation de quotas d’émission pour la période 2005-2007 ; Vu l’arrêté du 25 février 2005 fixant la liste des exploitants auxquels sont affectés des quotas d’émission de gaz à effet de serre et le montant des quotas affectés ; Vu l’avis du Conseil supérieur des installations classées en date du 18 octobre 2005 ; Sur proposition du directeur de la prévention des pollutions et des risques,

Arrête : Art. 1er.−I. – Conformément au III de l’article 4 du décret du 19 août 2004 susvisé, l’exploitant doit apporter, à l’appui d’une demande d’affectation de quotas, les justificatifs suivants : – le montant de l’émission spécifique attendue de l’installation nouvelle ou de l’installation modifiée, avec les éléments de calcul de ce montant exprimé en kilogrammes de dioxyde de carbone par unité de quantité produite ; – des informations sur les caractéristiques techniques de la nouvelle installation ou de l’installation modifiée, ainsi que, sauf impossibilité justifiée, plusieurs exemples d’installations récentes ayant les mêmes caractéristiques, avec des données sur l’émission de gaz carbonique par unité produite de ces installations ; – les prévisions de production de l’installation nouvelle ou de l’installation modifiée entre la mise en service effective de celle-ci et le 31 décembre de la dernière année de la période d’échange ; – la date de mise en service ainsi que la durée annuelle de fonctionnement de l’installation nouvelle ou de l’extension d’installation. II. – Conformément au III de l’article 5 du décret du 19 août 2004 précité, l’exploitant doit fournir à l’appui d’une demande de conservation de quotas liée à un transfert d’activité les justificatifs suivants : – la notification de l’arrêt définitif de l’installation en application de l’article 34-1 du décret du 21 septembre 1977 ou, lorsque cette pièce n’est pas disponible, des éléments de preuve de cet arrêt attestés par le représentant légal de l’exploitant ; – la date de la reprise effective de l’activité transférée par la ou les autres installations ; – la quantité de production transférée dans chacune des installations où cette production est transférée ;

– le volume de CO2 émis pour la quantité de production transférée de l’installation fermée ; – les coordonnées et les caractéristiques techniques de la ou des installations reprenant l’activité ; – des éléments d’analyse sur les émissions de la ou des installations reprenant l’activité. Art. 2. − Dans les deux cas cités à l’article 1er, l’exploitant adresse une demande écrite au préfet, après que . celui-ci lui ait notifié le nouvel arrêté préfectoral d’autorisation, en cas d’installation nouvelle, ou l’arrêté .

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modificatif, en cas d’extension de l’installation. Cette demande est accompagnée des justificatifs prévus à l’article 1er. Le préfet examine le caractère complet des justificatifs et le bien-fondé des demandes. Si la demande est complète, il la transmet au ministre chargé de l’environnement, accompagnée de son avis. Pour les cas prévus aux I et II de l’article 4 du décret du 19 août 2004 précité, le ministre chargé de l’environnement, s’il considère la demande de l’exploitant justifiée, affecte par arrêté à celui-ci le montant de quotas pour le restant de la période de référence et en fixe la répartition annuelle. Dans le cas prévu au III de l’article 5 du décret du 19 août 2004 précité, le ministre chargé de l’environnement, s’il considère la demande de l’exploitant justifiée, autorise celui-ci, par arrêté, à conserver le bénéfice des quotas affectés au titre de l’installation mise à l’arrêt, au prorata du volume d’émission de gaz à effet de serre correspondant à l’activité effectivement déplacée. L’arrêté fixe, pour le restant de la période de référence, le montant d’allocation ainsi que sa répartition annuelle. Art. 3. − Le directeur de la prévention des pollutions et des risques est chargé de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au Journal officiel de la République française. Fait à Paris, le 15 novembre 2005. Pour la ministre et par délégation : Le directeur de la prévention des pollutions et des risques, délégué aux risques majeurs, T. TROUVÉ

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TEXTES GÉNÉRAUX

MINISTÈRE DES PETITES ET MOYENNES ENTREPRISES, DU COMMERCE, DE L’ARTISANAT ET DES PROFESSIONS LIBÉRALES

Arrêté du 24 novembre 2005 autorisant la chambre de commerce et d’industrie de Nice-Côte d’Azur à recourir à l’emprunt

NOR : PMEA0520094A

Le ministre des petites et moyennes entreprises, du commerce, de l’artisanat et des professions libérales, Vu le code de commerce ; Vu la loi du 9 avril 1898 modifiée relative aux chambres de commerce et d’industrie, notamment ses articles 22 à 26 ; Vu la loi no 2005-882 du 2 août 2005 en faveur des petites et moyennes entreprises ; Vu la délibération de la chambre de commerce et d’industrie de Nice-Côte d’Azur en date du 25 octobre 2004 ; Vu l’avis du préfet des Alpes-Maritimes en date du 27 octobre 2005,

Arrête : Art. 1er.−La chambre de commerce et d’industrie de Nice-Côte d’Azur est autorisée à contracter un emprunt d’un montant total de 2 170 000 €, dont l’objet est le programme d’investissement 2005 du service général de la chambre de commerce et d’industrie de Nice-Côte d’Azur. L’amortissement de cet emprunt, qui pourra être remboursé par anticipation, s’effectuera dans un délai maximum de dix ans pour un montant de 500 000 € et de quinze ans pour un montant de 1 670 000 €. Le service d’intérêt et d’amortissement de cet emprunt sera couvert par les ressources de la taxe additionnelle à la taxe professionnelle. Art. 2. − Le directeur du commerce, de l’artisanat, des services et des professions libérales est chargé de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au Journal officiel de la République française. Fait à Paris, le 24 novembre 2005. Pour le ministre et par délégation : Le directeur du commerce, de l’artisanat, des services et des professions libérales, J.-C. MARTIN

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Décrets, arrêtés, circulaires

TEXTES GÉNÉRAUX

MINISTÈRE DES PETITES ET MOYENNES ENTREPRISES, DU COMMERCE, DE L’ARTISANAT ET DES PROFESSIONS LIBÉRALES

Arrêté du 24 novembre 2005 autorisant la chambre de commerce et d’industrie de Perpignan et des Pyrénées-Orientales à recourir à l’emprunt

NOR : PMEA0520098A

Le ministre des petites et moyennes entreprises, du commerce, de l’artisanat et des professions libérales, Vu le code de commerce ; Vu la loi du 9 avril 1898 relative aux chambres de commerce et d’industrie, notamment ses articles 22 à 26 ; Vu la délibération de la chambre de commerce et d’industrie de Perpignan et des Pyrénées-Orientales en date du 2 mars 2005 ; Vu l’avis du préfet du département des Pyrénées-Orientales en date du 7 juillet 2005 ; Vu l’avis de la direction générale de l’aviation civile en date du 26 juillet 2005,

Arrête : Art. 1er.−La chambre de commerce et d’industrie de Perpignan et des Pyrénées-Orientales est autorisée à contracter un emprunt d’un montant total de 96 000 € pour financer des travaux de réfection et d’aménagement concernant l’aéroport de Perpignan- Rivesaltes. L’amortissement de cet emprunt, qui pourra être remboursé par anticipation, s’effectuera dans un délai maximal de dix ans. Le service d’intérêt et d’amortissement de cet emprunt sera couvert au moyen du produit de recettes d’exploitation du service géré. Art. 2. − Le directeur du commerce, de l’artisanat, des services et des professions libérales est chargé de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au Journal officiel de la République française. Fait à Paris, le 24 novembre 2005. Pour le ministre et par délégation : Le directeur du commerce, de l’artisanat, des services et des professions libérales, J.-C. MARTIN

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MESURES NOMINATIVES

MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR ET DE L’AMÉNAGEMENT DU TERRITOIRE

COLLECTIVITÉS TERRITORIALES

Arrêté du 21 novembre 2005 portant nomination au conseil d’administration de l’Etablissement public chargé de l’aménagement du secteur IV de Marne-la-Vallée

NOR : MCTB0500009A

Par arrêté du ministre délégué aux collectivités territoriales en date du 21 novembre 2005, sont nommés en qualité de représentants de l’Etat au conseil d’administration de l’Etablissement public chargé de l’aménagement du secteur IV de Marne-la-Vallée, pour une durée de trois ans : M. Michel Jeanjean, sous-préfet de Torcy (en tant que membre titulaire), et M. Dominique Gaffet, secrétaire général de la sous-préfecture de Torcy (en tant que membre suppléant).

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MESURES NOMINATIVES

MINISTÈRE DE LA DÉFENSE

Arrêté du 18 novembre 2005 portant maintien dans son emploi d’une officière recrutée au titre de l’article 29 du statut général des militaires

NOR : DEFK0501571A

Par arrêté de la ministre de la défense en date du 18 novembre 2005, Mme Quinquenel (Marie-Line), épouse Chevallier, est maintenue au grade de médecin principal en qualité d’officière recrutée au titre de l’article 29 du statut général des militaires pour occuper un emploi de médecin praticien spécialisé en pneumologie, pour une durée de deux ans, à compter du 1er décembre 2005. L’intéressée demeure rattachée au corps des médecins des armées.

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MESURES NOMINATIVES

MINISTÈRE DES AFFAIRES ÉTRANGÈRES

Arrêté du 14 novembre 2005 portant nomination au cabinet du ministre

NOR : MAEC0500058A

Le ministre des affaires étrangères, Vu le décret no 48-1233 du 28 juillet 1948 modifié portant règlement d’administration publique en ce qui concerne les cabinets ministériels ; Vu le décret du 31 mai 2005 portant nomination du Premier ministre ; Vu le décret du 2 juin 2005 relatif à la composition du Gouvernement,

Arrête : Art. 1er.−M. François-Xavier Carrel-Billiard, conseiller des affaires étrangères, est nommé conseiller au cabinet. Art. 2. − Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française. Fait à Paris, le 14 novembre 2005. PHILIPPE DOUSTE-BLAZY

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MESURES NOMINATIVES

MINISTÈRE DES AFFAIRES ÉTRANGÈRES

COOPÉRATION, DÉVELOPPEMENT ET FRANCOPHONIE

Arrêté du 1er décembre 2005 portant nomination à la commission du volontariat de solidarité internationale

NOR : COPC0500020A

La ministre déléguée à la coopération, au développement et à la francophonie, Vu la loi no 2005-159 du 23 février 2005 relative au contrat de volontariat de solidarité internationale ; Vu le décret no 2005-600 du 27 mai 2005 pris pour l’application de la loi no 2005-159 du 23 février 2005 relative au contrat de volontariat de solidarité internationale, notamment son article 1er ; Vu la proposition du ministre d’Etat, ministre de l’intérieur et de l’aménagement du territoire, en date du 24 novembre 2005 ; Vu la proposition du ministre de l’emploi, de la cohésion sociale et du logement en date du 28 novembre 2005 ; Vu la proposition du ministre de la santé et des solidarités en date du 29 septembre 2005 ; Vu la proposition du ministre de la jeunesse, des sports et de la vie associative en date du 8 septembre 2005,

Arrête : Art. 1er.−Sont nommés membres de la commission du volontariat de solidarité internationale en application de l’article 1er du décret du 27 mai 2005 susvisé : 1. Au titre des représentants de l’Etat : Représentants du ministre des affaires étrangères : – le chef de la mission pour la coopération non gouvernementale, président, et le chef du bureau des affaires générales et du volontariat associatif, titulaires ; – l’adjoint au chef de la mission pour la coopération non gouvernementale et l’adjoint au chef du bureau des affaires générales et du volontariat associatif, suppléants. Représentants du ministre d’Etat, ministre de l’intérieur et de l’aménagement du territoire : – le chef de la section analyse et prospective à la direction des renseignements généraux, titulaire, et l’adjoint au chef de la section analyse et prospective à la direction des renseignements généraux, suppléant. Représentants du ministre chargé de la vie associative : – le délégué interministériel à l’innovation et à l’économie sociale, titulaire, et le sous-directeur de l’éducation populaire et de la vie associative, adjoint du directeur de la jeunesse, de l’éducation populaire et de la vie associative, suppléant. Représentants du ministre chargé de la protection sociale : – le chef de la division des affaires communautaires et internationales de la direction de la sécurité sociale, titulaire, et l’adjoint au chef de la division des affaires communautaires et internationales de la direction de la sécurité sociale, suppléant. Représentants du ministre chargé du travail : – le délégué aux affaires européennes et internationales, titulaire, et le directeur de la population et des migrations, suppléant. 2. Au titre des représentants des associations, sur proposition des associations agréées en application de . l’article 9 de la loi du 23 février 2005 susvisée : .

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Mme Virginie Lequien, chargée du volontariat à la Guilde européenne du raid (GER), sur proposition de M. Patrick Edel, délégué général de la Guilde européenne du raid et président de la coordination d’Agen, titulaire ; M. Claude Vincent, président du SIPAR, sur proposition de M. Patrick Edel, délégué général de la Guilde européenne du raid et président de la coordination d’Agen, suppléant de Mme Virginie Lequien. Mme Cécile Charmetant, responsable des ressources humaines à Médecins du monde (MDM), sur proposition de M. François Dupre, directeur général de Médecins du monde, titulaire ; Mme Florence Daunis, directrice adjointe des ressources humaines à Action contre la faim (ACF), sur proposition d’Action contre la faim, suppléante de Mme Cécile Charmetant. Mme Pascale Quelfennec, responsable des programmes internationaux à l’Association Sœur Emmanuelle (ASMAE), sur proposition de l’Association Sœur Emmanuelle, titulaire ; Mme Aline Abt, responsable de gestion sociale à Handicap international (HI), sur proposition de Mme Isabelle Prin, directrice déléguée de Handicap international, suppléante de Mme Pascale Quelfennec. M. François Laballe, chargé des partenariats à la Délégation catholique pour la coopération (DCC), sur proposition de M. Denis Thion, directeur de la Délégation catholique pour la coopération, titulaire ; M. Denis Brante, secrétaire exécutif du Département évangélique français d’action apostolique (DEFAP), sur proposition du comité de liaison des ONG de volontariat (CLONG-Volontariat), suppléant de M. François Laballe. M. Jean-Daniel Balme, directeur du Service de coopération au développement (SCD), sur proposition du comité de liaison des ONG de volontariat (CLONG-Volontariat), titulaire ; M. Johannes Kuhfus, secrétaire exécutif du Département évangélique français d’action apostolique (DEFAP), sur proposition du comité de liaison des ONG de volontariat (CLONG-Volontariat), suppléant de M. Jean- Daniel Balme. Le docteur Jacques Menaydier, trésorier de Douleurs sans frontières, sur proposition du docteur Alain Serrie, président de Douleurs sans frontières, titulaire ; Mme Elisabeth Muller, chargée de mission à la direction d’Agronomes et vétérinaires sans frontières, sur proposition de M. Jean-Jacques Boutrou, directeur d’Agronomes et vétérinaires sans frontières, suppléant du docteur Jacques Meynadier. Art. 2. − Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française. Fait à Paris, le 1er décembre 2005. BRIGITTE GIRARDIN

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MESURES NOMINATIVES

MINISTÈRE DE L’ÉCONOMIE, DES FINANCES ET DE L’INDUSTRIE

Arrêté du 25 novembre 2005 portant radiation (administration centrale)

NOR : ECOP0500709A

Par arrêté du Premier ministre et du ministre de l’économie, des finances et de l’industrie en date du 25 novembre 2005, Mme Ramond (Joëlle), épouse Marcq, attachée d’administration centrale du ministère de l’économie, des finances et de l’industrie, est radiée de son corps d’origine à compter du 1er septembre 2005, date de son intégration dans le grade d’inspecteur du Trésor public.

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MESURES NOMINATIVES

MINISTÈRE DE L’ÉCONOMIE, DES FINANCES ET DE L’INDUSTRIE

Arrêté du 28 novembre 2005 plaçant en position hors cadres (administrateurs civils)

NOR : ECOP0500839A

Par arrêté du Premier ministre, du ministre de l’économie, des finances et de l’industrie et du ministre délégué au budget et à la réforme de l’Etat, porte-parole du Gouvernement, en date du 28 novembre 2005, M. Jean-François Corallo, administrateur civil hors classe, rattaché pour sa gestion à l’administration centrale du ministère de l’économie, des finances et de l’industrie, est maintenu en position hors cadres auprès de Gaz de France, afin d’exercer les fonctions de directeur général adjoint à la direction investissements-acquisitions, pour la période du 17 juillet 2005 au 16 juillet 2010 inclus.

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MESURES NOMINATIVES

MINISTÈRE DE L’ÉCONOMIE, DES FINANCES ET DE L’INDUSTRIE

Arrêté du 28 novembre 2005 portant détachement (chambres régionales des comptes)

NOR : CPTE0500084A

Par arrêté du Premier ministre, de la ministre de la défense et du ministre de l’économie, des finances et de l’industrie en date du 28 novembre 2005, Mme Vendat (Catherine), première conseillère de chambre régionale des comptes, en position de service détaché auprès de l’organisation du traité de l’Atlantique Nord, est maintenue en service détaché auprès du ministère de la défense, en qualité d’administratrice civile, afin d’exercer les fonctions de chargée de mission auprès du chef du service des moyens généraux pour une durée de deux ans à compter du 1er septembre 2005.

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MESURES NOMINATIVES

MINISTÈRE DE L’ÉCONOMIE, DES FINANCES ET DE L’INDUSTRIE

BUDGET ET RÉFORME DE L’ÉTAT

Arrêtés du 21 novembre 2005 portant nomination (régisseurs d’avances)

NOR : BUDD0520057A

Par arrêté du ministre de l’économie, des finances et de l’industrie et du ministre délégué au budget et à la réforme de l’Etat, porte-parole du Gouvernement, en date du 21 novembre 2005, Mme Chantal Conchon est nommée régisseuse d’avances auprès de la direction régionale des douanes d’Auvergne à compter du 1er février 2006.

NOR : BUDD0520058A

Par arrêté du ministre de l’économie, des finances et de l’industrie et du ministre délégué au budget et à la réforme de l’Etat, porte-parole du Gouvernement, en date du 21 novembre 2005, Mlle Pauline Jungmann est nommée régisseuse d’avances auprès de la direction régionale des douanes de Paris à compter du 1er janvier 2006.

NOR : BUDD0520059A

Par arrêté du ministre de l’économie, des finances et de l’industrie et du ministre délégué au budget et à la réforme de l’Etat, porte-parole du Gouvernement, en date du 21 novembre 2005, Mme Michelle Testu est nommée régisseuse d’avances auprès de la direction régionale des douanes de Basse-Normandie à compter du 1er janvier 2006.

NOR : BUDD0520060A

Par arrêté du ministre de l’économie, des finances et de l’industrie et du ministre délégué au budget et à la réforme de l’Etat, porte-parole du Gouvernement, en date du 21 novembre 2005, M. Lionel Vincent est nommé régisseur d’avances auprès de la direction régionale des douanes de Bretagne à compter du 1er janvier 2006.

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. . 6 décembre 2005 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 48 sur 118

Décrets, arrêtés, circulaires

MESURES NOMINATIVES

MINISTÈRE DE L’ÉCONOMIE, DES FINANCES ET DE L’INDUSTRIE

COMMERCE EXTÉRIEUR

Arrêté du 28 novembre 2005 relatif à une situation administrative (services à l’étranger)

NOR : EXTW0500117A

Par arrêté du Premier ministre, du ministre de l’économie, des finances et de l’industrie et de la ministre déléguée au commerce extérieur en date du 28 novembre 2005, M. Metzger (Jean-Marie), conseiller économique hors classe, est placé en service détaché pour exercer les fonctions de directeur des échanges à l’OCDE, pour une période de deux ans à compter du 6 avril 1999, au titre de la mobilité statutaire.

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. . 6 décembre 2005 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 49 sur 118

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MESURES NOMINATIVES

MINISTÈRE DE L’ÉDUCATION NATIONALE, DE L’ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR ET DE LA RECHERCHE

Arrêtés du 25 novembre 2005 portant intégration (administration centrale)

NOR : MENA0501972A

Par arrêté du Premier ministre et du ministre de l’éducation nationale, de l’enseignement supérieur et de la recherche en date du 25 novembre 2005, M. Lecanu (Serge), attaché d’administration scolaire et universitaire, détaché depuis le 1er septembre 2003 dans le corps des attachés d’administration centrale du ministère de l’éducation nationale, de l’enseignement supérieur et de la recherche en qualité d’attaché d’administration centrale, est, à compter du 1er septembre 2005, intégré dans le corps des attachés d’administration centrale du ministère de l’éducation nationale, de l’enseignement supérieur et de la recherche.

NOR : MENA0501973A

Par arrêté du Premier ministre et du ministre de l’éducation nationale, de l’enseignement supérieur et de la recherche en date du 25 novembre 2005, M. Maroto (Pascal), attaché d’administration scolaire et universitaire, détaché depuis 1er janvier 2004 dans le corps des attachés d’administration centrale du ministère de l’éducation nationale, de l’enseignement supérieur et de la recherche en qualité d’attaché d’administration centrale, est, à compter du 1er janvier 2006, intégré dans le corps des attachés d’administration centrale du ministère de l’éducation nationale, de l’enseignement supérieur et de la recherche.

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MESURES NOMINATIVES

MINISTÈRE DE L’ÉDUCATION NATIONALE, DE L’ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR ET DE LA RECHERCHE

Arrêté du 25 novembre 2005 portant nomination à une section du Comité national de la recherche scientifique

NOR : MENR0502573A

Par arrêté du ministre de l’éducation nationale, de l’enseignement supérieur et de la recherche en date du 25 novembre 2005, est nommée membre de la section 21 « bases moléculaires et structurales des fonctions du vivant » du Comité national de la recherche scientifique au titre de l’article 1er (2o) du décret no 91-178 du 18 février 1991 relatif aux sections du Comité national de la recherche scientifique, pour la durée restant à courir du mandat de son prédécesseur : Mme Christiane Branlant, en remplacement de M. Franc Pattus.

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. . 6 décembre 2005 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 51 sur 118

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MESURES NOMINATIVES

MINISTÈRE DE L’ÉDUCATION NATIONALE, DE L’ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR ET DE LA RECHERCHE

Arrêté du 25 novembre 2005 portant nomination à une commission interdisciplinaire du Comité national de la recherche scientifique

NOR : MENR0502576A

Par arrêté du ministre de l’éducation nationale, de l’enseignement supérieur et de la recherche en date du 25 novembre 2005, est nommé membre de la commission interdisciplinaire « gestion de la recherche » du Comité national de la recherche scientifique, créée par l’arrêté du 18 février 1991 portant création de commissions interdisciplinaires au Comité national de la recherche scientifique, pour la durée restant à courir du mandat de son prédécesseur : M. Rémi Barré, en remplacement de Mme Laurence Esterle.

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. . 6 décembre 2005 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 52 sur 118

Décrets, arrêtés, circulaires

MESURES NOMINATIVES

MINISTÈRE DE L’ÉDUCATION NATIONALE, DE L’ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR ET DE LA RECHERCHE

Arrêtés du 28 novembre 2005 portant intégration (administration centrale)

NOR : MENA0501970A

Par arrêté du Premier ministre et du ministre de l’éducation nationale, de l’enseignement supérieur et de la recherche en date du 28 novembre 2005, Mlle Guyomart (Anne-Pascale), attachée d’administration de recherche et formation, détachée depuis le 1er janvier 2004 dans le corps des attachés d’administration centrale du ministère de l’éducation nationale, de l’enseignement supérieur et de la recherche en qualité d’attachée d’administration centrale, est, à compter du 1er janvier 2006, intégrée dans le corps des attachés d’administration centrale du ministère de l’éducation nationale, de l’enseignement supérieur et de la recherche.

NOR : MENA0501978A

Par arrêté du Premier ministre et du ministre de l’éducation nationale, de l’enseignement supérieur et de la recherche en date du 28 novembre 2005, Mme Richir-Hourantier (Isabelle), attachée d’administration scolaire et universitaire, détachée depuis le 1er septembre 2003 dans le corps des attachés d’administration centrale du ministère de l’éducation nationale, de l’enseignement supérieur et de la recherche en qualité d’attachée d’administration centrale, est, à compter du 1er septembre 2005, intégrée dans le corps des attachés d’administration centrale du ministère de l’éducation nationale, de l’enseignement supérieur et de la recherche.

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. . 6 décembre 2005 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 53 sur 118

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MESURES NOMINATIVES

MINISTÈRE DE L’ÉDUCATION NATIONALE, DE L’ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR ET DE LA RECHERCHE

Arrêté du 28 novembre 2005 portant radiation (administration centrale)

NOR : MENA0502057A

Par arrêté du Premier ministre et du ministre de l’éducation nationale, de l’enseignement supérieur et de la recherche en date du 28 novembre 2005, M. Echalier (Ludovic), attaché d’administration centrale du ministère de l’éducation nationale, de l’enseignement supérieur et de la recherche, est radié du corps des attachés d’administration centrale du ministère de l’éducation nationale, de l’enseignement supérieur et de la recherche à compter du 1er septembre 2005, date de son intégration dans le corps des attachés d’administration scolaire et universitaire.

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. . 6 décembre 2005 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 54 sur 118

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MESURES NOMINATIVES

MINISTÈRE DE LA JUSTICE

Décret du 29 novembre 2005 portant détachement (magistrature)

NOR : JUSB0510674D

Par décret du Président de la République en date du 29 novembre 2005, vu l’avis du Conseil supérieur de la magistrature, M. Eric Fouard, vice-procureur au tribunal de grande instance de Lyon, est placé en position de détachement afin d’occuper un emploi de directeur de projet, chargé de mener à bonne fin le nouveau système d’information pénal des juridictions dénommé « projet Cassiopée », du pilotage de sa réalisation et de son déploiement en cohérence avec le schéma directeur informatique ministériel, auprès du directeur des services judiciaires à l’administration centrale du ministère de la justice pour une durée de trois ans à compter du 19 avril 2005.

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. . 6 décembre 2005 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 55 sur 118

Décrets, arrêtés, circulaires

MESURES NOMINATIVES

MINISTÈRE DE LA JUSTICE

Décret du 29 novembre 2005 portant maintien en disponibilité (magistrature)

NOR : JUSB0510678D

Par décret du Président de la République en date du 29 novembre 2005, sont maintenus, sur leur demande, en position de disponibilité, conformément aux dispositions du décret n° 85-986 du 16 septembre 1985 modifié relatif au régime particulier de certaines positions de fonctionnaires de l’Etat et à certaines modalités de cessation définitive de fonctions : Pour convenances personnelles (art. 44, alinéa b) :

A compter du 1er juillet 2005 M. Eric Minnegheer, magistrat du premier grade, pour une durée d’un an.

A compter du 20 juillet 2005 Mme Hélène Durand, épouse Cogos, magistrate du second grade, jusqu’au 31 août 2005.

A compter du 1er septembre 2005 Mme Emmanuelle Leclerc, magistrate du second grade, pour une durée d’un an.

A compter du 1er janvier 2006 Mme Hélène Poinssot, magistrate du premier grade, pour une durée de trois ans.

A compter du 1er mars 2006 Mme Hélène Castelbon, épouse Godard, magistrate du premier grade, pour une durée de dix-huit mois.

Pour donner des soins à un ascendant atteint d’un handicap nécessitant la présence d’une tierce personne (art. 47, alinéa b) :

A compter du 1er janvier 2006 M. Georges Dobrouchkess, magistrat du second grade, pour une durée de trois ans.

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Décrets, arrêtés, circulaires

MESURES NOMINATIVES

MINISTÈRE DE LA JUSTICE

Arrêté du 29 novembre 2005 portant désignation des membres du jury de l’examen professionnel pour l’accès au premier grade du corps des greffiers des services judiciaires au titre de l’année 2006

NOR : JUSB0510730A

Par arrêté du garde des sceaux, ministre de la justice, en date du 29 novembre 2005, sont désignés membres du jury de l’examen professionnel pour l’accès au premier grade du corps des greffiers des services judiciaires au titre de l’année 2006, dont les épreuves écrites se dérouleront le 7 mars 2006 : M. Benoît Rault, président du jury, magistrat, président du tribunal de grande instance de Meaux ; M. Philippe Bruere, greffier en chef du tribunal d’instance de Tourcoing ; Mme Michèle Grand’Humbert, greffière en chef du conseil de prud’hommes de Creil ; Mme Danièle Raynaud, greffière en chef du tribunal d’instance de Paris (6e); Mme Céline Mugerli, greffière en chef du tribunal de grande instance de Tulle ; Mme Bernadette Vogt, greffière en chef à la cour d’appel de Caen. M. Philippe Bruere est désigné pour remplacer le président du jury en cas d’empêchement de ce dernier.

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MESURES NOMINATIVES

MINISTÈRE DE LA JUSTICE

Arrêté du 3 décembre 2005 portant nomination (régisseurs de recettes et d’avances)

NOR : JUSK0540141A

Par arrêté du garde des sceaux, ministre de la justice, en date du 3 décembre 2005 : Les personnels dont la liste est jointe en annexe sont nommés régisseurs d’avances et de recettes, gérants des comptes nominatifs à compter du 16 décembre 2005. Les personnels nommés dont la liste est jointe en annexe sont assujettis à un cautionnement et perçoivent une indemnité de responsabilité.

ANNEXE

LISTE DES RÉGISSEURS, GÉRANTS DES COMPTES NOMINATIFS

LIMITE MONTANT ÉTABLISSEMENT autorisée MONTANT du montant de l’avance du CIVILITÉ PRÉNOM NOM GRADE (MA, MC, CD, à consentir CP, CSL) de l’encaisse cautionnement en numéraire au régisseur (en euros) (en euros) (en euros)

Mademoiselle. Ilda. CHEUNG. Adjoint administratif. CP FAAA NUUTANIA 2 000 5 000 760

Monsieur. Abel. SCHMOUKER. 1er surveillant. CD TAIOHAE. 1 600 5 000 760

Monsieur. Nelson. URIMA. 1er surveillant. CD UTUROA. 1 600 5 000 760

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MESURES NOMINATIVES

MINISTÈRE DE LA JUSTICE

Arrêté du 3 décembre 2005 portant nomination (régisseurs de recettes et d’avances)

NOR : JUSK0540142A

Par arrêté du garde des sceaux, ministre de la justice, en date du 3 décembre 2005, M. Eric Bogey, surveillant principal, est nommé régisseur d’avances et de recettes, gérant des comptes nominatifs au centre pénitentiaire de Nouméa à compter du 16 décembre 2005. M. Eric Bogey est assujetti à un cautionnement de 1 800 € (mille huit cents euros) et perçoit une indemnité de responsabilité.

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Décrets, arrêtés, circulaires

MESURES NOMINATIVES

MINISTÈRE DE LA JUSTICE

Arrêté du 3 décembre 2005 portant nomination (régisseurs de recettes et d’avances)

NOR : JUSK0540143A

Par arrêté du garde des sceaux, ministre de la justice, en date du 3 décembre 2005, M. Rijaly Mbechezi, fonctionnaire de catégorie 1 de la collectivité départementale de Mayotte, est nommé régisseur d’avances et de recettes, gérant des comptes nominatifs à la maison d’arrêt de Majicavo à compter du 16 décembre 2005. M. Rijaly Mbechezi est assujetti à un cautionnement de 300 € (trois cents euros) et perçoit une indemnité de responsabilité.

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. . 6 décembre 2005 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 60 sur 118

Décrets, arrêtés, circulaires

MESURES NOMINATIVES

MINISTÈRE DE LA JUSTICE

Arrêté du 3 décembre 2005 portant nomination (régisseurs de recettes et d’avances)

NOR : JUSK0540144A

Par arrêté du garde des sceaux, ministre de la justice, en date du 3 décembre 2005, les personnels dont la liste est jointe en annexe sont nommés régisseurs de recettes et d’avances, gérants des comptes nominatif à compter du 16 décembre 2005. Les personnels nommés dont la liste est jointe en annexe sont assujettis à un cautionnement et perçoivent une indemnité de responsabilité.

ANNEXE

LISTE DES RÉGISSEURS DE RECETTES ET D’AVANCES, GÉRANTS DES COMPTES NOMINATIFS

LIMITE MONTANT ÉTABLISSEMENT autorisée MONTANT du montant de l’avance du CIVILITÉ PRÉNOM NOM GRADE (MA, MC, CD, à consentir CP, CSL) de l’encaisse cautionnement en numéraire au régisseur (en euros) (en euros) (en euros)

Madame. Dominique. PETIT. Secrétaire adminis- MA AGEN. 4 000 87 000 6 100 tratif.

Madame. Marylise. PARENT, épouse Adjoint administratif. MA ANGOULEME. 8 000 120 000 6 100 COLLIER.

Madame. Julie. CASTIELLA. Secrétaire adminis- MA BAYONNE. 7 000 65 000 5 300 tratif.

Madame. Odile. LEPAGE, épouse Agent administratif. CDR BEDENAC. 10 000 110 000 6 100 DELON.

Monsieur. Stéphan. ANTARAKIS. Secrétaire adminis- MA BORDEAUX 20 000 375 000 7 600 tratif de classe GRADIGNAN. exceptionnelle.

Madame. Mauricette. ARTIGOU, épouse Secrétaire adminis- CDN EYSSES. 10 000 251 000 6 900 BOYER. tratif.

Monsieur. Jean-Francis. DELMUR. 1er surveillant. MA GUERET. 4 000 32 000 3 800

Madame. Maria. RONCERO, épouse Adjoint administratif. MA LIMOGES. 7 000 86 000 6 100 TAVERNE.

Monsieur. Pierre Alain. PERIS. Secrétaire adminis- CDN MAUZAC. 10 000 276 000 6 900 tratif de classe exceptionnelle.

Madame. Sylvaine. GIRAUDON. Adjoint administratif. MA MONT-DE-MARSAN. 3 000 37 000 3 800

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LIMITE MONTANT ÉTABLISSEMENT autorisée MONTANT du montant de l’avance du CIVILITÉ PRÉNOM NOM GRADE (MA, MC, CD, à consentir CP, CSL) de l’encaisse cautionnement en numéraire au régisseur (en euros) (en euros) (en euros)

Madame. Maryse. NYCZ, épouse Secrétaire adminis- CDR NEUVIC-SUR-L’ISLE. 10 000 272 000 6 900 CALES. tratif.

Madame. Laurence. THIBAUD, épouse Adjoint administratif. MA NIORT. 7 000 52 000 4 600 BACHELIER.

Mademoiselle. Jocelyne. PERUGA. Adjoint administratif. MA PAU. 6 000 107 000 6 100

Mademoiselle. Christine. PERTUS. Agent contractuel. MA PERIGUEUX. 7 000 78 000 6 100

Madame. Isabelle. ROY. Adjoint administratif. MA POITIERS. 10 000 78 000 6 100

Madame. Danielle. COUTURIER, épouse Adjoint administratif MA ROCHEFORT. 8 000 43 000 4 600 GEMAUX. principal.

Madame. Marie-Noëlle. BREMAUD, épouse Secrétaire adminis- MC SAINT-MARTIN-DE-RE. 10 000 455 000 7 600 BAUDON. tratif.

Monsieur. Michel. TOURNEUR. Adjoint administratif. MA SAINTES. 10 000 49 000 4 600

Madame. Jacqueline. ROUGIER. Surveillante prin- MA TULLE. 4 000 39 000 4 600 cipale.

Mademoiselle. Christelle. BOIX. Secrétaire adminis- CDR UZERCHE. 11 000 420 000 7 600 tratif.

Monsieur. Pascal. AUGUSTE. Surveillant principal. MA AUXERRE. 20 000 71 000 5 300

Madame. Dominique. FLOTAT, épouse Adjoint administratif MA BELFORT. 3 000 20 000 3 800 CARRARA. principal 2e classe.

Monsieur. Hervé. LANAUD. Adjoint administratif. MA BESANÇON. 25 000 220 000 6 900

Monsieur. Charbel. FENIANOS. Chef de service péni- CSL BESANÇON. 500 1 500 0 tentiaire hors classe.

Monsieur. Patrick. JACZMINSKI. Adjoint administratif. MA CHALONS-EN-CHAM- 20 000 160 000 6 900 PAGNE.

Monsieur. Marc. DELSAUT. 1er surveillant. MA CHARLEVILLE-MEZIERES. 4 000 20 000 3 800

Madame. Sophie. TODESCO. Adjoint administratif. MA CHAUMONT. 18 000 72 000 5 300

Mademoiselle. Christine. COLLINET. Secrétaire adminis- CP CLAIRVAUX. 100 000 300 000 6 900 tratif classe normale.

Monsieur. Dominique. MARIE. Secrétaire adminis- MA DIJON. 25 000 170 000 6 900 tratif.

Monsieur. Laurent. LIEGEOIS. Secrétaire adminis- CD JOUX-LA-VILLE. 100 000 500 000 7 600 tratif classe normale.

Madame. Marie-Ange. GACON, épouse Adjoint administratif. MA LONS-LE-SAUNIER. 8 000 40 000 4 600 DUMONT.

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LIMITE MONTANT ÉTABLISSEMENT autorisée MONTANT du montant de l’avance du CIVILITÉ PRÉNOM NOM GRADE (MA, MC, CD, à consentir CP, CSL) de l’encaisse cautionnement en numéraire au régisseur (en euros) (en euros) (en euros)

Madame. Brigitte. M ARTIN, épouse Adjoint administratif MA LURE. 4 000 25 000 3 800 FELIX. principal 1re classe.

Madame. Danielle. MICHAUD, épouse Adjoint administratif MA MONTBELIARD. 5 000 28 000 3 800 LIGIER. principal 1re classe.

Monsieur. Marcelin. CUNIERE. Surveillant principal. MA NEVERS. 6 000 65 000 5 300

Monsieur. Stéphane. HANZOFF. Adjoint administratif. MA REIMS. 12 000 100 000 6 100

Madame. Isabelle. SAINGERY, épouse Agent administratif MA TROYES. 5 000 80 000 6 100 PETIT. 1re classe.

Madame. Martine. LARUELLE. Secrétaire adminis- CP VARENNES-LE-GRAND. 100 000 300 000 6 900 tratif.

Madame. Fabienne. ANTOINE, épouse Adjoint administratif MA VESOUL. 6 000 40 000 4 600 GRIENENBERGER. principal 1re classe.

Mademoiselle. Elodie. PREVOST. Secrétaire adminis- CDR VILLENAUXE-LA- 80 000 300 000 6 900 tratif. GRANDE.

Madame. Jacqueline. HOCHART, épouse Secrétaire adminis- MA AMIENS. 10 000 280 000 6 900 MARTIN. tratif.

Monsieur. Daniel. MERESSE. Adjoint administratif MA ARRAS. 6 000 90 000 6 100 principal 1re classe.

Monsieur. Christian. BERNARD. Secrétaire adminis- CDN BAPAUME. 8 000 470 000 7 600 tratif.

Monsieur. Michel. MARGUERY. Adjoint administratif MA BEAUVAIS. 6 000 68 000 5 300 principal 1re classe.

Madame. Cécile. DELRIVE. Secrétaire adminis- MA BETHUNE. 6 000 140 000 6 100 tratif.

Madame. Cathy. SCHULTZ, épouse Surveillante prin- CP CHATEAU-THIERRY. 7 000 50 000 4 600 SOLER. cipale.

Madame. Marjorie. BUSIGNIES, épouse Adjoint administratif. MA COMPIEGNE. 6 000 55 000 5 300 WERQUIN.

Monsieur. Jean-Pierre. HECQUET. Secrétaire adminis- MA DOUAI. 6 000 350 000 7 600 tratif classe supé- rieure.

Madame. Marie-Brigitte. POPIEUL, épouse Surveillante prin- MA DUNKERQUE. 7 500 50 000 4 600 AUBIN. cipale.

Madame. Pascale. DURIEZ, épouse Adjoint administratif. MA EVREUX. 7 500 165 000 6 900 BLANQUIN.

Monsieur. Bruno. HENEJAERT. Surveillant principal. CSL HAUBOURDIN. 1 000 7 000 760

Monsieur. Pascal. SOUFFLET. Secrétaire adminis- CP LAON. 10 000 100 000 6 100 tratif.

Mademoiselle. Magali. JAMES. Adjoint administratif. MA LE HAVRE. 4 000 100 000 6 100 . .

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LIMITE MONTANT ÉTABLISSEMENT autorisée MONTANT du montant de l’avance du CIVILITÉ PRÉNOM NOM GRADE (MA, MC, CD, à consentir CP, CSL) de l’encaisse cautionnement en numéraire au régisseur (en euros) (en euros) (en euros)

Monsieur. Christophe. PAVIE. Secrétaire adminis- CP LIANCOURT. 7 500 180 000 6 900 tratif.

Madame. Carole. VINCENT. Secrétaire adminis- CP LONGUENESSE. 8 000 430 000 7 600 tratif.

Madame. Jacqueline. WOZNIAK, épouse Secrétaire adminis- MA LOOS SEQUEDIN. 10 000 450 000 7 600 ZIELINSKI. tratif.

Mademoiselle. Marie-Hélène. VALIN. Secrétaire adminis- CDR LOOS. 9 000 130 000 6 100 tratif.

Madame. Evelyne. JOLY, épouse Secrétaire adminis- CP MAUBEUGE. 10 000 100 000 6 100 DAIME. tratif.

Mademoiselle. Hélène. GOUMAUX. Secrétaire adminis- MA ROUEN. 7 500 380 000 7 600 tratif.

Monsieur. Boris. MARFISI. Secrétaire adminis- CDN VAL-DE-REUIL. 10 000 550 000 7 600 tratif.

Monsieur. Richard. MATYSEK. Adjoint administratif MA VALENCIENNES. 8 000 150 000 6 100 principal 2e classe.

Madame. Gaëlle. GENESTET. Secrétaire adminis- CP AITON. 15 000 350 000 7 600 tratif.

Monsieur. Jean-Luc. BARRES. 1er surveillant. MA AURILLAC. 2 000 33 000 3 800

Monsieur. Hervé. MONTANA. Adjoint administratif. MA BONNEVILLE. 10 000 125 000 6 100

Madame. Monique. JANOIR, épouse Adjoint administratif. MA BOURG-EN-BRESSE. 3 500 46 000 4 600 SZYMANSKI.

Madame. Martine. SALASC, épouse Secrétaire adminis- MA CHAMBÉRY. 5 000 80 000 6 100 GROS. tratif.

Madame. Martine. DASSAUD, épouse Adjoint administratif. MA CLERMONT-FERRAND. 3 000 60 000 5 300 DURIF.

Madame. Claudine. LAVILLE. Secrétaire adminis- MA GRENOBLE-VARCES. 10 000 200 000 6 900 tratif.

Monsieur. Hubert. BRASSIN. Chef de service péni- CSL GRENOBLE. 1 500 5 000 760 tentiaire.

Madame. Alexia. PETIT. Agent contractuel. MA LE PUY-EN-VELAY. 2 000 35 000 3 800

Monsieur. Alain. ITAN. Secrétaire adminis- MA LYON-PERRACHE. 15 000 600 000 7 600 tratif.

Monsieur. Alain. CHOPLIN. 1er surveillant. CSL LYON. 1 500 10 000 1 220

Madame. Annick. DEGORTES, épouse Adjoint administratif. MA MONTLUÇON. 2 000 30 000 3 800 DUMAS.

Madame. Marie-Hélène. C H ARPENTIER, Secrétaire adminis- CP MOULINS-YZEURE. 15 000 280 000 6 900 épouse RATTINA. tratif. . .

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LIMITE MONTANT ÉTABLISSEMENT autorisée MONTANT du montant de l’avance du CIVILITÉ PRÉNOM NOM GRADE (MA, MC, CD, à consentir CP, CSL) de l’encaisse cautionnement en numéraire au régisseur (en euros) (en euros) (en euros)

Monsieur. Christophe. BERNARD. Adjoint administratif. MA PRIVAS. 3 000 50 000 4 600

Madame. Jacqueline. ROYER, épouse Adjoint administratif. MA RIOM. 5 000 70 000 5 300 LAUDOUZE.

Monsieur. Maurice. SINCHOLLE. Secrétaire adminis- CD RIOM. 10 000 160 000 6 900 tratif.

Monsieur. Eric. COLLET. Secrétaire adminis- MA SAINT-ETIENNE. 10 000 245 000 6 900 tratif.

Monsieur. Oswald. VALENTE. Adjoint administratif. C P SAINT-QUENTIN- 10 000 360 000 7 600 FALLAVIER.

Monsieur. Jacques. DOLMAIRE. Adjoint administratif. MA VALENCE. 10 000 145 000 6 100

Monsieur. Patrick. SABATIER. Secrétaire adminis- MA VILLEFRANCHE-SUR- 10 000 425 000 7 600 tratif. SAONE.

Madame. Andrée. NICOLI, épouse Secrétaire adminis- MA AIX LUYNES. 20 000 600 000 7 600 HERBAIN. tratif classe supé- rieure.

Monsieur. Jean-Baptiste. ROSSI. Surveillant. MA AJACCIO. 10 000 45 000 4 600

Madame. Annie. RENOUARD. Secrétaire adminis- MC ARLES. 5 000 12 000 1 220 tratif.

Madame. Martine. BARBIN, épouse Secrétaire adminis- CP AVIGNON-LE PONTET. 18 000 425 000 7 600 ROUSSET. tratif classe supé- rieure.

Madame. Angèle. MANENTI, épouse Adjoint administratif. MA BORGO. 15 000 190 000 6 900 CITERNESCHI.

Monsieur. Norbert. G UIDICELLI Secrétaire adminis- CDN CASABIANDA. 20 000 150 000 6 100 SENDRA. tratif.

Monsieur. Antoine. CAMPARRI. 1er surveillant. MA DIGNE. 5 000 20 000 3 800

Monsieur. Claude. MAILLEBUAU. Secrétaire adminis- CP DRAGUIGNAN. 10 000 218 000 6 900 tratif classe supé- rieure.

Monsieur. Jean-Luc. CEREZO. 1er surveillant. MA GAP. 3 000 15 000 1 800

Monsieur. Franck. GIANGREGORIO. Secrétaire adminis- MA GRASSE. 12 000 470 000 7 600 tratif.

Monsieur. Raymond. ADDOUM. Secrétaire adminis- CP MARSEILLE. 35 000 1 100 000 8 800 tratif classe excep- tionnelle.

Monsieur. Jean-Luc. ELMIRA. Secrétaire adminis- MA NICE. 20 000 200 000 6 900 tratif.

Mademoiselle. Marie-Hélène. DENIZOT. Secrétaire adminis- CDR SALON-DE-PROVENCE. 13 000 422 000 7 600 tratif.

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. . 6 décembre 2005 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 60 sur 118

LIMITE MONTANT ÉTABLISSEMENT autorisée MONTANT du montant de l’avance du CIVILITÉ PRÉNOM NOM GRADE (MA, MC, CD, à consentir CP, CSL) de l’encaisse cautionnement en numéraire au régisseur (en euros) (en euros) (en euros)

Monsieur. Laurent. ROBICHON. Secrétaire adminis- CDR TARASCON. 13 000 426 000 7 600 tratif.

Madame. Françoise. M A L M ASSON, Secrétaire adminis- CP TOULON-LA FARLEDE. 15 000 600 000 7 600 épouse BALDI. tratif.

Monsieur. Robert. KRYSIK. 1er surveillant. MA BLOIS. 17 000 125 000 6 100

Madame Evelyne. LAJEUNE, épouse Secrétaire adminis- MA BOIS-D’ARCY. 21 000 500 000 7 600 NORMAND. tratif.

Madame. Fabienne. BOTTARD, épouse Adjoint administratif. MA BOURGES. 12 000 100 000 6 100 LEROY.

Monsieur. Joël. HONORE. Surveillant principal. MA CHARTRES. 10 000 100 000 6 100

Mademoiselle. Corinne. CLAISSE. Secrétaire adminis- CDR CHATEAUDUN. 44 000 440 000 7 600 tratif.

Mademoiselle. Isabelle. KULIG. Secrétaire adminis- CP CHATEAUROUX. 23 000 230 000 6 900 tratif.

Monsieur. Eric. VALLET. Chef de service péni- CSL CORBEIL. 2 400 15 000 1 800 tentiaire de deuxième classe.

Madame. Martine. CHARTIER, épouse Secrétaire adminis- MA FLEURY-MEROGIS. 100 000 1 500 000 8 800 SERGENT. tratif.

Monsieur. Michel. POSTIGO. Secrétaire adminis- MA FRESNES. 83 000 1 000 000 8 800 tratif.

Madame. Odile. RAKOTOARIVONY, Chef de service péni- CSL GAGNY. 2 600 20 000 3 800 épouse RAJAOA- tentiaire de RISOA. première classe.

Monsieur. Patrick. HAMLET. Secrétaire adminis- CP MEAUX-CHAUCONIN. 37 000 370 000 7 600 tratif.

Madame. Christelle. LAGADEC, épouse Adjoint administratif. MA MELUN. 12 000 120 000 6 100 BERVAS.

Madame. Elisabeth. BALEMBOIS, épouse Secrétaire adminis- CDN MELUN. 31 000 430 000 7 600 COUTTET. tratif de classe exceptionnelle.

Monsieur. Jean-Pierre. DOUHAUT. Chef d’établis- CSL MONTARGIS. 600 5 000 760 sement.

Monsieur. René. LERY. Secrétaire adminis- MA NANTERRE. 52 000 520 000 7 600 tratif.

Monsieur. Jean-Claude. HUCHET. Secrétaire adminis- MA ORLEANS. 22 000 200 000 6 900 tratif.

Madame. Patricia. BOUET, épouse Secrétaire adminis- MA D’OSNY. 48 000 480 000 7 600 FERRAND. tratif.

Monsieur. Enel. FAIRFORT. Secrétaire d’adminis- MA PARIS-LA SANTE. 75 000 750 000 7 600 tration et d’inten- dance. . .

. . 6 décembre 2005 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 60 sur 118

LIMITE MONTANT ÉTABLISSEMENT autorisée MONTANT du montant de l’avance du CIVILITÉ PRÉNOM NOM GRADE (MA, MC, CD, à consentir CP, CSL) de l’encaisse cautionnement en numéraire au régisseur (en euros) (en euros) (en euros)

Mademoiselle. Clara. BAMBOUVERT. Secrétaire adminis- MC POISSY. 16 000 250 000 6 900 tratif.

Monsieur. Marc. HUDELIST. Secrétaire adminis- MC SAINT-MAUR. 15 000 250 000 6 900 tratif.

Madame. Marylène. LORET, épouse Adjoint administratif. MA TOURS. 14 000 140 000 6 100 SALINGUE.

Madame. Monique. MARIGARD, épouse Surveillante. MA VERSAILLES. 7 500 75 000 5 300 HOARAU.

Madame. Christine. Z I M M ER, épouse Adjoint administratif. CPA VILLEJUIF. 10 000 15 000 1 800 VAQUEZ.

Madame. Annick. LAINE, épouse Secrétaire adminis- MA VILLEPINTE. 43 000 450 000 7 600 LORIOT. tratif.

Monsieur. Thierry. STAQUI. Surveillant. MA ALENÇON. 2 100 35 000 3 800

Mademoiselle. Sylvie. CHEVALLIER. Secrétaire adminis- MA ANGERS. 4 900 250 000 6 900 tratif.

Madame. Corinne. TOUROUX, épouse Secrétaire adminis- CDR ARGENTAN. 20 000 380 000 7 600 ANDEOLE. tratif.

Mademoiselle. Marie-Françoise. LE PAPE. Adjoint administratif. MA BREST. 5 600 190 000 6 900

Madame. Yolande. LONGERE, épouse Secrétaire adminis- MA CAEN. 7 200 220 000 6 900 VERLAGUET. tratif.

Madame. Véronique. ALLIOT, épouse Secrétaire adminis- CP CAEN. 40 000 460 000 7 600 DORADOUX. tratif.

Mademoiselle. Isabelle. TARDY. Adjoint administratif MA CHERBOURG. 3 200 31 000 3 800 stagiaire.

Madame. Maryline. CLEMENCEAU, Secrétaire adminis- MA COUTANCES. 4 400 36 000 3 800 épouse GABARD. tratif.

Mademoiselle. Alexandra. NOURISSON. Secrétaire adminis- MA FONTENAY-LE-COMTE. 4 300 45 000 4 600 tratif.

Mademoiselle. Claudie. GOBIN. Adjoint administratif. MA LA ROCHE-SUR-YON. 5 000 45 000 4 600

Monsieur. René. VAUCORET. Surveillant. MA LAVAL. 4 000 75 000 5 300

Monsieur. Jean-Marie. GUIBERT. Adjoint administratif. MA LE MANS. 4 500 68 000 5 300

Madame. Marie-Annick. LE BOUTER, épouse Adjoint administratif. CP LORIENT-PLOEMEUR. 4 000 200 000 6 900 ALLAIN.

Madame. Solange. BILIEN, épouse Secrétaire adminis- CP NANTES. 50 000 290 000 6 900 BEDARD. tratif.

Madame. Sandrine. THIBONNET, épouse Adjoint administratif. MA RENNES. 4 500 246 000 6 900 BOUCARD.

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LIMITE MONTANT ÉTABLISSEMENT autorisée MONTANT du montant de l’avance du CIVILITÉ PRÉNOM NOM GRADE (MA, MC, CD, à consentir CP, CSL) de l’encaisse cautionnement en numéraire au régisseur (en euros) (en euros) (en euros)

Madame. Pierrette. CRESTEAUX, épouse Secrétaire adminis- CP RENNES. 7 000 220 000 6 900 LAURENS. tratif.

Madame. Jacqueline. RIO, épouse BLAN- Adjoint administratif. MA SAINT-BRIEUC. 5 700 75 000 5 300 CHARD.

Madame. Lysiane. BOIVIN, épouse Adjoint administratif. MA SAINT-MALO. 2 400 55 000 5 300 GESBERT.

Madame. Catherine. ROUXEL, épouse Adjoint administratif. MA VANNES. 5 000 75 000 5 300 MONNERAIS.

Monsieur. Martial. SCHARFF. Secrétaire adminis- MA BAR-LE-DUC. 8 000 66 000 5 300 tratif.

Monsieur. Fabian. GOLLENTZ. Chef de service péni- CSL BRIEY. 2 000 2 000 0 tentiaire hors classe.

Monsieur. Eric. REINBOLD. Surveillant. MA COLMAR. 11 000 80 000 6 100

Mademoiselle. Cathie. MEYER. Secrétaire adminis- CD ECROUVES. 10 000 150 000 6 100 tratif.

Monsieur. Charles. DOMENGE. Attaché d’adminis- MC ENSISHEIM. 3 500 230 000 6 900 tration et d’inten- dance.

Monsieur. Jacques. BISIAUX. Secrétaire adminis- MA EPINAL. 8 000 100 000 6 100 tratif.

Monsieur. Jean-Claude. STAHL. Chef de service péni- CSL MAXEVILLE. 3 000 9 000 1 220 tentiaire hors classe.

Mademoiselle. Rita. LAZARUS. Secrétaire adminis- CP METZ. 20 000 500 000 7 600 tratif.

Monsieur. Thomas. DESTRIGNEVILLE. Secrétaire adminis- CD MONTMEDY. 16 000 270 000 6 900 tratif.

Madame. Bernadette. C A M PS, épouse Secrétaire adminis- MA MULHOUSE. 15 000 250 000 6 900 NASS. tratif.

Monsieur. Philippe. CHABEAUX. Secrétaire adminis- MA NANCY. 9 000 240 000 6 900 tratif.

Monsieur. Gérard. CARRIER. Secrétaire adminis- CDR OERMINGEN. 15 000 250 000 6 900 tratif.

Monsieur. Michel. ARIS. Secrétaire adminis- CDR SAINT-MIHIEL. 9 000 250 000 6 900 tratif.

Mademoiselle. Gaby. GRESKOWIAK. Adjoint administratif MA SARREGUEMINES. 3 000 57 000 5 300 principal.

Monsieur. Bernard. PETIN. Chef de service péni- CSL SOUFFELWEYERSHEIM. 3 000 8 000 1 220 tentiaire hors classe.

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LIMITE MONTANT ÉTABLISSEMENT autorisée MONTANT du montant de l’avance du CIVILITÉ PRÉNOM NOM GRADE (MA, MC, CD, à consentir CP, CSL) de l’encaisse cautionnement en numéraire au régisseur (en euros) (en euros) (en euros)

Madame. Patricia. MAXANT, épouse Secrétaire adminis- MA STRASBOURG. 19 000 350 000 7 600 THOUVENIN. tratif.

Monsieur. Gérard. JEANNOT. Secrétaire adminis- CD TOUL. 10 000 400 000 7 600 tratif.

Monsieur. Eric. MAZZUCHINI. Adjoint administratif. MA ALBI. 4 000 56 000 5 300

Madame. Josiane. ONDEDIEU, épouse Adjoint administratif. MA BEZIERS. 5 000 58 000 5 300 MONTANIER.

Madame. Valérie. CASTERAN, épouse 1re surveillante. MA CAHORS. 4 000 35 000 3 800 BRUNET.

Mademoiselle. Lydie. COLIN. Adjoint administratif. MA CARCASSONNE. 5 000 84 000 6 100

Mademoiselle. Anne-Marie. DE PASCALE. Adjoint administratif. MA FOIX. 3 000 42 000 4 600

Mademoiselle. Elisabeth. LE GALL. Secrétaire adminis- CP LANNEMEZAN. 5 000 150 000 6 100 tratif.

Monsieur. Jacques. VAYSSIE. Surveillant principal. MA MENDE. 4 000 33 000 3 800

Madame. Marie-Françoise. ANTHOINE, épouse Adjoint administratif. MA MONTAUBAN. 5 000 68 000 5 300 SERIEYSSOL.

Monsieur. Bernard. DESTEUCQ. Chef de service péni- CSL MONTPELLIER. 1 000 3 000 300 tentiaire.

Mademoiselle. Annie. BAZERQUE. Secrétaire adminis- CDN MURET. 20 000 800 000 8 800 tratif.

Madame. Myriam. RAT, épouse BONZI. Surveillante. MA NIMES. 5 000 200 000 6 900

Mademoiselle. Guenaelle. AUDRAN. Secrétaire adminis- CP PERPIGNAN. 20 000 465 000 7 600 tratif.

Monsieur. Daniel. COMBES. Adjoint administratif. MA RODEZ. 3 000 26 000 3 800

Madame. Florence. BONHOMME, Adjoint administratif. CDR SAINT-SULPICE-LA- 5 000 71 000 5 300 épouse MOLINIE. POINTE.

Madame. Maryse. PARADE, épouse Adjoint administratif. MA TARBES. 5 000 71 000 5 300 MANSE.

Monsieur. Daniel. OLIVIER. Secrétaire adminis- MA TOULOUSE-SEYSSES. 20 000 466 000 7 600 tratif.

Monsieur. Bernard. LAJOU. Chef de service péni- CSL TOULOUSE. 1 000 5 000 760 tentiaire.

Madame. Martine. THIERRY, épouse Adjoint administratif. M A VILLENEUVE-LES- 25 000 400 000 7 600 BIROU. MAGUELONE.

Monsieur. Hilaire. TURINAY. Secrétaire adminis- CP BAIE-MAHAULT. 4 600 155 000 6 900 tratif de classe normale.

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LIMITE MONTANT ÉTABLISSEMENT autorisée MONTANT du montant de l’avance du CIVILITÉ PRÉNOM NOM GRADE (MA, MC, CD, à consentir CP, CSL) de l’encaisse cautionnement en numéraire au régisseur (en euros) (en euros) (en euros)

Monsieur. Luc. ADEMAR. Secrétaire adminis- MA BASSE-TERRE. 2 500 50 000 4 600 tratif de classe exceptionnelle.

Mademoiselle. Sylviane. FAGOUR. Secrétaire adminis- CP DUCOS. 1 500 20 000 3 800 tratif de classe supérieure.

Monsieur. Cyriac. LEBRETON. Secrétaire adminis- CP LE PORT. 15 000 250 000 6 900 tratif.

Monsieur. Jean-Michel. TOSI. Secrétaire adminis- CP REMIRE-MONTJOLY. 4 000 100 000 6 100 tratif.

Monsieur. Michel. BOISVILLIERS. Adjoint administratif. MA SAINT-DENIS. 5 000 45 000 4 600

Monsieur. Serge. PAYET. Surveillant. MA SAINT-PIERRE. 4 000 45 000 4600

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Décrets, arrêtés, circulaires

MESURES NOMINATIVES

MINISTÈRE DE LA JUSTICE

Décision du 3 décembre 2005 portant cessation de fonctions (régisseurs d’avances)

NOR : JUSK0540149S

Par décision du garde des sceaux, ministre de la justice, en date du 3 décembre 2005, la décision du 23 janvier 1985 nommant Mme Da Costa en qualité de régisseur d’avances des ateliers de la Régie industrielle des établissements pénitentiaires situés au centre de détention national de Melun est abrogée à compter du 30 novembre 2005.

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Décrets, arrêtés, circulaires

MESURES NOMINATIVES

MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SOLIDARITÉS

Arrêté du 1er décembre 2005 portant nomination du jury des cycles de formation continue de l’Ecole nationale supérieure de sécurité sociale pour l’année 2005

NOR : SANS0524384A

Par arrêté du ministre de la santé et des solidarités en date du 1er décembre 2005 portant nomination du jury des cycles de formation continue de l’Ecole nationale supérieure de sécurité sociale pour l’année 2005 : Le jury de l’examen du certificat d’études spécialisées de comptabilité et d’analyse financière est composé ainsi qu’il suit : M. Bras (Pierre-Louis), inspecteur général à l’inspection générale des affaires sociales, est nommé président. Sont nommés membres titulaires : M. Westermann (Jean-Claude), directeur régional des affaires sanitaires et sociales de Nord - Pas-de-Calais ; Mme Goyffon (Jacqueline), agente comptable de la Caisse nationale ORGANIC ; Mme Alban (Edith), agente comptable de la caisse d’allocations familiales de Nanterre. Sont nommés membres suppléants : M. Bastianelli (Jean-Paul), inspecteur général à l’inspection générale des affaires sociales ; M. Celdran (Christian), directeur régional des affaires sanitaires et sociales d’Auvergne ; Mme Miny (Frédérique), agente comptable de l’URSSAF de Grenoble ; M. Delamare (Michel), agent comptable de la caisse ORGANIC Ile-de-France.

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Décrets, arrêtés, circulaires

MESURES NOMINATIVES

MINISTÈRE DE L’AGRICULTURE ET DE LA PÊCHE

Arrêté du 21 novembre 2005 fixant la composition de la commission disciplinaire nationale prévue à l’article D. 723-149 du code rural relatif au service de contrôle médical des régimes agricoles de protection sociale

NOR : AGRF0502617A

Le ministre de l’agriculture et de la pêche, Vu le code rural, notamment l’article D. 723-149 ; Vu l’arrêté du 30 mars 2000 fixant les règles de fonctionnement de la commission disciplinaire nationale et le mode de désignation des membres de la commission disciplinaire nationale prévue à l’article précité ; Vu l’arrêté du 21 juillet 2005 fixant la date des élections à la commission disciplinaire nationale, Arrête : Art. 1er.−La commission instituée par l’article D. 723-149 du code rural est composée de la façon suivante : M. Gérard Laurand, inspecteur général des affaires sociales, chargé d’assurer la présidence.

Représentant du ministre de l’agriculture et de la pêche Le directeur général de la forêt et des affaires rurales ou son représentant.

Représentants des conseils d’administration des caisses de mutualité sociale agricole Membres titulaires : M. Jean-François Belliard et Mme Claudine Faure. Membres suppléants : M. Henri Rocoulet, M. Martial Lefaucheur, M. Michel Morel et Mme Geneviève Decocq.

Représentants des organismes assureurs visés à l’article L. 731-30 du code autres que les caisses de mutualité sociale agricole Membre titulaire : Mme Fabienne Chomette, représentant de la Fédération nationale de la mutualité française. Membre suppléant : M. Denis Ploton, représentant de la Fédération française des sociétés d’assurances.

Représentants élus des praticiens-conseils chargés du contrôle médical des régimes agricoles de protection sociale PREMIER COLLÈGE Médecin-conseil national, médecin-conseil national adjoint, médecins coordonnateurs régionaux, praticiens conseillers techniques nationaux, médecins-conseils chefs de service Membres titulaires : Drs Jean-François Gravot, François Lebrun et Anne-Marie Verne. Membres suppléants : Drs Michel Ordener, Georges Viala, Marie-Anne Laffontan, Gérard Duparc, Eric Kotovtchikhine et Jean-Luc Prat.

DEUXIÈME COLLÈGE Médecins-conseils, chirurgiens-dentistes-conseils . Membres titulaires : Drs Philippe Mahot, Michèle Causse- Haumesser et Robert David. .

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Membres suppléants : Drs Denis Tilak, Philippe Labatut, Michèle Warion, Marie-Claire Girardin, Marie- Noëlle Tonnerre et Jean-Marie Goupil.

Membres du conseil de l’ordre

MÉDECINS Membre titulaire : M. Jean-Marie Colson. Membre suppléant : M. Michel Ducloux.

CHIRURGIENS-DENTISTES Membre titulaire : M. Armand Volpeliere. Membre suppléant : M. Alain Scohy. Art. 2. − La durée du mandat des membres de la commission disciplinaire désignés à l’article 1er expire le 21 novembre 2010. Art. 3. − Le directeur général de la forêt et des affaires rurales est chargé de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au Journal officiel de la République française. Fait à Paris, le 21 novembre 2005. Pour le ministre et par délégation : Par empêchement du directeur général de la forêt et des affaires rurales : Le sous-directeur, P. ABRAHAM

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Décrets, arrêtés, circulaires

MESURES NOMINATIVES

MINISTÈRE DE LA FONCTION PUBLIQUE

Arrêté du 25 octobre 2005 portant nomination à la commission commune de suivi des transferts de personnels entre l’Etat et les collectivités territoriales

NOR : FPPA0500124A

Par arrêté du ministre d’Etat, ministre de l’intérieur et de l’aménagement du territoire, et du ministre de la fonction publique en date du 25 octobre 2005 : Sont nommés membres de la commission commune de suivi des transferts de personnels entre l’Etat et les collectivités territoriales, en qualité de représentants de l’administration siégeant au Conseil supérieur de la fonction publique de l’Etat, les membres titulaires et suppléants dont les noms suivent : Titulaire : M. Pény (Paul), directeur général de l’administration et de la fonction publique. Suppléante : Mme Le Bihan-Graf (Christine), directrice, adjointe au directeur général de l’administration et de la fonction publique. Titulaire : M. Antoine (Dominique), directeur des personnels, de la modernisation et de l’administration au ministère de l’éducation nationale, de l’enseignement supérieur et de la recherche. Suppléante : Mme Pelissier (Chantal), chef de service, adjointe au directeur des personnels, de la modernisation et de l’administration au ministère de l’éducation nationale, de l’enseignement supérieur et de la recherche. Titulaire : Mme Jacquot-Guimbal (Hélène), directrice générale du personnel et de l’administration au ministère des transports, de l’équipement, du tourisme et de la mer. Suppléante : Mme Marie-Christine Soulié, sous-directrice de l’assistance aux services et du droit public à la direction des affaires juridiques, informatiques et logistiques au ministère des transports, de l’équipement, du tourisme et de la mer. Titulaire : M. Sorain (Dominique), secrétaire général au ministère de l’agriculture et de la pêche. Suppléante : Mme Margot-Rougerie (Pascale), chef du service des ressources humaines au secrétariat général du ministère de l’agriculture et de la pêche. Titulaire : M. Gautier (Bertrand), sous-directeur de la modernisation et des politiques du personnel à la direction du personnel, de la modernisation et de l’administration du ministère de l’économie, des finances et de l’industrie. Suppléant : M. Deulin (Jean), sous-directeur des ressources humaines à la direction du personnel, de la modernisation et de l’administration du ministère de l’économie, des finances et de l’industrie. Titulaire : M. Le Puloc’h (François), adjoint au directeur de la fonction militaire et du personnel civil au ministère de la défense. Suppléant : M. Boyer (Bernard), sous-directeur de la prévision, des études et de la réglementation du personnel civil à la direction de la fonction militaire et du personnel civil du ministère de la défense. Titulaire : M. Schmeltz (Bernard), directeur des ressources humaines au secrétariat général du ministère de l’intérieur et de l’aménagement du territoire. Suppléant : M. Munch (Bertrand), sous-directeur du corps préfectoral et des administrateurs civils à la direction de la modernisation et de l’action territoriale du secrétariat général du ministère de l’intérieur et de l’aménagement du territoire. Titulaire : Mme Roquel (Thérèse), inspectrice générale des affaires sociales. Suppléante : Mme Lutaud (Françoise), sous-directrice des statuts et du développement professionnel et social au service des ressources humaines de la direction de l’administration générale, du personnel et du budget du ministère de l’emploi, de la cohésion sociale et du logement et au ministère de la santé et des solidarités. Titulaire : M. Egéa (Fernand), sous-directeur des ressources humaines et des relations sociales à la direction de l’administration générale et de l’équipement du ministère de la justice. Suppléante : Mme Rialle-Salaber (Geneviève), sous-directrice des statuts et du développement professionnel . et social à la direction de l’administration générale du ministère de la culture et de la communication. .

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Titulaire : M. Canneva (Hervé), directeur du personnel et de l’administration au ministère de la jeunesse, des sports et de la vie associative. Suppléante : Mme Jarrige (Chantal), sous-directrice, secrétaire générale à la direction générale de l’administration de la fonction publique du ministère de la fonction publique. Sont nommés membres de la commission commune de suivi des transferts de personnels entre l’Etat et les collectivités territoriales, en qualité de représentants du personnel siégeant au Conseil supérieur de la fonction publique de l’Etat, les membres titulaires et suppléants dont les noms suivent :

1o Au titre de l’Union générale des fédérations de fonctionnaires Confédération générale du travail (UGFF-CGT) Titulaire : M. Willy Garing. Suppléante : Mme Marie-Claude Charrier. Titulaire : M. Jean-Marc Canon. Suppléant : M. Roland Perrier.

2o Au titre de la Fédération syndicale unitaire (FSU) Titulaire : Mme Arlette Lemaire. Suppléant : M. Jean-Marie Le Boiteux. Titulaire : M. Jean Fizzala. Suppléant : M. Eric Corsin.

3o Au titre de l’Union nationale des syndicats autonomes (UNSA-Fonctionnaires) Titulaire : Mme Elisabeth David. Suppléant : M. Patrick Gonthier. Titulaire : M. Gilbert Romain. Suppléant : M. Jérôme Darsy.

4o Au titre de la Fédération générale des fonctionnaires-Force ouvrière (FGF-FO) Titulaire : M. Gérard Noguès. Suppléante : Mme Françoise Dupont.

5o Au titre de l’Union des fédérations CFDT des fonctions publiques et assimilées (UFFA-CFDT) Titulaire : M. Eric Fritsch. Suppléante : Mme Maïté Druelle.

6o Au titre de la Confédération française des travailleurs chrétiens (CFTC) Titulaire : M. Michel Moreau. Suppléant : M. Gérard Marly.

7o Au titre de la Confédération générale des cadres (CGC) Titulaire : M. Patrick Guyot. Suppléant : M. Charles Bonissol.

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. . 6 décembre 2005 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 65 sur 118

Décrets, arrêtés, circulaires

MESURES NOMINATIVES

MINISTÈRE DE LA FONCTION PUBLIQUE

Arrêté du 24 novembre 2005 portant suppression de bourse à un stagiaire du cycle de préparation au troisième concours d’entrée à l’Ecole nationale d’administration

NOR : FPPA0500131A

Par arrêté du ministre de la fonction publique en date du 24 novembre 2005, la bourse attribuée à M. Charles Chaillou, d’un montant de 1 736,70 € brut mensuel, est supprimée pour la période du 1er novembre 2005 au 31 octobre 2006.

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MESURES NOMINATIVES

MINISTÈRE DE LA FONCTION PUBLIQUE

Arrêté du 5 décembre 2005 portant cessation de fonctions au cabinet du ministre

NOR : FPPX0508892A

Le ministre de la fonction publique, Vu le décret no 48-1233 du 28 juillet 1948 portant règlement d’administration publique en ce qui concerne les cabinets ministériels ; Vu le décret du 31 mai 2005 portant nomination du Premier ministre ; Vu le décret du 2 juin 2005 relatif à la composition du Gouvernement ; Vu l’arrêté du 10 juin 2005 portant nomination au cabinet du ministre,

Arrête : Art. 1er.−Il est mis fin, à compter du 1er décembre 2005, aux fonctions de Mme Guillemette Leneveu, conseillère technique au cabinet du ministre, appelée à d’autres fonctions. Art. 2. − Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française. Fait à Paris, le 5 décembre 2005. CHRISTIAN JACOB

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Décrets, arrêtés, circulaires

MESURES NOMINATIVES

MINISTÈRE DE LA CULTURE ET DE LA COMMUNICATION

Arrêté du 25 novembre 2005 portant nomination à la commission chargée d’instruire et d’émettre un avis consultatif sur les dossiers de demande d’agrément des organismes assurant une formation spécifique à la sécurité des spectacles

NOR : MCCB0500820A

Le ministre de la culture et de la communication, Vu l’arrêté du 30 juin 2004 relatif à l’agrément des organismes assurant une formation spécifique à la sécurité des spectacles adaptée à la nature du lieu de spectacle, notamment son article 7 ; Vu la lettre du 6 janvier 2005 de la commission paritaire nationale emploi formation du spectacle vivant désignant les membres représentant les professionnels, en application de l’article 7 de l’arrêté du 30 juin 2004 susvisé,

Arrête : Art. 1er.−Sont nommés, pour une durée de cinq ans, membres de la commission chargée d’instruire et d’émettre un avis consultatif sur les dossiers de demande d’agrément des organismes assurant une formation spécifique à la sécurité des spectacles :

1. En qualité de représentants du ministre chargé de la culture a) Membres de droit : – le directeur de la musique, de la danse, du théâtre et des spectacles ou son représentant ; – le directeur régional des affaires culturelles d’Ile-de-France ou son représentant ; b) Mme Michèle Kergosien, architecte-conseil, chargée de mission auprès de la direction de la musique, de la danse, du théâtre et des spectacles.

2. En qualité de représentants des professionnels a) Pour les employeurs : M. Bernard Djaoui, titulaire, et son suppléant, M. Philippe Chapelon ; Mme Hélène Gomez, titulaire, et son suppléant, M. Jean Favre ; M. Georges Terrey, titulaire, et son suppléant, M. Dominique Bordes. b) Pour les salariés : M. Pierre Andrac, titulaire, et son suppléant, M. Lôrent Creveuil ; M. Alex Mattéi, titulaire, et son suppléant, M. Christophe Grindel ; M. Christian Sevette, titulaire, et son suppléant, M. Patrick Hebert.

3. En tant que personnalités qualifiées Lieutenant-colonel Alex Maire, titulaire, et son suppléant, M. Bernard Nouvier ; M. Jean-Pierre Delmas, titulaire, et son suppléant, M. Jean-Louis Montheil. Art. 2. − Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française. Fait à Paris, le 25 novembre 2005. RENAUD DONNEDIEU DE VABRES

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CONVENTIONS COLLECTIVES

MINISTÈRE DE L’EMPLOI, DE LA COHÉSION SOCIALE ET DU LOGEMENT

Avis relatif à l’extension d’accords régionaux (Auvergne) conclus dans le cadre de la convention collective nationale des ouvriers employés par les entreprises du bâtiment non visées par le décret du 1er mars 1962 (c’est-à-dire occupant plus de dix salariés)

NOR : SOCT0512368V

En application de l’article L. 133-8 du code du travail, le ministre de l’emploi, de la cohésion sociale et du logement envisage de prendre un arrêté tendant à rendre obligatoires, pour tous les employeurs et tous les salariés entrant dans leur champ d’application, les dispositions des accords ci-après indiqués. Le texte de ces accords a été déposé à la direction départementale du travail, de l’emploi et de la formation professionnelle du lieu de leur conclusion, où il pourra en être pris connaissance. Dans un délai de quinze jours, les organisations professionnelles et toutes personnes intéressées sont priées de faire connaître leurs observations et avis au sujet de la généralisation envisagée. Leurs communications devront être adressées au ministère de l’emploi, de la cohésion sociale et du logement (DRT, bureau NC 1), 39-43, quai André-Citroën, 75902 Paris Cedex 15. Accords dont l’extension est envisagée : Deux accords du 10 octobre 2005. Dépôt : Direction départementale du travail, de l’emploi et de la formation professionnelle du Puy-de-Dôme, à Clermont-Ferrand. Objet : Salaires minima ; Indemnités de repas et de petits déplacements. Signataires : Fédération française du bâtiment (FFB), région Auvergne ; CAPEB Auvergne ; FRAA SCOP BTP Auvergne ; Organisations syndicales de salariés intéressées rattachées à la CGT-FO, à la CFE-CGC, à la CFTC et à la CFDT.

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Décrets, arrêtés, circulaires

CONVENTIONS COLLECTIVES

MINISTÈRE DE L’EMPLOI, DE LA COHÉSION SOCIALE ET DU LOGEMENT

Avis relatif à l’extension d’accords régionaux (Auvergne) conclus dans le cadre de la convention collective nationale des ouvriers employés par les entreprises du bâtiment visées par le décret du 1er mars 1962 (entreprises occupant jusqu’à dix salariés)

NOR : SOCT0512369V

En application de l’article L. 133-8 du code du travail, le ministre de l’emploi, de la cohésion sociale et du logement envisage de prendre un arrêté tendant à rendre obligatoires, pour tous les employeurs et tous les salariés entrant dans leur champ d’application, les dispositions des accords ci-après indiqués. Le texte de ces accords a été déposé à la direction départementale du travail, de l’emploi et de la formation professionnelle du lieu de leur conclusion, où il pourra en être pris connaissance. Dans un délai de quinze jours, les organisations professionnelles et toutes personnes intéressées sont priées de faire connaître leurs observations et avis au sujet de la généralisation envisagée. Leurs communications devront être adressées au ministère de l’emploi, de la cohésion sociale et du logement (DRT, bureau NC 1), 39-43, quai André-Citroën, 75902 Paris Cedex 15. Textes dont l’extension est envisagée : Deux accords du 10 octobre 2005. Dépôt : Direction départementale du travail, de l’emploi et de la formation professionnelle du Puy-de-Dôme, à Clermont-Ferrand. Objet : Salaires minima ; Indemnités de repas et de petits déplacements. Signataires : Fédération française du bâtiment (FFB), région Auvergne ; CAPEB Auvergne ; FRAA SCOP BTP Auvergne ; Organisations syndicales de salariés intéressées rattachées à la CGT-FO, à la CFDT, à la CFTC et à la CFE-CGC.

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Cour des comptes

Avis du premier président de la Cour des comptes relatif à la nomination au tour extérieur à la Cour des comptes

NOR : CPTE0500002V

Nominations au tour extérieur à la Cour des comptes. Besoins de ce corps en 2006 (application de l’article 2-1 de la loi no 94-530 du 28 juin 1994 relative à certaines modalités de nomination dans la fonction publique de l’Etat et aux modalités d’accès de certains fonctionnaires à des fonctions privées et de l’article R.* 122-1 du code des juridictions financières) I. – D’une façon générale, les fonctionnaires ou agents publics nommés à la Cour des comptes au tour extérieur devraient tous avoir acquis, dans leur carrière antérieure, soit une bonne expérience de l’administration, particulièrement en matière économique, financière et sociale, soit une pratique éprouvée de la fonction de contrôle, soit les deux. La cour souhaite également s’attacher les compétences de juristes confirmés, en droit public comme en droit privé. S’agissant de l’accession au grade de conseiller maître au tour extérieur, une telle nomination implique l’exercice de fonctions d’encadrement à un haut niveau et de responsabilités étendues de gestion. En outre, ces nominations au tour extérieur doivent répondre à différents besoins spécifiques. II. – Au titre de l’année 2006, il est prévu que deux emplois de conseiller référendaire de 2e classe devront être pourvus par la voie du tour extérieur.

1. L’application de la loi organique du 1er août 2001 Le vote de la loi organique et sa mise en œuvre représentent pour la cour un enjeu majeur. Au-delà des seuls aspects budgétaires, le contrôle de la gestion et la nécessité d’évaluer les performances des services justifient un élargissement des profils traditionnellement recrutés par la cour. Le recrutement d’économistes, de statisticiens, d’ingénieurs ou de « managers », au sens large, ainsi que de personnes ayant une expérience de l’évaluation apparaît nécessaire. La certification des comptes de l’Etat, mission nouvelle de la cour des comptes, rend particulièrement utiles à la cour les candidatures attestant de compétences en comptabilité, en audit comptable et en audit des systèmes d’information.

2. Contrôle de la sécurité sociale Depuis la réforme du 22 février 1996, « la Cour des comptes assiste le Parlement et le Gouvernement dans le contrôle de l’application des lois de financement de la sécurité sociale ». La loi organique no 96-646 du 22 juillet 1996 charge la cour d’établir chaque année un rapport sur l’application des lois de financement de la sécurité sociale. Par ailleurs, la loi du 2 août 2005 relative aux lois de financement de la sécurité sociale a confié à la cour des comptes deux nouvelles missions : d’une part « certifier la régularité, la sincérité et la fidélité des comptes des caisses nationales et des comptes combinés du régime général » et, d’autre part, formuler un « avis sur la cohérence des tableaux d’équilibre par branche de l’ensemble des régimes obligatoires de base ainsi que les comptes par branche du régime général ». Ces dispositions rendent souhaitable le recrutement de candidats possédant une bonne expérience du domaine social et du contrôle des organismes de protection sociale.

3. Contrôles d’organismes à vocation scientifique, technologique ou industrielle Les interventions de la cour dans les domaines intéressant les sciences ou la technologie sont appelées à se développer en raison de l’évolution de l’économie, de la société et des actions de l’Etat. Elles sont conduites avec l’aide d’ingénieurs appartenant à divers corps de l’Etat (armement, télécommunications, ponts et chaussées, mines, aéronautique) mis à disposition ou détachés. La cour souhaiterait s’adjoindre de telles compétences à l’occasion des nominations au tour extérieur.

4. Les nouvelles technologies de l’information et de la communication

. L’utilisation des nouvelles technologies de l’information (NTIC), qui constitue un enjeu stratégique pour la .

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gestion budgétaire, comptable et financière de l’Etat et des organismes de protection sociale, l’est dans le même temps pour la juridiction qui doit être en mesure d’évaluer les systèmes d’information qui se mettent en place et à en utiliser les données. Des fonctionnaires ayant une expérience en matière de mise en place et de gestion de systèmes d’information seraient d’une grande utilité à la juridiction.

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Conseil supérieur de l’audiovisuel

Décision no 2005-916 du 15 novembre 2005 portant renouvellement d’un membre titulaire du comité technique radiophonique de Paris

NOR : CSAX0501916S

Le Conseil supérieur de l’audiovisuel, Vu la loi no 86-1067 du 30 septembre 1986 modifiée relative à la liberté de communication ; Vu le décret no 89-632 du 7 septembre 1989 relatif aux comités techniques prévus par l’article 29-3 de la loi du 30 septembre 1986 modifiée relative à la liberté de communication ; Après en avoir délibéré,

Décide : Art. 1er.−Le mandat de Mme Françoise Massit-Follea, membre titulaire du comité technique radiophonique de Paris, est reconduit pour quatre ans à compter du 24 novembre 2005. Art. 2. − La présente décision sera publiée au Journal officiel de la République française. Fait à Paris, le 15 novembre 2005. Pour le Conseil supérieur de l’audiovisuel : Le président, D. BAUDIS

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Conseil supérieur de l’audiovisuel

Décision no 2005-917 du 15 novembre 2005 portant attribution de fréquences à la société nationale de programme France 2

NOR : CSAX0501917S

Le Conseil supérieur de l’audiovisuel, Vu la loi no 86-1067 du 30 septembre 1986 modifiée relative à la liberté de communication, notamment le deuxième alinéa de son article 26 et ses articles 30-1 et 44 ; Vu le décret no 94-813 du 16 septembre 1994 portant approbation des cahiers des missions et des charges des sociétés France 2 et France 3 ; Vu le décret no 2003-620 du 4 juillet 2003 pris pour l’application de l’article 30-1 de la loi no 86-1067 du 30 septembre 1986 et relatif à la répartition et au préfinancement du coût des réaménagements des fréquences, et notamment son article 7 ; Considérant que le déploiement de la télévision numérique terrestre nécessite un réaménagement de certaines fréquences analogiques, actuellement attribuées à la société nationale de programme France 2, mais dont l’usage est incompatible directement ou indirectement avec des fréquences planifiées pour la télévision numérique terrestre ; Après en avoir délibéré,

Décide : Art. 1er.−L’usage des fréquences définies en annexe à la présente décision est attribué à la société nationale de programme France 2 pour la diffusion de son programme. L’attribution de ces fréquences est subordonnée aux conditions indiquées dans ladite annexe. Ces fréquences se substituent à celles précédemment attribuées pour la diffusion du programme de la société nationale de programme France 2 dans les zones du Castellet et d’Olmeto. Ces substitutions devront être effectuées sans délai. Ces substitutions ne seront pas effectuées si des solutions alternatives permettant d’assurer la continuité du service sont mises en place après accord entre le conseil et la société nationale de programme France 2. Art. 2. − La présente décision sera notifiée à la société nationale de programmes France 2 et publiée au Journal officiel de la République française. Fait à Paris, le 15 novembre 2005. Pour le Conseil supérieur de l’audiovisuel : Le président, D. BAUDIS

ANNEXE

ALTITUDE MAXIMALE AGGLOMÉRATION, SITE de l’antenne PAR MAXIMALE CANAL DÉCALAGE

Le Castellet - Le Plan...... 165 m 2 W (1) 27 H (*) – 32/12

Olmeto - Fozzano ...... 630 m 50 W (2) 62 H (*) + 32/12

(*) Changement de canal. (1) PAR de 1 W dans la direction d’azimut 150o, 2 W dans le secteur compris entre les directions d’azimuts 20o et 110o. (2) PAR de 30 W dans la direction d’azimut 50o, 50 W dans la direction d’azimut 315o, sous réserve de stabilisation à « 0 » du canal 62 d’Aullène.

Le CSA pourra ultérieurement, si le développement des réseaux de télévision l’exige, substituer aux canaux indiqués d’autres canaux permettant une réception de qualité équivalente. 1. Le bénéficiaire est tenu de communiquer au CSA les informations suivantes, dont il attestera l’exactitude : Informations communiquées dans un délai de deux mois après la mise en service : . – descriptif technique de l’installation (type et puissance nominale de l’émetteur, système d’antennes...) ; .

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– PAR maximale et diagramme de rayonnement théorique (H et V) ; – date de mise en service ; – compte rendu exhaustif de réalisation des mises en décalage, modification de décalage, modification de canaux et autres modifications mentionnées plus haut. Information communiquée sans délai si elle est disponible : – diagramme de rayonnement mesuré. Cette information est exigible sur demande expresse du conseil. 2. Dans le cas où les informations mentionnées en 1 seraient modifiées par la suite, le bénéficiaire communique au CSA une version actualisée dans un délai d’un mois. 3. Le bénéficiaire est également tenu de communiquer au CSA toutes les informations en sa possession sur la couverture de l’émetteur, en particulier les résultats des mesures de couverture effectuées dans la zone de service. 4. Si le CSA a constaté le non-respect des conditions techniques de l’autorisation, le bénéficiaire est tenu de faire procéder par un organisme agréé à une vérification de la conformité de son installation aux prescriptions figurant dans l’annexe technique de l’autorisation. Le bénéficiaire transmettra au CSA les résultats de cette vérification.

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Conseil supérieur de l’audiovisuel

Décision no 2005-918 du 15 novembre 2005 portant attribution de fréquences à la société nationale de programme France 3

NOR : CSAX0501918S

Le Conseil supérieur de l’audiovisuel, Vu la loi no 86-1067 du 30 septembre 1986 modifiée relative à la liberté de communication, notamment le deuxième alinéa de son article 26 et ses articles 30-1 et 44 ; Vu le décret no 94-813 du 16 septembre 1994 portant approbation des cahiers des missions et des charges des sociétés France 2 et France 3 ; Vu le décret no 2003-620 du 4 juillet 2003 pris pour l’application de l’article 30-1 de la loi no 86-1067 du 30 septembre 1986 et relatif à la répartition et au préfinancement du coût des réaménagements des fréquences, et notamment son article 7 ; Considérant que le déploiement de la télévision numérique terrestre nécessite un réaménagement de certaines fréquences analogiques, actuellement attribuées à la société nationale de programme France 3, mais dont l’usage est incompatible directement ou indirectement avec des fréquences planifiées pour la télévision numérique terrestre ; Après en avoir délibéré,

Décide : Art. 1er.−L’usage de la fréquence définie en annexe à la présente décision est attribué à la société nationale de programme France 3 pour la diffusion de son programme. L’attribution de ces fréquences est subordonnée aux conditions indiquées dans ladite annexe. Cette fréquence se substitue à celle précédemment attribuée pour la diffusion du programme de la société nationale de programme France 3 dans la zone du Castellet. Cette substitution devra être effectuée sans délai. Cette substitution ne sera pas effectuée si des solutions alternatives permettant d’assurer la continuité du service sont mises en place après accord entre le conseil et la société nationale de programme France 3. Art. 2. − La présente décision sera notifiée à la société nationale de programme France 3 et sera publiée au Journal officiel de la République française. Fait à Paris, le 15 novembre 2005. Pour le Conseil supérieur de l’audiovisuel : Le président, D. BAUDIS

ANNEXE

ALTITUDE MAXIMALE AGGLOMÉRATION, SITE de l’antenne PAR MAXIMALE CANAL DÉCALAGE

Le Castellet - Le Plan...... 165 m 2 W (1) 37 H (*) + 32/12

(*) Changement de canal. (1) PAR de 1 W dans la direction d’azimut 150o ; 2 W dans le secteur compris entre les directions d’azimuts 20o et 110o.

Le Conseil supérieur de l’audiovisuel pourra ultérieurement, si le développement des réseaux de télévision l’exige, substituer au canal indiqué un autre canal permettant une réception de qualité équivalente. 1. Le bénéficiaire est tenu de communiquer au Conseil supérieur de l’audiovisuel les informations suivantes, dont il attestera l’exactitude : Informations communiquées dans un délai de deux mois après la mise en service : – descriptif technique de l’installation (type et puissance nominale de l’émetteur, système d’antennes...) ; – PAR maximale et diagramme de rayonnement théorique (H et V) ; – date de mise en service ; – compte rendu exhaustif de réalisation des mises en décalage, modifications de décalage, modifications de . canaux et autres modifications mentionnées plus haut. .

. . 6 décembre 2005 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 73 sur 118

Information communiquée sans délai si elle est disponible : – diagramme de rayonnement mesuré. Cette information est exigible sur demande expresse du conseil. 2. Dans le cas où les informations mentionnées en 1 seraient modifiées par la suite, le bénéficiaire communique au Conseil supérieur de l’audiovisuel une version actualisée dans un délai d’un mois. 3. Le bénéficiaire est également tenu de communiquer au Conseil supérieur de l’audiovisuel toutes les informations en sa possession sur la couverture de l’émetteur, en particulier les résultats des mesures de couverture effectuées dans la zone de service. 4. Si le Conseil supérieur de l’audiovisuel a constaté le non-respect des conditions techniques de l’autorisation, le bénéficiaire est tenu de faire procéder, par un organisme agréé, à une vérification de la conformité de son installation aux prescriptions figurant dans l’annexe technique de l’autorisation. Le bénéficiaire transmettra au Conseil supérieur de l’audiovisuel les résultats de cette vérification.

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. . 6 décembre 2005 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 74 sur 118

Conseil supérieur de l’audiovisuel

Information relative à la désignation des présidents des comités techniques radiophoniques de Paris et des Antilles-Guyane

NOR : CSAX0507045X

Par décision du vice-président du Conseil d’Etat en date du 25 octobre 2005, M. André Schilte, président du tribunal administratif de Cergy-Pontoise, est désigné dans les fonctions de président du comité technique radiophonique de Paris pour une durée de quatre ans à compter du 25 novembre 2005 et M. Jean Brenier, président des tribunaux administratifs de Basse-Terre, Cayenne, Fort-de-France et Saint-Pierre, est désigné dans les fonctions de président du comité technique radiophonique des Antilles-Guyane pour une durée de quatre ans à compter du 12 novembre 2005.

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Conseil supérieur de l’audiovisuel

Résultats de délibérations

NOR : CSAX0505340X

Par délibération en date du 11 octobre 2005, le Conseil supérieur de l’audiovisuel a décidé, en application de l’article 28-3 de la loi du 30 septembre 1986 modifiée, d’autoriser l’association Union des commerçants, artisans et industriels à diffuser un service de radio par voie hertzienne terrestre dénommé Radio Jonzac-Haute Saintonge à partir de la ville de Jonzac (17) pendant la période du 1er octobre au 31 décembre 2005 : Site : Jonzac (17). Puissance apparente rayonnée omnidirectionnelle : 50 W. Fréquence : 91,4 MHz.

NOR : CSAX0505341X

Par délibération en date du 8 novembre 2005, le Conseil supérieur de l’audiovisuel a décidé, en application de l’article 28-3 de la loi du 30 septembre 1986 modifiée, d’autoriser le Groupement d’expansion économique de Ploërmel à diffuser un service de radio par voie hertzienne terrestre dénommé Radio Quinzaine Ploërmel du 30 novembre au 17 décembre 2005 : Site : église de Ploërmel, place d’Armes, 56800 Ploërmel. Puissance : 100 W. Fréquence : 99,9 MHz.

NOR : CSAX0505342X

Par délibération en date du 8 novembre 2005, le Conseil supérieur de l’audiovisuel a décidé, en application de l’article 28-3 de la loi du 30 septembre 1986 modifiée, d’autoriser l’Union des commerçants industriels et artisans de Guérande à diffuser un service de radio par voie hertzienne terrestre dénommé RGF, La Radio de Guérande en Fête du 17 novembre au 4 décembre 2005 : Site : 44350 Guérande. Puissance : 50 W. Fréquence : 107,4 MHz.

NOR : CSAX0505343X

Par délibération en date du 8 novembre 2005, le Conseil supérieur de l’audiovisuel a décidé, en application de l’article 28-3 de la loi du 30 septembre 1986 modifiée, d’autoriser l’association Essor cotterézien du commerce de l’artisanat à diffuser un service de radio par voie hertzienne terrestre dénommé Radio Kado Villers du 1er décembre 2005 au 3 janvier 2006 : Site : 02604 Villers-Cotterêts. Puissance : 50 W. Fréquence : 99,10 MHz.

NOR : CSAX0505344X

Par délibération en date du 15 novembre 2005, le Conseil supérieur de l’audiovisuel a décidé, en application de l’article 28-3 de la loi du 30 septembre 1986 modifiée, d’autoriser l’association Positif Radio à diffuser un service de radio par voie hertzienne terrestre dénommé Positif Radio à partir de la mairie de Lagos (64) pendant la période du 15 novembre 2005 au 15 mai 2006. Site : Lagos (64). Puissance apparente rayonnée omnidirectionnelle : 100 W. . Fréquence : 107,5 MHz. .

. . 6 décembre 2005 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 76 sur 118

Autorité de régulation des communications électroniques et des postes

Décision no 2005-0988 du 8 novembre 2005 fixant le taux de rémunération du capital employé pour évaluer les tarifs du dégroupage de la boucle locale de France Télécom pour les années 2006 et 2007

NOR : ARTE0500105S

L’Autorité de régulation des communications électroniques et des postes, Vu le code des postes et des communications électroniques, et notamment ses articles D. 311 et D. 312 ; Vu la décision no 2003-1094 de l’Autorité de régulation des télécommunications en date du 7 octobre 2003 fixant le taux de rémunération du capital employé pour évaluer les tarifs d’interconnexion et les tarifs du dégroupage de la boucle locale de France Télécom pour l’année 2004 ; Vu la décision no 2005-0277 de l’Autorité de régulation des télécommunications en date du 19 mai 2005 portant sur les obligations imposées à France Télécom en tant qu’opérateur exerçant une influence significative sur le marché de gros de l’accès dégroupé à la boucle locale cuivre et à la sous-boucle locale cuivre ; Vu la décision no 2005-0789 de l’Autorité de régulation des communications électroniques et des postes en date du 7 octobre 2005 relative à la fixation de la valeur définitive du taux de rémunération du capital pour le calcul du coût net définitif du service universel pour l’année 2004 prévu par l’article R. 20-37 du code des postes et des communications électroniques ; Vu la position commune ERG (05) 29 de 2005 du Groupe des régulateurs européens « Guidelines for implementing the Commission Recommendation C (2005) 3480 on Accounting Separation and Cost Accounting Systems under the Regulatory Framework for Electronic Communications » ; Après en avoir délibéré le 8 novembre 2005,

I. − Cadre juridique Dans l’ancien cadre réglementaire, le code des postes et des télécommunications (art. D. 99-23 et suivants) imposait à France Télécom de faire droit aux demandes raisonnables d’accès à la boucle locale. Les tarifs de cet accès devaient être orientés vers les coûts et l’article D. 99-24 imposait des prescriptions en ce qui concerne les principes tarifaires applicables. Sur le fondement de ce même article, l’Autorité a été amenée à préciser la méthode retenue de calcul des coûts moyens incrémentaux de long terme relatifs à l’accès à la boucle locale, par une décision no 2000-1171 du 30 octobre 2000, modifiée le 24 mars 2005. Le nouveau cadre juridique mis en place par la loi du 9 juillet 2004 susvisée impose à l’Autorité de mener une analyse des marchés pertinents du secteur des communications électroniques afin de constater l’existence ou non d’opérateur disposant d’une influence significative et d’imposer les obligations proportionnées aux objectifs de régulation répondant aux problèmes de concurrence constatés. Enfin, le décret no 2004-1301 du 26 novembre 2004 a abrogé notamment les dispositions du code des postes et des télécommunications précitées relatives au dégroupage. Conformément à ce nouveau dispositif réglementaire, l’Autorité a mené l’analyse du marché de gros des offres d’accès dégroupé à la boucle locale cuivre et à la sous-boucle locale cuivre. France Télécom a été déclarée opérateur disposant d’une influence significative sur ce marché et l’Autorité a, par sa décision no 2005-0277 susvisée, imposé un ensemble d’obligations afin de remédier aux problèmes de concurrence constatés. Les obligations ainsi imposées le sont en vertu de l’article 11 de cette décision jusqu’au 1er mai 2008, sans préjudice d’un éventuel réexamen anticipé dans les conditions fixées à l’article D. 303 du code des postes et des communications électroniques. L’Autorité a notamment prescrit une obligation de contrôle tarifaire. Ainsi, l’article 9 de cette décision dispose que : « France Télécom doit offrir les prestations d’accès dégroupé à la boucle locale cuivre et à la sous-boucle locale cuivre ainsi que les prestations associées à des tarifs reflétant les coûts correspondants, en respectant en particulier les principes d’efficacité, de non-discrimination et de concurrence effective et loyale. » Lorsqu’elle impose une obligation d’orientation vers les coûts, l’Autorité doit veiller « à assurer une rémunération raisonnable des capitaux employés, compte tenu du risque encouru », aux termes de l’article D. 311 du CPCE. Cette notion de rémunération raisonnable se traduit à travers la détermination par l’Autorité du taux de rémunération du capital, comme le précise l’article D. 312 : « L’Autorité détermine le taux de rémunération du capital utilisé. Ce taux tient compte du coût moyen pondéré des capitaux de l’opérateur concerné et de celui que supporterait un investisseur dans les activités de . communications électroniques en France. » .

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II. − Décisions antérieures Pour l’année 2004, l’Autorité avait fixé, dans sa décision no 2003-1094 susvisée, le taux de rémunération du capital employé à 10,4 % pour l’interconnexion et le dégroupage.

III. − Méthode employée par l’Autorité

La méthode La mesure du coût du capital est un sujet sur lequel l’Autorité a sollicité des expertises extérieures durant plusieurs années. Elle a notamment confié des études à des cabinets spécialisés en finance. Au cours des différents exercices, de nombreux échanges ont ainsi permis de consolider et d’améliorer la méthode, fondée sur le coût moyen pondéré du capital et le modèle d’équilibre des actifs financiers (MEDAF), ainsi que le préconisent l’article D. 312 du CPCE et la position commune du GRE sur la séparation comptable et la comptabilisation des coûts susvisés. De nombreux points ont ainsi pu être arbitrés et sont reconduits dans la présente évaluation.

Les contingences dans l’évaluation de certains paramètres Il est apparu depuis quelques années que plusieurs paramètres utilisés par l’Autorité dans la méthode de détermination du taux de rémunération du capital étaient soumis à certaines contingences, peu compatibles avec l’évaluation de coûts d’investissements engagés sur un horizon de long terme. Concernant plus particulièrement l’appréciation du risque tel qu’il est utilisé dans le MEDAF, il est apparu en 2002 que la très forte augmentation de la volatilité boursière, et en particulier des titres télécoms, rendait difficile son évaluation en se fondant uniquement sur des données de marché souvent polluées par des comportements spéculatifs. Par ailleurs, les évolutions de valorisation et de structure de capital de France Télécom au cours des années récentes, ainsi que la stratégie de cet opérateur à l’international, sont autant d’éléments qui viennent perturber l’évaluation du coût du capital pertinent pour les activités régulées.

La mise en œuvre d’une approche de long terme Sur la base de ces constats, l’Autorité a cherché, à méthode constante, à prendre en compte des paramètres évalués dans une perspective de plus long terme et fondés sur des raisonnements moins contingents. Cette évolution a été préparée notamment à travers différents échanges au cours de l’année 2003 : – échanges multilatéraux avec le secteur ; – séminaire public ; – appels à commentaires. L’Autorité considère qu’une approche de long terme est souhaitable pour le secteur et que les paramètres cible évalués en 2003 restent pertinents pour les années 2006 et 2007, ainsi que développé ci-après.

IV. − Evaluation du taux pour les années 2006 et 2007 Le coût du capital est calculé comme une moyenne pondérée entre : – le coût des capitaux propres, correspondant au taux de rentabilité demandé par les actionnaires de l’entreprise pour l’activité considérée ; – le coût de la dette de l’opérateur. Cette pondération est basée sur une structure d’endettement cible.

La mesure du coût des capitaux propres Conformément à la position commune du GRE susvisée et aux décisions antérieures de l’Autorité, le coût des capitaux propres est évalué selon le modèle d’équilibre des actifs financiers (MEDAF) selon la formule : ͱ ke = Rf + (Rm – Rf) et nécessite l’établissement des paramètres suivants :

– le taux sans risque Rf : la valeur du taux sans risque de référence choisie par l’Autorité est celle des obligations assimilables du Trésor (indice TEC à 10 ans). Pour les années 2006 et 2007, l’Autorité s’est référée aux prévisions des analystes financiers. Pour l’année 2006, celles-ci varient entre 3,35 % et 3,8 % lorsqu’elles reposent sur des analyses de cours. Pour l’année 2007, une légère hausse est anticipée par les acteurs et pourrait conduire à un taux sans risque compris entre 3,5 % et 4 %. Par ailleurs, l’utilisation d’un modèle d’équilibre de long terme conduirait à utiliser un taux plus élevé, . proche de 6 %. .

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Compte tenu de ces éléments, l’Autorité a retenu pour les années 2006 et 2007 un taux sans risque moyen de 3,7 % ;

– la prime de marché (Rm – Rf) : l’Autorité s’est appuyée sur les différentes études et analyses dont elle a eu connaissance pour retenir la prime de marché correspondant au taux de rentabilité attendu par les investisseurs. Elle a retenu une prime de marché de 5 % ; – le risque spécifique de l’investissement ͱ (bêta) lié à l’activité fixe : pour évaluer ce risque, l’Autorité a comparé les données financières disponibles pour France Télécom à des échantillons d’opérateurs européens comparables. Elle a par ailleurs confronté ce résultat aux valeurs retenues par différents régulateurs européens pour le calcul de taux de rémunération comparables. Ces différentes approches permettent de retenir un bêta de 1. Conformément aux décisions précédentes, l’Autorité n’a pas pris en compte l’avoir fiscal, comme c’est la pratique en France pour le calcul du coût des capitaux propres. Le coût des fonds propres avant impôt ainsi calculé est de 13,3 %.

La mesure du coût de la dette L’Autorité a déterminé le coût de la dette à partir du taux sans risque défini précédemment, auquel s’ajoute une prime de risque de la dette de l’entreprise. Ce coût de la dette avant impôt a été évalué à 4,7 % pour les années 2006 et 2007. Il incorpore une prime de dette de 1 %. La valeur de cette prime de dette est prospective et s’applique à des investissements de long terme. Elle se situe aujourd’hui entre le coût moyen et le coût immédiat de la dette de France Télécom, et est cohérente avec la structure d’endettement retenue.

V. − Taux de rémunération du capital nominal Le coût du capital s’établit à la moyenne pondérée de ces deux valeurs, soit 9,8 %. L’évolution du niveau de ce taux par rapport à celui établi par la décision 2005-0789 résulte principalement de la baisse observée du taux sans risque.

VI. − Lien avec le taux de rémunération du capital réel La méthode de valorisation de la boucle locale cuivre, utilisée pour la tarification du dégroupage total, utilise principalement un taux de rémunération réel, c’est-à-dire hors effet de l’inflation. Ce taux se déduit donc du taux nominal calculé ci-dessus par la formule suivante :

1 + an = (1 + ar)*(1 + i)

où : an représente le taux de rémunération du capital nominal ;

ar le taux de rémunération du capital réel ; et i l’inflation. Selon le projet de loi de finances pour 2006 (1), l’inflation devrait être de 1,8 % en moyenne annuelle en 2006. Cette prévision semble pouvoir être prolongée en 2007. L’Autorité a donc retenu une progression des prix de 1,8 % en moyenne sur ces deux années. Cette hypothèse est donc compatible avec un taux réel de 7,9 % pour les années 2006 et 2007,

Décide : Art. 1er.−Le taux de rémunération du capital nominal avant impôt, utilisé pour évaluer les tarifs du dégroupage, est fixé à 9,8 % pour les années 2006 et 2007. Art. 2. − Le directeur général de l’Autorité de régulation des communications électroniques et des postes est chargé de l’exécution de la présente décision, qui sera publiée au Journal officiel et notifiée à France Télécom. Fait à Paris, le 8 novembre 2005. Le président, P. CHAMPSAUR

(1) Rapport social, économique et financier du ministère des finances, tome I, Perspectives économiques 2005-2006 et évolution des finances publiques.

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Informations parlementaires

ASSEMBLÉE NATIONALE Session ordinaire de 2005-2006

ORDRE DU JOUR

NOR : INPX0502839X

Mardi 6 décembre 2005 A 9 h 30. – 1re séance publique : Questions orales sans débat : No 1315 de M. Augustin Bonrepaux à M. le ministre des transports, de l’équipement, du tourisme et de la mer (Dysfonctionnements sur la ligne SNCF Toulouse-La Tour de Carol). No 1335 de Mme Nathalie Kosciusko-Morizet à M. le ministre des transports, de l’équipement, du tourisme et de la mer (Nuisances sonores dues au trafic de l’aéroport d’Orly). No 1325 de M. Bruno Bourg-Broc à M. le ministre des transports, de l’équipement, du tourisme et de la mer (Entretien de l’éclairage de la RN 44 à Châlons-en-Champagne). No 1332 de M. Etienne Mourrut à M. le ministre des transports, de l’équipement, du tourisme et de la mer (Contournement ferroviaire de Nîmes et Montpellier). No 1333 de M. Marc Reymann à M. le ministre des transports, de l’équipement, du tourisme et de la mer (Montant des taxes et redevances de l’aéroport de Strasbourg). No 1323 de M. René André à M. le ministre des transports, de l’équipement, du tourisme et de la mer (Interprétation de la notion de hameau dans la loi littoral). No 1316 de M. David Habib à M. le ministre de la santé et des solidarités (Situation du centre hospitalier d’Orthez). No 1320 de Mme Jacqueline Fraysse à M. le ministre de la santé et des solidarités (Développement du fichier de donneurs de moelle osseuse). No 1322 de M. Claude Leteurtre à M. le ministre de la santé et des solidarités (Suivi psychiatrique au centre de détention de Caen). No 1327 de M. Georges Colombier à M. le ministre de la santé et des solidarités (Conditions de création d’officines de pharmacie en zone rurale). No 1326 de M. Gérard Cherpion à M. le ministre délégué à la sécurité sociale, aux personnes âgées, aux personnes handicapées et à la famille (Construction d’un restaurant d’entreprise en partenariat avec l’ADAPEI à Saint-Michel-sur-Meurthe dans les Vosges). No 1336 de M. Lionnel Luca à M. le ministre d’Etat, ministre de l’intérieur et de l’aménagement du territoire (Formalités de renouvellement de la carte d’identité). No 1328 de M. Alain Gest à M. le ministre de l’agriculture et de la pêche (Conditions d’attribution des droits à paiement unique aux agriculteurs). No 1329 de M. Thierry Mariani à M. le ministre de l’agriculture et de la pêche (Financement de l’enseignement agricole privé sous contrat). No 1317 de M. Jean-Claude Bateux à M. le ministre de l’économie, des finances et de l’industrie (Gestion financière des fonds de solidarité pour le logement). No 1319 de M. Marcel Dehoux à M. le ministre de l’économie, des finances et de l’industrie (Perspectives de la convention fiscale avec la Belgique). No 1331 de M. Gilbert Meyer à M. le ministre de l’économie, des finances et de l’industrie (Couverture en téléphonie mobile du Haut-Rhin). No 1314 de M. Christophe Masse à M. le garde des sceaux, ministre de la justice (Création d’un centre pénitentiaire pour mineurs à Marseille). No 1338 de M. Nicolas Perruchot à M. le ministre de l’éducation nationale, de l’enseignement supérieur et de la recherche (Situation de l’enseignement agricole dans la région Centre). No 1318 de Mme Martine Lignières-Cassou à M. le ministre de l’emploi, de la cohésion sociale et du logement (Revendications des personnels chargés de missions d’insertion professionnelle des jeunes). No 1324 de M. Emile Blessig à M. le ministre de l’emploi, de la cohésion sociale et du logement (Conditions . d’attribution de l’aide personnalisée au logement). .

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No 1337 de M. Jacques Remiller à M. le ministre de l’emploi, de la cohésion sociale et du logement (Fermeture de l’usine Kodak de Vienne). No 1330 de M. Hughes Martin à M. le ministre de l’emploi, de la cohésion sociale et du logement (Conséquences de l’automatisation des stations service). No 1334 de M. Daniel Garrigue à M. le ministre de la fonction publique (Droits à la cessation anticipée d’activité des agents de la SNPE de Bergerac exposés à l’amiante). No 1321 de M. André Chassaigne à Mme la ministre de la défense (Financement de la construction de gendarmeries dans le Puy-de-Dôme). A 15 heures. – 2e séance publique : 1. Questions au Gouvernement. 2. Explications de vote et vote, par scrutin public, sur l’ensemble du projet de loi relatif au retour à l’emploi et au développement de l’emploi (nos 2668-2684). 3. Discussion : – du projet de loi organique, adopté par le Sénat (no 2576), modifiant les dates des renouvellements du Sénat ; – du projet de loi, adopté par le Sénat (no 2577), prorogeant la durée du mandat des conseillers municipaux et des conseillers généraux renouvelables en 2007. Rapport (no 2716) de M. Francis Delattre, au nom de la commission des lois constitutionnelles, de la législation et de l’administration générale de la République (discussion générale commune). A 21 h 30. – 3e séance publique : Suite de l’ordre du jour de la deuxième séance.

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Informations parlementaires

ASSEMBLÉE NATIONALE Session ordinaire de 2005-2006

CONFÉRENCE DES PRÉSIDENTS

NOR : INPX0502804X

Convocation La conférence, constituée conformément à l’article 48 du règlement, est convoquée pour le mardi 6 décembre 2005, à 10 heures, dans les salons de la présidence.

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Informations parlementaires

ASSEMBLÉE NATIONALE Session ordinaire de 2005-2006

COMMISSIONS

NOR : INPX0502835X

1. Réunions

Mardi 6 décembre 2005 Commission des affaires économiques, de l’environnement et du territoire (salle de la commission) : A 16 h 15 : – audition de M. Pierre Gadonneix, président d’EDF. A 17 h 45 : – sécurité et développement des transports (no 2604) (rapport). Commission des affaires étrangères, à 16 h 30 (salle de la commission) : – audition de M. Olli Rehn, commissaire européen chargé de l’élargissement. Commission de la défense nationale et des forces armées, à 16 h 30 (salle de la commission) : – audition des représentants des syndicats des personnels civils de la défense. Commission des lois constitutionnelles, de la législation et de l’administration générale de la République, à 14 h 30 (salle de la commission) : – modification des dates des renouvellements du Sénat (no 2576) (amendements, art. 88) ; – prorogation de la durée du mandat des conseillers municipaux et des conseillers généraux (no 2577) (amendements, art. 88) ; – nomination d’un rapporteur. Mission d’information sur les risques et les conséquences de l’exposition à l’amiante (salle no 6550) : A 16 h 15 : – audition de M. Robert Finielz, avocat général près la Cour de cassation. A 18 heures : – audition de M. Alain Saffar, sous-directeur de la justice pénale spécialisée à la direction des affaires criminelles et des grâces.

Mercredi 7 décembre 2005 Commission des affaires culturelles, familiales et sociales : A 9 h 30 (salle de la commission) : – égalité salariale (deuxième lecture) (no 2470) (rapport) ; – thèmes d’étude de la mission d’évaluation et de contrôle des lois de financement de la sécurité sociale (MECSS) pour 2007. Commission des affaires économiques, de l’environnement et du territoire, à 16 h 15 (salle de la commission) : – audition, conjointe avec la commission des affaires étrangères, de Mme Christine Lagarde, ministre déléguée au commerce extérieur ; – proposition de résolution commerce du vin (no 2686) (rapport). Commission des affaires étrangères : A 10 heures (salle de la commission) : . – audition de M. Stefan Meller, ministre des affaires étrangères de la République de Pologne. .

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A 16 h 15 (salle no 6241) : – audition, conjointe avec la commission des affaires économiques, de Mme Christine Lagarde, ministre déléguée au commerce extérieur. Commission de la défense nationale et des forces armées, à 10 heures (salle de la commission) : – service militaire adapté (rapport d’information). Commission des finances, de l’économie générale et du Plan (salle de la commission) : A 11 heures : – nomination d’un rapporteur ; – projet de loi de finances rectificative pour 2005 (no 2700) (amendements, art. 88). A 18 heures : – sécurité et développement des transports (no 2604) (avis). Commission des lois constitutionnelles, de la législation et de l’administration générale de la République, à 10 heures (salle de la commission) : – prévention et répression des violences au sein du couple (no 2219) (rapport) ; – offres publiques d’acquisition (no 2612) (avis) ; – proposition création commission d’enquête sur les causes des dysfonctionnements de la justice dans l’affaire dite d’Outreau (no 2722) (rapport). Mission d’information sur l’effet de serre (salle no 6550) : A 9 h 30 : – table ronde, ouverte à la presse, sur les effets sanitaires du changement climatique. A 11 heures : – table ronde, ouverte à la presse, sur les effets du changement climatique sur le milieu naturel, les espèces, la forêt et l’agriculture. Mission d’information sur la famille et les droits des enfants, à 9 heures (salle Lamartine) : – auditions, ouvertes à la presse : –à 9 heures : M. Olivier Abel, membre de la commission Eglise et société de la Fédération protestante de France ; –à 10 heures : M. Joseph Sitruk, grand rabbin de France ; –à 11 heures : M. Dalil Boubakeur, président du Conseil français du culte musulman ; –à 12 heures : audition de Mgr André Vingt-Trois, archevêque de Paris. A 16 h 15 (salle no 6549) : – table ronde, ouverte à la presse, sur l’évolution du droit de la famille réunissant : – M. Claude Vaillant, grand orateur du Grand Orient de France ; – Mme Marie-Françoise Blanchet, grande maîtresse de la Grande Loge féminine de France ; – M. Jean-Pierre Pilorge, grand secrétaire de la Grande Loge nationale française ; – M. Jean Eisenbeis, président du Conseil national de la Fédération française du droit humain ; – M. Guy Dupuy, membre de la Grande Loge de France. Mission d’information sur la grippe aviaire : mesures préventives (salle de la commission des affaires économiques, no 6241) : – auditions, ouvertes à la presse : –à 9 h 30 : Mme Bernadette Murgue et M. Vincent Robert, chargés de mission sur les questions de santé à l’Institut de recherche pour le développement (IRD) ; –à 10 h 30 : M. Bernard Vallat, directeur général de l’Organisation internationale des épizooties (OIE) ; –à 11 h 45 : un représentant du laboratoire Merial, fabricant de médicaments et vaccins vétérinaires.

Jeudi 8 décembre 2005 Commission des finances, de l’économie générale et du Plan, à 9 heures (salle de la commission) : – éventuellement, projet de loi de finances rectificative pour 2005 (no 2700) (amendements, art. 91).

Jeudi 15 décembre 2005 Commission des affaires culturelles, familiales et sociales : Mission d’évaluation et de contrôle des lois de financement de la sécurité sociale (salle Lamartine) : A 9 heures : . – préparation des auditions avec les membres de la Cour des comptes. .

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A 9 h 30 : – auditions, ouvertes à la presse, sur le financement des établissements d’hébergement des personnes âgées : – 9 h 30 : M. Yves Humez, directeur général de la Caisse centrale de la mutualité sociale agricole (CCMSA) ; – 10 h 30 : M. Pascal Champvert, président de l’Association des directeurs d’établissements d’hébergement pour les personnes âgées (ADEHPA), et M. Claude Jarry, président de la Fédération nationale des associations de directeurs d’établissements et services pour personnes âgées (FNADEPA) ; – 11 h 30 : M. Yves Journel, président du Syndicat national des établissements et résidences privées pour personnes âgées (SYNERPA), et Mme Florence Arnaiz-Maumé, déléguée générale du SYNERPA, M. Emmanuel Duret, président de la Fédération des établissements hospitaliers et d’assistance privés à but non lucratif (FEHAP), et M. Yves-Jean Dupuis, directeur de la FEHAP.

2. Ordre du jour prévisionnel

Lundi 12 décembre 2005 Commission des affaires culturelles, familiales et sociales, à 14 h 30 (salle de la commission) : – égalité salariale (deuxième lecture) (no 2470) (amendements, art. 88).

Mardi 13 décembre 2005 Commission des affaires culturelles, familiales et sociales, à 17 heures : – réunion, ouverte à la presse, en présence de M. Jean-Louis Borloo, ministre de l’emploi, de la cohésion sociale et du logement : – loi no 2005-32 du 18 janvier 2005 de programmation pour la cohésion sociale (rapport d’application). Commission des affaires économiques, de l’environnement et du territoire, à 14 heures : – sécurité et développement des transports (no 2604) (amendements, art. 88) ; – désignation de candidats à une éventuelle CMP. Commission de la défense nationale et des forces armées, à 16 h 30 : – audition de M. Hamlaoui Mékachéra, ministre délégué aux anciens combattants. Commission des finances, de l’économie générale et du Plan, à 16 h 15 : – désignation candidats éventuelle CMP ; – offres publiques d’acquisition (no 2612) (rapport). Commission des lois constitutionnelles, de la législation et de l’administration générale de la République : A 9 h 15 : – prévention et répression des violences au sein du couple (no 2219) (amendements, art. 88). A 16 h 30 : – droit de préemption et protection des locataires en cas de vente d’un immeuble (2e lecture) (no 2599) (rapport). Mission d’information sur l’effet de serre : La mission d’information se réunira à 9 h 30. Mission d’information sur la famille et les droits des enfants : La mission d’information se réunira à 16 h 15.

Mercredi 14 décembre 2005 Commission des affaires culturelles, familiales et sociales : A 9 h 30 : – volontariat associatif (no 2332) (rapport). A 16 h 15 : – réunion, ouverte à la presse, en présence de M. Xavier Bertrand, ministre de la santé et des solidarités, et de M. Philippe Bas, ministre délégué à la sécurité sociale, aux personnes âgées, aux personnes handicapées et à la famille : – loi no 2005-102 du 11 février 2005 pour l’égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes handicapées (rapport d’application). Commission des affaires économiques, de l’environnement et du territoire, à 11 h 30 : – audition de M. Jean-Louis Borloo, ministre de l’emploi, de la cohésion sociale et du logement, sur le . projet de loi portant engagement national sur le logement. .

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Commission des affaires étrangères, à 16 h 30 : – audition de M. Philippe Douste-Blazy, ministre des affaires étrangères. Commission de la défense nationale et des forces armées, à 16 h 30 : – condition militaire (rapport d’information). Mission d’information sur l’effet de serre : La mission d’information se réunira à 9 h 30. Mission d’information sur la famille et les droits des enfants : La mission d’information se réunira à 9 heures et à 16 h 15. Mission d’information sur les risques et les conséquences de l’exposition à l’amiante : La mission d’information se réunira à 9 h 30.

Jeudi 15 décembre 2005 Commission des lois constitutionnelles, de la législation et de l’administration générale de la République, à 9 h 15 : – droit de préemption et protection des locataires en cas de vente d’un immeuble (2e lecture) (no 2599) (amendements, art. 88).

Lundi 19 décembre 2005 Commission des affaires culturelles, familiales et sociales, à 14 h 45 : – volontariat associatif (no 2332) (amendements, art. 88).

Mardi 20 décembre 2005 Commission de la défense nationale et des forces armées, à 16 h 30 : – audition de M. Denis Ranque, président-directeur général de Thales. Commission des finances, de l’économie générale et du Plan, à 11 heures : – engagement national pour le logement (no 2709) (avis).

Mercredi 21 décembre 2005 Commission des affaires culturelles, familiales et sociales, à 16 h 15 : – réunion, ouverte à la presse, en présence de M. Hamlaoui Mékachéra, ministre délégué aux anciens combattants : – loi no 2005-158 du 23 février 2005 portant reconnaissance de la nation et contribution en faveur des rapatriés d’Algérie (rapport d’application).

3. Membres présents ou excusés Commission des affaires économiques, de l’environnement et du territoire : Réunion du lundi 5 décembre 2005 : Présents. – Léonce Deprez, Franck Gilard, Jean-Marc Lefranc, Michel Lejeune, Patrick Ollier, Hélène Tanguy. Excusés. – Serge Grouard, Odile Saugues, Philippe Tourtelier. Assistait également à la réunion. – Marc Francina. Commission des finances, de l’économie générale et du Plan : Réunion du lundi 5 décembre 2005 : Présents. – Philippe Auberger, Gilles Carrez. Excusés. – Bourguignon, Hériaud, Migaud.

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Informations parlementaires

ASSEMBLÉE NATIONALE Session ordinaire de 2005-2006

DÉLÉGATIONS PARLEMENTAIRES

NOR : INPX0502836X

1. Réunions

Mardi 6 décembre 2005 Délégation aux droits des femmes et à l’égalité des chances entre les hommes et les femmes (5e bureau) : A 17 heures : – audition, ouverte à la presse, de Mme Françoise Milewski, rédactrice en chef de l’Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE), et des membres de la mission, coauteurs du rapport « Les inégalités entre les femmes et les hommes : les facteurs de précarité ». A 18 heures : – prévention et répression des violences au sein du couple (no 2219) (rapport).

Mercredi 7 décembre 2005 Délégation de l’Assemblée nationale pour l’Union européenne, à 10 heures (9e bureau) : – audition, ouverte à la presse, de M. P. Nikiforos Diamandouros, Médiateur européen.

2. Ordre du jour prévisionnel

Mardi 13 décembre 2005 Délégation de l’Assemblée nationale pour l’Union européenne, à 16 h 30 : – taux réduits de TVA (communication) ; – perspectives financières 2007-2013 (comptes rendus).

Mardi 20 décembre 2005 Délégation de l’Assemblée nationale pour l’Union européenne, à 16 h 15 : – proposition de directive concernant l’accès au marché des services portuaires (rapport d’information) ; – préparatifs et résultats de la conférence ministérielle de l’Organisation mondiale du commerce (OMC) de Hong Kong (communication) ; – examen de textes soumis en application de l’article 88-4 de la Constitution.

Mercredi 21 décembre 2005 Délégation de l’Assemblée nationale pour l’Union européenne, à 16 h 15 : – audition de Mme Catherine Colonna, ministre déléguée aux affaires européennes, sur les conclusions du Conseil européen de Bruxelles des 15 et 16 décembre 2005.

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Informations parlementaires

ASSEMBLÉE NATIONALE Session ordinaire de 2005-2006

DOCUMENTS ET PUBLICATIONS

NOR : INPX0502832X

1. Document parlementaire

Dépôt du lundi 5 novembre 2005

Dépôt d’une proposition de résolution M. le président de l’Assemblée nationale et M. Philippe Houillon ont déposé, le 5 décembre 2005, une proposition de résolution tendant à la création d’une commission d’enquête chargée de rechercher les causes des dysfonctionnements de la justice dans l’affaire dite d’Outreau et de formuler des propositions pour éviter leur renouvellement. Cette proposition de résolution no 2722 est renvoyée à la commission des lois constitutionnelles, de la législation et de l’administration générale de la République, en application de l’article 83 du règlement.

2. Textes soumis en application de l’article 88-4 de la Constitution

Transmission Par lettre du 2 décembre 2005, M. le Premier ministre a transmis, en application de l’article 88-4 de la Constitution, à M. le président de l’Assemblée nationale les textes suivants : No E 3018. – Proposition de décision du Conseil concernant la signature et l’application provisoire d’un accord bilatéral entre la Communauté européenne et la République du Belarus sur le commerce de produits textiles (COM [2005] 610 final). No E 3019. – Livre vert sur l’avenir du réseau européen des migrations (COM [2005] 606 final).

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SÉNAT Session ordinaire de 2005-2006

ORDRE DU JOUR

NOR : INPX0502833X

Mardi 6 décembre 2005 A 9 h 30, à 15 heures et le soir : Suite de la discussion du projet de loi de finances pour 2006, adopté par l’Assemblée nationale (nos 98 et 99, 2005-2006) (M. Philippe Marini, rapporteur général de la commission des finances, du contrôle budgétaire et des comptes économiques de la nation). Deuxième partie. – Moyens des politiques publiques et dispositions spéciales : Sécurité : M. Aymeri de Montesquiou, rapporteur spécial (rapport no 99, annexe no 26). – M. Jean-Patrick Courtois, rapporteur pour avis de la commission des lois constitutionnelles, de législation, du suffrage universel, du règlement et d’administration générale (sécurité, avis no 104, tome VIII). – M. Jean Faure, raporteur pour avis de la commission des affaires étrangères, de la défense et des forces armées (gendarmerie, avis no 102, tome IX). Sécurité civile : M. Claude Haut, rapporteur spécial (rapport no 99, annexe no 27). – M. Charles Guené, rapporteur pour avis de la commission des lois constitutionnelles, de législation, du suffrage universel, du règlement et d’administration générale (avis no 104, tome IX). Agriculture, pêche, forêt et affaires rurales (+ article 74) : Compte d’affectation spéciale : développement agricole et rural : M. Joël Bourdin, rapporteur spécial (raport no 99, annexe no 3). – M. Gérard César, rapporteur pour avis de la commission des affaires économiques et du Plan (agriculture, avis no 101, tome I). – M. Jean-Marc Pastor, rapporteur pour avis de la commission des affaires économiques et du Plan (pêche, avis no 101, tome I). – M. Gérard Delfau, rapporteur pour avis de la commission des affaires économiques et du Plan (forêt et affaires rurales, avis no 101, tome I). Sécurité sanitaire (+ articles 86, 86 bis et 87) : Mme Nicole Bricq, rapporteur spécial (rapport no 99, annexe no 28). – M. Gilbert Barbier, rapporteur pour avis de la commission des affaires sociales (avis no 103, tome V). – M. Daniel Soulage, rapporteur pour avis de la commission des affaires économiques et du Plan (avis no 101, tome VIII).

Délai limite pour les inscriptions de parole dans les discussions précédant l’examen des crédits de chaque mission Le délai limite pour les inscriptions de parole dans les discussions précédant l’examen des crédits de chaque mission est fixé à la veille du jour prévu pour la discussion, à 11 heures.

Délai limite pour le dépôt des amendements aux crédits des missions pour le projet de loi de finances pour 2006 Le délai limite pour le dépôt des amendements aux divers crédits des missions et articles rattachés du projet de loi de finances pour 2006 est fixé à la veille du jour prévu pour la discussion, à 11 heures.

Délai limite pour le dépôt des amendements aux articles de la deuxième partie, non joints à l’examen des crédits des missions du projet de loi de finances pour 2006 Le délai limite pour le dépôt des amendements aux articles de la deuxième partie, non joints à l’examen des . crédits du projet de loi de finances pour 2006, est fixé au vendredi 9 décembre 2005, à 11 heures. .

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SÉNAT Session ordinaire de 2005-2006

COMMISSIONS

NOR : INPX0502837X

Réunions

Mardi 6 décembre 2005 Commission des affaires étrangères et de la défense, à 16 heures (salle no 216) : – rôle des drones dans les armées. – Communication. Commission des lois, à 16 h 30 (salle no 207) : – nomination d’un rapporteur ; – conférence des comités européens pour la justice et les affaires intérieures sur « Les réponses face à la menace terroriste et les effets sur les communautés », tenue à Londres les 23 et 24 novembre 2005. – Communication ; – projet de loi relatif à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses relatives à la sécurité et aux contrôles frontaliers (no 109, 2005-2006). – Examen du rapport. Commission d’enquête sur l’immigration clandestine, à 16 heures (salle no 263) : A 16 heures : – audition de MM. Olivier Brachet, directeur, Denis Cagne, directeur adjoint en charge des questions d’accès au séjour, et Mme France Charlet, chargée de mission, du Forum des réfugiés. A 16 h 45 : – audition de MM. Jacques Ribs, président, et Pierre Henry, directeur général, de France-Terre d’asile. A 17 h 30 : – audition de Me Hélène Gacon, présidente de l’ANAFE (Association nationale d’assistance aux frontières pour les étrangers). Mission d’information de la commission des affaires sociales sur les conditions de mise sur le marché et de suivi des médicaments, à 9 h 30 (salle no 213) : – audition de MM. Claude Huriet, président, et Dominique Martin, directeur de l’Office national d’indemnisation des accidents médicaux, des affections iatrogènes et des infections nosocomiales (ONIAM).

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SÉNAT Session ordinaire de 2005-2006

DÉLÉGATIONS PARLEMENTAIRES

NOR : INPX0502838X

Réunions

Mardi 6 décembre 2005 Délégation du Sénat pour l’Union européenne, à 16 h 30 (salle no A 120) : – audition de M. Philippe Douste-Blazy, ministre des affaires étrangères. Délégation aux droits des femmes et à l’égalité des chances entre les hommes et les femmes, à 17 h 15 (salle no 213) : Auditions sur le thème : les familles monoparentales et les familles recomposées : Caisse nationale des allocations familiales (CNAF) : – M. Philippe Georges, directeur général ; – M. Frédéric Marinacce, responsable des prestations familiales ; – Mme Hélène Paris, responsable des statistiques, études et recherches. Séminaire d’information (Genève) organisé par l’Union interparlementaire (UIP) sur l’application de la convention sur l’élimination de toutes les formes de discrimination à l’égard des femmes (CEDAW). – Communication.

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Informations parlementaires

SÉNAT Session ordinaire de 2005-2006

DOCUMENTS PARLEMENTAIRES

NOR : INPX0502834X

Documents mis en distribution le lundi 5 décembre 2005 (1) No 107. – Proposition de loi, présentée par Mme Muguette Dini, visant à améliorer les procédures et le suivi des adoptions (renvoyée à la commission des affaires sociales). No 108. – Projet de loi, adopté par l’Assemblée nationale, modifiant la loi no 99-894 du 22 octobre 1999 portant organisation de la réserve militaire et du service de défense (renvoyé à la commission des affaires étrangères, de la défense et des forces armées).

Documents mis en distribution le mardi 6 décembre 2005 (1) No 99. – Rapport général fait par M. Philippe Marini, au nom de la commission des finances, sur le projet de loi de finances pour 2006, adopté par l’Assemblée nationale : Tome III : les moyens des politiques publiques et les dispositions spéciales (deuxième partie de la loi de finances) ; Annexe 5 : anciens combattants, mémoire et liens avec la nation (M. Jacques Baudot, rapporteur spécial) ; Annexe 8 : défense (MM. Yves Fréville et François Trucy, rapporteurs spéciaux) ; Annexe 23 : Relations avec les collectivités territoriales (Compte spécial : avances aux collectivités territoriales) (M. Michel Mercier, rapporteur spécial). No 101. – Avis, présenté au nom de la commission des affaires économiques et du Plan, sur le projet de loi de finances pour 2006, adopté par l’Assemblée nationale : Tome V : politique des territoires (MM. Christian Gaudin, Jean-Paul Alduy et Dominique Mortemousque, rapporteurs pour avis). No 102. – Avis, présenté au nom de la commission des affaires étrangères, de la défense et des forces armées, sur le projet de loi de finances pour 2006, adopté par l’Assemblée nationale : Tome I : action extérieure de l’Etat (moyens de l’action internationale) (M. Jean-Guy Branger, rapporteur pour avis) ; Tome 8 : défense : environnement et soutien de la politique de défense (M. Didier Boulaud, rapporteur pour avis). No 103. – Avis, présenté au nom de la commission des affaires sociales, sur le projet de loi de finances pour 2006, adopté par l’Assemblée nationale : Tome I : anciens combattants, mémoire et liens avec la nation (M. Marcel Lesbros, rapporteur pour avis). No 106. – Proposition de loi, présentée par M. Claude Saunier, relative à l’organisation et à la valorisation de l’expertise publique (renvoyée à la commission des lois).

(1) Les documents parlementaires du Sénat sont servis, dès leur publication, aux abonnés à l’édition Documents du Sénat. Abonnement un an : France : 527,10 €. Pour expédition par voie aérienne (Outre-mer) ou pour l’étranger, paiement d’un supplément modulé selon la zone de destination, tarif sur demande. Ils sont en outre disponibles au bureau de vente de la Direction des Journaux officiels, 26, rue Desaix, Paris (15e), au prix unitaire de : jusqu’à 32 pages : 0,75 € ; de 33 à 64 pages : 1,50 € ; de 65 à 128 pages : 3 € ; de 129 à 192 pages : 4 € ; au-delà de 192 pages, ces documents seront considérés comme doubles ou triples et composés de plusieurs fascicules dont chacun suivra le barème ci-dessus. Pour la vente par correspondance, ce prix est majoré d’une participation forfaitaire aux frais d’expédition. . .

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Informations parlementaires

COMMISSIONS MIXTES PARITAIRES

RÉUNION

NOR : INPX0502802X

Jeudi 8 décembre 2005 A 9 heures (à l’Assemblée nationale, salle de la commission des affaires économiques, no 6241) : – projet de loi d’orientation agricole.

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Informations parlementaires

OFFICES PARLEMENTAIRES

OFFICE PARLEMENTAIRE D’ÉVALUATION DES CHOIX SCIENTIFIQUES ET TECHNOLOGIQUES (OPECST)

NOR : INPX0502817X

Réunions

Mardi 6 décembre 2005 De 9 heures à 18 h 30 (à l’Assemblée nationale, salle Lamartine) : – audition, ouverte à la presse, sur « l’expertise scientifique ».

Jeudi 8 décembre 2005 De 9 heures à 18 h 30 (à l’Assemblée nationale, salle Lamartine) : – audition, ouverte à la presse, sur « la gouvernance mondiale de l’internet ».

Mardi 13 décembre 2005 A 17 h 30 (à l’Assemblée nationale, 233, boulevard Saint-Germain, 8e étage) : – « La définition et les implications du concept de voiture propre » (rapport).

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Informations relatives au Conseil économique et social

ASSEMBLÉE PLÉNIÈRE

NOR : ICEX0502811X

Mardi 13 décembre 2005, à 15 heures, et mercredi 14 décembre 2005, à 14 h 30 « Le logement de demain, pour une meilleure qualité de vie ». – Projet d’avis et rapport présentés par Mme Cécile Felzines, rapporteure, au nom de la section du cadre de vie. « La reconversion des militaires dans la vie civile : le cas des officiers généraux ». – Projet d’avis et rapport présentés par M. Dominique-Jean Chertier, rapporteur, au nom de la section du travail.

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Mercredi 14 décembre 2005 Après les votes sur les projets d’avis, dans le cadre d’un débat d’actualité, intervention de M. Raoul Briet, président du conseil de surveillance du fonds de réserve pour les retraites.

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Informations relatives au Conseil économique et social

SECTIONS

NOR : ICEX0502821X

Réunions La section des relations extérieures se réunira le mardi 6 décembre 2005, à 14 h 30 (salle no 229) : Poursuite du débat sur de possibles sujets de saisine. – « La coopération sanitaire française dans les pays en développement ». – Rapporteur : M. Marc Gentilini. – Audition de M. Jean-Christophe Deberre, directeur des politiques de développement au ministère des affaires étrangères. La section des affaires sociales se réunira le mercredi 7 décembre 2005, à 9 h 30 (salle no 249) : « La gérance de tutelle ». – Rapporteure : Mme Rose Boutaric. – Audition de M. Michel Bauer, directeur de l’UDAF Finistère. La section du cadre de vie se réunira le mercredi 7 décembre 2005, à 9h 30 (salle no 229) : « Le tourisme associatif en milieu rural, source de développement local et de cohésion sociale ». – Rapporteur : M. Jean-Pierre Marcon. – Audition de M. Christian Pierret, directeur du tourisme. La section du travail se réunira le mercredi 7 décembre 2005, à 14 h 15 (salle no 229) : Débat d’actualité sur le problème des banlieues. « La reconversion des militaires dans la vie civile : le cas des officiers généraux ». – Rapporteur : M. Dominique-Jean Chertier. – Fin de l’examen et vote de l’avant-projet d’avis. La section des économies régionales et de l’aménagement du territoire se réunira le mercredi 7 décembre 2005, à 14 h 45 (salle no 214) : « Aménagement du territoire, services publics et services au public ». – Rapporteur : M. Jean-Alain Mariotti. – Fin de l’examen en première lecture de l’avant-projet d’avis. La section des finances se réunira le mercredi 7 décembre 2005, à 14 h 45 (salle no 249) : « Intelligence économique, risques financiers et stratégies des entreprises ». – Rapporteur : M. Roger Mongereau. – Audition de M. Alain Juillet, haut responsable chargé de l’intelligence économique auprès du Premier ministre. La section des questions économiques générales et de la conjoncture se réunira le jeudi 8 décembre 2005, à 9 h 30 (salle no 229) : « Tableau de bord des indicateurs économiques et sociaux ». – Responsable : M. Denis Durand. – Point sur l’avancée des travaux.

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Avis et communications

AVIS DE CONCOURS ET DE VACANCE D’EMPLOIS

MINISTÈRE DE L’ÉCONOMIE, DES FINANCES ET DE L’INDUSTRIE

Avis relatif à la nomination au tour extérieur à la Cour des comptes

NOR : ECOP0500952V

Dans le cadre des dispositions de la loi no 94-530 du 28 juin 1994, un avis du premier président de la Cour des comptes, publié au Journal officiel du 6 décembre 2005, a fixé à 2 le nombre d’emplois de conseiller référendaire de 2e classe à la Cour des comptes offerts au tour extérieur en 2006 et précisé les besoins du corps. L’article R.* 122-2 du livre Ier du code des juridictions financières prévoit que les candidatures motivées doivent être présentées par les intéressés au ministre de l’économie, des finances et de l’industrie dans le mois qui suit la publication de cet avis. Les conditions d’âge et de services requises par l’article L. 122-5 du code précité sont appréciées à la date de nomination. Pour tous renseignements utiles, les candidats sont invités à s’adresser au ministère de l’économie, des finances et de l’industrie, direction du personnel, de la modernisation et de l’administration (sous-direction des ressources humaines, bureau 4 A, secteur des emplois de débouché), bâtiment Necker, pièce 4340 V, télédoc 714, 120, rue de Bercy, 75572 Paris Cedex 12 ; téléphone : 01-53-18-74-79, 01-53-18-66-35.

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Avis et communications

AVIS DE CONCOURS ET DE VACANCE D’EMPLOIS

MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SOLIDARITÉS

Avis de vacance d’emplois de direction dans les établissements mentionnés à l’article 2 (1o, 2o et 3o) de la loi no 86-33 du 9 janvier 1986 modifiée portant dispositions statutaires relatives à la fonction publique hospitalière

NOR : SANH0524388V

Sont envisagées les vacances d’emplois de direction dans les établissements énumérés à l’article 2 (1o, 2o et 3o) de la loi no 86-33 du 9 janvier 1986 modifiée portant dispositions statutaires relatives à la fonction publique hospitalière en vue d’être pourvus en application du décret no 2005-921 du 2 août 2005 portant statut particulier des grades et emplois des personnels de direction. Directeurs adjoints ou directrices adjointes dans les établissements ci-après, postes proposés aux directeurs et directrices de hors-classe et de classe normale (personnels de direction de 1re, 2e et 3e classe au sens du décret no 2000-232 du 13 mars 2000) : – centre hospitalier d’Abbeville (Somme) : 2 postes ; – centre hospitalier de Cayenne (Guyane). Peuvent faire acte de candidature : – les personnels de direction titulaires de hors-classe et de classe normale ; – les personnels inscrits sur la liste d’aptitude à la 1re, 2e et 3e classe prévue aux articles 10 et 11 du décret no 2000-232 du 13 mars 2000 précité ; – les fonctionnaires des corps recrutés par la voie de l’Ecole nationale d’administration, les administrateurs des postes et télécommunications, les magistrats de l’ordre judiciaire et les administrateurs territoriaux. Ces fonctionnaires devront produire à l’appui de leur candidature un dossier comportant : – un curriculum vitae accompagné d’une photo ; – une lettre de motivation pour accéder aux fonctions de directeur d’hôpital ; – une copie de la dernière décision indiciaire ; – la grille indiciaire du corps d’origine faisant apparaître le grade d’avancement ; – les fiches de notation et les appréciations des trois dernières années ; – l’avis motivé de l’autorité investie du pouvoir de nomination sur leur aptitude à occuper un emploi de directeur d’hôpital. Les candidatures, regroupées sur une seule lettre si elles sont multiples et établies en double exemplaire, doivent être adressées, dans un délai de deux semaines à compter de la date de publication du présent avis au Journal officiel (le cachet de la poste faisant foi), un exemplaire par la voie hiérarchique et l’autre directement au ministère de la santé et des solidarités, direction de l’hospitalisation et de l’organisation des soins (bureau P3), 14, avenue Duquesne, 75350 Paris 07 SP. Les candidats aux postes de directeur adjoint doivent également adresser leur candidature, accompagnée de leur curriculum vitae et de leur dernière fiche de notation, aux chefs des établissements où ils sont candidats.

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Avis et communications

AVIS DE CONCOURS ET DE VACANCE D’EMPLOIS

MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SOLIDARITÉS

Avis de vacance d’emplois de directeur des soins de la fonction publique hospitalière

NOR : SANH0524358V

Est vacant ou susceptible de l’être, en vue d’être pourvu par voie de mutation, en application des dispositions de l’article 22 du décret no 2202-550 du 19 avril 2002 portant statut particulier du corps de directeurs des soins de la fonction publique hospitalière, un emploi de directeur des soins de 1re ou 2e classe, coordonnateur général des soins, filière infirmière, au centre hospitalier d’Auch (Gers). Peuvent faire acte de candidature les directeurs des soins de 1re ou 2e classe, filière infirmière, de la fonction publique hospitalière. Les candidatures, complétées d’un curriculum vitae, doivent être adressées (le cachet de la poste faisant foi), au plus tard trois semaines après la date de publication du présent avis au Journal officiel, sous pli recommandé avec accusé de réception, au directeur du centre hospitalier du Pays d’Auch, allée Marie-Clarac, BP 382, 32008 Auch Cedex.

NOR : SANH0524359V

Est vacant ou susceptible de l’être, en vue d’être pourvu par voie de mutation, en application des dispositions de l’article 22 du décret no 2202-550 du 19 avril 2002 portant statut particulier du corps de directeurs des soins de la fonction publique hospitalière, un emploi de directeur des soins de 2e classe, filière rééducation, au centre hospitalier universitaire de Bordeaux. Peuvent faire acte de candidature les directeurs des soins de 2e classe, filière infirmière, de la fonction publique hospitalière. Les candidatures, complétées d’un curriculum vitae, doivent être adressées (le cachet de la poste faisant foi), au plus tard trois semaines après la date de publication du présent avis au Journal officiel, sous pli recommandé avec accusé de réception, au directeur du centre hospitalier universitaire de Bordeaux, 12, rue Dubernat, 33404 Talence Cedex.

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Avis et communications

AVIS DE CONCOURS ET DE VACANCE D’EMPLOIS

MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SOLIDARITÉS

Avis de concours professionnel sur titres pour le recrutement d’un cadre supérieur de santé (techniciens de laboratoire)

NOR : SANH0524349V

Un concours professionnel sur titres aura lieu au centre hospitalier de Rouvray (Seine-Maritime), en application de l’article 10 du décret no 2001-1375 du 31 décembre 2001 portant statut particulier du corps des cadres de santé de la fonction publique hospitalière, en vue de pourvoir 1 poste de technicien de laboratoire cadre supérieur de santé vacant dans cet établissement. Peuvent être candidats les techniciens de laboratoire cadres de santé des établissements mentionnés à l’article 2 du titre IV du statut général des fonctionnaires comptant au moins trois ans de services effectifs dans le grade de cadre de santé ou dans le grade de surveillant. Les candidatures doivent être adressées, par écrit (le cachet de la poste faisant foi), par lettre recommandée, au directeur du centre hospitalier de Rouvray, 4, rue Paul-Eluard, BP 45, 76301 Sotteville-lès-Rouen Cedex, dans un délai de deux mois à compter de la date de publication du présent avis au Journal officiel. Les dossiers d’inscription seront retournés avant la date fixée par l’établissement organisateur, auprès duquel peuvent être obtenus tous les renseignements complémentaires pour la constitution du dossier, les dates et lieux du concours.

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Avis et communications

AVIS DE CONCOURS ET DE VACANCE D’EMPLOIS

MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SOLIDARITÉS

Avis de concours professionnels sur titres pour le recrutement de cadres supérieurs de santé

NOR : SANH0524350V

Un concours professionnel sur titres aura lieu au centre hospitalier du Haut-Bugey, à Oyonnax (Ain), en application de l’article 10 du décret no 2001-1375 du 31 décembre 2001 portant statut particulier du corps des cadres de santé de la fonction publique hospitalière, en vue de pourvoir 2 postes d’infirmier cadre supérieur de santé vacants dans cet établissement. Peuvent être candidats les infirmiers cadres de santé des établissements mentionnés à l’article 2 du titre IV du statut général des fonctionnaires fait comptant au moins trois ans de services effectifs dans le grade de cadre de santé ou dans le grade de surveillant. Les candidatures doivent être adressées, par écrit (le cachet de la poste faisant foi), par lettre recommandée, au directeur du centre hospitalier du Haut-Bugey, 188, rue Anatole-France, BP 818, 01108 Oyonnax Cedex, dans un délai de deux mois à compter de la date de publication du présent avis au Journal officiel. Les dossiers d’inscription seront retournés avant la date fixée par l’établissement organisateur, auprès duquel peuvent être obtenus tous les renseignements complémentaires pour la constitution du dossier, les dates et lieux du concours.

NOR : SANH0524351V

Un concours professionnel sur titres aura lieu au centre hospitalier du Rouvray (Seine-Maritime), en application de l’article 10 du décret no 2001-1375 du 31 décembre 2001 portant statut particulier du corps des cadres de santé de la fonction publique hospitalière, en vue de pourvoir 1 poste d’infirmier cadre supérieur de santé vacant dans cet établissement. Peuvent être candidats les infirmiers cadres de santé des établissements mentionnés à l’article 2 du titre IV du statut général des fonctionnaires comptant au moins trois ans de services effectifs dans le grade de cadre de santé ou dans le grade de surveillant. Les candidatures doivent être adressées, par écrit (le cachet de la poste faisant foi), par lettre recommandée, au directeur du centre hospitalier du Rouvray, 4, rue Paul-Eluard, BP 45, 76301 Sotteville-lès-Rouen Cedex, dans un délai de deux mois à compter de la date de publication du présent avis au Journal officiel. Les dossiers d’inscription seront retournés avant la date fixée par l’établissement organisateur, auprès duquel peuvent être obtenus tous les renseignements complémentaires pour la constitution du dossier, les dates et lieux du concours.

NOR : SANH0524352V

Un concours professionnel sur titres aura lieu au centre hospitalier Le Valmont, à Montéléger (Drôme), en application de l’article 10 du décret no 2001-1375 du 31 décembre 2001 portant statut particulier du corps des cadres de santé de la fonction publique hospitalière, en vue de pourvoir 1 poste d’infirmier cadre supérieur de santé vacant dans cet établissement. Peuvent être candidats les infirmiers cadres de santé des établissements mentionnés à l’article 2 du titre IV du statut général des fonctionnaires comptant au moins trois ans de services effectifs dans le grade de cadre de santé ou dans le grade de surveillant. Les candidatures doivent être adressées, par écrit (le cachet de la poste faisant foi), par lettre recommandée, au directeur du centre hospitalier Le Valmont, BP 16, 26760 Montéléger, dans un délai de deux mois à compter de la date de publication du présent avis au Journal officiel. Les dossiers d’inscription seront retournés avant la date fixée par l’établissement organisateur, auprès duquel peuvent être obtenus tous les renseignements complémentaires pour la constitution du dossier, les dates et lieux . du concours. .

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NOR : SANH0524353V

Un concours professionnel sur titres aura lieu à l’hôpital local de Wassy (Haute-Marne), en application de l’article 10 du décret no 2001-1375 du 31 décembre 2001 portant statut particulier du corps des cadres de santé de la fonction publique hospitalière, en vue de pourvoir 1 poste d’infirmier cadre supérieur de santé vacant dans cet établissement. Peuvent être candidats les infirmiers cadres de santé des établissements mentionnés à l’article 2 du titre IV du statut général des fonctionnaires comptant au moins trois ans de services effectifs dans le grade de cadre de santé ou dans le grade de surveillant. Les candidatures doivent être adressées, par écrit (le cachet de la poste faisant foi), par lettre recommandée, au directeur de l’hôpital local de Wassy, 4, rue du Général-de-Gaulle, 52130 Wassy, dans un délai de deux mois à compter de la date de publication du présent avis au Journal officiel. Les dossiers d’inscription seront retournés avant la date fixée par l’établissement organisateur, auprès duquel peuvent être obtenus tous les renseignements complémentaires pour la constitution du dossier, les dates et lieux du concours.

NOR : SANH0524354V

Un concours professionnel sur titres aura lieu au centre hospitalier universitaire de Nice (Alpes-Maritimes), en application de l’article 10 du décret no 2001-1375 du 31 décembre 2001 portant statut particulier du corps des cadres de santé de la fonction publique hospitalière, en vue de pourvoir 3 postes d’infirmier cadre supérieur de santé vacants dans les établissements suivants : – centre hospitalier universitaire de Nice : 1 poste ; – hôpital local Saint-Lazare de Tende : 1 poste ; – centre de rééducation cardio-respiratoire de : 1 poste. Peuvent être candidats les infirmiers cadres de santé des établissements mentionnés à l’article 2 du titre IV du statut général des fonctionnaires comptant au moins trois ans de services effectifs dans le grade de cadre de santé ou dans le grade de surveillant. Les candidatures doivent être adressées, par écrit (le cachet de la poste faisant foi), par lettre recommandée, au directeur général du centre hospitalier universitaire de Nice, direction des relations humaines, hôpital de Cimiez, 4, avenue Reine-Victoria, BP 1179, 06003 Nice Cedex 1, dans un délai de deux mois à compter de la date de publication du présent avis au Journal officiel. Les dossiers d’inscription seront retournés avant la date fixée par l’établissement organisateur, auprès duquel peuvent être obtenus tous les renseignements complémentaires pour la constitution du dossier, les dates et lieux du concours.

NOR : SANH0524355V

Un concours professionnel sur titres aura lieu au centre hospitalier Henri Guérin, à Pierrefeu (Var), en application de l’article 10 du décret no 2001-1375 du 31 décembre 2001 portant statut particulier du corps des cadres de santé de la fonction publique hospitalière, en vue de pourvoir 1 poste d’infirmier cadre supérieur de santé vacant dans cet établissement. Peuvent être candidats les infirmiers cadres de santé des établissements mentionnés à l’article 2 du titre IV du statut général des fonctionnaires comptant au moins trois ans de services effectifs dans le grade de cadre de santé ou dans le grade de surveillant. Les candidatures doivent être adressées, par écrit (le cachet de la poste faisant foi), par lettre recommandée, au directeur du centre hospitalier Henri Guérin, direction des ressources humaines, quartier Barnenq, 83390 Pierrefeu-du-Var, dans un délai de deux mois à compter de la date de publication du présent avis au Journal officiel. Les dossiers d’inscription seront retournés avant la date fixée par l’établissement organisateur, auprès duquel peuvent être obtenus tous les renseignements complémentaires pour la constitution du dossier, les dates et lieux du concours.

NOR : SANH0524356V

Un concours professionnel sur titres aura lieu au centre hospitalier de Montbert (Loire-Atlantique), en application de l’article 10 du décret no 2001-1375 du 31 décembre 2001 portant statut particulier du corps des cadres de santé de la fonction publique hospitalière, en vue de pourvoir 1 poste d’infirmier cadre supérieur de santé vacant dans cet établissement. Peuvent être candidats les infirmiers cadres de santé des établissements mentionnés à l’article 2 du titre IV du statut général des fonctionnaires comptant au moins trois ans de services effectifs dans le grade de cadre de . santé ou dans le grade de surveillant. .

. . 6 décembre 2005 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 94 sur 118

Les candidatures doivent être adressées, par écrit (le cachet de la poste faisant foi), par lettre recommandée, au directeur du centre hospitalier de Montbert, direction des ressources humaines, Les Loges, BP 8, 44140 Montbert, dans un délai de deux mois à compter de la date de publication du présent avis au Journal officiel. Les dossiers d’inscription seront retournés avant la date fixée par l’établissement organisateur, auprès duquel peuvent être obtenus tous les renseignements complémentaires pour la constitution du dossier, les dates et lieux du concours.

NOR : SANH0524357V

Un concours professionnel sur titres aura lieu à l’hôpital local de Guémené-sur-Scorff (Morbihan), en application de l’article 10 du décret no 2001-1375 du 31 décembre 2001 portant statut particulier du corps des cadres de santé de la fonction publique hospitalière, en vue de pourvoir 1 poste d’infirmier cadre supérieur de santé vacant dans cet établissement. Peuvent être candidats les infirmiers cadres de santé des établissements mentionnés à l’article 2 du titre IV du statut général des fonctionnaires comptant au moins trois ans de services effectifs dans le grade de cadre de santé ou dans le grade de surveillant. Les candidatures doivent être adressées, par écrit (le cachet de la poste faisant foi), par lettre recommandée, au directeur de l’hôpital local de Guémené-sur-Scorff, rue Emile-Mazé, BP 83, 56160 Guémené-sur-Scorff, dans un délai de deux mois à compter de la date de publication du présent avis au Journal officiel. Les dossiers d’inscription seront retournés avant la date fixée par l’établissement organisateur, auprès duquel peuvent être obtenus tous les renseignements complémentaires pour la constitution du dossier, les dates et lieux du concours.

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. . 6 décembre 2005 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 95 sur 118

Avis et communications

AVIS DE CONCOURS ET DE VACANCE D’EMPLOIS

MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SOLIDARITÉS

Avis relatifs à l’ouverture de concours sur titres pour le recrutement de conseillers en économie sociale et familiale de la fonction publique hospitalière

NOR : SANH0524335V

Un arrêté du préfet de la Mayenne en date du 27 septembre 2005 a ouvert un concours sur titres pour le recrutement d’un conseiller en économie sociale et familiale en vue de pourvoir 1 poste vacant à l’établissement public social et médico-social de la Mayenne. Peuvent faire acte de candidature les personnes remplissant les conditions énumérées à l’article 3 du décret no 93-653 du 26 mars 1993 portant statut particulier des conseillers en économie sociale et familiale de la fonction publique hospitalière. Les candidatures doivent être adressées, par écrit (le cachet de la poste faisant foi), ou remises, dans un délai de deux mois à compter de la date de publication du présent avis au Journal officiel, au directeur de l’établissement public social et médico-social, résidence de la Filousière, BP 411, 53104 Mayenne Cedex.

NOR : SANH0524336V

Un arrêté du préfet de l’Ariège en date du 29 septembre 2005 a ouvert un concours sur titres pour le recrutement d’un conseiller en économie sociale et familiale en vue de pourvoir 1 poste vacant au centre hospitalier du pays d’Olmes, à Lavelanet. Peuvent faire acte de candidature les personnes remplissant les conditions énumérées à l’article 3 du décret no 93-653 du 26 mars 1993 portant statut particulier des conseillers en économie sociale et familiale de la fonction publique hospitalière. Les candidatures doivent être adressées, par écrit (le cachet de la poste faisant foi), ou remises, dans un délai de deux mois à compter de la date de publication du présent avis au Journal officiel, au directeur du centre hospitalier du pays d’Olmes, 6, rue René-Cassin, 09300 Lavelanet.

NOR : SANH0524334V

Un arrêté du préfet des Hauts-de-Seine en date du 4 octobre 2005 a ouvert un concours sur titres pour le recrutement d’un conseiller en économie sociale et familiale en vue de pourvoir 1 poste vacant au CASH de Nanterre. Peuvent faire acte de candidature les personnes remplissant les conditions énumérées à l’article 3 du décret no 93-653 du 26 mars 1993 portant statut particulier des conseillers en économie sociale et familiale de la fonction publique hospitalière. Les candidatures doivent être adressées, par écrit (le cachet de la poste faisant foi), ou remises, dans un délai de deux mois à compter de la date de publication du présent avis au Journal officiel, au directeur du CASH de Nanterre, 403, avenue de la République, BP 1403, 92014 Nanterre Cedex.

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. . 6 décembre 2005 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 96 sur 118

Avis et communications

AVIS DE CONCOURS ET DE VACANCE D’EMPLOIS

MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SOLIDARITÉS

Avis relatifs à l’ouverture de concours sur titres pour le recrutement d’assistants socio-éducatifs (emploi d’assistant de service social) de la fonction publique hospitalière

NOR : SANH0524339V

Un arrêté du préfet de Paris en date du 22 septembre 2005 a ouvert un concours sur titres pour le recrutement d’assistants socio-éducatifs (emploi d’assistant de service social) de la fonction publique hospitalière en vue de pourvoir 3 postes vacants au centre hospitalier Maison-Blanche. Peuvent faire acte de candidature les personnes remplissant les conditions énumérées à l’article 3 du décret no 93-652 du 26 mars 1993 portant statut particulier des assistants socio-éducatifs de la fonction publique hospitalière. Les candidatures doivent être adressées (le cachet de la poste faisant foi) ou remises, dans un délai de deux mois à compter de la date de publication du présent avis au Journal officiel, au directeur du centre hospitalier Maison-Blanche, 3, avenue Jean-Jaurès, 93330 Neuilly-sur-Marne.

NOR : SANH0524337V

Un arrêté du préfet de la Dordogne en date du 26 septembre 2005 a ouvert un concours sur titres pour le recrutement d’un assistant socio-éducatif (emploi d’assistant de service social) de la fonction publique hospitalière en vue de pourvoir 1 poste vacant au centre hospitalier Vauclaire de Montpon-Ménestérol. Peuvent faire acte de candidature les personnes remplissant les conditions énumérées à l’article 3 du décret no 93-652 du 26 mars 1993 portant statut particulier des assistants socio-éducatifs de la fonction publique hospitalière. Les candidatures doivent être adressées (le cachet de la poste faisant foi) ou remises, dans un délai de deux mois à compter de la date de publication du présent avis au Journal officiel, au directeur du centre hospitalier Vauclaire, 24700 Montpon-Ménestérol.

NOR : SANH0524341V

Un arrêté du préfet de la Somme en date du 29 septembre 2005 a ouvert un concours sur titres pour le recrutement d’assistants socio-éducatifs (emploi d’assistant de service social) de la fonction publique hospitalière en vue de pourvoir 2 postes vacants au centre hospitalier universitaire d’Amiens. Peuvent faire acte de candidature les personnes remplissant les conditions énumérées à l’article 3 du décret no 93-652 du 26 mars 1993 portant statut particulier des assistants socio-éducatifs de la fonction publique hospitalière. Les candidatures doivent être adressées (le cachet de la poste faisant foi) ou remises, dans un délai de deux mois à compter de la date de publication du présent avis au Journal officiel, au directeur général du centre hospitalier universitaire d’Amiens, direction des ressources humaines, service concours, hôpital Nord, 80054 Amiens Cedex.

NOR : SANH0524342V

Un arrêté du préfet de la Somme en date du 29 septembre 2005 a ouvert un concours sur titres pour le recrutement d’un assistant socio-éducatif (emploi d’assistant de service social) de la fonction publique hospitalière en vue de pourvoir 1 poste vacant au centre hospitalier de Ham. Peuvent faire acte de candidature les personnes remplissant les conditions énumérées à l’article 3 du décret no 93-652 du 26 mars 1993 portant statut particulier des assistants socio-éducatifs de la fonction publique . hospitalière. .

. . 6 décembre 2005 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 96 sur 118

Les candidatures doivent être adressées (le cachet de la poste faisant foi) ou remises, dans un délai de deux mois à compter de la date de publication du présent avis au Journal officiel, au directeur du centre hospitalier de Ham, 56, rue de Verdun, BP 78, 80400 Ham.

NOR : SANH0524338V

Un arrêté du préfet des Hauts-de-Seine en date du 4 octobre 2005 a ouvert un concours sur titres pour le recrutement d’assistants socio-éducatifs (emploi d’assistant de service social) de la fonction publique hospitalière en vue de pourvoir 5 postes vacants au CASH de Nanterre. Peuvent faire acte de candidature les personnes remplissant les conditions énumérées à l’article 3 du décret no 93-652 du 26 mars 1993 portant statut particulier des assistants socio-éducatifs de la fonction publique hospitalière. Les candidatures doivent être adressées (le cachet de la poste faisant foi) ou remises, dans un délai de deux mois à compter de la date de publication du présent avis au Journal officiel, au directeur du CASH de Nanterre, 403, avenue de la République, BP 1403, 92014 Nanterre Cedex.

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. . 6 décembre 2005 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 97 sur 118

Avis et communications

AVIS DE CONCOURS ET DE VACANCE D’EMPLOIS

MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SOLIDARITÉS

Avis relatifs à l’ouverture de concours sur titres pour le recrutement d’assistants socio-éducatifs (emploi d’éducateur spécialisé) de la fonction publique hospitalière

NOR : SANH0524311V

Un arrêté du président du conseil général de l’Aude en date du 2 septembre 2005 a ouvert un concours sur titres pour le recrutement d’assistants socio-éducatifs (emploi d’éducateur spécialisé) de la fonction publique hospitalière en vue de pourvoir 4 postes vacants dans les structures accueil-enfance de Carcassonne et de Narbonne. Peuvent faire acte de candidature les personnes remplissant les conditions énumérées à l’article 3 du décret no 93-652 du 26 mars 1993 portant statut particulier des assistants socio-éducatifs de la fonction publique hospitalière. Les candidatures doivent être adressées (le cachet de la poste faisant foi) ou remises, dans un délai de deux mois à compter de la date de publication du présent avis au Journal officiel, au président du conseil général de l’Aude (direction des ressources humaines, service emploi, carrières et relations sociales), 11855 Carcassonne Cedex 9.

NOR : SANH0524307V

Un arrêté du président du conseil général de Vaucluse en date du 9 septembre 2005 a ouvert un concours sur titres pour le recrutement d’assistants socio-éducatifs (emploi d’éducateur spécialisé) de la fonction publique hospitalière en vue de pourvoir 2 postes vacants à la maison d’enfants à caractère social L’Arc-en-ciel, à Carpentras. Peuvent faire acte de candidature les personnes remplissant les conditions énumérées à l’article 3 du décret no 93-652 du 26 mars 1993 portant statut particulier des assistants socio-éducatifs de la fonction publique hospitalière. Les candidatures doivent être adressées (le cachet de la poste faisant foi) ou remises, dans un délai de deux mois à compter de la date de publication du présent avis au Journal officiel, au directeur de la maison d’enfants à caractère social L’Arc-en-ciel, chemin de l’Hermitage, 84200 Carpentras-Serres.

NOR : SANH0524312V

Un arrêté du préfet de la Seine-Maritime en date du 16 septembre 2005 a ouvert un concours sur titres pour le recrutement d’un assistant socio-éducatif (emploi d’éducateur spécialisé) de la fonction publique hospitalière en vue de pourvoir 1 poste vacant au centre hospitalier du Belvédère, à Mont-Saint-Aignan. Peuvent faire acte de candidature les personnes remplissant les conditions énumérées à l’article 3 du décret no 93-652 du 26 mars 1993 portant statut particulier des assistants socio-éducatifs de la fonction publique hospitalière. Les candidatures doivent être adressées (le cachet de la poste faisant foi) ou remises, dans un délai de deux mois à compter de la date de publication du présent avis au Journal officiel, au directeur du centre hospitalier du Belvédère (direction des ressources humaines), 72, rue Louis-Pasteur, BP 45, 76131 Mont-Saint-Aignan Cedex.

NOR : SANH0524308V

Un arrêté du président du conseil général de l’Ardèche en date du 19 septembre 2005 a ouvert un concours sur titres pour le recrutement d’un assistant socio-éducatif (emploi d’éducateur spécialisé) de la fonction . publique hospitalière en vue de pourvoir 1 poste vacant au foyer de l’enfance. .

. . 6 décembre 2005 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 97 sur 118

Peuvent faire acte de candidature les personnes remplissant les conditions énumérées à l’article 3 du décret no 93-652 du 26 mars 1993 portant statut particulier des assistants socio-éducatifs de la fonction publique hospitalière. Les candidatures doivent être adressées (le cachet de la poste faisant foi) ou remises, dans un délai de deux mois à compter de la date de publication du présent avis au Journal officiel, au président du conseil général de l’Ardèche (direction des ressources humaines), BP 737, 07007 Privas Cedex.

NOR : SANH0524310V Un arrêté du président du conseil général du Pas-de-Calais en date du 20 septembre 2005 a ouvert un concours sur titres pour le recrutement d’un assistant socio-éducatif (emploi d’éducateur spécialisé) de la fonction publique hospitalière en vue de pourvoir 1 poste vacant au foyer La Résidence, à Sains-en-Gohelle. Peuvent faire acte de candidature les personnes remplissant les conditions énumérées à l’article 3 du décret no 93-652 du 26 mars 1993 portant statut particulier des assistants socio-éducatifs de la fonction publique hospitalière. Les candidatures doivent être adressées (le cachet de la poste faisant foi) ou remises, dans un délai de deux mois à compter de la date de publication du présent avis au Journal officiel, au directeur, EPDAHA, 53, rue de Douai, BP 15, 62001 Arras Cedex.

NOR : SANH0524313V Un arrêté du préfet de la Haute-Marne en date du 21 septembre 2005 a ouvert un concours sur titres pour le recrutement d’un assistant socio-éducatif (emploi d’éducateur spécialisé) de la fonction publique hospitalière en vue de pourvoir 1 poste vacant à la maison d’accueil spécialisé, site de Saint-Dizier. Peuvent faire acte de candidature les personnes remplissant les conditions énumérées à l’article 3 du décret no 93-652 du 26 mars 1993 portant statut particulier des assistants socio-éducatifs de la fonction publique hospitalière. Les candidatures doivent être adressées (le cachet de la poste faisant foi) ou remises, dans un délai de deux mois à compter de la date de publication du présent avis au Journal officiel, au directeur du centre hospitalier de la Haute-Marne, 1, carrefour Henri-Rollin, 52018 Saint-Dizier.

NOR : SANH0524317V Un arrêté du préfet de Paris en date du 22 septembre 2005 a ouvert un concours sur titres pour le recrutement d’un assistant socio-éducatif (emploi d’éducateur spécialisé) de la fonction publique hospitalière en vue de pourvoir 1 poste vacant au centre hospitalier Maison-Blanche. Peuvent faire acte de candidature les personnes remplissant les conditions énumérées à l’article 3 du décret no 93-652 du 26 mars 1993 portant statut particulier des assistants socio-éducatifs de la fonction publique hospitalière. Les candidatures doivent être adressées (le cachet de la poste faisant foi) ou remises, dans un délai de deux mois à compter de la date de publication du présent avis au Journal officiel, au directeur du centre hospitalier Maison-Blanche, 3, avenue Jean-Jaurès, 93330 Neuilly-sur-Marne.

NOR : SANH0524309V Un arrêté du préfet des Hautes-Pyrénées en date du 28 septembre 2005 a ouvert un concours sur titres pour le recrutement d’assistants socio-éducatifs (emploi d’éducateur spécialisé) de la fonction publique hospitalière en vue de pourvoir 2 postes vacants au centre d’aide par le travail de Lannemezan, répartis comme suit : – 1 poste au foyer d’hébergement ; – 1 poste au SASC. Peuvent faire acte de candidature les personnes remplissant les conditions énumérées à l’article 3 du décret no 93-652 du 26 mars 1993 portant statut particulier des assistants socio-éducatifs de la fonction publique hospitalière. Les candidatures doivent être adressées (le cachet de la poste faisant foi) ou remises, dans un délai de deux mois à compter de la date de publication du présent avis au Journal officiel, au directeur, CAT du Plateau, La Demi-Lune, 644, route de Toulouse, BP 43, 65301 Lannemezan Cedex.

NOR : SANH0524314V Un arrêté du président du conseil général de la Charente-Maritime en date du 30 septembre 2005 a ouvert un concours sur titres pour le recrutement d’assistants socio-éducatifs (emploi d’éducateur spécialisé) de la fonction publique hospitalière en vue de pourvoir 2 postes vacants au foyer départemental de l’enfance, à . Saintes. .

. . 6 décembre 2005 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 97 sur 118

Peuvent faire acte de candidature les personnes remplissant les conditions énumérées à l’article 3 du décret no 93-652 du 26 mars 1993 portant statut particulier des assistants socio-éducatifs de la fonction publique hospitalière. Les candidatures doivent être adressées (le cachet de la poste faisant foi) ou remises, dans un délai de deux mois à compter de la date de publication du présent avis au Journal officiel, au président du conseil général de la Charente-Maritime (direction des ressources humaines), 85, boulevard de la République, 17076 La Rochelle Cedex 9.

NOR : SANH0524318V

Un arrêté du préfet de la Manche en date du 3 octobre 2005 a ouvert un concours sur titres pour le recrutement d’un assistant socio-éducatif (emploi d’éducateur spécialisé) de la fonction publique hospitalière en vue de pourvoir 1 poste vacant au centre hospitalier de Pontorson. Peuvent faire acte de candidature les personnes remplissant les conditions énumérées à l’article 3 du décret no 93-652 du 26 mars 1993 portant statut particulier des assistants socio-éducatifs de la fonction publique hospitalière. Les candidatures doivent être adressées (le cachet de la poste faisant foi) ou remises, dans un délai de deux mois à compter de la date de publication du présent avis au Journal officiel, au président du conseil général de la Charente-Maritime, direction du centre hospitalier de Pontorson, avenue de Villecherel, 50170 Pontorson.

NOR : SANH0524315V

Un arrêté du préfet des Hauts-de-Seine en date du 4 octobre 2005 a ouvert un concours sur titres pour le recrutement d’assistants socio-éducatifs (emploi d’éducateur spécialisé) de la fonction publique hospitalière en vue de pourvoir 4 postes vacants au CASH de Nanterre. Peuvent faire acte de candidature les personnes remplissant les conditions énumérées à l’article 3 du décret no 93-652 du 26 mars 1993 portant statut particulier des assistants socio-éducatifs de la fonction publique hospitalière. Les candidatures doivent être adressées (le cachet de la poste faisant foi) ou remises, dans un délai de deux mois à compter de la date de publication du présent avis au Journal officiel, au directeur du CASH de Nanterre, 403, avenue de la République, BP 1403, 92014 Nanterre Cedex.

NOR : SANH0524316V

Un arrêté du préfet des Yvelines en date du 4 octobre 2005 a ouvert un concours sur titres pour le recrutement d’un assistant socio-éducatif (emploi d’éducateur spécialisé) de la fonction publique hospitalière en vue de pourvoir 1 poste vacant à l’hôpital gérontologique et médico-social de Plaisir-Grignon. Peuvent faire acte de candidature les personnes remplissant les conditions énumérées à l’article 3 du décret no 93-652 du 26 mars 1993 portant statut particulier des assistants socio-éducatifs de la fonction publique hospitalière. Les candidatures doivent être adressées (le cachet de la poste faisant foi) ou remises, dans un délai de deux mois à compter de la date de publication du présent avis au Journal officiel, au directeur de l’hôpital gérontologique et médico-social de Plaisir-Grignon, 220, rue Mansart, BP 19, 78375 Plaisir Cedex.

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. . 6 décembre 2005 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 98 sur 118

Avis et communications

AVIS DE CONCOURS ET DE VACANCE D’EMPLOIS

MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SOLIDARITÉS

Avis relatif à l’ouverture d’un concours sur titres pour le recrutement d’assistants socio-éducatifs (emploi d’éducateur spécialisé) de la fonction publique hospitalière

NOR : SANH0524306V

Un arrêté de la présidente du conseil général de la Réunion en date du 12 septembre 2005 a ouvert un concours sur titres pour le recrutement d’assistants socio-éducatifs (emploi d’éducateur spécialisé) de la fonction publique hospitalière en vue de pourvoir 13 postes vacants dans les établissements suivants : – foyer de l’enfance Nord-Est : 6 postes ; – foyer de l’enfance de Terre-Rouge : 7 postes. Peuvent faire acte de candidature les personnes remplissant les conditions énumérées à l’article 3 du décret no 93-652 du 26 mars 1993 portant statut particulier des assistants socio-éducatifs de la fonction publique hospitalière. Les candidatures doivent être adressées (le cachet de la poste faisant foi) ou remises, dans un délai de deux mois à compter de la date de publication du présent avis au Journal officiel, au président du conseil général de la Réunion, direction des ressources humaines (service formation et concours), 8, rue de la Source, 97488 Saint-Denis Cedex.

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. . 6 décembre 2005 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 99 sur 118

Avis et communications

AVIS DE CONCOURS ET DE VACANCE D’EMPLOIS

MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SOLIDARITÉS

Avis relatif à l’ouverture d’un concours sur titres pour le recrutement d’un assistant socio-éducatif (assistant de service social) de la fonction publique hospitalière

NOR : SANH0524340V

Un arrêté du préfet de la Manche en date du 3 octobre 2005 a ouvert un concours sur titres pour le recrutement d’un assistant socio-éducatif (assistant de service social) de la fonction publique hospitalière en vue de pourvoir 1 poste vacant au centre hospitalier de Pontorson. Peuvent faire acte de candidature les personnes remplissant les conditions énumérées à l’article 3 du décret no 93-652 du 26 mars 1993 portant statut particulier des assistants socio-éducatifs de la fonction publique hospitalière. Les candidatures doivent être adressées (le cachet de la poste faisant foi) ou remises dans un délai de deux mois à compter de la date de publication du présent avis au Journal officiel, au directeur du centre hospitalier de Pontorson, avenue de Villecherel, 50170 Pontorson.

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. . 6 décembre 2005 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 100 sur 118

Avis et communications

AVIS DE CONCOURS ET DE VACANCE D’EMPLOIS

MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SOLIDARITÉS

Avis relatifs à l’ouverture de concours sur titres pour le recrutement d’éducateurs techniques spécialisés de la fonction publique hospitalière

NOR : SANH0524345V

Un arrêté du préfet de la Seine-Maritime en date du 16 septembre 2005 a ouvert un concours sur titres pour le recrutement d’un éducateur technique spécialisé en vue de pourvoir 1 poste vacant au centre d’aide par le travail pour les établissements publics médico-sociaux de Fécamp, pour l’institut médico-éducatif Terre Neuve, service accompagnement et suivi social. Peuvent faire acte de candidature les personnes remplissant les conditions énumérées à l’article 3 du décret no 93-655 du 26 mars 1993 portant statut particulier des éducateurs techniques spécialisés de la fonction publique hospitalière. Les candidatures doivent être adressées (le cachet de la poste faisant foi) ou remises, dans un délai de deux mois à compter de la date de publication du présent avis au Journal officiel, au directeur des établissements publics médico-sociaux de Fécamp, chemin Saint-Jacques, BP 197, 76401 Fécamp Cedex.

NOR : SANH0524346V

Un arrêté du préfet de la Gironde en date du 29 septembre 2005 a ouvert un concours sur titres pour le recrutement d’un éducateur technique spécialisé en vue de pourvoir 1 poste vacant à l’institut médico-éducatif de Coutras. Peuvent faire acte de candidature les personnes remplissant les conditions énumérées à l’article 3 du décret no 93-655 du 26 mars 1993 portant statut particulier des éducateurs techniques spécialisés de la fonction publique hospitalière. Les candidatures doivent être adressées (le cachet de la poste faisant foi) ou remises, dans un délai de deux mois à compter de la date de publication du présent avis au Journal officiel, au directeur de l’institut médico- éducatif, no 78, ZI Eygreteau, BP 61, 33230 Coutras.

NOR : SANH0524347V

Un arrêté du préfet d’Indre-et-Loire en date du 4 octobre 2005 a ouvert un concours sur titres pour le recrutement d’un éducateur technique spécialisé en vue de pourvoir 1 poste vacant au centre Louis Sevestre, à La Membrolle-sur-Choisille. Peuvent faire acte de candidature les personnes remplissant les conditions énumérées à l’article 3 du décret no 93-655 du 26 mars 1993 portant statut particulier des éducateurs techniques spécialisés de la fonction publique hospitalière. Les candidatures doivent être adressées (le cachet de la poste faisant foi) ou remises, dans un délai de deux mois à compter de la date de publication du présent avis au Journal officiel, au directeur du centre Louis Sevestre, 37390 La Membrolle-sur-Choisille.

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. . 6 décembre 2005 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 101 sur 118

Avis et communications

AVIS DE CONCOURS ET DE VACANCE D’EMPLOIS

MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SOLIDARITÉS

Avis relatifs à l’ouverture de concours sur titres pour le recrutement d’éducateurs de jeunes enfants de la fonction publique hospitalière

NOR : SANH0524333V

Un arrêté du président du conseil général du Cher en date du 15 septembre 2005 a ouvert un concours sur titres pour le recrutement d’un éducateur de jeunes enfants en vue de pourvoir 1 poste vacant au centre départemental de l’enfance et de la famille du Cher. Peuvent faire acte de candidature les personnes remplissant les conditions énumérées à l’article 3 du décret no 93-656 du 26 mars 1993 portant statut particulier des éducateurs de jeunes enfants de la fonction publique hospitalière. Les candidatures doivent être adressées (le cachet de la poste faisant foi) ou remises, dans un délai de deux mois à compter de la date de publication du présent avis au Journal officiel, au directeur du centre départemental de l’enfance et de la famille, direction des ressources humaines, service emploi, formation et communication interne, place Marcel-Plaisant, 18023 Bourges Cedex.

NOR : SANH0524332V

Un arrêté du préfet du Haut-Rhin en date du 5 octobre 2005 a ouvert un concours sur titres pour le recrutement d’un éducateur de jeunes enfants en vue de pourvoir 1 poste vacant aux hôpitaux civils de Colmar. Peuvent faire acte de candidature les personnes remplissant les conditions énumérées à l’article 3 du décret no 93-656 du 26 mars 1993 portant statut particulier des éducateurs de jeunes enfants de la fonction publique hospitalière. Les candidatures doivent être adressées (le cachet de la poste faisant foi) ou remises, dans un délai de deux mois à compter de la date de publication du présent avis au Journal officiel, au directeur des hôpitaux civils de Colmar, direction des ressources humaines, 39, avenue de la Liberté, 68024 Colmar Cedex.

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Avis et communications

AVIS DE CONCOURS ET DE VACANCE D’EMPLOIS

MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SOLIDARITÉS

Avis relatifs à l’ouverture de concours sur titres pour le recrutement de moniteurs-éducateurs de la fonction publique hospitalière

NOR : SANH0524328V

Un arrêté du président du conseil général de l’Indre en date du 6 septembre 2005 a ouvert un concours sur titres pour le recrutement d’un moniteur-éducateur en vue de pourvoir 1 poste vacant à la section foyer de l’enfance de l’établissement public départemental fondation Blanche de Fontarce, à Châteauroux. Peuvent faire acte de candidature les personnes remplissant les conditions énumérées à l’article 3 du décret no 93-657 du 26 mars 1993 portant statut particulier des moniteurs-éducateurs de la fonction publique hospitalière. Les candidatures doivent être adressées (le cachet de la poste faisant foi) ou remises, dans un délai de deux mois à compter de la date de publication du présent avis au Journal officiel, au directeur de la section foyer de l’enfance de l’établissement public départemental fondation Blanche de Fontarce, 86, allée des Platanes, 36000 Châteauroux.

NOR : SANH0524320V

Un arrêté du président du conseil général de Vaucluse en date du 9 septembre 2005 a ouvert un concours sur titres pour le recrutement d’un moniteur-éducateur en vue de pourvoir 1 poste vacant à la maison d’enfants à caractère social L’Arc-en-ciel, à Carpentras. Peuvent faire acte de candidature les personnes remplissant les conditions énumérées à l’article 3 du décret no 93-657 du 26 mars 1993 portant statut particulier des moniteurs-éducateurs de la fonction publique hospitalière. Les candidatures doivent être adressées (le cachet de la poste faisant foi) ou remises, dans un délai de deux mois à compter de la date de publication du présent avis au Journal officiel, au directeur de la maison d’enfants à caractère social L’Arc-en-ciel, chemin de l’Hermitage, 84200 Carpentras-Serres.

NOR : SANH0524323V

Un arrêté du préfet du Nord en date du 14 septembre 2005 a ouvert un concours sur titres pour le recrutement de moniteurs-éducateurs en vue de pourvoir 2 postes vacants à l’IEM de Zuydcoote. Peuvent faire acte de candidature les personnes remplissant les conditions énumérées à l’article 3 du décret no 93-657 du 26 mars 1993 portant statut particulier des moniteurs-éducateurs de la fonction publique hospitalière. Les candidatures doivent être adressées (le cachet de la poste faisant foi) ou remises, dans un délai de deux mois à compter de la date de publication du présent avis au Journal officiel, au directeur de l’institut Vancauwenberghe, boulevard Vancauwenberghe, 59123 Zuydcoote.

NOR : SANH0524327V

Un arrêté du préfet des Hautes-Pyrénées en date du 19 septembre 2005 a ouvert un concours sur titres pour le recrutement de moniteurs-éducateurs en vue de pourvoir 2 postes vacants aux hôpitaux de Lannemezan. Peuvent faire acte de candidature les personnes remplissant les conditions énumérées à l’article 3 du décret no 93-657 du 26 mars 1993 portant statut particulier des moniteurs-éducateurs de la fonction publique hospitalière. Les candidatures doivent être adressées (le cachet de la poste faisant foi) ou remises, dans un délai de deux mois à compter de la date de publication du présent avis au Journal officiel, au directeur des hôpitaux de . Lannemezan, 644 route de Toulouse, BP 167, 65308 Lannemezan Cedex. .

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NOR : SANH0524326V

Un arrêté du président du conseil général du Pas-de-Calais en date du 20 septembre 2005 a ouvert un concours sur titres pour le recrutement d’un moniteur-éducateur en vue de pourvoir 1 poste vacant au foyer Grand Large, à Outreau. Peuvent faire acte de candidature les personnes remplissant les conditions énumérées à l’article 3 du décret no 93-657 du 26 mars 1993 portant statut particulier des moniteurs-éducateurs de la fonction publique hospitalière. Les candidatures doivent être adressées (le cachet de la poste faisant foi) ou remises, dans un délai de deux mois à compter de la date de publication du présent avis au Journal officiel, au directeur de l’EPDAHA, 53, rue de Douai, BP 15, 62001 Arras Cedex.

NOR : SANH0524324V

Un arrêté du président du conseil général des Hauts-de-Seine en date du 22 septembre 2005 a ouvert un concours sur titres pour le recrutement de moniteurs-éducateurs en vue de pourvoir 2 postes vacants dans les établissements suivants : – cité de l’enfance du Plessis-Robinson : 1 poste ; – foyer de Villeneuve-la-Garenne : 1 poste. Peuvent faire acte de candidature les personnes remplissant les conditions énumérées à l’article 3 du décret no 93-657 du 26 mars 1993 portant statut particulier des moniteurs-éducateurs de la fonction publique hospitalière. Les candidatures doivent être adressées (le cachet de la poste faisant foi) ou remises, dans un délai de deux mois à compter de la date de publication du présent avis au Journal officiel, à l’hôtel du département (service emploi-effectif), 2 à 16, boulevard Soufflot, 92015 Nanterre Cedex.

NOR : SANH0524319V

Un arrêté du préfet du Finistère en date du 26 septembre 2005 a ouvert un concours sur titres pour le recrutement d’un moniteur-éducateur en vue de pourvoir 1 poste vacant à l’institut médico-éducatif de Kérampuil, à Carhaix. Peuvent faire acte de candidature les personnes remplissant les conditions énumérées à l’article 3 du décret no 93-657 du 26 mars 1993 portant statut particulier des moniteurs-éducateurs de la fonction publique hospitalière. Les candidatures doivent être adressées (le cachet de la poste faisant foi) ou remises, dans un délai de deux mois à compter de la date de publication du présent avis au Journal officiel, au directeur de l’institut médico- éducatif de Kérampuil, rue Kérampuil, 29270 Carhaix-Plouguer.

NOR : SANH0524321V

Un arrêté du préfet de la Dordogne en date du 26 septembre 2005 a ouvert un concours sur titres pour le recrutement d’un moniteur-éducateur en vue de pourvoir 1 poste vacant au centre hospitalier Vauclaire de Montpon-Ménestérol. Peuvent faire acte de candidature les personnes remplissant les conditions énumérées à l’article 3 du décret no 93-657 du 26 mars 1993 portant statut particulier des moniteurs-éducateurs de la fonction publique hospitalière. Les candidatures doivent être adressées (le cachet de la poste faisant foi) ou remises, dans un délai de deux mois à compter de la date de publication du présent avis au Journal officiel, au directeur du centre hospitalier Vauclaire, 24700 Montpon-Ménestérol.

NOR : SANH0524325V

Un arrêté du préfet des Yvelines en date du 4 octobre 2005 a ouvert un concours sur titres pour le recrutement d’un moniteur-éducateur en vue de pourvoir 1 poste vacant à l’hôpital gérontologique et médico- social de Plaisir-Grignon. Peuvent faire acte de candidature les personnes remplissant les conditions énumérées à l’article 3 du décret no 93-657 du 26 mars 1993 portant statut particulier des moniteurs-éducateurs de la fonction publique . hospitalière. .

. . 6 décembre 2005 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 102 sur 118

Les candidatures doivent être adressées (le cachet de la poste faisant foi) ou remises, dans un délai de deux mois à compter de la date de publication du présent avis au Journal officiel, au directeur de l’hôpital gérontologique et médico-social de Plaisir-Grignon, 220, rue Mansart, BP 19, 78375 Plaisir Cedex.

NOR : SANH0524329V

Un arrêté du préfet de l’Ain en date du 4 octobre 2005 a ouvert un concours sur titres pour le recrutement d’un moniteur-éducateur en vue de pourvoir 1 poste vacant au centre hospitalier d’Hauteville-Lompnes. Peuvent faire acte de candidature les personnes remplissant les conditions énumérées à l’article 3 du décret no 93-657 du 26 mars 1993 portant statut particulier des moniteurs-éducateurs de la fonction publique hospitalière. Les candidatures doivent être adressées (le cachet de la poste faisant foi) ou remises, dans un délai de deux mois à compter de la date de publication du présent avis au Journal officiel, au directeur du centre hospitalier de Hauteville-Lompnes (direction des ressources humaines), 01110 Hauteville-Lompnes.

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Avis et communications

AVIS DE CONCOURS ET DE VACANCE D’EMPLOIS

MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SOLIDARITÉS

Avis relatif à l’ouverture d’un concours sur titres pour le recrutement de moniteurs-éducateurs de la fonction publique hospitalière

NOR : SANH0524322V

Un arrêté de la présidente du conseil général de la Réunion en date du 12 septembre 2005 a ouvert un concours sur titres pour le recrutement de moniteurs-éducateurs en vue de pourvoir 9 postes vacants dans les établissements suivants : – foyer de l’enfance Nord-Est : 5 postes ; – foyer de l’enfance de Terre rouge : 4 postes. Peuvent faire acte de candidature les personnes remplissant les conditions énumérées à l’article 3 du décret no 93-657 du 26 mars 1993 portant statut particulier des moniteurs-éducateurs de la fonction publique hospitalière. Les candidatures doivent être adressées (le cachet de la poste faisant foi) ou remises, dans un délai de deux mois à compter de la date de publication du présent avis au Journal officiel, à la présidente du conseil général de la Réunion, département de la Réunion, direction des ressources humaines (service formation et concours), 8, rue de la Source, 97488 Saint-Denis Cedex.

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Avis et communications

AVIS DE CONCOURS ET DE VACANCE D’EMPLOIS

MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SOLIDARITÉS

Avis relatifs à l’ouverture de concours sur titres pour le recrutement d’animateurs de la fonction publique hospitalière

NOR : SANH0524331V

Un arrêté du préfet du Bas-Rhin en date du 4 octobre 2005 a ouvert un concours sur titres pour le recrutement d’un animateur en vue de pourvoir 1 poste vacant à la maison de retraite de Villé. Peuvent faire acte de candidature les personnes remplissant les conditions énumérées à l’article 3 du décret no 93-654 du 26 mars 1993 portant statut particulier des éducateurs de jeunes enfants de la fonction publique hospitalière. Les candidatures doivent être adressées (le cachet de la poste faisant foi) ou remises, dans un délai de deux mois à compter de la date de publication du présent avis au Journal officiel, au directeur de la maison de retraite de Villé, 2, promenade du Klosterwald, 67220 Villé.

NOR : SANH0524330V

Un arrêté du préfet du Rhône en date du 7 octobre 2005 a ouvert un concours sur titres pour le recrutement d’un animateur en vue de pourvoir 1 poste vacant aux hospices civils de Lyon. Peuvent faire acte de candidature les personnes remplissant les conditions énumérées à l’article 3 du décret no 93-654 du 26 mars 1993 portant statut particulier des éducateurs de jeunes enfants de la fonction publique hospitalière. Les candidatures doivent être adressées (le cachet de la poste faisant foi) ou remises, dans un délai de deux mois à compter de la date de publication du présent avis au Journal officiel, au directeur général des hospices civils de Lyon (direction du personnel et des affaires sociales, bureau des concours), 162, avenue Lacassagne, bâtiment B, 69003 Lyon.

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Avis et communications

AVIS DE CONCOURS ET DE VACANCE D’EMPLOIS

MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SOLIDARITÉS

Avis d’examen professionnel pour le recrutement d’un technicien supérieur hospitalier-chef

NOR : SANH0524305V

Un examen professionnel aura lieu au centre hospitalier intercommunal de Fréjus - Saint-Raphaël (Var), en application de l’article 12-2 du décret no 91-868 du 5 septembre 1991 modifié portant statuts particuliers des personnels techniques de la fonction publique hospitalière, en vue de pourvoir 1 poste de technicien supérieur hospitalier vacant dans cet établissement. Peuvent faire acte de candidature les techniciens supérieurs hospitaliers comptant au moins six ans de fonction dans leur grade ou parmi les techniciens supérieurs principaux hospitaliers. Les candidatures devront être adressées, au plus tard dans un délai d’un mois à compter de la date de publication du présent avis au Journal officiel, par écrit (le cachet de la poste faisant foi), au directeur du centre hospitalier intercommunal de Fréjus - Saint-Raphaël, 240, avenue Saint-Lambert, BP 110, 83608 Fréjus Cedex, auprès duquel peuvent être obtenus tous les renseignements complémentaires pour la constitution du dossier, les date et lieu du concours.

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Avis et communications

AVIS DE CONCOURS ET DE VACANCE D’EMPLOIS

MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SOLIDARITÉS

Avis de concours externes sur titres pour le recrutement de techniciens supérieurs hospitaliers

NOR : SANH0524343V

Un concours externe sur titres aura lieu au centre hospitalier universitaire de Reims (Marne), dans les conditions fixées à l’article 12 (1o, a) du décret no 91-868 du 5 septembre 1991 modifié portant statuts particuliers des personnels techniques de la fonction publique hospitalière, en vue de pourvoir 4 postes de technicien supérieur hospitalier vacants dans les établissements suivants : – centre hospitalier universitaire de Reims : 1 poste, branche gestion technique et logistique ; – centre hospitalier d’Epernay : 1 poste, branche hygiène, sécurité et environnement, prévention et gestion des risques ; – EPSDM de Châlons-en-Champagne : 1 poste, branche qualité et accréditation ; – centre hospitalier de Châlons-en-Champagne (syndicat interhospitalier) : 1 poste, branche gestion logistique, option blanchisserie. Peuvent faire acte de candidature les personnes âgées de quarante-cinq ans au plus au 1er janvier 2005, titulaires d’un diplôme sanctionnant un premier cycle d’études supérieures, d’un titre ou d’un diplôme homologués au niveau III ou d’une certification inscrite au répertoire national des certifications professionnelles délivrée dans l’une ou plusieurs des spécialités citées ci-dessus ainsi que dans tout autre domaine à caractère technique et scientifique entrant dans les missions des établissements relevant de la fonction publique hospitalière. Ce concours est également ouvert aux candidats titulaires d’un diplôme délivré dans un autre Etat membre de la Communauté européenne ou dans un autre Etat partie à l’accord sur l’Espace économique européen et dont l’assimilation avec l’un des diplômes prévus ci-dessus aura été reconnue par la commission prévue par le décret du 21 juillet 1994. Un certain nombre de dérogations à la limite d’âge étant prévues par la réglementation, il est conseillé aux candidats âgés de plus de quarante-cinq ans de déposer leur dossier de candidature. Les dossiers de candidature devront être adressés, au plus tard un mois après la date de publication du présent avis au Journal officiel, par lettre recommandée (le cachet de la poste faisant foi), au directeur général du centre hospitalier universitaire de Reims (service concours, direction des ressources humaines), 23, rue des Moulins, 51092 Reims Cedex, auprès duquel peuvent être obtenus tous les renseignements complémentaires pour la constitution du dossier, les date et lieu du concours.

NOR : SANH0524344V

Un concours externe sur titres aura lieu aux hospices civils de Lyon (Rhône), dans les conditions fixées à l’article 12 (1o, a) du décret no 91-868 du 5 septembre 1991 modifié portant statuts particuliers des personnels techniques de la fonction publique hospitalière, en vue de pourvoir 2 postes de technicien supérieur hospitalier vacants dans les établissements suivants : – hospices civils de Lyon : 1 poste, branche gestion technique, spécialité bâtiment, construction et aménagement du bâtiment ; – centre hospitalier Le Vinatier : 1 poste, branche gestion logistique, spécialité blanchisserie. Peuvent faire acte de candidature les personnes âgées de quarante-cinq ans au plus au 1er janvier 2005, titulaires d’un diplôme sanctionnant un premier cycle d’études supérieures, d’un titre ou d’un diplôme homologués au niveau III ou d’une certification inscrite au répertoire national des certifications professionnelles délivrée dans l’une ou plusieurs des spécialités citées ci-dessus ainsi que dans tout autre domaine à caractère technique et scientifique entrant dans les missions des établissements relevant de la fonction publique . hospitalière. .

. . 6 décembre 2005 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 106 sur 118

Ce concours est également ouvert aux candidats titulaires d’un diplôme délivré dans un autre Etat membre de la Communauté européenne ou dans un autre Etat partie à l’accord sur l’Espace économique européen et dont l’assimilation avec l’un des diplômes prévus ci-dessus aura été reconnue par la commission prévue par le décret du 21 juillet 1994. Un certain nombre de dérogations à la limite d’âge étant prévues par la réglementation, il est conseillé aux candidats âgés de plus de quarante-cinq ans de déposer leur dossier de candidature. Les dossiers de candidature devront être adressés, au plus tard un mois après la date de publication du présent avis au Journal officiel, par lettre recommandée (le cachet de la poste faisant foi) au directeur général des hospices civils de Lyon (direction du personnel et des affaires sociales, bureau des concours), 162, avenue Lacassagne, bâtiment B, 69003 Lyon, auprès duquel peuvent être obtenus tous les renseignements complémentaires pour la constitution du dossier, les date et lieu du concours.

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Avis et communications

AVIS DIVERS

MINISTÈRE DE L’ÉCONOMIE, DES FINANCES ET DE L’INDUSTRIE

Avis relatif au jeu no 175 Cote & Match

NOR : ECOZ0599482V

Validation des bulletins jusqu’au mercredi 7 décembre 2005. Le tirage du numéro Chance a lieu tous les jours à 22 heures.

Matches retenus

PARI NUMÉRO FIN DE VALIDATION COMPÉTITION simple ÉQUIPE 1 ÉQUIPE 2 1 N 2

1 5 décembre jusqu’à 16 h 25 Champ. tchèque FK Teplice - Sigma Olomouc 1,70 2,80 3,30 2 5 décembre jusqu’à 20 heures Bundesliga 2 Dynamo Dresde - Energie Cottbus 2,25 2,85 2,20 3 5 décembre jusqu’à 20 h 15 Ligue 2 Le Havre - Bastia 2,20 2,50 2,55 4 5 décembre jusqu’à 20 h 30 Serie B Atalanta Bergame - Catanzaro 1,25 3,35 6,65 5 5 décembre jusqu’à 20 h 45 Prem.Leag Birmingham City - West Ham 2,05 2,80 2,50 6 5 décembre jusqu’à 21 h 15 Champ. Portugal V. Guimaraes - Uniao Leiria 1,70 2,90 3,20 7 5 décembre jusqu’à 22 heures NBA L.A. Clippers - Miami (+ 6) 1,70 13,60 1,70 8 5 décembre jusqu’à 22 heures NBA Orlando (+ 7) - San Antonio 1,70 13,60 1,70 9 6 décembre jusqu’à 17 h 45 Bundesliga 1 MSV Duisburg - FC Cologne 1,95 2,80 2,65 10 6 décembre jusqu’à 18 h 45 Pro A Paris BR - Gravelines 1,45 13,80 2,05 11 6 décembre jusqu’à 19 h 45 D2 Hollande Agovv - Storm. Telstar 1,75 2,90 3,00 12 6 décembre jusqu’à 19 h 45 D2 Hollande BV Veendam - Helmond Sport 2,00 2,90 2,50 13 6 décembre jusqu’à 19 h 45 D2 Hollande De Graafschap - FC Zwolle 2,15 2,90 2,30 14 6 décembre jusqu’à 19 h 45 D2 Hollande Excelsior - Fort. Sittard 1,20 3,70 6,85 15 6 décembre jusqu’à 19 h 45 D2 Hollande FC Dordrecht - Omni. Almere 1,45 3,15 4,15 16 6 décembre jusqu’à 19 h 45 D2 Hollande GoAhead Eagles - Emmen 2,60 2,85 1,95 17 6 décembre jusqu’à 20 h 30 Champ.L Milan AC - Schalke 04 1,35 3,15 5,25 18 6 décembre jusqu’à 20 h 30 Champ.L Milan Ac - Schalke (+ 1) 2,10 3,15 2,20 19 6 décembre jusqu’à 20 h 30 Champ.L PSV Eindhoven - Fenerbahce SK 1,45 3,00 4,45 20 6 décembre jusqu’à 20 h 30 Champ.L Lyon - Rosenborg 1,15 3,90 8,10 21 6 décembre jusqu’à 20 h 30 Champ.L Lyon - Rosenborg (+ 1) 1,65 3,25 3,00 22 6 décembre jusqu’à 20 h 30 Champ.L Olympiakos - Real Madrid 2,60 2,85 1,95 23 6 décembre jusqu’à 20 h 30 Champ.L Betis Séville - Anderlecht 1,30 3,40 5,40 24 6 décembre jusqu’à 20 h 30 Champ.L S Chelsea - Liverpool 1,50 2,80 4,45 25 6 décembre jusqu’à 20 h 30 Champ.L Chelsea - Liverpool (+ 1) 2,30 3,20 2,00 26 6 décembre jusqu’à 20 h 30 Champ.L Art. Bratislava - FC Porto 2,65 2,90 1,90 27 6 décembre jusqu’à 20 h 30 Champ.L Glasgow Rangers - Inter Milan 2,00 2,90 2,50 28 7 décembre jusqu’à 18 h 30 Euroleag AEK Athènes - Benet. Trévise 1,65 13,80 1,75 29 7 décembre jusqu’à 19 heures Euroleag Ulker Istanbul (+ 7) - CSKA Moscou 1,70 13,60 1,70 30 7 décembre jusqu’à 20 h 15 Euroleag EB Pau-Orthez - Panathinaïkos 3,25 13,80 1,15 31 7 décembre jusqu’à 20 h 30 Euroleag Ceramic. Vitoria - GHP Bamberg (+ 13) 1,70 13,60 1,70 32 7 décembre jusqu’à 20 h 30 Champ.L Club Bruges - Bayern Munich 4,25 3,10 1,45 33 7 décembre jusqu’à 20 h 30 Champ.L Club Bruges (+ 1) - Bayern Munich 2,00 3,20 2,30 34 7 décembre jusqu’à 20 h 30 Champ.L Rapid Vienne - Juventus 4,50 3,20 1,40 35 7 décembre jusqu’à 20 h 30 Champ.L Rapid Vienne (+ 1) - Juventus 2,05 3,15 2,25 36 7 décembre jusqu’à 20 h 30 Champ.L Arsenal - Ajax Amsterdam 1,50 2,90 4,20 37 7 décembre jusqu’à 20 h 30 Champ.L Sparta Prague - FC Thun 1,65 2,90 3,35 38 7 décembre jusqu’à 20 h 30 Champ.L Udinese - FC Barcelone 2,60 2,45 2,20 39 7 décembre jusqu’à 20 h 30 Champ.L Werder Brême - Panathinaïkos 1,30 3,15 6,15 40 7 décembre jusqu’à 20 h 30 Champ.L Werder Brême - Panathinaïkos (+ 1) 1,85 3,20 2,55 41 7 décembre jusqu’à 20 h 30 Champ.L Benfica Lisboa - Manchester United 2,55 2,80 2,00 42 7 décembre jusqu’à 20 h 30 Champ.L S Villarreal - Lille 1,60 2,80 3,75

Pour ces rencontres, Cote & Match prendra les résultats à la fin du temps réglementaire, sans tenir compte . des éventuels prolongations et tirs au but. .

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Avis et communications

AVIS DIVERS

MINISTÈRE DE L’ÉCONOMIE, DES FINANCES ET DE L’INDUSTRIE

Résultats des tirages du Loto du samedi 3 décembre 2005

NOR : ECOX0502828V

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. . 6 décembre 2005 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 109 sur 118

Avis et communications

AVIS DIVERS

MINISTÈRE DE L’ÉCONOMIE, DES FINANCES ET DE L’INDUSTRIE

Résultats de l’événement no 174 Cote & Match du samedi 3 décembre 2005 et du dimanche 4 décembre 2005

NOR : ECOX0502831V

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Avis et communications

AVIS DIVERS

MINISTÈRE DE L’ÉCONOMIE, DES FINANCES ET DE L’INDUSTRIE

Résultats des tirages du Keno du samedi 3 décembre 2005 et du dimanche 4 décembre 2005

NOR : ECOX0502829V

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. . 6 décembre 2005 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 111 sur 118

Avis et communications

AVIS DIVERS

MINISTÈRE DE L’ÉCONOMIE, DES FINANCES ET DE L’INDUSTRIE

Résultats du Loto Foot 15 no 66 et Loto Foot 7 no 82

NOR : ECOX0502830V

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. . 6 décembre 2005 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 112 sur 118

Avis et communications

AVIS DIVERS

MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SOLIDARITÉS

Avis relatif à la décision de l’Union nationale des caisses d’assurance maladie portant fixation du taux de participation de l’assuré applicable à des spécialités pharmaceutiques

NOR : SANS0524278V

Par décision du directeur général de l’Union nationale des caisses d’assurance maladie en date du 27 mai 2005, le taux de participation de l’assuré applicable aux spécialités citées ci-dessous est fixé comme suit :

Au titre de l’article R. 322-1 (7o) (dans sa rédaction antérieure à l’entrée en vigueur du décret no 2004-1490 du 30 décembre 2004)

TAUX CODE CIP PRÉSENTATION de participation

365 702-5 APIDRA 100 U/ml (insuline glulisine), solution injectable, 3 ml en stylo prérempli OptiSet (B/5) (laboratoires 35 % AVENTIS).

363 668-4 MONOSEPT 0,25 pour mille (0,1 mg/0,4 ml) (bromure de céthexonium), collyre en solution en récipient unidose 35 % (B/30) (laboratoires HORUS PHARMA).

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. . 6 décembre 2005 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 113 sur 118

Avis et communications

AVIS DIVERS

MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SOLIDARITÉS

Avis relatif aux prix de spécialités pharmaceutiques

NOR : SANS0524279V

En application des conventions entre le comité économique des produits de santé et les laboratoires Aventis, Horus Pharma et 3M Santé, les prix des spécialités pharmaceutiques visées ci-dessous sont :

PFHT PPTTC CODE CIP PRÉSENTATION (en euros) (en euros)

365 702-5 APIDRA 100 U/ml (insuline glulisine), solution injectable, 3 ml en stylo prérempli OptiSet (B/5) (laboratoires AVENTIS)...... 32,05 43,27

363 668-4 MONOSEPT 0,25 pour mille (0,1 mg/0,4 ml) (bromure de céthexonium), collyre en solution en récipient unidose (B/30) (laboratoires HORUS PHARMA)...... 2,34 3,80

A compter du 15 décembre 2005

PFHT PPTTC CODE CIP PRÉSENTATION (en euros) (en euros)

349 204-4 ALDARA 5 % (imiquimod), crème en sachets (B/12) (laboratoires 3M SANTE) ...... 57,00 72,82

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. . 6 décembre 2005 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 114 sur 118

Informations diverses

COURS INDICATIFS DU 5 DÉCEMBRE 2005 COMMUNIQUÉS PAR LA BANQUE DE FRANCE

Euros contre devises

NOR : IDIX0502827X

1 euro ...... 1,176 7 USD 1 euro ...... 1,955 9 BGN 1 euro ...... 142,19 JPY 1 euro ...... 7,371 HRK 1 euro ...... 0,573 5 CYP 1 euro ...... 3,651 5 RON 1 euro ...... 28,954 CZK 1 euro ...... 34,061 RUB 1 euro ...... 7,452 1 DKK 1 euro ...... 1,597 4 TRY 1 euro ...... 15,646 6 EEK 1 euro ...... 1,569 8 AUD 1 euro ...... 0,677 3 GBP 1 euro ...... 1,359 9 CAD 1 euro ...... 251,78 HUF 1 euro ...... 9,508 7 CNY 1 euro ...... 3,452 8 LTL 1 euro ...... 9,124 2 HKD 1 euro ...... 0,696 7 LVL 1 euro ...... 11 719,93 IDR 1 euro ...... 0,429 3 MTL 1 euro ...... 1 218,47 KRW 1 euro ...... 3,863 5 PLN 1 euro ...... 4,449 1 MYR 1 euro ...... 9,424 3 SEK 1 euro ...... 1,640 6 NZD 1 euro ...... 239,52 SIT 1 euro ...... 63,495 PHP 1 euro ...... 37,825 SKK 1 euro ...... 1,984 6 SGD 1 euro ...... 1,544 2 CHF 1 euro ...... 48,682 THB 1 euro ...... 75,62 ISK 1 euro ...... 7,490 3 ZAR 1 euro ...... 7,894 NOK

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. . 6 décembre 2005 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 115 sur 118

Informations diverses

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. . 6 décembre 2005 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 115 sur 118 8 7 631 Total 9 347 970 6 340 28 151 (En hectolitres) Rouge ou rosé 3 368 282 397 075 85 1 783 1 868 521 4 745 5 266 34 311 144 018 178 329 Blanc 04 1 325 490 1 815 18 180 10 678 44 306 54 984 Rouge ou rosé 1 20 523 267 785 381 482 649 267 Blanc 7 188 5 606 553 21 057 21 610 864 8 482 18 213 213 382 489 991 703 373 545 3 750 7 500 176 609 522 975 699 584 213 296 1 382 71 685 31 280 403 856 435 136 Rouge ou rosé 5 4 10 068 26 177 208 206 177 414 820 2 315 31 432 319 361 697 558 9 078 064 9 775 622 926 352 239 1 895 7 994 19 449 27 443 10 641 75 845 1 039 24 395 114 588 767 639 882 227 Blanc 334 514 1 401 103 112 636 1 216 915 559 635 3 251 994 3 811 629 452 2 034 3 218 687 2 337 8 251 14 787 23 038 « 1 748 4 939 2 513 4 868 10 437 11 599 22 036 Rouge ou rosé 001 81 672 344 061 75 567 94 223 59 650 455 080 286 009 741 089 « « 74 716 641 898 35 428 644 811 140 026 2 116 015 2 256 041 « 4 580 372 1 442 1 069 3 514 97 540 47 393 144 933 « « « « 36 947 1 288 433 657 4 396 438 053 Blanc IDIL0510051X Bureau F/3 8 « « 302 120 4 072 2 577 137 888 38 275 176 163 5 « 55 161 165 174 1 262 090 73 234 882 365 406 600 3 151 621 3 558 221 NOR : Rouge ou rosé AOC VDQS VIN DE PAYS VIN DE TABLE TOTAUX 9 256 10 260 5 906 474 213 1 844 8 271 14 577 14 646 29 223 SOUS-DIRECTION DES DROITS INDIRECTS Blanc DIRECTION GÉNÉRALE DES DOUANES ET DROITS INDIRECTS À L’EXPIRATION DE LA CAMPAGNE 2004-2005 de NOMBRE déclarants MINISTÈRE DE L’ÉCONOMIE, DES FINANCES ET L’INDUSTRIE RELEVÉ DES VOLUMES STOCKS DE VINS DÉCLARÉS PAR LES VITICULTEURS ...... 30 1 449 12 245 « « 1 394 11 256 416 8 481 3 259 31 982 35 241 DÉPARTEMENTS ...... 5 343 « « « « 73 047 130 329 76 524 68 070 149 571 198 39 ...... 151 15 602 208 769 « « 10 229 123 858 2 962 35 655 28 79 ...... 545 « 113 915 « « 690 14 733 258 8 035 948 136 683 13 ...... 127 523 1 524 « « 218 1 251 200 702 941 3 477 4 41 ...... 112 « « « « 185 1 827 74 741 259 2 568 2 827 ...... 90 10 088 69 737 « « 16 528 64 853 7 695 9 428 ...... 37 1 548 23 046 « « 77 1 870 186 1 424 1 811 2 ...... 3 058 253 250 348 533 « « 6 104 12 426 8 43 ...... 914 202 020 459 914 « « 2 880 11 ...... 2 382 171 349 514 930 « « 1 510 ...... 2 « « « « « « 2 8 2 8 10 ...... 3 605 « « « « 6 216 26 126 4 462 ...... 7 489 661 306 8 756 388 « « 4 ...... 1 251 « 10 896 364 3 858 1 69 ...... 592 8 885 118 875 « « 21 013 ...... 524 « « « « 519 3 004 2 1 741 ...... 1 627 112 485 633 976 « « ...... 226 102 908 667 399 « « ...... 99 « « « « 75 1 487 10 296 ...... 130 « « « « 653 86 672 4 ...... 3 « « 3 35 « « « 7 3 42 45 ...... 433 167 115 176 « « 2 ...... 431 5 344 8 780 186 ...... 763 29 882 829 306 ...... 1 199 999 396 710 168 192 3 108 952 00 ...... 444 « « 6 829 17 202 ...... 1 376 425 6 176 133 514 1 35 792 57 « ...... 745 8 795 69 120 8 ...... 968 96 099 37 857 8 Ardennes 9 Ariège 1 Ain ...... 2 Aisne 3 Allier 4 1 035 Alpes-de-Haute-Provence 1 99 5 Alpes (Hautes-) 6 Alpes-Maritimes 7 Ardèche 38 Isère 39 Jura 34 Hérault 36 Indre 37 Indre-et-Loire 32 Gers 33 Gironde 26 Drôme 25 Doubs 30 Gard 31 Garonne (Haute-) 21 Côte-d’Or 24 Dordogne 2B Corse (Haute-) 18 Cher 19 Corrèze 2A Corse-du-Sud 10 Aube 11 Aude 12 Aveyron 15 Cantal 16 Charente 17 Charente-Maritime . 13 Bouches-du-Rhône .

. . 6 décembre 2005 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 115 sur 118 98 6 932 Total 1 18 465 47 12 097 120 677 122 544 Rouge ou rosé 61 15 672 20 033 848 43 065 443 913 219 1 039 897 1 566 116 264 237 34 217 298 454 Blanc 8 2 008 1 384 3 392 81 1 241 1 368 2 609 54 361 935 309 240 671 175 28 432 40 105 542 489 582 594 Rouge ou rosé 459 17 521 608 253 119 407 727 660 Blanc 92 9 157 18 872 330 238 451 373 781 611 25 3 451 4 450 10 189 7 219 17 408 155 5 547 8 435 10 170 22 749 32 919 0 090 7 379 14 606 130 130 182 275 312 405 Rouge ou rosé 3 1 861 887 1 890 53 675 9 589 63 264 8 193 874 22 848 140 944 138 346 2 023 416 2 161 762 581 7 571 1 422 3 766 10 282 23 921 34 203 169 1 153 4 324 3 404 41 803 32 269 74 072 1 152 2 863 318 1 887 4 054 22 836 26 890 Blanc 68 1 414 1 254 2 461 5 459 12 563 15 052 27 615 339 154 2 009 296 896 2 811 8 310 11 121 « 319 1 081 1 604 23 585« 19 774 357 660 306 680 080 196 14 463 3 767 207 102 51 121 258 223 Rouge ou rosé « « « « 193 026 5 3 312 295 10 258 3 322 553 Blanc 0 « « 16 961 83 249 9 474 66 277 57 480 315 646 373 126 627 67 256 270 945 1 370 067 5 110 367 913 065 4 080 792 10 895 579 29 130 731 40 026 310 406 789 « 9 392 1 497 28 477 299 17 052 1 796 461 710 463 506 Rouge ou rosé AOC VDQS VIN DE PAYS VIN DE TABLE TOTAUX 76 574 565 « « 12 895 188 174 6 191 72 966 45 362 835 705 881 067 Blanc de NOMBRE déclarants ...... 547 83 967 135 908 « « 799 1 112 1 315 3 831 86 081 140 851 22 DÉPARTEMENTS ...... 586 447 571 649 980 « « 56 274 248 792 22 374 141 125 526 ...... 257 318 4 301 « 3 « « 872 3 381 1 190 7 685 8 875 ...... 992 381 9 126 « « 378 999 303 6 966 1 062 17 091 18 153 ...... 801 « 23 628 « 41 910 1 202 38 291 665 16 848 1 867 ...... 2 516 483 526 3 842 28 990 6 395 64 278 91 649 31 ...... 3 « « « « « « « 61 « 61 61 ...... 238 14 660 1 190 « « 517 75 1 567 456 16 744 1 72 ...... 285 235 21 694 475 134 232 « « 1 000 « 6 959 « 37 923 11 452 « « 2 357 2 412 2 589 2 412 5 001 ...... 9 « « « « 3 030 3 356 1 065 189 4 095 3 545 7 640 ...... 2 382 3 2 962 278 5 836 « 309 « 297 « 361 « 565 729 « 8 974 278 4 3 « 556 « 556 ...... 2 419 279 230 389 720 2 145 3 289 39 706 39 4 ...... 2 012 345 556 298 825 « « 166 361 16 213 10 0 ...... 13 « « « « « « 1 74 1 74 75 ...... 337 « « 675 8 802 82 619 193 1 726 950 11 1 ...... 643 391 265 42 958 « « « « 9 583 107 400 ...... 1 146 95 996 126 704 294 875 26 461 4 ...... 1 147 257 146 34 110 « « « « 7 091 107 ...... 1 « « « « « « 10 « 10 0 10 ...... 876 74 730 1 688 598 « « 40 76 ...... 121 « « 1 367 666 « « 641 71 ...... 746 « « 2 131 9 159 2 492 5 ...... 163 « « « « « « 2 396 2 396 3 ...... 410 2 851 « 2 428 12 584 3 ...... 45 « « « « 620 1 187 621 1 ...... 490 48 655 5 838 « « 4 13 ...... 73 779 8 545 191 19 668 ...... 773 6 922 4 971 1 766 3 3 ...... 547 1 005 6 35 542 310 27 2 712 444 « « « « 2 196 3 ...... 2 919 17 851 635 640 « ...... 923 192 185 47 158 97 ...... 6 315 3 119 269 10 253 ...... 138 950 1 066 1 411 4 ...... 144 2 584 18 086 « « ...... 994 31 045 166 12 Totaux 57 Moselle 58 Nièvre 40 Landes 88 Vosges 41 Loir-et-Cher 42 Loire 43 Loire (Haute-) 44 Loire-Atlantique 45 Loiret 46 Lot...... 47 Lot-et-Garonne 2 88352 Marne (Haute-) 53 Mayenne 54 Meurthe-et-Moselle 55 « Meuse 65 Pyrénées (Hautes-) 66 Pyrénées-Orientales 68 Rhin (Haut-) 69 Rhône 89 Yonne 51 Marne 63 Puy-de-Dôme 49 Maine-et-Loire 67 Rhin (Bas-) 87 Vienne (Haute-) 70 Saône (Haute-) 71 Saône-et-Loire 64 Pyrénées-Atlantiques 72 Sarthe 86 Vienne 74 Savoie (Haute-) 77 Seine-et-Marne 79 Sèvres (Deux-) 81 Tarn 82 Tarn-et-Garonne 83 Var84 ...... Vaucluse 85 Vendée 560 26 2 . 73 Savoie .

. . 6 décembre 2005 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 116 sur 118

ANNONCES

LES ANNONCES SONT REÇUES À L’OFFICE SPÉCIAL DE PUBLICITÉ Département SPJO

47, rue Louis-Blanc, 92984 LA DÉFENSE CEDEX Tél. : 01-49-04-01-71 ou 72 − Télécopie : 01-43-33-32-26

(L’Administration et les fermiers déclinent toute responsabilité quant à la teneur des annonces.)

ANNONCES JUDICIAIRES ET LÉGALES CONDAMNATIONS PÉNALES POUR FRAUDE FISCALE

(textes 116 et 117)

En application du décret no 2004-459 du 28 mai 2004, pris après avis de la CNIL, les actes individuels relatifs à l’état et à la nationalité des personnes ne doivent pas faire l’objet d’une publication sous forme électronique. Ces textes peuvent être consultés sur l’édition papier.

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ANNONCES

LES ANNONCES SONT REÇUES À L’OFFICE SPÉCIAL DE PUBLICITÉ Département SPJO

47, rue Louis-Blanc, 92984 LA DÉFENSE CEDEX Tél. : 01-49-04-01-71 ou 72 − Télécopie : 01-43-33-32-26

(L’Administration et les fermiers déclinent toute responsabilité quant à la teneur des annonces.)

DEMANDES DE CHANGEMENT DE NOM

En application du décret no 2004-459 du 28 mai 2004, pris après avis de la CNIL, les actes individuels relatifs à l’état et à la nationalité des personnes ne doivent pas faire l’objet d’une publication sous forme électronique. Ces textes peuvent être consultés sur l’édition papier.

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