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ASTRA 19° EST : en mode analogique et numérique Country road sur la chaîne allemande 3SAT sur le satellite

Samedi 26 Mai 13h15 Programme en ligne dès que possible http://countrybulletin.free.fr/

http://radiocountryclub.free.fr Only Country ‘Flep’ Tous les lundi de 18:00 à 19:00 Rediffusion le mardi de 11:00 à 12:00 Country Delight Tous les mardi de 18:00 à 19:00 Rediffusion le mercredi de 11:00 à 12:00 Country Roots Tous les mercredi de 18:00 à 19:00 Rediffusion le vendredi de 11:00 à 12:00 Country Land Tous les mercredi de 19:00 à 20:00 Rediffusion le samedi de 11:00 à 12:00 Fred’s Country Tous les jeudi de 18:00 à 19:00 Rediffusion le samedi de 12:00 à 13:00 City Of Light Deux heures non stop (Blues & country) les jeudi de 21:30 à 23 :30 Big Cactus Tous les jeudi de 18:00 à 19:00 Rediffusion le undi de 11:00 à 12:00

TOP 5 Country Web Bulletin

The French Magazine 2007 MAI Le mot : Il est vrai que la météo et les vacances scolaires aidant on a plus envie d'aller à N°42 la pèche ou au jardin que de se retrouver coincé derrière un ordi. C'est vrai pour vous et aussi pour l'équipe de votre CWB qui malgré tout s'est une fois de plus pliée en 4 pour que notre fanzine favoris puisse se retrouver en ligne à la date prévue. Si vous regardez bien le programme des Country Nights vous verrez certainement que l'affiche sera exceptionnelle cette année: Randy Travis, Rondha Vincent, Julie Roberts en tête d'affiche c'est terrible !!! Un Fidel lecteur m'a demandé s'il serait possible de publier un numéro spécial, une sorte de 'Best Of ', du Country Web Bulletin. Si vous même avez des idées concernant ce numéro à venir faites le moi savoir à l'adresse indiquée en bas de page. Bonne lecture et à bientôt. @+ Eric ’Cactus’ Coste By Cactus Country Nights de Gstaad 2007 And friends Sommaire : Interview Aaron Tippin par Christian Lamitschka Découverte: Mike Polard par Alain Joris Bientôt en France Cherry Holmes, The Derailers par Georges Carrier Depuis la belle province : Caroline Levasseur Le coup de cœur de Christian Koch: Billy Yates Le coup de cœur de Max Cooper: Kate Russell Country En France John White par Gillou Dans le texte Rodney Atkins par Mireille Lafond News, Brèves, TV Sat, radios etc… par Jean ‘’Charles’’ Smaine Cd reviews: Alison Krauss ,Cars BO, Alan jackson, Hillbilly Rockers, Steamboat par Cactus, ‘’Rockin’Boy’’ Agenda par Jacques 'Rockin' Boy' Dufour Country Nights de Gstaad 2007: traduction par Barbara Histoire de la Country par André Dégranges Un séjour au Texas par Alan Nash

Contact CWB [email protected] Site WEB http://countrybulletin.free.fr/

The French Country Music Magazine Interview Aaron Tippin

Le chanteur reconnaissance auquel ont fait face les soldats à leur de country retour au pays. Ils ont prêté serment et ont juste fait Aaron Tippin leur devoir. En ce temps là je me suis dit que je ne produit ses ferais pas partie des gens qui méprisent ceux qui disques sur obéissent tout simplement aux ordres et qui Nippit remplissent leurs devoirs. Alors tous les ans je tourne Records, son pour les troupes dans les pays en difficultés comme propre label. Il l’Iraq, le Pakistan ou le Kazakhstan. Et je suis fier de vient de sortir servir les troupes. son nouveau single, "Ready C.L. : Quelles expériences as-tu faites au cours de to Rock in a Country Kind of Way", et sortira son tous ces voyages ? Comment te sens-tu quand tu nouvel album aux État-Unis en août. Le public se rentres aux Etats-Unis ? rappelle sans doute de chansons comme "You’ve Got to Stand For Something", "Working Man’s Ph.D.", A.T. : Parfois les pays te surprennent. L’Iraq par "Kiss This", "My Blue Angel", "There Ain’t Nothing exemple : tout ce que tu vois à la télé, ce sont des Wrong With the Radio" et bien d’autres encore. déserts. Mais une fois que tu es là-bas, tu te rends compte que dès qu’ils en ont la possibilité, les gens C.L. : Peux-tu nous en dévoiler un peu sur les cultivent la terre. Voyager et jouer pour les troupes me chansons du nouveau disque ? donne aussi l’occasion de rencontrer les habitants. En parlant avec eux et en leur demandant ce qu’ils A.T. : En résumé, je pense qu’on peut parler d’un pensent de notre présence, je me suis rendu compte album « nu ». Comme aucun label ni aucun studio que la majorité nous apprécie. Je trouve cela n’était là pour me dire ce que je devais faire ou pas, ce incroyable qu’en Iraq 80% de la population vote alors disque me ressemble entièrement. Selon moi, il que les gens savent qu’ils risquent leur vie en le représente l’Aaron que les gens ont envie d’entendre. faisant. Aux États-Unis, quand il pleut, le taux de Je suis entré en studio avec des amis, nous avons participation n’atteint même pas les 50%. Ces gens joué de nos instruments, enregistré les morceaux que veulent vraiment leur liberté et ils prennent des risques nous aimions et je pense que le résultat est un des pour l'obtenir. meilleurs albums que j'ai entendus. Quand je me suis mis à travailler sur ce disque, je me suis dit que les C.L. : Si un jour quelqu’un te proposait de réaliser trois jeunes d'aujourd'hui ne savaient sans doute pas que de tes vœux, lesquels exprimerais-tu ? c'est moi qui chantais mes vieux tubes. J’ai choisi quelques uns de mes anciens hits et les ai A.T. : Une chose que j'aimerais faire - et c'est en réinterprétés pour l'album. Avant chaque chanson j’ai réalité ce que je fais - c'est reprendre ma carrière à enregistré une piste sur laquelle j'explique à l’auditeur zéro. Sauf qu’aujourd’hui je peux me baser sur 15 l'histoire du morceau - pourquoi je l'ai écrit et ce qui le années de carrières. Le deuxième vœu serait avoir de rend unique. nouveaux des enfants. Et le troisième : les deux précédents, encore une fois. C.L. : Aaron, beaucoup savent que tu t’impliques dans de nombreuses œuvres caritatives pour les troupes C.L. : Aimerais-tu partager autre chose à nos lecteurs américaines. Quelle en est la raison ? ?

A.T. : C’est de mon père que je tiens mon patriotisme. A.T. : J’invite mes fans et tous ceux que ça intéresse à Il est le plus grand patriote que je n’ai jamais rencontré visite mon site : www.aarontippin.com. On y trouve ma et de nombreuses histoires le prouvent. Je vais t’en biographie, des extraits de ma musique et notamment raconteur une. Nous entions un soir à un match de de mon dernier single, mon calendrier et bien d’autres foot organisé dans mon lycée. Mon père se trouvait choses encore. dans les tribunes et l’hymne national a été joué. Des cow-boys qui se trouvaient là ont continué leur discussion pendant tout le morceau. À la fin de C.L. : Merci Aaron pour cette interview. l’hymne, tout le monde a applaudi et s’est rassis – sauf mon père. Il s’est tourné vers ces gars et leur a dit ce A.T. : J’ai été très content de te rencontrer. qu’il pensait de leur conduite. Ce genre d’exemples mont influencé. J’ai grandi pendant la guerre du Christian Lamitschka ( [email protected] ) Vietnam et j’ai toujours trouvé injuste le manque de

The French Country Music Magazine

Caroline Levasseur

Née à St-Hubert dans la province de Québec, deux pendant Caroline Levasseur reconnaît dès l’âge de cinq plusieurs mois en ans que la passion de sa vie sera le chant. Elle France sur les apprend le chant avec Johanne Raby, Gaétanne ondes de Music Lépine et Monique Cardinale. Caroline Levasseur box, une radio a à coeur d’élargir son talent. Elle apprend le country rock qui ballet classique, le ballet jazz et la claquette avec couvre Paris et la Jovette Charette. Elle a une formation en yoga région parisienne. power qui lui apporte la conscience corporelle, Se qui lui vaudra physique et spirituelle avec le professeur une article dans la lettre country mensuelle en Gaétanne Lépine qui lui apprend aussi le chant, France ’Country Music Attitude’. le piano et le yoga voix. Elle apprend la méthode Elle lance en 2004 son deuxième album intitulé Feldenkrais avec le professeur André Fleurant. Country in my genes, qui regroupe ses coups de Elle étudie le baladi à l’école de danse Corps et coeur de la musique country américaine. Cet âme en mouvement avec Monique Bolduc. album lui vaudra un trophé au Gala Super Autodidacte dans l’âme, Caroline fait la Country Star pour Interprète de l’année confection de son site internet. Elle prend elle- anglophone. Elle est également en nomination même ses photos et fait le graphisme de ses pour l’interprète de l’année francophone. albums. Durant les années qui suivent, Caroline Caroline Levasseur remporte son premier participent à de nombreux événements dont concours de chant en 2000 au concours plusieurs festivals country. Elle chante au festival Productions Super Show où elle reçois une de St-Tite accompagné du groupe les Honky bourse de cinq cents dollars. Caroline lance son Tonk Boys. En 2004, elle participe au concours premier disque en 2002, l’album Danger sur le Prix Étoiles Galaxie au festival de St-Tite. C’est highway. Elle travaille avec l’auteur-compositeur un concours qui vise à découvrir la relève country Jacques Mallette qui lui compose toutes les francophone ’Auteur-Compositeur-Interprète. Elle chansons de son album. Caroline signe le texte remporte le deuxième prix pour Aimer c’est tout de la chanson Aimer c’est tout ce que je désire. ce que je désire, une chanson dont elle a signé le Les chansons Danger sur le highway, Ce soir je texte. Elle remporte une bourse de cinq cents t’écris et Aimer c’est tout ce que je désire, feront dollars. partie des chansons les plus populaires de En 2005, elle sort son troisième album intitulé Les l’album et se classeront numéro un sur les ondes Défis. Elle écrit et compose plusieurs chansons. de Cjms. Grâce à cet album, elle emportera un Elle travaille avec Gerry Bribosia qui lui compose trophé au Gala Super Country Star, pour celui de deux chansons, Gisèle Lessard lui écris sept Découverte de l’année. Elle fait la promotion de chansons et Jacques Mallette lui compose une l’album au Cabaret La Tulipe à Montréal et fait la chanson à saveur blues humoristique. Elle sort première un quatrième album intitulé Keep it country, qui partie du spectacle de Bobby Hachey, regroupe les grands classiques de la musique accompagné des danseurs country Mjm. La pièce country américaine. Cet album lui vaudra d’être titre Danger sur le highway, se classe au numéro en nomination au Gala Super Country Star dans

la catégorie Interprète de l’année anglophone.

Source : www.carolinelevasseur.com

The French Country Music Magazine Mike Pollard Par Alain Joris

Né à Bowmanville dans l'Ontario, Mike Pollard est le plus jeune de trois enfants, et comme souvent,ses parents sont de grands fans de country traditionnelle et les transistors sont en permanence branchés sur les stations locales qui diffusent de la "Classic Country Music". A partir de 19 ans,notre canadien écrit ses propres chansons et fonde son premier groupe: "Jimmy Haystack and the Redneck Rodeo".Après deux ans,le groupe change de nom(on peut comprendre) en "One horse town".Mike y joue de la guitare rhytmique et chante la majorité des morceaux. En 2002,le groupe se sépare et son "lead vocal" reprend la route,seul, l'année suivante. Au printemps 2004,il sort son premier album indie "Rural Roots",dans lequel sont inclues 8 compositions originales et 4 reprises(dont "Hey Good Lookin" de Hank Williams et "Folsom Prison Blues" de Johnny Cash). "Rural Roots" est rapidement un succès critique et public,et devient la seconde meilleure vente indie au Canada. Son successeur,"Hickerbilly",est disponible depuis novembre dernier,et là également,8 compositions originales et 4 reprises(dont,entre-autres,le fabuleux "A-11" de Johnny Paycheck).Après 6 semaines de ventes,"Hickerbilly" est no 1 des ventes indies,et c'est largement mérité,car comme pour son premier album,Mike Pollard,en bon néo-traditionnaliste qu'il est(dans la lignée d'un Mark Chesnutt ou d'un Tracy Byrd des débuts)propose une country music de qualité dans laquelle il met beaucoup de coeur et d'énergie!!! A maintenant 29 ans,il ne demande qu'une seule chose:"Avec mon band "Stetson", je veux juste donner du plaisir aux gens avec mes propres chansons ou celles de mes idoles, proposer une country music traditionnelle de qualité,ainsi que continuer à enregister de bons albums". Acceptons en l'augure!!!!!

CHERRYHOLMES

Elu Meilleur Groupe de l’Année 2005 par l’IBMA Cherry Holmes a fait une entrée fracassante dans le monde du Bluegrass en 2002. Cette incroyable famille (le père, la mère, et les quatre enfants âgés de 13 à 21 ans) voyage à travers tous les Etats-Unis 300 jours par an, chante, danse et joue leur musique dont la marque de fabrique et l’énergie. Leur dernier CD "Cherryholmes" a été nominé pour un Grammy en tant que Meilleur Album de Bluegrass en 2006.

Depuis 2003 donc, ils ont fait des milliers de kilomètres dans leur vieux bus de 1960 qui leur sert à la fois de moyen dfe transport et de camping car. Ils se sont produits au “Grand Ole Opry”, au Ryman Auditorium, au ’s Midnight Jamboree, à la Fan Fair de Nashville, à Branson,à Dollywood, au festival de l’IBMA, et d’innombrables shows télévisés, festivals, et concerts venues à travers tous les États-Unis.

En 2004, Cherryholmes leur troisième CD, “Bluegrass Vagabonds” a été produit par Darrin Vincent. Il a connu un succèes retentissant dans le milieu du Bluegrass. Grâce à lui le groupe a reçu de nouvelles récompenses comme l’Award de la SPBGMA en tant que Meilleur Groupe de l’Année 2005 ainsi que Meilleur Banjoïste de l’Année 2005" (Cia Leigh). Ils ont maintenant un contrat avec Skaggs Family Records et viennent de sortir un nouveau produit par by Ben Isaacs de Isaacs Family. Comme les Greencards, King Wilkie et South Austin Jug Band, Cherryholmes est dans la droite ligne des groupes de Bluegrass qui ont marqué le festival Country Rendez-Vous ces dernières années.

Par Georges Carrier

The French Country Music Magazine Interview JOHN WHITE par Gillou

C’est un réel plaisir que d’avoir eu cet entretien avec mon ami John. J’ai rarement rencontré un artiste qui dégage tant de chaleur et d’émotions. Bien sûr qu’il y en a d’autres ! Mais ce gars là … Il est terrible ! Et toujours le sourire, un calme et une sérénité, des qualités musicales indéniables, qui font de lui un artiste !

Gillou : Alors que tu étais plutôt "Rock", au début, tu as eu un coup de cœur pour la musique country. Tu te souviens de qui il s'agissait ? John White : Je me souviens de Kris Kristofferson, et de camions. Il s'agissait d'un film qui s'appelait "Le Convoi". Il faudrait que je le regarde a nouveau… Toujours est-il qu'ensuite, j'ai demandé à mon père, qui était parti plusieurs années, entre 1953 et 1958, faire des études d'ingénieur aux States, au sujet de la musique du film, « Mais qu'est ce c'est que ça ? », et il m'avait répondu : « Ca ? C'est de la musique country, et ça fait un bout de temps que ça existe aux States mon petit ! » Du coup, je suis allé chez le seul disquaire de la ville ( à l'époque à Vittel ), et j'ai demandé : « Vous avez de la musique country ? », et le type m'a répondu : « Oui, une cassette avec des vieux standards ! », et je l'ai acheté, puis j'ai commencé à apprendre tous les morceaux (Nitty Gritty Dirt Band, Gram Parsons, Dotty West, , Kenny Rogers, Charlie Rich, etc..) Je venais de mettre ma main dans un engrenage, on voit où cela nous a mené aujourd'hui !

Gillou : Quelles sont tes références musicales, tes préférences ? John White : Je suis un artiste tout à fait capable d'écouter et d'apprécier un style qui peut ne rien avoir à faire avec la Country Music. Jazz, swing, blues, musique classique … En fait, c'est selon mon humeur ! Toutefois en ce qui concerne la musique country (ma préférée forcément !), je suis fidèle a certains chanteurs bien établis tels « George Strait » ou « Brooks & Dunn », mais j'adore la nouvelle scène country actuelle, « Direks Bentley », « Darryl Dodd », « Trent Willmon », « Craig Morgan », « Billy Currington », « ». Je fais au moins un morceau de leur répertoire à chaque concert ! Mais bon, mon plus grand plaisir, cela reste « Keith Urban » que je suis allé voir en concert à Cologne. Un pur moment de bonheur... J'ai pris dans mon répertoire un morceau que j’adore (je le joue comme s'il avait été écrit pour moi celui là), c'est « Tongiht I Wanna Cry ». C'est un morceau que je fais uniquement à l'acoustique pendant mes concerts après « But For The Grace Of God ». J'aime bien faire un break et proposer aux danseurs 2 ou 3 morceaux avec juste eux et moi ! Pour finir mon show, je joue toujours « Who Wouldn't Wanna Be Me » !

Gillou : Ton cœur parle souvent… Tu es toujours prêt à donner, tout ce que tu as au fond de toi. Sur scène tu es d'une sérénité ! Comment fais-tu ? John White : Ca, c'est une colle ! Je ne sais pas, c’est comme ça, en fait, c'est dans ma nature. J'aime donner parce que j'aime voir le sourire sur le visage de l'autre, alors je donne sans compter. Ca ne marche pas toujours, quelquefois, ça en agace certains... Mais au fond de moi, je crois aux rencontres, à la relation entre les êtres humains, au partage, à l'échange. Je donne beaucoup et si en retour, je reçois un sourire, une tape amicale, un geste d'amitié, n'est ce pas le plus important ? Et puis, certains évènements de ma vie ont fait qu'aujourd'hui, je m'attache à des choses plus importantes et moins futiles !... Peut-être est ce là le secret de cette sérénité sur scène ? Je profite à présent de tous les moments présents, je m'enivre des ces moments de joie et de bonheur...

Gillou : Ta rencontre avec « Amazing Grass », c'était un sacré bon souvenir ? Tu as des regrets après ces années là ? John White : « Amazing Grass » fut l'un des meilleurs groupe de Bluegrass de l'hexagone, il y a de cela bien années ! Ils avaient d'ailleurs remporté le titre de meilleur groupe au tremplin du festival de bluegrass de Toulouse dans les années fin 80, avec Monsieur Béla Fleck, président du jury. Au sein de « Amazing Grass », le banjoïste était venu « faire l'artiste » avec les Rebels, c'est de la qu'est née notre amitié. Un jour, on m'a demandé de venir faire de la mandoline avec eux.. Tout a démarré ainsi . Mais j'ai adoré cette période. Le bluegrass, c'est comme le Jazz, mais version country !. En fait, c'est très « élitiste » comme style de musique et on en trouve trop peu dans les festivals. Et puis, faire du bluegrass en France et pouvoir en vivre et se nourrir, c'est autre chose … Mais j'adore le style, c'est sautillant, frais, rapide ! Aujourd'hui, il y a de très très bons groupes dans le genre. « Zip Code » par exemple, avec mon copain Christian Labonne qui joue aussi avec « Mary & Co » est un « très bon » ou encore de nouveaux venus que j'ai rencontrés à Lyon dernièrement, « Tenessee Stud » !

The French Country Music Magazine A suivre…. Interview JOHN WHITE suite

Gillou : Tu rejoins ensuite « Amarillo » ! Là tu t'éclates vraiment, t'es-tu révélé dans ton style « Garth Brooks » français ??? Le Billy ... John White : Oui, je fais un break ensuite parce maman tombe malade (3 cancers en 6 ans ! elle est toujours là, merveilleuse et belle !!!!). Mais le manager d' « Amarillo » m'appelle un jour et me dit qu’il a besoin d'un guitariste-chanteur . Le groupe venait de naître avec des musiciens issus de « Conniving », puisqu'ils venaient de se séparer... J'ai dit ok. C'est là que j'ai commencé à tourner en Alsace et ailleurs en France avec de belles dates, de belles scènes. C'était un très bon groupe, plein d'énergie, mais avec certaines individualités un peu fortes !... On a effectivement fait le Billy Bob's en mai 2003. Terrible ! Ca me manque d'ailleurs, je voudrais bien y retourner, c'est en endroit vraiment bien !

Gillou : Tu as géré un sale moment dans ta vie, avec beaucoup de courage tu as réalisé une magnifique performance en solo ! John White : Je ne sais pas si on doit parler de courage. En fait, après mon cancer, je suis resté quelques mois sas rien faire et puis, la musique me manquait... Allongé dans mon lit, je me disait : « Tu ne peux pas baisser les bras, il faut que tu t'accroches John ! Tu peux pas laisser tomber ! Tu n'as plus de groupe ? Ce n’est pas grave, cherches autre chose ! » Et puis, la chance veut que la marraine de ma fille soit américaine. Elle adore la country et John White aussi par la même occasion !... Un jour elle me dit ; « Fais comme au States, il y a des gars qui chantent un peu partout en solo ! Je vais t'aider ! » Et hop, quelques mois plus tard, quand la santé me permit d'être en « état », j'ai recommencé en solo ! Et je ne le regrette pas. J'adore ça, les danseurs aussi ! Et ça marche très bien, mais c'est très compliqué aussi !

Gillou : La rencontre avec « Conniving » en 2005, une association géniale, une formation de grande qualité et une parfaite entente ! John White : Un jour je reçois un appel de Butch (manager des « Conniving ») qui me dit : « Mon chanteur vient de partir ! Tu peux assurer à sa place ? » Sur le coup, j'étais moyennement chaud, je le reconnais car le répertoire ne me plaisait que très moyennement. Butch me dit alors : « Tu viens, tu choisis tes morceaux, tu réfléchis aux nouveaux morceaux du groupe, histoire de donner une nouvelle image, une nouvelle identité à la formation ». Je suis venu, j'ai repris tout le répertoire. Sur 65 morceaux, j'en ai barré 40 ! Puis nous avons travaillé ensemble autant de morceaux en 3 mois car les grosses dates arrivaient plus une CD à préparer ! Cela a fait un boulot considérable mais il fallait passer par là. Chez « Conniving », j'ai rencontré des musiciens formidables, ouverts, sympathiques, très bons, mais surtout, et c'est bien le seul groupe pour l'instant ou j'ai rencontré ça, j'ai l'impression d'être dans une vraie famille ! Les musiciens sont merveilleux. Je les adore et je me sens bien avec eux. Alors forcément sur scène, on le voit ... un peu au moins ? Gillou : Il y a ta participation avec « Conniving », mais tu poursuis parallèlement ta carrière en solo ? John White : « Conniving », c’est une rencontre, au bon moment ! En fait, j'ai été là au moment ou ils avaient besoin de moi. Ensemble, nos avons travaillé dur pour faire de cette formation un groupe solide, compétent, fort sur ses bases avec une vraie mentalité ! Pro mais ou le plaisir prime avant tout. Sur scène, je pense que cela se voit. Il se dégage une énergie et une bonne humeur communicative. Avec les « Conniving », j'ai plus de temps pour me promener sur scène, alors je me balade, je descend parmi les danseurs. En fait, je m'amuse comme un gamin !... Et j'adore ça ! En solo, c'est complètement différent. Je dois faire attention a tout. Je dois gérer le son, les lights, la prestation scénique, tout en jouant, et là, c'est nettement plus compliqué ! Et surtout en solo, il y a une pression supplémentaire, c'est « Erreur Zéro Obligatoire ». Tu joue avec « une épée de Damoclès » sur la tête en permanence... Il ne faut pas se laisser perturber par quoi que ce soit et savoir anticiper à tout moment. C'est très fatiguant parfois ... Mais c'est très bon aussi car voir tant de danseurs s'amuser, ça vaut tout de même le coup de faire tous ces efforts non ? Gillou : Un CD en préparation, seul, avec « Conniving » ? John White : En ce qui me concerne, je termine l'élaboration de la liste des prochains morceaux qui seront sur le CD 2007 car oui, je pense qu'il sera sorti cette année. Il me reste à boucler le budget et mettre tout en place. Et puis, il y a une surprise pour la fin d'année, mais là, je ne peux pas en dire plus... En ce qui concerne « Conniving », le dernier CD se vend très bien. Il n'y a pas de projet de nouveau CD actuellement, mais notre manager réfléchi très sérieusement à la création d'un DVD ! Ou d'un clip vidéo.

Gillou : Merci John de m’avoir accordé cet entretien, pour ceux qui le souhaitent, voici l’adresse de ton site : http://www.johnwhitemusic.net/

The French Country Music Magazine Billy Yates Par Christian Koch RPL radio

honneur qu’un puisse avoir Billy Yates est l’artiste de country music par a Nashville. La liste des excellence et sûrement l’un des plus traditionnel artistes enregistrant vivant a Nashville actuellement . Né a Doniphan, ses chansons Missouri , ces influences musicales viennent s’allonge : George Strait, Kenny Chesney, Sara comme pour bons nombres d’artistes de ces Evans, Gary Allan, Joe Nichols, John Michael parents, issues tous les deux de familles Montgomery, Jeff Bates, Chris Young, Tracy musicales . Papa joue de la guitare et la famille Lawrence, Doug Stone, Ricochet, Ricky Van se produit tous les dimanches dans un show de Shelton, David Allan Coe entres autres . En er 15 mn sur une radio locale juste avant de se 1997, il sort sont 1 album pour le défunt label rendre à l’église. Billy trouve également ces Almo sound, celui ci contient notamment le titre er influences dans la collection de disques de sont ¨Choices¨ et surtout son 1 hit ¨Flowers¨ . A la père où se côtoient Buck Owens, Merle fermeture du label il signe chez Columbia et sort Haggard, Ernet Tubb, Gene Watson et George le single ¨ What Do You Want from Me ¨, Jones. Bien que chantant de temps en temps finalement il ne reste pas chez Sony et décide de dans des mariages ou la foire du comté, Billy se fonder sont propre label M.O.D. records ( my own sent trop timide pour se produire en public, celà down ) . En 2002 il produit l’album ¨ If I could go va changer lorsque il rend visite avec sont lycée back ¨ avec des bijoux comme ¨ Too country and au Lake Wappapello Opry, un show familiale à proud of it et Daddy had a cardiac and Mama’s Wappapello Missouri, il y obtient une audition ou got a Cadillac¨. En 2003 c’est l’album ¨Country¨, il chante "Cryin' My Heart Out Over You", il est en 2004 ¨ Anywhere but Nashville ¨ suivit en aussitôt engagé pour le week end suivant et y 2005 de ¨ Harmony man¨. C’est à la fin de jouera pendant 3 ans consécutifs. Durant ces 3 l’année 2006 qu’est parut sont dernier album ¨ années, Billy fait quelques voyages à Nashville Favourites ¨ avant d ‘être engagé dans un autre théâtre ¨ Favourites ¨ musical a West Plains, Missouri, un peu dans le Sur cet album, Billy reprend des titres préférés de style de ce qui se fait à Branson . ses albums précédents mais aussi ceux de ses Apres ses études il exerce le métier de coiffeur fans . Ce qui nous donne un album de 21 pendant 5 ans, hésitant à se rendre chansons, dont une nouvelle ¨Better every beer¨, er définitivement à Nashville, décision qu’il prend le fabuleux ¨ Choices¨ qui était sur sont 1 album finalement en 1987. Il commence à écrire des et a été enregistré par George Jones en 1999, chansons, chanter des démos tous en continuant titre que ce dernier avait refusé déjà plusieurs à exercer la coiffure afin de subvenir a ces fois, curieusement la version de Jones est sortit besoins et ceux de sont épouse Nancy . Il signe au même moment où il a eut sont grave accident un 1er contrat de songwriter avec Hori Pro de voiture en état d’ivresse et quand on écoute Entertainment Group, en quelques mois il écrit les paroles on se dit que ce titre était vraiment une quinzaine de titres dont le fameux I don’t fait pour le ¨Possum¨, c’est donc logiquement que need a rockin’ chai ¨ qui devient un hit et obtient ce titre est enregistré en duo pour cet album, il y en 1993 le CMA award de vocal event, Billy a également une nouvelle version de ¨Flowers¨. déclare qu’avoir une de ces chansons enregistré Les autres titres sont les versions déjà par George Jones et probablement le plus grand enregistrées sur les disques précédents, le disque parfait pour découvrir cet artiste .

Better Every Beer 2. Choices (a duet with George Jones) 3. Too Country and Proud Of It 4. In The Light Of Day 5. A Better Place 6. Daddy Had A Cardiac and Mama's Got A Cadillac 7. Down At The Station 8. Me, Marie 9. Daddy's Radio 10. Smokin' Grass 11. Dreaming Out Loud 12. My Infinite Love 13. Anywhere But Nashville 14. Roxanne's Bayou 15. This Song Doesn't Rock 16. All By My Lonesome 17. The Circus Is Over 18. Alcohol Abuse 19. The Perfect Woman 20. Harmony Man 21. Flowers

The French Country Music Magazine Concerts review Billy Yates

Billy Yates est l’artiste même qu’il faut public, que ce soit devant 2 ou 3000 spectateurs absolument voir au moins une fois sur scène, au riverfront stage, à Zurich devant 600 que ce soit aux USA avec ces musiciens ou lors personnes ( 3 X plus que l’année précédente m’a de l’un de ces nombreux passages en Europe, t-il dit ) ou une centaine au Jan Van Cep country accompagné par l’excellent groupe neerlandais cafe, il est content de monter sur scène. Les Savannah. J ‘ai eut la chance de le voir dans titres du spectacle sont en majorités issue de différentes occasions, à Nashville lors de ses fan sont dernier disque, et bien que songwriter, il club party au Troubadour theater, lors du CMA n’hésite pas a reprendre des titres de ceux qui festival, ou récemment à Zurich le 16 mars ( l’ont influencés : Merle Haggard ¨tonight the Albisguetli ) ou aux pays bas ( Jan Van Cep bottle let me down¨ , Lefty Frizzell ¨I never go country cafe ) le 1er avril. Billy est sûrement la around mirror’, George Jones ¨one woman man¨ personne la plus souriante que je connaisse, il et bien sur ¨I don’t need a rocking chair ¨ écrit pourrait faire de la pub pour une marque de pour ce même Jones , Il a vraiment tout pour dentifrice tellement il est souriant, il est bien loin plaire au public français, que l’on vienne pour l’adolescent timide du Missouri qui avait peur de écouter ou pour les line dancers, chacun y se produire en public et il communique cette joie trouvera sont compte à tous le monde, musiciens qui l’accompagne et

Par Christian Koch RPL radio

Les coups de cœurs de Max Cooper Kate Russell

Hello everybody ! s’est mis à composer des Les voies du Seigneur sont infinies, mais celles chansons country-rock, de la country sont pas mal non plus, vu qu’elles quelque part entre Keith nous apportent des talents pleins de fougue Urban et Jo Dee Messina et depuis la lointaine et très australienne Sydney, le résultat est tout tels que celui personnifié par la roussotante et simplement fantastique : il athlétissime Kate Russell. Et oui, c’est bien à s’agit de sa première galette, l’ombre des kangourous et autres koalas que à croquer sous le rayon laser de votre lecteur Kata a grandi, telle une plante saine et CD, un album électrisant intitulé « Powerful vigoureuse, nourrie par l’amour musical distillé Stuff ». Et le titre ne ment pas, nomdidjou, ça par sa famille. Elle apprit à jouer le piano et vaut chauffer dans les chaumières gauloises car devint bien vite une coqueluche des bars locaux. la musique de Kate Russell vous emporte avec Elle découvrit ainsi qu’elle pouvait vivre de sa son énergie, ses guitares entraînantes, ses passion musicale et s’en fut donc de l’autre côté violons et ses mandolines en toile de fond de l’Océan Pacifique, pour s’établir à San Pedro, absoluement charming ! Wow, je suis totalement un faubourg du grand Los Angeles, non sans acquis à la cause de cette dame, ex-surfeuse au avoir circulé par Boston et le Texas, notamment. demeurant, qui a fait de Monsieur Watt son Athlète et non seulement musicienne, disions- pygmalion et de la bonne fée country-rock sa nous, eh oui, car Kate n’excelle pas seulement muse. Kate Russell va faire parler d’elle et ce sur les 52 blanches d’un piano, mais aussi en n’est que justice, car sa musique est un véritable tant que coureuse de marathon et en tant que rafraîchissement pour les oreilles. Sus au son surfeuse, pas mal, non ? Mais, je m’égare, surproduit et saturé, vive la … spontanéité, ça fait revenons à nos marsupiaux et parlons musique, du bien ! car Kate Russell en respire et en vit, en étant Retrouvez Kate Russell à l’adresse : notamment professeure de piano et de chant. www.katerussellonline.com. S’inspirant de ses influences musicales de Retrouvez Max Cooper à l’adresse : toujours, Patsy Cline, Patty Loveless et la star www.rvmfm.net country australienne Slim Dusty, notre ange roux

The French Country Music Magazine Dans les Bacs

Cars B.O du film du même nom Par Cactus

Si comme moi vous êtes un fan de la route 66 (ou plutôt de l'idée que l'on s'en fait), vous aimerez ce film d'animation qui met en scène des voitures récentes ou anciennes et qui caractérisent au mieux les personnages qu'elles incarnent. Plein de beau monde dans cette BO , Chuck Berry, Rascal Flatts, Brad Paisley, James Taylor, The Cords, John Mayer, Hanks Williams, .... Brad Paisley nous propose deux inédits que les collectionneurs devraient apprécier . Deux versions bien différentes de "Route 66" l'une très rock l'autre beaucoup plus calme. Si tout comme moi vous êtes un fans des road moovies, et des B.O. qui vont avec, cet album est pour vous. Si vous ne le trouvez pas dans le rayon BB de votre disquaire, voyez comme moi dans le rayon 'dessins animés enfants'.

Alan Jackson 'Like red on a rose' Par cactus

Quand on aime la country ce n’est pas facile d'échapper à Alan Jackson. Et il faudrait vraiment être difficile pour ne pas aimer ce gars là. Au fil des années le grand blond a fait évoluer sa musique au point de ne pas s'y reconnaître. De la new country bien appuyée par des rythmes assez rapides, puis nous proposant du gospel voici un nouvel album composé de ballades, assez douces, qui ne vous laissera pas sans réaction. Alison Krauss est à la production ce qui est un point déterminant quant à la qualité des arrangements. A ne pas manquer si vous aimez passez un bon moment tranquille devant la cheminée.

Alison Krauss ‘A hundred miles or more: a collection’ Par Cactus

Sauf erreur ce nouvel opus est le onzième d'une longue série chez Rounder son label de toujours, comme quoi la maison est bonne. Onze c'est aussi le nombre de chansons. Inédites pour certaines mais aussi chansons reprises du répertoire de grands artistes comme les Louvins Brothers. Si vous êtes'amateur du grand écran vous remarquerez certainement que certaines chansons sont non seulement un ode à certains artistes mais aussi à des films ou plutôt leurs bandes originales, et pas des moindres. Car on retrouve les musiques (et paroles) "Down to the river to pray" du film 0 brother, "The scarlet tide" et "Will you be my ain true love" de Cold mountain, 'I give you to his heart" de The prince of Egypt. De plus nous pouvons apprécier une réponse à la chanson de Don Williams 'I'm just a country boy" avec ce tiltre "You're are just a country boy" qui est une version arrangée par l'artiste ; et toujours pour les amateurs de Don Williams, le titre qui ferme la marche "Lay down beside me". La reprise de "Whiskey Lullaby" figure en bonne place chantée en duo avec qui vous savez (B Paisley), d'autres duos sont proposés avec James Taylor "How's the world treating you', John Waite 'Mising you" et "Lay down beside me". Nous retrouvons également quelques surprises comme les présences de Sting et Cherryl White dans les coeurs. Les fans de Alison Krauss trouveront là encore l'occasion de se faire plaisir. Mais sachez que ce plaisir ne doit pas rester solitaire aussi si comme moi vous aimez les belles voix et les harmonies vocales laissez vous tenter par ce concept rare où chansons reprises, inédites ou tirées de bandes originales se côtoient sur un même cd.

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HILLBILLY ROCKERS ‘’ At last’’ Par Jacques »Rockin’Boy »Dufour

Hillbilly Rockers semble être le seul groupe de country music sur l’ensemble des deux Savoies. Leur proximité de Genève leur offre l’opportunité de se produire aussi souvent chez nos voisins Hélvètes que dans nos Alpes Françaises. Le groupe est né en 1999, fondé par Franck le batteur, mais c’est en 2004 qu’il s’épanouit sous sa forme actuelle avec Astrid au vocal, fan de country depuis 2002, Nathalie intégrée avec son fiddle l’an dernier, Jean-Hugues le bassiste, fan d’Albert Lee et de Steve Wariner, Jimmy à la guitare et au dobro et Christian également à la guitare et aussi au banjo. Ce premier album de 11 titres en comprend dix au tempo enlevé puisés dans la country moderne pour ravir les danseurs. Claudie, l’épouse de Franck, y est certainement pour beaucoup : elle est monitrice professionnelle de danse country avec une école qui compte plus de 300 élèves ! « One Mississippi » de Jill King : un titre et une chanteuse qui auraient mérité une apparition dans les charts. Un up-tempo décapant qui préfigurait un style qui allait réussir à Trick Pony et Gretchen Wilson plus tard. Astrid lui rend justice. « Hurricane » nous rappelle qu’il n’y a pas eu que « I fell in love » dans la carrière de Carlene Carter. C’est une bonne chanson de danse qui fût le dernier hit en 1995 pour la fille de June Carter-Cash. Elle se termine ici dans un fou-rire général. « No one needs to know – Any man of mine » : la chanteuse apprécie Shania Twain et les danseurs y trouvent leur compte. Un peu de banjo pour annoncer un n°1 par les Dixie Chicks en 1998 : « There’s your touble ». On double la mise avec « Travelin’ soldier » pour un deuxième DC d’affilée. Le dobro succède au banjo. « Flowers on the wall » est le seul titre ancien puisque crée en 1966 par les Statler Brothers. Il est vrai que nos Savoyards ont du le découvrir par l’excellente reprise du mésestimé Eric Heatherly en 2000. « On down the line » est un up-tempo puisé parmi les succès de Patty Loveless (1990). « Pour me » : le tube qui a lancé et révélé le trio Trick Pony en 2000. Très bonnes guitares au son séduisant des années 60. On termine par le trio « chouchou » d’Astrid, les Chicks, et leur « Some days you gotta dance » (2001). Et là c’est sûr, un jour vous danserez sur la musique des Hillbilly Rockers. Notons enfin que les photos de la pochette ont été réalisées dans un véritable saloon : le Hillbilly Country Western Club situé à Chavanod (74). www.hillbilly-rockers.com 06.15.06.00.16

STEAMBOAT ‘’Columbus stockade blues’’ Par Jacques »Rockin’Boy »Dufour

Voici un album différent de la production country habituelle Française. Encore que l’appellation country ici ne soit pas vraiment justifiée. Steamboat nous fait plus exactement remonter aux sources des musiques Américaines rock, blues, folk et country. Saluons donc le mérite de ses musiciens qui, à l’instar de leurs homologues du bluegrass, ne doivent pas être invités très souvent par les organisateurs de soirées line-dance… Vous êtes conviés à un voyage vers vos plus lointains souvenirs musicaux avec « Columbus stockade blues » car les morceaux les plus récents datent de la fin des années 60 (Creedence/Joplin). Ne craignez cependant pas une musique ennuyeuse et vieillotte : l’ambiance n’est pas qu’acoustique et Thierry Jaoul, professeur de guitare à la ville, joue souvent électrique. Puisqu’on parle de lui, l’album a été réalisé dans son studio d’enregistrement à Pinet dans l’Hérault. Il tient guitares, lap, steel et slide. Les vocaux par contre sont assurés par O’Malley qui œuvre aussi au banjo, à l’harmonica, au bouzouki et à la guitare acoustique. Mc Lain s’occupe de la contrebasse. Nous partons pour les 50’ offertes et »Proud Mary » est une bonne entrée en matière originale. « Polly Vaugh » est l’un des nombreux traditionnels arrangés par le trio. « Frankie & Johnny » est un thème vieux comme le monde. On se souvient de la version rock de Gene Vincent. Elle est folk ici bien sûr. « The lark in the morning » est la première de leurs trois visites au folk Irlandais. Intro a-capella. Pour « Farewell to Nova Scotia » O’Malley opte pour l’harmonica. Enfin pour “Kelly the boy from Killane” c’est le banjo qui est en évidence. On le garde et on ajoute la slide pour « I’ll fly away », le célèbre gospel country repris en rockabilly autrefois par Jerry Lee Lewis. « Columbus stockade blues », mille fois repris (Bill Monroe, Bill Carlisle, Josh Graves,…), convient très bien à la voix légèrement voilée d’O’Malley. Idéale pour ce genre de country/blues et soutenue par la slide et lap steel de Thierry. « New river train » nous rappelle « Roll in my sweet baby’s arms ». Soutien féminin dans les choeurs. “My babe” est naturellement plus proche de la version blues de son créateur Willy Dixon que de la reprise R’n’R de Rick Nelson. « There is a time » évoque les western songs dans l’esprit des cowboys chantants. « More pretty girls than one » est souvent au menu des groupes de bluegrass mais ici c’est la guitare qui est en vedette. « Hound dog », vous vous en seriez doutés, est calqué sur l’original de Big Mama Thornton et non sur la fureur d’Elvis. La guitare de Thierry est résolument blues. Enfin « Mercedes Benz » n’est pas le sponsor de Steamboat mais le désormais classique de Janis Joplin. Fin du voyage, à présent il ne nous reste plus qu’à aller les apprécier en concert…

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The Derailers par Georges Carrier Brian Hofeldt et Tony Villanueva, tous deux originaires de Portland, Orégon, ont formé les Derailers à Austin en 1993 et sont très vite devenus des vedettes de la scène texane. En 1996 ils sortent leur premier album chez Watermelon Records, Jackpot, acclamé par la critique. Peu à peu ils s’installent sur la scène nationale aux Etats-Unis, gagnant un peu public sans cesse plus nombreux grâce à un son jamais entendu auparavant : le son des Derailers – c’est celui qui vient du cœur du Texas. The Derailers sont un groupe de country et western moderne. "Nos influences c’est le son country de la côte Ouest et le son du Texas," expliquerTony Villanueva, guitariste et compositeur Villanueva définit le groupe comme « un explorateur des harmonies plaintives » qui font que la musique country a encore aujourd’hui autant d’impact. Tous élevés dans la tradition country et le rock 'n' roll, ils ont tout naturellement orienté leur musique vers un genre combinant les deux tendances: le son country West Coast du milieu des années 60 de Buck Owens, Merle Haggard, Wynn Stewart et Red Simpson; les fières traditions texanes du Western Swing et de la musique des honky-tonks; et le rythme rebelle du rockabilly Villanueva et Hofeldt (guitariste solo) viennent tous deux de l’Oregon, et se sont rencontrés dans un groupe de Portland nommé le Dead Man's Hand. Villanueva a été élevé dans un milieu Mexicain –Américain avec des racines très rurales. Les parents de Hofeldt étaient des "sortes de hippies" et l’ont élevé autour d’ Elvis Presley et des Beatles. De là il a plongé dans les racines Rockabilly des Sun Sessions d’Elvis et a retrouvé chez les 4 gars de Liverpool toutes les influences de Buck Owens et des Everly Brothers. En 1993, Hofeldt rejoignit Villanova à Austin, et dans les clubs et les bars de la ville firent apprécier leurs premières compos. Vic Gerard, bassiste et un ancien de la scène d’Austin, fut enthousiasmé par leur musique et devint lui aussi un Derailer. Le groupe devint très vite populaire dans les meilleurs clubs d’Austin comme le Broken Spoke et le Continental Club, gagnant l’admiration et la fidélité des danseurs de swing et de two-step. Dave Alvin entendit les Derailers au Continental et leur offrit ses services en tant que producteur. Il les signa chez Watermelon. Il y a des trains qui déraillent, mais celui des Derailers en provenance d’Austin est sur la bonne voie, la chaudière bourrée et filant à toute vapeur droit devant. Sur leur deuxième album chez Lucky Dog (Sony Nashville) le groupe phare d’Austin continue sa quête vers ce que Brian Hofeldt guitariste solo appelle leur son « Bakerspool/Liversfield,” ce carrefour mythique où, un jour, les BuckOwens, Roy Orbison, Marty Robbins et autres Beatles se rencontreraient. Beaucoup de choses se sont passées depuis leur premier album chez Lucky Dog “Here Come The Derailers.” Sorti avant la date fatidique du 11 septembre 2001, “Here Come the Derailers” (comme beaucoup d’autres choses dans nos vies) a été oublié à cause des événements horribles qui se sont produits ce jour là. Heureusement le monde continue de tourner et les Derailers n’ont cessé de produire leur sublime mélange inspiré de country, pop et rock’n’roll au rythme effarant de 250 concerts par an. La dernière fois que nous avons vu les Derailers en France, ils étaient avec le charismatique et talentueux Tony Villanueva. La même année, ce dernier quittait le groupe et alors on voyait l’avenir plutôt sombre pour les Derailers.Le groupe allait-il dérailler ? Un miracle ou peut-être tout simplement 100% du bon vieux rock ’n’ roll, un peu de sang neuf, et les voilà avec probablement le meilleur album de leur carrière, le 6ème et premier chez Palo Records, Soldiers of Love. Allez, ouvrez grand vos yeux et vos oreilles, parce que contre vents et marées, les Derailers sont de retour, meilleurs que jamais ou pour emprunter les paroles de la chanson Soldiers of Love "Il n’est jamais trop tard pour faire la fête," — ça ne fait que commencer!"

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LES ORIGINES DE LA COUNTRY

Tout commence dans le sud des Appalaches sur les rives de la rivière Cumberland. Les Appalaches sont une gigantesque barrière de montagnes couvertes de forêts, qui s’étend de Terre Neuve jusqu’en Alabama.

Elles sont colonisées au 18ème siècle par des Irlandais et des Ecossais. Ils apportent dans leurs bagages, leurs violons mais aussi les traditions celtiques et les hymnes des Eglises. Pendant près d’un siècle, ils vivent dans un grand isolement. La Bible leur sert de loi et de référence.

A la fin du 19ème siècle, la découverte et l’exploitation d’importants gisements de charbon vont rompre leur isolement.

Les habitants des Appalaches, coureurs de bois ou bûcherons, voient arriver un flux d’immigrants des plaines voisines des Etats du Sud et d’Europe. Parmi ces nouveaux arrivants venus trimer dans les mines de charbon, se trouvent de nombreux Noirs. Ils amènent avec eux la guitare empruntée aux vaqueros mexicains, mais aussi le banjo, plus facile à fabriquer et moins coûteux. Ce melting pot va susciter la naissance de la country music des Appalaches. Un petit fort, Nashville devient le centre économique et culturel de la région.

Cette page est extraite d’une présentation de la Country Music , réalisée dans le cadre du Festival Country de la Tour de Salvagny, par l'Association Philatélique Champenoise, Désidérienne et Tourelloise Renseignements: 04 78 48 85 42 Email : [email protected]

les 7, 8 et 9 septembre 2007 Parc de l'Hippodrome avec One Way, Charlie Mac Coy, Zip code 2025, Iann Scot, Big Rock, Rebecca Venture, Honky Tong Farmers, Wain Law, Off Truck Stop The French Country Music Magazine 12

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Les réponses aux définitions

sont dans le numéro d’avril 23 24

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HORIZONTAL VERTICAL 3. Alan Nash l'a rencontré au Texas. 1. Un des signes distinctifs de Doug Moreland. 5. Groupe originaire de seine et marne. 2. Son anniversaire était début février. 6. Endroit dit paradis pour boire une bière avec les copains. 4. Il est mort à 93 ans. 9. Il meurt le 4 juillet 2004. 5. Les Clash ont eut des affinités avec eux. 11. Cd de Leighan Cortes. 7. on l'entend dans "Out the W-E" 12. Ely mène une vie confortables avec elle. 8. Il a crée Texas Line. 13. Doug Moreland s'y est rendu afin de créer son propre groupe. 10. Organisateur d'Equiblues. 15. Festival en suède. 14. Celle de la country et des USA sont liées. 17. Baby Needs A Pair Of Shoes le fait revivre. 16. L'épouse de Hebert considère la soirée réussit 18. Doug Moreland et son chien. losqu'elle l'a entendu. 19. Jean-Marie Redon en joue. 21. Ils étaient à Thuret le 28 avril dernier. 20. Tracy Caine l'est. 24. Chanson écrite par Tracy Caine après le attentats 22. Elle était à Brive le 12 avril dernier. terroristes de Madrid. 23. Elle se classe 15ème. 25. La danse lui est associée. 26. Sunny Sweeney a tenté sa chance dans ce monde.

The French Country Music Magazine Country Nights de Gstaad 2007

Mélange parfait de style et prestation de premier ordre :

Randy Travis, Rhonda Vincent, Julie Roberts, Riders in the sky

Incluant un vaste style musical, les groupes de cette année devraient plus que plaire A la majorité des fans de la music country. Que ce soit les « nouveaux traditionalistes », Bluegrass, contemporain ou de la music dont les paroles évoquent des cowboys légendaires Roy Rogers et Gene Autry ; les 21 et 22 septembre ces prestataires de 1er ordre feront du Gstaad festival le point culminant des festivals européens de cet été 2007. Exceptionnellement beaucoup de « country Grammies » seront présent ensemble sur la scène du festival de Gstaad.

Les Riders in the Sky feront l’ouverture et la fermeture de ce festival, 4 musiciens connaissant parfaitement les ficelles du métier.. Leurs chansons vont séduire beaucoup de ceux qui « veulent être des cowboys chevauchants dans le soleil couchant ». Et si cette music de héros de western pouvait rendre certain nostalgique, la suite avec Julie Roberts les ramènera dans le présent. Julie Roberts, jeune et séduisante disciple de la country contemporaine vient à Gstaad !Lorsqu’elle a mis un frein aux critiques musical de son début de cd en 2004 ; elle les as convaincu deux ans après avec son album « Men & Mascara » ; et avec ce dernier a prouvé qu’elle serait présente sur la scène musicale pour un long moment. Sa voix bluesy capture l’Ame de chaque balade. Apparaître à Gstaad est une 1er pour elle sur des principales scènes d’Europe. » la fille bluegrass de chaque Americain » : déjà le titre de son dernier album parle de lui-même.

Dominant la scène depuis longtemps et toujours, Rhonda Vincent, la chanteuse, écrivain et pleins de ressources multi-instrumentiste sur à peut près tout ce qui a une corde est l’une des artistes la plus acclamée et respectée d’aujourd’hui dans le monde du Bluegrass. Many, une fan de Bluegrass, se souvient avec émoi de son concert pour la nuit de la country en 1994 à Gstaad.

Cela a commencé devant des grillades à Nashville pour finir devant des cameras à Hollywood. Seule une vie honnête pouvait inscrire un tel scripte de carrière ; une carrière avec une vaste vue et prospérant sous touts les angles. Ces jours ci, on peut croiser Randy Travis sur scène en concert, dans des studios d’enregistrements ainsi que devant ou à côté des cameras. Il est connu pour avoir écrit la musique de nombreux films. Il est aussi connu pour être l’un de ces « nouveaux traditionalistes » qui avec succès ont « infusés » une nouvelle vie dans la music country des années 80. Avec un tableau de 22 trophées de tubes, 6 albums n°1, 5 Grammies et plus de deux douzaines d’autres awards, c’est fort peu probable que le compte s’arrêtera là…

Cette année à nouveau, les visiteurs, de touts ages, du festival auront le droit à un programme haut en couleurs de music « live » et de divertissements gratuits.

A partir du 1er Mars 2007 les droits d’entrée des 21 et 22 septembre seront de CHF 60,- 90,-, 120,- ; et 135,- Pour réserver tel : 0041 33 744 88 22 Fax 0041 33 748 83 39 Pour les mises à jour sur les artistes et le festival veuillez consulter notre site : http://www.countrynight- gstaad.ch/ Traduction Barbara

The French Country Music Magazine Un séjour au Texas par Alan Nash

Billy Joe Shaver au Midnight Rodéo Notre séjour arrivait pratiquement à son terme quand nous avons appris que Billy Joe Shaver était à l’affiche du Midnight Rodéo. Ayant apprécié sa prestation lors de l’édition 2004 du festival de Craponne,le revoir sur scène au Texas nous apparaisssait comme une agréable perspective .

Le Midnight Rodéo est un très vaste pub situé dans périphérie a l’est d’Austin,l’endroit est très beau, bien décoré ,avec une immense piste de danse en chêne conçue pour le 2 –step, la valse ,la polka , mais il manque le cachet ancien et si pittoresque que l’on a trouvé dans d’autre lieux, la chaleur humaine n’est pas non plus au rendez-vous chez le personnel, mais cela vient sans doute de la clim. poussée à l’excès… Néanmoins nous nous sommes régalés durant cette soirée, grâce à ce personnage totalement Habité par ses chansons, qui les fait vivre en les mimant avec de grands gestes, de plus il s’accompagne à la guitare malgré les deux doigts perdus durant l’un de ses premier boulots dans une scierie. Dans les années 70 ce Texan est engagé a Nashville a 50 dollars par semaine pour écrire des chansons qui seront interprétées notamment par Elvis , Dylan, Willie Nelson, Johnny cash, Waylon Jennings pour l’album Honky tonk Heroes. Live for ever, un de ses hit pour les Highwaymen , ses propres albums n’ont pas toujours obtenu un grand succès commercial, ce qui ne l’a pas empêché de recevoir Le Life Time achievement award et de figurer en 2006 dans le Texas Country Music Hall of fame. A la fin du concert, il s’est joint au public et a volontiers discuté avec les gens. Une grande humanité et un coté mystique se dégage de cet artiste. les multiples épreuves qu’il a traversées dans sa vie y sont pour beaucoup. Janvier 2007 sorti de son dernier album Greatest Hits.

AGENDA AMARILLO-11 et 12 « Le Country » Ludres (54), 19 Strasbourg Neuhof (67).BIG ROCK-5 American Day II Montauban, 11 Berre l’Etang (13), 19 Launac (31), 27 Tarascon (13).BLUE RAILROAD TRAIN-25,26,27 Frederica Festival (DK).BLUE RIDGE-2/6 Hinx (40).CACTUS PICKERS-13 et 19 foir Expo Le Puy en Velay (43).CC RIDER-11 Villabé “El Rancho” (91), 12 Nevers (58) Parc Expos, 19 Challans (85), 26 Orvol (18), 27 Varredes (77), 2 et 3/06 Casteljaloux (17).COUNTRY RIDERS-17 Eguilles, 18 « El Rancho » Avignon (84), 19 Le Luc (83), 26 Théatre Galli à Sanary (83).CONNIVING-5 « Le Country » Ludres (54), 26 Villerupt (54), 27 Amneville (54), 28 Joeuf (54), 2/06 Drusenheim (67), 3/06 Auboué (54).CHAIN GANG-19 Congy (51), 6 Brasles (02).DANNY FLETSCHER-17,18,19,20 Casino Pornic (44).DESTINATION-27 Amnéville (57).DR COUNTRY-19 et 20 Genève (CH).DREAMLINERS-27 Paris Country Festival.DAN GALLI DRIFTING BOYS-12 Seigneléger (CH), 26 Bussy en Othe (89) avec « Wild West Ladies ».EDDY RAY COOPER-26 « Bar en Biais » Antibes (06).HILLBILLY ROCKERS-26 Paris Country Festival. HILLBOYS & GIRLS-11 Berre (13) Gibson Hall, 12 St Etienne (42) Scène du Golf.HIGHWAY-5 Pourière (83).JOHN WHITE-4 “St Laurent” à Marly (57), 1/06 Marly.JEROME MALAVAL-23 Givors (69) “Musique Leader”, 25 Bordeaux (33), 26 Hossegor (33).LIANE EDWARDS-19 Concarneau, 26, 27 Ludres (54), 2/06 Villeneuve de la Raho (66).LONE STAR RADIO SHOW-12 Casteljaloux (47), 18 Billas (47), 26 Miramont de Guyenne (47), 28 au 30 Bergerac (24) Rocksanne, 31 au 2/06 Festival de Genève (CH).MADE IN COUNTRY-5 St bonnet de Valclérieux (26).MARY LAURE & ROUTE 95-27 Paris Country Festival, 29 Crèperie d’Herblay.MATHILDA & FLASHBACK-19 Vif (38) Festival Cliff Richard & the Shadows.MILWAUKEE-12 Naizin (56), 17 « Wigwam Trading Post » Boismorand (45), 18 et 19 « Le Cpintry » Ludres (54), 20 Etampes (91).MIDWAY STATION-13 Taluyers (69), 2/06 Tour de Salvagny.PRAIRIE DOGS-2 et 3/06 American Journeys Cambrai (59).PHENIX COUNTRY BAND-2/06 Le Mesnil en Thelle (60).QUARTIER FRANCAIS-19 Ewob Festival Vorthuisen (NL).RANCHMEN-11 Savigneux (01), 12 Porte les Valence (26), 17 Misérieux (01), 18 Villefranche Saone Parc des Expos, 25 Savigneux (01), 1/06 Chaponost (69), 2/06 Poule les Echarmeaux (69).ROCKIE MOUNTAINS-12 Andrézieu « Chez Steph » (42), 2/06 Morancé (69).ROCKINCHER-12 Montpon Ménestrol (24), 19 Lespinasse (31),26 Maureillas (66), 2/06 Hinx (40).roots 66-27 St Priest la Vetre (42).RICK CAVAN-19 et 20 Lomme (59) + PINK LADIES, 26 et 27 Haubourdin + KARO ? 1 ET 2/06 Louvroil.RUSTY LEGS-5 Lescure 81), 17 Gaillac (81), 2/06 Brugairolles (11), 3/06 Villeneuve Raho (66).SEV GARETT & RENEGADES-26 Paris Country Festival.STATION-12 Corbeil Essonne (91).TENNESSEE STUD-26 Paris Country Festival.TEXAS SIDE STEP-5 Eschau, 11 Disney Festival, 19 Samer, 26 Bourgoin-Jalieu, 28 Paris Country Festival, 2/06 Mesnil en Thelle.THIERRY LECOCQ-18 Rennes (35), 2/06 Perpignan(66).TURQUOISE-4 Saarbrücken (D), 5 Festival bluegrass Bühl (D).TUPELO EXPRESS-12 Vaucresson (92) Coteaux de Chablis.TAHIANA-2/06 Cambrai.UNION SPIRIT-19 Sédières (19) Equibivouac.WESTERN WINGS-12 Sury le Comtal (42).WILD HORSES-12 « La Table Lorraine » Kerling les Sierk, 26 Paris Country Festival.ZIP CODE 2025- 26 St Jean de Bournay (38), 1/06 « Prisca » Villeurbanne (69)

The French Country Music Magazine par Mireille Lafond Dans le Texte

Artist: Rodney Atkins Rodney Atkins If You're Going Through Hell Si Tu Traverses l’Enfer. . Well you know those times Eh bien, tu connais ces moments-là When you feel like there's a sign there on your back Quand t’as l’impression que c’est tout pour ta pomme Says I don't mind if ya kick me Et que tu te dis que tu t’en moques si tu reçois des coups Seems like everybody has Il te semble que pour toi comme pour les autres Things go from bad to worse Tout va de mal en pis You'd think they can't get worse than that Tu pourrais croire que ça ne peut pas être pire And then they do Et pourtant si !

You step off the straight and narrow Tu t’es écarté du droit chemin And you don't know where you are Et tu ne sais plus où t’en es Use the needle of your compass Sers toi de l’aiguille de ta boussole To sew up your broken heart Pour recoudre ton cœur brisé Ask directions from a genie Demande ta route au bon génie In a bottle of Jim Beam D’une bouteille de Jim Beam And she lies to you Et elle te ment That's when you learn the truth Ca, c’est quand tu apprends la vérité refrain refrain If you're going through hell Si tu traverses l’enfer Keep on going, don't slow down Ne t’arrête pas, ne ralentis pas If you're scared, don't show it Si t’as peur, ne le montre pas You might get out Il est possible que tu t’en sortes Before the devil even knows you're there Avant même que le diable soit au courant de ta présence.

Well I been deep down in that darkness Eh bien, j’ai touché le fond, dans le noir I been down to my last match J’ai gratté jusqu’à ma dernière allumette Felt a hundred different demons Et senti une centaine de démons différents Breathing fire down my back me cracher du feu dans le dos And I knew that if I stumbled Je savais que si je trébuchais I'd fall right into the trap that they were laying, yeah Je tomberais tout droit dans le piège qu’ils préparaient, Yé

But the good news Mais la bonne nouvelle Is there's angels everywhere out on the street C’est qu’il y a des anges partout dans la rue Holding out a hand to pull you back up on your feet Qui tendent la main pour te remettre sur pieds The one's that you've been dragging for so long Ces pieds que t’as traînés pendant si longtemps You're on your knees T’es à genoux You might as well be praying Tu pourrais faire une prière pendant que tu y es Guess what I'm saying Devine ce que je suis en train de dire refrain refrain

Yeah, If you're going through hell Yé, si tu traverses l’enfer Keep on moving, face that fire Continue d’avancer, affronte ce feu Walk right through it Et traverse le de fond en comble You might get out Il est possible que tu t’en sortes Before the devil even knows you’re there Avant même que le diable soit au courant de ta présence. refrain refrain

Yeah, If your going through hell Yé, si tu traverses l’enfer Keep on moving, face that fire Continue d’avancer, affronte ce feu Walk right through it Et traverse le de fond en comble You might get out Il est possible que tu t’en sortes Before the devil even knows you're there Avant même que le diable soit au courant de ta présence. Yeah, you might get out yé, il est possible que tu t’en sortes Before the devil even knows you’re there. Avant même que le diable soit au courant de ta présence.

The French Country Music Magazine membre de la Stoneman Family, groupe (1967) CIA MUSIC NEWS gagnant d une 'award' de la CMA. C'est sur 'Illinois Press'. Pour ne pas être en reste, fiston Déjà trois fois gagnant de la 'CMA' Australie, John Carter Cash à non seulement rédigé un Adam Harvey qui s'est déjà produit au Canada, livre sur sa mère June Carter, 'Anchored in love' Irlande et même en Chine recevra le 7 Juin la mais aussi choisi ce titre pour son album de Juin 'CMA Global Country Artist Award' durant la avec Emmylou Harris, Willie Nelson, Brad 'Music Week' de Nashville après avoir déjà été Paisley, Kris âristofferson, Shery Crow, Elvis programmé au Grand Ole Opry.A la même Costello, , Ronnie Dunn et ses période la 'Music Week' accueillera également demi-soeurs Rosanne Cash et Carlene Carter. Lucie Diamond (UK), John McNicholl (Irlande), Shane Yellowbird et Gord Bamford (Canada) 'Pin up' éphémère et probablement siliconée, la ainsi que deux autres australiens Travis Collins blonde Nicole Smith a été enterrée aux et Morgan Evans. Bahamas avec les honneurs de Joe Nichols qui a interprété 'Wings of a dove' de Ferlin Husky qui A partir du 10, Alan Jackson et Brooks et Dunn était paraît- il son thème préféré. tournent ensemble aux USA où les billets pour un concert de Kenny Chesney à Philadelphie se George Strait passe désormais pour le sont vendus en seulement 15'. On comprend champion des 'charts' Country avec ses 54 n°l pourquoi les Ricains ont de solides raisons de tandis qu'Eddy Arnold établit un record dans la minorer les tournées en Europe durée des titres classés avec 145 semaines ...

Sortie le 5 du nouvel album ('Wagonmaster') de John Schneider fut la première vedette de la Porter Wagoner sur 'Anti' après avoir fêté en série 'Dukes of Hazzard' (1979-85). Aujourd'hui, Février ses 50 ans sur la scène de l'Opry il a été engagé pour une nouvelle production de Nashville, 'Collier and company: Hot pursuit' Le 24 Avril, encore sur sa propre marque mais n'oublions pas, qu'à 47 ans seulement, il a 'Oh!boy' est sorti le nouvel album de John Prine, déjà depuis les années '80 une solide série de 'Standard songs for average people': des duos succès enregistrés avec plusieurs n°l comme avec Mac Wiseman sur des thèmes de Lefty 'I've been around enough to know' et 'You're the Frizzell, Tom T. Hall et Kris Kristofferson. last thing I needed tonight'

De son côté, toujours là elle aussi, 50 ans après, Alors qu'une certaine Holly Hornbeak a renoncé Brenda Lee a eu droit également à un nouvel à sa plainte contre Hank Williams Jr qui aurait album de duos avec George Jones, Alison tenté de l'embrasser ... moyennant Kraus, Dolly Parton, Kix Brooks, Emmylou dédommagement financier, on apprend que le fils Harris, Pam Tillis, Martina McBride, Ronnie du roi des Hillbillies a de son côté entamé une Dunn, Vince Gill et Charlie Daniels ... pas procédure de divorce contre son épouse de 16 moins années, Mary Jane, accusée de dépendance ... on ne sait trop s'il s'agit d'alcool, drogue ou Le 1er Mai 'Time Life' a édité un double DVD substances pharmaceutiques. ('The best of Barbara Mandrell'/'The Mandrell sisters) extraits des populaires séries TV des Les Archives Nationales australiennes ont 80's avec Ray Charles, Statler Brothers, Roy déniché 4 inédits des débuts de la carrière de Mr Rogers, Dale Evans, June Carter et Dolly Slim Dusty (1943) dont 'Beautiful Aussie land' Parton comme invités. (compréhensible) et 'I'm a yodellin' guy from Texas' (admettons ... ) Pour le 15,parution de 'One of the boys' de notre 'redneck woman, Gretchen Wilson annoncé Porter Wagoner, encore lui, a donné un 1 show' comme plus feutré mais toujours aussi animé au 'Music Box’ d’Hollywood où il n'était plus venu comme elle s'est plu à le faire savoir. depuis 40 ans ... soutenu par Marty Stuart, guitare solo; Dwight Yoakam, guitare basse et Un livre pour Roni Stoneman, 'Pressing on’ la Billy Bob Thornton, batterie. Bigre ! cadette du célèbre banjoïste Pop Stoneman

Par J C Smaine

The French Country Music Magazine