RAPPORT D’ORIENTATIONS BUDGETAIRE 2021

Sources : ‐ Rapport économique, social et financier annexe de la loi de finances ‐ Débat d’orientations budgétaires – Caisse d’épargne ‐ Indice des Prix des dépenses communales, Territoires et Finances / principaux ratios financiers des communes et intercommunalités en2019 ‐ La Banque Postale

I. INTRODUCTION ______3 II. Un contexte national chamboulé, rendant l’élaboration budgétaire 2021 incertaine ____ 4 A. Crise sanitaire et finances publiques : ______5 1. Baisse des impôts de productivité ______5 2. Dégrèvement de la taxe d’habitation (TH)______6 3. Les concours financiers de l’Etat et le FCTVA ______6 III. Les orientations budgétaires 2021, tous budgets confondus ______7 A. Modalités d’élaboration des budgets pour l’exercice 2021 ______7 B. Les grands axes 2021 ______8 1. Les actions de la CCPG dans le domaine économique ______8 a) L’entente économique ______8 b) L’action économique ______9 c) Fablab et formations supérieures ______10 2. … Dans le domaine du tourisme et du patrimoine ______11 a) Tourisme ______11 b) Le Patrimoine ______11 3. … Dans le domaine du Sport ______11 4. Dans le domaine de la petite enfance, de l’enfance et de la jeunesse ______12 a) La Petite enfance ______12 b) La direction de l’enfance ______13 (1) Les services « scolaires » et associés ______13 c) La restauration scolaire : ______14 d) Le périscolaire, l’extra‐scolaire ______14 e) La direction de la jeunesse, ______15 (1) Le service jeunesse, l’information jeunesse et la prévention santé ______15 (2) Le CISPD ______16 5. La direction du développement et de l’innovation sociale ______16 a) L’accompagnement social ______16 (1) L’accueil juridique ______16 (2) « Territoire zéro chômeur » : ______16 (3) « Tapaj » : (Travail Alternatif Payé à la Journée). ______17 b) Maisons Services / Espace Services Publics ______17

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c) Le CLIC ______17 d) L’aire d’accueil des gens du voyage ______17 6. Aménagement du territoire ______17 a) « Petites villes de demain » ______17 b) … En matière d’urbanisme ______18 c) … En matière d’habitat ______18 d) Les taxes d’aménagement ______18 7. Dans le domaine du développement durable ______19 a) Audit énergétique des bâtiments ______19 b) Les éoliennes ______19 c) La question de la mobilité ______19 8. La direction générale ______19 (1) Rapport sur le personnel ______19 (2) Juridique ______25 (3) L’administration générale ______25 (4) La communication et la vie publique ______25 IV. Traductions budgétaires des orientations ______26 1. Budget principal ______26 a) La section de fonctionnement ______26 (1) Les dépenses de fonctionnement ______26 (2) Les recettes de fonctionnement ______27 b) La section d’investissement ______31 (1) Les dépenses d’investissement ______31 (2) Les recettes d’investissement ______34 2. Les budgets annexes ______36 a) Zone d’activités d’Auxy ______36 b) Zone d’activités de la Petite Couture ______37 c) SPANC ______37 d) Logements « Boissin » ______38 e) L’école de musique ______39 3. L’endettement de la CCPG ______40 a) Le budget principal ______40 b) Le budget annexe Boissin ______43 V. Annexes ______46 A. Epargne / ratios ______46 B. Fiches projets ______48 C. Prospective fonctionnement ______49 D. Prospective investissement ______50 E. Etat des indemnités des élus ______51 F. Glossaire ______544

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I. INTRODUCTION

Dans les deux mois précédant le vote du budget, un débat sur les orientations budgétaires de la Communauté de Communes est, chaque année, inscrit à l’ordre du jour du Conseil Communautaire. La loi NOTRe (Nouvelle Organisation Territoriale de la République) en a modifié les modalités de présen‐ tation. Ainsi, l’article L.2312‐1 du Code Général des Collectivités Territoriales dispose : « Le budget de la commune est proposé par le Maire et voté par le Conseil Municipal. Dans les communes de 3 500 habi‐ tants et plus, le Maire présente au Conseil Municipal, dans un Délai de deux mois précédant l’examen du vote du budget, un rapport sur les orientations Budgétaires, les engagements pluriannuels envisagés ainsi que sur la structure et la gestion de la dette. Ce rapport donne lieu à un débat au conseil municipal, dans les conditions fixées par le règlement intérieur prévu à l’article L.2121‐8. Il est pris acte de ce débat par une délibération spécifique. » Cette disposition est applicable aux EPCI.

La loi n°2018‐32 du 22 janvier 2018 de programmation des finances publiques, pour les années 2018 à 2022, a instauré un dispositif d’évolution contrainte des dépenses de fonctionnement des collectivités territoriales et de leurs groupements. L’article 13 de la loi précitée dispose que : « I – Les collectivités territoriales contribuent à l’effort de réduction du déficit public et de maîtrise de la dépense publique, selon des modalités à l’élaboration desquelles elles sont associées. II – A l’occasion du débat sur les orientations budgétaires, chaque collectivité territoriale ou groupement de collectivités territoriales pré‐ sente ses objectifs concernant d’une part l’évolution des dépenses réelles de fonctionnement, exprimées en valeur, en comptabilité générale de la section de fonctionnement ; d’autre part l’évolution du besoin de financement annuel calculé comme les emprunts minorés des remboursements de dette. »

Source : AMF / La Banque Postale

Le présent rapport vise donc à répondre à ces enjeux et à présenter les orientations prises par la Collec‐ tivité en matière de dépenses publiques.

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II. Un contexte national chamboulé, rendant l’élaboration budgétaire 2021 incertaine

L’année 2020 aura été marquée par une crise sanitaire mondiale ayant un impact fort sur les finances nationales et locales. Après une croissance de 1.5% en 2019, l’épidémie de Covid‐19 et les mesures sani‐ taires prises pour y faire face ont provoqué une récession très sévère en France et dans le monde. Ainsi l’activité économique de l’année 2020 s’est traduite par une très grande irrégularité liée essentiellement aux périodes de confinement et déconfinement progressif.

Le rapport économique, social et financier (RESF) prévoit que le déficit public représentera 10,2 % du PIB en 2020 (contre 3,0 % en 2019) et que la dette publique atteindra 117,5 % du PIB à la fin de l’année (contre 98,1 % à la fin de 2019). Le Ministère des Finances prévoit une croissance du PIB en volume de 8,0 % en 2021, ce qui laisserait le niveau de l’activité économique à la fin de 2021 à peine au niveau de la fin de 2019. En outre, la recru‐ descence du Covid‐19 et le couvre‐feu affaiblissent les perspectives de croissance du PIB en 2021 (le quatrième trimestre 2020 compte significativement dans le calcul de la croissance de 2021 en moyenne annuelle) et celle‐ci pourrait donc être moins forte que prévu dans le RESF. A l’inverse, le déploiement rapide de la vaccination serait de nature à accélérer la reprise économique. Le plan de relance mis en place par le gouvernement vise à faciliter la reprise de l’activité, en l’orientant notamment dans des directions conformes à l’intérêt général comme la transition énergétique. Les conséquences financières de cette crise sanitaire toujours en cours seront certaines sur les budgets 2021 et 2022, voire 2023 de la Communauté de Communes. C’est donc un budget 2021 qui se construira avec de nombreuses incertitudes tant sur les montants en jeu que sur la durée de la crise et donc de ses impacts. Les hypothèses de travail aboutissant à la construction du Budget 2021 seront présentées dans le pré‐ sent rapport. Les impacts de la crise sanitaire que nous traversons seront notables pour les recettes fiscales et plus particulièrement pour les recettes de Cotisation sur la Valeur Ajoutée des Entreprises (CVAE) 2021 et 2022 dont l’assiette est constituée de la valeur ajoutée des entreprises en 2020. Ils seront également très lourds sur le marché du travail. Ainsi, les projections du BIT font état d’un taux de chômage de 11% à mi 2021 pour diminuer progressivement et atteindre 8 % en 2022.

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A. Crise sanitaire et finances publiques :

La loi de finances 2021 place le secteur public local comme un acteur majeur de la relance, puisqu’il représente près de 55 % des investissements publics. Le plan de relance de l’Etat se base sur une reprise économique par l’investissement autour de grands thèmes tels que la transition énergétique et écolo‐ gique, la mobilité, la santé. Ce plan de près de 100 Md€ est encore en attente de précisions quant aux mesures qui toucheront les collectivités locales, notamment en termes de financements d’investissements. En effet, les différents services préfectoraux sollicités sur les actions présentées dans le présent rapport ne sont pas en mesure d’apporter des réponses concrètes quant aux subventions possibles. (Des informations plus précises devraient nous parvenir dans le courant du mois de février.) La loi de finances 2021 présentée et adoptée le 18 décembre 2020 est donc marquée, pour les collectivi‐ tés locales, par plusieurs mesures et n’est pas sans susciter des interrogations.

1. Baisse des impôts de productivité

Celle‐ci s’inscrit dans le cadre du plan de relance et prévoit une diminution de 10 milliards de ces impôts sur la base d’ : ‐ Une baisse des taux de CVAE qui impactera les seules régions ; ‐ Une diminution du plafonnement de la CET1 en fonction de la valeur ajoutée de 3 à 2 % ce qui impactera les produits de CFE et de CVAE. Les règles d’affectation de la CVAE seront ajustées afin de maintenir à l’identique les ressources perçues par le bloc communal ;

1 La CET est composée de la CVAE, variable en fonction du chiffre d’affaires de l’entreprise et de la CFE (cotisation foncière) assise sur la valeur locative du bien. Le bloc communal perçoit seul la CFE alors que la CVAE est répartie entre les CT (régions, départements et bloc communal)

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‐ Une réforme de la méthode d’évaluation de l’assiette foncière des établissements industriels visant à réduire les montants payés par ces établissements contre une compensation de l’Etat pour les EPCI impactés ; Cette mesure s’inscrit dans la continuité des révisions locatives engagée depuis le 1er janvier 2017 et aboutit à une diminution de la moitié des valeurs locatives des entreprises industrielles. ‐ Une exonération de CET en cas de création ou d’extension d’établissement sous réserve d’une délibération des intercommunalités et des communes. Afin d’encourager les investissements fonciers des entreprises, la loi de finances prévoit également de reporter de 3 ans le début d’imposition à la CFE lors de la création ou de l’extension d’un établissement. Actuellement, lors de la création d’un établissement, l’imposition à la CFE se réalise l’année suivante, sur une base réduite de 50%.

2. Dégrèvement de la taxe d’habitation (TH)

Depuis 2020, 80 % des ménages ne payent plus de Taxe d’habitation (TH) pour leur résidence principale. Cette exonération concernera l’ensemble des ménages en 2023. Les foyers fiscaux les plus aisés bénéfi‐ cieront d’une baisse de 30 % de leur TH en 2021, puis de 65 % en 2022 avant d’être totalement exonérés en 2023. Cette suppression progressive de la taxe d’habitation est confirmée dans la loi de finances avec pour conséquence pour la CCPG la suppression de cette recette fiscale au profit d’une fraction de TVA trans‐ férée par le Gouvernement (correspondant à l’année précédente). La taxe d’habitation sera maintenue pour les résidences secondaires.

3. Les concours financiers de l’Etat et le FCTVA

La stabilité des dotations de l’Etat en faveur des collectivités locales est également prévue. ‐ Les dotations Il s’agit des prélèvements sur recettes de l’Etat au profit des collectivités locales ainsi que des crédits du budget général relevant de la mission des relations avec les collectivités territoriales correspondant aux différentes dotations perçues par les collectivités (DETR, DSIL, notamment)

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L’enveloppe de la DGF est stable au niveau national. Toutefois, il est à noter la création de deux nou‐ veaux prélèvements pour soutenir les collectivités devant faire face à une baisse des recettes liées à la crise sanitaire et la seconde relative à la compensation des pertes liées à la révision des valeurs locatives des entreprises industrielles. Il faut cependant souligner que la DCRTP ne devrait pas être réduite.

‐ Automatisation du versement du FCTVA Celle‐ci interviendra à compter de 2021. L’éligibilité au FCTVA ne sera plus fonction de la nature juri‐ dique de l’investissement mais de son imputation comptable. Un décret est venu préciser la nature des dépenses concernées.

‐ La péréquation La péréquation verticale est augmentée, au sein de l’enveloppe de la DGF qui, comme indiqué précé‐ demment, reste stable. De ce fait, il est probable que cela impact la CCPG.

‐ Indicateurs financiers A compter de 2022, les indicateurs seront modifiés afin de tenir compte de la réforme fiscale et ainsi intégrer les nouvelles ressources des collectivités (suppression TH, part départementale du foncier bâti aux communes, fraction de la TVA aux EPCI à fiscalité propre et aux départements, compensation de la réforme des valeurs locatives des établissements industriels).

III. Les orientations budgétaires 2021, tous budgets confondus

A. Modalités d’élaboration des budgets pour l’exercice 2021

Pour mémoire, la CCPG gère le budget principal et 5 budgets annexes (Les logements Boissin, le SPANC, la Zone d’activité d’Auxy, la zone d’activité de la petite couture, l’école de musique du Beaunois).

Contrairement au budget 2020, adopté en décembre 2019, le budget 2021 sera adopté fin mars 2021. Ce choix a été fait afin de tenir compte de plusieurs éléments : ‐ Le décalage des élections communautaires, intervenues en juillet 2021 ; ‐ La volonté des élus de formaliser un projet de territoire2, pour le mandat 2020‐2025, accompagné d’un pacte financier et fiscal ; ‐ Un service des finances en sous‐effectif. De ce fait, et sous réserve des notifications fiscales, l’année 2021 ne donnera pas lieu à l’adoption d’un budget supplémentaire, les résultats de l’année 2020 étant connus dans le courant du 1er trimestre. Le budget 2021 sera, pour l’essentiel, la poursuite des actions validées par les élus, et/ou engagées les années précédentes. Les nouveaux projets, ou actions, seront issus du « Projet de territoire », dont la finalisation est prévue à la fin du 1er semestre 2021. A noter, qu’une inscription budgétaire de 36 000 € est faite au titre de 2021 afin d’accompagner les élus dans l’élaboration dudit projet et du pacte financier et fiscal en découlant.

2 Le projet de territoire constituera le document stratégique de référence pour le mandat.

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Depuis 2018, une lettre de cadrage budgétaire est diffusée aux services. Elle donne le sens du travail qui doit être réalisé par les directeurs et responsables de service en lien avec les élus en charge et les com‐ missions. Pour 2021, il a été demandé de maintenir le budget au même niveau que celui de 2020. Un point de vigilance est à souligner. Un certain nombre de budgets des services ont été révisés lors du Budget supplémentaire 2020 afin de tenir compte des incidences de la crise sanitaire (augmentation des dépenses liées à l’entretien, diminution des recettes liées aux services à la population…). La comparai‐ son avec l’année 2020 doit donc être prise avec précaution.

Les politiques publiques mises en œuvre, jusqu’à ce jour, s’articulaient autour des 5 piliers suivants :

B. Les grands axes 2021

1. Les actions de la CCPG dans le domaine économique

L’Entente économique à l’échelle du Nord et l’action économique de la CCPG.

a) L’entente économique Les développeurs économiques œuvrent sur le territoire du Nord Loiret depuis novembre 2018. 2018/2019 a été consacrée à la remise à plat de l’ensemble des partenariats et à l’accompagnement de chaque communauté de communes dans ses projets. L’année 2019/2020, quant à elle, n’a pas été celle escomptée. Si le dispositif d’Etat « Territoire d’industrie » a été lancé, la crise sanitaire et ses incidences sur l’activité économique sont venues bous‐ culer l’année et ont contraint tous les acteurs à réorienter leurs actions. Ainsi, les développeurs sont venus en relai des dispositifs d’aide déployés par l’Etat et la Région, notamment lors du 1er confinement.

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Dans un second temps, ils ont décliné le dispositif d’aide mis en œuvre par les Communautés de com‐ munes avec l’appui du département. A noter, qu’à la suite d’un congé maternité, 1 seul développeur a été présent du mois de septembre à décembre 2020. Novembre 2020/Novembre 2021 constituera la dernière année de la convention partenariale nous liant avec la Région Centre Val de Loire. Il conviendra donc, dans le courant de l’année, de se rapprocher de cette dernière afin d’évoquer la poursuite de ce partenariat. Les modalités financières de celui‐ci n’évolueront pas, le reste à charge pour la CCPG sera de l’ordre de 37 000€. Pour mémoire, les trois communautés de communes financent l’Entente économique selon la clé de répartition suivante : CCPNL 16 %, CCDP 44 %, CCPG 40%.

b) L’action économique La crise sanitaire a conduit les élus à renforcer leur action économique au profit des entreprises du terri‐ toire, dans le cadre d’un avenant à la convention avec la Région. Les modalités de ces aides ont été travaillées par les trois communautés de communes, permettant la définition d’une stratégie à l’échelle du Nord Loiret. Ainsi, ces dernières ont : ‐ Contribué au Fonds Renaissance mis en place par la Région, ‐ Définis des critères d’aide similaires, tout en conservant leur autonomie de gestion.

Plus spécifiquement, la CCPG a délibéré afin de permettre l’exonération d’une part de CFE pour les en‐ treprises intervenant dans le domaine du tourisme. Le montant de cette diminution de recettes a été estimé à 40 000€ par les services de l’Etat.

Il faut souligner que de manière plus globale, si l’on intègre les montants dépensés par la CCPG auprès des entreprises de son territoire, dans le cadre de ses achats, ce sont près de 502 000 € qui ont été in‐ jectés dans l’économie locale.

Le budget 2021 « action économique » présenté par la commission prévoit à ce jour :

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‐ Un montant d’aide économique de 90 000€ au titre de l’immobilier d’entreprises et 25 000 € pour l’équipement des TPE. ‐ Des contributions versées à nos différents partenaires à hauteur de 30 000 € correspondant à Loiret Orléans Eco et initiatives Loiret.

Le budget 2021 devrait voir avancer le projet d’extension de la zone d’activité de la commune déléguée de Malesherbes. Afin de suivre précisément l’évolution cette opération, le choix a été fait de créer un budget annexe qui donnera lieu à une délibération lors du conseil du 2 février. Dans ce budget, seront prévus, titre de l’année 2021, le remboursement des frais de portage à l’EPFLI à hauteur de 150 000 € et des frais d’étude à hauteur de 60 000€.

Parallèlement, un travail devra être entrepris avec la Commune pour se porter acqué‐ reurs des parcelles incorporées dans le patrimoine de cette dernière dans le cadre d’une procédure de « biens sans maître ».

Parallèlement, la commission vie économique a identifié comme prioritaire le travail sur la signalétique des zones d’activité et propose de réinscrire 40 000€ à ce titre.

Le budget annexe de la zone d’activité d’Auxy sera également abondé à hauteur de 261 000 € comme correspondant à des acquisitions pour 200 000€, des frais d’études complémentaires pour 40 000€ et des frais de contentieux pour 21 000 €.

Ainsi de manière globalisée, ce sont plus de 655 000 € qui sont fléchés en vue de développer l’activité économique du territoire.

c) Fablab et formations supérieures

Depuis plusieurs années, le manque de qualification des jeunes du Nord Loiret, l’absence d’établissements d’études supérieures sont identifiés comme des facteurs défavorable à l’attractivité du territoire. Parallèlement, les entreprises du Nord Loiret soulignent, régulièrement, la difficulté de trouver des sala‐ riés qualifiés, particulièrement dans les métiers sous tension. Afin de pallier à cette situation, plusieurs projets sont à l’étude, parmi lesquels :  La création d’un FabLab. Initié par l’association CAP, ce projet est porté par la commune de dans le cadre de l’action Cœur de Ville.  Implantation du CNAM et d’un campus connecté. Ces deux projets sont le fruit d’un partenariat entre l’Entente économique du Nord Loiret d’une part ainsi que le CNAM et la commune du Pi‐ thiviers d’autre part. Dans les deux cas, cela a pour ambitions d’offrir des alternatives de formations supérieures (ini‐ tiale et continue) sur le territoire du Nord Loiret et de lever des freins à la poursuite des études des jeunes.

Ces trois projets s’inscrivent dans le cadre d’Appels à Manifestation d’Intérêt. Ils induisent des participa‐ tions financières pluriannuelles des trois communautés de communes du Nord Loiret, variables en fonc‐ tion de l’obtention de subventions.

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Ainsi la contribution de la CCPG oscillerait, pour 2021, entre 35 140 € et 59 270 €, étant précisé que le recrutement du référent pédagogique du campus connecté serait assuré par la CCPG dans le cadre de l’Entente économique.

2. … Dans le domaine du tourisme et du patrimoine

a) Tourisme

La politique de développement touristique du Nord Loiret est portée par l’office du tourisme du Grand Pithiverais (OTGP) pour lequel la contribution 2021 sera maintenue à hauteur de 2€ par habitant.

Au‐delà des actions portées par l’OTGP, la CCPG souhaite accompagner le développement touristique du territoire à travers la valorisation de son patrimoine.

Le projet de création d’un lieu de rayonnement de la biodiversité sur le domaine de Flotin verra le jour en 2021, dans le cadre du partenariat avec les jardins de la Voie Romaine. Un travail de recherche de financements alternatifs devra impérativement être conduit afin d’atteindre l’objectif d’une « couver‐ ture financière » de 60 % du projet. Des demandes dans le cadre de la DSIL et au titre du Volet 4 de la politique départementale sont d’ores et déjà réalisées.

D’autres travaux sont également identifiés. Il s’agit de travaux de réfection sur le Belvédère des Cail‐ lettes (85 000€), la finalisation des travaux sur le Moulin de Châtillon (31 800€), et de la reconduite de la réflexion sur la signalétique touristique (10 000€).

b) Le Patrimoine La politique de soutien à la réhabilitation du patrimoine de proximité instaurée en 2018 se poursuivra en 2021. Le montant porté au budget sera similaire à celui de 2020 soit 8000€. A ce jour, 4 projets de communes sont identifiés, et 1 projet privé.

3. … Dans le domaine du Sport

Dans le domaine sportif, la CCPG est compétente pour les seuls équipements sportifs d’intérêt commu‐ nautaire. Il s’agit du : ‐ Du gymnase intercommunal de Beaune La Rolande, ‐ Des gymnase, stade football et tennis de , ‐ Du gymnase Mimoun et le BAF du Malesherbois.

Les dépenses de fonctionnement afférentes seront constituées pour l’essentiel des dépenses d’entretien desdits équipements et de quelques équipements pour les maîtres‐nageurs du BAF, ainsi que d’une étude visant à identifier les modalités d’un éventuel transfert du BAF de Puiseaux (point ins‐ crit dans les statuts de la CCPG).

L’utilisation des équipements sportifs, gérés par la CCPG, par les collèges et le lycée de Beaune La Ro‐ lande donnent lieu à des recettes dont le montant est estimé à 47 700€. A ces recettes se rajoutent les recettes du BAF. Estimées dans un premier temps à 12 000€, elles ont été révisées, pour atteindre 20 000€ soit l’équivalent des recettes perçues en 2020.

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Concernant les investissements, les premiers besoins sont estimés à 267 500 € répartis en :

BAFM Travaux conformité et rénovation 115 000,00 GYMM Travaux conformité 65 000,00 GYMP Eclairage dojo + danse 14 000,00 GYMP Sol salle de sport 70 000,00 BAFM Autolaveuse 3 500,00

Pour l’essentiel il s’agit de remise aux normes des équipements pour laquelle des subventions DSIL sont demandées et/ou qui donneront lieu au versement d’attributions de compensation par Le Malesherbois pour les équipements transférés par cette dernière. A noter, qu’une demande de remise en état de la piste d’athlétisme située sur l’emprise du stade de foot a été reçue par la CCPG. Cette demande résulte de la suppression d’une partie des espaces utilisés par le collège pour la pratique du sport. Une réunion avec le Collège et la Commune est programmée dans le courant du mois de janvier afin d’étudier ce besoin.

4. Dans le domaine de la petite enfance, de l’enfance et de la jeunesse

Les désordres de l’espace enfance : Les travaux de remise en état de la toiture de l’espace enfance qui devaient être entrepris en 2020, puis en janvier 2021 ne le sont toujours pas. Ils devraient l’être prochainement.

a) La Petite enfance Les budgets prévisionnels 2021 tels que travaillés à ce jour par les services pour leurs activités quoti‐ diennes sont en augmentation par rapport à 2020.

Recettes % évolution BP 2019 CA 2019 BP 2020 Conso BP 2021 BP2020/2021 MAC 48 994,00 86 860,00 38 328,00 24 155,00 38 550,11 1% 264 600,00 455 960,00 343 000,00 109 700,00 368 494,68 7% SAF 2 100,00 2 102,00 1 734,00 840,00 1 725,97 0% 102 000,00 138 662,00 177 000,00 36 567,00 108 801,00 ‐39% Parentalité (petit pont) + Arc en ciel 17 525,97 4 000,00 17 525,97 0% 13 525,97 13 525,97 0% D° Petite Enfance HG 10 755,00 18 347,00 13 681,00 2 139,00 14 710,00 8% 11 900,00 58 956,00 57 107,00 5 388,00 46 792,00 ‐18% RAM 13 471,00 11 155,00 10 358,00 4 684,00 9 918,00 ‐4% 36 549,00 138 212,00 33 000,00 18 653,00 35 300,00 7% Total dépenses 75 320,00 118 464,00 64 101,00 31 818,00 64 904,08 1% Total recettes 415 049,00 791 790,00 610 107,00 170 308,00 559 387,68 ‐8%

Ces augmentations s’expliquent par : ‐ Les effets de la mise en œuvre des protocoles sanitaires nécessitant un renforcement de l’entretien des équipements ; ‐ Le changement de prestataire pour les repas de la crèche ; ‐ L’intégration de remboursement de charges pour des communes qui jusqu’alors ne s’étaient pas manifestées (halte‐garderie).

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Concernant les recettes, au regard de l’absence de lisibilité sur l’année à venir le choix a été fait de les évaluer de manière prudente. Seules les recettes liées au CEJ seront inscrites pleinement.

b) La direction de l’enfance

(1) Les services « scolaires » et associés

(a) Le scolaire : Le budget « scolaire » attribué aux écoles restera inchangé en 2021 ; Seules seront intégrées les évolu‐ tions liées aux effectifs et à l’ouverture de la nouvelle école sur Puiseaux en lieu et place des écoles du regroupement.

Ainsi, il est proposé de maintenir les enveloppes préalablement définies resteront similaires. ‐ 50 € par élève pour les fournitures scolaires, ‐ 120€ par classe pour les fournitures administratives, ‐ 60€ par enfant pour des classes de découverte dans la limité de 10 000€.

En matière d’entretien des équipements, les travaux de peinture dans les écoles seront poursuivis : re‐ mise en peinture d’une classe au sein de l’élémentaire de Puiseaux et de la classe de la maternelle trans‐ formée en bibliothèque.

Les principaux investissements dans les écoles : Parallèlement, le remplacement des PC dans les écoles de Puiseaux est envisagé pour un budget global de 20 600€.

La nouvelle école (cf. : fiche opération en annexe) L’ouverture de la nouvelle école est prévue en septembre 2021. Celle‐ci donnera lieu à une délibération en février 2021 prévoyant la fermeture des écoles du regroupement et l’ouverture de l’école de Pui‐ seaux. Cette démarche permettra aux enseignants de se positionner sur l’ouverture des classes.

Le budget prévisionnel de création du nouveau groupe scolaire était estimé à 5 030 220€ (avant consul‐ tation), répartis sur trois ans. A ce jour, le montant de cette opération s’élève à 5 426 000 €. Le plan de financement prévoit des recettes liées à la DETR, à des subventions perçues du département au titre du volet 2, à la CAF, et au CRST.

Les impacts de l’ouverture de la nouvelle école sur les dépenses de fonctionnement. Les dépenses de fonctionnement liées à l’ouverture de la nouvelle école ont été ajustées. Ainsi, son ouverture étant programmée en septembre, les frais de transport, les frais liés aux interventions « mu‐ sique », les frais de remboursement des charges aux communes accueillant les écoles du regroupement ont été revus à la baisse afin de tenir compte d’un fonctionnement « éclaté » sur 6 mois et « regroupé » sur 4 mois. Seule l’organisation du personnel des services d’entretien et de restauration n’a pas encore été étudiée. Toutefois, les services se sont appuyés sur l’hypothèse que ce regroupement des classes permettra une optimisation du fonctionnement (moins de temps de déplacement) et un redéploiement des agents vers la cuisine centrale en cas d’internalisation des repas.

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c) La restauration scolaire : Contrairement à l’année 2020 qui avait vu une baisse des inscriptions budgétaires, le budget dédié à la restauration scolaire sera en augmentation de 8.5 % en 2021. Cette évolution est liée à la fois à : ‐ L’augmentation du nombre de rationnaires dans les cantines

‐ L’augmentation du prix du repas. Ainsi, le bol alimentaire passera pour le restaurant scolaire de la CCPG à 1.80 € et le prix de repas dans les cantines du regroupement augmentera de 8 % avec le nouveau prestataire. A ce jour, ces augmentations ne sont pas répercutées sur le prix du repas facturé aux familles, lequel n’a pas connu d’augmentation depuis la création de la CCPG. Un travail sur la tarification des repas aux familles sera conduit dans le courant du 1er semestre 2021. ‐ L’obligation de réaliser un audit du restaurant scolaire en vue de la ré‐internalisation de la prestation repas pour la nouvelle école du regroupement.

Compte tenu de l’augmentation des effectifs, les recettes sont estimées à 316 150€, soit 36 % de plus que le budgété 2020 (BP/BS). Pour mémoire, les recettes 2020 avaient été ajustées afin de tenir compte du confinement.

Les investissements : 8230 € sont inscrits pour la cuisine centrale de Puiseaux, il s’agit de remplacer du matériel et de renouveler les néons.

d) Le périscolaire, l’extra‐scolaire Les budgets du périscolaire et de l’extrascolaire évolueront peu par rapport au budgété 2020 (BP + BS)

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e) La direction de la jeunesse,

(1) Le service jeunesse, l’information jeunesse et la prévention santé Au sein de cette direction sont développées plusieurs actions liées : ‐ Aux services jeunesses implantés sur le territoire du Malesherbois et du Puiseautin ; ‐ A l’information jeunesse ; ‐ Aux séjours proposés chaque année ; ‐ À la prévention santé, domaine pour lequel le poste de référent est inoccupé depuis plusieurs mois ; ‐ Au CISPD, dont le lancement a eu lieu en décembre dernier.

Globalement, le service restera en 2021 dans l’épure budgétaire de 2020. Il connaîtra cependant quelques évolutions liées à un séjour en Allemagne prévu en 2020 dans le cadre d’un travail avec le Co‐ mité de jumelage du Malesherbois. Deux autres projets ne sont pas à ce jour inscrits dans le budget 2021. Il s’agit d’un projet lié à la réalisa‐ tion d’un « GRAF » sur le mur du gymnase Mimoun situé sur la commune déléguée de Malesherbes (estimation 5 900 €) et de la poursuite de l’action « musique » portée jusque‐là par un animateur (5 500 €). Ces inscriptions seront possibles sous réserve de l’obtention de subvention, et, pour le premier d’entre eux l’avis favorable de la Commune concernée.

Une particularité : les séjours Le budget consacré au séjour est estimé à 15 000 €, celui‐ci a été revalorisé de manière substantielle notamment en raison du changement de formule proposé. En effet, à l’inverse des années antérieures, il s’agit d’une prestation « clef en mains », donnant lieu à des prestations de la DDJCS, au titre du dispositif des « vacances apprenantes ».

Afin de maintenir le montant global du budget 2020, le budget de 4 000 € prévu en 2020 sur des actions de prévention sera réparti en 2021 entre la prévention et l’information jeunesse. En effet, les départs de

15 trois agents du service permettent d’ores et déjà de réorienter les actions de ce dernier vers une plus grande polyvalence. Ainsi, les animateurs « jeunesse » auront dorénavant dans leur fiche de poste un axe « information jeunesse », ce qui permettra une meilleure couverture des besoins du territoire.

(2) Le CISPD Le Comité intercommunal de prévention de la délinquance et de la radicalisation a été officiellement lancé en décembre dernier. Les services vont pouvoir déployer des actions, dès 2021, au regard des 1ers éléments de diagnostic présentés, résultant des échanges entre la coordinatrice et les élus des communes. Néanmoins, il est important qu’un diagnostic soit mené afin d’affiner le diagnostic et établir un plan d’actions, celui‐ci devant être présenté et validé en octobre 2021. Pour cela, recourir à un cabinet spécialisé semble né‐ cessaire. A cette fin un budget de 20 000 € est prévu.

5. La direction du développement et de l’innovation sociale

a) L’accompagnement social Les incidences sociales de la crise sanitaire ne sont pas encore bien identifiées. Malgré plusieurs de‐ mandes, aucun chiffre sur l’évolution des demandeurs d’emplois et les bénéficiaires du RSA sur notre territoire ne nous est parvenu, à l’heure de la rédaction du présent ROB. Toutefois, les tendances natio‐ nales et la « perception » des professionnels tendent à confirmer une augmentation substantielle des allocataires et des difficultés psychologiques de plus en plus importantes de personnes déjà fragilisées. Cette situation, bien que préoccupante, sera, a priori, sans conséquence sur le conventionnement avec le département ; La CCPG étant chargée du suivi de 30 mesures.

A noter que l’organisation du service a été revue fin 2020. En effet, un agent administratif mis à disposi‐ tion, à hauteur de 75 % de son temps de travail, par la commune Le Malesherbois a exprimé son souhait de réintégrer pleinement les effectifs de la Commune. De ce fait, il a été proposé : ‐ De réduire le temps administratif à 60 %, ‐ D’augmenter le temps de présence d’un travailleur social de 20%, ‐ D’inscrire cet emploi administratif dans le cadre du dispositif des « emplois aidés ». Cette organisation permet de renforcer le service en termes de compétences en « accompagnement social » et d’obtenir des remboursements de charges pour l’agent administratif.

(1) L’accueil juridique A l’occasion de l’extension de l’exercice de la compétence « action sociale », l’agent en charge de l’accès aux droits du Malesherbois a été transféré. Dans le cadre de l’exercice de ses missions, celle‐ci a besoin de documentation juridique spécifique. Un budget de 1050€ est prévu.

(2) « Territoire zéro chômeur » : Les élus ont confirmé leur volonté d’intégrer ce dispositif national et ainsi d’inscrire le territoire de la CCPG dans les 50 nouveaux territoires identifiés. Un travail est en cours pour identifier les pistes de création d’emplois possibles. A ce jour, le budget consacré à ce projet correspond à l’adhésion à l’association nationale. Si le terri‐ toire de la CCPG était retenu, il est probable que des financements complémentaires soient à envisager notamment afin de permettre l’accueil de l’entreprise à but d’emploi (EBE).

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(3) « Tapaj » : (Travail Alternatif Payé à la Journée). Ce programme fait partie d’une approche globale dans l’accompagnement d’un public jeune en grande précarité. Il s’agit de permettre à ses derniers d’accomplir quelques heures de travail « accessibles ». Le partenariat avec la CCPG permettrait à ces jeunes d’intervenir sur des chantiers nécessitant peu ou pas de qualification. Ainsi, la mise en peinture du local à archives est envisagée comme 1er chantier. Initia‐ lement prévu en 2020, ce projet n’a pu se concrétiser. Il est donc reporté en 2021 et abondé du même montant soit un budget de 6000€.

b) Maisons France Services / Espace Services Publics 2020 a vu l’ESP du Malesherbois labellisé France Services. De ce fait, les subventions perçues par la CCPG à ce titre seront de 60 000€. Parallèlement, un nouveau lieu d’accueil de l’Espace de Services Publics a été identifié sur Puiseaux. Situé dans un ancien commerce, celui‐ci donnera lieu à une nouvelle dépense d’environ 8500€ corres‐ pondants aux loyers mensuels (500€) et aux charges (estimées à 200€). Parallèlement, des travaux se‐ ront à prévoir. Estimés à 15 000€, ils ne sont pas à ce jour inscrits ; une réflexion devant être conduite en lien avec la commune de Puiseaux.

c) Le CLIC L’activité du CLIC à l’échelle du Nord Loiret demeurera identique à 2019. L’impact financier éventuel d’un élargissement de l’intervention de ce dernier à l’échelle du Nord Loiret n’est pas, à ce jour, prévu.

d) L’aire d’accueil des gens du voyage La contribution au SYMGHAV est estimée au titre de l’année 2021 à 80 000 €. Un audit financier du syn‐ dicat a été sollicité par la nouvelle gouvernance Les résultats devraient être connus dans le courant du mois de janvier. A l’issue de celui‐ci, la décision du maintien de l’existence de ce syndicat devra être prise. De ce choix dépendra la suite donnée au mode de gestion de l’aire d’accueil de Malesherbes. Parallèlement, l’élaboration du schéma départemental d’accueil des gens du voyage est en cours de finalisation. Il devrait être présenté dans le courant du 1er semestre de l’année 2021 aux élus. Il est pro‐ bable que ce nouveau schéma aura des incidences sur notre territoire, les modalités d’accueil des gens du voyage sur les territoires ayant grandement évolué ces dernières années.

6. Aménagement du territoire

a) « Petites villes de demain » La « reconnaissance Petites Villes de Demain pour les communes de Beaune La Rolande, Puiseaux et la Commune Déléguée de Malesherbes induira deux actions majeures sur 2021 : ‐ Le Recrutement d’un chargé de mission subventionné entre 50 et 75%, pour un budget de 48 800 €, ‐ Le lancement d’une étude sur le commerce. A cette fin, la CCPG a sollicité l’appui de la banque des territoires dès la mi‐décembre, pour un budget de 40 000 €.

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b) … En matière d’urbanisme Le calendrier initial des trois Plans Locaux d’Urbanisme en cours d’élaboration sur notre territoire n’a pu être respecté. L’année 2021 devrait donc constituer l’ultime année d’inscription budgétaire en la matière.

A noter qu’une réflexion devra être conduite par la CLECT, en la matière, afin d’identifier les attributions de compensation relatives aux demandes de modifications des communes.

c) … En matière d’habitat (a) L’OPAH dernière année L’année 2021 constituera la dernière année contractuelle pleine, l’OPAH prenant fin en avril 2022. Elle devrait permettre de régulariser le retard pris en 2020 du fait de la crise sanitaire, sous réserve de l’évolution de celle‐ci. Ce volet est un axe complémentaire à ce qui sera mis en œuvre dans le dispositif de « Petites Villes de Demain » et s’inscrit dans les orientations liées à la résorption de la précarité énergétique dans le sou‐ tien à l’adaptation des logements notamment. Un budget de 165 935 € est prévu en dépenses (dont 79 500 €) en investissements et de 63 258 € en recettes. (b) Le Plan Locale de l’Habitat (PLH) / Projet de territoire Aucune inscription budgétaire liée au déploiement de nouvelle action est prévue dans le cadre du PLH. Ces inscriptions n’interviendront qu’à l’issue du processus d’élaboration et de son approbation défini‐ tive. Le projet de territoire devra donc statuer sur la déclinaison de ce plan, à l’échelle du territoire. Dans cette attente, les actions du PLH, sans incidence budgétaire, pourront être déclinées dès 2021, sous réserve de validation. A noter qu’à l’issue de ce process, la CCPG sera compétente pleinement en termes d’habitat. Un travail sera donc à entreprendre avec les communes souhaitant entrer dans les dispositifs « permis de louer » « permis de diviser ». d) Les taxes d’aménagement En 2019, la CCPG a délibéré afin de bénéficier de la taxe d’aménagement sur les travaux entrepris sur les zones d’activité.

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A ce jour seule la Commune de Beaune a identifié une recette potentielle de 253€, en parallèle, la DDT nous a informé qu’une recette d’environ 13 000€ sera versée en 2021.

7. Dans le domaine du développement durable

a) Audit énergétique des bâtiments Les dépenses d’énergie représentent 18 % des charges générales et constituent donc un enjeu majeur d’économie pour la CCPG. Un audit des équipements de la CC a donc été sollicité par les membres de la commission travaux. Un budget de 40 000 € est prévu. Parallèlement, l’ADIL a été sollicitée pour présenter les missions de Con‐ seil en économie partagé.

b) Les éoliennes La question des recettes induites par l’implantation des éoliennes sur le territoire de la CCPG a été po‐ sée à plusieurs reprises. A ce jour, aucune recette n’est envisagée compte‐tenu de l’avancée des projets.

c) La question de la mobilité Les élus de la CCPG comme toutes les communautés de communes seront conduits à se prononcer sur la prise de la compétence au plus tard le 31 mars prochain. Aucun budget n’est à jour identifié pour cette compétence

8. La direction générale

(1) Rapport sur le personnel

1°) Données générales :

Temps de travail dans la collectivité :

Le temps de travail à la CCPG est de 1 607 heures annuelles pour un temps complet. Il n’est accordé aucune dérogation à ce principe, hormis les autorisations d’absence exceptionnelles liées à des évènements familiaux particuliers et accordées sur présentation du justificatif correspondant. En ce sens notre collectivité est déjà en conformité avec l’article 46 de la loi du 6 août 2019 de transfor‐ mation de la fonction publique sur la durée du travail. Il conviendra seulement de vérifier, comme le pré‐ voit l’article 45, que ces autorisations spéciales d’absence seront conformes à celles harmonisées entre les 3 versants de la fonction publique, selon un décret à paraître. Ce temps de travail peut être aménagé en cycle de travail : lié au rythme scolaire en l’occurrence, pour les agents d’entretien, ATSEM, et animateurs. Tous les agents peuvent en outre choisir, en accord avec leur responsable et suivant les obligations de service, de travailler plus de 35h par semaine, ce qui génère alors un calcul de jours de Récupération du Temps de Travail (RTT).

Eléments sur la rémunération :

Tous les agents, titulaires bien‐sûr, mais aussi contractuels, sont rémunérés sur indice. C’est‐à‐dire qu’il n’y a pas ce que l’on appelle parfois des « horaires » pour le traitement de base.

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Le principe est de ne pas payer d’heures supplémentaires mais de les récupérer.

Cependant en raison de nombreuses absences non remplacées (faute de candidats) cette année sur les services enfance et scolaire, des heures complémentaires ont été payées aux agents déjà en poste.

Le montant 2020 versé pour la Nouvelle Bonification Indiciaire (NBI) et le supplément familial s’élève à 53 376 €. L’augmentation de cette somme par rapport à l’an dernier (+ 9 452 €), est due à l’élément Sup‐ plément Familial de Traitement. A noter à ce sujet qu’un contrôle systématique des éléments générateurs permettant le versement de ce SFT a été fait cette année.

Les agents de la CCPG bénéficient en outre d’un régime indemnitaire :  le RIFSEEP est maintenant pleinement mis en œuvre : application à tous les cadres d’emploi et tous les agents ayant un an d’ancienneté ;  En 2020 ont été versées la partie fixe bien‐sûr, à savoir l’IFSE (Indemnité Forfaitaire de Sujétions et d’Expertise), mais aussi la part variable issue des entretiens d’évaluation, à savoir le CIA (Com‐ plément Indemnitaire Annuel).

Ainsi en 2020 le régime indemnitaire représente 528 425 € (contre 476 068 € en 2019).

Il n’est octroyé aucun avantage en nature à la CCPG.

Cependant, l’établissement public adhère au Comité National des Œuvres Sociales (CNAS) soit une dé‐ pense de 212 € par agent présent depuis au moins 6 mois dans la collectivité, et au Comité des Œuvres Sociales du Malesherbois et de la CCPG, à raison de 100 € par agent actif au 1er janvier de l’année consi‐ dérée. Soit un budget total pour l’action sociale de 50 037 €.

Recrutements et transferts / suppressions de postes :

Il n’a été procédé sur 2020 à aucune création nette de poste, les modifications du tableau des effectifs faisant suite à des réorganisations de service.

Ainsi un poste d’Attaché à mi‐temps a été créé suite au départ de la Directrice Générale Adjointe des services qui était à temps complet, et dont le poste a été supprimé.

Il a en outre été recouru à deux contrats aidés, c’est‐à‐dire, deux Contrats d’Accompagnement dans l’Emploi pour un an avec une durée d’embauche de 20 heures hebdomadaires, une rémunération sur la base du SMIC et un remboursement des charges sociales à hauteur de 60% ; ‐ L’un portant sur des missions d’animation d’ateliers numériques ; ‐ L’autre pour le secrétariat du service social, en lieu et place d’un agent initialement détaché de la ville du Malesherbois.

Par contre plusieurs postes sont restés vacants : animatrice RAM, animateurs enfance, comptable, du fait de l’absence de candidats correspondant aux profils de poste. Ainsi ce sont 120 262 € qui n’ont pas été dépensés en rémunération brute.

Avancements de grade : 3 agents de catégorie C ont bénéficié en 2020 d’une évolution de carrière par avancement de grade : 2 au tableau d’avancement et 1 suite à la réussite à l’examen professionnel.

1 agent de catégorie B a également bénéficié d’un avancement de grade au tableau.

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Il en ressort donc la structure des effectifs présents au 31/12/2020 (hors agents partis, en disponibilité et/ou détachement) tel que suit :

Nombre d’agents / Catégorie A Catégorie B Catégorie C Chiffres au 31.12.2019. Administrative 5 2 (3) 17 (18)

Technique 2 2 44

Animation 0 2 48 (46)

Sociale (assistant et conseiller socio‐éducatif, EJE, 9 0 11 agent social, ATSEM, assistantes maternelles)

Médico‐sociale (auxiliaire de puériculture, infirmière, 1 0 8 puéricultrice)

Sportive 0 1 0

Total par catégorie 17 7 128

Total général 152 (152)

Nombre d’Equivalent Temps Pleins pour‐ Catégorie A Catégorie B Catégorie C vus

Evolution par rapport au 31.12.2019.

Administrative 4,5 1 17 ‐ 2 : comptable + 0,5 : Directrice des ‐ 1 : responsable ‐ 1 : agent du PIJ remplacé en finances service finances 2020 sur un autre cadre d’emploi ‐ 0,75 : agent MAD sur le social ‐ 1 : DGA ‐ 1 : gestionnaire RH

Technique 2 2 35.59 ‐ 0,80 : départ en retraite (agent affecté en animation)

Animation 0 2 40.74 + 1 : animateurs PIJ / Espace Jeunes + 1 : animateurs précédem‐ ment sur filière technique ‐ 1 : responsable ALSH

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Sociale (assistant et conseiller socio‐ 9 0 11 éducatif, EJE, agent social, ATSEM, AM)

Médico‐sociale (auxiliaire de puéricul‐ 1 0 8 ture, infirmière, puéricultrice)

Sportive 0 1 0

Répartition des agents par sexe titulaires / non titulaires :

Hommes Femmes Total Titulaires 22 88 110 Non Titulaires 8 34 42 Total 30 122 152

Répartition des agents par sexe et par catégories :

Hommes Femmes Total Catégories A 4 13 17 Catégories B 2 5 7 Catégories C 24 104 128 Total 30 122 152

Répartition des agents par sexe et par filière :

Hommes Femmes Total Administrative 4 20 24 Technique 12 36 48 Animation 12 38 50 Sociale 1 19 20 Médico‐sociale 0 9 9 Sportive 1 0 1 Total 30 122 152

2°) Evolution prévisionnelle de la structure des effectifs et des dépenses de personnel pour 2021 : Evolution des effectifs : . L’organigramme est stabilisé et les missions liées aux diverses compétences bien définies et identifiées.

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. La principale problématique est liée aux postes vacants encore à pourvoir : animatrice RAM, agent comptable, responsable ALSH. . Un seul poste sera créé cette année, lié à l’éligibilité de 3 de nos communes au dispositif « Pe‐ tites Villes de Demain » : en l’occurrence il s’agit du chargé de mission de ce dispositif, pouvant être financé entre 50 et 75%. . Il sera enfin proposé de recruter un renfort aux services techniques, pour un agent opérationnel de terrain, en Parcours Emploi Compétence (contrat aidé).

Evolutions prévisionnelles des dépenses et des recettes en fonctionnement :

Il est donc proposé :

‐ De réinscrire les crédits ouverts en 2020 pour rendre effectifs les remplacements d’agents sur les postes permanents non pourvus (RAM, finances, responsable structure enfance) : soit les 111 818 € de différence de rémunération BP / réalisé 2020 ;

‐ D’augmenter les inscriptions budgétaires, toujours pour les rémunérations, de 132 779 € pour intégrer :

 La création du poste de chargé de mission « Petites Villes de Demain » : 48 800 €  Des accroissements d’heures pour répondre aux protocoles sanitaires renforcés, estimés à 8 500 € ;  Des renforts sur deux services opérationnels en difficulté : service technique et entretien ménager sur les sites du Malesherbois : 20 000 €  La poursuite de la nomination stagiaire de quelques agents = pour faire suite des con‐ trats ou à des réussites aux concours : 25 000 €  De nouvelles dispositions règlementaires comme le versement d’indemnités de fin de contrats et Glissement Vieillesse Technicité (+ revalorisation indiciaire des grilles de ca‐ tégorie C au 1er janvier) : 30 479 €

Et donc une augmentation, sur les rémunérations et hors création de poste « Petite Ville de demain », de 2,22 %.

Sur le plan des charges, le plafond mensuel de la Sécurité Sociale évolue très peu pour l’année 2021, (+ 4 € mensuels), et les taux de cotisation CNRACL, IRCANTEC, CDG et CNFPT devraient rester inchangés. Il est donc proposé de maintenir les mêmes inscriptions budgétaires qu’en 2020, celles‐ci n’ayant pas été été totalement réalisées.

Enfin les montants de cotisations assurances et œuvres sociales seront revalorisés à hauteur du réalisé 2020, les crédits ouverts 2020 ayant été sous‐estimés.

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Récapitulatif :

Budget 2020 voté Réalisé 2020 Proposition budget 2021 Traitements bruts + 3 787 328 3 675 510 3 920 107 NBI et SFT + primes Personnel affecté par des communes 63 300 49 186 22 000 membres (prestations de service et MAD) Charges sociales 1 403 617 1 387 914 1 403 617 Assurance du person‐ 134 000 223 322 220 000 nel Adhésion CNAS 24 605 34 037 35 000 Médecine du travail 2 000 873 2 000 TOTAL 5 414 850 5 370 842 5 602 724

Concernant le chapitre 065 « Autres charges à caractère général », les indemnités des élus sont revalo‐ risées de façon à prendre en compte les adhésions au régime de retraite Carel : 4,13 % par rapport aux crédits ouverts en 2020, et 9,4 % par rapport au réalisé 2020. Les crédits ouverts au titre de la formation sont aussi portés à 5 000 €. Enfin, le même montant que celui payé en 2020 a été inscrit pour la contribution au FIPHP (fonds pour l'insertion des personnes handicapées dans la fonction publique).

Les recettes :

Elles ont été particulièrement élevées en 2020, du fait de remboursements d’assurance de nombreux arrêts maladie, mais surtout de congés maternité : 104 862 €. Les remboursements des agents mis à disposition des communes ont aussi été assez importants du fait de quelques régularisations 2019. Il est cependant proposé d’être, comme habituellement, raisonnable dans l’estimation des recettes, pour les porter à 266 000

Proposition budget Budget 2020 voté Réalisé 2020 2021 Participation Entente éco / 59 000 € 80 000 Remboursements services communs et agents mis à 107 000 160 086 123 000 disposition Remboursements assurance 90 000 104 862 60 000 TOTAL 254 800 157 919,49 266 000

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L’investissement : Pas de demande de dépenses d’investissement.

(2) Juridique L’année 2021 verra les frais de documentation juridique augmentés de manière importante. En effet, jusqu’en 2020, la CCPG bénéficiait d’une tarification spécifique pour l’abonnement à Lexis Nexis. Celle‐ci n’a pas été reconduite. Des dépenses sont également prévues à hauteur de 15 000 € afin de faire face aux dépenses liées aux contentieux en cours ou à venir. A ce jour, 2 sont toujours en attente de jugement : celui afférent au contentieux avec l’Etat sur la compétence scolaire et celui lié aux éoliennes. Assurances : au regard de la charge de travail de l’année 2020, la finalisation du marché assurances n’a pu avoir lieu. Elle devrait l’être fin 2021. Le budget est, de ce fait, reconduit et majoré.

(3) L’administration générale L’augmentation majeure dans les dépenses prévues au niveau de la direction générale concerne plu‐ sieurs études/ audits : ‐ Élaboration du projet de territoire et du pacte financier 36 000€, ‐ Études « Petites Villes de Demain » 40 000€, ‐ Étude sur le transfert de la piscine de Puiseaux 15 000€ ‐ Diagnostic CISPD 20 000€

(4) La communication et la vie publique Un budget de fonctionnement de 40 530 € est prévu au titre de l’année 2021. Ce budget correspond au BP 2019 mais est en augmentation de 52 % par rapport au BP 2020. Cette évolution résulte notamment d’une augmentation des lignes :  Alimentation : +2341€  Fêtes et cérémonies : +2700€  Divers : +4680€ Fete Inauguration gpe scolaire px ‐ plaque financeurs 150,00 Msab Signalétique accueil France services BlR 50,00 Msap Enseigne / panneau ESP px 1 550,00 Opah Animations auprès des scolaires 1 000,00 Pafl Panneau financeurs Flotin 150,00 Pije Enseigne / oriflamme / kakemono 850,00 Tour Plaques petit patrimoine 500,00

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IV. Traductions budgétaires des orientations

1. Budget principal

a) La section de fonctionnement

(1) Les dépenses de fonctionnement Globalement, les dépenses de fonctionnement diminueraient de 6 % par rapport au BP 2020 et se répar‐ tiraient de la manière suivante.

Parmi les évolutions les plus notables, il convient de signaler :

Les charges à caractère général : chapitre 011 Ce chapitre est en diminution par rapport au budgété 2020 du fait essentiellement de la diminution des dépenses liées à l’étude de gouvernance. Lancée en 2019, cette étude vise à établir un diagnostic des réseaux d’eau et d’assainissement et d’étudier les modalités du transfert des compétences « eau et assainissement » devant intervenir au plus tard en 2026. A l’inverse, les dépenses liées aux études, aux prestations de services, aux combustibles et à l’alimentation sont en augmentation.

Les charges de personnel : chapitre 012 (Cf. p 19, rapport sur le personnel)

Les atténuations de produits : chapitre 013 Elles sont constituées des attributions de compensation lesquelles ont été calculées à ce jour sans les régularisations du Malesherbois. En effet, les données figurant dans le rapport de CLECT ont de nouveau été vérifiées par la Commune ce qui a abouti à de nouveaux calculs. A l’issue de la prochaine CLECT, un réajustement des inscriptions budgétaires devrait être réalisé à hau‐ teur de :  334 000 € pour les attributions de compensation  666 151 € au titre des régularisations, les modalités de régularisation restant à définir. Si l’option précédente est confirmée, 133 000 € viendront se rajouter Soit un total de 467 000 €

Ces chiffres doivent toutefois être pris avec précautions, en l’absence de retour précis de la Commune.

Le FNGIR a été maintenu au même niveau que 2020. A l’inverse, le FPIC a été initialement réévalué afin de tenir compte de l’évolution de ces dernières années. Il passerait ainsi de 173 915 € à 196 524€. La lecture de la loi de finances nous permet cependant d’être plus optimiste.

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Les charges de gestion courante : chapitre 65 Elles progresseraient de 0.44% par rapport au budgété 2020. Les contributions aux syndicats ont été revues à la hausse. Concernant les indemnités aux élus l’évolution tient compte d’une potentielle demande de cotisation au système de retraite complémentaire.

Les charges financières : chapitre 66 Elles évoluent en tenant compte de la mobilisation d’un emprunt de 1 750 000€ en 2020.

(2) Les recettes de fonctionnement

Les recettes de fonctionnement du budget principal se décomposent comme suit :

Les atténuations de charges : chapitre 013 Composée des remboursements de rémunérations suite aux absences d’agents, il est proposé d’inscrire des recettes à hauteur de 60 000 €.

Les recettes liées aux services à la population : chapitre 70 Les incertitudes liées aux impacts de la crise sanitaire sur le 1er semestre nous incitent à la prudence. Les inscriptions sont donc en baisse de 100 000 € / au CA 2019 et de 67 000 € par rapport au BP 2020 (1 016 742€)

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Les recettes fiscales : chapitre 73. Il est proposé de construire le budget selon des hypothèses prudentes en se référant aux évolutions constatées antérieurement, en intégrant les mesures gouvernementales en matière de CFE et de TH et les incidences de la crise économique. Ainsi, il est proposé de :  Maintenir les taux d’imposition,  Revaloriser des bases de 0.5 %. Cette revalorisation est prévue pour l’ensemble des taxes à l’exclusion de la TH et de la CFE. Cette proposition tient compte de la revalorisation des bases attachée au taux d’inflation et de leur dynamique.  Diminuer de 15 % de la CVAE du fait des impacts de la crise du COVID. Pour mémoire, ce sont les entreprises réalisant un chiffre d’affaires de plus de 152 500 € qui acquittent cette taxe. Cette baisse est proposée alors que selon les services fiscaux le produit attendu serait de 1 542 809 €. Cette proposition résulte non seulement de la crise mais également du fait que depuis 2018 les produits de la CVAE ne cessent de diminuer.

 Concernant la CFE, la baisse de moitié des cotisations prévue dans le cadre de la loi de finances 2021 devrait être compensée, l’Etat se substituant aux entreprises. De ce fait nous pourrions intégrer une évolution des bases. Toutefois compte tenu de la baisse constatée entre 2018 et 2019, il est proposé de maintenir cette recette à un niveau stable.  Maintenir la TASCOM et l’IFER à hauteur des réalisations 2020  Concernant les produits issus des « autres impôts et assimilés », il est proposé de retenir comme base des estimations, la moyenne des 3 dernières années.

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2017 2018 2019 2020 Prév. 2021 Taux de CFE voté 21,52% 21,52% 21,52% 21,52% 21,52% Base CFE 14 221 814,00 11 594 447,00 11 463 142,00 11 742 762,00 11 742 762,00 Variation des bases ‐18,47% ‐1,13% 2,44% 0,00% Produits 3 060 534,37 2 495 124,99 2 466 868,16 2 527 042,38 2 527 042,38 Taux de TH voté 7,31% 7,61% 7,61% 7,61% 7,61% Base TH 31 172 505,00 31 294 260,00 31 796 089,00 32 766 376,00 32 766 376,00 Variation des bases 0,39% 1,60% 3% 0% Produits 2 278 710,12 2 381 493,19 2 419 682,37 2 493 521,21 2 493 521,21 Taux de TFB voté 0,045% 0,663% 0,663% 0,663% 0,663% Base TF 26 639 835,00 26 810 177,00 27 420 783,00 28 063 580,00 28 344 215,80 Variation des bases 0,64% 2,28% 2,34% 0,5% Produits 11 987,926 177 751,474 181 799,791 186 061,535 186 991,84 Taux de TFNB voté 2,17% 2,26% 2,26% 2,26% 2,26% Base TFNB 2 622 628,00 2 635 590,00 2 685 423,00 2 744 729,00 2 772 176,29 Variation des bases 0,49% 1,89% 2,21% 0,5% Produits 56 911,03 59 564,33 60 690,56 62 030,88 62 341,03

Produit fiscal 5 408 143,442 5 113 933,988 5 129 040,882 5 268 656,007 5 269 896,469

 La particularité de la Taxe sur les ordures ménagères. Une augmentation prévisionnelle de 2 % du produit appelé est envisagée. La présentation du ROB du SITOMAP nous permettra d’ajuster les inscriptions en dépenses et en recettes avant le vote du budget principal.

 Les attributions de compensation reversées par les communes La prospective 2021 intègre, à ce jour, les charges des communes de Bordeaux et de au titre du SDIS.

Les dotations et autres participations : chapitre 74. Elles sont constituées des dotations de l’Etat, de la participation des communes aux différents services communs, à l’étude de gouvernance, aux mises à disposition de personnel et aux participations du dé‐ partement, de la CAF ou de la région aux actions de la Communauté de Communes.

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Synthèse au 18 janvier 2021 (sous réserve de la finalisation du travail sur les engagements comptables) : 405 000 000 167 405 167 348 304 11 715 245 368 428 5 602 724 0 65 2 500 370 2 835 163 0 442 1 237 189 2 350 659 6 273 166273 6 282849 15 396 323 16 1 144 860 0 0 226 039,32 0000 0000 54 878 5 240 931 5 070 213 5 264 212 845 824 3 689 739 3 674 419 3 525 798 - 0 1 776 639 11 700 4 758 0 -4050,05 -750 0 788 0 0 6 425 6 CA 2017 CA 2018 CA 2019 Budgété 2020 CA Prév. 2020 BP 2021 12 927 618927 12 557811 13 105333 15 048644 17 546360 14 163 220 16 12 901 645901 12 483792 13 638806 14 648004 17 693774 14 730259 14 873797 14 713 746 15 984701 16 611487 16 991054 16 588 334 16 12 775 220775 12 503684 13 357138 15 288209 16 200176 14 758 052 16 14 774 693,35774 14 323793 14 234701 16 611487 16 818281 16 588 334 16 ) 70- produits 725 481 692 042 1 116 568 829 169 692 057 1 013 352 - compte 673 mandat annulé ( 617 – frais d'études 19 548 17 298 525 829 627 700 96 058 473 450 73 – impôts et taxes 11 529 714 11 388 517 11 590 288 11 655 427 11 76 – produits financiers 0 0 022 dépenses imprévues 66 – Charges financières 145 928 125 278 194 110 195 129 174 854 167 77 – produits exceptionnels 5 003 9 114 39 049 214 445 432 536 11 192 012 – Charges de personnel 3 078 555 3 655 862 5 141 597 5 421 150 5 013 – atténuation de charges 35 335 216 050 89 692 90 000 125 151 60 67 – charges exceptionnelles 6 469 1 776 639 94 771 9 492 0 014 – atténuation de produits 4 795 558 4 609 884 3 090 986 3 046 7 - compte 773 nettes nettes brutes brutes 75 – produits de gestion courante 17 323 15 213 19 812 8 832 9 352 9 d'études) population 26425 26564 26665 26717 26717 011 011 – charges à caractères général 970 447 1 280 885 1 950 895 2 50 - compte 775 pdts de cessions d'actifs -500 - 74 – dotations, subventions, participations 2 461 838 2 472 388 3 65 – participation subventions contingents 3 930 660 4 137 872 4 9 B – Autres charges réelles charges BAutres – 397 152 055 127 749 194 760434 1 346 184 E – Autres recettes réelles Autres – E 003 5 114 9 049 39 445 214 536 432 192 11 - chapitre 042 nature 722 (recettes op d'ordre) D – Produits de gestion courante gestion de Produits – D 690769 14 209784 14 186662 16 1 A – charges de gestion courante (y compris frais frais compris (y courante gestion de charges – A F – Total des recettes réelles de fonctionnement fonctionnement de réelles recettes des Total – F F' – Total des recettes réelles de fonctionnement C – Total des dépenses réelles de fonctionnement C' – Total des – Total C' dépenses réelles de fonctionnement

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b) La section d’investissement

(1) Les dépenses d’investissement Le budget d’investissement 2021 serait marqué par une évolution significative avec la finalisation du projet de création du groupe scolaire, l’intensification du projet du domaine de Flotin. Il s’inscrit égale‐ ment dans une volonté d’accompagner le plan de relance national.

A ce jour les besoins sont donc identifiés à hauteur de 5 627 632€.

Gestionnaires Services Libellés Montants

Besoin des services

68 400 ADMIGENERL ADGS Mobilier 10 000

ADMIGENERL INFO Informatique 2021 15 000

ADMIGENERL INFO Outil vote électro. conseil communautaire 6 000

BATIMENTS MSAM Standard tel 3 200

BATIMENTS TECH Matériel ST 3 400

BATIMENTS TECH Véhicule ST 23 000

BATIMENTS HCTR Rayonnages local archives 6 000

BATIMENTS MWST Achat Défibrillateur 1 800

Sports 267 500 BATIMENTS BAFM Travaux conformité et rénovation 115 000

SPORTS BAFM Autolaveuse 3 500

BATIMENTS GYMM Travaux conformité 65 000

BATIMENTS GYMP Sol salle de sport 70 000

BATIMENTS GYMP Eclairage dojo + danse 14 000

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Scolaire 3 994 762 RESTOS- CAEP Mobilier investissement vestiaire 580 COLR RESTOS- CAEP Fontaine a eau 1 600 COLR BATIMENTS CAMP Installation élect. 5 500

BATIMENTS CAMP Achat défibrillateur 1 800

RESTOS- CAMP Blinder coupe 1 350 COLR RESTOS- CAMP Robot coupe 3 100 COLR RESTOS- CAMP Changement néons cuisine 1 600 COLR BATIMENTS CHVI Défibrillateur 1 800

BATIMENTS CLEP Instal. Gen., agencements, aménagements des const. 10 600

BATIMENTS CLEP Réseaux d'assainissement 2 000

BATIMENTS ELPU Rampes PMR 2 entrées 9 400

BATIMENTS ELPU Fosse compteur 3 000

EDUCATION ELPU Renouvellement pc 15 800

EDUCATION ELPU Mobilier investissement salle maitre 1 722

EDUCATION ELPU Micro-onde 150

EDUCATION MAON Mobilier investissement tisanerie 700

EDUCATION MAON Mobilier investissement classe 370

BATIMENTS MAPU Remplacement chaudière 50 000

BATIMENTS MAPU Séparateurs wc 2 000

EDUCATION MAPU Renouvellement pc 4 800

EDUCATION MAPU Mobilier investissement classe 2 300

BATIMENTS NLEC Frais Etudes moe 170 000

BATIMENTS NLEC Matériel téléphonie 2 000

BATIMENTS NLEC Rayonnages 11 200

BATIMENTS NLEC Défibrillateur 1 800

BATIMENTS NLEC Travaux 16 lots 3 520 000

BATIMENTS NLEC Bureau de Contrôle - CSPS 7 700

BATIMENTS NLEC Raccordement réseaux 45 000

EDUCATION NLEC Mobilier investissement 46 683

EDUCATION NLEC Petit equipement investissement 2 018

RESTOS- CAEP Mobilier groupe scolaire 17 000 COLR RESTOS- CAEP Inve petit équip gpe sco 26 000 COLR EDUCATION CLNU Investissement tni 25 189

Communication 21 000 COMM COMM GRC 21 000

Petite Enfance 14 750 BATIMENTS COTO Remplacement stores 2 000

BATIMENTS COTO Standard Tel 3 200

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PETIENFANC COTO Matériel de bureau et informatique 150

BATIMENTS HGIB Chalet ext. rangement 600

BATIMENTS HGIB Défibrillateur 1 800

BATIMENTS HGIP Store banne + meuble évier 5 200

BATIMENTS HGIP Défibrillateur 1 800

Economie 155 000 ECONOMIE ECOS Subvention immobiliers entreprises 90 000 ECONOMIE ECOS Subvention équipement TPE 25 000

115 000

ECONOMIE ZIBE Etudes signalétique zi Beaune 6 800 ECONOMIE ZIPU Etudes signalétique zi puiseaux 13 200

ECONOMIE ZIMA Etudes signalétique zi Malesherbes 20 000

40 000

Jeunesse 2 700 JEUNESSE EJCC Nitendo Switch + Téléviseur 500€ 1 000

JEUNESSE EJCC Imprimante lazer +Souris/pochette PC portable 500

JEUNESSE EJMA 3 tables 600€ + 1 meuble rangement 600€ 1 200

Enfance 18 200 BATIMENTS ENFL Eclairage entrée Flotin 2 500

ENFANCE PECC remplct frigo péri Puiseaux 500

ENFANCE PECC Équipement salles péri nouveau gpe scolaire 14 800

ENFANCE PECC Bureau accueil pôle beaune 400

Moulin 60 300 BATIMENTS MOUL Tournage film moulin 20 000

BATIMENTS MOUL Installations de voirie 8 500

BATIMENTS MOUL Matériel Muséographie 20 000

BATIMENTS MOUL Défibrillateur 1 800

BATIMENTS MOUL Travaux déambulation 10 000

OPAH 79 500 SOCIAL OPAH Suivi animation OPAH Soliha 79 500

Flotin 493 620 ADMIGENERL PAFL BOAMP AAPC+Attrib Jury concours Flotin 2 1 620

BATIMENTS PAFL Flotin 2 MOe Grange 32 000

BATIMENTS PAFL Etudes Programmiste et Structure 48 000

BATIMENTS PAFL Flotin 2 MOe Manoir 86 000

BATIMENTS PAFL Flotin 2 Travaux base vie JVR 22 000

BATIMENTS PAFL Flotin 2 Travaux Grange + études de sol + CSPS + BC 286 000

BATIMENTS PAFL Flotin 2 Manoir BC + CSPS 18 000

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Tourisme 18 000 TOURISME TOUR Aide au petit patrimoine de proximité 8 000

TOURISME TOUR Signalétique touristique 10 000

Belvédère 85 000 BATIMENTS PABE Réfection emmarchements + table orientation

Urbanisme 124 300 URBANISME URBE Frais réa doc urba 32 200

URBANISME URMA Tranche conditionnelle Périmètre Délimité des Abords 7 200

URBANISME URMA Frais d'études ECMO Biotope CA assistance juridique 55 322

URBANISME URPU Etudes Astym IEA Alain Gautron Assistance juridique 29 578

Voiries 224 500 BATIMENTS ZIMA MOe travaux VRD Poterne 6 000

BATIMENTS ZIMA Travaux rue de la Poterne 100 000

BATIMENTS ZIMA Travaux lisse bois Vauluizard+Méridien 60 000

BATIMENTS ZIPU FRAIS D'ETUDES MOe travaux VRD 2021 3 500

BATIMENTS ZIPU Travaux ZI accès Déchetterie 55 000

5 627 532

(2) Les recettes d’investissement

Les amortissements : L’article L.2321‐2 27 du CGCT dispose que les dotations aux amortissements des immobilisations consti‐ tuent des dépenses obligatoires pour les communes et leurs établissements publics dont la population est égale ou supérieure à 3 500 habitants. La procédure d’amortissement nécessite l’inscription au bud‐ get primitif d’une : ‐ Dépense, en section de fonctionnement aux subdivisions concernées du chapitre 68 « Dotations aux amortissements et aux provisions » ; ‐ Recette, d’un même montant, en section d’investissement, aux subdivisions concernées du cha‐ pitre 28 « Amortissements des immobilisations ».

Prévisions 2021 : Dépenses de Fonctionnement : 585 000 € et recettes d’Investissement : 585 000 €.

Le FCTVA : Cette recette est directement liée à la récupération de la TVA des investissements réalisés sur l’année. La CCPG devrait percevoir 772 K€ en 2021, sous réserve de la validation des investissements demandés.

Les subventions d’investissement : Ce sont les subventions versées par les différents partenaires servant à financer le programme plurian‐ nuel d’investissement. Elles fluctuent en fonction des opérations.  Demandes au titre de la DSIL et de la DETR :

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Plusieurs investissements donneront lieu à des demandes de dotations auprès de l’Etat : ‐ Renouvellement du matériel informatique pour les écoles de Puiseaux, ‐ Travaux de réhabilitation des équipements sportifs, ‐ Travaux de réhabilitation de Flotin.

 Demande au titre du volet 2/4 du Département Parallèlement aux demandes précédentes, le Département du Loiret est également sollicité au titre des volets 2 et 4 pour accompagner la CCPG notamment dans le cadre de la requalification du projet de Flotin.

 Certificats Economie d’Energie Des demandes de financement au titre des CEE devront être réalisées de manière systématique. Ainsi, les travaux sur les gymnases, les chaufferies et la réhabilitation de Flotin devraient nous permettre d’y accéder sans qu’à ce jour nous puissions en évaluer les montants.

 Financements alternatifs L’année 2021 devra aussi être consacrée à la recherche de financements alternatifs, notamment de mé‐ cénat, pour contribuer au financement du patrimoine « remarquable » de la CCPG, et plus particulière‐ ment Flotin.

Dépenses d'investissements Recettes d'investissements Remboursement du Capital 554 865 FCTVA 772 000 Demandes d’investissements 5 627 532 Amortissements 585 000 Taxes d'aménagement 13 500 Education Nationale 17 000 Sous Total 1 387 500 Subventions, dotations sollicitées Volet 2 /Volet 4 860 000 DETR équipement numérique*. 6 000 DSIL Flotin (montant estimé phase 2)* 118 469 Belvédère* 20 400 Conformité équipements sportifs* 63 360 Sous Total 1 068 229 Total 6 182 397 2 455 729

* estimations calculées sur la base de 30%

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Résultats prévisionnels 2020, arrêtés au 26.01.2021 :

La question de l’emprunt : Le recours à l’emprunt sera étudié en fonction du niveau des investissements qui seront inscrits au BP 2021. Malgré le fait que la communauté de communes s’emploie activement à la recherche de cofinan‐ cements pour l’ensemble des projets, il sera nécessaire d’emprunter afin d’équilibrer le budget. Le choix de privilégier une part de financement par la dette est d’autant plus attrayant que les taux d’intérêts proposés par les établissements bancaires se situent à des niveaux historiquement faibles. Une augmen‐ tation de l’encours de la dette communautaire, n’est donc pas nécessairement la traduction de difficul‐ tés budgétaires que rencontrerait la Collectivité. Cependant la soutenabilité de la dette d’une collectivité est un critère essentiel de l’appréciation de la situation financière. Le ratio le plus utilisé, y compris par les Préfectures, est celui de la capacité de dé‐ sendettement. La capacité de désendettement (encours de dette / Epargne brute ou CAF) exprime le nombre d’années théoriques qu’il faudrait pour que la commune rembourse l’intégralité de sa dette si elle y consacrait la totalité de son autofinancement disponible.

2. Les budgets annexes En préalable, il est nécessaire de noter que les tableaux présentant les exercices 2020, sont établis au 18 janvier, les opérations de clôture des exercices ne sont pas toutes réalisées.

a) Zone d’activités d’Auxy

Exercice 2020 Dépense Recette Budget primitif 878 647,46 878 647,46

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Budget supplémentaire 272 170,45 272 170,45

Total budgété 1 150 817,91 1 150 817,91 Mandaté 188 357,13 15 148,34 Eng. non soldés 28 698,00 0,00

Total 217 055,13 15 148,34

Les dépenses ont été peu élevées en 2020 sur ce budget annexe. Les inscriptions budgétaires 2021 prévues s’élèvent à 260 000€, en dépenses, correspondant à des frais d’acquisition et des frais juridiques.

b) Zone d’activités de la Petite Couture

Exercice 2020 Dépense Recette Budget primitif 302 352,88 302 352,88 Budget supplémentaire 145 881,90 145 881,90

Total budgété 448 234,78 448 234,78 Mandaté 150 011,03 0,00 Eng. non soldés 1 014,00 0,00 Total 151 025,03 0,00

2 300 € sont inscrits au titre de l’entretien de la zone pour l’exercice 2021 et 2 550 € pour le paiement des honoraires notariales non honorés lors de l’achat des parcelles en 2019.

A ce jour, les parcelles disponibles sur cette zone ne donnent pas lieu à la programmation d’une vente, aucun porteur de projet ne s’étant manifesté.

c) SPANC

Exercice 2020 Dépense Recette Budget primitif 121 288,20 121 288,20 Budget supplémentaire 18 166,89 18 166,89

Total budgété 139 455,09 139 455,09 Mandaté 22 071,99 69 092,70 Eng. non soldés 20 433,02 0,00

Total 42 505,01 69 092,70

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Le budget 2021 intègrera : ‐ Le paiement du prestataire de service en charge de la réalisation des contrôles à hauteur de 83 000 € ‐ Le remboursement des frais de personnel au budget principal à hauteur de 25 000€ ‐ Des provisions pour risques à hauteur de 24 000€ suite à un contentieux dont le jugement de‐ vrait intervenir dans le courant du 1er semestre.

Le budget de fonctionnement s’équilibrerait à hauteur de 168 800€, ce qui suppose une revalorisation des tarifs.

d) Logements « Boissin »

Exercice 2020 Dépense Recette Budget primitif 29 091,32 29 091,32 Budget supplémentaire 37 614,58 37 614,58 Décisions modificatives 1,00 1,00

Total budgété 66 706,90 66 706,90 Mandaté 30 885,12 57 586,75 Eng. non soldés 713,89 0,00 - Détail ENS rattachés 713,89 0,00 - Solde report et rattache- 713,89 0,00 ment

Total 31 599,01 57 586,75 Disponible 35 107,89 9 120,15

Budget 2021 : ‐ 4 000 € sont inscrits en fonctionnement pour la remise en état d’un des logements. ‐ 7 000 € sont prévus afin de procéder au remplacement d’une partie des huisseries. ‐ De même, un remboursement de capital d’emprunt est inscrit à hauteur de 10 000€. Par ailleurs, des frais de gestion des logements et des frais de contentieux sont inscrits à hauteur respec‐ tivement de 1 800 € et 1 300 €.

Projet 2021 Investissement Fonctionnement TOTAL Dépenses 17 040,00 9 087,70 26 127,70 Recettes 0,00 19 200,00 19 200,00 Solde -17 040,00 10 112,30 -6 927,70

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e) L’école de musique

Exercice 2020 Dépense Recette Budget primitif 59 074,12 59 074,12 Budget supplémentaire 7 443,53 7 443,53

Total budgété 66 517,65 66 517,65 Mandaté 56 532,85 23 665,31 Eng. non soldés 0,00 38 755,32 - Détail ENS rattachés 0,00 16 148,05

Total 56 532,85 62 420,63

Le budget prévisionnel de l’Ecole de musique tient compte : ‐ Du nombre d’élèves inscrits depuis septembre, ‐ D’une majoration des dépenses liées à la crise sanitaire, décomptées jusqu’en juin 2021, ‐ D’une augmentation des tarifs de 2 % pour le troisième trimestre, étant précisé qu’une étude ta‐ rifaire doit être menée dans le courant du 1er trimestre 2021. Le budget s’équilibrerait à hauteur de 58 500 €.

Projet 2021 Investissement Fonctionnement TOTAL Dépenses 0,00 57 812,60 57 812,60 Recettes 0,00 58 584,00 58 584,00 Solde 0,00 771,40 771,40

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3. L’endettement de la CCPG

a) Le budget principal

40

41

42

b) Le budget annexe Boissin

Caractéristiques de la dette au 31/12/2020

Encours 116 716,85 Nombre d'emprunts * 1

Taux actuariel * 1,14% Taux moyen de l'exercice 1,25%

* tirages futurs compris

Charges financières en 2020

Annuité11 489,29 Amortissement 9 781,56

Remboursement anticipé avec flux0,00 Remboursement anticipé sans flux 0,00

Intérêts emprunts1 707,73 ICNE 538,18

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Types de Taux

Fixes Variables Total

Encours 0 , 0 0 116 7 16 , 8 5 116 7 16 , 8 5 % 0,00% 100,00% 100% Durée de vie moyenne 5 ans, 8 mois 5 ans, 8 mois Duration 5 ans, 5 mois 5 ans, 5 mois Nombr e d'empr unts 011 Taux actuariel 0,00% 1,14% 1,14% Taux moyen 0,00% 1,25% 1,25%

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Les charges financières de la CCPG en 2021 s’élèveront à 11 489.28 € € réparties comme suit : ‐ 9 781.55 € de remboursement du capital ‐ 1 707.73 € d’intérêt des emprunts

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V. Annexes A. Epargne / ratios Epargne : 405 000 000 167 405 167 226 039,32 348 304 11 715 245 368 428 5 602 724 1 795 261795 1 875 587 1 336 283336 1 875 587 0 65 2 500 370 2 835 163 0 442 1 237 189 2 350 659 6 273 166273 6 282849 15 396 323 16 -517 037 -517 1 144 860 0 0 -976 014 -976

0000 0000 54 878 5 240 931 5 070 213 5 264 212 845 824 3 689 739 3 674 419 3 525 798 - 0 1 776 639 11 700 4 758 0 -4050,05 -750 0 788 0 0 6 425 6 12,68% 6,79% 11,35% -3,14% 11,18% 3,60% CA 2017 CA 2018 CA 2019 Budgété 2020 CA Prév. 2020 BP 2021 1 994 470994 1 706099 1 829523 1 879 63 082673 1 638 270 1 873 049873 1 390005 1 347 895 1 1 533 671533 1 529 620 255 434 1 14 774 693 774 14 873 797 14 984701 16 611487 16 991054 16 588 334 16 12 901 645 901 12 483 792 13 638806 14 648004 17 730259 14 713 746 15 12 927 618 927 12 557 811 13 105333 15 048644 17 546360 14 163 220 16 12 775 220 775 12 503 684 13 357138 15 288209 16 200176 14 758 052 16 14 774 693,35 774 14 323 793 14 234701 16 611487 16 818281 16 588 334 16 ) 70- produits 725 481 692 042 1 116 568 829 169 692 057 1 013 352 - compte 673 mandat annulé ( 617 – frais d'études 19 548 17 298 525 829 627 700 96 058 473 450 73 – impôts et taxes 11 529 714 11 388 517 11 590 288 11 655 427 11 76 – produits financiers 0 0 022 dépenses imprévues 66 – Charges financières 145 928 125 278 194 110 195 129 174 854 167 77 – produits exceptionnels 5 003 9 114 39 049 214 445 432 536 11 192 012 – Charges de personnel 3 078 555 3 655 862 5 141 597 5 421 150 5 013 – atténuation de charges 35 335 216 050 89 692 90 000 125 151 60 014 – atténuation de produits 4 795 558 4 609 884 3 090 986 3 046 7 67 – charges exceptionnelles 6 469 1 776 639 94 771 9 492 0 - compte 773 nettes nettes brutes brutes 75 – produits de gestion courante 17 323 15 213 19 812 8 832 9 352 9 d'études) population 26425 26564 26665 26717 26717 011 – charges à caractères général 970 447 1 280 885 1 950 895 2 50 fonctionnement - compte 775 pdts de cessions d'actifs -500 - G' – Epargne brute – Epargne G' 74 – dotations, subventions, participations 2 461 838 2 472 388 3 65 – participation subventions contingents 3 930 660 4 137 872 4 9 10% insuffisante est l'épargne courante ≤ B – Autres charges réelles charges BAutres – 397 152 055 127 749 194 760434 1 346 184 (RRF nettes - DRF nettes) E – Autres recettes réelles Autres – E 003 5 114 9 049 39 445 214 536 432 192 11 Si

- chapitre 042 nature 722 (recettes op d'ordre) (Epargne brute -K de -K l'emprunt) brute (Epargne D – Produits de gestion courante gestion de Produits – D 690 769 14 209 784 14 186662 16 1 financement des dépenses courantes dire les ressources restant à la CC après après CC la à restant ressources les dire ou partie des dépenses d'investissement) G G – Epargne de gestion ou excédent brut de H – Epargne nette ou courant autofinancement (pdts de gestion – depenses de gestion) c'est à A – charges de gestion courante (y compris frais frais compris (y courante gestion de charges – A F – Total des recettes réelles de fonctionnement (moyens dégagés de la section de fonctionnement F' – Total des recettes réelles de fonctionnement fonctionnement de réelles recettes des Total – F' pour couvrir l'annuité en capital de la dette et tout Taux d'épargne brut (Epargne brute / RRF nettes) RRF / brute (Epargne brut d'épargne Taux C – Total des dépenses réelles de fonctionnement C' – Total des – Total dépensesC' réelles de fonctionnement

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Ratios :

2017 2018 2019 CA Prev 2020 Dépenses réelles de fonctionnement nettes /pop Insee 488 € 519 € 555 € 534 € Charges de gestion courante / dépenses réelles de 98,82% 99,08% 98,73% 98,72% fonctionnement (brutes) Dépenses de personnel (hors remboursement) / 23,86% 26,51% 34,72% 37,65% Dépenses réelles de fonctionnement nette Dépenses de personnel nettes /DRF 23,59% 24,94% 34,12% 36,77% Intérêts payés / Dépenses réelles de fonctionnement 1,13% 0,91% 1,31% 1,23% Autres charges réelles / Dépenses réelles de 1,18% 0,92% 1,32% 1,29% fonctionnement

Autofinancement courant (charges de fonctionnement + 0,87 0,93 0,92 0,89 remboursement de la dette) / produits de fonctionnement] Seuil d'alerte : 1 Rigidité structurelle :Dépenses de personnel + frais financiers /produits de fonctionnement 0,22 0,26 0,32 0,35 Seuil d'alerte : 0,65

Recettes réelles de fonctionnement / population DGF 464 € 494 € 529 € 508 € Vente de produits et presta / population INSEE 27 € 26 € 42 € 26 € Dotations et participations / recettes réelles de 17% 17% 23% 23% fonctionnement DGF/ Population DGF 49,01 € 48,31 € 48,15 € 48,09 € Impôts et taxes / population DGF 414,99 € 407,96 € 413,75 € 404,65 € Produits des 4 taxes / population INSEE 248,13 € 244,36 € 241,89 € 242,96 € Produits des 4 taxes / potentiel fiscal Seuil d'alerte =1 (au delà de ce seuil la pression fiscal est 0,93 0,70 0,69 0,68 supérieure à la moyenne)

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B. Fiches projets

Ecole Puiseaux ‐ Regroupement pédagogique Recettes Dépenses Calcul du coût de la charge foncière Coût HT Coût TTC FCTVA 842 467,64

Prix d'achat de l'emprise nécessaire à la construction Subventions 2 064 755,00 Frais relatifs à l'achat lié (mitoyenneté, prospects, servitudes) Département 858 000,00 Frais de libération du terrain (expertise, acte d'éviction, indemnités Région d'éviction, relogement …) 1 102,84 1 323,41 604 600,00 Frais de négociation ou de commission Fonds de concours Frais de géomètre 1 954,27 2 345,12 Etat 557 155,00

achat du terrain libéré Frais d'avocat, contentieux CAF (subvention) 45 000,00 Frais d'acquisition (notaires, inscription aux hypothèques CAF Prêt 80 000,00 Démolitions Analyse des sols 7 500,00 9 000,00 Total 2 907 222,64

autres frais Aménagement des accès Dévoiements des réseaux 50 000,00 60 000,00 Construction des bâtiments 3 619 236,66 4 343 083,99 Coût net (coût TTC‐ Recettes) 2 518 945,28 Fondations spéciales (repérage amiante) 500,00 600,00

Coût Autres travaux liés à la nature de l'opération (ex. murs mitoyens …) ‐ Emrprunts

construction Aménagement extérieurs ‐ exercice 2020 1 750 000,00 Aménagements spécifiques des locaux reste à charge exercice 2021 768 945,28 Mobilier

Coût des équipeme nts Equipements divers (informatique, video, matériel d'entretien …) 150 000,00 180 000,00 Coût des études préalables 460 551,00 552 661,20 Programmiste 22 950,00 27 540,00 Indemnisation maître d'œuvre non retenu 24 000,00 28 800,00 Rémunérations des différents intervenants ‐ Géomètre ‐ architecte ‐ Techniciens, BET, économiste ‐ Contrôle technique 9 961,00 11 953,20 OPC ‐ SPS 3 160,00 3 792,00

Frais d'étude et rémunérations Autres 4 000,00 4 800,00 Assistant Maîtrise d'œuvre 396 480,00 475 776,00 Frais de gestion ‐ Frais financiers ‐

Frais Assurances 50 000,00 60 000,00 financiers,

administratifs, Commercialisation ‐ Révision de prix 180 961,83 217 154,20

Total opération 4 521 806,60 5 426 167,92

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FLOTIN 2 ‐ 2021‐2023 Dépenses Recettes

Calcul du coût de la charge foncière Coût HT Coût TTC FCTVA 482 778

Prix d'achat de l'emprise nécessaire à la construction Subventions 1 539 602 Frais relatifs à l'achat lié (mitoyenneté, prospects, servitudes) Département 860 000 Frais de libération du terrain (expertise, acte d'éviction, indemnités Région d'éviction, relogement …) Frais de négociation ou de commission Fonds de concours Frais de géomètre Etat (35% coût tvx) 679 602

achat du terrain libéré Frais d'avocat, contentieux CEE Frais d'acquisition (notaires, inscription aux hypothèques Démolitions Analyse des sols 10 000 12 000 Total 2 022 380 repérage amiabte, plomb 5 000 6 000 autres frais Aménagement des accès Dévoiements, raccordement des réseaux 29 000 34 800 Construction des bâtiments 1 941 720 2 330 064 Coût net (coût TTC‐ Recettes) 987 459 Fondations spéciales Autres travaux liés à la nature de l'opération (ex. murs mitoyens …) : étude structure 20 000 24 000 Aléas 97 086 116 503 Coût construction Aménagement extérieurs Aménagements spécifiques des locaux Mobilier 30 000 36 000

Coût des équipeme nts Equipements divers (informatique, video, matériel d'entretien …) 25 000 30 000 Coût des études préalables 46 400 55 680 frais de concours 13 785 16 542 Programmiste 20 000 24 000 Indemnisation maître d'œuvre non retenu Rémunérations des différents intervenants Géomètre architecte Techniciens, BET, économiste Contrôle technique 16 000 19 200 OPC CSPS 8 000 9 600 Frais d'étude et rémunérations Autres : annonce et insertion 2 400 2 880 Assistant Maîtrise d'œuvre 233 006 279 608 Frais de gestion Frais financiers

Frais Assurances 10 802 12 962 financiers,

administratifs, Commercialisation Révision de prix

Total opération 2 508 199 3 009 839

C. Prospective fonctionnement Le projet de territoire devrait nous permettre d’établir une prospective rigoureuse qui tenant compte des priorités des élus relatifs aux projets de la CCPG. Ainsi plusieurs dossiers sont en attente :  Devenir de la compétence scolaire (résultat du recours : 1er semestre 2021),  Poursuite et Développement de la politique habitat (renouvellement de l’OPAH, PLH) (2021/2022),  Renforcement de la politique jeunesse,  Réajustements de la politique petite enfance,  Maintien ou développement de l’appui aux entreprises,  Besoins des syndicats de « rivières » dans le cadre des « PAPI » (taxe GEMAPI),  Accompagnement des communes reconnues Petites villes de demain (lancement 2021),  Etc. ‐

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D. Prospective investissement  Fin de l’élaboration des documents d’urbanisme (2021/2022),  Requalification et développement des zones d’activité (lancement 2021),  Déclinaison du futur schéma des aires d’accueil des gens du voyage (info fin 2021),  Projet piscine,  Devenir des énergies renouvelables  Etc.

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E. Etat des indemnités des élus « L’article 92 de la loi « Engagement et proximité », codifié à l’article L. 5211‐12‐1 du CGCT, prévoit que chaque année, avant l’examen du budget, les EPCI à fiscalité propre doivent établir une présentation de l’ensemble des indemnités de toutes natures, libellées en euros, dont bénéficient les élus qui siègent au conseil communautaire, et ce au titre de tout mandat et toutes fonctions exercés en leur sein et au sein de tout syndicat mixte, pôle métropolitain, société d’économie mixte et société publique locale. Ce do‐ cument doit être communiqué aux conseillers communautaires avant l’examen du budget de la commu‐ nauté ». Indemnités de fonction

Montant indemnités Nom Commune Fonction Elective (mensuelles brutes) ANCILE Adama Puiseaux Conseilère municipale 536,74 € AMIARD Eric Adjoint au maire 256,70 € ARCHENAULT Patrick Courcelles‐le‐Roi Adjoint au maire Non communiqué Nancray‐sur‐Rimarde Maire 1 155,15 € BARRIER Christian CCPG Vice‐Président 894,56 € SMORE Vice‐Président 199,13 € Lorcy Maire 1 283,50 € BAUER Christophe SIAEP Bordeaux Lorcy Président 70,19 € Maire 719,53 € BEAUDEAU Didier SISS de Vice‐Président Néant BECHU Isabelle LE MALESHERBOIS Conseillère municipale Néant BERARD Jean‐Claude Batilly‐en‐Gâtinais Adjoint 318,00 € LE MALESHERBOIS Adjoint au maire 924,08 € BERCHER Fabien SYMGHAV Vice‐Président 151,69 € LE MALESHERBOIS Adjointe au maire 803,55 € BERTHELOT Christine CCPG Vice‐Présidente 894,56 € BERTHELOT Heïdi LE MALESHERBOIS Conseillère municipale Néant Chambon‐la‐Forêt Maire 1 205,71 € BERTHELOT Michel PETR Vice‐Président 459,33 € BONNIEZ Christophe Briarres‐sur‐Essonne Maire 1 244.60 € BOUTEILLE Erick LE MALESHERBOIS conseiller délégué 924,08 € BRETONNET Dominique Aulnay‐la‐Rivère Adjoint 311,15 € BRICHARD Gérard Desmont Maire 777,88 € BOUGREAU Francis Bordeaux‐en‐Gâtinais Maire 777,88 € BURLERAUX Philippe Puiseaux Adjoint 536,74 € CHANCLUD Dominique LE MALESHERBOIS Adjoint 924,08 € CIRET Anthony LE MALESHERBOIS Conseiller municipal Néant CITRON Olivier Augerville‐la‐Rivière Maire Non communiqué CHARLOT Boris Egry 1er adjoint 288,59 € CORVEST Emilie Saint‐Loup‐des‐Vignes 1er adjoint 260,73 € MAIRE 991,80 € COUILLAUT Odile SISS de Boiscommun PRESIDENTE 229,47 €

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CRISSA Nadia Orville 1er adjoint au maire 299,48 € CRISSA Olivier Orville Maire 894,56 € LE MALESHERBOIS Adjointe au maire 924,08 € DAUVILLIERS Delmira CCPG Présidente 2 333,64 € Boiscommun Maire 1 672,44 € DESBOIS Jean‐Marie SIAEP Boiscommun Président 287,81 € SMORE Vice‐Président 199,13 € DUFOUR Christian Adjoint au maire Néant DUGUE André Bordeaux‐en‐Gâtinais adjoint 311,15 € DUJARDIN Jean‐Louis Egry Maire 744,04 € DUVERGER Thibaud 1er adjoint au maire Néant EUVRARD Didier Augerville‐la‐Rivière Adjoint 171,13 € FAZILLEAU Philippe Montliard 1er adjoint au maire 315,04 € Maire 797,32 € GAINVILLE Gérard Syndicat BDOP Président 350,05 € LE MALESHERBOIS Maire 2 400,11 € GAURAT Hervé CCPG Vice‐Président 894,56 € SIARCE Vice‐Président 830,00 € GILLET Jean Maire Non communiqué GIRARD Claude Batilly‐en‐Gâtinais Maire 816,00 € GIRARD Jean‐Paul LE MALESHERBOIS Conseiller municipal 233,36 € GIROUX Sébastien Adjoint au maire Non communiqué Grangermont Maire 900,01 € GOFFINET Stéphanie CCPG Conseillère déléguée 583,41 € GUERTON Gilles Dimancheville adjoint 322,82 € HABY Daniel Barville‐en‐Gâtinais Maire 661,19 € HASLOUIN Patrick ECHILLEUSES 1er Adjoint 326,70 € Puiseaux Maire 1 565,48 € HERBLOT Marie‐Claude CCPG Vice‐Président 894,56 € JASSELIN Didier Beaune‐la‐Rolande Adjoint au maire 855,64 € JEANNOT Gérard Desmont 1er adjoint 233,36 € CCPG Vice‐Président 894,56 € LAROCHE Pierre SITOMAP Membre du bureau Néant Membre du comité BGV syndical Néant LELIEVRE Philippe Lorcy 1er adjoint 359,76 € LEOTARD Alexandre Echilleuses Maire 843,99 € Aulnay‐la‐Rivère Maire 816,77 € LEVY Véronique CCPG Vice‐Président 894,56 € LOURS Philippe Gaubertin Adjoint au maire Non communiqué LUCHE Jean‐François Saint‐Loup‐des‐Vignes Maire 602,85 € MANGEANT Jean‐Claude Ondreville‐sur‐Essonne Maire 794,99 € MARIE Virginie Puiseaux adjointe maire 536,74 € MATIGNON François LE MALESHERBOIS Conseiller municipal Non communiqué MASURE Anne‐Marie Montbarrois Conseillère municipale Néant

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Beaune‐la‐Rolande Maire 2 278,00 € MASSON Michel CCPG Vice‐Président 894,56 € MONTEBRUN Monique St‐Michel Maire 991,79 € SITOMAP Vice‐Président 459,33 € NAULEAU Luc Syndicat Beauce Gâtinais Valori‐ sation Vice‐Président 689,20 € NEBOUT Alain Puiseaux Adjoint au maire 536,74 € PARMEGGIANI Laure Boësses adjointe maire 319,60 € LE MALESHERBOIS Adjointe au maire 924,08 € PASQUET Joëlle CCPG Vice‐Présidente 894,56 € PELHATE Sophie Auxy Maire 1 567,42 € PENISSON Philippe La Neuville sur Essonne Adjoint au maire 222,00 € Boësses Maire 991,79 € PETIOT Pierre CCPG Vice‐Président 894,56 € SIAEP BEG Vice‐Président 155,57 € PIERRON Jean‐Marc Auxy 1er adjoint au maire 416,16 € POMMIER Florence Beaune‐la‐Rolande Conseillère municipale Néant Boiscommun adjointe maire 661,19 € POMMIER Marie‐Thérèse SISS de Boiscommun Vice‐Président 111,52 € QUELIN Benjamin St‐Michel 1er adjoint au maire 385,05 € RAGOBERT Catherine Nibelle Maire 1 283,50 € RAJAOFERA Pascale Chambon‐la‐Forêt adjointe maire 320,87 € RAMET Bernard Nancray‐sur‐Rimarde Adjoint 221,69 € RENUCCI Claude Beaune‐la‐Rolande Conseiller municipal Néant RIVIERE William La Neuville sur Essonne Maire 661,20 € SABY Cécile LE MALESHERBOIS Conseillère municipale Néant SONATORE Sandrine LE MALESHERBOIS adjointe 924,08 € SURATEAU Thierry Barville‐en‐Gâtinais Adjoint au maire Non communiqué SUREAU Michel Juranville Maire Non communiqué THOMAS Jean‐Luc Bromeilles Maire 991,79 € VERMASSEN Guy Briarres‐sur‐Essonne 1er adjoint au maire 416,20 € VIRON Liliane Ondreville‐sur‐Essonne adjointe maire 309,99 € VOLKRINGER Philippe Puiseaux Adjoint au maire 536,74 € WERA Jonathan Courcelles‐le‐Roi Maire 991,79 €

Conseiller communautaire titulaire Conseiller communautaire suppléant Vice‐Président/conseillère déléguée

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F. Glossaire

A.D.I.L. – Agence Départementale d’Information sur le Logement B.I.T. ‐‐ Bureau International du Travail C.C.D.P. – Communauté de Commune du Pithiverais C.C.P.G. – Communauté de Commune Pithiverais Gâtinais C.C.P.N.L. – Communauté de Commune de la Plaine Nord Loiret C.E.J. – Contrat Enfance Jeunesse C.E.T. – Contribution Economique Territoriale C.F.E. – Cotisation Foncière des Entreprises C.I.F. – Coefficient d’Intégration fiscale C.I.S.P.D. – Conseil Intercommunal de la Sécurité et de la Délinquance et de la Radicalisation C.L.E.C.T. – Commission Locale d’Evaluation des Charges Transférées C.L.I.C. – Centre Local d’information et de Coordination C.R.S.T. – Contrat Régionaux de Solidarité Territoriale C.V.A.E. – Cotisation sur la Valeur Ajoutée des Entreprises D.C.R.T.P.‐ Dotation de Compensation de la Réforme de la Taxe Professionnelle D.D.J.C.S.‐ Direction Départementale de la Jeunesse et de la Cohésion Sociale D.D.T.‐ Direction Départementale des Territoires D.E.T.R.‐ Dotation d’équipement des Territoires Ruraux D.S.I.L.‐ Dotation de Soutien à l’Investissement Local E.P.C.I.‐ Etablissement Public de Coopération Intercommunale E.P.I.C.‐ Etablissement Public à Caractère Industriel et Commercial F.C.T.V.A. – Fonds de Compensation de la Taxe sur les Valeurs Ajoutées F.N.G.I.R. –Fond National de Garantie Individuelle des Ressources F.P.I.C. – Fonds National de Péréquation des Ressources Intercommunales et Communales H.G. – Halte‐Garderie I.F.E.R. ‐ Imposition Forfaitaire des Entreprises de Réseaux O.P.A.H. – Opération Programmée d’Amélioration de l’Habitat P.L.F.‐ Projet de Loi de Finance P.L.H. ‐ Plan Local de L’habitat P.L.U. – Plans Locaux d’Urbanisme R.A.M.‐ Relais Assistantes Maternelles R.E.S.F – Réseau Education Sans Frontière R.O.B.‐ Rapport d’Orientation Budgétaire S.I.T.O.M.A.P. – Syndicat Intercommunale pour l’Elimination des Déchets Ménagers du Pithiverais S.P.A.N.C.‐ Service Public d’Assainissement Non Collectif S.Y.M.G.H.A.V.‐ Syndicat Mixte pour la Gestion de l’Habitat Voyageur T.A.S.C.O.M. – Taxes sur les Surfaces Commerciales

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