1.2. DEVELOPPEMENT COMMERCIAL : CONFORTER LE COMMERCE DANS LA VILLE, AU SERVICE DE LA PROXIMITE

En rouge, les parties modifiées suite au COPIL du 3 décembre 2012. Participants : Noms EPCI ALZURRI Emmanuel CA Côte basque Adour Absent BAUDRY Paul CC Errobi Absent BEHOTEGUY Maïder CC Pays de Présente BILLOT-NAVARRE Nathalie CC Seignanx Présente BRU Vincent CC Errobi Absent CASTEL Sophie CA Côte basque Adour Absente COHERE Lucien CC Pays de Bidache Présent DONAPETRY Jean-Michel CC Pays Absent DUBOURDIEU Jean CA Côte basque Adour Présent DUPEROU Michel CC Errobi Absent ETCHEGARAY Jean-René Président du Syndicat Présent FLORENCE Gracianne CC Errobi Présente FOUQUE Bertrand CC Nive Adour Absent GUILLOTEAU Eric CC Seignanx Excusé HIRIGOYEN Roland CC Nive Adour Présent JOCOU Pascal CC Pays Hasparren Présent LARROQUE Paul CC Nive Adour Présent LASSALLE André CC Pays de Bidache Absent LAMY Maurice CC Nive-Adour Présent LATAILLADE Robert CC Nive Adour Absent LATOUR Jean-Henri CC Seignanx Absent SALMON Jean-Joseph CC Seignanx Présent PARGADE Isabelle CC Pays Hasparren Excusée VASSEUR Hubert CC Errobi Présent VEUNAC Michel CA Côte basque Adour Absent VOISIN Jean-Pierre CA Côte basque Adour Présent Techniciens : ARIZMENDI Jon, CCI Pays basque ; Létizia DELORME, Marc TRINQUE, AUDAP ; Marie-Caroline TURLOTTE, Communauté d’agglomération Côte basque Adour ; Katia EMERAND, SMSCoT

Propos liminaires Si le territoire du SCoT est globalement bien équipé, cet équipement commercial est essentiellement concentré dans le cœur de l’agglomération. Dans les espaces de vie du quotidien, les besoins hebdomadaires sont rarement couverts localement même pour les besoins alimentaires. Les autorisations accordées depuis 2009, augmenteront le plancher commercial de plus de 110 000 m², pour l’essentiel dans le secteur non alimentaire, localisés au plus près des flux routiers. La fonction commerciale, créatrice de lieux de vie, garante de l’animation des centres villes et des centres bourgs reste pourtant plébiscitée pour ses vertus en matière d’aménagement durable du territoire. Le SCoT affirme donc l’importance de considérer le commerce comme une fonction urbaine à part entière. Le Scot souhaite améliorer l’offre au plus près des habitants. L’objectif est de privilégier le développement du commerce dans les centres villes et les centres

DOO du SCoT de l’Agglomération de Bayonne et du Sud des Landes – Chapitre commerce et DAC DOCUMENT DE TRAVAIL – NE PAS REPRODUIRE/ décembre 2012 p. 1 bourgs, pour limiter les distances à parcourir pour les principaux achats et favoriser les synergies entre les autres fonctions urbaines. En précisant les conditions préférentielles d’implantation ou d’extension du commerce, le SCoT permet aux collectivités de mieux encadrer le déploiement de nouvelles surfaces commerciales importantes. Il fixe également un niveau Le commerce de détail d’exigence minimum à l’attention des opérateurs, que chaque collectivité pourra consiste à vendre des préciser davantage dans ses documents cadres afin de gagner une offre marchandises dans commerciale adaptée aux attentes des territoires et de leurs habitants. l'état où elles sont Conscients de l’importante versatilité des stratégies des opérateurs commerciaux achetées (ou après et des risques que cela représente pour le territoire, les élus inscrivent le volet transformations commercial du SCoT dans le court et moyen terme. Ainsi, la réflexion porte sur mineures) généralement les 6 prochaines années. Le volet commercial et le DAC seront donc évalués et à une clientèle de repris lors de l’évaluation générale du SCoT à mi-parcours. particuliers, quelles que soient les quantités vendues. En annexe, la Orientations générales liste des codes NAF se 1. Consolider l’offre commerciale dans les principales centralités de rapportant aux l’armature urbaine commerces de détail. → Conforter le rayonnement commercial de l’ensemble du territoire en Le commerce de gros concentrant les grandes surfaces spécialisées dans le cœur d’agglomération ; consiste à acheter, entreposer et vendre des → Développer ou conforter l’offre commerciale des petites villes de marchandises l’intérieur, pour garantir l’autonomie des espaces de vie du quotidien généralement à des et assurer les besoins quotidiens et hebdomadaires des détaillants, des populations en alimentaire et non-alimentaire courant ; utilisateurs → Permettre une couverture commerciale minimale dans chacune des professionnels centralités du territoire pour répondre aux besoins quotidiens, au (industriels ou plus près des habitants ; commerciaux) ou des collectivités, voire à → Favoriser le développement de circuits de proximité et notamment d'autres grossistes ou ceux permettant de rapprocher les consommateurs des producteurs intermédiaires, et ce du territoire (marchés, vente directe, …). quelles que soient les quantités vendues. 2. Organiser le grand commerce au sein de Zones d’aménagement Un ensemble commercial commercial réunit → Hors centralités urbaines, organiser le développement commercial plusieurs magasins sur au sein des zones d’aménagement commercial (ZACom), délimitées le même site, dans le dans le document d’aménagement commercial (DAC) joint au DOO. même bâtiment ou des bâtiments distincts, et qui réunissent l’une des 3. Exiger des projets plus respectueux de leur environnement, quatre conditions naturel et urbain suivantes : réalisation → Favoriser les projets contribuant au renouvellement urbain et à dans une même l’intensification des fonctions dans les enveloppes urbaines opération existantes ; d’aménagement, aménagements → Améliorer la qualité urbaine, architecturale, paysagère et environnementale des implantations, extensions ou réhabilitations communs, gestion commerciales ; commune, structure juridique commune. → Elaborer une charte d’aménagement et de développement commercial, afin de préciser les prescriptions du SCoT.

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1.2.1. REGLEMENTER L’IMPLANTATION DES COMMERCES DE DETAIL ET LES PRESTATIONS DE SERVICE A CARACTERE ARTISANAL

Le commerce de détail Cadre règlementaire consiste à vendre des Le Code de l’urbanisme ne définit pas les types de commerce devant être marchandises dans règlementés par le SCoT. Le territoire a donc toute liberté pour préciser (ou pas) l'état où elles sont les commerces concernés. Pour mémoire, seuls les commerces ou ensembles achetées (ou après commerciaux de plus de 1000 m² sont soumis à l’autorisation d’exploitation transformations commerciale, et donc à la CDAC. Dans les communes de moins de 20 000 mineures) généralement habitants, la CDAC peut être saisie pour des projets commerciaux d’une taille à une clientèle de comprise entre 300 et 1000 m2. particuliers, quelles que soient les quantités vendues. En annexe, la Constats liste des codes NAF se En fonction de la clientèle ciblée et de leur fréquentation tous les commerces rapportant aux n’ont pas le même impact en termes d’aménagement et de développement commerces de détail. durable ; enjeux devant guider la planification du développement commercial. Le commerce de gros consiste à acheter, Orientations entreposer et vendre des marchandises Règlementer en priorité l’implantation des commerces responsables d’une généralement à des consommation foncière élevée et de flux de déplacement fréquents et nombreux. détaillants, des utilisateurs 1. Règlementer l’implantation des commerces de détails et les professionnels prestations de service à caractère artisanal (métiers de bouche, (industriels ou coiffure, pressing…) : commerciaux) ou des collectivités, voire à Les commerces de détail et les prestations de service à caractère artisanal d'autres grossistes ou dont l’implantation est règlementée par le SCoT sont ceux relevant du intermédiaires, et ce système d’autorisation actuel en CDAC (en terme de nature d’activités). quelles que soient les Ne sont donc pas concernées par l’encadrement juridique du SCoT : quantités vendues.

− Certains services, tels les pharmacies, les cafés, les restaurants… Un ensemble − Les entreprises ayant une activité principale de production. Même commercial réunit si elles disposent d’une façade commerciale et/ou d’un showroom plusieurs commerces sur (ex : pisciniste, ébéniste…), l’accueil de clientèle et la vente « en le même site, dans le rayonnage » sont limités. même bâtiment ou des bâtiments distincts, et − Le commerce de gros (matériaux de construction, centrales d’achat…). Leur clientèle à majorité professionnelle est moins qui réunissent l’une des génératrice de déplacements. Ces activités ont toute leur place dans quatre conditions les Zones d’Activités Economiques. suivantes : réalisation dans une même − Les concessionnaires automobiles. Bien que drainant une opération importante clientèle de particuliers, la fréquence d’achat reste rare, d’aménagement, ce qui justifie de ne pas règlementer ce secteur une priorité. aménagements communs, gestion commune, structure 2. Le SCoT fait le choix d’exclure certaines activités commerciales de juridique commune. son champ d’application : − La vente directe de productions agricoles par l’exploitant (type AMAP, vente à la ferme, marchés…), mode de commercialisation en circuit-court que le SCoT encourage ;

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− Le regroupement de producteurs locaux pour la commercialisation de leurs produits dans un local commercial mutualisé.

1.2.2. LOCALISATION PREFERENTIELLE DES COMMERCES : GUIDER LE DEVELOPPEMENT DU COMMERCE DANS LES CENTRALITES URBAINES ET LES ZACOM

Cadre règlementaire Le Document d’orientation et d’objectifs doit définir les secteurs préférentiels de localisation du commerce, dont les ZACom dans le cadre du DAC.

Constats La dispersion des commerces ne participe ni au renforcement de l’attractivité commerciale des centralités urbaines, ni au développement durable du territoire (consommation d’espace accrue, augmentation des déplacements…). L’implantation de commerces de détail en dehors des centralités urbaines - dans La centralité urbaine une logique de captation de flux routiers notamment – risque de déstructurer le inclue tout secteur, fonctionnement commercial de l’espace de vie et renforcer l’étalement urbain. Ce notamment centre-ville, constat conduit à ne pas privilégier le commerce hors centralités urbaines et hors centre-bourg ou centre ZACom identifiées. de quartier structuré, caractérisé par un bâti Orientations continu, dense – comparativement aux 1. Les centralités urbaines et les ZACom sont les espaces préférentiels tissus urbains d’implantation des commerces de détail, pour répondre aux environnants – exigences d’aménagement du territoire et de développement présentant une diversité durable de fonctions urbaines. → Les centralités urbaines sont les lieux prioritaires de développement du commerce. Le SCoT entend favoriser le maintien ou le retour des Par diversité de commerces dans les centralité urbaines des villes et des villages, fonctions, s’entend en pour offrir une réponse aux nécessités d’achats quotidiens et particulier, des hebdomadaires, limiter l’étalement urbain, réduire les besoins en logements, des emplois, déplacements et faciliter le recours aux déplacements doux, des commerces, des conforter l’attractivité des centralités voire les rendre de nouveau équipements publics et attractives ; collectifs. Pour les implantations nécessitant des emprises foncières → Par opposition aux importantes et pour lesquelles l’accessibilité automobile est souvent centralités urbaines, les privilégiée par les consommateurs, le développement commercial zones d’aménagement hors centralités se fera au sein des ZACom identifiées et délimitées commercial (ZACom) dans le DAC joint au DOO. sont des ensembles aujourd’hui 2. Refuser le mitage commercial monofonctionnels, éloignés des centres → Le SCoT respecte la liberté d’entreprendre et la libre concurrence. Il villes et de leur diversité ne s’oppose donc pas à l’implantation de commerces hors des de fonctions urbaines. espaces d’accueil préférentiels, mais ces développements dans les espaces interstitiels sont règlementés.

DOO du SCoT de l’Agglomération de Bayonne et du Sud des Landes – Chapitre commerce et DAC DOCUMENT DE TRAVAIL – NE PAS REPRODUIRE/ décembre 2012 p. 4 Objectifs → Prioriser la création ou l’extension des commerces dans les centralités (dans le respect de la prescription 1.2.3) − Dans les centralités urbaines, toutes les activités commerciales peuvent s’implanter, dans la mesure où leur aire de d’attractivité correspond au niveau de rayonnement de la centralité retenu dans l’armature commerciale (voir prescriptions 1.2.3.) ; − Privilégier l’implantation des commerces de proximité répondant à des besoins quotidiens. Ils devront donc s’implanter préférentiellement dans les centralités urbaines, à savoir centres villes, centres bourgs, centres de quartiers structurés ; − Privilégier les projets localisés dans le tissu urbain mixte (présence d’habitat et accessibilité piétonne facile). → Délimiter les centralités urbaines dans les PLU ou documents de planification des communes et des EPCI − Pour les communes du cœur d’agglomération, concernées par une importante pression commerciale, une délimitation simplifiée des centralités urbaines est réalisée dans le cadre du SCoT afin de limiter les risques de dilution et de mitage commercial (cf. DAC). → Maîtriser la nature des développements dans les ZACom dans le respect de la prescription 1.2.3 − Dans ces zones, préférer l’implantation de grandes et moyennes surfaces (surfaces commerciales ≥ 300 m²) ou des commerces répondant à des besoins occasionnels nécessitant une accessibilité voiture. → Reprendre dans les PLU ou documents de planification des EPCI la délimitation des ZACom telle que retenue dans le DAC → Dans les espaces interstitiels (en dehors des centralités urbaines et des ZACom), les commerces ou les ensembles commerciaux dont la surface de vente est inférieure aux seuils précisés ci-dessous : − Dans les ZAE (Zones d’Activités Economiques) - exception faite de certaines ZAE du pôle urbain - peuvent accueillir des commerces de détail dont la surface de vente est inférieure à 500 m² de surfaces de vente. La vocation des ZAE est d’accueillir des activités productives. Cette disposition d’accueil du commerce n’est envisageable que pour tenir compte de la concentration de salariés dans les zones, usagers potentiels des commerces. − Les autres espaces interstitiels situés dans le pôle urbain peuvent accueillir des commerces de détail dont la surface de vente est inférieure à 300 m² de surfaces de vente. − Les autres espaces interstitiels peuvent accueillir des commerces de détail dont la surface de vente est inférieure à 150 m² de surfaces de vente. − Les commerces existants peuvent connaître des extensions mesurées afin améliorer leur accessibilité, mettre aux normes ou moderniser leur outil de travail. − En opposition aux orientations du SCoT, certaines ZAE du pôle urbain connaissent une pression commerciale de nature à compromettre le

DOO du SCoT de l’Agglomération de Bayonne et du Sud des Landes – Chapitre commerce et DAC DOCUMENT DE TRAVAIL – NE PAS REPRODUIRE/ décembre 2012 p. 5 maintien d’une économie de production dans cet espace. Aussi, les implantations et extensions des commerces et ensembles commerciaux ne sont pas souhaités dans ces secteurs. Il s’agit des secteurs suivants : o Avenue Louis de Foix - diffus RD 810 (Bayonne) o Saint Etienne (Bayonne) o Avenue Henri de Navarre (Bayonne) o Saint Frédéric (Bayonne) o Avenue d’Espagne Aéroport () o Zone de Maignon (Anglet, Bayonne)

1.2.3. EQUILIBRE ET STRUCTURATION DE L’OFFRE DANS LE RESPECT DE L’ARMATURE

URBAINE ET COMMERCIALE

Constats A l'instar du principe d'armature urbaine défini par le SCoT, l'offre commerciale

doit être prioritairement confortée dans les principales centralités du territoire, pour améliorer les services offerts à la population en tout point du territoire sans obliger à recourir à l’offre présente dans le pôle urbain. Parce que le niveau d'offre commerciale, son rayonnement, son positionnement, etc. diffère d'un territoire à l'autre, les principes fondateurs du SCoT visent à garantir un développement cohérent et équilibré donc d'assurer à chaque territoire les moyens de son développement commercial.

Orientations Chaque pôle commercial doit amener une réponse aux besoins des habitants ou des populations de passage, mais toutes les pôles commerciaux sont interdépendants les unes des autres. Ainsi, chaque centralité urbaine ou chaque ZACom peut se développer, à condition de ne pas porter atteinte au reste de l'armature urbaine et commerciale.

L'armature commerciale fait écho à l'armature urbaine. Chacune centralité Les commerces de pourra disposer d’une offre commerciale lui permettant de jouer le rôle qui lui a proximité regroupent été fixé préalablement par l’armature urbaine en terme d’accueil d’emplois, les points de vente pour d’habitants, de services. lesquels les achats des Cette armature commerciale sera évaluée 6 ans après l’approbation du SCoT. consommateurs sont quotidiens ou du moins 1. Développer une armature commerciale équilibrée et hiérarchisée très fréquents confortant l’armature urbaine et assurant l’ensemble des besoins de (commerce alimentaire consommation des populations. Dans les espaces de vie de l’intérieur, spécialisé, alimentation il s’agit d’éviter les déplacements systématiques vers le cœur d’agglomération en assurant la présence d’une offre structurante dans générale, supérette, les petites villes. cafés-tabacs, librairies, pharmacies…) 2. Faciliter l’implantation de commerces confortant le rayonnement et le niveau d’offre commerciale des espaces préférentiels d’accueil du commerce prévus par l’armature commerciale.

3. Mettre en place une gouvernance relative au commerce à l’échelle du SCoT pour développer l’approche concertée de ce sujet.

DOO du SCoT de l’Agglomération de Bayonne et du Sud des Landes – Chapitre commerce et DAC DOCUMENT DE TRAVAIL – NE PAS REPRODUIRE/ décembre 2012 p. 6 Objectifs → Chaque pôle commercial du SCoT peut développer une offre commerciale – alimentaire et non alimentaire – dans la mesure où l’aire d’attractivité de cette offre est au mieux équivalente à l’espace de vie que cette centralité polarise. Cette armature entend répondre aux orientations stratégiques développées plus haut. L’enjeu porte donc L’aire d’attractivité est sur le maintien à l’avenir des pôles commerciaux au rang qui est le leur l’indicateur retenu par le dans l’armature. Une liste des pôles commerciaux et de leur place dans SCoT pour évaluer la l’armature urbaine est présentée dans le DAC. pertinence des projets et extensions de commerce → L’armature commerciale du SCoT est composée de 5 niveaux d’aires sur son territoire. L’aire d’attractivité : d’attractivité de chaque 1. Aire d’attractivité SCoT et supra-SCoT pôle commercial du territoire, en centralité ou 2. Aire d’attractivité intercommunale du cœur d’agglomération en ZACom, est fonction du niveau de services qu’offre 3. Aire d’attractivité intercommunale des espaces de vie de son espace l’intérieur d’implantation, des flux 4. Aire d’attractivité inter- quartier quotidiens et hebdomadaire réels qu’il 5. Aire d’attractivité de proximité connaît, de la dynamique démographique du → Dans toutes les centralités, l’objectif est de rendre possible le secteur et de développement d’une offre commerciale de proximité répondant aux l’accessibilité à ces besoins du quotidien, en produits de consommation courante et services services pour les de première nécessité. populations environnantes (au L’aire d’attractivité commerciale des pôles commerciaux de proximité − domicile ou au lieu de est principalement communale, elle peut s’étendre sur quelques travail). communes immédiatement voisines. Cette notion a fondé l’armature urbaine → Dans l’enveloppe urbaine des petites villes des espaces de vie de promue par le SCoT, puis l’intérieur, assurer la présence d’une offre commerciale de justifié le rééquilibrage de rayonnement intercommunal. certaines fonctions dans − Accueillir préférentiellement les commerces assurant les besoins les territoires et hebdomadaires, alimentaires et non alimentaires, des populations de l’intensification des l’espace de vie qu’ils polarisent. fonctions dans les principales centralités, − L’aire d’attractivité des pôles commerciaux intercommunaux couvre villes et petites plusieurs communes d’un espace de vie pratiqué régulièrement par villes. L’aire d’attractivité les habitants. L’étendue de cette aire d’attractivité est dépendante de des toutes les centralités sa proximité avec d’autres pôles. urbaines du SCoT et des différents pôles − Le SCoT ne fixe aucune limitation quant au nombre de commerces commerciaux est donc pouvant s’installer dans l’enveloppe d’une centralité urbaine afin de désormais le fruit d’un ne pas entraver la liberté d’établissement et de permettre le projet concerté, à l’échelle confortement de ces centres des intercommunalités et du SCoT. → Dans le cœur d’agglomération, à l’échelle des quartiers, assurer la L’aire d’attractivité est présence d’une offre commerciale répondant aux besoins donc différente de l’aire hebdomadaires. de chalandise qui est la zone géographique − les pôles de rayonnement inter-quartier accueillent d'influence d'un magasin, préférentiellement les commerces assurant les besoins d'où provient la majorité hebdomadaires, alimentaires et non alimentaires, des populations de de sa clientèle potentielle l’espace de vie qu’ils polarisent. Un pôle inter-quartier a une aire ou réelle. d’attractivité couvrant plusieurs quartiers d’une commune ou plusieurs communes limitrophes.

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DOCUMENT DE TRAVAIL – NE PAS REPRODUIRE/ décembre 2012 p. 7 → Le cœur d’agglomération accueillera les pôles commerciaux de rayonnement SCoT et supra-SCoT, en centralités urbaines ou en ZACom. − Les pôles de rayonnement SCoT et supra-SCoT accueillent préférentiellement les commerces participant au rayonnement commercial supra-territorial (offre diversifiée et spécialisée, voire rare), aux fréquences d’achat occasionnelles et exceptionnelles. − Un pôle d’attractivité SCoT et supra-SCoT a une aire d’attractivité commerciale supra-territoriale, qui peut donc dépasser les limites du bassin de vie du SCoT. − Les centralités urbaines de rayonnement SCoT et supra-SCoT peuvent accueillir tout type de commerces, sans limitation de nombre ni de surface. → La modernisation, la restructuration et l’extension des commerces existants sont autorisées dans la mesure où l’aire d’attractivité du commerce modernisé, restructuré ou étendu est au mieux équivalente à l’espace de vie polarisé par le pôle commercial concerné. → La gouvernance relative au commerce, mise en place à l’échelle du SCoT et avec les acteurs de la filière, permet : § de partager la connaissance sur les évolutions du commerce sur le territoire ; § de développer la concertation préalable lors de l’émergence de projets de développements commerciaux notables (de rayonnement intercommunal à SCoT et supra-SCoT).

Recommandations − Pour les centralités à enjeux touristiques, il faut préserver les commerces de proximité et la diversité de l’offre commerciale. Le SCoT encourage les communes concernées à délimiter un périmètre de sauvegarde du commerce et de l’artisanat de proximité à l’intérieur duquel les cessions de fonds de commerce et de baux commerciaux sont soumises au droit de préemption.

1.2.4. INTEGRATION URBAINE DU COMMERCE : AMELIORER LA QUALITE URBAINE ET ENVIRONNEMENTALE DES IMPLANTATION ET REQUALIFICATION COMMERCIALE

Cadre règlementaire Le DOO doit répondre aux exigences d’aménagement durable du territoire. Pour ce faire, il doit préciser l’ensemble des critères qui concourent à maîtriser les impacts sur l’environnement d’implantations ou d’extensions commerciales nouvelles. Ces critères constitueront la grille d’analyse des projets.

Constats En dehors des centres villes, les pôles commerciaux renvoient le plus souvent des images peu qualitatives, déstructurantes pour le tissu environnant, justifiées par

DOO du SCoT de l’Agglomération de Bayonne et du Sud des Landes – Chapitre commerce et DAC DOCUMENT DE TRAVAIL – NE PAS REPRODUIRE/ décembre 2012 p. 8 des implantations opportunistes sans souci d’intégration paysagère, urbaine ou environnementale, dans un territoire pourtant très attachés à son identité architecturale et urbaine.

Orientations Toute implantation commerciale doit répondre aux mêmes exigences d’aménagement et d’architecture que les autres fonctions urbaines, et être plus respectueux de l’environnement naturel et urbain. Chaque implantation nouvelle, extension ou renouvellement respectera le cadre d’intégration urbaine et environnementale préconisé par le SCoT et éventuellement complété par le PLU. L’accueil d’activités commerciales doit s’adapter à la structure urbaine et contribuer à dynamiser les espaces dans lesquels il s’organise. Le choix du site d’implantation se fera de manière à rationaliser les infrastructures publiques, limiter la consommation foncière, renforcer la proximité et la concentration des activités et des fonctions urbaines. 1. Rationnaliser les usages du foncier 2. Rendre accessible les commerces par les modes doux, voire par les Transports collectifs 3. Favoriser les synergies entres les fonctions urbaines entre commerces, habitat, économie, services et équipements 4. Contribuer à une gestion économe et responsable de l’environnement 5. Inscrire le développement et/ou la requalification des sites commerciaux dans un projet d’aménagement d’ensemble

Objectifs de rationalisation des usages du foncier Les collectivités porteuses de projet devront préciser dans leurs documents cadres les règles que les opérateurs devront respecter. Pour le SCoT, il s’agit de les orienter vers un développement urbain plus compact où le commerce est moins consommateur d’espace. → Limiter l’impact des activités commerciales sur la consommation de foncier agricole et naturel. → Prioriser les projets favorisant le renouvellement urbain et la densification du tissu urbain existant dans les centralités urbaines. → Privilégier la requalification des espaces commerciaux existants. → Les nouvelles implantations commerciales doivent optimiser les espaces bâtis, améliorer la qualité de ces espaces, articuler les différents usages et l’attractivité de pôles commerciaux. − Les projets commerciaux doivent rechercher des modes d’implantation compactes ; − Dans les ZACom existantes, les projets nouveaux doivent également contribuer à la requalification des zones, à l’optimisation des parcs de stationnement (en les mutualisant ou en les concevant différemment) ; − Les implantations commerciales doivent respecter le ratio maximal de places de stationnement que fixeront les PLU, en réponse à l’objectif de rationalisation du foncier.

DOO du SCoT de l’Agglomération de Bayonne et du Sud des Landes – Chapitre commerce et DAC DOCUMENT DE TRAVAIL – NE PAS REPRODUIRE/ décembre 2012 p. 9 Objectifs relatifs à l’accessibilité des espaces commerciaux → Maîtriser l’impact des commerces sur les déplacements en voiture individuelle − Tout projet de nouvelle implantation, requalification ou extension commerciale doit faire la démonstration du niveau de trafic potentiellement généré par cette activité, et des actions mises en œuvre pour en limiter l’impact sur l’environnement et sur les communes voisines. → Rendre accessibles tous les commerces à pied, à vélo (…) − Les collectivités porteuses de projets devront préciser à travers leurs documents cadres les règles que les opérateurs devront respecter. Pour le SCoT, il s’agit de conditionner les implantations commerciales par la mise en place d’accès piétons et cyclables praticables. → Contribuer à la réduction des émissions de gaz à effet de serre par des politiques de déplacement encourageant l’utilisation de modes doux − Les nouvelles implantations commerciales et les requalifications de sites existants doivent penser leur plan d’aménagement pour favoriser les déplacements à pied ou à vélo à l’intérieur de la ZACom et dans sa jonction aux centralités urbaines les plus proches (traitements des limites de parcelle, cheminement piétonnier…). − Toute nouvelle implantation commerciale doit être accessible par modes doux (vélo, marche à pied…) pour les habitations voisines et les centralités urbaines les plus proches. Concevoir dès le projet ou la requalification du site existant des aménagements spécifiques et dédiés à ces modes de déplacements ; − La circulation par modes doux à l’intérieur des ZACom, d’une enseigne à l’autre, doit être rendue possible par la réalisation d’aménagements spécifiques (voies/pistes cyclables, parc de stationnement vélos, cheminement piétonnier continu et sécurisé…). → Rendre accessibles les commerces en transports collectifs − Les collectivités porteuses de projet devront préciser à travers leurs documents cadres les règles que les opérateurs devront respecter. Pour le SCoT, il s’agit de conditionner les développements commerciaux de rayonnement SCoT et supra-SCoT par la mise en place d’une desserte en transports collectifs en site propre, ou bénéficiant d’une grand régularité de desserte. → Contribuer à la réduction des émissions de gaz à effet de serre par des politiques de déplacement en faveur de solutions alternatives au tout voiture, notamment par l’utilisation des transports collectifs (TC). − Les ZACom SCoT et supra-SCoT doivent être desservies par un réseau de transports collectifs performant (TCSP ou bus avec fréquence élevée des dessertes…) avec des arrêts au sein même de celles-ci, à proximité immédiate des enseignes. − La desserte en transport collectif des nouvelles ZACom doit être effective dès l’ouverture de la première unité commerciale. Pour s’assurer de la mise en œuvre de cette disposition, l’engagement de l’autorité organisatrice de transport ou du transporteur (transport privé) est à intégrer dans le dossier de CDAC en précisant la fréquence du service en heure creuse comme en heure de pointe.

DOO du SCoT de l’Agglomération de Bayonne et du Sud des Landes – Chapitre commerce et DAC DOCUMENT DE TRAVAIL – NE PAS REPRODUIRE/ décembre 2012 p. 10 − Au sein du Périmètre des Transports Urbains (PTU), les ZACom intercommunales doivent être desservies par les transports collectifs avec des arrêts au sein même de ces zones, au plus près de l’enseigne moteur. Le plan d’aménagement des nouvelles enseignes doit exposer la nature de cette desserte et en tenir compte. − Hors PTU, des solutions alternatives, telles que le transport à la demande, peuvent combler l’absence d’un réseau de transport collectif pour permettre aux populations les moins mobiles d’accéder au même niveau de service.

Objectifs pour favoriser la plus grande proximité entre le commerce et les autres fonctions urbaines Les collectivités porteuses de projet devront préciser dans leurs documents cadres les règles que les opérateurs devront respecter. Pour le SCoT, il s’agit de privilégier la mixité des fonctions, notamment résidentiels, dans des zones enchâssées dans le tissu urbain et à l’origine à mono-fonction commerciale ou économique (pour les activités compatibles avec l’habitat). L’objectif est de réduire le nombre et la distance des déplacements et d’optimiser le foncier déjà artificialisé. → Prioriser développement commercial dans les centralités urbaines → Dans, les ZACom intercommunales ancrées dans un contexte urbain dense, les opérations d’aménagement peuvent rechercher la plus grande diversité des fonctions dans leurs programmes et/ou à l’immédiate proximité (commerce, logement, services…). Cet attendu ne vise pas les ZACom SCoT et supra-SCoT.

Objectifs pour garantir la qualité urbaine et environnementale des projets Les collectivités porteuses de projet devront promouvoir à travers leurs documents cadres les règles favorisant la qualité des aménagements et la durabilité des réalisations. Pour le SCoT, il s’agit de d’améliorer significativement la qualité urbaine, architecturale, paysagère et environnementale des espaces commerciaux. La volonté du SCoT de maitriser les développements commerciaux et d’agir sur leur localisation doit contribuer à cette meilleure insertion. → Amorcer un développement commercial plus qualitatif et mieux intégré au contexte territorial dans lequel il s’inscrit − Veiller aux qualités urbaines, architecturales, paysagères et environnementales des espaces commerciaux. − Toutes les démarches et projets (opérations d’habitat, programmation urbaine, orientations d’aménagements…), seront à considérer pour assurer la meilleure cohérence possible entre l’implantation ou la réhabilitation d’espaces commerciaux et les autres fonctions urbaines. → Les ZACom existantes devront faire l’objet d’un projet d’aménagement qualitatif global pour garantir la qualité des aménagements et renforcer leur intégration urbaine au territoire. − Toute ZACom devra se doter d’une charte architecturale, paysagère et environnementale. Cette charte, élaborée sous l’impulsion de la collectivité (préférentiellement les EPCI), doit contribuer à une amélioration de la qualité urbaine des ZACom (cohérence des façades DOO du SCoT de l’Agglomération de Bayonne et du Sud des Landes – Chapitre commerce et DAC DOCUMENT DE TRAVAIL – NE PAS REPRODUIRE/ décembre 2012 p. 11 commerciales, signalétique, publicité, espaces publics…) et au respect de normes environnementales (gestion des eaux pluviales, limiter le ruissellement, gestion des déchets, consommation énergétique…). − Les collectivités pourront s’appuyer sur cette charte pour l’élaboration du règlement du PLU pour les ZACom concernées. Les enseignes candidates à une implantation devront se référer à cette charte. → Dans le cadre de la gestion des eaux pluviales, un coefficient de pleine terre devra être prévu à l’échelle de la ZACom.

DOO du SCoT de l’Agglomération de Bayonne et du Sud des Landes – Chapitre commerce et DAC DOCUMENT DE TRAVAIL – NE PAS REPRODUIRE/ décembre 2012 p. 12 ANNEXE | GRILLE D’ANALYSE DES PROJET Dans le cadre réglementaire en vigueur, chaque projet de développement commercial d’importance fera l’objet d’une analyse détaillée, permettant de mesurer les impacts du projet vis-à-vis de son espace d’implantation - en centralité ou en ZACom - notamment quant au niveau de rayonnement de ce dernier ou à l’intégration urbaine du projet. Le tableau ci-après présente un premier jet de grille d’appréciation du niveau de rayonnement des centralités urbaines et des ZACom. Cette grille ne définit pas un objectif quantitatif à atteindre, mais propose un outil de cadrage pour l’analyse à venir des projets. Dans le cadre du COPIL, les échanges ont été nombreux sur cette grille ; la proposition ci-après s’attache à en effectuer une synthèse. De plus, des échanges techniques postérieurs ont amené des modifications, notamment afin de tenir compte de la variété des situations, dans le cœur d’agglomération comme dans les espaces de vie de l’intérieur. De plus, cette grille pourrait être complétée pour y apporter les éléments relatifs à l’intégration urbaine, développés ci-dessus.

Proposition issue du COPIL du 3 décembre 2012 Rayonnement de la Type de Aire d’attractivité de la Temps d’accès centralité urbaine centralité ou de centralité ou de la ZACom en VL motorisé ou de la ZACom ZACom (temps en heures concernée par le creuses) projet Dans toutes les En fonction de la taille de la Offre de proximité centralités commune ou du quartier ≤ 10’ urbaines Seuil maximal : 7 500 Dans les sites Offre de rayonnement identifiés « inter- Seuil maximal : 25 000 habitants ≤ 15’ inter-quartier quartiers » Offre de rayonnement Au niveau des En fonction de la taille de la petite intercommunal des petites villes des ville et de son espace de ≤ 20’ espaces de vie de espaces de vie de rayonnement l’intérieur l’intérieur Seuil maximal : 30 000 habitants Au niveau des En fonction de la taille de la ville ou Offre de rayonnement villes et petites de la petite ville et de son espace intercommunal du ≤ 15’ villes du cœur rayonnement cœur d’agglomération d’agglomération Seuil maximal : 80 000 habitants Dans le cœur Offre SCoT et supra- d’agglomération ≥ 100 000 habitants ≥ 30’ SCoT (2 centres villes, 3 ZACom)

DOO du SCoT de l’Agglomération de Bayonne et du Sud des Landes – Chapitre commerce et DAC DOCUMENT DE TRAVAIL – NE PAS REPRODUIRE/ décembre 2012 p. 13 DAC | VOLET CARTOGRAPHIQUE (EN COURS) Le volet cartographique complet sera présenté lors du Conseil syndical suivant le Conseil du 17 décembre 2012. La distinction entre les centralités urbaines et les ZACom existantes est justifiée par la présence (ou pas) d’une diversité des fonctions urbaines dans un rayon de 500 mètres autour du pôle commercial (par exemple, le pôle commercial d’Hasparren est considéré en « centralité urbaine » au regard de sa proximité du centre-ville (moins de 500 m de la rue commerçante principale) et des développements urbains prévus qui placeront ces commerces au centre géographique du centre ville de demain).

Le tableau ci-dessous présente la liste des localisations préférentielles du commerce. Suite aux échanges en COPIL, le rayonnement intercommunal est distingué du rayonnement inter-quartier. Par ailleurs, le rayonnement des centralités urbaines et des ZACom des petites villes de l’intérieur est distingué de celui du cœur d’agglomération. Les centres villes des communes du pôle urbain et des petites villes du cœur d’agglomération (et donc de et de Saint-Pierre-d’Irube) sont intégrés au niveau de rayonnement intercommunal du cœur d’agglomération. Les centralités urbaines de proximité du cœur d’agglomération seront toutes délimitées par une enveloppe dessinée.

Localisation préférentielle Armature des commerces urbaine et Polarités commerciales identifiées Commentaires commerciale En centralité En ZACOM urbaine

Délimitation par Centre-ville de Bayonne enveloppe dessinée SCoT - Délimitation par Centre-ville de enveloppe dessinée Zone commerciale BAB2 - Jorlis (Anglet- Délimitation précise Bayonne) Zone commerciale Ametzondo (Bayonne, Délimitation précise

Mouguerre, Saint-Pierre-d'Irube) Périmètre à valider Zone commerciale Allées shopping Délimitation précise

Rayonnement SCoT et supra (Ondres) Périmètre à valider Délimitation par Centre-ville d’Anglet enveloppe dessinée

Délimitation par Centre-ville de enveloppe dessinée Délimitation par Centre-ville de enveloppe dessinée Délimitation par d'agglomération Centre-ville de Ondres enveloppe dessinée petites villes du cœur Délimitation par Centre-bourg Mouguerre Rayonnement intercommunal des enveloppe dessinée

DOO du SCoT de l’Agglomération de Bayonne et du Sud des Landes – Chapitre commerce et DAC DOCUMENT DE TRAVAIL – NE PAS REPRODUIRE/ décembre 2012 p. 14 Délimitation par Centre-ville de Saint-Pierre-d’Irube enveloppe dessinée Délimitation par Centre-ville deTarnos enveloppe dessinée Pôle Océan / enseigne Carrefour (Tarnos- Délimitation précise

Boucau) Périmètre à valider Pôle Bayonne Nord / enseigne Leclerc Délimitation précise (Bayonne)

Pôle BAB / enseigne Leclerc (Anglet) Délimitation précise

Pôle Bidart / enseigne Intermarché Délimitation précise (Bidart) Délimitation renvoyée Centre-ville de Cambo-les-Bains au PLU Délimitation renvoyée Centre-ville d’Hasparren au PLU Délimitation renvoyée

Centre-ville de Bidache au PLU Délimitation renvoyée Centre-ville d’ au PLU Délimitation renvoyée Centre-ville de St Martin de Seignanx au PLU Délimitation renvoyée Centre-ville d' au PLU

espaces de vie de l'intérieur Pôle /enseigne Intermarché Délimitation précise

(Itxassou + Cambo-les-Bains) Périmètre à valider

Pôle Bassussurry golf () Délimitation précise

Rayonnement intercommunal au niveau des petites villes des Pôle Ustaritz / enseigne Leclerc (Ustaritz) Délimitation précise

Délimitation par Coeur de quartier Cinq cantons (Anglet) enveloppe dessinée Délimitation par Coeur de quartier Saint Esprit (Bayonne) enveloppe dessinée

Coeur de quartier Sainte Croix - Place des Délimitation par

Gascons (Bayonne) enveloppe dessinée quartier - Délimitation par Coeur de quartier Marracq (Bayonne) enveloppe dessinée Coeur de quartier Allées Marines – Bvd Délimitation par

BAB (Bayonne) enveloppe dessinée Pôle Grand Basque / enseigne Délimitation précise

Rayonnement inter Intermarché (Bayonne)

Pôle Iraty / enseigne Leclerc (Biarritz) Délimitation précise

Pôle Métro / enseigne Télésecours Délimitation précise (Tarnos)

DOO du SCoT de l’Agglomération de Bayonne et du Sud des Landes – Chapitre commerce et DAC DOCUMENT DE TRAVAIL – NE PAS REPRODUIRE/ décembre 2012 p. 15 Délimitation renvoyée

Centre-bourg au PLU Délimitation par Centre-bourg enveloppe dessinée Délimitation renvoyée Centre-bourg au PLU Délimitation renvoyée Centre-bourg Bardos au PLU Délimitation par Centre-bourg Bassussary enveloppe dessinée Délimitation renvoyée

Centre-bourg Bergouey-Viellenave au PLU Délimitation renvoyée Centre-bourg Biarrotte au PLU Délimitation renvoyée Centre-bourg Biaudos au PLU Délimitation renvoyée

Centre-bourg au PLU Délimitation renvoyée

Centre-bourg au PLU Délimitation renvoyée

Centre-bourg Came au PLU proximité Délimitation renvoyée Centre-bourg au PLU Délimitation renvoyée

Centre-bourg Guiche au PLU

Rayonnement de Délimitation renvoyée Centre-bourg au PLU Délimitation renvoyée

Centre-bourg Hélette au PLU Délimitation renvoyée

Centre-bourg au PLU Délimitation renvoyée Centre-bourg Itxassou au PLU Délimitation renvoyée Centre-bourg Jatxou au PLU Délimitation renvoyée Centre-bourg La Bastide-Clairence au PLU Délimitation renvoyée Centre-bourg au PLU Délimitation renvoyée Centre-bourg au PLU Délimitation renvoyée Centre-bourg au PLU Délimitation renvoyée

Centre-bourg au PLU

DOO du SCoT de l’Agglomération de Bayonne et du Sud des Landes – Chapitre commerce et DAC DOCUMENT DE TRAVAIL – NE PAS REPRODUIRE/ décembre 2012 p. 16 Délimitation renvoyée

Centre-bourg au PLU Délimitation renvoyée Centre-bourg Saint-André-de-Seignanx au PLU Délimitation renvoyée Centre-bourg Saint-Barthélémy au PLU Délimitation renvoyée

Centre-bourg Saint-Esteben au PLU Délimitation renvoyée Centre-bourg Saint-Laurent-de-Gosse au PLU Délimitation renvoyée

Centre-bourg Saint-Martin-d'Arberoue au PLU Délimitation renvoyée

Centre-bourg Sames au PLU Délimitation renvoyée Centre-bourg Souraïde au PLU Délimitation renvoyée Centre-bourg au PLU Délimitation par Centre-bourg Villefranque enveloppe dessinée Délimitation renvoyée Centre de quartier Arruntz (Ustaritz) au PLU Centre de quartier du Quartier neuf Délimitation renvoyée

(Saint-Martin-de-Seignanx) au PLU

Proximité niveau 1 : Avenue de Monbrun (Anglet), Blancpignon (Anglet), Donzacq-Forum (Anglet - Bayonne), La Rochefoucault - Avenue d'Anglet (Anglet - Biarritz), Citadelle-Maubec-Avenue de Foix Délimitation par

(Bayonne), enveloppe dessinée Hôpital (Bayonne), Kléber (Biarritz), Kléber-Floquet-Guy Petit (Biarritz), Mariono (Biarrit), Saint-Charles (Biarritz), Saint-Martin-Gramont-Chelitz (Biarritz)

DOO du SCoT de l’Agglomération de Bayonne et du Sud des Landes – Chapitre commerce et DAC DOCUMENT DE TRAVAIL – NE PAS REPRODUIRE/ décembre 2012 p. 17 Proximité niveau 2 : Hardoy (Anglet), Place Lamothe (Anglet), Sutar (Anglet), Aguiléra (Biarritz - Anglet), Avenue du Maréchal Soult (Bayonne), Délimitation par Sainsontan (Bayonne), enveloppe dessinée Bibi Beaurivage (Biarritz), Maysonnabe-Juin-Chapelet (Biarritz), Proximité gare (Biarritz), Plateau (Bidart), Intermarché (Boucau), La Lèbe (Boucau)

Délimitation par Avenue Julian Grimau (Tarnos) enveloppe dessinée Délimitation par Secteur Salvador Allende (Tarnos) enveloppe dessinée Délimitation par Chapelet (Arcangues) enveloppe dessinée Délimitation par Harretche (Saint-Pierre-d'Irube) enveloppe dessinée Délimitation par Secteur Avenue de la Plage (Ondres) enveloppe dessinée

DOO du SCoT de l’Agglomération de Bayonne et du Sud des Landes – Chapitre commerce et DAC DOCUMENT DE TRAVAIL – NE PAS REPRODUIRE/ décembre 2012 p. 18 Armature urbaine et armature commerciale du SCoT (carte modifiée)

DOO du SCoT de l’Agglomération de Bayonne et du Sud des Landes – Chapitre commerce et DAC DOCUMENT DE TRAVAIL – NE PAS REPRODUIRE/ décembre 2012 p. 19