ocello… Contraction fusionnelle de voce et de cello, vocello est un mot inventé par Henri Demarquette qui ne figure pas encore au dictionnaire. Il désigne la rencontre inédite entre choeur a cappella et violoncelle solo, rencontre qui a donné naissance depuis 2013 à un répertoire nouveau, comme seul un tempé- Vrament aussi imaginatif et débridé que celui de Demarquette pouvait concevoir. « Vocello est né d’un désir de liberté », écrit-il. « De la liberté de créer et de susciter la création. De créer une formation nouvelle réunissant le violoncelle et le chœur. La liberté d’évoluer au milieu d’un monde inédit de sonorités, d’échapper aux formations tradition- nelles, convenues,ocello et… ainsi Contraction de faire fusionnellesurgir de nouveaux de voce et liens de cellod’amitié,, vocello d’inattendus est un mot partages inventé et des combinaisonspar Henri inusitées. Demarquette La liberté qui de ne créer figure un nouveaupas encore répertoire au dictionnaire. avec les Ilplus désigne grands la compositeursrencontre de notre temps.inédite De entre leur choeur parler… a cappellalibrement, et d’élaborer,violoncelle d’échangersolo, rencontre avec qui eux. a Et puis, de passerdonné du naissance rêve à la depuisréalité. 2013 De prendre à un répertoire la liberté nouveau, par caprice, comme voire seul égoïsme, un tempé de- s’approprier respectueusementrament aussi imaginatif des pageset débridé éternelles que celui de musiquesde Demarquette anciennes pouvait auxquelles concevoir. les Vinstrumentistes modernes n’ont traditionnellement pas accès. La liberté de ressentir cette «joie Vocello rare deest toucher né d’un de désir purs de joyaux liberté qui », brillent écrit-il. parfois « De la aux liberté confins de créerde la etgalaxie de susciter musicale. la création.De choisir De de créer nouveaux une formation textes à mettrenouvelle en réunissant musique, lede violoncelle nouveaux etthèmes, le chœur. de Lanouvelles liberté d’évoluerfantaisies aunées milieu de l’imaginationd’un monde inéditde chacun. de sonorités, Enfin, lad’échapper chance pour aux formationsun instrumentiste tradition de- nelles,tutoyer convenues, la liberté suprême et ainsi de qu’est faire surgirla voix, de l’instrument nouveaux liens intégré d’amitié, au corps d’inattendus humain, lapartages nature etmême. des combinaisons Cellule génératrice inusitées. de laLa musique, liberté de la créer voix échappeun nouveau au moindrerépertoire mécanisme avec les plus et surtoutgrands compositeursà la moindre datation. de notre La temps. voix, Dec’est leur l’universalité parler… librement, et l’universalité d’élaborer, c’est d’échanger la liberté de avec toucher eux. Ettout puis, un chacunde passer dans du l’espacerêve à la et réalité. dans leDe temps. prendre Vocello la liberté est partout caprice, ce voyage voire vers égoïsme, des terres de s’appropriervierges, des climatsrespectueusement nouveaux et des leurs pages fruits éternelles à goûter. de C’est musiques l’aventure anciennes permanente. auxquelles » les instrumentistes modernes n’ont traditionnellement pas accès. La liberté de ressentir cette joieUne rareaventure de toucher que Henri de pursDemarquette joyaux qui partage brillent depuis parfois l’origine aux confins avec Catherinede la galaxie Simonpietri musicale. Deet les choisir chanteurs de nouveaux de l’ensemble textes vocal à mettre Sequenza en musique, 9.3. C’est de ensemble nouveaux qu’ils thèmes, se sont de lancés nouvelles vers fantaisiesun nouveau nées style de concertant, l’imagination dans de le senschacun. de seEnfin, concerter la chance et non pour d’un un concerto instrumentiste classique. de 2 tutoyer la liberté suprême qu’est la voix, l’instrument intégré au corps humain, la nature3 même. Cellule génératrice de la musique, la voix échappe au moindre mécanisme et surtout à la moindre datation. La voix, c’est l’universalité et l’universalité c’est la liberté de toucher tout un chacun dans l’espace et dans le temps. Vocello est tout ce voyage vers des terres vierges, des climats nouveaux et leurs fruits à goûter. C’est l’aventure permanente. »

Une aventure que Henri Demarquette partage depuis l’origine avec Catherine Simonpietri et les chanteurs de l’ensemble vocal Sequenza 9.3. C’est ensemble qu’ils se sont lancés vers un nouveau style concertant, dans le sens de se concerter et non d’un concerto classique. 2 3 Le violoncelle, si souvent associé à la voix humaine, trouve ainsi un écrin des plus harmonieux 1. When I laid in earth le corps du mort dans le cercueil resté ouvert. entouré des voix dont sa tessiture parcourt tout l’ambitus. Il se fait parfois homme (basse), Henry Purcell Le chœur chante une fois le cercueil fermé et parfois femme (soprano), et toutes les nuances de gris. When I laid in earth, l’air de la mort de Didon, accompagne sa sortie de l’église. Le violon- Le projet s’est construit pas à pas, en passant commande aux plus grands compositeurs est extrait de l’opéra en trois actes Didon celle représente le Prêtre ou l’icône du Christ. d’aujourd’hui. Éric Tanguy, Philippe Hersant, Thierry Escaich, Justė Janulytė entre autres, et Enée composé par Henry Purcell (1659- Comme dans une tragédie grecque, chœur ont répondu présents et ont apporté leurs pierres précieuses à l’édification d’un répertoire 1695) vers l’âge de 25 ans d’après le Livre IV et prêtre se répondent… » La pièce peut être quasiment inédit. En effet, les doigts d’une seule main suffiraient presque à compter les de l’Enéide de Virgile. Il s’agit de la lamentation entendue comme le prolongement de la plage œuvres existant déjà pour violoncelle et chœur a cappella, Svyati, la pièce du britannique de Didon qui s’abandonne à la mort en voyant précédente : après le lamento de Didon, Svyati John Tavener écrite en 1995 étant l’une d’elles. En écho à la modernité, le projet s’est Enée partir à la conquête de l’Italie, transcrite est la cérémonie de sa mise en terre. Leconstruit violoncelle, en puisant si souvent librement associé son à lainspiration voix humaine, dans trouve les musiques ainsi un anciennes écrin des plusavec harmonieux des pièces 1.ici parWhen l’organiste I laid Françoisin earth Saint-Yves. Le rôle le corps du mort dans le cercueil resté ouvert. entouréde Henry des Purcell, voix dont Jean sa Ockeghem, tessiture parcourt Jacob Clemens tout l’ambitus. non papa, Il se Johnfait parfois Dowland... homme (basse), Henryde la voix Purcell est attribué au violoncelle solo, Le3. chœurDéploration chante une sur fois la le mort cercueil fermé et parfois femme (soprano), et toutes les nuances de gris. Whencelui de I laid l’orchestre in earth ,au l’air chœur de la mortqui compte de Didon, 12 accompagnede Gilles Binchois sa sortie de l’église. Le violon- LeDu projetprojet s’estexpérimenté construit au pas cours à pas, de ennombre passant de commande concerts est aux née plus la réalité grands de compositeurs cet enregis- estmembres. extrait Répétés de l’opéra une dizaineen trois de actes fois, les Didon mots celleJean représente Ockeghem le Prêtre ou l’icône du Christ. d’aujourd’hui.trement qui s’écoute Éric Tanguy, comme Philippe une histoire, Hersant, s’entend Thierry comme Escaich, un Just roman,ė Janulyt avecė sonentre incipit autres, et etRemember Enée composé Me sont commepar Henry une Purcell incantation (1659- au CommeLe compositeur dans une franco-flamand tragédie grecque, Jean chœur Ocke- ontson réponduexplicit. présents« Le disque et ont commence apporté leursavec pierresla mort précieuses de Didon àde l’édification Purcell et sed’un conclut répertoire par 1695)souvenir, vers au l’âge désir deéperdu 25 ans et insistantd’après dele Livrela reine IV etghem prêtre (vers se 1410-1497) répondent… a composé » La pièce ce peut planctus être quasimentune ouverture inédit. avec En Plonge effet, les de doigtsla lituanienne d’une seule Just ėmain Janulyt suffiraientė. Après presquePurcell, laà comptermort rôde les deDidon l’Enéide de laisser de Virgile. une trace Il s’agit sur de la laterre lamentation après sa entendue(déploration comme sur la le mortprolongement d’un grand de homme)la plage toujoursœuvres existant dans Svyati déjà, pourde Tavener, violoncelle dédié et àchœur la mémoire a cappella, de son Svyati ami John, la pièce Williams, du britannique puis dans demort Didon : ne pasqui s’abandonneêtre oubliée, pourà la mort vivre en à jamais.voyant précédenteà la mémoire : après du compositeur le lamento de Gilles Didon, Binchois Svyati Johnla déploration Tavener écritesur la enmort 1995 de Gillesétant l’uneBinchois d’elles. d’Ockeghem, En écho àhommage la modernité, d’un compositeurle projet s’est à Enée partir à la conquête de l’Italie, transcrite est(1400-1460). la cérémonie Les dedeux sa textesmise en s’interpénètrent, terre. construitun de ses en pairs. puisant Elle librementdevient pathétique, son inspiration insupportable, dans les musiques avec les anciennes larmes de avec Marie des pleurant pièces ici2. parSvyati l’organiste François Saint-Yves. Le rôle la chanson profane d’un anonyme Mort tu as deson Henry fils dansPurcell, le Stabat Jean Ockeghem,Mater d’Éric Jacob Tanguy Clemens écrit sur non un papa, poème John de Dowland... Philippe Le Guillou. deJohn la voixTavener est attribué au violoncelle solo, 3.navré Déploration de ton dart etsur le textela mort sacré Miserere, Si les larmes coulent encore dans le Flow My Tears de Dowland, la mort a quitté la scène : celuiSvyati de (saint l’orchestre, en français) au chœur du compositeur qui compte bri 12- desont Gilles chantés, Binchois dans la version originale, par Duce sontprojet les expérimenté larmes d’une au détresse cours de implacable nombre de qui concerts emprisonne est née telles la réalitéles serres de cetd’un enregis aigle. - membres.tannique John Répétés Tavener une dizaine(1944-2013) de fois, est les sur mots ce Jeanquatre Ockeghem voix d’hommes. Aucune transforma- trementPlongé au qui début s’écoute dans commel’obscurité, une Night’shistoire, Birds s’entend de Thierry comme Escaich un roman, marque avec une son progression incipit et Rememberdisque l’unique Me sontpièce comme contemporaine une incantation pour vio au- Letion compositeur de la partition franco-flamand n’a été apportée. Jean « Il s’agitOcke- sonvers explicitla vie et. s’éclaire« Le disque peu commence à peu pour avecfinir ladans mort la lumière.de Didon Jacob de Purcell Clemens et senon conclut papa nouspar souvenir,loncelle etau chœurdésir éperdu a cappella et insistant qui n’a de pas la reine été ghemd’une (versmusique 1410-1497) polyphonique. a composé Nous ce planctus avons unerappelle ouverture à l’ordre avec de Plongela réalité de avec la lituanienne une Prière Justdevantė Janulyt le repasė. Après très profane Purcell, : illa faut mort nourrir rôde Didoncréée surde laissercommande. une trace Tavener sur la terrecommença après sa à (déplorationconfié une des sur quatre la mort voix d’un au violoncelle,grand homme) celle toujoursson corps dans pour Svyati vivre., deMétamorphoses Tavener, dédié deà la Philippe mémoire Hersant, de son dontami John les textes Williams, ont puisété écrits dans mortl’écrire : ne en pas1995 être alors oubliée, qu’il apprenait pour vivre que à jamais.le père àqui la «mémoire chante » duMort compositeur tu as navré Gilles de ton Binchois dart, lapar déploration des détenus, sur raconte la mort lade liberté, Gilles Binchoiscontre l’enfermement, d’Ockeghem, hommagele jour, contre d’un la compositeur nuit. Avec laà de sa meilleure amie et éditrice est en train de (1400-1460).superposé au Les Miserere deux textes chanté s’interpénètrent, par les trois unpièce de deses Just pairs.ė Janulyt Elle devientė on plonge pathétique, dans insupportable,l’au-delà, l’intemporel avec les : larmesnous voici de Mariedans l’apesan pleurant- 2.mourir. Svyati « Je décidais alors de dédier Svyati à sa lavoix chanson d’hommes. profane Le mariaged’un anonyme entre motsMort sacrés tu as teur,son fils parvenu dans aule Stabatbout de Mater ce chemin d’Éric initiatique Tanguy écrit qui noussur un a menéspoème de de l’ombre Philippe à laLe lumière. Guillou. » Johnmémoire. Tavener Le texte en slavon liturgique est utilisé navréet profanes, de ton l’intégration dart et le texte du sacré sacré dans Miserere, la vie Si les larmes coulent encore dans le Flow My Tears de Dowland, la mort a quitté la scène : Svyatilors des (saint services, en français)funèbres du orthodoxes compositeur russes bri- sontquotidienne, chantés, sont dans ici latout version à fait originale,remarquables. par ce sont les larmes d’une détresse implacable qui emprisonne telles les serres d’un aigle. tanniqueau cours desquelsJohn Tavener la congrégation (1944-2013) embrasseest sur ce quatreAinsi que voix son d’hommes. sujet même, Aucune la mort transforma et la trans- Plongé4 au début dans l’obscurité, Night’s Birds de Thierry Escaich marque une progression disque l’unique pièce contemporaine pour vio- tion de la partition n’a été apportée. « Il s’agit5 vers la vie et s’éclaire peu à peu pour finir dans la lumière. Jacob Clemens non papa nous loncelle et chœur a cappella qui n’a pas été d’une musique polyphonique. Nous avons rappelle à l’ordre de la réalité avec une Prière devant le repas très profane : il faut nourrir créée sur commande. Tavener commença à confié une des quatre voix au violoncelle, celle son corps pour vivre. Métamorphoses de Philippe Hersant, dont les textes ont été écrits l’écrire en 1995 alors qu’il apprenait que le père qui « chante » Mort tu as navré de ton dart, par des détenus, raconte la liberté, contre l’enfermement, le jour, contre la nuit. Avec la de sa meilleure amie et éditrice est en train de superposé au Miserere chanté par les trois pièce de Justė Janulytė on plonge dans l’au-delà, l’intemporel : nous voici dans l’apesan- mourir. « Je décidais alors de dédier Svyati à sa voix d’hommes. Le mariage entre mots sacrés teur, parvenu au bout de ce chemin initiatique qui nous a menés de l’ombre à la lumière. » mémoire. Le texte en slavon liturgique est utilisé et profanes, l’intégration du sacré dans la vie lors des services funèbres orthodoxes russes quotidienne, sont ici tout à fait remarquables. au cours desquels la congrégation embrasse Ainsi que son sujet même, la mort et la trans- 4 5 mission : en rendant hommage à un de ses pairs, 5. Flow My Tears guide son évolution formelle, indique le com- du disque. Nous revenons à des réalités simples Ockeghem, d’une certaine façon, poursuit son John Dowland positeur. À plusieurs reprises, la rythmique plus de la vie, le repas, la nourriture ». œuvre. C’est ce passage de témoin qui donne John Dowland (1563 - 1626), contemporain légère, ternaire et syncopée de la seconde la valeur de la pièce. » de Shakespeare et célèbre luthiste, compose chanson (évoquant ce monde des passions et 8. Métamorphoses quantité de chansons qui sont autant de chefs des luttes encore possibles) tente de s’imposer Philippe Hersant 4. Stabat Mater d’œuvre en miniature, dont Flow My Tears comme une sorte de souvenir à peine déformé Commandée à Philippe Hersant par le Fes- Éric Tanguy (Coulez mes larmes) écrit pour luth et une voix. de la version initiale de Dowland, mais à chaque tival Ombres et Lumières, cette œuvre est née Il s’agit à nouveau de transmission, d’hommage La pièce a été transcrite pour violoncelle et trois fois c’est pour mieux retomber dans l’univers d’un travail avec les détenus de la Centrale d’un compositeur à un autre dans la pièce d’Éric voix, dont deux hommes et une femme, par l’or- glaçant et sans espoir de Flow My Tears. Seule de Clairvaux. Au cours des ateliers d’écriture missionTanguy :: en c’est rendant en souvenir hommage du à unStabat de ses Mater pairs, 5.ganiste Flow François My TearsSaint-Yves. Parfois le violoncelle guidela fin laisseson évolution apparaitre formelle, une sorte indique de lesérénité com- dumenés disque. par Nous Anne-Marie revenons Sallé, à des ils réalités ont écrit simples des Ockeghem,de Vivaldi entendu d’une certaine enfant façon,et qui poursuitest pour son lui Johnchante Dowlandla mélodie comme une soprano, parfois positeur.mêlée d’abandon À plusieurs comme reprises, un lachant rythmique venu d’au- plus depoèmes la vie, surle repas, la Métamorphose, la nourriture ». thème choisi œuvre.une des C’est plus bellesce passage œuvres de existantes témoin qui que donne Éric Johnil orne Dowland comme les (1563 diminutions - 1626), d’un contemporain luthiste du légère,delà des ternaire enfers. Leet violoncelle,syncopée deaprès la secondeavoir été comme fil conducteur, avec en exergue, une e laTanguy valeur a desouhaité la pièce. écrire » un Stabat Mater. Des- de16 Shakespearesiècle. « Dans et l’enchaînement célèbre luthiste, des compose pièces, chansonsouvent intégré(évoquant au discours ce monde vocal, des ou passions avoir riva et- 8.phrase Métamorphoses d’Octavio Paz : « toute œuvre d’art est tinée à 12 chanteurs et un violoncelle, la pièce quantitéces larmes de représentent chansons qui pour sont moiautant celles de chefsde la deslisé avecluttes les encore voix dans possibles) l’aspect tente déclamatoire de s’imposer (tel Philippeune possibilité Hersant permanente de métamorphose 4.a été Stabat composée Mater sur un poème de Philippe Le d’œuvreVierge, même en miniature, si le texte dont du poème Flow My n’est Tears pas commeun double une chœur) sorte oude encoresouvenir après à peine avoir déformé servi de Commandéeofferte à tous àles Philippe hommes Hersant ». « Qu’ils par décrivent le Fes- ÉricGuillou Tanguy écrit à son intention, et dans la langue (Coulezchrétien. mes Il n’y larmes) a plus écrit d’espoir, pour luthc’est et la une victoire voix. debase la versionrythmique initiale à l’ensemble, de Dowland, clôt mais la pièce à chaque par tivalleur universOmbres carcéral et Lumières, sans espoir cette ou œuvre qu’ils esttentent née Ild’aujourd’hui. s’agit à nouveau « Ce de qui transmission, m’a passionné, d’hommage c’est de Lades pièce ténèbres. a été »transcrite pour violoncelle et trois foisun chant c’est éthérépour mieux et lent, retomber comme unedans lueur l’univers dans d’unde s’en travail évader avec par lesle rêve, détenus les détenus de la Centrale ont tous trouverd’un compositeur le point de à uncontact autre entredans lale pièce violoncelle d’Éric voix, dont deux hommes et une femme, par l’or- glaçantce nocturne et sans tourmenté. espoir de » Flow My Tears. Seule deécrit, Clairvaux. à mon sens, Au coursdes textes des ateliers forts, explique d’écriture le etTanguy le chœur, : c’est la difficultéen souvenir étant du queStabat le chœur Mater dit ganiste6. Night’s François Birds Saint-Yves. Parfois le violoncelle la fin laisse apparaitre une sorte de sérénité menéscompositeur. par Anne-Marie Pour les mettre Sallé, enils ontmusique, écrit desj’ai deun texte,Vivaldi alors entendu que enfantle violoncelle et qui estn’en pour a pas. lui chanteThierry la mélodieEscaich comme une soprano, parfois mêlée7. Ô Souverain,d’abandon comme Pasteur un chant et venuMaistre d’au- poèmesessayé de sur trouver la Métamorphose, une expression thème directe choisi et uneLe violoncelle des plus belles doit œuvresentrer enexistantes résonance que avec Éric ilÉcrite orne pourcomme douze les diminutionsvoix et violoncelle, d’un luthiste l’œuvre du delàJacob des Clemens enfers. Le violoncelle, non Papa après avoir été commeimmédiate, fil d’atteindreconducteur, à uneavec sorte en exergue,de simplicité une Tanguyle contenu a souhaité émotionnel écrire du un poème Stabat sansMater donner. Des- 16dee Thierrysiècle. «Escaich, Dans l’enchaînement organiste, compositeur des pièces, et Jacobsouvent Clemens intégré aunon discours papa (1510 vocal, ?ou – avoir1555) riva est- phraseconcise, d’Octavio sans fioritures Paz : « nitoute digressions. œuvre d’art Tout est en tinéel’impression à 12 chanteurs d’ânonner et un violoncelle,texte qu’il nela piècedirait cesimprovisateur, larmes représentent forme un pour fort moicontraste celles deavec la unlisé compositeuravec les voix dansfranco-flamand l’aspect déclamatoire dont l’œuvre, (tel unerespectant possibilité la sensibilité permanente de dechacun, métamorphose j’ai voulu apas été », composéeexplique Eric sur Tanguy. un poème Pour de Henri Philippe Demar Le- Vierge,la précédente, même sibien le textequ’elle du s’inspire poème enn’est partie pas autantun double sacrée chœur) que ou profane, encore après a été avoir prolifique. servi de offertedonner àà tousces Métamorphosesles hommes ». « Qu’ils une forme décrivent uni- Guillouquette, écrit« le degré à son d’intelligenceintention, et dans entre la le langue texte chrétien.de la même Il n’y chanson a plus d’espoir,de John Dowland,c’est la victoire Flow Prièrebase rythmique devant leà l’ensemble,repas mêle clôt sacré la pièce et pro par- leurfiée :univers les poèmes carcéral s’enchaînent sans espoir sans ou qu’ilsinterruption, tentent d’aujourd’hui.et la musique «provoque Ce qui m’a une passionné, émotion c’estextraor de- desMy Tearsténèbres.. Très » énergique, elle marque le pre- faneun chant en évoquant éthéré et lalent, nourriture comme du une corps, lueur mais,dans decomme s’en évaderun cycle par de le variations. rêve, les détenus Ils sont ontunis tous à la trouverdinaire. leL’œuvre point dese contacttrouve auentre cœur le violoncelledu disque mier pas vers la lumière. « Night’s Birds prend avecce nocturne un appétit tourmenté. « ordonné » », anti-rabelaisien écrit,fois par à monla présence sens, des d’un textes petit forts, motif explique musical enle et aule chœur,cœur de la ladifficulté douleur :étant celle qued’une le mèrechœur qui dit 6.son Night’s inspiration Birds dans deux chansons de John d’une certaine façon. Écrite pour quatre voix, la compositeur.perpétuelle métamorphose Pour les mettre et en par musique, la présence j’ai unperd texte, son enfant.alors que » le violoncelle n’en a pas. ThierryDowland :Escaich Flow My Tears et Can You Excuse pièce7. Ô estSouverain, interprétée iciPasteur par trois chanteurset Maistre et le essayédu violoncelle, de trouver personnage une expression à part entière directe qui et Le violoncelle doit entrer en résonance avec ÉcriteMy Wrongs pour douzemais c’est voix avant et violoncelle, tout l’atmosphère l’œuvre violoncelleJacob Clemens qui fait la quatrièmenon Papa voix. Pour Henri immédiate,assume le rôled’atteindre de fil àconducteur une sorte ».de La simplicité liberté le contenu émotionnel du poème sans donner desombre Thierry et désespéréeEscaich, organiste, du premier compositeur poème qui et JacobDemarquette, Clemens « c’estnon papale moment (1510 le? –plus 1555) apaisé est concise,contre l’enfermement, sans fioritures leni jourdigressions. contre laTout nuit, en l’impression6 d’ânonner un texte qu’il ne dirait improvisateur, forme un fort contraste avec un compositeur franco-flamand dont l’œuvre, respectant la sensibilité de chacun, j’ai voulu7 pas », explique Eric Tanguy. Pour Henri Demar- la précédente, bien qu’elle s’inspire en partie autant sacrée que profane, a été prolifique. donner à ces Métamorphoses une forme uni- quette, « le degré d’intelligence entre le texte de la même chanson de John Dowland, Flow Prière devant le repas mêle sacré et pro- fiée : les poèmes s’enchaînent sans interruption, et la musique provoque une émotion extraor- My Tears. Très énergique, elle marque le pre- fane en évoquant la nourriture du corps, mais, comme un cycle de variations. Ils sont unis à la dinaire. L’œuvre se trouve au cœur du disque mier pas vers la lumière. « Night’s Birds prend avec un appétit « ordonné », anti-rabelaisien fois par la présence d’un petit motif musical en et au cœur de la douleur : celle d’une mère qui son inspiration dans deux chansons de John d’une certaine façon. Écrite pour quatre voix, la perpétuelle métamorphose et par la présence perd son enfant. » Dowland : Flow My Tears et Can You Excuse pièce est interprétée ici par trois chanteurs et le du violoncelle, personnage à part entière qui My Wrongs mais c’est avant tout l’atmosphère violoncelle qui fait la quatrième voix. Pour Henri assume le rôle de fil conducteur ». La liberté sombre et désespérée du premier poème qui Demarquette, « c’est le moment le plus apaisé contre l’enfermement, le jour contre la nuit, 6 7 avec Métamorphoses, pièce spectaculaire et violoncelle et les voix ne font qu’un. On flotte démonstrative, se poursuit le voyage vers la dans l’apesanteur, on plonge dans l’infini. Il n’y a lumière. rien, mais c’est là. »

9. Plonge Nathalie Krafft ocello… A contraction of ‘voce’ and ‘cello’, vocello is a word invented by Henri Justė Janulytė Demarquette, which is not yet to be found in the dictionary. It designates the Extraits du poème « L’avertisseur » (Les Fleurs unprecedented encounter of an a cappella chorus and solo cello, an encounter du Mal), les vers de Baudelaire « Plonge tes that, since 2013, has given rise to a new repertoire, as only a temperament as yeux dans les yeux fixes/Des Satyresses ou des imaginative and unbridled as Henri Demarquette’s could conceive. ‘Vocello avecNixes… Métamorphoses », donnent leur nom, pièce à l’œuvre spectaculaire de la com et- violoncelle et les voix ne font qu’un. On flotte was born from a desire for freedom,’ he writes. démonstrative,positrice lituanienne se poursuit Justė Janulyt le voyageė. « Plonge vers la, dans l’apesanteur, on plonge dans l’infini. Il n’y a qui explore le lien entre le temps et l’espace, V ‘From the freedom to create and prompt creation. To create a new ensemble bringing lumière. rien, mais c’est là. » s’inspire de la métaphore mystique des lignes de together cello and chorus. The freedom to evolve in the midst of a world of original sonori- 9.la poésie Plonge de Baudelaire, créant une sensation de Nathalie Krafft ties, to escape fromocello traditional,… A contraction conventional of ‘voce forces,’ and ‘cello and’, thereby vocello bringis a word about invented new bonds by Henri of Justprofondeurė Janulyt et un ėétat de stase » dit-elle. friendship, unexpectedDemarquette, sharings which and unusualis not yet combinations. to be found in theThe dictionary. freedom to It designatescreate a new the ExtraitsLa partition du poème est écrite « L’avertisseur « comme deux » (Les couches Fleurs repertoire with theunprecedented greatest composers encounter of our of an time. a cappella To talk chorus with them… and solo freely, cello, toan elaborate encounter dudistinctes Mal), quiles nevers sont de pas Baudelaire conçues comme « Plonge oppo tes- and converse withthat, them. since And 2013, then, has to given go from rise dream to a new to repertoire,reality. as only a temperament as yeuxsées, dansmais plutôtles yeux comme fixes/Des deux niveauxSatyresses différents ou des imaginative and unbridled as Henri Demarquette’s could conceive. ‘Vocello Nixes…de concentration », donnent sonore leur nom et de à densitél’œuvre dede texture,la com- To take freedom outwas of born capriciousness, from a desire or for even freedom,’ egoism, he to writes. respectfully appropriate eternal positricecomme le lituanienne son et sa résonanceJustė Janulyt ouė comme. « Plonge les, pieces of early music to which modern instrumentalists traditionally do not have access. The quideux explore côtés dele lienla lune entre — leilluminée temps etet l’espace,invisible. V freedom‘From the to feelfreedom this rare to create joy of touchingand prompt pure creation. gems that To sometimes create a new gleam ensemble in the far bringing reaches s’inspireAlternées de au la départ,métaphore ces mystique couches des— le lignes violon de- togetherof the musical cello andgalaxy. chorus. To choose The freedom new texts to toevolve set to in music, the midst new ofthemes, a world new of original fantasies sonori born- lacelle poésie avec de son Baudelaire, grand registre créant plein une de sensation différentes de ties,of the to imagination escape from of traditional, each one. Finally,conventional the chance forces, for and an thereby instrumentalist bring about to be new on bonds familiar of profondeurcouleurs et etl’ensemble un état de vocal stase de » dit-elle. douze timbres friendship,terms with theunexpected supreme freedomsharings thatand isunusual the voice, combinations. the instrument The integrated freedom tointo create the human a new Launiques partition — se est fondent écrite progressivement « comme deux l’uncouches dans repertoirebody, Nature with itself. the greatestThe generating composers cell ofof music,our time. the To voice talk escapes with them… the slightest freely, tomechanism elaborate distinctesl’autre jusqu’à qui ne atteindre sont pas conçuesun amalgame comme total oppo ».- and especially,converse with the them.slightest And dating. then, Theto go voice from is dream universality, to reality. and universality is the freedom sées,Henri maisDemarquette plutôt comme qualifie deux Plonge niveaux de «différents musique to touch everyone in space and in time. Vocello is this whole journey to virgin lands, new de concentrationl’au-delà. Elle sonorecrée une et deimpression densité de forte texture, sans Toclimates take freedom and their out fruits of capriciousness, to be tasted. It isor the even continuous egoism, to adventure.’ respectfully appropriate eternal commese rattacher le son à quelqueet sa résonance chose de ou connu. comme Peut- les piecesSince the of early beginning, music to Henri which Demarquette modern instrumentalists has been sharing traditionally this adventure do not have with access. Catherine The deuxêtre à côtés Nuages de ,la de lune Debussy. — illuminée Les deux et invisible.chœurs, freedomSimonpietri to feel and this the rare singers joy of touchingthe Sequenza pure 9.3 gems vocal that ensemble, sometimes and gleam it is together in the far that reaches they Alternéesséparés, se au renvoient départ, cesles massescouches sonores, — le violon et le- ofembarked the musical on a galaxy.new concertant To choose style, new in texts the sense to set ofto concerting music, new and themes, not of new a classic fantasies concerto born. celle8 avec son grand registre plein de différentes of the imagination of each one. Finally, the chance for an instrumentalist to be on familiar9 couleurs et l’ensemble vocal de douze timbres terms with the supreme freedom that is the voice, the instrument integrated into the human uniques — se fondent progressivement l’un dans body, Nature itself. The generating cell of music, the voice escapes the slightest mechanism l’autre jusqu’à atteindre un amalgame total ». and especially, the slightest dating. The voice is universality, and universality is the freedom Henri Demarquette qualifie Plonge de « musique to touch everyone in space and in time. Vocello is this whole journey to virgin lands, new de l’au-delà. Elle crée une impression forte sans climates and their fruits to be tasted. It is the continuous adventure.’ se rattacher à quelque chose de connu. Peut- Since the beginning, Henri Demarquette has been sharing this adventure with Catherine être à Nuages, de Debussy. Les deux chœurs, Simonpietri and the singers of the Sequenza 9.3 vocal ensemble, and it is together that they séparés, se renvoient les masses sonores, et le embarked on a new concertant style, in the sense of concerting and not of a classic concerto. 8 9 The cello, so often associated with the human voice, thus finds an extremely harmonious 1. When I laid in earth which has remained open. The choir sings once setting, surrounded by voices whose tessitura covers the entire compass. It is sometimes Henry Purcell the coffin has been closed and accompanies it male (bass), sometimes female (soprano), and all the grey nuances. New fruits to taste, When I laid in earth is the refrain from Dido’s leaving the church. The cello represents the I’m telling you. death aria, ‘When I am laid in earth’, from the Priest or the icon of Christ. As in a Greek tragedy, The project was put together step by step, by commissioning pieces for chorus and solo cello three-act opera Dido and Aeneas, composed chorus and priest answer each other…’ The piece from today’s leading composers. Eric Tanguy, Philippe Hersant, Thierry Escaich, and Justė by Henry Purcell (1659-1695) around the age of can be heard as the prolongation of the previous Janulytė in particular responded positively, contributing their precious stones to building a 25 and based on Book IV of Virgil’s Aeneid. This track: after Dido’s lamento, Svyati is the burial repertoire that was practically unheard-of. Indeed, the number of works already existing for is the lamentation of Dido who, seeing Aeneas ceremony. cello and a cappella chorus could be counted on the fingers of a single hand. One of those setting off to conquer Italy, chooses death. Tran- Therare cello,works so was often Svyati associated, written with by the the Englishman human voice, John thus Tavener finds (trackan extremely 2) in 1995. harmonious Echoing 1.scribed When here I laidby organist in earth François Saint-Yves, the which3. Déploration has remained open.sur la The mort choir sings once setting,modernity, surrounded the project by was voices also whose built by tessitura drawing covers freely onthe inspiration entire compass. in early It music is sometimes through Henryrole of the Purcell voice is attributed to the solo cello, thede Gillescoffin Binchoishas been closed and accompanies it malearrangements (bass), sometimes for cello and female a cappella (soprano), chorus and of allpieces the by,grey amongst nuances. others, New Henryfruits to Purcell, taste, Whenthat of Ithe laid orchestra in earth tois the chorus,refrain fromwhich Dido’s num- leavingJohannes the church.Ockeghem The cello represents the I’mJohannes telling Ockeghem, you. Jacobus Clemens non Papa, and John Dowland. deathbers 12 aria, voices. ‘When Repeated I am laid a indozen earth’, times, from thethe PriestThe Franco-Flemishor the icon of Christ. composer As in a Greek Johannes tragedy, TheFrom project the project was put tried together out in step the bycourse step, of by numerous commissioning concerts pieces was for born chorus the realityand solo of cello this three-actwords ‘Remember opera Dido me’ andare like Aeneas an incantation, composed to chorusOckeghem and (c.1410-1497) priest answer composed each other…’ this The planctus piece fromrecording, today’s which leading can composers. be listened Eric to like Tanguy, a story, Philippe intended Hersant, like a Thierrynovel, with Escaich, its incipit and Justė and bymemory, Henry Purcellto Queen (1659-1695) Dido’s distraught, around the insistent age of can(lament be heard on the as death the prolongation of a great man) of inthe memory previous of Janulytėexplicit. ‘Thein particular disc begins responded with Purcell’s positively, death contributing of Dido and endstheir with precious an opening, stones to with building Plonge a, 25wish and to based leave ona trace Book on IV earth of Virgil’s after Aeneidher death:. This to track:the composer after Dido’s Gilles lamento Binchois, Svyati (1400-1460). is the burial The repertoireby the Lithuanian that was Justė practically Janulytė,’ unheard-of. relates Henri Indeed, Demarquette, the number storyteller of works already in notes. existing ‘After Pur for- isnot the be lamentation forgot, to live of forever. Dido who, seeing Aeneas ceremony.two texts that interpenetrate - the secular song cellocell, death and a still cappella roams chorus in Tavener’s could beSvyati counted, dedicated on the tofingers the memory of a single of his hand. friend, One publisher of those setting off to conquer Italy, chooses death. Tran- Mort tu as navré by an anonymous composer, rareJohn works Williams, was Svyatithen in, Ockeghem’swritten by the Déploration Englishman sur John la mortTavener de Gilles(track Binchois2) in 1995., aEchoing tribute scribed2. Svyati here by organist François Saint-Yves, the 3.and Déploration the sacred text Miserere sur la mort- are sung by four modernity,from one composer the project to one was of also his built peers. by It drawing becomes freely pathetic, on inspiration unbearable, in early with musicMary weepingthrough roleJohn of Tavenerthe voice is attributed to the solo cello, demen’s Gilles voices Binchoisin the original version. There has been arrangementsfor her son in Eric for celloTanguy’s and aStabat cappella Mater chorus, on aof poem pieces by by, Philippe amongst Le others,Guillou. Henry Although Purcell, the thatSvyati of (‘thesaint orchestra’ in English) to the by chorus,the British which composer num- Johannesno alteration Ockeghemin the Vocello version for cello and Johannestears are still Ockeghem, flowing Jacobusin Dowland’s Clemens Flow non My Papa, Tears and, death John has Dowland. left the scene: these are tears bersJohn Tavener12 voices. (1944-2013), Repeated is a the dozen only times, contempo the- Thechorus. Franco-Flemish ‘This is polyphonic composer music. We Johannes have just Fromof implacable the project distress, tried grippingout in the like course an eagle’s of numerous talons. concerts was born the reality of this wordsrary piece ‘Remember for cello meand’ area cappella like an incantationchorus on this to Ockeghementrusted one (c.1410-1497) of the four composed parts to the this cello,’ planctus indi- recording, which can be listened to like a story, intended like a novel, with its incipit and memory,programme to Queenthat was Dido’s not premiered distraught, by insistent Vocello. (lamentcates Henri on the Demarquette. death of a great ‘The man) voice in devolving memory ofto explicitPlunged. ‘Theat the disc beginning begins with in darkness, Purcell’s Thierry death of Escaich’s Dido and Night’sends with Birds an opening, marks a withprogression Plonge, wishTavener to leave began a tracewriting on it earth in 1995 after when her hedeath: learnt to the cellocomposer is the Gillesone that Binchois «sings» (1400-1460). Mort tu as navré The, bytowards the Lithuanian life and gradually Justė Janulytė,’ brightens, relates ending Henri in Demarquette,light. Jacobus Clemensstoryteller non in notes.Papa calls ‘After reality Pur- notthat be the forgot, father to of live his forever. publisher and best friend, twosuperimposed texts that oninterpenetrate the Miserere ,- sungthe secular by the three song cell,back death to order still with roams a very in Tavener’ssecular Prayer Svyati before, dedicated the Meal to the: one memory must feed of his the friend, body in publisher order to Jane Williams, was dying. ‘I decided at the time Mortmen’s tuvoices. as navré The marriage by an anonymous of sacred and composer, profane Johnlive. PhilippeWilliams, Hersant’s then in Ockeghem’s Métamorphoses Déploration, on texts surwritten la mort by prisoners, de Gilles Binchois is freedom, a againsttribute 2.to dedicateSvyati Svyati to his memory. The text, in andwords, the and sacred the integration text Miserere here - areof the sung sacred by four into fromconfinement, one composer day against to one ofnight. his peers. With ItJustė becomes Janulytė’s pathetic, piece, unbearable, wePlunge into with the Mary beyond, weeping the Johnliturgical Tavener Slavonic, is used at Russian Orthodox men’sdaily life, voices are in quite the original remarkable. version. As Thereis its very has subbeen- timeless:for her son here in Eric we are Tanguy’s in a state Stabat of weightlessness, Mater, on a poem having by arrivedPhilippe at Le the Guillou. end of thisAlthough initiatory the Svyatifuneral (‘ servicessaint’ in English)during which by the the British congregation composer noject, alteration to wit, death in the and Vocello transmission: version for by cello paying and journeytears are that still has flowing led us in from Dowland’s shadow Flow to light.’ My Tears , death has left the scene: these are tears Johnembraces Tavener the (1944-2013),body of the deceased is the only in contempo the coffin,- chorus.homage ‘Thisto one is of polyphonic his peers, Ockeghem music. We is, have in a justcer- 10of implacable distress, gripping like an eagle’s talons. rary piece for cello and a cappella chorus on this entrusted one of the four parts to the cello,’ indi11- programme that was not premiered by Vocello. cates Henri Demarquette. ‘The voice devolving to Plunged at the beginning in darkness, Thierry Escaich’s Night’s Birds marks a progression Tavener began writing it in 1995 when he learnt the cello is the one that «sings» Mort tu as navré, towards life and gradually brightens, ending in light. Jacobus Clemens non Papa calls reality that the father of his publisher and best friend, superimposed on the Miserere, sung by the three back to order with a very secular Prayer before the Meal: one must feed the body in order to Jane Williams, was dying. ‘I decided at the time men’s voices. The marriage of sacred and profane live. Philippe Hersant’s Métamorphoses, on texts written by prisoners, is freedom against to dedicate Svyati to his memory. The text, in words, and the integration here of the sacred into confinement, day against night. With Justė Janulytė’s piece, wePlunge into the beyond, the liturgical Slavonic, is used at Russian Orthodox daily life, are quite remarkable. As is its very sub- timeless: here we are in a state of weightlessness, having arrived at the end of this initiatory funeral services during which the congregation ject, to wit, death and transmission: by paying journey that has led us from shadow to light.’ embraces the body of the deceased in the coffin, homage to one of his peers, Ockeghem is, in a cer- 10 11 tain way, continuing the former’s work. It is this quantity of songs that are so many miniature distorted reminiscence of Dowland’s initial ver- Ombres et lumières Festival, this work came passage of witness that gives the piece its worth.’ masterpieces, including ‘Flow my tears’, written sion, but each time it is to better fall back into the about from working with inmates at Clairvaux for lute and solo voice. The piece was transcribed icy, hopeless universe of ‘Flow My Tears’. Only Prison. During writing workshops led by Anne- 4. Stabat Mater for cello and three voices (two male, one female) the ending gives a glimpse of a kind of serenity Marie Sallé, they wrote poems about Metamor- Éric Tanguy by the organist François Saint-Yves. ‘Sometimes mixed with abandon like a song from beyond phosis, a theme chosen as narrative thread with There is again a matter of transmission, the the cello sings the melody like a soprano, some- Hades. The cello, after having often been inte- an highlighted phrase by Octavio Paz : “Every homage of one composer to another, in Eric Tan- times it ornaments like the diminutions of a grated into the vocal discourse or having vied work of art is a permanent possibility of meta- guy’s piece. It is in memory of Vivaldi’s Stabat 16th-century lutenist,’ notes Henri Demarquette. with the voices in the declamatory aspect (like morphosis offered to all of mankind. Whether Mater, which he heard as a child and, for him, ‘In the succession of pieces, for me, these tears a double chorus) or else after having served as a they describe their hopeless prison universe tainis one way, of the continuing most beautiful the former’s works work. there It is, is that this quantityrepresent of those songs of thatthe Virgin,are so manyeven though miniature the distortedrhythmic reminiscencebase for the ensemble, of Dowland’s closes initial the piece ver- Ombresor attempt et tolumières escape throughFestival, dreaming, this work camein my passageEric Tanguy of witness wanted that to gives write the a pieceStabat its worth.’Mater. masterpieces,text of the poem including is not ‘Christian.Flow my tears There’, w rittenis no sion,with abut slow, each ethereal time it melody,is to better like fall a gleam back into of light the aboutopinion, from the working prisoners with all wroteinmates powerful at Clairvaux texts” Intended for 12 singers and cello, the piece was formore lute hope; and soloit is thevoice victory. The piece of darkness.’ was transcribed icy,in this hopeless tormented universe nocturne.’ of ‘Flow My Tears’. Only Prison., stated Duringthe composer. writing workshops“To set them led to by music, Anne- 4.composed Stabat on Mater a poem by Philippe Le Guillou, for cello and three voices (two male, one female) the ending gives a glimpse of a kind of serenity MarieI tried Sallé,to find they a direct,wrote poemsimmediate about expres Metamor sion,- Éricwritten Tanguy for him in the language of today. ‘What 6.by theNight’s organist Birds François Saint-Yves. ‘Sometimes mixed7. Ô Souverain, with abandon Pasteurlike a song et from Maistre beyond phosis,to achieve a theme a sort chosen of concise as narrative simplicity, thread unem with- Therefascinated is again me was a matter to find of thetransmission, point of contact the Thierrythe cello sings Escaich the melody like a soprano, some- JacobusHades. The Clemens cello, after non having Papa often been inte- anbellished highlighted and phrase without by digressions.Octavio Paz : Whilst“Every homagebetween of the one cello composer and the to chorus, another, the in difficulty Eric Tan- timesWritten it ornaments for 12 voices, like thethe workdiminutions by Thierry of a gratedJacobus into Clemens the vocal non discourse Papa (1510?–1555) or having was vied a workrespecting of art theis a sensibilitypermanent of possibility each, I wanted of meta to- guy’sbeing piece.that the It ischorus in memory sings aof text, Vivaldi’s whereas Stabat the 16Escaich,th-century organist, lutenist,’ composer notes Henri and Demarquette. improviser, withFranco-Flemish the voices in composer the declamatory whose work, aspect sacred (like morphosisgive these Métamorphosesoffered to all of a mankind.unified form:Whether the Matercello has, which none,’ he indicates heard as Eric a child Tanguy. and, ‘The for him, cello ‘Inmakes the forsuccession a powerful of pieces,contrast for with me, the these previous tears aand double profane chorus) alike, or else was after prolific. having The served Prayer as a theypoems describe follow one their another hopeless without prison interruption, universe ismust one echo of the the most emotional beautiful content works thereof the is, poem that representwork, even those though of itthe takes Virgin, its inspiration even though in part the rhythmicbefore the base Meal for is the a gem ensemble, that we closes discovered,’ the piece orlike attempt a cycle ofto variations. escape through They are dreaming, united by in both my Ericwithout Tanguy giving wanted the impression to write a ofStabat mumbling Mater a. textfrom of the the same poem song is bynot John Christian. Dowland, There ‘Flow is Myno withemphasises a slow, etherealHenri Demarquette. melody, like ‘Ita gleam mixes of sacred light opinion,the pres encethe prisoners of a small all musicalwrote powerful motif in texts” per- Intendedtext that it for could 12 singers not pronounce’. and cello, ‘The the piecedegree was of moreTears’. hope; Quite it isenergetic, the victory it ofmarks darkness.’ the first step inand this profane tormented by evoking nocturne.’ food for the body but ,petual stated meta the composer. morphosis “To and setby thethem presence to music, of composedintelligence on between a poem the by text Philippe and the Le music Guillou, pro- towards the light. ‘Night’s Birds takes its inspi- with an «orderly» appetite: anti-Rabelaisian in Ithe tried cello, to finda full-fledged a direct, immediate character, expreswhich sion,takes writtenvokes an for extraordinary him in the language emotion,’ of Henri today. Demar ‘What- 6.ration Night’s from two Birds songs by John Dowland: ‘Flow 7.a way.’ Ô Souverain, Written for four Pasteur voices, the et piece Maistre is given toon achievethe role a of sort main of concisethread.”Freedom simplicity, against unem- fascinatedquette stresses. me was ‘The to work find is the found point at theof contact heart ThierryMy Tears’ Escaichand ‘Can you excuse my wrongs’, but Jacobushere by three Clemens singers with non the Papa cello taking the bellishedconfinement, and day without against digressions. night, with Métamor Whilst- betweenof the disc the and cello at the and heart the chorus,of suffering: the difficulty that of a itWritten is above for all the 12 voices,whole somber, the work desperate by Thierry atmo- Jacobusfourth part. Clemens For Henri non Demarquette, Papa (1510?–1555) ‘this was is the a respectingphoses, a very the spectacular, sensibility ofdemonstrative each, I wanted piece, to beingmother that who the has chorus lost her sings child.’ a text, whereas the sphereEscaich, of theorganist, first poem, composer which and guides improviser, its formal Franco-Flemishmost peaceful moment composer of thewhose disc. work, We returnsacred givethe journey these Métamorphoses towards the light a continues.unified form: the cello has none,’ indicates Eric Tanguy. ‘The cello evolution,’makes for a indicates powerful Thierry contrast Escaich. with the On previous several andto the profane simple realitiesalike, was of life, prolific. mealtime, The Prayerfood.’ poems follow one another without interruption, must5. Flow echo My the emotionalTears content of the poem occasions,work, even thethough lighter it takes rhythmic its inspiration pattern, ternary in part before the Meal is a gem that we discovered,’ like9. Plonge a cycle of variations. They are united by both Johnwithout Dowland giving the impression of mumbling a andfrom syncopated, the same song of by the John second Dowland, song (evoking‘Flow My emphasises8. Métamorphoses Henri Demarquette. ‘It mixes sacred theJustė pres Janulytė ence of a small musical motif in per- textJohn that Dowland it could (1563-1626), not pronounce’. a contemporary ‘The degree of thisTears’. world Quite of passionsenergetic, and it marks struggles the stillfirst pos step- and Philippe profane Hersant by evoking food for the body but petualBaudelaire’s meta morphosis verses ‘Plonge and by tes the yeux presence dans lesof intelligenceShakespeare between and famous the text lutenist, and the composed music pro a- sible)towards attempts the light. to impose ‘Night’s itself Birds like takes a sort its barely inspi- withCommissioned an «orderly» to appetite: Philippe anti-Rabelaisian Hersant by the in theyeux cello, fixes a / full-fledgedDes Satyresses character, ou des Nixes… which’, fromtakes vokes12 an extraordinary emotion,’ Henri Demar- ration from two songs by John Dowland: ‘Flow a way.’ Written for four voices, the piece is given on the role of main thread.”Freedom against13 quette stresses. ‘The work is found at the heart My Tears’ and ‘Can you excuse my wrongs’, but here by three singers with the cello taking the confinement, day against night, with Métamor- of the disc and at the heart of suffering: that of a it is above all the whole somber, desperate atmo- fourth part. For Henri Demarquette, ‘this is the phoses, a very spectacular, demonstrative piece, mother who has lost her child.’ sphere of the first poem, which guides its formal most peaceful moment of the disc. We return the journey towards the light continues. evolution,’ indicates Thierry Escaich. On several to the simple realities of life, mealtime, food.’ 5. Flow My Tears occasions, the lighter rhythmic pattern, ternary 9. Plonge John Dowland and syncopated, of the second song (evoking 8. Métamorphoses Justė Janulytė John Dowland (1563-1626), a contemporary of this world of passions and struggles still pos- Philippe Hersant Baudelaire’s verses ‘Plonge tes yeux dans les Shakespeare and famous lutenist, composed a sible) attempts to impose itself like a sort barely Commissioned to Philippe Hersant by the yeux fixes / Des Satyresses ou des Nixes…’, from 12 13 the poem ‘The Warner’ (Flowers of Evil), give Henry Purcell John Tavener de honnorable mondanité. their name to the work by the Lithuanian com- When I am Laid in Earth Svyati Puis a esleu la milleur part poser Justė Janulytė. ‘Plonge, which explores servant Dieu en humilité. the connection between time and space, takes When I am laid, am laid in earth, may my –”Holy God, Holy and Mighty, Holy and Tant luy soit en crestienté inspiration from the mystical metaphor of the wrongs create Immortal, have mercy on us” – son nom est fame, lines of Baudelaire’s poetry, creating a sense of No trouble, no trouble in, in thy breast qui detient de grant voulenté. depth and a state of stasis,’ says she. The score When I am laid, am laid in earth, may my – « Saint Dieu, Saint Fort, Saint Immortel, aie Prier pour l’ame ! is written for solo cello and 12 voices ‘like two wrongs create pitié de nous » – Miserere, Miserere pie Jhesu distinct layers, which are not conceived as oppo- No trouble, no trouble in, in thy breast domine dona ei requiem thesites poem but rather ‘The Warner’as two different (Flowers levels of Evil of ),sound give HenryRemember Purcell me, remember me, but ah JohnJohannes Tavener Ockeghem deQuem honnorable in cruc redemisti mondanité. theirconcentration name to theand work density by ofthe texture, Lithuanian like sound com- WhenForget my I am fate Laid in Earth SvyatiDéploration sur la mort Puisprecioso a esleu sanguine la milleur part poserand its Justė echo Janulytė.or the two ‘ Plongesides of, whichthe moon explores - illu- Remember me, but ah de Gilles Binchois servantPie Jhesu Dieu Domine en humilité. dona ei requiem. theminated connection and invisible. between Alternating time and atspace, the outset, takes WhenForget I my am fate laid, am laid in earth, may my –”Holy God, Holy and Mighty, Holy and Tant luy soit en crestienté inspirationthese layers from - the the cello mystical with its metaphor large range of thefull wrongsRemember create me, remember me, but ah Immortal,Mort tu as havenavré mercy de ton on dart us” – sonDeath, nom with est your fame, shaft you have wounded linesof different of Baudelaire’s colours, poetry, and the creating vocal aensemble sense of NoForget trouble, my fate no trouble in, in thy breast le père de joieuseté. quithe fatherdetient of de joy grant voulenté. depthof 12 unique and a statetimbres of stasis,’ – progressively says she. blendThe score into WhenRemember I am me,laid, but am ah laid in earth, may my –En « desployantSaint Dieu, tonSaint estendart Fort, Saint Immortel, aie Prierin unfurling pour l’ame your ! standard isone written another for until solo celloachieving and 12 a totalvoices amalgam.’ ‘like two wrongsForget my create fate pitiésur Binchois, de nous patron» – de bonté. Miserere,over Binchois, Miserere that paragonpie Jhesu of goodness. distinctHenri Demarquette layers, which describes are not conceived Plonge as as ‘music oppo- No trouble, no trouble in, in thy breast Son corps est plaint et lamenté domineHis body dona is mourned ei requiem and lamented, sitesfrom butthe ratherbeyond. as It two creates different a strong levels impression of sound RememberQuand je serai me, portée, remember portée me,en terre, but ah Johannesqui gist soubs Ockeghem lame. Quemlying beneath in cruc hisredemisti tombstone. concentrationwithout attaching and densityto anything of texture, known. like Or sound per- Forgetque mes my torts fate ne créent DéplorationHélas! plaise vous sur en la pitié. mort preciosoAlas, may sanguine it please you, in mercy, andhaps its to echo Debussy’s or the Nuagestwo sides. The of the two moon choruses, - illu- Remembernul trouble, nul me, trouble but ah en ton sein. dePrier Gilles pour l’ameBinchois ! Pieto pray Jhesu for Domine his soul. dona ei requiem. minatedseparated, and send invisible. sound Alternating masses back at andthe outset,forth, ForgetQuand jemy serai fate portée, portée en terre, theseand the layers cello - and the voicescello with are as its one. large One range floats full in Rememberque mes torts me, ne créentremember me, but ah MortRetoricque, tu as navré se Dieu de tonme gard.dart Death,Rhetoric, with as yourGod isshaft my witness,you have wounded ofweightlessness, different colours, one plunges and the in infinity.vocal ensemble There is Forgetnul trouble, my fatenul trouble en ton sein. leSon père serviteur de joieuseté. a regreté thehas fatherlamented of joy her servant. ofnothing, 12 unique but ittimbres is there.’ – progressively blend into RememberSouviens-toi deme, moi, but souviens-toi ah de moi, mais, ah ! EnMusicque, desployant par piteuxton estendart regard. inMusic, unfurling with ayour pitiful standard gaze, one another until achieving a total amalgam.’ Forgetoublie mon my destin.fate surfait Binchois,deul et noir patron a porté. de bonté. overmourns Binchois, and is thatdraped paragon in black. of goodness. Henri Demarquette describes PlongeNathalie as ‘music Krafft Souviens-toi de moi, mais, ah ! SonPleurez corps hommes est plaint de feaultéet lamenté : HisWeep, body men is mournedof good will, and lamented, from the beyond. It creates a strong impression Quandoublie mon je serai destin. portée, portée en terre, quiVueillez gist soubsvostre lame.université. lyingweep forbeneath your hisuniversity, tombstone. without attaching to anything known. Or per- queSouviens-toi mes torts de ne moi, créent mais, ah ! Hélas!Prier pour plaise l’ame vous ! en pitié. Alas,pray for may his it soul! please you, in mercy, haps to Debussy’s Nuages. The two choruses, nuloublie trouble, mon destin.nul trouble en ton sein. Prier pour l’ame ! to pray for his soul. separated, send sound masses back and forth, Quand je serai portée, portée en terre, En sa jeunesse fut soudart In his youth he was a soldier and14 the cello and voices are as one. One floats in que mes torts ne créent Retoricque, se Dieu me gard. Rhetoric, as God is my witness, 15 weightlessness, one plunges in infinity. There is nul trouble, nul trouble en ton sein. Son serviteur a regreté has lamented her servant. nothing, but it is there.’ Souviens-toi de moi, souviens-toi de moi, mais, ah ! Musicque, par piteux regard. Music, with a pitiful gaze, oublie mon destin. fait deul et noir a porté. mourns and is draped in black. Nathalie Krafft Souviens-toi de moi, mais, ah ! Pleurez hommes de feaulté : Weep, men of good will, oublie mon destin. Vueillez vostre université. weep for your university, Souviens-toi de moi, mais, ah ! Prier pour l’ame ! pray for his soul! oublie mon destin. En sa jeunesse fut soudart In his youth he was a soldier 14 15 of honourable estate. Elle consent à la mort, au sacrifice, Everything stops at the foot of the Tau And up until the final breath. Then he chose the better part, Le voile du Temple, le soleil perdu. in acacia, serving God with humility. La justice de Dieu ne Le lui ravit pas, The wood of ignominy, which she John Dowland He was such a Christian C’est elle qui le Le donne. contemplates, Flow My Tears that his name is fame, Les larmes ruissellent comme le sang sur le Her Son on the cross, which is in possession of great will. bois. These bloody feet, this flesh torn by nails. Flow, my tears, fall from your springs! Pray for his soul! Nazareth, Cana l’atelier de Joseph, She repeats what she had murmured when the Exiled for ever, let me mourn; La poussière et les copeaux d’acacia. angel’s wing brushed her: Where night’s black bird her sad infamy sings, Have mercy, have mercy, pious Jesus Tout s’est noué là-bas, ‘So be it’. There let me live forlorn. ofLord, honourable grant him estate. rest ElleEt sur consent les chemins à la mort, au bord au sacrifice, des lacs, des filets Everything stops at the foot of the Tau AndDown up vain until lights, the final shine breath.you no more! ThenWho, heon chose the cross, the better you redeemed part, Lemiraculeux. voile du Temple, le soleil perdu. inShe acacia, consents to death, to sacrifice, No nights are dark enough for those servingwith your God precious with humility. blood La justice de Dieu ne Le lui ravit pas, The woodveil of of the ignominy, Temple, the which lost she sun. JohnThat in Dowland despair their lost fortunes deplore. HePious was Jesus, such Lorda Christian grant him rest. C’estElle se elle tient qui droite, le Le donne.elle prie au bord du contemplates,God’s justice does not take Him from her, FlowLight doth My but Tears shame disclose. that his name is fame, Lesgouffre. larmes ruissellent comme le sang sur le HerIt is sheSon who on the gives cross, Him. Never may my woes be relieved, whichEric Tanguyis in possession of great will. bois.Et les morts qui se relèvent dans la nuit de TheseThe tears bloody trickle feet, like this the flesh blood torn on theby nails. wood. Flow,Since pitymy tears, is fled; fall from your springs! PrayStabat for hisMater soul! Nazareth,trois heures, Cana l’atelier de Joseph, She repeats what she had murmured when the ExiledAnd tears for andever, sighs let me and mourn; groans my weary days La poussièreténèbres du et Vendredi.les copeaux d’acacia. angel’sNazareth, wing Cana, brushed Joseph’s her: workshop, WhereOf all joys night’s have black deprived. bird her sad infamy sings, HaveA Thomas mercy, Jouteux. have mercy, pious Jesus Tout s’est noué là-bas, ‘SoThe be dust it’. and the acacia chips. ThereFrom thelet mehighest live forlorn. spire of contentment Lord,Dans lagrant poussière, him rest la nuit qui tombe, elle se EtLes sur cris, les la chemins haine puis au bordl’abîme des sans lacs, bruit, des filets That is where it all took shape, DownMy fortune vain lights, is thrown; shine you no more! Who,tient droite, on the cross, you redeemed miraculeux.L’amour immense, les temps infinis. SheAnd consents on the lakeside to death, paths, to sacrifice, miraculous nets. NoAnd nights fear and are darkgrief andenough pain for for those my deserts withAu seuil your de precious l’abîme, blood face à l’éclipse, Mère des Vivants The veil of the Temple, the lost sun. ThatAre my in hopes,despair since their hope lost isfortunes gone. deplore. PiousC’est laJesus, Mère Lord des grant Douleurs. him rest. ElleVeillez se surtient nous droite, en ceselle jours prie au bord du God’sShe stands justice straight, does not she take prays Him at from the edge her, of the LightHark! doth you shadowsbut shame that disclose. in darkness dwell, gouffre.Et jusqu’au dernier souffle. Itchasm. is she who gives Him. NeverLearn mayto contemn my woes light be relieved, EricTout s’arrêteTanguy au pied du Tau d’acacia, Et les morts qui se relèvent dans la nuit de TheAnd tears the dead trickle who like arise the in blood the night on the of wood. three SinceHappy, pity happy is fled; they that in hell StabatLe bois d’ignominie Mater qu’elle contemple, troisPhilippe heures, Le Guillou hours, AndFeel not tears the and world’s sighs despite. and groans my weary days Son Fils en croix, La ténèbres du Vendredi. Nazareth,The darkness Cana, of Friday. Joseph’s workshop, Of all joys have deprived. ACes Thomas pieds enJouteux. sang, cette chair clouée. To Thomas Jouteux The dust and the acacia chips. FromCoulez, the mes highest larmes, spire jaillissez of contentment de vos sources ! DansElle redit la poussière, ce qu’elle la avait nuit murmuréqui tombe, quand elle se LesIn the cris, dust, la haine the falling puis l’abîmenight, she sans stands bruit, ThatThe cries, is where the hatredit all took then shape, the noiseless abyss, MyLaissez-moi fortune is pleurer, thrown; exilé à jamais ; tientl’aile droite,de l’ange l’a frôlée : L’amourstraight, immense, les temps infinis. AndThe immense on the lakeside love, the paths, infinite miraculous times. nets. Andlà où fear l’oiseau and griefnoir deand la pain nuit forchante my deserts sa triste Au« Qu’il seuil en de soit l’abîme, ainsi ». face à l’éclipse, MèreOn the des threshold Vivants of the abyss, facing the eclipse, Mother of the Living, Areinfamie, my hopes, since hope is gone. C’est la Mère des Douleurs. VeillezIt is the sur Mother nous ofen Sorrows. ces jours SheWatch stands over straight, us in these she days prays at the edge of the Hark!laissez-moi you shadows vivre abandonné. that in darkness dwell, 16 Et jusqu’au dernier souffle. chasm. Learn to contemn light 17 Tout s’arrête au pied du Tau d’acacia, And the dead who arise in the night of three Happy, happy they that in hell Le bois d’ignominie qu’elle contemple, Philippe Le Guillou hours, Feel not the world’s despite. Son Fils en croix, The darkness of Friday. Ces pieds en sang, cette chair clouée. To Thomas Jouteux Coulez, mes larmes, jaillissez de vos sources ! Elle redit ce qu’elle avait murmuré quand In the dust, the falling night, she stands The cries, the hatred then the noiseless abyss, Laissez-moi pleurer, exilé à jamais ; l’aile de l’ange l’a frôlée : straight, The immense love, the infinite times. là où l’oiseau noir de la nuit chante sa triste « Qu’il en soit ainsi ». On the threshold of the abyss, facing the eclipse, Mother of the Living, infamie, It is the Mother of Sorrows. Watch over us in these days laissez-moi vivre abandonné. 16 17 Baissez, vaines lumières, ne brillez plus ! Cold love is like to words written on sand La dirai-je bonne lorsqu’elle se montre que de vivre ainsi toujours tourmenté : Nulle nuit n’est assez sombre pour ceux Or to bubbles which on the water swim. cruelle ? chère, mais rappelle-toi que c’est moi qui dans leur désespoir déplorent leurs Sont-ce des feux clairs qui s’évanouissent qui suis mort heureux pour toi. fortunes perdues. en fumée ? La lumière ne révèle que honte. Wilt thou be thus abused still Dois-je louer les feuilles où je ne trouve Le texte de l’œuvre de Thierry Escaich est Mes maux ne seront jamais soulagés, Seeing that she will right thee never? point de fruits ? une superposition des deux textes de John puisque la pitié s’est enfuie ; If thou canst not o’ercome her will Non, non : là où des ombres prennent Dowland: « Flow my tears » et « Can she larmes et soupirs et gémissements ont privé Thy love will be thus fruitless ever. la place de corps, excuse my wrongs » mes jours las de toute joie. tu pourrais être abusé si tu as la vue basse. Baissez,De la plus vaines haute lumières, cime du neplaisir brillez plus ! ColdWas I love so base, is like that to words I might written not aspire on sand LaL’amour dirai-je froid bonne est lorsqu’ellecomme les semots montre écrits queJacob de vivre Clemens ainsi toujours non tourmentéPapa : Nullema fortuné nuit n’est est jetéeassez ; sombre pour ceux OrUnto to thosebubbles high which joys onwhich the watershe holds swim. from me? cruellesur le sable, ? chère,Ô souverain, mais rappelle-toi Pasteur que et c’est Maîstre moi quipeur dans et chagrin leur désespoir et douleur déplorent pour récompense leurs As they are high, so high is my desire: Sont-ceou les bulles des feuxqui nagentclairs qui sur s’évanouissent l’eau. qui suis mort heureux pour toi. fortunessont mes perdues. espoirs, puisque l’espérance est If she this deny, what can granted be? en fumée ? Prière devant le repas Lapartie. lumière ne révèle que honte. Wilt thou be thus abused still Dois-jeSeras-tu louer abusé les ainsi feuilles encore, où je ne trouve LeÔ Souveraintexte de l’œuvre Pasteur, de et Thierry Maistre, Escaich est MesÉcoutez maux ! Ombres ne seront qui jamais demeurez soulagés, dans SeeingIf she will that yield she towill that right which thee Reason never? is, pointen voyant de fruits qu’elle ? ne te donnera jamais uneRegarde superposition ce trouppeau des deuxpetit, textes de John puisquel’obscurité, la pitié s’est enfuie ; IfIt thouis Reason’s canst notwill o’ercomethat Love her should will be just, Non,raison non ? : là où des ombres prennent Dowland:Et de tes biens« Flow souffre my tears le paistre, » et « Can she larmesapprenez et soupirsà mépriser et gémissements la lumière, ont privé ThyDear, love make will me be happythus fruitless still by ever.granting this, laSi placetu ne peuxde corps, surmonter sa volonté excuseSans desordonné my wrongs appetit, » mesHeureux, jours heureuxlas de toute ceux joie. qui en enfer Or cut off delays if that I die must. tuton pourrais amour seraêtre àabusé jamais si vain.tu as la vue basse. Nourrissant petit à petit Dene sententla plus haute pas le cime dédain du duplaisir monde. Was I so base, that I might not aspire L’amour froid est comme les mots écrits JacobA ce jour Clemens d’huy ta creature, non Papa ma fortuné est jetée ; UntoBetter those a thousand high joys times which to shedie, holds from me? surÉtais-je le sable, assez vil pour ne pas aspirer ÔPar souverain, celluy qui pour Pasteur nous vestit et Maîstre peurThierry et chagrin Escaich et douleur pour récompense AsThan they for are to high,live thus so high still istormented: my desire: ouà ces les hautes bulles joiesqui nagent dont elle sur mel’eau. prive ? Ung corps subject à nourriture. sontNight’s mes Birdsespoirs, puisque l’espérance est IfDear, she thisbut deny,remember what it can was granted I be? Mon désir est aussi haut qu’elles : Prière devant le repas partie. Who for thy sake did die contented. Seras-tusi elle refuse abusé cela, ainsi que encore, peut-elle accorder ? ÔPrayer Souverain before Pasteur, the meal et Maistre, ÉcoutezCan she excuse! Ombres my wrongs?qui demeurez dans If she will yield to that which Reason is, en voyant qu’elle ne te donnera jamais RegardeO Sovereign, ce trouppeau Shepherd andpetit, Master, l’obscurité,Can she excuse my wrongs with Virtue’s cloak? ItThe is Reason’stext of Thierry will that Escaich’s Love should work isbe the just, raisonSi elle cède? à ce qui est la Raison, EtLook de upon tes biens this small souffre flock, le paistre, apprenezShall I call à her mépriser good when la lumière, she proves unkind? Dear,superposition make me of happy two texts still byby Johngranting Dowland: this, Sila Raisontu ne peux veut surmonter que l’Amour sa volontésoit juste. SansAnd fromdesordonné Thy hand appetit, allow it to graze Heureux,Are those clearheureux fires ceux which qui vanish en enfer into smoke? Or‘Flow cut my off tears’ delays and if that ‘Can I shedie excusemust. my tonChère, amour rends-moi sera à jamaisheureux vain. en m’accordant NourrissantWithout disorderly petit à petitappetite, neMust sentent I praise pas the le leaves dédain where du monde. no fruit I find? wrongs’ cela, ANourishing ce jour d’huy little ta by creature, little, Better a thousand times to die, Étais-jeou cesse assez d’atermoyer vil pour nesi je pas dois aspirer mourir. ParToday celluy Thy qui creature, pour nous vestit ThierryNo, no: where Escaich shadows do for bodies stand ThanPeut-elle for toexcuser live thus mes still torts tormented: sous couvert à ces hautes joies dont elle me prive ? UngThrough corps Him subject who forà nourriture. our sakes Night’sThou may’st Birds be abus’d if thy sight be dim. Dear,de vertu but ? remember it was I MonMieux désir vaut est mille aussi fois haut mourir, qu’elles : Assumed a body subject to hunger. 18 Who for thy sake did die contented. si elle refuse cela, que peut-elle accorder ? Prayer before the meal 19 Can she excuse my wrongs? O Sovereign, Shepherd and Master, Can she excuse my wrongs with Virtue’s cloak? The text of Thierry Escaich’s work is the Si elle cède à ce qui est la Raison, Look upon this small flock, Shall I call her good when she proves unkind? superposition of two texts by John Dowland: la Raison veut que l’Amour soit juste. And from Thy hand allow it to graze Are those clear fires which vanish into smoke? ‘Flow my tears’ and ‘Can she excuse my Chère, rends-moi heureux en m’accordant Without disorderly appetite, Must I praise the leaves where no fruit I find? wrongs’ cela, Nourishing little by little, ou cesse d’atermoyer si je dois mourir. Today Thy creature, No, no: where shadows do for bodies stand Peut-elle excuser mes torts sous couvert Through Him who for our sakes Thou may’st be abus’d if thy sight be dim. de vertu ? Mieux vaut mille fois mourir, Assumed a body subject to hunger. 18 19 ma Résurrection. Et de nouvelles aventures. Philippe Hersant 3. Du rien à l’homme J’étais Souffrance. (Hadi) Métamorphoses De la vie à la poussière Je devins Compassion. Entre être et devenir Après avoir trempé ma plume dans l’eau 6. Je rêve…. 1. A la lueur de l’été Métamorphose éphémère du Styx, Je suis un géant sur terre Privé de liberté Tu régénères la vie Érato et Aphrodite me prirent sous leurs ailes. Mais personne ne me voit Je ne peux que rêver Entre souffrance et apaisement Telle Andromaque, Je suis libre, Enchaîné pour l’éternité (Antonios) Je malaxais les Mots pour les mettre De partout et de nulle part, A la métamorphose des saisons. en musique. J’apporte la vie où elle n’est plus L’automne me met en sommeil 4. Portrait d’un misérable maIvre Résurrection.de Vivre dans la volupté de l’instant, EtMais de je nouvelles sème aussi aventures. le chaos autour de moi. PhilippeL’hiver, le froid Hersant m’engourdit 3.Arrachés Du rien à à l’herbe l’homme des cimetières oubliés, J’étaisUn sang Souffrance. salvateur dans mon cœur (Hadi)Me faufilant dans l’infiniment petit, MétamorphosesEt j’attends le printemps DeÉrodés la vie par à laun poussière Soleil trompeur et desséché, JeRessuscitait devins Compassion. soudain mes Sens sous scellés, A mon passage, les arbres font la révérence Pour revivre un moment. EntreMes os être étaient et devenir recouverts de roses tristes AprèsMa Révolte avoir futtrempé ma plus ma plumesolide entrave,dans l’eau 6.Comme Je rêve…. devant un roi, 1.Le Atemps la lueur passe de l’étéet se ressemble, MétamorphoseDont l’haleine sinistre, éphémère duEt c’estStyx, l’Amour qui m’en libérait. JeDans suis les un océans géant dessur terrevagues géantes PrivéLe marchand de liberté de sable est passé TuFidèle régénères compagne la vie de mes nuits sans espoir, ÉratoC’est pouret Aphrodite cela que me sans prirent regret sous ni nostalgie, leurs ailes. MaisVeulent personne m’engloutir, ne me voit JeJ’ai ne rêvé peux de queliberté rêver EntreMe guidait souffrance vers des et apaisement chemins noirs TelleAprès Andromaque, avoir commis, je l’avoue, mon plus Je suis libre,l’architecte du désert EnchaînéD’une porte pour qui l’éternité s’ouvre (Antonios)et tortueux. Jebeau malaxais hold-up, les Mots pour les mettre DeMagicien partout façonnant et de nulle les part, dunes de sable. ADe la moi métamorphose qui suis un autre des saisons. Tel un vêtement souillé et trop enPermettez-moi musique. de tirer tout simplement J’apporteDu murmure la vieau oùrugissement elle n’est plusde la tempête L’automneD’un retour me à la met vie… en sommeil 4.longtemps Portrait d’un porté, misérable IvreMa Révérence.de Vivre dans la volupté de l’instant, MaisJe chante je sème ma aussisymphonie le chaos autour de moi. L’hiver,(Sébastien) le froid m’engourdit ArrachésMon corps à l’herbeanimal etdes vieilli cimetières oubliés, Un(Ali) sang salvateur dans mon cœur MeJe suis faufilant le vent dans l’infiniment petit, Et j’attends le printemps ÉrodésSe défaisait par un d’une Soleil peau trompeur rugueuse et desséché, et durcie. Ressuscitait soudain mes Sens sous scellés, AJe mon suis lepassage, souffle les de arbres la vie. font la révérence Pour2. A l’aube revivre de un mes moment. ailes aplaties MesProfitant os étaient du repos recouverts de Cerbère, de roses tristes Ma5. Pars Révolte sur les fut flots ma plus solide entrave, Comme(Djamel) devant un roi, LeDans temps ce cocon passe endormi et se ressemble, DontJ’échappais l’haleine à Hadèssinistre, en séduisant Charon. EtNe c’est te retourne l’Amour pas qui m’en libérait. Dans les océans des vagues géantes LeUne marchand chenille s’éveillede sable est passé FidèleErmite compagnesans asile, de mes nuits sans espoir, C’estAvance pour sur celale chemin que sans regret ni nostalgie, Veulent7. Acellucciu m’engloutir, cù e to ale J’aiUne rêvé chenille de liberté se réveille MeJe devenais guidait vers le châtelain des chemins d’une noirs forteresse AprèsDe la transformation avoir commis, je l’avoue, mon plus JePudereste suis l’architecte in u to dolce du désert vole D’uneUn papillon porte montre qui s’ouvre ses ailes etimprenable. tortueux. beauEcoute hold-up, le murmure silencieux MagicienPurtà un messaghju façonnant ales quelli dunes ch’o de tengusable. caru. DeChamarrées moi qui suis de uncouleurs autre si belles TelJe vivaisun vêtement à présent souillé dans etune trop tour d’ivoire Permettez-moiDe ton futur de tirer tout simplement DuAcellucciu murmure anghjulu au rugissement meo, de la tempête D’unC’est retourl’extase… à la vie… longtempsDont les murs porté, étaient battus par de l’encens. MaAvance Révérence. sur la vague JeTu chantechi veni ma à pizzicà symphonie nant’à u mo purtellu (Sébastien)Hors de ce monde sans vie MonUne Clartécorps animalrédemptrice et vieilli envahit ma (Ali)Qui te portera vers le large JeE arrecà suis le mi vent cio ch’eo solu possu capi. Il s’élève vers l’infini…. SeChrysalide. défaisait d’une peau rugueuse et durcie. Vers un non-retour JeQualchi suis le volta souffle t’ingabbiu de la vie. cù me, nanzu di 2.(Manu) A l’aube de mes ailes aplaties ProfitantLes Carillons du reposcélestes de célébrèrent Cerbère, 5.Sur Pars le chemin sur les deflots l’amour (Djamel)lascià piglia u to volu. Dans20 ce cocon endormi J’échappais à Hadès en séduisant Charon. Ne te retourne pas 21 Une chenille s’éveille Ermite sans asile, Avance sur le chemin 7. Acellucciu cù e to ale Une chenille se réveille Je devenais le châtelain d’une forteresse De la transformation Pudereste in u to dolce vole Un papillon montre ses ailes imprenable. Ecoute le murmure silencieux Purtà un messaghju a quelli ch’o tengu caru. Chamarrées de couleurs si belles Je vivais à présent dans une tour d’ivoire De ton futur Acellucciu anghjulu meo, C’est l’extase… Dont les murs étaient battus par de l’encens. Avance sur la vague Tu chi veni à pizzicà nant’à u mo purtellu Hors de ce monde sans vie Une Clarté rédemptrice envahit ma Qui te portera vers le large E arrecà mi cio ch’eo solu possu capi. Il s’élève vers l’infini…. Chrysalide. Vers un non-retour Qualchi volta t’ingabbiu cù me, nanzu di (Manu) Les Carillons célestes célébrèrent Sur le chemin de l’amour lascià piglia u to volu. 20 21 Acelucciu, grazia a té, Time passes and looks the same, Like a soiled garment worn too long, 5. Leave on the waves ch’un mi temi, The sandman has come My ageing, animal body Do not turn around so un omu chi sunicchia d’esse tu, I dreamt of freedom, Got rid of a rough, hardened skin. Move forward on the path pé spiegà e mo ale Of a door opening, Taking advantage of Cerberus’s rest, Of transformation é rinascé luntanu da u mo addisperu. Of myself who is another, I escaped from Hades by seducing Charon. Listen to the silent murmuring of your future (Dumè) Of a return to life… A homeless hermit, Move forward on the wave Petit oiseau qui a des ailes I was becoming the lord of an impregnable That will carry you out to the open sea Pourrais-tu t’envoler pour moi 2. At the dawn of my flattened wings fortress Towards a non-return Et porter un message à ceux que j’aime ? In this sleepy cocoon, I was currently living in an ivory tower On the path of love Acelucciu,Petit oiseau grazia mon aange té, TimeA caterpillar passes and wakes looks up the same, LikeOf which a soiled the garmentwalls had worn been too beaten long, by incense. 5.And Leave new on adventures. the waves ch’unQui vient mi temi, picorer sur ma fenêtre TheA caterpillar sandman awakens has come MyA redeeming ageing, animal Clarity body invades my Chrysalis. Do not turn around soEt m’apporterun omu chi sunicchiace que moi d’esse seul tu,qui le vis IA dreamt butterfly of freedom,shows its wings GotThe ridcelestial of a rough, Carillons hardened celebrate skin. my Move6. I dream…. forward on the path péPeut spiegà comprendre. e mo ale OfBedecked a door withopening, such lovely colours TakingResurrection. advantage of Cerberus’s rest, OfI am transformation a giant on earth éParfois rinascé je luntanut’encage da avec u mo moi addisperu. OfIt is myself ecstasy… who is another, I escapedwas Sorrow. from Hades by seducing Charon. ListenBut no to one the sees silent me murmuring of your future (Dumè)Avant de te laisser t’envoler. OfOutside a return this to lifeless life… world AI became homeless Compassion. hermit, MoveI am free, forward on the wave Petit oiseau quigrâce a des à toi ailes It soars towards infinity… IAfter was becomingdipping my the pen lord in ofthe an waters impregnable of the Styx, ThatFrom will everywhere carry you and out nowhere, to the open sea Pourrais-tuQui ne me craintt’envoler pas pour moi 2. At the dawn of my flattened wings fortressErato and Aphrodite took me under their wing. TowardsI bring life a wherenon-return it is no longer EtJe portersuis un un homme message qui àrêve ceux d’être que j’aimetoi ? In3. From this sleepy nothing cocoon, to man ILike was Andromache, currently living in an ivory tower OnBut the I also path sow of chaos love around me. PetitPour oiseaudéployer mon mes ange ailes AFrom caterpillar life to dust wakes up OfI kneaded which the the walls Words had to been set them beaten to music. by incense. AndInching new my adventures. way into the infinitely small, QuiEt revivre vient picorerloin de surmon ma désespoir. fenêtre ABetween caterpillar being awakens and becoming ADrunk redeeming on Living Clarity in the invades voluptuousness my Chrysalis. of the As I pass, the trees bow down Et(Dumé) m’apporter ce que moi seul qui le vis AEphemeral butterfly metamorphosisshows its wings Theinstant, celestial Carillons celebrate my 6.As I before dream…. a king, Peut comprendre. BedeckedYou revive with life such lovely colours Resurrection.A salutary blood in my heart IIn am the a oceans, giant on gigantic earth waves Parfois1. In the je glimmer t’encage of avecsummer moi ItBetween is ecstasy… suffering and relief ISuddenly was Sorrow. resuscitated my Senses under seal, ButWant no to one engulf sees me,me AvantDeprived de ofte freedomlaisser t’envoler. Outside this lifeless world IMy became Revolt Compassion. was my most solid fetters, I am free,the architect of the desert PetitI can onlyoiseau dream grâce à toi It4. soarsPortrait towards of a wretch infinity… AfterAnd it dipping was Love my that pen freed in the me waters from of them. the Styx, FromMagician everywhere shaping and sand nowhere, dunes. QuiChained ne me for craint eternity pas Torn from the grass of forgotten cemeteries, EratoThat is and why, Aphrodite without regrettook me or undernostalgia, their wing. IFrom bring the life murmur where it to is theno longer roar of the tempest JeTo suisthe metamorphosis un homme qui ofrêve the d’être seasons. toi 3.Broken From innothing by a deceitful, to man dried-out Sun, LikeAfter Andromache, having committed, I admit, my finest ButI sing I alsomy symphony. sow chaos around me. PourAutumn déployer puts me mes to sleepailes FromMy bones life towere dust covered with sad roses Ihold-up, kneaded the Words to set them to music. InchingI am the my wind way into the infinitely small, EtIn winter,revivre theloin cold de mon warms désespoir. me BetweenWhose sinister being andbreath, becoming DrunkAllow me on toLiving quite in simply the voluptuousness of the AsI am I pass, the breath the trees of life.bow down (Dumé)And I await the springtime EphemeralFaithful companion metamorphosis of my hopeless nights, instant,Bow out. As before a king, To live again for a moment YouGuided revive me life towards dark, tortuous paths. A salutary blood in my heart In the oceans, gigantic waves 1.22 In the glimmer of summer Between suffering and relief Suddenly resuscitated my Senses under seal, Want to engulf me, 23 Deprived of freedom My Revolt was my most solid fetters, I am the architect of the desert I can only dream 4. Portrait of a wretch And it was Love that freed me from them. Magician shaping sand dunes. Chained for eternity Torn from the grass of forgotten cemeteries, That is why, without regret or nostalgia, From the murmur to the roar of the tempest To the metamorphosis of the seasons. Broken in by a deceitful, dried-out Sun, After having committed, I admit, my finest I sing my symphony. Autumn puts me to sleep My bones were covered with sad roses hold-up, I am the wind In winter, the cold warms me Whose sinister breath, Allow me to quite simply I am the breath of life. And I await the springtime Faithful companion of my hopeless nights, Bow out. To live again for a moment Guided me towards dark, tortuous paths. 22 23 7. (Little bird who has wings Polis des vers, sculpte des marbres, HENRI DEMARQUETTE, violoncelle est le créateur du concerto pour violoncelle de Could you fly away for me La Dent dit : « Vivras-tu ce soir ? » « Musicien passionné et personnalité aux facettes Michel Legrand qui fait l’objet d’un enregistre- And carry a message to those I love? multiples, Henri Demarquette joue du violoncelle ment sous le label Sony avec l’Orchestre Phil- Little bird, my angel, Quoi qu’il ébauche ou qu’il espère, comme on embrase une forêt profonde; pas un harmonique de Radio-France dirigé par Mikko Who comes to peck at my window L’homme ne vit pas un moment de ses coups d’archet ne laisse indifférent car il Franck. And bring me what I alone, who sees it, can Sans subir l’avertissement réveille l’inconscient de la musique » O. Bellamy understand. De l’insupportable Vipère. (Le Monde de la Musique). Henri Demarquette est l’initiateur de « Vocello », Sometimes I put you in the cage with me une formation originale pour violoncelle et chœur Before letting you fly away. After Baudelaire (1821-1867) ‘The Warner’ Henri Demarquette, né en 1970, entre à 13 a cappella avec l’Ensemble Vocal Sequenza 9.3. Ce 7.Little (Little bird, bird thanks who has to you, wings Polis des vers, sculpte des marbres, HENRIans au DEMARQUETTE,Conservatoire National violoncelle Supérieur de estprogramme le créateur réunit du desconcerto œuvres pour de lavioloncelle Renaissance de CouldWho are you not fly afraid away offor me, me LaEvery Dent man dit worthy : « Vivras-tu of the cename soir ? » «Musique Musicien de passionné Paris, où et personnalitéil étudie avec aux Philippe facettes Michelen regard Legrand de musiques qui fait contemporaines. l’objet d’un enregistre Depuis- AndI am carrya man a who message dreams to those of being I love? you, Has a yellow Snake in his heart, multiples,Muller et HenriMaurice Demarquette Gendron. Titulairejoue du violoncelle d’un Pre- ment2012, sousde nombreuses le label Sony œuvres avec nouvellesl’Orchestre ont Phil été- LittleTo unfold bird, my my wings angel, QuoiInstalled qu’il as ébauche on a throne, ou qu’il espère, commemier Prix on à embrase l’unanimité, une forêtil travaille profonde; également pas un harmoniquecomposées pour de Radio-France cette formation. dirigé Courant par Mikko 2016 WhoAnd live comes again, to peck far fromat my my window despair.) L’hommewhich, if he ne says: vit pas ‘I want!’, un moment responds: ‘Not!’ deavec ses Pierre coups Fournierd’archet neet laissePaul indifférentTortelier, puis,car il Franck.« Vocello » a été en résidence au Collège des And bring me what I alone, who sees it, can Sans subir l’avertissement réveilleavec Janos l’inconscient Starker àde Bloomington la musique » O.aux Bellamy États- Bernardins understand.Justė Janulytė DePlunge l’insupportable your eyes into Vipère. the staring eyes (LeUnis. Monde Sa carrière de la Musique). prend un essor international Henri Demarquette est l’initiateur de « Vocello », SometimesPlonge I put you in the cage with me Of the female Satyrs or Nixes, qui le conduit dans de nombreuses capitales uneDepuis formation 2012, originaleil est invité pour par violoncelle Michel Onfrayet chœur à Before letting you fly away. AfterThe Tooth Baudelaire says: ‘Think (1821-1867) of your ‘The duty!’ Warner’ Henriaccompagné Demarquette, des plus grandsné en orchestres1970, entre français à 13 aintervenir cappella dansavec l’Ensemblele cadre de Vocal l’Université Sequenza Populaire 9.3. Ce LittlePlonge bird, tes thanksyeux dans to you, les yeux fixes ansou étrangers au Conservatoire ou en compagnie National de sesSupérieur partenaires de programmede Caen. En réunitcompagnie des œuvres de Jean-Yves de la Renaissance Clément, WhoD’après are Baudelairenot afraid of(1821-1867) me, L’avertisseur EveryMake children,man worthy plant of thetrees, name Musiquepianistes privilégiésde Paris, où: Boris il étudie Berezovsky, avec Philippe Michel enessayiste, regard de poète, musiques musicien, contemporaines. il évoque Depuisdivers I am a man who dreams of being you, HasPolish a yellowverses, Snake sculpt in marbles, his heart, MullerDalberto, et Jean-BernardMaurice Gendron. Pommier, Titulaire Fabrizio d’un Chio Pre- 2012,aspects de de nombreuses la musique œuvressous forme nouvelles de causeries- ont été ToTout unfold homme my dignewings de ce nom InstalledThe Tooth as says: on a ‘Will throne, you still be living this miervetta, Prix Vanessa à l’unanimité, Benelli-Mosell il travaille ou Jean-Frédéric également composéesconférences. pour Cette cette ouverture formation. d’esprit Courant se reflète 2016 AndA dans live le again, coeur far un from Serpent my despair.)jaune, which,evening?’ if he says: ‘I want!’, responds: ‘Not!’ avecNeuburger. Pierre Fournier et Paul Tortelier, puis, «dans Vocello une » discographie a été en résidence éclectique, au Collège couronnée des Installé comme sur un trône, avecHenri JanosDemarquette Starker joue à Bloomington également en aux duo États- avec Bernardinsde nombreuses distinctions en France et à JustQui, s’ilė Janulytdit : « Je veuxė ! « répond : « Non ! » PlungeWhatever your he eyes sketches into theor hopes, staring eyes Unis.l’accordéoniste Sa carrière Richard prend Galliano un essor un international programme l’étranger. Plonge OfMan the does female not Satyrslive for or a momentNixes, quiéclectique le conduit s’étendant dans de de nombreuses Bach à Galliano. capitales En DepuisHenri Demarquette 2012, il est invitéa reçu par de Michell’Académie Onfray des à Plonge tes yeux dans les yeux fixes TheWithout Tooth being says: subjected ‘Think of to your the warningduty!’ accompagné2014, ce duo des a créé plus “Contrastes”grands orchestres pour français accor- intervenirBeaux-Arts dans le Prixle cadre de lade Fondation l’Université Simone Populaire et PlongeDes Satyresses tes yeux ou dans des les Nixes, yeux fixes Of the unbearable Viper. oudéon, étrangers violoncelle ou en compagnieet orchestre de sescomposé partenaires par deCino Caen. del Duca. En compagnie Il joue « le Vaslinde Jean-Yves », violoncelle Clément, créé D’aprèsLa Dent Baudelairedit : « Pense (1821-1867) à ton devoir L’avertisseur ! » Make children, plant trees, pianistesRichard Galliano. privilégiés Il fonde : Boris en Berezovsky, 2015 le quatuor Michel à essayiste,par Stradivarius poète, en 1725,musicien, confié il évoquepar LVMH/Moët divers Polish verses, sculpt marbles, Dalberto,cordes « Philia Jean-Bernard Europa » Pommier, composé Fabrizio de Augustin Chio- aspectsHennessy de Louis la musique Vuitton. sous forme de causeries- ToutFais deshomme enfants, digne plante de ce des nom arbres, The Tooth says: ‘Will you still be living this vetta,Dumay, Vanessa Svetlin Benelli-Mosell Roussev et Miguel ou Jean-Frédéric da Silva. Il conférences. Cette ouverture d’esprit se reflète A24 dans le coeur un Serpent jaune, evening?’ Neuburger. dans une discographie éclectique, couronnée25 Installé comme sur un trône, Henri Demarquette joue également en duo avec de nombreuses distinctions en France et à Qui, s’il dit : « Je veux ! « répond : « Non ! » Whatever he sketches or hopes, l’accordéoniste Richard Galliano un programme l’étranger. Man does not live for a moment éclectique s’étendant de Bach à Galliano. En Henri Demarquette a reçu de l’Académie des Plonge tes yeux dans les yeux fixes Without being subjected to the warning 2014, ce duo a créé “Contrastes” pour accor- Beaux-Arts le Prix de la Fondation Simone et Des Satyresses ou des Nixes, Of the unbearable Viper. déon, violoncelle et orchestre composé par Cino del Duca. Il joue « le Vaslin », violoncelle créé La Dent dit : « Pense à ton devoir ! » Richard Galliano. Il fonde en 2015 le quatuor à par Stradivarius en 1725, confié par LVMH/Moët cordes « Philia Europa » composé de Augustin Hennessy Louis Vuitton. Fais des enfants, plante des arbres, Dumay, Svetlin Roussev et Miguel da Silva. Il 24 25 L’ENSEMBLE VOCAL SEQUENZA 9.3 CATHERINE SIMONPIETRI, chef de chœur HENRI DEMARQUETTE, cello the Orchestre Philharmonique de Radio France Créé en 1998, l’Ensemble vocal Sequenza 9.3 Catherine Simonpietri suit l’enseignement de ‘An impassioned musician and multi-facetted conducted by Mikko Franck. est composé de solistes menés sous la direction Pierre Cao au Conservatoire Royal du Grand- personality, Henri Demarquette plays the cello exigeante et généreuse de Catherine Simon- Duché de Luxembourg où elle obtient le premier as one would set a deep forest ablaze. Not one of Henri Demarquette was the initiator of Vocello, pietri. A la recherche d’un idéal esthétique entre prix de direction chorale, puis à l’École Interna- his bow strokes leaves [the listener] indifferent, an original ensemble of cello and a cappella création et tradition, l’Ensemble se nourrit de tionale de Chant choral de Namur en Belgique for he awakens music’s unconscious.’ (Olivier chorus with the vocal ensemble Sequenza 9.3. rencontres avec les compositeurs d’aujourd’hui, d’où elle sort avec un premier prix à l’unanimité. Bellamy, Le Monde de la Musique) This programme brings together works from les interprètes et les autres expressions du spec- Elle se perfectionne auprès de Frieder Bernius, the Renaissance contrasting with contemporary tacle vivant (danse, cinéma, jazz, opéra, cirque...). John Poole, Éric Ericson, Hans Michael Beuerle Henri Demarquette, born in 1970, was 13 when scores. Since 2012, numerous new works have L’ENSEMBLEDepuis sa création, VOCAL Sequenza SEQUENZA 9.3 a interprété 9.3 plus CATHERINEet Michel Corboz. SIMONPIETRI , chef de chœur heHENRI entered DEMARQUETTE, the Paris Conservatoire, cello where he thebeen Orchestre composed Philharmonique for these forces. de RadioDuring France 2016, Crééde 60 en créations 1998, l’Ensemble (Ondrej Adàmek, vocal Sequenza Alessandros 9.3 CatherineEn 1995, elle Simonpietri participe à suitla création l’enseignement de la Mission de ‘Anstudied impassioned with Philippe musician Muller and and multi-facetted Maurice Gen- conductedVocello was by in Mikko residence Franck. at the Collège des Ber- estMarkeas, composé Philippe de solistes Hersant, menés Thierry sous la directionEscaich, PierreChant ChoralCao au de Conservatoire la Seine-Saint-Denis, Royal duavant Grand- d’en personality,dron. Obtaining Henri a Demarquetteunanimous premier plays the prix cello, he nardins in Paris. exigeanteEsa-Pekka Salonen,et généreuse Hedit de Canat Catherine de Chizy, Simon Daï- Duchéassumer de la Luxembourg direction pédagogique où elle obtient et artistique.le premier asalso one worked would with set a Pierre deep forest Fournier ablaze. and Not Paul one Tor of- HenriSince 2012, Demarquette he has been was invited the initiator by Michel of Vocello Onfray, pietri.Fujikura, A la Vincent recherche Paulet….). d’un idéal Sa esthétique discographie entre prixChargée de direction de cours chorale, au Conservatoire puis à l’École National Interna- histelier, bow then strokes with leaves Janos [the Starker listener] at Indiana indifferent, Uni- anto intervene original ensemblein the framework of cello of and Caen’s a cappella Univer- créationcompte plusieurset tradition, opus l’Ensemble récompensés se nourritpar la cride- tionaleSupérieur de Chantde Musique choral de NamurParis, elleen Belgiquey dirige forversity he awakens – Bloomington. music’s His unconscious.’ international (Olivier career chorussité Populaire. with the In vocal the company ensemble of Jean-YvesSequenza Clé9.3.- rencontrestique et par avec la presse. les compositeurs d’aujourd’hui, d’oùde nombreuses elle sort avec productions un premier prix(Bach, à l’unanimité. Haendel, Bellamy,developed Le rapidly,Monde de taking la Musique him) to numerous Thisment, programme essayist, poet brings and musician, together he works evokes from var- lesL’ensemble interprètes est soutenu et les autrespar le département expressions de du la specSeine-- ElleStravinsky, se perfectionne ...). Elle est auprès également de Frieder professeur Bernius, au capitals, accompanied by the greatest French theious Renaissance aspects of music contrasting in the form with of contemporary lecture-chats. tacleSaint-Denis, vivant le (danse, ministère cinéma, de la Culture, jazz, opéra, la ville cirque...).de Pantin, JohnConservatoire Poole, Éric à Rayonnement Ericson, Hans Régional Michael d’Auber Beuerle- Henriand foreign Demarquette, orchestras born or in by 1970, favourite was 13 pianist when scores.This open-mindedness Since 2012, numerous is reflected new inworks an eclectic have Depuisla Sacem, sa Musique création, Nouvelle Sequenza en 9.3Liberté, a interprété l’Adami pluset la etvilliers/La Michel Corboz.Courneuve et au sein du Pôle Sup’93 hepartners entered including the Paris Boris Conservatoire, Berezovsky, where Michel he beendiscography, composed crowned for these by numerous forces. During distinctions 2016, deSpedidam 60 créations et fait partie (Ondrej du réseau Adàmek, Futurs Composés.Alessandros En(Pôle 1995, d’Enseignement elle participe Supérieurà la création de de la Musique).la Mission studiedDalberto, with Jean-Bernard Philippe Muller Pommier, and Maurice Fabrizio Gen- Vocelloin France was and in abroad residence at the Collège des Ber- Markeas, Philippe Hersant, Thierry Escaich, Chant Choral de la Seine-Saint-Denis, avant d’en dron.Chiovetta, Obtaining Vanessa a unanimous Benelli Mosell, premier and prix Jean-, he nardinsHenri Demarquette in Paris. received the Simone and Esa-Pekka Salonen, Hedit Canat de Chizy, Daï assumerElle est fréquemment la direction pédagogiquechef invitée de et nombreuses artistique. alsoFrédéric worked Neuburger. with Pierre In Fournierduo with and accordionist Paul Tor- SinceCino 2012, del Duca he has Foundation been invited by Prize Michel from Onfray the Fujikura, Vincent Paulet….). Sa discographie Chargéeformations de ou cours de concoursau Conservatoire (Chamber National Choir telier,Richard then Galliano, with Janos Henri Starker Demarquette at Indiana also playsUni- toAcadémie intervene des in Beaux-Arts.the framework He ofplays Caen’s the ‘Vaslin’,Univer- compte plusieurs opus récompensés par la cri- SupérieurIreland, chœur de deMusique chambre de de Paris, la Radio elle Flamande, y dirige versityan eclectic – Bloomington. programme ranging His international from Bach tocareer Gal- sitéa 1725 Populaire. Stradivarius In the cello company lent ofby Jean-Yves LVMH/Moët Clé- tique et par la presse. dechœur nombreuses de Radio-France, productions Arsys (Bach, Bourgogne, Haendel, developedliano. In 2014, rapidly, they gave taking the first him performanceto numerous of ment,Hennessy essayist, Louis poet Vuitton. and musician, he evokes var- L’ensemble est soutenu par le département de la Seine- Stravinsky,Festival des ...). Musiques Elle est également sacrées professeurde Fribourg, au capitals,Galliano’s accompanied Contrastes, for by accordion, the greatest cello French and ious aspects of music in the form of lecture-chats. Saint-Denis, le ministère de la Culture, la ville de Pantin, ConservatoireChœur de Chambre à Rayonnement du Québec, Régional Concours d’Auber- andorchestra. foreign In orchestras2015, he founded or by favouritethe Philia Europapianist This open-mindedness is reflected in an eclectic la Sacem, Musique Nouvelle en Liberté, l’Adami et la villiers/LaInternational Courneuve de jeunes et au chefs sein d’orchestredu Pôle Sup’93 de partnersstring quartet including alongside Boris Augustin Berezovsky, Dumay, Michel Svetlin discography, crowned by numerous distinctions Spedidam et fait partie du réseau Futurs Composés. (PôleBesançon...) d’Enseignement Supérieur de la Musique). Dalberto,Roussev and Jean-Bernard Miguel da Silva. Pommier, He gave Fabrizio the first in France and abroad Chiovetta,performance Vanessa of Michel Benelli Legrand’s Mosell, Cello and Jean-Con- Henri Demarquette received the Simone and Elle est fréquemment chef invitée de nombreuses Frédériccerto, which Neuburger. was recorded In duo by thewith Sony accordionist label with Cino del Duca Foundation Prize from the 26 formations ou de concours (Chamber Choir Richard Galliano, Henri Demarquette also plays Académie des Beaux-Arts. He plays the ‘Vaslin’,27 Ireland, chœur de chambre de la Radio Flamande, an eclectic programme ranging from Bach to Gal- a 1725 Stradivarius cello lent by LVMH/Moët chœur de Radio-France, Arsys Bourgogne, liano. In 2014, they gave the first performance of Hennessy Louis Vuitton. Festival des Musiques sacrées de Fribourg, Galliano’s Contrastes, for accordion, cello and Chœur de Chambre du Québec, Concours orchestra. In 2015, he founded the Philia Europa International de jeunes chefs d’orchestre de string quartet alongside Augustin Dumay, Svetlin Besançon...) Roussev and Miguel da Silva. He gave the first performance of Michel Legrand’s Cello Con- certo, which was recorded by the Sony label with 26 27 SEQUENZA 9.3 vocal ensemble CATHERINE SIMONPIETRI, Founded in 1998, the Sequenza 9.3 Vocal Ensemble choral director is made of soloists led under the demanding and Catherine Simonpietri received tuition from Pierre generous direction of Catherine Simonpietri. Cao at the Royal Conservatory of the Grand Duchy In search of an æsthetical ideal in between cre- of Luxembourg, obtaining a premier prix in choral ation and tradition, the Ensemble nourishes conducting, then at the École Internationale de from encounters with nowadays’ composers, Chant Choral (Namur, Belgium), graduating with performers, as well as with other performing arts a unanimous premier prix. She did advanced study expressions (dance, cinema, jazz, opera, circus...). with Frieder Bernius, John Poole, Eric Ericson, SinceSEQUENZA its genesis, 9.3 Sequenza vocal ensemble 9.3 has featured in more HansCATHERINE Michael Beuerle SIMONPIETRI and Michel, Corboz. Foundedthan 60 creations in 1998, the (Ondrej Sequenza Adàmek, 9.3 Vocal Alessandros Ensemble choralIn 1995, director she participated in the creation of the Mis- isMarkeas, made of Philippe soloists Hersant,led under Thierry the demanding Escaich, andEsa Catherinesion Chant Simon Choralpietri of Seine-received Saint-Denis, tuition from before Pierre generousPekka Salonen, direction Edit Canat of Catherine de Chizy, Simonpietri. Daï Fujikura, Caotaking at theon Royalits educational Conservatory and of artistic the Grand direction. Duchy InVincent search Paulet…). of an æsthetical Its discography ideal in between count many cre- ofA juniorLuxembourg, lecturer obtaining at the Conservatoire a premier prix National in choral ationopuses and rewarded tradition, by both the critics Ensemble and press. nourishes conducting,Supérieur de then Musique at the deÉcole Paris, Internationale she conducts de fromThe ensemble encounters is supported with nowadays’ by the Seine-Saint-composers, Chantnumerous Choral productions (Namur, thereBelgium), (Bach, graduating Haendel, Strawith- performers,Denis county, as wellthe Frenchas with otherMinistry performing of Culture, arts avinsky, unanimous ...). She premier is also prix. a professor She did atadvanced the Aubervil study- expressionsthe city of Pantin,(dance, cinema,the Sacem, jazz, Musiqueopera, circus...). Nou- withliers -Frieder La Courneuve Bernius, Conservatory John Poole, and Eric at Ericson, the Pôle Sincevelle enits genesis,Liberté, Sequenza the Adami 9.3 andhas featured the Spedidam, in more HansSup’93 Michael (Graduate Beuerle Music and Centre). Michel Corboz. thanand is60 part creations of the (Ondrej Futurs Adàmek,Composés Alessandros network. In 1995, she participated in the creation of the Mis- Markeas, Philippe Hersant, Thierry Escaich, Esa sionShe isChant frequently Choral a guestof Seine- conductor Saint-Denis, of numerous before Pekka Salonen, Edit Canat de Chizy, Daï Fujikura, takingformations on its or educational competitions and (Chamber artistic direction.Choir Ire- Vincent Paulet…). Its discography count many Aland, junior Flemish lecturer Radio at theChoir, Conservatoire Radio France National Chorus, opuses rewarded by both critics and press. SupérieurArsys Bourgogne, de Musique Fribourg de InternationalParis, she conducts Festival The ensemble is supported by the Seine-Saint- numerousof Sacred Music, productions Chœur there de Chambre (Bach, Haendel, du Québec, Stra- Denis county, the French Ministry of Culture, vinsky,International ...). She Besançon is also a professor Competition at the for Aubervil Young- the city of Pantin, the Sacem, Musique Nou- liersConductors...) - La Courneuve Conservatory and at the Pôle velle en Liberté, the Adami and the Spedidam, Sup’93 (Graduate Music Centre). and is part of the Futurs Composés network. Translated by John Tyler Tuttle She is frequently a guest conductor of numerous formations or competitions (Chamber Choir Ire- 28 land, Flemish Radio Choir, Radio France Chorus, 29 Arsys Bourgogne, Fribourg International Festival of Sacred Music, Chœur de Chambre du Québec, International Besançon Competition for Young Conductors...)

Translated by John Tyler Tuttle

28 29 1. Henry Purcell : When I am Laid in Earth JACQUES, Jean-Sébastien NICOLAS, Xavier Ténors : Laurent DAVID, Safir BEHLOUL, 4’ / Arrangement François Saint-Yves MARGUERITAT • Création le 25 avril 2014 Pascal BOURGEOIS, Steve ZENGH Sopranos : Armelle HUMBERT, – Festival de Pâques (Aix-en-Provence) – Basses : Jean-Christophe JACQUES, Céline BOUCARD, Virginie LEFEBVRE commande de l’Ensemble Sequenza 9.3 Jean-Sébastien NICOLAS, Laurent BOURDEAUX, Altos : Sarah BRETON, Sophie POULAIN, Xavier MARGUERITAT Marie-George MONET / Ténors : Laurent DAVID, 5. John Dowland : Flow My Tears / 5’06 Création le 22 septembre 2013 – Commande Safir BEHLOUL, Pascal BOURGEOIS / Basses : Arrangement François Saint-Yves du Festival Ombres et Lumières (Clairvaux) Jean-Christophe JACQUES, Jean-Sébastien Sarah BRETON (alto), Safir BEHLOUL avec le soutien du fonds d’action Sacem NICOLAS, Xavier MARGUERITAT (tenor), Jean-Sébastien NICOLAS (baryton) 1. Henry Purcell : When I am Laid in Earth JACQUES, Jean-Sébastien NICOLAS, Xavier 9.Ténors Just :ė Laurent Janulyt DAVID,ė : Plonge Safir BEHLOUL,/ 9’14 4’2. /John Arrangement Tavener François : Svyati Saint-Yves / 12’25 MARGUERITAT6. Thierry Escaich • Création : Night’s le 25 avrilBirds 2014 / 9’44 SopranosPascal BOURGEOIS, : Armelle HUMBERT, Steve ZENGH Céline BOUCARD, Sopranos : Armelle HUMBERT, Céline BOUCARD, –Sopranos Festival de: Armelle Pâques HUMBERT, (Aix-en-Provence) Céline BOUCARD, – VirginieBasses :LEFEBVRE Jean-Christophe / Altos JACQUES, : Sarah BRETON, CélineHélène BOUCARD, RICHER / Altos Virginie : Sarah LEFEBVRE BRETON, commandeHélène RICHER de l’Ensemble / Altos : Sarah Sequenza BRETON, 9.3 SophieJean-Sébastien POULAIN, NICOLAS, Marie-George Laurent MONET BOURDEAUX, AltosSophie : SarahPOULAIN, BRETON, Marie-George Sophie POULAIN, MONET Sophie POULAIN, Marie-George MONET TénorsXavier MARGUERITAT : Laurent DAVID, Safir BEHLOUL, Marie-GeorgeTénors : Laurent MONET DAVID, / SafirTénors BEHLOUL, : Laurent DAVID, 5.Ténors John : LaurentDowland DAVID, : Flow Safir My BEHLOUL, Tears / 5’06 PascalCréation BOURGEOIS le 22 septembre / Basses 2013 : Jean-Christophe – Commande SafirPascal BEHLOUL,BOURGEOIS Pascal / Basses BOURGEOIS : Jean-Christophe / Basses : ArrangementPascal BOURGEOIS François / Basses Saint-Yves : Jean-Christophe JACQUES,du Festival OmbresJean-Sébastien et Lumières NICOLAS, (Clairvaux) Xavier Jean-ChristopheJACQUES, Jean-Sébastien JACQUES, NICOLAS, Jean-Sébastien SarahJACQUES, BRETON Jean-Sébastien (alto), Safir NICOLAS,BEHLOUL MARGUERITATavec le soutien du• Création fonds d’action le 3 juin Sacem 2015 – NICOLAS,Xavier MARGUERITAT, Xavier MARGUERITAT Laurent BOURDEAUX, (tenor),Xavier MARGUERITAT Jean-Sébastien NICOLAS (baryton) Philharmonie de Paris – Commande du fonds Jean-Christophe BRIZARD Création le 17 août 2016 – Festival du Périgord de9. Justdotationė Janulyt Vocelloė : Plonge / 9’14 2. John Tavener : Svyati / 12’25 6.Noir Thierry – commande Escaich de :Musicades Night’s Birds et Olivades / 9’44 Sopranos : Armelle HUMBERT, Céline BOUCARD, Sopranos3. Johannes : Armelle Ockeghem HUMBERT, : Déploration Céline BOUCARD, Sopranos : Armelle HUMBERT, Céline BOUCARD, DirectionVirginie LEFEBVRE : Catherine / Altos Simonpietri : Sarah BRETON, Hélènesur la mortRICHER de / GillesAltos : SarahBinchois BRETON, / 5’57 Hélène7. Jacob RICHER Clemens / Altos non : Sarah Papa BRETON, : VioloncelleSophie POULAIN, : Henri Marie-GeorgeDemarquette MONET TénorSophie : POULAIN,Safir BEHLOUL Marie-George / Basses : MONETJean-Sébastien ÔSophie souverain, POULAIN, Pasteur Marie-George et Maîstre MONET / 2’18 EnregistrementTénors : Laurent du DAVID, 18 au Safir21 août BEHLOUL, 2016 TénorsNICOLAS, : Laurent Xavier DAVID, MARGUERITAT Safir BEHLOUL, TénorsTénor : :Safir Laurent BEHLOUL DAVID, / BassesSafir BEHLOUL, : Jean-Sébastien auPascal Collège BOURGEOIS des Bernardins, / Basses Paris : Jean-Christophe Pascal BOURGEOIS / Basses : Jean-Christophe NICOLAS,Pascal BOURGEOIS Xavier MARGUERITAT / Basses : Jean-Christophe DirectionJACQUES, artistique Jean-Sébastien et ingénieur NICOLAS, son :Xavier 4.JACQUES, Éric Tanguy Jean-Sébastien : Stabat NICOLAS,Mater / 12’41 JACQUES, Jean-Sébastien NICOLAS, Jean-MarcMARGUERITAT Laisné • Création le 3 juin 2015 – Crédits photo : Couverture, Inlay, Sticker, SopranosXavier MARGUERITAT, : Armelle HUMBERT, Laurent BOURDEAUX,Céline BOUCARD, 8.Xavier Philippe MARGUERITAT Hersant : Métamorphoses Philharmonie de Paris – Commande du fonds ©Mark Obin / Juliette Deschamps VirginieJean-Christophe LEFEBVRE BRIZARD / Altos : Sarah BRETON, Création14’58 / Sopranosle 17 août : 2016Armelle – Festival HUMBERT, du Périgord Céline de dotation Vocello • Livret, ©Sequenza 9.3, ©M. Obin / J. Deschamps Sophie POULAIN, Marie-George MONET NoirBOUCARD, – commande Virginie de LEFEBVRE, Musicades Hélène et Olivades RICHER Design : A. Homann Ténors3. Johannes : Laurent Ockeghem DAVID, Safir : DéplorationBEHLOUL, Altos : Sarah BRETON, Sophie POULAIN, Direction : Catherine Simonpietri Coordination de projet : Bruno Guermonprez, Pascalsur la BOURGEOISmort de Gilles / Basses Binchois : Jean-Christophe / 5’57 7.Marie-George Jacob Clemens MONET, non Françoise Papa :FAIDHERBE Violoncelle : Henri Demarquette Garance Lemniaï Ténor30 : Safir BEHLOUL / Basses : Jean-Sébastien Ô souverain, Pasteur et Maîstre / 2’18 Enregistrement du 18 au 21 août 2016 31 NICOLAS, Xavier MARGUERITAT Ténor : Safir BEHLOUL / Basses : Jean-Sébastien au Collège des Bernardins, Paris NICOLAS, Xavier MARGUERITAT Direction artistique et ingénieur son : 4. Éric Tanguy : Stabat Mater / 12’41 Jean-Marc Laisné Crédits photo : Couverture, Inlay, Sticker, Sopranos : Armelle HUMBERT, Céline BOUCARD, 8. Philippe Hersant : Métamorphoses ©Mark Obin / Juliette Deschamps Virginie LEFEBVRE / Altos : Sarah BRETON, 14’58 / Sopranos : Armelle HUMBERT, Céline • Livret, ©Sequenza 9.3, ©M. Obin / J. Deschamps Sophie POULAIN, Marie-George MONET BOUCARD, Virginie LEFEBVRE, Hélène RICHER Design : A. Homann Ténors : Laurent DAVID, Safir BEHLOUL, Altos : Sarah BRETON, Sophie POULAIN, Coordination de projet : Bruno Guermonprez, Pascal BOURGEOIS / Basses : Jean-Christophe Marie-George MONET, Françoise FAIDHERBE Garance Lemniaï 30 31 Coproduction Vocello, • Le Collège des Bernardins, Paris Fonds de dotation Henri Demarquette • Atlantis Assurances et Ensemble vocal Sequenza 9.3 • Monsieur Bernard Gault • Monsieur Michael Guttman L’enregistrement de ce programme • Monsieur Yann Ollivier a reçu le soutien de : • Fonds de Création Musicale (FCM) • Les donateurs Culture Time, financement • l’Adami participatif : Thérèse Agneray - Jacques Balanche • Musique Française d’Aujourd’hui (MFA) - Marie-Anne Chazel - Anne Chim • Musique Nouvelle en Liberté - Emilie Crinon - Dominique Demarquette • Festival Ombres et Lumières - Paul Demarquette - Victor Demarquette de Clairvaux pour la commande et la création - Sophie Drobysz - Rémi Durand - Béatrice Etienne de Métamorphoses de Philippe Hersant, - Georges Gaussiat - Marianne Gaussiat le 22 septembre 2013 , - Frédéric Geschwind Almaviva - Isabelle Gillouard avec le soutien du Fonds d’action Sacem - Francis Gretz - Françoise Jan - Isabelle Koenigsberg • Festival de Pâques d’Aix-en-Provence, - Agnès Lyon Caen - Eric Montalbetti création du Stabat Mater d’Éric Tanguy, - Christine Musset - Isabelle Richard le 25 avril 2014 - Charles Salcedo - Hendrik Smets • Association Musicades et Olivades, - La Société Tropézienne Des Amis De La Musique pour la commande de Night’s Birds - Michel Schouman - Anne Tallec de Thierry Escaich créée au Festival - Jean-François Thomas - Ville De Beauvais du Périgord noir, le 17 août 2016 - Chantal Warin-Buillas - Delphine Warin

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