PREFET DE MEURTHE-ET-MOSELLE

RECUEIL DES ACTES ADMINISTRATIFS Edition n° 20 du 28 février 2020

Les actes dans leur intégralité peuvent être consultés à la préfecture ou auprès des services concernés.

Le recueil peut aussi être consulté :

 sur le site Internet des services de l'État en Meurthe-et-Moselle : www.meurthe-et-moselle.gouv.fr

 aux guichets d'accueil de la préfecture et des sous-préfectures, pendant deux mois à partir du 28 février 2020 RECUEIL N° 20 257 28 février 2020

S O M M A I R E

ARRÊTES, DÉCISIONS, CIRCULAIRES...... 257 PREFECTURE DE MEURTHE-ET-MOSELLE...... 257 CABINET DU PRÉFET...... 257 DIRECTION DES SÉCURITÉS...... 257 Bureau des polices administratives...... 257 Arrêté préfectoral portant renouvellement de l’autorisation de la société HELITEL à déroger aux règles de survol pour une durée d’un an en vol à vue de jour et de nuit à compter du 26 mars 2020...... 257 Arrêté préfectoral attribuant une récompense pour actes de courage et de dévouement...... 258 Bureau de la Sécurité routière...... 258 Arrêté préfectoral portant agrément d'un nouveau gardien de fourrière automobile pour Monsieur M’Hamed CHERIIFI exploitant du garage ADA AUTOMOBILES sis 41 rue de Verdun 54 560 AUDUN LE ROMAN...... 258 Arrêté préfectoral du 26/02/2020 autorisant la société RTE CNER STH à déroger aux règles de survol en vol à vue de jour du 16 au 23 mars, du 20 au 24 juillet, du 2 au 6 novembre et du 23 au 27 novembre 2020...... 259 SERVICE DE LA COORDINATION DES POLITIQUES PUBLIQUES...... 261 Bureau de la coordination interministérielle...... 261 Arrêté préfectoral N°20.BCI.10 accordant délégation de signature à M. Olivier BECKER, directeur de la citoyenneté et de l’action locale...... 261 SERVICE DE LA COORDINATION DES POLITIQUES PUBLIQUES...... 263 Bureau des procédures environnementales...... 263 Arrêté préfectoral déclarant d’utilité publique les travaux nécessaires à l’élargissement du chemin des Gaunattes sur le territoire de la commune de Villers- lès- en vue de l’aménagement d’un trottoir piétonnier sécurisé, accessible aux personnes à mobilité réduite, et desservant un arrêt de bus...... 263 Arrêté préfectoral déclarant cessibles les parcelles nécessaires à l’élargissement du chemin des Gaunattes sur le territoire de la commune de Villers-lès- Moivrons en vue de l’aménagement d’un trottoir piétonnier sécurisé, accessible aux personnes à mobilité réduite, et desservant un arrêt de bus...... 264 Arrêté préfectoral N°54-2018-00114 portant autorisation environnementale au titre de l’article L.214-3 du code de l’Environnement et concernant l’épandage agricole des boues produites par la station de traitement des eaux usées de ainsi que l’épandage des lixiviats produits sur le site délocalisé de stockage des boues...... 265 Arrêté préfectoral N° 54-2019-00049 portant autorisation environnementale au titre de l’article L.181-1 et suivants du code de l’Environnement et déclaration d’intérêt général au titre de l’article L.211-7 du code de l’Environnement concernant le programme de restauration du cours d’eau LE TERROUIN sur les territoires des communes de LANEUVEVILLE-DERRIERE-, LUCEY, , , SANZEY, MENIL-LA-TOUR, ANDILLY ET MANONCOURT-EN-WOEVRE...... 269 Arrêté préfectoral déclarant cessibles les parcelles nécessaires à la protection immédiate de la source de Fanoncourt sur le territoire de la commune de DOMMARIE-, au profit du syndicat intercommunal des eaux de ...... 273 SERVICES DECONCENTRES DE L’ETAT...... 273 DIRECCTE ...... 273 L’UNITÉ DÉPARTEMENTALE DE MEURTHE-ET-MOSELLE...... 273 Arrêté 2020-02 portant affectation des agents de contrôle dans les unités de contrôle et gestion des intérims...... 273 DIRECTION INTERDÉPARTEMENTALE DES ROUTES – EST...... 276 Arrêté n°2020/DIR-Est/DIR/SG/BAJ/54-02 du 01 mars 2020, portant subdélégation de signature par Monsieur Erwan LE BRIS, Directeur Interdépartemental des Routes – Est, relative aux pouvoirs de police de la circulation sur le réseau routier national, aux pouvoirs de police de la conservation du domaine public routier national, aux pouvoirs de gestion du domaine public routier national, et au pouvoir de représentation de l’État devant les juridictions, civiles, pénales et administratives...... 276 DIRECTION DÉPARTEMENTALE DE LA PROTECTION DES POPULATIONS DE MEURTHE-ET-MOSELLE...... 280 Arrêté préfectoral n° 20-DDPP-056 attribuant l'habilitation sanitaire au Dr HARTMAN MERCENIER Bénédicte...... 280 Arrêté préfectoral n° 20-DDPP-050 relatif à l’abrogation de l’Arrêté préfectoral n° 19-DDPP-66 attribuant l'habilitation sanitaire au Dr LARDENOIS Jade....281 Arrêté préfectoral n° 20-DDPP-048 attribuant l'habilitation sanitaire au Dr LUX Anastasia...... 281 Arrêté préfectoral n° 20-DDPP-049 relatif à l’abrogation de l’Arrêté préfectoral n° 19-DDPP-226 attribuant l'habilitation sanitaire au Dr CLEMENT MANGIN Pauline...... 282 Arrêté préfectoral n° 20-DDPP-051 relatif à l’abrogation de l’Arrêté préfectoral n° 17-DDPP-108 attribuant l'habilitation sanitaire au Dr LOIZEAU Camille...282 DIRECTION DEPARTEMENTALE DES TERRITOIRES...... 283 SERVICE AGRICULTURE – FORÊT – CHASSE...... 283 Unité Aides Directes – Structures...... 283 Décision 2020/DDT54/AFC-AD-S/n° 041, du 24/02/2020, portant agrément du Groupement Agricole d’Exploitation en Commun – GAEC DEMANGE à -54830 – N° agrément 54-20-001...... 283 Décision 2020/DDT54/AFC-AD-S/n° 042, du 14/02/2020, portant agrément du Groupement Agricole d’Exploitation en Commun – GAEC DE LA GARDE à EPLY-54610 – N° agrément 54-20-002...... 284 AUTRES SERVICES...... 285 DIRECTION INTERREGIONALE DE LA PROTECTION JUDICIAIRE DE LA JEUNESSE GRAND EST...... 285 Arrêté portant cession d’autorisation du Centre Educatif Renforcé « Echange » géré par l’Office d’Hygiène Sociale de Meurthe-et-Moselle (OHS) au Comité Mosellan de Sauvegarde de l'Enfance, de l'Adolescence et des Adultes (CMSEA)...... 285 RECUEIL N° 20 258 28 février 2020

ARRÊTES, DÉCISIONS, CIRCULAIRES PREFECTURE DE MEURTHE-ET-MOSELLE CABINET DU PRÉFET DIRECTION DES SÉCURITÉS Bureau des polices administratives

Arrêté préfectoral portant renouvellement de l’autorisation de la société HELITEL à déroger aux règles de survol pour une durée d’un an en vol à vue de jour et de nuit à compter du 26 mars 2020.

LE PRÉFET DE MEURTHE-ET-MOSELLE, VU le règlement d’exécution (UE) n°923/2012 établissant les règles de l’air communes et des dispositions opérationnelles relatives aux services et procédure de navigation aérienne ; VU le code de l'aviation civile, notamment les articles R. 131-1 et 2, D. 131-1 à D. 131-10, D. 133-10 à D. 133-14 ; VU le décret n° 91-660 du 11 juillet 1991 relatif aux règles de l'air et aux services de la circulation aérienne, notamment son annexe 1 ; VU le décret n°2005-865 du 27 juillet 2005 modifiant le code de l'aviation civile (troisième partie : Décrets) et relatif aux enregistrements d'images ou de données dans le champ du spectre visible ; VU le décret n° 2010-146 du 16 février 2010 modifiant le décret n° 2004-374 du 29 avril 2004 relatif aux pouvoirs des préfets, à l’organisation et à l’action des services de l'État dans les régions et départements ; VU le décret du Président de la République en date du 9 septembre 2019 nommant Mme Marie CORNET, sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de Meurthe-et-Moselle; VU l'arrêté interministériel du 10 octobre 1957, relatif au survol des agglomérations et des rassemblements de personnes ou d’animaux ; VU l’arrêté interministériel modifié du 17 novembre 1958 réglementant la circulation aérienne des hélicoptères ; VU l’arrêté ministériel modifié du 24 juillet 1991 relatif aux conditions d’utilisation d’aéronefs civils en aviation générale, notamment le paragraphe 5.4 « Restrictions d’occupation des aéronefs » de son annexe ; VU l’arrêté du 11 décembre 2014 relatif à la mise en œuvre du règlement d’exécution (UE) n°293/2012 et du règlement d’exécution (UE) n°923/2012 ; VU l’arrêté préfectoral en date du 26 mars 2019 autorisant la société HELITEL à déroger aux règles de survol pour une durée d’un an en vol à vue de jour et de nuit à compter du 26 mars 2019 ; VU l'arrêté préfectoral n° 19.BCI.21 du 17 septembre 2019 accordant délégation de signature à Mme Marie CORNET, sous-préfète, directrice de cabinet; VU la demande de renouvellement de l’autorisation accordée par arrêté préfectoral du 26 mars 2019 susvisé, présentée le 17 février 2020 par M. Christel NOIZET, représentant la société HELITEL, 21 rue de l’Espérance, 51600 AUBERIVE, pour déroger aux règles de survol pour une durée d’un an à compter du 26 mars 2020, en vol à vue de jour et de nuit ; VU l'avis de la Direction de la Sécurité de l’Aviation Civile Nord-Est ; VU l’avis de la Direction Zonale de la Police aux Frontières Est ; SUR proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet ; A R R E T E Article 1 : L’autorisation de la société HELITEL, à déroger aux règles (hauteurs minimales) de survol au-dessus des zones à forte densité, des villes ou agglomérations ou de rassemblements de personnes en plein air dans le département de Meurthe-et-Moselle, en régime de vol à vue de jour et de nuit, est renouvelée, pour une durée d’un an à compter du 26 mars 2020. Cette autorisation est accordée sous réserve du strict respect : ✔ des dispositions des textes susvisés, ✔ des prescriptions et des conditions techniques et opérationnelles annexées au présent arrêté (pièces n°1.1, 1.2, 1.3 et 2), pour les motifs détaillés à l’appui de la demande. ✔ des restrictions relatives aux espaces aériens traversés. Une liaison téléphonique permettant d'alerter les secours est mise en place (appel au 112 pour les téléphones portables ou 18 pour les sapeurs-pompiers) et les consignes de sécurité rappelées. Cette autorisation ne s’applique pas aux hauteurs minimales de vol au-dessus des zones à réglementation particulière. Dans tous les cas, le pilote respecte le statut et les conditions de pénétration des différents espaces aériens des services de la circulation aérienne et zones réglementées, dangereuses et/ou interdites. Le survol des établissements ou lieux dits sensibles est strictement interdit : hôpitaux, les établissements pénitentiaires, les centres de rétention administratifs, les hélistations ou hélisurfaces hospitalières, les installations classées, les sites militaires, les sites SEVESO …etc. Article 2 : La présente autorisation est révocable à tout moment, en cas de nécessité ou de risques imprévus pour la sécurité des personnes ou d’inobservation des règles de sécurité. Si toutefois le demandeur ne pouvait respecter certaines de ces conditions techniques et souhaitait obtenir une dérogation permettant d'évoluer à des hauteurs minimales inférieures à celles prescrites, il adresse une demande particulière à la direction de la sécurité de l’aviation civile Nord-Est. Cette demande doit comprendre une carte à grande échelle renseignée et un descriptif technique de la mission. Article 3 : Le présent document ou une copie se trouve à bord de l'appareil pendant la durée de la mission ainsi que les documents de bord de l'appareil, la licence, le manuel d'activités particulières et les qualifications du pilote conformes à la réglementation. Article 4 : La société HELITEL avise la brigade de police aéronautique de la police aux frontières préalablement à chaque vol ou groupe de vols, en indiquant les horaires et les lieux précis survolés pour les nécessités de la mission projetée (brigade de police aéronautique Tél. 03.87.62.03.43). Tout accident ou incident doit être immédiatement signalé à la brigade de police aéronautique de METZ (Tel 03.87.62.03.43) ou en cas d’impossibilité de joindre ce service, au PC CIC DZPAF METZ (03.87.64.38.00) qui détient les coordonnées du fonctionnaire de permanence. Article 5 : La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet, le directeur de la sécurité de l’aviation civile Nord-Est, le directeur zonal de la police aux frontières sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté qui est notifié à M. Christel NOIZET, représentant la société HELITEL, et dont une copie est adressée à : • MM. les sous-préfets de Briey, Lunéville et • M. le directeur départemental de la sécurité publique • M. le commandant du groupement départemental de gendarmerie • M. le directeur départemental des services d'incendie et de secours • M. le commandant de la brigade de gendarmerie des transports aériens

Fait à Nancy, le 25 février 2020 Pour le préfet et par délégation, Le directeur des sécurités, Bertrand MERCIER RECUEIL N° 20 259 28 février 2020

Arrêté préfectoral attribuant une récompense pour actes de courage et de dévouement.

LE PREFET DE MEURTHE-ET-MOSELLE, VU le décret du 16 novembre 1901 modifié par le décret du 9 décembre 1924 VU le décret n°70-221 du 17 mars 1970 portant déconcentration en matière d’attribution de la médaille pour actes de courage et de dévouement VU le décret n°2004-374 du 29 avril 2004 relatif aux pouvoirs des préfets, à l’organisation et à l’action des services de l’Etat dans les régions et les départements SUR proposition du commandant du groupement de gendarmerie départemental. A R R E T E Article 1 : la médaille de bronze pour actes de courage et de dévouement est décernée à • Gaël-Ratana DIJOUX Le 09 février 2020 au environ de 09 heures 30 minutes, les gendarmes de la brigade de Bayon interviennent à BAINVILLE AUX MIROIRS pour une jeune fille de 18 ans, dépressive, ayant sauté dans la Moselle. Alors qu’elle se promène au bord du canal avec des amis, elle se jette dans la Moselle dans le but d'en finir.

C’est alors que Monsieur DIJOUX son ami, âgé de 17 ans, saute dans l'eau glaciale de la Moselle gonflée par les récentes précipitations, avec courant et remous significatifs, susceptibles de l'entraîner vers une zone profonde pour la sauver. Il a récupéré et ramené la victime, qui a commencé par se débattre mais qu’il n’a pas lâchée, avant qu’elle se laisse ensuite faire. Le courage et le sang froid dont a fait preuve ce jeune homme a permis de sauver son amie qui serait très probablement décédée sans son intervention. Article 2 : la sous-préfète, directrice de cabinet est chargée de l’exécution du présent arrêté dont une copie sera adressée au directeur départemental des services d’incendie et de secours, Chef de corps et sera insérée au recueil des actes administratifs de la Préfecture.

Fait à Nancy, le 26 février 2020 Le préfet, Eric FREYSSELINARD

Bureau de la Sécurité routière

Arrêté préfectoral portant agrément d'un nouveau gardien de fourrière automobile pour Monsieur M’Hamed CHERIIFI exploitant du garage ADA AUTOMOBILES sis 41 rue de Verdun 54 560 AUDUN LE ROMAN.

LE PREFET DE MEURTHE-ET-MOSELLE, VU le code de la route ; VU le code général des collectivités territoriales ; VU le décret n° 96-476 du 23 mai 1996 modifiant le code de la route et relatif à l'immobilisation, à la mise en fourrière et à la destruction des véhicules terrestres ; VU le décret n° 2004-374 du 29 avril 2004 modifié relatif aux pouvoirs des préfets, à l’organisation des services de l’Etat dans les régions et les départements ; VU le décret du président de la République du 9 septembre 2019 nommant Mme Marie CORNET, sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de Meurthe-et-Moselle ; VU l’arrêté préfectoral N° 19.BCI.21 accordant délégation de signature à Mme Marie CORNET, sous-préfète, directrice de cabinet ; VU le rapport émis par la Brigade de gendarmerie de le 21 janvier 2020; CONSIDERANT que les installations du garage ADA AUTOMOBILES représenté par M. M’Hamed CHERIFI satisfont aux conditions d'agrément prévues à l'article R. 325-24 du code de la route ; SUR proposition de Mme la directrice de cabinet de la préfecture de Meurthe-et-Moselle A R R E T E Article 1 : Agrément du gardien de fourrière Monsieur M’Hamed CHERIFI exploitant du garage ADA AUTOMOBILES, sis 41 rue de Verdun 54 560 AUDUN LE ROMAN est agréé pour exercer les fonctions de gardien de fourrière conformément à l'article R.325-24 du code de la route. Cet agrément est personnel et incessible. Article 2 : Agrément des installations de fourrière Les installations du garage ADA AUTOMOBILES sont agréées pour recevoir les véhicules automobiles mis en fourrière. Article 3 : Durée de l'agrément et renouvellement Les agréments visés aux articles 1 et 2 sont accordés pour une période de cinq années à compter de la date du présent arrêté. Leur renouvellement devra être sollicité trois mois avant l'échéance. Si la demande de renouvellement est effectuée, les agréments seront reconduits sous réserve que les conditions d'agréments soient toujours respectées et que le fonctionnement de ladite fourrière ait été conforme aux dispositions législatives et réglementaires applicables en la matière. Article 4 : Fonctionnement Les engagements pris par Monsieur CHERIFI dans le document intitulé « Engagement écrit », dont un exemplaire est joint au présent arrêté, devront être strictement respectés. Article 5 : Retrait de l'agrément En cas de non respect des dispositions législatives et réglementaires en vigueur ou lorsqu'une des conditions de sa délivrance cesse d'être remplie, l'agrément pourra, après consultation de la commission départementale de sécurité routière, être retiré. Article 7 : Le présent arrêté peut faire l'objet d'un recours gracieux ou contentieux devant le tribunal administratif dans un délai de deux mois à dater de sa publication. Article 8 : M. le Secrétaire Général de la Préfecture et M. Directeur départemental de la sécurité publique de Meurthe-et-Moselle, M. le commandant du groupement de gendarmerie de Meurthe-et-Moselle, M. le Directeur Régional de l'Environnement, de l’Aménagement et du Logement, et à M. le Maire d’AUDUN LE ROMAN sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté qui fera l'objet d'une publication au recueil des actes administratifs de Meurthe-et- Moselle et dont copie sera adressée à M. CHERIFI.

Fait à Nancy, le 24 janvier 2020 Pour le préfet et par délégation, le directeur des sécurités Bertrand MERCIER Arrêté préfectoral du 26/02/2020 autorisant la société RTE CNER STH à déroger aux règles de survol en vol à vue de jour du 16 au 23 mars, du 20 au 24 juillet, du 2 au 6 novembre et du 23 au 27 novembre 2020.

LE PRÉFET DE MEURTHE-ET-MOSELLE, VU le règlement d’exécution (UE) n°923/2012 établissant les règles de l’air communes et des dispositions opérationnelles relatives aux services et procédure de navigation aérienne ; VU le code de l'aviation civile, notamment les articles R. 131-1 et 2, D. 131-1 à D. 131-10, D. 133-10 à D. 133-14 ; VU le code des relations entre le public et l'administration et notamment l’article L.242-4 ; VU le décret n° 91-660 du 11 juillet 1991 relatif aux règles de l'air et aux services de la circulation aérienne, notamment son annexe 1 ; VU le décret n°2005-865 du 27 juillet 2005 modifiant le code de l'aviation civile (troisième partie : Décrets) et relatif aux enregistrements d'images ou de données dans le champ du spectre visible ; VU le décret n° 2010-146 du 16 février 2010 modifiant le décret n° 2004-374 du 29 avril 2004 relatif aux pouvoirs des préfets, à l’organisation et à l’action des services de l'État dans les régions et départements ; VU le décret du Président de la République en date du 9 septembre 2019 nommant Mme Marie CORNET, sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de Meurthe-et-Moselle; VU l'arrêté interministériel du 10 octobre 1957, relatif au survol des agglomérations et des rassemblements de personnes ou d’animaux ; VU l’arrêté interministériel modifié du 17 novembre 1958 réglementant la circulation aérienne des hélicoptères ; VU l’arrêté ministériel modifié du 24 juillet 1991 relatif aux conditions d’utilisation d’aéronefs civils en aviation générale, notamment le paragraphe 5.4 « Restrictions d’occupation des aéronefs » de son annexe ; VU l’arrêté du 11 décembre 2014 relatif à la mise en œuvre du règlement d’exécution (UE) n°293/2012 ; VU l'arrêté préfectoral n° 19.BCI.21 du 17 septembre 2019 accordant délégation de signature à Mme Marie CORNET, sous-préfète, directrice de cabinet; VU l’arrêté préfectoral du 19 février 2020 autorisant la société RTE CNER STH (réseau de Transport d’Électricité) à déroger aux règles de survol en vol à vue de jour ; VU la demande d’autorisation reçue le 11 février 2020 par M. Arthur EDWARDS, responsable désigné des opérations de vol pour la société RTE CNER STH (réseau de Transport d’Électricité), sise 1470 route de l’aérodrome, CS 50 146, à Avignon (84918), pour déroger aux règles de survol dans le département de Meurthe-et-Moselle, afin d’effectuer la surveillance de lignes électriques Haute Tension du 16 au 20 mars, du 20 au 24 juillet, du 2 au 6 novembre et du 23 au 27 novembre 2020 en vol à vue de jour ; VU le courriel du 19 février 2020 de Madame Magali BERGUES, représentant la société RTE CNER STH demandant la modification de l’arrêté préfectoral du 19 février 2020 susvisé, car il ne permet pas d’effectuer le travail aérien mentionné dans la demande du 11 février 2020 susvisée ; VU l'avis de la Direction de la Sécurité de l’Aviation Civile Nord-Est ; VU l’avis de la Direction Zonale de la Police aux Frontières Est ; CONSIDERANT la demande susvisée du bénéficiaire de l’arrêté préfectoral du 19 février 2020 ; que le retrait de cet arrêté n'est pas susceptible de porter atteinte aux droits des tiers et qu’il s'agit de le remplacer par une décision plus favorable au bénéficiaire ; SUR proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet ; A R R E T E Article 1 : L’arrêté préfectoral du 19 février 2020 susvisé est retiré. Article 2 : La société RTE CNER STH (réseau de Transport d’Électricité) est autorisée • du 16 au 20 mars 2020, • du 20 au 24 juillet 2020, • du 2 au 6 novembre 2020, • et du 23 au 27 novembre 2020, à déroger aux règles de survol des agglomérations et des rassemblements de personnes, en régime de vol à vue de jour afin d'effectuer la surveillance de lignes électriques Haute Tension, dans le département de Meurthe-et-Moselle, au-dessus des communes suivantes : • BAYON • LANEUVEVILLE-DEVANT-NANCY • • CIREY-SUR-VEZOUZE • NANCY • • NEUVES-MAISONS • • POMPEY • DOMBASLE-SUR-MEURTHE • • ECROUVES • • ESSEY-LES-NANCY • TOUL • FOUG • VARANGÉVILLE • Cette autorisation est accordée sous réserve du strict respect : ✔ des dispositions des textes susvisés, ✔ des prescriptions et des conditions techniques et opérationnelles annexées au présent arrêté (pièces n°A.a, A.b, et B), pour les motifs détaillés à l’appui de la demande, ✔ des restrictions relatives aux espaces aériens traversés. Une liaison téléphonique permettant d'alerter les secours est mise en place (appel au 112 pour les téléphones portables ou 18 pour les sapeurs-pompiers) et les consignes de sécurité rappelées. Cette autorisation ne s’applique pas aux hauteurs minimales de vol au-dessus des zones à réglementation particulière. Dans tous les cas, le pilote respecte le statut et les conditions de pénétration des différents espaces aériens des services de la circulation aérienne et zones réglementées, dangereuses et/ou interdites. Le survol des établissements ou lieux dits sensibles est strictement interdit : hôpitaux, les établissements pénitentiaires, les centres de rétention administratifs, les hélistations ou hélisurfaces hospitalières, les installations classées, les sites militaires, les sites SEVESO …etc. Article 3 : La présente autorisation est révocable à tout moment, en cas de nécessité ou de risques imprévus pour la sécurité des personnes ou d’inobservation des règles de sécurité. Si toutefois le demandeur ne pouvait respecter certaines de ces conditions techniques et souhaitait obtenir une dérogation permettant d'évoluer à des hauteurs minimales inférieures à celles prescrites, il adresse une demande particulière à la direction de la sécurité de l’aviation civile Nord-Est. Cette demande doit comprendre une carte à grande échelle renseignée et un descriptif technique de la mission. RECUEIL N° 20 261 28 février 2020

Article 4 : Le présent document ou une copie se trouve à bord de l'appareil pendant la durée de la mission ainsi que les documents de bord de l'appareil, la licence, le manuel d'activités particulières et les qualifications du pilote conformes à la réglementation. Article 5 : La société RTE STH (réseau de Transport d’Électricité) avise la brigade de police aéronautique de la police aux frontières préalablement à chaque vol ou groupe de vols, en indiquant les horaires et les lieux précis survolés pour les nécessités de la mission projetée (brigade de police aéronautique Tél. 03.87.62.03.43). Tout accident ou incident doit être immédiatement signalé à la brigade de police aéronautique de METZ (Tel 03.87.62.03.43) ou en cas d’impossibilité de joindre ce service, au PC CIC DZPAF METZ (03.87.64.38.00) qui détient les coordonnées du fonctionnaire de permanence. Article 6 : La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet, le directeur de la sécurité de l’aviation civile Nord-Est, le directeur zonal de la police aux frontières sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté qui est notifié à M. Arthur EDWARDS pour la société RTE CNER STH (Réseau de Transport d’Électricité), et dont une copie est adressée à : • MM. les Sous-Préfets de LUNEVILLE et TOUL • MM. les Maires de BAYON, CHAMPIGNEULLES, CIREY-SUR-VEZOUZE, CUSTINES, DIEULOUARD, DOMBASLE-SUR- MEURTHE, ECROUVES, ESSEY-LES-NANCY, FOUG, FROUARD, LANEUVEVILLE-DEVANT-NANCY, LEYR, NANCY, NEUVES- MAISONS, POMPEY, SAIZERAIS, SEICHAMPS, TOUL et VARANGÉVILLE. • M. le Directeur départemental de la sécurité publique, • M. le Commandant du groupement départemental de gendarmerie, • M. le Directeur départemental des services d'incendie et de secours, • M. le Commandant de la brigade de gendarmerie des transports aériens.

Fait à Nancy, le 26 février 2020 Pour le préfet et par délégation, Le directeur des sécurités, Bertrand MERCIER

– VOIES ET DÉLAIS DE RECOURS

– Si vous souhaitez contester la présente décision administrative, vous avez la possibilité de former dans les 2 mois courant à compter de sa notification ou de sa publication, selon le cas : ➔ Soit un recours administratif sous une des deux formes suivantes : ◦ soit un recours gracieux adressé à M. le Préfet de Meurthe-et-Moselle – 1 rue Préfet Claude Érignac – CS 60031 – 54038 NANCY CEDEX. ◦ soit un recours hiérarchique adressé à M. le Ministre de l'Intérieur – Direction des libertés publiques et des affaires juridiques – Sous- direction du conseil juridique et du contentieux – Bureau du contentieux des polices administratives – Place Beauvau – 75800 PARIS CEDEX 08. Dans le cas d’une décision expresse ou implicite de rejet résultant de votre recours administratif, vous disposez de deux mois, délai franc, pour déposer un recours contentieux auprès du Tribunal administratif de Nancy (articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative). ➔ Soit un recours contentieux adressé au Tribunal administratif de Nancy – 5 place de la Carrière – C.O. N° 20038 - 54036 NANCY CEDEX. Le tribunal administratif peut être saisi par l'application informatique « Télérecours Citoyens » accessible par le site internet www.telerecours.fr

SERVICE DE LA COORDINATION DES POLITIQUES PUBLIQUES Bureau de la coordination interministérielle

Arrêté préfectoral N°20.BCI.10 accordant délégation de signature à M. Olivier BECKER, directeur de la citoyenneté et de l’action locale.

LE PRÉFET DE MEURTHE ET MOSELLE, VU la loi du 28 pluviôse An VIII relative à la division du territoire de la République et à l’administration du territoire ; VU la loi n°82-213 du 2 mars 1982 modifiée, relative aux droits et libertés des communes, des départements et des régions ; VU le décret n° 2004-374 du 29 avril 2004 modifié relatif aux pouvoirs des préfets à l'organisation et à l'action des services de l'État dans les régions et départements ; VU le décret du Président de la République en date du 8 décembre 2017 nommant M. Éric FREYSSELINARD préfet de Meurthe-et-Moselle ; VU l’arrêté préfectoral du 13 février 2017 portant organisation des services de la préfecture et les transferts de compétences mis en œuvre ; VU la décision préfectorale portant nomination à compter du 1er avril 2017, de M. Olivier BECKER, conseiller d’administration de l’intérieur et de l’outre-mer en qualité de directeur de la citoyenneté et de l'action locale à la préfecture de Meurthe-et-Moselle ; SUR proposition de la secrétaire générale de la préfecture de Meurthe-et-Moselle ; A R R Ê T E Article 1 : Délégation est donnée à M. Olivier BECKER, directeur de la citoyenneté et de l'action locale à l'effet de signer dans le cadre des attributions de la direction : 1-0 – POUR L’ENSEMBLE DES BUREAUX - la saisine des différents services pour la constitution des commissions et les notifications des décisions portant nomination individuelle au sein des commissions, - les lettres de convocation aux réunions et les envois des procès-verbaux correspondants, - les lettres adressées en réponse aux demandes de documentation ou de renseignements formulées par des élus ou des particuliers, - les lettres adressées aux différents services pour la rédaction de rapports, d’études ou d’avis, - les lettres de notification de décisions administratives, arrêtés préfectoraux et conventions. 1-1 – SERVICE IMMIGRATION ET INTÉGRATION 100- Premiers récépissés (toutes demandes) et renouvellements de récépissé (uniquement dans le cadre de l’asile) 101- Autorisations provisoires de séjour (hors titre humanitaire) 102- Demandes d'enquête 103- Demandes de complément de dossiers relevant des attributions de la réglementation du droit des étrangers ; du code de la route pour l’échange de permis de conduire étrangers 104- Télécopies de documents ne comportant pas de décisions 105- Convocations aux entretiens de naturalisation et entretiens pour remise des documents de naturalisation et pièces d’état civil 106- Remise de titres de séjour des étrangers 107- Titres de séjour des étrangers 108- Documents de circulation pour étranger mineur et titres d'identité républicains 109- Renouvellement de récépissés (hors asile) 110- Autorisations provisoires de séjour (à titre humanitaire) 111-Récépissés de dépôt et accusés de réception des dossiers de demande de naturalisation, compte- rendus d’entretien d’assimilation relatifs aux demandes de naturalisation et documents relatifs à l’acquisition de la nationalité française par déclaration en tant que RECUEIL N° 20 262 28 février 2020 conjoint de Français (article 21-2 du code civil), ascendant de Français (article 21-12-1 du code civil) et frère ou sœur de Français (article 21-12-2 du code civil). 112- Refus de délivrance d'autorisation provisoire de séjour 113- Titres de voyage des réfugiés et apatrides 114- Prolongation des visas des passeports 115- Attestations constatant des faits ou des droits 116- Courriers accompagnant la délivrance des autorisations provisoires de séjour suite à l'annulation d'un arrêté de reconduite à la frontière ou d'une obligation de quitter le territoire français par le Tribunal administratif 117- Toutes décisions favorables aux demandeurs 118- Laissez-passer 119- Décisions relevant des articles L511-1 à L511-3-2, L531-1 à L531-4 et L742-1 à L742-7 du code de l’entrée et du séjour des étrangers et du droit d’asile, les décisions de placement en rétention administrative visées au Livre 5 - titre 5 du code de l’entrée et du séjour des étrangers et du droit d’asile, les demandes de prolongation de rétention formulées auprès des juges des libertés et de la détention des tribunaux de grande instance, les mémoires dans le cadre du contentieux d’urgence lié à la rétention et sa prolongation ainsi que les décisions d'assignation à résidence visées au Livre 5 -titre 6 du code de l’entrée et du séjour des étrangers et du droit d’asile 120- Toutes décisions défavorables concernant notamment le refus de regroupement familial, le refus de la carte de résident ou de certificat de résidence d'Algérien valable dix ans, le refus de l'admission au séjour, la confirmation des arrêtés de refus de séjour avec obligation de quitter le territoire français 121- Abrogations d’arrêtés de refus de séjour assortis de l’obligation de quitter le territoire français 122- Représentation de l'État devant les juridictions, dans le cadre du contentieux administratif et judiciaire des mesures d’éloignement 123- Signature des requêtes et des mémoires pour tous les contentieux d’urgence liés aux procédures d’éloignement et aux refus de séjour 124- Signature des requêtes et des mémoires pour tous les contentieux liés aux procédures d’éloignement et aux refus de séjour 125-Échange et refus d'échange de permis étrangers 1-2 – SERVICE DE LA CITOYENNETÉ ET DE L’ACTION LOCALE Citoyenneté 200- Nomination des délégués de l’administration au sein des commissions administratives chargées de la révision des listes électorales pour les communes de l’arrondissement de Nancy 201- Conclusion de marchés publics dans le cadre des échéances électorales 202- Déclaration de mandataires financiers dans le cadre des élections 203- Récépissé de déclaration de candidature provisoire 204- Récépissé de déclaration de candidature définitif 205-Liquidation financière des élections politiques et professionnelles (factures, frais d’assemblée électorale, subvention aux mairies pour l’achat d’urnes et d’isoloirs, remboursement des procurations et des frais de déplacements des OPJ, remboursement des frais de campagne….) à l’exception des états de rémunération liés à la mise sous pli et des indemnités pour travaux supplémentaires 206- Déclaration d'option pour le service national 207- Récépissé de déclaration de revendeurs d'objets mobiliers 208- Récépissés de création, modifications et dissolution des fonds de dotation 209- Récépissés de création, modifications et dissolution des associations loi 1901 et loi 1905 210- Récépissés de création, modifications et dissolution des associations syndicales libres 211- Accusé réception de transmission des comptes annuels et rapport d’activités des associations reconnues d’utilité publique, des fonds de dotation et des fondations 212- Décision de non opposition en cas de legs ou donation à des associations, congrégations… 213- Signature des cartes nationales d'identité 214- Attestations constatant des faits ou des droits 215- Statistiques mensuelles et comptabilité matière 216- Correspondances relevant des attributions du bureau de la citoyenneté, hors décisions défavorables 217- Demandes de complément de dossiers relevant des attributions du bureau de la citoyenneté 218- Bordereaux d'envoi y compris pour télécopies de documents pour toutes les attributions du bureau de la citoyenneté 219- Demande d'inscription d'opposition de sortie de territoire des mineurs (OST) à titre conservatoire (durée 15 jours) 220- Attribution par voie de tirage au sort des panneaux d’affichage électoral pour l’arrondissement de Nancy pour les élections où la candidature est subordonnée au dépôt obligatoire d'une déclaration, à l'exception des élections municipales dans les communes de moins de 1 000 habitants 221- Opérateurs funéraires : 2211- Habilitations, suspension et retrait d'autorisation d'exercer 2212- Agrément, suspension et retrait d'agrément des chambres funéraires 2213- Instruction de ces procédures, y compris les mises à enquête publique 2214- Autorisations de transports de corps à l'étranger, dérogation des délais d'inhumation et de crémation 222- Foires commerciales : récépissés de déclaration 223- Autorisation d'appel à la générosité publique 224- Délivrance de cartes de guide-conférencier 225- Tourisme : 2251- Classement des offices de tourisme et des communes touristiques 2252- Autorisation d'exploitation des trains touristiques 226- Réglementations diverses : 2261- Hippodromes : agrément des commissaires de courses, demande d’ouverture annuelle, approbation des comptes et du budget 2262- Délivrance de titres de maître restaurateur Action locale 227- Les arrêtés attributifs du fonds de compensation pour la T.V.A. 228- Les accusés de réception des demandes de subvention 229- Les certificats de service fait pour les dossiers de subventions d’État 230- Les arrêtés préfectoraux fixant le montant des indemnités à verser aux commissaires enquêteurs à la suite d'enquêtes publiques réalisées dans des domaines relevant de la compétence du bureau 231- Missions de proximité CIV (Certificat d’immatriculation de véhicule) 2311- Conventions d’habilitation des professionnels de l’automobile 2312- Suspension ou annulation des conventions d’habilitation des professionnels de l’automobile 2313- Convention d’agrément des professionnels de l’automobile 2314- Suspension ou annulation des conventions d’agrément des professionnels de l’automobile Article 2 : 2-1 En cas d'absence ou d'empêchement de M. Olivier BECKER, la délégation de signature consentie aux articles 1-0 et 1-2 dans les domaines de la citoyenneté et des collectivités territoriales sera exercée par Mme Marie-Line BOULANGER, attachée hors classe, adjointe au directeur, cheffe du service de la citoyenneté et des collectivités territoriales. 2-2 RECUEIL N° 20 263 28 février 2020

Délégation de signature est donnée, sous le contrôle et l'autorité de M. Olivier BECKER et de Mme Marie-Line BOULANGER, à l'effet de signer les documents désignés aux articles 1-0 et aux domaines 227 à 229 à Mme Christine SARTELET, attachée, adjointe à la cheffe du bureau des affaires budgétaires et financières des collectivités territoriales. 2-3 Délégation de signature est donnée, en cas d’absence ou d’empêchement de M. Olivier BECKER et de Mme Marie-Line BOULANGER, sous leur contrôle et leur autorité, à l'effet de signer les documents désignés aux articles 1-0 et au domaine 230 à M. Alexandre BONARDEL- ARGENTY, attaché principal, chef de bureau du contrôle de légalité, de l’intercommunalité et du conseil aux collectivités territoriales ou, en son absence, à Mme Brigitte DEDISSE, attachée principale, adjointe au chef de bureau. 2-4 Délégation de signature est donnée, en cas d’absence ou d’empêchement de M. Olivier BECKER et de Mme Marie-Line BOULANGER, sous leur contrôle et leur autorité, à l’exception du domaine indiqué en 200, à l'effet de signer les documents désignés aux articles 1-0 et les domaines 201 à 226 et 231 à M. Alex BAILLY attaché, chef du bureau de la citoyenneté ou, en cas d’absence ou d’empêchement, à M. Adrien MARIE, attaché, adjoint au chef de bureau. En cas d'absence ou d'empêchement de M. Alex BAILLY et de M. Adrien MARIE, délégation de signature est donnée à Mme Claude PEIGNIER et à Mme Sylvie CHOFFAT, secrétaires administratives, pour les domaines désignés en 202 et 203, 206 et 207, 209 à 212 et 2214. Article 3 : 3-1 En cas d'absence ou d'empêchement de M. Olivier BECKER, la délégation de signature consentie aux articles 1-0 et 1-1 dans le domaine de l’immigration et de l'intégration sera exercée par Mme Martine CHENG, directrice de service, adjointe au directeur, cheffe du service de l'immigration et de l'intégration ou, en son absence, par Mme Johanne FARGIER, attachée, cheffe du bureau du séjour régulier. 3-2 La délégation de représentation du préfet visée au domaine 122 est donnée, sous le contrôle et l'autorité de M. Olivier BECKER et de Mme Martine CHENG, à M. Christian MENDY, attaché, chef du bureau du séjour irrégulier et de l’éloignement, M. Yannick JOSEPH-ALEXANDRE, adjoint au chef de bureau, Mme Claire TRANDAFIR, Mme Véronique METZGER, M. Philippe WEINSBERG, et M. Olivier DUVAL, secrétaires administratifs, et M. Florian SCHMITT, adjoint administratif. 3-3 Délégation de signature est donnée, dans le cadre des astreintes des week-ends et jours fériés à l'effet de signer les documents désignés à l'article 1er dans les domaines indiqués de 122 à 123 à Mme Martine CHENG, attachée principale, Mme Johanne FARGIER et M. Christian MENDY, attachés, M. Yannick JOSEPH-ALEXANDRE, Mme Claire TRANDAFIR, Mme Véronique METZGER, M. Philippe WEINSBERG et M. Olivier DUVAL, secrétaires administratifs, et M. Florian SCHMITT, adjoint administratif. 3-4 Délégation de signature est donnée, sous le contrôle et l'autorité de M. Olivier BECKER et de M me Martine CHENG, à l'effet de signer les documents désignés à l'article 1er dans les domaines indiqués de 103 à 106, à Mmes Édith GASSMANN, Sophia LAMPERTI, Gwenaëlle ROY, Mélaine VILLEMIN, Séverine COUZOT, Afisa SOUDANI, Sandy DANTANT, et MM. Yann CECILE, Fabrice ELOPHE, Anthony LEBAUDY, Michel PERNEY et Thomas FIQUET, adjoints administratifs. 3-5 Délégation de signature est donnée, sous le contrôle et l'autorité de M. Olivier BECKER et de Mme Martine CHENG, à l'effet de signer les documents désignés à l'article 1er dans les domaines indiqués de 100 à 115 et 117 à Mme Sylviane BILOT, secrétaire administrative, adjointe au chef de bureau du séjour régulier, à Mmes Christine FRANCOIS, Hélène HEBERT et Ghislaine ESMEZ, secrétaires administratives au bureau du séjour régulier, 115 et 117 et 120 à Mme Johanne FARGIER et M. Christian MENDY, attachés, et de 102 à 105 à Mmes Émilie FORNECKER et Stéphanie CONTAL, secrétaires administratives, Mme Jennifer POZUETA et M. Bruno GUILLEMIN, adjoints administratifs. 3-6 Délégation de signature est donnée, sous le contrôle et l'autorité de M. Olivier BECKER et de Mme Martine CHENG, à l'effet de signer les documents désignés à l'article 1er dans les domaines indiqués de 102 à 105 et 111 à M. Alban OLMEDO, attaché principal, responsable de la plate-forme interdépartementale des naturalisations, M. Abdelghani KETLAS, secrétaire administratif, adjoint au responsable de la plate-forme interdépartementale des naturalisations, Mme Abla AOUIDAT, épouse RAJOELIARIVONY , secrétaire administrative de classe supérieure, Mmes Catherine CERVA-PEDRIN, Gwenaëlle DUCHENE, épouse LOGNON, Stéphanie DURET, Mme Brigitte SALET, Martine VAUQUOIS- ROUQUIER, Stéphanie BARBIER, et Mme Christelle CREUTZ, adjointes administratives. 3-7 Délégation de signature est donnée, sous le contrôle et l'autorité de M. Olivier BECKER et de Mme Martine CHENG, à l'effet de signer les documents désignés à l'article 1er dans le domaine indiqué 125 à Mme Johanne FARGIER, attaché, et à Mmes Sylviane BILOT et Ghislaine ESMEZ, secrétaires administratives. 3-8 Délégation de signature est donnée, sous le contrôle et l’autorité de M. Olivier BECKER et de Mme Martine CHENG, à M. Christian MENDY, attaché, et à Yannick JOSEPH-ALEXANDRE, secrétaire administratif de classe supérieure, les demandes de prolongation de rétention formulées auprès des juges des libertés et de la détention des tribunaux de grande instance, désignées à l’article 1er dans le domaine 119. Article 4 : Pour tout ce qui concerne les documents et pièces comptables se rapportant aux crédits de fonctionnement de l’administration territoriale (BOP 354), délégation de signature est donnée à M. Olivier BECKER, en sa qualité de prescripteur, aux fins de signer : - la décision de dépenses en validant des expressions de besoins, - la constatation du service fait. En cas d’absence ou d’empêchement, la délégation est donnée à Mme Marie-Line BOULANGER, adjointe au directeur, cheffe du service de la citoyenneté et des collectivités territoriales et Mme Martine CHENG, adjointe au directeur, cheffe du service de l'immigration et de l'intégration. Article 5 : Demeurent réservées en toutes matières à la signature du préfet les correspondances adressées : - à la présidence de la République et au Premier Ministre, - aux ministres, - aux parlementaires, ainsi que les correspondances adressées sous forme personnelle : - au préfet de Région et au président du Conseil Régional, - au président du Conseil Départemental, - au président de la Métropole du Grand Nancy. Article 6 : L’arrêté préfectoral n° 20.BCI.05 du 27 janvier 2020 accordant délégation de signature à M. Olivier BECKER, directeur de la citoyenneté et de l’action locale, est abrogé à compter de l’entrée en vigueur du présent arrêté. Article 7 : La secrétaire générale de la préfecture et M. Olivier BECKER, directeur de la citoyenneté et de l'action locale sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté qui sera affiché pendant 15 jours dans les locaux de la préfecture et publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Meurthe-et-Moselle. Une copie sera adressée au directeur départemental des finances publiques de Meurthe-et-Moselle et à la directrice des archives départementales.

Fait à Nancy, le 26 février 2020 Le Préfet, Éric FREYSSELINARD RECUEIL N° 20 264 28 février 2020

SERVICE DE LA COORDINATION DES POLITIQUES PUBLIQUES Bureau des procédures environnementales

Arrêté préfectoral déclarant d’utilité publique les travaux nécessaires à l’élargissement du chemin des Gaunattes sur le territoire de la commune de Villers-lès- Moivrons en vue de l’aménagement d’un trottoir piétonnier sécurisé, accessible aux personnes à mobilité réduite, et desservant un arrêt de bus.

LE PREFET DE MEURTHE-ET-MOSELLE VU le code de l'expropriation pour cause d'utilité publique, et notamment les articles L. 1, L. 110-1, L. 131-1, R. 111-1, R. 112-1 à R. 112-23, R. 131-1 à R. 132-4, et R. 131-14; VU le code de l’environnement, et notamment ses articles L. 123-2 et R. 123-5; VU le décret n° 55-22 du 4 janvier 1955 modifié portant réforme de la publicité foncière; VU le décret n° 2004-374 du 29 avril 2004 modifié relatif aux pouvoirs des préfets, à l'organisation et à l'action des services de l'État dans les régions et les départements; VU la délibération du 18 mars 2019 du conseil municipal de Villers-lès-Moivrons décidant de recourir à la procédure d’expropriation afin de réaliser les travaux d’aménagement du chemin des Gaunattes, nécessaires au projet d’aménagement d’un trottoir sécurisé, accessible aux personnes à mobilité réduite, et desservant l’arrêt de bus situé sur la commune ; CONSIDERANT que par courrier du 22 mars 2019, complété les 12 avril et 30 septembre 2019, le maire de Villers-lès-Moivrons a sollicité auprès du préfet de Meurthe-et-Moselle l’ouverture conjointe d’une enquête parcellaire et d’une enquête préalable à la déclaration d’utilité publique (DUP) relative au projet précité; CONSIDERANT que par arrêté préfectoral du 8 novembre 2019, l'ouverture d'une enquête préalable à la DUP du projet a été prescrite du 2 décembre au 21 décembre 2019 inclus ; CONSIDERANT que le commissaire-enquêteur a émis, le 15 janvier 2020, un avis favorable, assorti d’une réserve, à la déclaration d'utilité publique des travaux nécessaires au projet d’aménagement d’un trottoir sécurisé situé chemin des Gaunattes à Villers-lès-Moivrons, accessible aux personnes à mobilité réduite, et desservant l’arrêt de bus ; CONSIDERANT que par courrier du 5 février 2020, la réserve émise par le commissaire enquêteur a été levée par le maire de Villers-lès- Moivrons ; CONSIDERANT après analyse du dossier soumis à enquête publique, et à la lecture des observations du public formulées pendant l'enquête et des conclusions du commissaire-enquêteur sur l’utilité publique de l’opération, que les avantages du projet l'emportent sur ses inconvénients ; SUR proposition de la secrétaire générale de la préfecture de Meurthe-et-Moselle, A R R E T E Article 1 – Les travaux nécessaires au projet d’aménagement d’un trottoir sécurisé situé chemin des Gaunattes à Villers-lès-Moivrons, accessible aux personnes à mobilité réduite, et desservant l’arrêt de bus sur le territoire de la commune sont déclarés d'utilité publique. Article 2 – La présente déclaration d'utilité publique est prononcée au profit de la commune de Villers-lès-Moivrons. Article 3 – L'acquisition par la collectivité précitée des parcelles nécessaires à la réalisation du projet visé à l'article 1er du présent arrêté peut être opérée soit à l’amiable, soit par voie d'expropriation dans un délai de cinq ans à compter de la date de publication du présent arrêté. Article 4 – Le présent arrêté sera affiché dans la mairie de Villers-lès-Moivrons pendant deux mois aux lieux ordinaires d'affichage des actes administratifs. La présente décision fera également l'objet d'une publication dans le recueil des actes administratifs de la préfecture de Meurthe-et-Moselle. Article 5 – Le présent arrêté peut faire l'objet dans le délai de deux mois d'un recours gracieux et/ou contentieux dans les conditions suivantes : • recours gracieux : ce recours doit être adressé au préfet de Meurthe-et-Moselle. En l’absence de réponse dans un délai de deux mois à compter de sa date de réception, le recours gracieux doit être considéré comme implicitement rejeté ; • recours contentieux : ce recours doit être adressé au tribunal administratif de Nancy à l’adresse suivante : 5, place de la Carrière – C.O. N° 20038 - 54036 NANCY. Le tribunal administratif peut également être saisi par l'application informatique "Télérecours citoyens" accessible par le site Internet www.telerecours.fr. Le délai de recours contentieux est prorogé de deux mois supplémentaires à compter du rejet du recours gracieux. Article 6 – La secrétaire générale de la préfecture de Meurthe-et-Moselle, le maire de Villers-lès-Moivrons sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté dont une copie sera adressée, pour information, à la présidente du tribunal administratif de Nancy et au commissaire-enquêteur.

Fait à Nancy, le 21 février 2020 Pour le préfet et par délégation, La secrétaire générale, Marie-Blanche BERNARD

Arrêté préfectoral déclarant cessibles les parcelles nécessaires à l’élargissement du chemin des Gaunattes sur le territoire de la commune de Villers-lès-Moivrons en vue de l’aménagement d’un trottoir piétonnier sécurisé, accessible aux personnes à mobilité réduite, et desservant un arrêt de bus.

LE PREFET DE MEURTHE-ET-MOSELLE, VU le code de l'expropriation pour cause d'utilité publique, notamment les articles L.1, L.131-1, L.132-1 à L.132-4 et R.131-1 à R.132-4 ; VU le décret n° 55-22 du 4 janvier 1955 modifié portant réforme de la publicité foncière; VU le décret n°2004-374 du 29 avril 2004 modifié relatif aux pouvoirs des préfets, à l'organisation et à l'action des services de l'Etat dans les régions et les départements; VU la délibération du 18 mars 2019 du conseil municipal de Villers-lès-Moivrons décidant de recourir à la procédure d’expropriation afin de réaliser les travaux d’aménagement du chemin des Gaunattes, nécessaires au projet d’aménagement d’un trottoir sécurisé, accessible aux personnes à mobilité réduite, et desservant l’arrêt de bus situé sur la commune ; CONSIDERANT que par courrier du 22 mars 2019, complété les 12 avril et 30 septembre 2019, le maire de Villers-lès-Moivrons a sollicité auprès du préfet de Meurthe-et-Moselle l’ouverture conjointe d’une enquête parcellaire et d’une enquête préalable à la déclaration d’utilité publique (DUP) relative au projet précité; CONSIDERANT que par arrêté préfectoral du 8 novembre 2019, l'ouverture d'une enquête parcellaire a été prescrite du 2 décembre au 21 décembre 2019 inclus pour permettre de déterminer les parcelles à exproprier en vue de s’assurer de la réalisation du projet et d’identifier les propriétaires des parcelles concernées ; CONSIDERANT que le commissaire-enquêteur a émis, le 15 janvier 2020, un avis favorable sur l’emprise des ouvrages projetés ; CONSIDERANT la nécessité d'acquérir les parcelles nécessaires à la réalisation des travaux du projet susvisé; SUR proposition de la secrétaire générale de la préfecture de Meurthe-et-Moselle, A R R E T E Article 1 – Les parcelles désignées sur le plan et l’état parcellaires annexés au présent arrêté sont déclarées immédiatement cessibles au profit de la commune de Villers-lès-Moivrons. Article 2 – L'acquisition par la commune de Villers-lès-Moivrons des parcelles énumérées dans l’état parcellaire annexé au présent arrêté peut être opérée soit à l’amiable, soit par voie d'expropriation, dans les conditions fixées par les dispositions législatives et réglementaires du code de l'expropriation pour cause d'utilité publique. RECUEIL N° 20 265 28 février 2020

Article 3 – La présente décision sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de Meurthe-et-Moselle et notifiée par l’expropriant, en pli recommandé avec avis de réception, aux propriétaires concernés. Article 4 – Le présent arrêté peut faire l'objet dans le délai de deux mois d'un recours gracieux et/ou contentieux dans les conditions suivantes : • recours gracieux : ce recours doit être adressé au préfet de Meurthe-et-Moselle. En l’absence de réponse dans un délai de deux mois à compter de sa date de réception, le recours gracieux doit être considéré comme implicitement rejeté ; • recours contentieux : ce recours doit être adressé au tribunal administratif de Nancy à l’adresse suivante : 5, place de la Carrière – C.O. N° 20038 - 54036 NANCY. Le tribunal administratif peut également être saisi par l'application informatique "Télérecours citoyens" accessible par le site Internet www.telerecours.fr. Le délai de recours contentieux est prorogé de deux mois supplémentaires à compter du rejet du recours gracieux. Article 5 – La secrétaire générale de la préfecture de Meurthe-et-Moselle, le maire de Villers-lès-Moivrons sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté dont une copie sera adressée, pour information, pour information, à la présidente du tribunal administratif de Nancy et au commissaire-enquêteur.

Fait à Nancy, le 21 février 2020 Pour le préfet et par délégation, La secrétaire générale, Marie-Blanche BERNARD

Les annexes (plan et état parcellaires) sont consultables à la préfecture, service de la coordination des politiques publiques

Arrêté préfectoral N°54-2018-00114 portant autorisation environnementale au titre de l’article L.214-3 du code de l’Environnement et concernant l’épandage agricole des boues produites par la station de traitement des eaux usées de LONGWY ainsi que l’épandage des lixiviats produits sur le site délocalisé de stockage des boues.

LE PRÉFET DE MEURTHE-ET-MOSELLE VU la directive n° 86/278/CEE du 12 juin 1986 relative à la protection de l’environnement et notamment des sols, lors de l’utilisation des boues épandues sur des sols agricoles ; VU la directive cadre sur l’eau n°2000/60/CE du 23 octobre 2000 établissant un cadre pour une politique communautaire dans le domaine de l’eau ; VU le Code de l'environnement et notamment ses articles L.214-1 et suivants, L.432-2, R.214-1 à R.214-5, R.214-6 et suivants ainsi que les articles R.211-25 à R.211-47 ; VU le Code général des collectivités territoriales et notamment ses articles L.2224-8 et L.2224-10 ; VU l’ordonnance n° 2017-80 du 26 janvier 2017 relative à l'autorisation environnementale ; VU les décrets d’application n° 2017-81 et 2017-82 du 26 janvier 2017 relatifs à l'autorisation environnementale ; VU l’arrêté S.G.A.R. n° 2015-327 approuvé par le préfet coordinateur de bassin en date du 30 novembre 2015 et portant approbation des Schémas Directeurs d’Aménagement et de Gestion des Eaux des parties françaises des districts hydrographiques du Rhin et de la Meuse et arrêtant les programmes pluriannuels de mesures correspondants ; VU le schéma d’aménagement et de gestion des eaux du bassin ferrifère, approuvé le 27 mars 2015 ; VU le décret n° 2009-1484 du 3 décembre 2009 relatif aux directions départementales interministérielles et notamment ses articles 17 et 20 ; VU le décret n° 2004-374 du 29 avril 2004 modifié relatif aux pouvoirs des Préfets, à l’organisation et à l’action des services de l’État dans les régions et les départements ; VU le décret n° 97-1133 du 8 décembre 1997 relatif à l’épandage des boues issues du traitement des eaux usées ; VU l’arrêté du 8 janvier 1998 fixant les prescriptions techniques applicables aux épandages de boues sur les sols agricoles pris en application du décret n° 97-1133 du 8 décembre 1997 relatif à l'épandage des boues issues du traitement des eaux usées codifié dans le Code de l’environnement ; VU l’arrêté du 19 décembre 2011 relatif au programme d’action national à mettre en œuvre dans les zones vulnérables afin de réduire la pollution des eaux par les nitrates d’origine agricole ; VU les arrêtés du 23 octobre 2013 et du 11 octobre 2016 modifiant l’arrêté du 19 décembre 2011 relatif au programme d’actions national à mettre en œuvre dans les zones vulnérables afin de réduire la pollution des eaux par les nitrates d’origine agricole ; VU l’arrêté SGAR n° 2007-272 en date du 23 juillet 2007, portant délimitation des zones vulnérables aux pollutions par les nitrates d’origine agricole sur le bassin Rhin-Meuse, modifié par l’arrêté SGAR n°2008-251 du 18 juillet 2008 ; VU l’arrêté SGAR n° 2015-266 en date du 8 octobre 2015, portant désignation des zones vulnérables aux pollutions par les nitrates d’origine agricole sur le bassin Rhin-Meuse, modifiant l’arrêté SGAR n° 2007-272 du 23 juillet 2007 modifié ; VU l’arrêté SGAR n° 2016-1328 en date du 3 octobre 2016, qui porte sur la délimitation aux sections cadastrales de certaines communes désignées dans l’arrêté SGAR n° 2015-266 en date du 8 octobre 2015 ; VU l’arrêté 2018-403 du 09 août 2018 établissant le programme d’action régional en vue de la protection des eaux contre la pollution par les nitrates d’origine agricole pour la région Grand Est ; VU l’arrêté du 21 juillet 2015 relatif aux systèmes d’assainissement collectif et aux installations d’assainissement non collectif, à l’exception des installations d’assainissement non collectif recevant une charge brute de pollution organique inférieure ou égale à 1,2 kg/j de DBO5 ; VU l’arrêté du 24 août 2017 modifiant l’arrêté du 21 juillet 2015 susvisé ; VU l’arrêté préfectoral du 28 janvier 2009 relatif à l’épandage des boues issues du traitement des eaux usées de la station d’épuration de Longwy soumis au régime de l’autorisation ; VU le dossier de demande d'autorisation présenté par la Communauté d’Agglomération de Longwy au titre de l'article L.214-3 du Code de l'environnement reçu le 05 juin 2018 et complété les 14 décembre 2018 et 04 avril 2019 ; VU l’arrêté préfectoral du 27 décembre 2018 prorogeant de quatre mois la phase d’examen du dossier visé ci-dessus ; VU l’avis de la Commission Locale de l’Eau du SAGE du bassin ferrifère en date du 27 juillet 2018 ; VU l’avis de la délégation territoriale de Meurthe-et-Moselle de l’Agence Régionale de Santé en date du 20 décembre 2018 ; VU l’avis de l’autorité environnementale en date du 17 juin 2019 ; VU l’arrêté préfectoral du 23 juillet 2019 portant ouverture d’une enquête publique sur la demande d’autorisation environnementale pour le plan d’épandage des boues de la station d’épuration de Longwy, du 17 septembre 2019 au 18 octobre 2019 ; VU l'enquête publique réglementaire qui s’est déroulée du 17 septembre 2019 au 18 octobre 2019 ; VU le rapport, les conclusions et l’avis du commissaire enquêteur en date du 12 novembre 2019 ; VU le rapport rédigé par le service police de l'eau de la DDT de Meurthe-et-Moselle ; VU l’avis favorable du conseil départemental de l’environnement et des risques sanitaires et technologiques de la Meurthe-et-Moselle en date du 07 janvier 2020 ; VU le courrier du 13 janvier 2020 sollicitant, dans le cadre de la consultation contradictoire prévue à l’article R. 181-40 du code de l’environnement, l’avis du porteur de projet sur le projet d’arrêté préfectoral portant autorisation environnementale pour l’épandage des boues de traitement des eaux usées de Longwy, ainsi que l’épandage des lixiviats produits sur le site délocalisé de stockage des boues ; VU les remarques émises par le pétitionnaire sur le projet d’arrêté préfectoral dans son courrier électronique en date du 24 janvier 2020 ; CONSIDERANT que l’intérêt agronomique des boues de la station de traitement des eaux usées de la station d’épuration de Longwy est avéré ; RECUEIL N° 20 266 28 février 2020

CONSIDERANT que les teneurs en éléments-traces métalliques et en composés-traces organiques présents dans les boues de la station de traitement des eaux usées de la station d’épuration de Longwy et que leurs flux sont inférieurs aux valeurs limites fixées par l’arrêté du 8 janvier 1998 ; CONSIDERANT que le dossier, déclaré complet est régulier le 15 juillet 2019, est compatible avec le SDAGE Rhin-Meuse et le SAGE du bassin ferrifère visés ci-avant ; CONSIDERANT que les prescriptions du présent arrêté permettent de garantir les intérêts mentionnés à l’article L.211-1 du Code de l’environnement ; CONSIDERANT la remarque du pétitionnaire sur le délai 2 ans entre un épandage de boues et un épandage d’effluents d’élevage est que celui-ci est nécessaire afin d’éviter une sur-fertilisation ; CONSIDERANT que la remarque du pétitionnaire sur la destination des lixiviats en cas d’impossibilité d’épandage a été prise en compte. SUR proposition de la secrétaire générale de la préfecture de MEURTHE-ET-MOSELLE ; A R R Ê T E Article 1 : Objet de l'autorisation L’arrêté préfectoral en date du 28 janvier 2009 sus-visé en abrogé. La Communauté d’Agglomération de Longwy, dont le siège est situé 2 rue de Lexy 54 414 LONGWY, représentée par son Président, et ci- après désignée par « le permissionnaire », est autorisée en application des articles L 214-1 et suivants et R.214-1 et suivants du Code de l'environnement, sous réserve des prescriptions énoncées aux articles suivants, à épandre sur des terres agricoles les boues produites par la station d'épuration de Longwy, située à Lexy, sur les parcelles du territoire des communes visées en annexe 1. La rubrique de la nomenclature définie au tableau de l'article R.214-1 du Code de l'environnement concernée par cette opération est la suivante : Rubrique Intitulé Régime Caractéristiques du projet 2.1.3.0 Epandage de boues issues du traitement des eaux usées, la quantité de boues épandues dans l'année, produites dans l'unité de traitement considérée, présentant les caractéristiques suivantes : 1° Quantité de matière sèche supérieure à 800 t/ an ou azote Autorisation Qté de MS, hors réactifs : total supérieur à 40 t/ an (A) ; 1120 t/an 2° Quantité de matière sèche comprise entre 3 et 800 t/ an ou Qté Azote total : azote total compris entre 0,15 t/ an et 40 t/ an (D). 34 t/an Pour l'application de ces seuils, sont à prendre en compte les volumes et quantités maximales de boues destinées à l'épandage dans les unités de traitement concernées. Article 2 : Les Boues Les boues produites par la station de traitement des eaux usées de Longwy sont de type boues déshydratées à plus de 28 % de MS. Leur composition est conforme aux valeurs limites fixées par l’arrêté ministériel de prescriptions générales du 8 janvier 1998. Les boues ne pourront être épandues que si elles répondent aux critères de qualité requises par la réglementation en vigueur. Les analyses portant sur les valeurs agronomiques seront réalisées dans un délai le plus bref possible avant épandage et tels que les résultats d’analyses soient connus avant la réalisation de l’épandage. La fréquence de ces analyses, de même que les valeurs limites, sont fixées par l’arrêté de prescriptions générales du 8 janvier 1998. La fréquence imposée, compte tenu du tonnage de matière sèche (MS), est au minimum de : Tonnes de MS épandues dans l’année (hors chaux) 801 à 1600 Année routine Valeur agronomique 10 Arsenic (As), Bore (B) - Éléments traces métalliques 9 Composés traces organiques 4

Valeur agronomique des boues : matière sèche, matière organique, pH, azote total, azote ammoniacal, rapport C/N, phosphore total (en P2O5), potassium total (en K2O), calcium total (en CaO), magnésium total (en MgO), Oligoéléments : Bore, Cobalt, Cuivre, fer, Manganèse, Molybdène et Zinc Éléments traces métalliques : cadmium, chrome, cuivre, mercure, nickel, plomb, zinc Composés traces organiques : somme des PCB 28, 52, 101, 118, 138, 153, 180 , le fluoranthène, le benzo(b)fluoranthène et le benzo(a)pyrène Toutes les boues seront déshydratées. Les boues sont ensuite disposées dans des bennes avant d’être acheminées vers la plateforme de stockage, située sur le territoire de la commune de Fresnois-la-Montagne, en prévision des épandages. Article 3 : Les sols La surface apte à l’épandage agricole est indiquée en annexe 2. Les sols seront analysés sur chaque point de référence : - après l’ultime épandage sur la parcelle en cas d’exclusion de celle-ci du périmètre d’épandage ; - au minimum tous les dix ans. Ces analyses porteront sur le pH et les éléments-traces métalliques suivants : cadmium, chrome, cuivre, mercure, nickel, plomb et zinc. Les seuils de teneurs sont définis à l’article 15 de l’arrêté de prescriptions générales du 8 janvier 1998 susvisé. La liste et les cartes des parcelles d’épandage, ainsi que les coordonnées (en Lambert II Etendu) des points de référence pour analyses de sols sont annexées à l’arrêté. L’épandage est interdit sur les parcelles définies en aptitude 0 dans l’annexe 2. Article 4 : Les Pratiques d’épandage - Dispositions générales Une même parcelle ne peut être incluse dans plusieurs plans d’épandage de boues de stations d’épuration urbaines ou industrielles. La gestion des effluents d’élevage est prioritaire sur les exploitations agricoles concernées. Aucun épandage dans les périmètres de protection rapprochée n’est réalisé. Les épandages de boues sur prairies ou sur cultures non destinées à un retournement sont interdits. - Les distances d’isolement Les distances d’isolement devront être conformes à celles fixées dans l’annexe 2 de l’arrêté de prescriptions générales du 8 janvier 1998. - Les fréquences d’apport des boues L’intervalle entre deux apports de boues sera de 3 ans minimum. En cas de situation exceptionnelle, il pourra être de 2 ans après validation du service police de l’eau et justification de la situation exceptionnelle. L’intervalle d’apport entre un apport d’effluent d’élevage (fumier, lisier, ..) et des boues devra être de deux ans minimum. - Les fréquences d’apport de lixiviats L’intervalle entre deux apports de lixiviats sera de 2 ans minimum. - Les périodes d’apport RECUEIL N° 20 267 28 février 2020

Les épandages sont réalisés en période estivale après moisson et avant implantation de cultures d’automne. Ils peuvent également être réalisés au printemps avant travail du sol pour les cultures de printemps. Les épandages sont interdits sur les sols pris en masse par le gel, inondés ou enneigés. Pour les parcelles se situant en zone vulnérable, les périodes d’épandages seront conformes aux arrêtés préfectoraux du programme d’action de protection des eaux contre la pollution par les nitrates d’origine agricole en vigueur. - Les doses d’apport La dose d’apport préconisée est de l’ordre de : - 15 t/ha pour les boues déshydratées - 50 m³/ha pour les lixiviats La dose d’apport est calculée à chaque campagne et pour chaque parcelle, en fonction des analyses de boues, des cultures pratiquées, de la pédologie des sols et des paramètres réglementaires. - Les zones vulnérables aux pollutions par les nitrates d’origine agricole Les dispositions relatives à la protection des eaux contre la pollution par les nitrates d’origine agricole devront être respectées. Article 5 : Le Stockage La plate-forme de stockage des boues se situe au lieu-dit « le Pas-bayard » sur la commune de Fresnois-la-Montagne. L’aire de stockage de 2 400 m² est entièrement couverte. Le revêtement bétonné est doublé de membranes étanches pour empêcher toute fuite de lixiviats. Elle est équipée d’une fosse de récupération des lixiviats. Article 6 : Les filières alternatives En cas d’impossibilité d’épandage, les boues seront éliminées ou valorisées par toute voie respectant les textes en vigueur. Les boues conformes à l’épandage agricole peuvent être traitées dans des centres de compostage. Les boues non conformes seront dirigées vers de l’incinération et co-incinération ou vers un centre de stockage de déchets ultimes. En cas d’impossibilité d’épandage des lixiviats, ceux-ci sont transférés en tête de la station d’épuration de Longwy. Article 7 : Les conventions Les relations entre le permissionnaire et les exploitants agricoles des parcelles visées par les épandages font l’objet de conventions particulières. Ces contrats ou conventions devront comprendre au minimum : - les noms et dénomination sociale des deux parties, - l’adresse des deux parties contractantes, - la signature des deux parties, - la liste des parcelles concernées, - la référence à l’arrêté préfectoral autorisant l’épandage des boues en agriculture, - l’engagement écrit du producteur à épandre dans les règles et notamment à respecter rigoureusement le délai maximal d’enfouissement. Article 8 : Les documents de gestion des épandages - Le registre d’épandage L’ensemble des opérations effectuées dans le cadre d’application du présent arrêté seront consignées dans le registre mentionné à l’article R.211-34 du Code de l’environnement. Ce registre indique : - la provenance et l’origine des boues, les caractéristiques de celles-ci, et notamment les principales teneurs en éléments fertilisants, en éléments traces métalliques et composés traces organiques ; - les dates d’épandage, les quantités épandues, les parcelles réceptrices et les cultures pratiquées ; - les quantités de matière sèche produites. Ce registre doit être conservé pendant dix ans. - Le programme prévisionnel annuel Chaque année, l’épandage fera l’objet d’un programme prévisionnel d’épandage, établi conjointement ou en accord avec les utilisateurs définissant les parcelles concernées par la campagne annuelle, les cultures pratiquées et leurs besoins, les préconisations d’emploi des boues, notamment les quantités devant être épandues, le calendrier d’épandage et les parcelles réceptrices, l’historique des épandages d’effluents d’élevages et de boues sur chaque parcelle sur 3 ans, la mise à jour des contraintes sur chaque parcelle. Ce document sera transmis au moins 1 mois avant les premiers épandages par le permissionnaire au préfet du département de Meurthe-et- Moselle. - Le bilan agronomique annuel A la fin de chaque campagne annuelle, un bilan agronomique de celle-ci comportant notamment le bilan de fumure et les analyses réalisées sur les sols et les boues, les dates d’épandage, la cartographie devra être produit. Ce document sera transmis avant le 31 mars de l’année n+1 par le permissionnaire au préfet du département de Meurthe-et-Moselle. - La version informatisée Le plan d’épandage résultant de l’arrêté d’autorisation sera saisi dans l’application SILLAGE via VERSEAU ainsi que les bilans annuels et les programmes prévisionnels d’épandage, dès que ces applications seront opérationnelles. Le permissionnaire producteur de boues doit pouvoir justifier à tout moment sur support écrit de la localisation des boues produites (entreposage, dépôt temporaire, transport ou épandage) en référence à leur période de production et aux analyses réalisées. Article 9 : Mesure d’évitement et de réduction d’impact Les mesures d’évitement et de réduction d’impact suivantes sont respectées : - Le transport de boues sera réalisé par attelage agricole ou semi-remorques bâchés. - Les épandages ne seront pas réalisés les dimanches et les jours fériés. - La distance minimale d’entreposage doit être de 100 m des habitations. - Les épandages ne seront pas être réalisés par grand vent ou en période orageuse. - Une enquête annuelle chez les utilisateurs de boues est réalisée. - Les épandages ne sont pas réalisés sur prairies. - La réalisation d’épandage sur terres labourables faiblement hydromorphes sera réalisé en période de déficit hydrique. - Il n’est pas réalisé de stockage à proximité ou sur les sites remarquables. - Une prise en compte des vents dominants est réalisée dans la mesure du possible. - L’accès aux parcelles pour les épandages n’est réalisé qu’après un ressuyage des sols. - Les dépôts temporaires sont limités à 48 h en périmètre de protection de captage éloigné. Article 10 : Prescriptions spécifiques - Gestion des boues : Une pesée systématique des bennes de boues en sortie de station d’épuration sera réalisée. La pesée de toutes les bennes, en sortie du site de stockage, devra être réalisée dans la mesure du possible et à minima sur le plus grand nombre de bennes afin d’en déterminer un poids représentatif. Les boues analysées et les boues à caractériser seront séparées physiquement et ne devront pas pouvoir se mélanger de manière à pouvoir évacuer uniquement le lot de boues non conforme. Ainsi, la gestion des boues sera effectuée par lots distincts. Une fois analysés et jugés conformes, les lots de boues pourront être rassemblés. Un registre d’enregistrement du stockage des boues sera tenu. Il comprendra : - les arrivées de boues (caractéristiques, pesées) - les départs de boues (caractéristiques, pesées, destination) - les dates et résultats des analyses RECUEIL N° 20 268 28 février 2020

Compte-tenu des pratiques culturales, la capacité totale de stockage après travaux de modification de la filière de déshydratation des boues de la station d’épuration doit permettre de stocker un minimum de 12 mois de production de boues provenant de la station de traitement des eaux usées de Longwy. Cette capacité est au minimum de 10 mois jusqu’à la fin de ces travaux.

Le niveau de lixiviats dans la fosse de stockage doit être régulièrement contrôlé afin d’éviter tout débordement. - Gestion des épandages - distances d’isolement et délai d’enfouissement : Avant tout épandage, le permissionnaire ou son prestataire réalisera une visite préalable de terrain ainsi qu’un suivi administratif, afin de mettre à jour l’évolution des contraintes (nouvelles constructions, plans d’eau, nouveaux périmètres de protections des captages, …). Avant tout épandage, le permissionnaire rappellera aux différents prestataires (agriculteurs, transporteurs) les normes à respecter pour ce qui est des conditions de transports, de la prise en compte des conditions météorologiques (vents dominants) pour les épandages proches des zones habitées, ainsi que des délais d’enfouissement. Les dépôts temporaires en bout de champ peuvent être réalisés conformément à l’article 5 de l’arrêté de prescriptions générales du 8 janvier 1998 mais seront limités à 15 jours. L’enfouissement devra être réalisé dans un délai maximum de 48 heures après les épandages. - Parcelles concernées par une conversion en agriculture biologique : Le permissionnaire prendra en considération, lors de l’établissement de son prévisionnel, le projet de conversion en agriculture biologique des parcelles concernées. Elles sont identifiées dans le tableau en annexe 2. Article 11 : Conformité au dossier et modifications Les installations, ouvrages, travaux ou activités, objets de la présente autorisation, sont situés, installés et exploités conformément aux plans et contenu du dossier de demande d'autorisation sans préjudice des dispositions de la présente autorisation. Toute modification apportée aux ouvrages, installations, à leur mode d'utilisation, à la réalisation des travaux ou à l'aménagement en résultant, à l'exercice des activités ou à leur voisinage et entraînant un changement notable des éléments du dossier de demande d'autorisation doit être porté, avant sa réalisation à la connaissance du préfet, conformément aux dispositions de l'article R.214-18 du Code de l'environnement. Article 12 : Caractère de l'autorisation L'autorisation est accordée à titre personnel, précaire et révocable sans indemnité de L’État exerçant ses pouvoirs de police. Faute pour le permissionnaire de se conformer dans le délai fixé aux dispositions prescrites, l'administration pourra prononcer la déchéance de la présente autorisation et, prendre les mesures nécessaires pour faire disparaître aux frais du permissionnaire tout dommage provenant de son fait, ou pour prévenir ces dommages dans l'intérêt de l'environnement de la sécurité et de la santé publique, sans préjudice de l'application des dispositions pénales relatives aux contraventions au Code de l'environnement. Il en sera de même dans le cas où, après s’être conformé aux mesures prescrites, le permissionnaire changerait ensuite l'état des lieux fixé par cette présente autorisation, sans y être préalablement autorisé, ou s'il ne maintenait pas constamment les installations en état normal de bon fonctionnement. Article 13 : Déclaration des incidents ou accidents Le permissionnaire est tenu de déclarer, dès qu'il en a connaissance, au préfet les accidents ou incidents intéressant les installations, ouvrages, travaux ou activités faisant l'objet de la présente autorisation, qui sont de nature à porter atteinte aux intérêts mentionnés à l'article L 211-1 du Code de l'environnement. Sans préjudice des mesures que pourra prescrire le préfet, le maître d'ouvrage devra prendre ou faire prendre les dispositions nécessaires pour mettre fin aux causes de l'incident ou accident, pour évaluer ses conséquences et y remédier. Le permissionnaire demeure responsable des accidents ou dommages qui seraient la conséquence de l'activité ou de l'exécution des travaux et de l'aménagement. Article 14 : Accès aux installations Les agents chargés de la police de l’eau et des milieux aquatiques auront libre accès aux installations, ouvrages, travaux ou activités autorisés par la présente autorisation, dans les conditions fixées par le Code de l’environnement. Ils pourront demander communication de toute pièce utile au contrôle de la bonne exécution du présent arrêté. Article 15 : Droits des tiers Les droits des tiers sont et demeurent expressément réservés. Article 16 : Autres réglementations La présente autorisation ne dispense en aucun cas le permissionnaire de faire les déclarations ou d’obtenir les autorisations requises par d’autres réglementations. Article 17 : Publication et information des tiers Le présent arrêté d’autorisation est publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de la Meurthe-et-Moselle. Cette publication fait courir le délai de recours contentieux. Un extrait de la présente autorisation énumérant notamment les motifs qui ont fondé la décision ainsi que les principales prescriptions auxquelles cette autorisation est soumise sera affiché dans les mairies dont la liste est annexée au présent arrêté pendant une durée minimale d’un mois. Un exemplaire du dossier de demande d'autorisation, comprenant l’avis de l’autorité compétente en matière d’environnement lorsqu’il est requis en application de l’article L. 122-1 du Code de l’environnement, sera mis à la disposition du public pour information à la préfecture de MEURTHE-ET-MOSELLE, ainsi que dans les mairies des communes où doit être réalisée l’opération ou sa plus grande partie. La présente autorisation sera à disposition du public sur le site Internet de la préfecture de MEURTHE-ET-MOSELLE pendant une durée d’au moins 1 an. Article 18 : Voies et délais de recours I – Le présent arrêté est susceptible de recours devant le tribunal administratif territorialement compétent en application des articles R. 181-50 à R. 181-52 du Code de l’environnement : - par le bénéficiaire dans un délai de deux mois à compter du jour où la décision lui a été notifiée ; - par les tiers en raison des inconvénients ou des dangers que le projet présente pour les intérêts mentionnés à l’article L.181-3 du Code de l’environnement, dans un délai de quatre mois à compter de la dernière formalité accomplie, soit au titre de l’affichage en mairie soit au titre de la publication sur le site internet de la préfecture de Meurthe-et-Moselle. Le tribunal administratif peut également être saisi par l’application informatique « Télérecours Citoyens » accessible par le site internet www.telerecours.fr II – La présente autorisation peut faire l’objet d’un recours administratif (recours gracieux ou hiérarchique) dans un délai de deux mois. Ce recours a pour conséquence de prolonger de deux mois le délai de recours contentieux. Le bénéficiaire de l’autorisation est tenu informé d’un tel recours. III – Sans préjudice des délais et voies de recours mentionnés au I et II, les tiers peuvent déposer une réclamation auprès de l’autorité administrative compétente, à compter de la mise en service du projet mentionné à l’article 1er, aux seules fins de contester l’insuffisance ou l’inadaptation des prescriptions définies dans la présente autorisation, en raison des inconvénients ou des dangers que le projet présente pour le respect des intérêts mentionnés à l’article L. 181-3 du Code de l’environnement. L’autorité compétente dispose d’un délai de deux mois, à compter de la réception de la réclamation, pour y répondre de manière motivée. À défaut, la réponse est réputée négative. Si elle estime que la réclamation est fondée, l’autorité compétente fixe des prescriptions complémentaires, dans les formes prévues à l’article R. 181-45 du Code de l’environnement. En cas de rejet implicite ou explicite, les intéressés disposent d’un délai de deux mois pour contester cette décision devant la juridiction administrative. RECUEIL N° 20 269 28 février 2020

Article 19 : Exécution La secrétaire générale de la préfecture de Meurthe-et-Moselle, le président de la Communauté d’Agglomération de Longwy, les maires des communes intéressées, le directeur départemental des Territoires de Meurthe-et-Moselle et le délégué territorial de Meurthe-et-Moselle de l’Agence Régionale de Santé du Grand Est sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Meurthe-et-Moselle. Une copie sera adressée à Monsieur le directeur de l’Agence de l’eau Rhin-Meuse, ainsi qu’au Président de la Chambre Départementale d’Agriculture – Organisme Indépendant de la mission de recyclage des déchets et Organisme Indépendant des producteurs de boues. Une copie sera tenue à la disposition du public dans chaque mairie intéressée.

Fait à Nancy, le 11 février 2020 Pour le préfet et par délégation, La secrétaire générale, Marie-Blanche BERNARD

Les annexes sont consultables au bureau des procédures environnementales de la préfecture de Meurthe-et-Moselle.

Arrêté préfectoral N° 54-2019-00049 portant autorisation environnementale au titre de l’article L.181-1 et suivants du code de l’Environnement et déclaration d’intérêt général au titre de l’article L.211-7 du code de l’Environnement concernant le programme de restauration du cours d’eau LE TERROUIN sur les territoires des communes de LANEUVEVILLE-DERRIERE-FOUG, LUCEY, TRONDES, LAGNEY, SANZEY, MENIL-LA-TOUR, ANDILLY ET MANONCOURT-EN-WOEVRE.

LE PREFET DE MEURTHE-ET-MOSELLE VU le code de l'environnement, notamment ses articles L.181-1, L. 211-7, L. 435-5 et suivants ; VU l’ordonnance n°2017-80 du 26 janvier 2017 relative à l’autorisation environnementale ; VU le décret n°2017-81 du 26/01/2017 relatif à l’autorisation environnementale ; VU l’arrêté S.G.A.R. n°2015-327 portant approbation des schémas directeurs d’aménagement et de gestion des eaux des parties françaises des districts hydrographiques du Rhin et de la Meuse et arrêtant les programmes pluriannuels de mesures correspondants, approuvé par le préfet coordonnateur de bassin Rhin-Meuse le 30 novembre 2015 ; VU l’arrêté préfectoral déclarant d’utilité publique la dérivation des eaux souterraines nécessaires à l’alimentation du point de prélèvement d’eau, sis à MENIL-LA-TOUR exploité par la commune de MENIL-LA-TOUR ; l’établissement des périmètres de protection immédiate, rapprochée et éloignée et l’institution des servitudes dans les terrains compris dans les périmètres rapproché et éloigné, en date du 21 janvier 1988 ; VU l’arrêté préfectoral déclarant d’utilité publique la dérivation des eaux souterraines nécessaires à l’alimentation du point de prélèvement d’eau, sis à exploité par la commune de ROYAUMEIX ; l’établissement des périmètres de protection immédiate, rapprochée et éloignée et l’institution des servitudes dans les terrains compris dans les périmètres rapproché et éloigné, en date du 21 janvier 1988 ; VU le dossier de déclaration d'intérêt général nécessitant une demande d’autorisation environnementale complet et régulier déposé au titre de l'article L. 214-3 du code de l’environnement, reçu le 27/03/2019, présenté par Monsieur le Président de la COMMUNAUTÉ DE COMMUNES TERRES TOULOISES, rue du mémorial du Génie – CS 40325 – ECROUVES – 54201 TOUL Cedex, enregistré sous le n° 54-2019-00049 et relatif au PROGRAMME DE RESTAURATION DU COURS D’EAU LE TERROUIN SUR LES TERRITOIRES DES COMMUNES DE LANEUVEVILLE-DERRIERE-FOUG, LUCEY, TRONDES, LAGNEY, SANZEY, MENIL-LA-TOUR, ANDILLY ET MANONCOURT-EN-WOEVRE ; VU le décret n°2004-374 du 29 avril 2004 modifié relatif aux pouvoirs des préfets, à l’organisation et à l’action des services de l’État dans les régions et les départements ; VU l'enquête publique réglementaire qui s'est déroulée du 9 septembre 2019 au 26 septembre 2019 prolongée au 4 octobre 2019 ; VU le rapport et les conclusions du commissaire enquêteur en date du 31 octobre 2019 ; VU la réunion de concertation relative à l’usage pluriel du Terrrouin et son fonctionnement naturel notamment sur les communes de SANZEY, MENIL-LA-TOUR et un particulier à AVRAINVILLE (objet de la réserve assortie à l’avis favorable du commissaire enquêteur) en date du 21 janvier 2020 ; VU la note d’information transmise du 16 décembre 2019 transmise au conseil départemental de l'environnement et des risques sanitaires et technologiques de Meurthe-et-Moselle ; VU l’avis émis par le bénéficiaire sur le projet du présent arrêté en date du 10 février 2020 ; CONSIDÉRANT que la restauration du cours d’eau Terrouin constitue une action prioritaire inscrite au plan d’actions opérationnel territorialisé (PAOT), approuvé par le préfet de Meurthe-et-Moselle le 23 septembre 2019, pour la période 2019-2021 ; CONSIDÉRANT que les prescriptions du présent arrêté permettent de garantir une gestion globale et équilibrée de la ressource en eau ; CONSIDÉRANT que les travaux de reconquête du milieu ne peuvent être réalisés de façon cohérente sur les tronçons à aménager que dans le cadre d’une déclaration d’intérêt général ; CONSIDÉRANT que la réunion de concertation relative à l’usage pluriel du Terrouin et son fonctionnement naturel qui s’est tenue au siège de la COMMUNAUTÉ DE COMMUNES TERRES TOULOISES sous la présidence de la sous-préfète de TOUL en date du 21 janvier 2020 lève la réserve émise par le commissaire enquêteur ; SUR proposition de la secrétaire générale de la préfecture de Meurthe-et-Moselle ; A R R Ê T E Titre I :OBJET DE L’AUTORISATION ENVIRONNEMENTALE ET DE LA DÉCLARATION D’INTÉRÊT GÉNÉRAL Article 1 :Bénéficiaire de l'autorisation environnementale La COMMUNAUTÉ DE COMMUNES TERRES TOULOISES, rue du mémorial du Génie – CS 40325 – ECROUVES – 54201 TOUL Cedex, représentée par son président, est bénéficiaire de l’autorisation environnementale, déclarée d’intérêt général, définie à l’article 2 ci-dessous, sous réserve du respect des prescriptions définies par le présent arrêté, et est dénommée ci-après « le bénéficiaire ». Article 2 : Objet de l'autorisation et de la déclaration d'intérêt général La présente autorisation environnementale, déclarée d’intérêt général, pour le PROGRAMME DE RESTAURATION DU COURS D’EAU LE TERROUIN SUR LES TERRITOIRES DES COMMUNES DE LANEUVEVILLE-DERRIERE-FOUG, LUCEY, TRONDES, LAGNEY, SANZEY, MENIL-LA-TOUR, ANDILLY ET MANONCOURT-EN-WOEVRE tient lieu, au titre de l’article L. 181-2 du code de l’environnement d’autorisation au titre de l’article L. 214-3 du code de l’environnement. Les travaux sont déclarés d’intérêt général au titre de l’article L. 211-7 du code de l’environnement. RECUEIL N° 20 270 28 février 2020

Les « installations, ouvrages, travaux, activités » concernés par l’autorisation environnementale relèvent des rubriques suivantes, telles que définies au tableau mentionné à l’article R. 214-1 du code de l’environnement :

Régime et référence arrêté de Rubrique Intitulé prescriptions générales

3.1.2.0 Installations, ouvrages, travaux ou activités conduisant à modifier le profil en long ou le Autorisation profil en travers du lit mineur d'un cours d'eau, à l'exclusion de ceux visés à la rubrique Arrêté du 28/11/2007 3.1.4.0, ou conduisant à la dérivation d'un cours d'eau: 1° Sur une longueur de cours d'eau supérieure ou égale à 100 m (A) 2° Sur une longueur de cours d'eau inférieure à 100 m (D)

3.1.3.0 Installations ou ouvrages ayant un impact sensible sur la luminosité nécessaire au Déclaration maintien de la vie et de la circulation aquatique dans un cours d'eau sur une longueur : Arrêté du 13/02/2002 1°) supérieure ou égale à 100 m (A), 2°) supérieure ou égale à 10 m et inférieure à 100 m (D)

3.1.5.0 Installations, ouvrages, travaux ou activités étant de nature à détruire les frayères, les Déclaration zones de croissance ou les zones d'alimentation de la faune piscicole, des crustacés Arrêté du 30/09/2014 et des batraciens : 1°) Destruction de plus de 200 m2 de frayères (A), 2°) Dans les autres cas (D) Article 3 : Caractéristiques et localisation Les installations, ouvrages, travaux, activités ayant pour but le PROGRAMME DE RESTAURATION DU COURS D’EAU LE TERROUIN SUR LES TERRITOIRES DES COMMUNES DE LANEUVEVILLE-DERRIERE-FOUG, LUCEY, TRONDES, LAGNEY, SANZEY, MENIL-LA-TOUR, ANDILLY ET MANONCOURT-EN-WOEVRE consistent en : - le traitement de la ripisylve (entretien de la végétation rivulaire des berges et la gestion sélective des embâcles) ; - les plantations en berges (reconstruction ou renforcement de la ripisylve) ; - la diversification des écoulements sur des zones fortement banalisées et perturbées (banquettes-peignes, lit mineur d’étiage dans la traversée du village d’Andilly) ; - la mise en défend des berges pour la gestion du bétail (mise en place de clôtures, de système d’abreuvement et de dispositif de franchissement) ; - l’effacement d’un ouvrage hydraulique sur la commune d’Andilly ; - la modification ou le remplacement d’ouvrages de franchissement pour rétablir ou améliorer la continuité écologique - la mise en place de dispositif épuratoire en sortie de drain agricole. Titre II: PRESCRIPTIONS Article 4 : Prescriptions générales Le déclarant devra respecter : - l’Arrêté du 13 février 2002 fixant les prescriptions générales applicables aux installations, ouvrages, travaux ou activités soumis à déclaration en application des articles L. 214-1 à L. 214- 3 du code de l'environnement et relevant de la rubrique 3.1.3.0 (2°) de la nomenclature annexée au tableau de l’article R. 214-1 du code de l’environnement. - l’Arrêté du 28 novembre 2007 fixant les prescriptions générales applicables aux installations, ouvrages, travaux ou activités soumis à déclaration en application des articles L. 214-1 à L. 214-6 du code de l’environnement et relevant de la rubrique 3.1.2.0 (2°) de la nomenclature annexée au tableau de l’article R. 214-1 du code de l’environnement. - l’Arrêté du 30 septembre 2014 fixant les prescriptions techniques générales applicables aux installations, ouvrages, travaux et activités soumis à autorisation ou à déclaration en application des articles L.214-1 à L.214-3 du code de l’environnement et relevant de la rubrique 3.1.5.0 de la nomenclature annexée à l’article R.214-1 du code de l’environnement. Article 5 : Prescriptions spécifiques Le service départemental de l’office français de la biodiversité (OFB) de Meurthe-et-Moselle et le service en charge de la police de l’eau de la direction départementale des territoires (DDT) de Meurthe-et-Moselle sont associés aux réunions préparatoires de chantier afin de déterminer si des mesures supplémentaires doivent être mises en place. Ils sont également conviés à chaque réunion de chantier durant toute la durée des travaux. Le cours d’eau le Terrouin traverse plusieurs périmètres de protections de captages d’eau destinée à la consommation humaine (EDCH), notamment : - les périmètres de protection rapproché (PPR) et éloigné (PPE) du forage de la Cloère, déclarés d’utilité publique (DUP) le 21/01/1988 au bénéfice de la commune de ROYAUMEIX ; - le périmètre de protection rapproché (PPR) de l’ancien forage militaire, déclaré d’utilité publique le 21/01/1988 au bénéfice de la commune de MENIL-LE-TOUR. Le bénéficiaire doit respecter les dispositions des arrêtés préfectoraux de DUP dont les périmètres de protection de captages sont concernés par le projet. Les travaux concernant la mise en défends des berges (clôtures, systèmes d’abreuvement et dispositifs de franchissement) et les plantations sur rives ne peuvent être entrepris qu’avec l’accord préalable entre les riverains (propriétaires et exploitants) et le bénéficiaire. Les dispositifs épuratoires en sorties de réseaux de drainage doivent être réalisés dans des fossés parallèles aux cours d’eau, sinueux si possible, et sans rejet direct au milieu. Ces installations doivent obligatoirement comprendre deux parties distinctes : - une première à vocation hydraulique pour assurer une fonction de décantation, dimensionnée proportionnellement aux surfaces des réseaux de drainage soit à minima 0,2 % (exemple : 20 m² pour 1 ha drainé), - une seconde partie à vocation épuratoire permettant d’augmenter le temps de transit dans ces installations (successions de petites lagunes végétalisées avec chicanes). En cas d’intempérie, les travaux susceptibles d’avoir des conséquences sur l’état des prairies rivulaires sont suspendus. Les travaux effectués dans le lit sont réalisés de manière à minimiser la mise en mouvement des matières en suspension par la mise en place de barrages filtrants afin de retenir le maximum de matières en suspension et détritus flottants. Les systèmes hydrauliques et les réservoirs de carburant des engins sont vérifiés afin d’écarter tout risque de pollution des eaux. Les stockages d’hydrocarbures comportent une cuve de rétention de capacité suffisante. Les installations de chantier sont positionnées à au moins à 100 mètres du cours d’eau. Des matériaux absorbants sont présents sur le chantier pour confiner tout départ de pollution. Le nettoyage des engins mis en œuvre sur le chantier est réalisé sur une aire aménagée à cet effet et équipée de dispositifs débourbeur- déshuileur. Cette surface est impérativement située en dehors du lit majeur du cours d’eau (zone inondable). Dans un délai maximum de quinze jours après l’achèvement des travaux, le bénéficiaire doit enlever tous les décombres, terres, matériaux divers qui pourraient subsister. RECUEIL N° 20 271 28 février 2020

Les arbres coupés d’un diamètre supérieur à 10 cm sont laissés à la disposition des propriétaires riverains pendant un mois. Passé ce délai, le bénéficiaire prend ses dispositions pour les faire éliminer. Tous les rémanents végétaux doivent être éliminés par broyage ou par évacuation ou par brûlage au-delà d’une bande de 10 m de part et d'autre des cours d'eau. Préalablement aux brûlages éventuels, le bénéficiaire prend toutes les dispositions nécessaires pour en informer les maires des communes concernées et le service sépartemental d'incendie et de secours (SDIS). Ces brûlages ne doivent pas être réalisés en période d'épisode de pollution aux particules à l'ozone ou dioxyde d'azote. Le calendrier prévisionnel des travaux est affiché dans les communes de LANEUVEVILLE-DERRIÈRE-FOUG, LUCEY, TRONDES, LAGNEY, SANZEY, MÉNIL-LA-TOUR, ANDILLY et MANONCOURT-EN-WOËVRE au moins un mois avant le démarrage des travaux puis réactualisé autant que de besoin. Article 6 : Servitude de passage et accès aux installations Pendant les travaux, les riverains doivent laisser le passage sur leurs terrains, depuis le lever jusqu’au coucher du soleil, aux agents et surveillants chargés des travaux ainsi qu’aux agents chargés de la police et l’eau et de la police de la pêche. Les agents chargés de la police de l’eau et des milieux aquatiques ont libre accès aux installations, ouvrages, travaux ou activités autorisés par la présente autorisation, dans les conditions fixées par le code de l’environnement. Ils peuvent demander communication de toute pièce utile au contrôle de la bonne exécution du présent arrêté. Les propriétaires et les exploitants riverains sont personnellement informés à l’avance des travaux les concernant par le bénéficiaire. Cette information peut être déléguée au maître d’œuvre ou à l’entreprise titulaire du marché de travaux. Article 7 : Mesures de sauvegarde Pendant les travaux, les ouvrages situés sur l’emprise des travaux sont constamment entretenus aux frais du bénéficiaire en bon état de fonctionnement. L’entrepreneur mandaté par le bénéficiaire doit informer la fédération départementale des associations agréées pour la pêche et la protection des milieux aquatiques (FDAAPPMA) de Meurthe-et-Moselle et le service départemental de Meurthe-et-Moselle de l'office français de la biodiversité (OFB) de la mise en place de mesures préventives de sauvegarde du poisson avant intervention dans le lit du cours d’eau, le cas échéant. Le bénéficiaire est tenu de se conformer à tous les règlements existants ou à intervenir sur la demande des services en charge de la police de l’eau et de la pêche. Titre III : DISPOSITIONS GÉNÉRALES Article 8 : Durée et condition de renouvellement de l'autorisation et de la déclaration d'intérêt général Les travaux de restauration et de renaturation doivent être réalisés dans un délai de trois années à compter de la date de publication du présent arrêté. La présente déclaration d’intérêt général est accordée pour une durée de cinq ans à compter de la date de publication du présent arrêté, afin de réaliser les travaux de restauration et d’entretien. La présente déclaration d’intérêt général peut être renouvelée une fois au maximum pour une durée de cinq ans au maximum si le bénéficiaire présente un programme d’entretien du cours d’eau, au moins six mois avant l’échéance de la présente déclaration d’intérêt général. Article 9 : Conformité au dossier et modifications Les installations, ouvrages, travaux, activités objets de la présente autorisation environnementale déclarée d’intérêt général, sont situés, installés et exploités conformément aux plans et contenu du dossier de demande d'autorisation, sans préjudice des dispositions de la présente autorisation, des arrêtés complémentaires et les réglementations en vigueur. Toute modification apportée par le bénéficiaire de l'autorisation environnementale, à l'ouvrage, à l'installation, à son mode d'utilisation, à la réalisation des travaux ou à l'aménagement en résultant ou à l'exercice de l'activité ou à leur voisinage, et de nature à entraîner un changement notable des éléments du dossier de demande d'autorisation, est portée, avant sa réalisation, à la connaissance du préfet avec tous les éléments d'appréciation, conformément aux dispositions des articles L. 181-14 et R. 181-45 et R. 181-46 du code de l’environnement. Article 10 : Début et fin des travaux – Mise en service Le bénéficiaire doit informer le service en charge de la police de l'eau de la direction départementale des territoires de Meurthe-et-Moselle des dates de démarrage et de fin des travaux et, le cas échéant, de la date de mise en service de l'installation. Article 11 : Caractère de l'autorisation L'autorisation est accordée à titre personnel, précaire et révocable sans indemnité de l’État exerçant ses pouvoirs de police. Faute pour le bénéficiaire de se conformer dans le délai fixé aux dispositions prescrites, l'administration peut prononcer la déchéance de la présente autorisation et, prendre les mesures nécessaires pour faire disparaître aux frais du bénéficiaire tout dommage provenant de son fait, ou pour prévenir ces dommages dans l'intérêt de l'environnement de la sécurité et de la santé publique, sans préjudice de l'application des dispositions pénales relatives aux contraventions au code de l'environnement. Il en est de même dans le cas où, après s'être conformé aux mesures prescrites, le bénéficiaire changerait ensuite la nature, la consistance ou la destination fixées par cette présente autorisation, sans y être préalablement autorisé, ou s'il ne maintenait pas constamment les installations en état normal de bon fonctionnement. Article 12 : Déclaration des incidents ou accidents Le bénéficiaire est tenu de déclarer, dès qu'il en a connaissance, au préfet les accidents ou incidents intéressant les installations, ouvrages, travaux ou activités faisant l'objet de la présente autorisation, qui sont de nature à porter atteinte aux intérêts mentionnés à l'article L. 211-1 du code de l'environnement. Sans préjudice des mesures que pourra prescrire le préfet, le bénéficiaire doit prendre ou faire prendre les dispositions nécessaires pour mettre fin aux causes de l'incident ou accident, pour évaluer ses conséquences et y remédier. Le bénéficiaire demeure responsable des accidents ou dommages qui seraient la conséquence de l'activité ou de l'exécution des travaux et de l'aménagement. Article 13 : Droit des tiers Les droits des tiers sont et demeurent expressément réservés. Article 14 : Autres réglementations La présente autorisation ne dispense en aucun cas le bénéficiaire de faire les déclarations ou d’obtenir les autorisations requises par d’autres réglementations. Article 15 : Publication et information des tiers Une copie de la présente autorisation sera transmise pour information aux conseils municipaux des communes de LANEUVEVILLE- DERRIÈRE-FOUG, LUCEY, TRONDES, LAGNEY, SANZEY, MÉNIL-LA-TOUR, ANDILLY et MANONCOURT-EN-WOËVRE. Un extrait de la présente autorisation, énumérant notamment les motifs qui ont fondé la décision ainsi que les principales prescriptions auxquelles cette autorisation est soumise, est affiché dans les mairies de LANEUVEVILLE-DERRIÈRE-FOUG, LUCEY, TRONDES, LAGNEY, SANZEY, MÉNIL-LA-TOUR, ANDILLY et MANONCOURT-EN-WOËVRE pendant une durée minimale d’un mois. Un exemplaire du dossier de déclaration d'intérêt général nécessitant une demande d'autorisation environnementale est mis à la disposition du public pour information à la préfecture de Meurthe-et-Moselle, ainsi qu’au siège du bénéficiaire. La présente autorisation est mise à la disposition du public sur le site Internet de la préfecture de Meurthe-et-Moselle pendant une durée d’au moins 1 an. Article 16 : Voies et délais de recours I. – Le présent arrêté est susceptible de recours devant le tribunal administratif de Nancy, sis 5 place de la Carrière C.O. n°20038, 54036 NANCY cedex, en application des articles L. 181-17et R. 181-50 du code de l’environnement : - par les bénéficiaires ou exploitants dans un délai de deux mois à compter du jour où la décision leur a été notifiée ; - par les tiers intéressés en raison des inconvénients ou des dangers que le projet présente pour les intérêts mentionnés à l’article L. 181-3 du code de l’environnement, dans un délai de quatre mois à compter de la dernière formalité accomplie. Si l’affichage constitue cette dernière formalité, le délai court à compter du premier jour d’affichage de la décision. RECUEIL N° 20 272 28 février 2020

Le tribunal administratif peut être saisi par l'application informatique « Télérecours Citoyens » accessible par le site Internet www.telerecours.fr II. – La présente autorisation peut faire l’objet d’un recours administratif dans le délai de deux mois. Ce recours administratif prolonge de deux mois le délai de recours contentieux. La décision de rejet, expresse ou tacite – née du silence de l’autorité administrative à l’issue du délai de 2 mois à compter de la réception du recours gracieux ou hiérarchique – peut faire l’objet, avec la décision contestée, d’un recours contentieux auprès du tribunal administratif de Nancy. Le bénéficiaire de l’autorisation est tenu informé d’un tel recours afin de pouvoir exercer ses droits. III – Sans préjudice des délais et voies de recours mentionnés au I. et II., les tiers, peuvent déposer une réclamation auprès de l’autorité administrative compétente, à compter de la mise en service de du projet mentionné à l’article 1er, aux seules fins de contester l’insuffisance ou l’inadaptation des prescriptions définies dans la présente autorisation, en raison des inconvénients ou des dangers que le projet présente pour le respect des intérêts mentionnés à l’article L.181-3 du code de l’environnement. L’autorité compétente dispose d’un délai de deux mois, à compter de la réception de la réclamation, pour y répondre de manière motivée. À défaut, la réponse est réputée négative. Si elle estime que la réclamation est fondée, l’autorité compétente fixe des prescriptions complémentaires, dans les formes prévues à l’article R. 181-45 du code de l’environnement. En cas de rejet implicite ou explicite, les intéressés disposent d’un délai de deux mois pour se pourvoir contre cette décision. Article 17 : Exécution La secrétaire générale de la préfecture de Meurthe-et-Moselle, La sous-préfète de TOUL, Le président de la communauté de communes Terres Touloises, Le maire de la commune de LANEUVEVILLE-DERRIERE-FOUG, Le maire de la commune de LUCEY, Le maire de la commune de TRONDES, Le maire de la commune de LAGNEY, Le maire de la commune de SANZEY, Le maire de la commune de MENIL-LA-TOUR, Le maire de la commune d’ANDILLY, Le maire de la commune de MANONCOURT-EN-WOEVRE, Le directeur départemental des territoires de Meurthe-et-Moselle, Le chef du service départemental de Meurthe-et-Moselle de l'office français de la biodiversité, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté .

Fait à Nancy, le 13 février 2020 Pour le préfet et par délégation, La secrétaire générale, Marie-Blanche BERNARD

Les annexes sont consultables au bureau des procédures environnementales de la préfecture de Meurthe-et-Moselle

Arrêté préfectoral déclarant cessibles les parcelles nécessaires à la protection immédiate de la source de Fanoncourt sur le territoire de la commune de DOMMARIE-EULMONT, au profit du syndicat intercommunal des eaux de DIARVILLE.

LE PREFET DE MEURTHE-ET-MOSELLE, VU le code de l'expropriation pour cause d'utilité publique, notamment les articles L.1, L.131-1, L.132-1 à L.132-4 et R.131-1 à R.132-4 ; VU le décret n° 55-22 du 4 janvier 1955 modifié portant réforme de la publicité foncière; VU le décret n°2004-374 du 29 avril 2004 modifié relatif aux pouvoirs des préfets, à l'organisation et à l'action des services de l'Etat dans les régions et les départements; VU la délibération du 27 septembre 2019 du conseil syndical du syndicat intercommunal des eaux (SIE) de Diarville autorisant son président à solliciter du préfet de Meurthe-et-Moselle l’ouverture d’une enquête parcellaire en vue d’acquérir les parcelles situées dans le périmètre de protection immédiate de la source de Fanoncourt sur le territoire de la commune de Dommarie-Eulmont; VU l’arrêté préfectoral du 20 juin 2016 déclarant d’utilité publique, au bénéfice du SIE de Diarville, les travaux nécessaires à la dérivation des eaux de la source de Fanoncourt et l’établissement de périmètres de protection autour de cette ressource, situés sur le territoire des communes de Dommarie-Eulmont, et They-sous-Vaudémont ; VU la demande du président du SIE de Diarville sollicitant, par courrier du 21 octobre 2019, l’ouverture d’une enquête parcellaire en vue de déclarer cessibles les parcelles comprises dans le périmètre de protection immédiate de la source de Fanoncourt ; VU l’arrêté préfectoral du 19 novembre 2019 prescrivant l’ouverture de l’enquête parcellaire en vue de l’acquisition des parcelles situées dans le périmètre de protection immédiate de la source de Fanoncourt sur le territoire de la commune de Dommarie-Eulmont, au profit du SIE de Diarville ; CONSIDERANT que le commissaire-enquêteur a émis, le 16 janvier 2020, un avis favorable à la cessibilité des parcelles énumérées dans le dossier d’enquête parcellaire ; CONSIDERANT les notifications individuelles aux propriétaires concernés, figurant sur l’état parcellaire, pour le dépôt des dossiers d’enquête en mairies, que toutes les formalités réglementaires ont été accomplies, CONSIDERANT que l’acquisition par le SIE de Diarville des parcelles précisées dans le dossier d’enquête parcellaire (AI 107, AI 109 et AI110) s’avère indispensable à la protection de la source de Fanoncourt située sur le territoire de Dommarie-Eulmont ; SUR proposition de la secrétaire générale de la préfecture de Meurthe-et-Moselle, A R R E T E Article 1 – Les parcelles désignées sur le plan et l'état parcellaires (AI 107, AI 109 et AI110) annexés au présent arrêté sont déclarées immédiatement cessibles au profit du syndicat intercommunal des eaux (SIE) de Diarville, autorité expropriante. Article 2 – L'acquisition par la collectivité précitée des parcelles énumérées à l’article 1 du présent arrêté peut être opérée soit à l’amiable, soit par voie d'expropriation, dans les conditions fixées par les dispositions législatives et réglementaires du code de l'expropriation pour cause d'utilité publique. Article 3 – Le présent arrêté sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Meurthe-et-Moselle et notifié par l’expropriant, en pli recommandé avec avis de réception, aux propriétaires concernés. Article 4 – Le présent arrêté peut faire l'objet dans le délai de deux mois d'un recours gracieux et/ou contentieux dans les conditions suivantes : • recours gracieux : ce recours doit être adressé au préfet de Meurthe-et-Moselle. En l’absence de réponse dans un délai de deux mois à compter de sa date de réception, le recours gracieux doit être considéré comme implicitement rejeté ; • recours contentieux : ce recours doit être adressé au tribunal administratif de Nancy à l’adresse suivante : 5, place de la Carrière – C.O. N° 20038 - 54036 NANCY. Le tribunal administratif peut également être saisi par l'application informatique "Télérecours citoyens" accessible par le site Internet www.telerecours.fr. Le délai de recours contentieux est prorogé de deux mois supplémentaires à compter du rejet du recours gracieux. RECUEIL N° 20 273 28 février 2020

Article 5 – La secrétaire générale de la préfecture de Meurthe-et-Moselle, le président du syndicat intercommunal des eaux de Diarville sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté dont une copie sera adressée, pour information, au commissaire enquêteur, aux maires des communes de Diarville et Dommarie-Eulmont, à la délégation territoriale de l’agence régionale de santé Grand Est et à la sous-préfète de Toul.

Fait à Nancy, le 27 février 2020 Pour le préfet et par délégation, La secrétaire générale, Pour la secrétaire générale absente, Le sous-préfet de Lunéville Matthieu BLET

Les annexes (plan et état parcellaires) sont consultables à la préfecture, service de la coordination des politiques publiques

SERVICES DECONCENTRES DE L’ETAT DIRECCTE GRAND EST L’UNITÉ DÉPARTEMENTALE DE MEURTHE-ET-MOSELLE

Arrêté 2020-02 portant affectation des agents de contrôle dans les unités de contrôle et gestion des intérims

LE DIRECTEUR REGIONAL ADJOINT DES ENTREPRISES, DE LA CONCURRENCE, DE LA CONSOMMATION, DU TRAVAIL ET DE L’EMPLOI GRAND EST, RESPONSABLE DE L’UNITE DEPARTEMENTALE DE MEURTHE-ET-MOSELLE, VU le code du travail, notamment ses articles R. 8122-3 et suivants ; VU le décret n° 2014-359 du 20 mars 2014 relatif à l’organisation du système d’inspection du travail ; VU le décret n° 2003-770 du 20 août 2003 portant statut particulier du corps de l’inspection du travail ; VU le décret n° 2009-1377 du 10 novembre 2009 relatif à l’organisation et aux missions des directions régionales des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l’emploi ; VU l’arrêté ministériel du 26 mai 2014 portant création et répartition des unités de contrôle de l'inspection du travail ; VU l’arrêté interministériel du 24 juin 2014 portant dérogation à la création dans chaque département d’une section d’inspection du travail compétente dans les exploitations, entreprises et établissements agricoles ; VU l’arrêté interministériel du 18 avril 2019 portant nomination de Madame Isabelle NOTTER sur l’emploi de directrice régionale des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l’emploi Grand Est ; VU l’arrêté 2019/67 du 20 décembre 2019 de Madame la Directrice régionale des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l’emploi Grand Est portant subdélégation de signature dans le cadre des attributions et compétences générales à Monsieur François MERLE, directeur régional adjoint des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l’emploi Grand Est, Responsable de l’Unité Départementale de Meurthe-et-Moselle ; VU l’arrêté n°2019/17 du 27 décembre 2019 de Monsieur François MERLE, Directeur régional adjoint des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l’emploi de la région Grand Est, Responsable de l’Unité Départementale de Meurthe-et-Moselle, portant subdélégation de signature en matière d’actions d’inspection de la législation du travail ; VU l’arrêté n° 2018-57 du 17 décembre 2018 de Madame la Directrice régionale des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l’emploi de la région Grand Est portant localisation et délimitation des unités de contrôle et des sections d’inspection du travail de la région Grand Est ; VU l’arrêté n° 2018-62 du 17 décembre 2018 de Madame la Directrice régionale des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l’emploi de la région Grand Est portant localisation et délimitation des unités de contrôle et des sections d'inspection du travail du département de la MEURTHE-ET-MOSELLE ; A R R E T E Article 1 : Les inspecteurs et contrôleurs du travail dont les noms suivent sont chargés des actions d’inspection de la législation du travail dans les entreprises relevant des sections d’inspection du travail composant les unités de contrôle du département. Unité de contrôle Ouest Responsable de l’unité de contrôle : Monsieur Patrick OSTER, Directeur Adjoint du Travail 1ère section : Monsieur Pascal BRENON, Inspecteur du Travail, par intérim ;

2ème section : Monsieur Pascal BRENON, Inspecteur du Travail ;

3ème section : Madame Valérie VIRIOT, Inspectrice du Travail ; 4ème section : Monsieur Julien MATHIEU, Inspecteur du Travail ; 5ème section : Monsieur Jean-Philippe GABOURY, Inspecteur du Travail ; 6ème section : Madame Céline MARTINO, Inspectrice du Travail ; 7ème section : Madame Valérie VIRIOT, Inspectrice du Travail ; 8ème section : Monsieur Marc CORCHAND, Inspecteur du Travail ; 9ème section : Monsieur Jean-Philippe GABOURY, Inspecteur du Travail ; 10ème section : Monsieur Arnaud ALVES DOS SANTOS, Inspecteur du Travail ; Unité de contrôle Est Responsable de l'unité de contrôle : Monsieur Mickaël MAROT, Directeur Adjoint du Travail 12ème section : Madame Isabelle GOBE, Inspectrice du Travail ; 13ème section : Monsieur Arnaud TRAPP, Inspecteur du Travail ; 14ème section : Madame Valérie VERBEKE, Inspectrice du Travail ; 15ème section : Monsieur Jean-Philippe LE DAIN, Inspecteur du Travail ; 16ème section : Madame Clotilde PELTIER, Inspectrice du Travail ; 17ème section : Madame Sylvie TEDESCO, Inspectrice du Travail ; 18ème section : Monsieur Jean-Michel ALCARAZ, Inspecteur du Travail ; 19ème section : Madame Diane LEPAGE, Inspectrice du Travail ; 20ème section : Monsieur Jean-Marie HIRTZ, Inspecteur du Travail ; Article 2 : En cas d’absence ou d’empêchement d’un ou plusieurs agents de contrôle désignés à l’article 1 ci-dessus, l’intérim est organisé selon les modalités ci-après : Intérim des inspecteurs du travail : Unité de contrôle OUEST (1) : 1ère section d’inspection du travail : L’intérim de l’inspecteur du travail de la 1ère section est assuré par l’inspecteur du travail de la 2ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 3ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 4ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 5 ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 6ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 7ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 8ème section, ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 9 ème section, ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 10ème section. 2ème section d’inspection du travail : RECUEIL N° 20 274 28 février 2020

L’intérim de l’inspecteur du travail de la 2ème section est assuré par l’inspecteur du travail de la 7ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 3ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 4ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 5 ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 6ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 7ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 8ème section, ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 9ème section, ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 10ème section. 3ème section d’inspection du travail : L’intérim de l’inspecteur du travail de la 3ème section est assuré par l’inspecteur du travail de la 4ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 5ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 6ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 7 ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 8ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 9ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 10ème section, ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 1ère section, ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 2ème section. 4ème section d’inspection du travail : L’intérim de l’inspecteur du travail de la 4ème section est assuré par l’inspecteur du travail de la 5ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 6ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 7ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 8 ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 9ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 10ème section, ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 1 ère section, ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 2 ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 3ème section 5ème section d’inspection du travail : L’intérim de l’inspecteur du travail de la 5ème section est assuré par l’inspecteur du travail de la 6ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 7ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 8ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 9 ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 10 ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 1ère section, ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 2ème section, ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 3ème section 6ème section d’inspection du travail : L’intérim de l’inspecteur du travail de la 6ème section est assuré par l’inspecteur du travail de la 7ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 8ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 9ème section, ou en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 10 section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 1ère section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 2ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 3ème section, ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 4 ème section, ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 5ème section 7ème section d’inspection du travail : L’intérim de l’inspecteur du travail de la 7ème section est assuré par l’inspecteur du travail de la 2ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 8ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 9ème section, ou en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 10 section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 1ère section ou, en cas d’absence ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 3 ème section ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 4ème section, ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 5 ème section, ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 6ème section 8ème section d’inspection du travail : L’intérim de l’inspecteur du travail de la 8ème section est assuré par l’inspecteur du travail de la 9ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 10ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 1ère section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 2 ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 3ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 4ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 5ème section, ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 6ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 7ème section. 9ème section d’inspection du travail : L’intérim de l’inspecteur du travail de la 9ème section est assuré par l’inspecteur du travail de la 10ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 1ère section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 2ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 3 ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 4ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 5ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 6ème section, en cas d’absence ou d’empêchement la 7ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 8ème section. 10ème section d’inspection du travail : L’intérim de l’inspecteur du travail de la 10ème section est assuré par l’inspecteur du travail de la 9ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 1ère section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 2ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 3 ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 4ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 5ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 6ème section , en cas d’absence ou d’empêchement la 7ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 8ème section. En cas d'absence ou d'empêchement simultané de tous les inspecteurs du travail affectés au sein de l'unité de contrôle faisant obstacle à ce que l'intérim soit assuré selon les modalités fixées ci-dessus, l'intérim est assuré par l'inspecteur du travail de la 12ème section de l’Unité de contrôle EST (2) et, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 13 ème section de l’Unité de contrôle EST (2) et, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 14ème section de l’Unité de contrôle EST (2) et, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 16 ème section de l'Unité de contrôle EST (2) , et, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 17 ème section de l’Unité de contrôle EST (2) et, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 18 ème section de l’Unité de contrôle EST (2) et, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 19ème section de l'Unité de contrôle EST (2) et, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 20ème section de l’Unité de contrôle EST (2). Unité de contrôle EST (2) : 12ème section d’inspection du travail : L’intérim de l’inspecteur du travail de la 12ème section est assuré par l’inspecteur du travail de la 13ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 15ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 18ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 19 ème section RECUEIL N° 20 275 28 février 2020 ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 16 ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 20ème section, par l’inspecteur du travail de la 14ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 17ème section. 13ème section d’inspection du travail : L’intérim de l’inspecteur du travail de la 13ème section est assuré par l’inspecteur du travail de la 12ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 16ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 19ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 18 ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 17 ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 14ème section, par l’inspecteur du travail de la 15ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 20ème section. 14ème section d’inspection du travail : L’intérim de l’inspecteur du travail de la 14ème section est assuré par l’inspecteur du travail de la 17ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 19ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 15ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 12 ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 20 ème section en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier , par l’inspecteur du travail de la 16ème section en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 13ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 18ème section. 15ème section d’inspection du travail : L’intérim de l’inspecteur du travail de la 15ème section est assuré par l’inspecteur du travail de la 16ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 17ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 14ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 20 ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 12 ème section. ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 13ème section, par l’inspecteur du travail de la 18ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 19ème section. 16ème section d’inspection du travail : L’intérim de l’inspecteur du travail de la 16ème section est assuré par l’inspecteur du travail de la 18ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 12ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 13ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 14 ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 15 ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 17ème section, par l’inspecteur du travail de la 19ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 20ème section. 17ème section d’inspection du travail : L’intérim de l’inspecteur du travail de la 17ème section est assuré par l’inspecteur du travail de la 14ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 18ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 20ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 15 ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 19 ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 16ème section, par l’inspecteur du travail de la 12ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 14ème section. 18ème section d’inspection du travail : L’intérim de l’inspecteur du travail de la 18ème section est assuré par l’inspecteur du travail de la 15ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 20ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 12ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 16 ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 13 ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 19ème section, par l’inspecteur du travail de la 14ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 17ème section. 19ème section d’inspection du travail : L’intérim de l’inspecteur du travail de la 19ème section est assuré par l’inspecteur du travail de la 20ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 14ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 17ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 13 ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 18 ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 15ème section, par l’inspecteur du travail de la 12ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 16ème section. 20ème section d’inspection du travail : L’intérim de l’inspecteur du travail de la 20ème section est assuré par l’inspecteur du travail de la 19ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 13ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 16ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 15 ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 14 ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 12ème section, par l’inspecteur du travail de la 17ème section ou, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 18ème section. En cas d'absence ou d'empêchement simultané de tous les inspecteurs du travail affectés au sein de l'unité de contrôle faisant obstacle à ce que l'intérim soit assuré selon les modalités fixées ci-dessus, l'intérim est assuré par l’inspecteur du travail de la 1 ère section de l'Unité de contrôle OUEST (1) et, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l'inspecteur du travail de la 2 ème section de l'Unité de contrôle OUEST (1) et, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l'inspecteur du travail de la 3ème section de l'Unité de contrôle OUEST (1) et, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l'inspecteur du travail de la 4ème section de l'Unité de contrôle OUEST (1), en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l'inspecteur du travail de la 5ème section de l'Unité de contrôle OUEST (1) , en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l'inspecteur du travail de la 6ème section de l'Unité de contrôle OUEST (1) et, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 7ème section de l'Unité de contrôle OUEST (1) et, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 8ème section de l’Unité de contrôle OUEST (1) et, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 9ème section de l'Unité de contrôle OUEST (1) et, en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier, par l’inspecteur du travail de la 10ème section de l'Unité de contrôle OUEST (1). Article 3 : Le contrôle de la maison de retraite Saint-Joseph, sise 113, avenue de Strasbourg à Nancy, est exercé par l’inspectrice du travail de la 19ème section. Article 4 : En cas d’absence ou d’empêchement simultané de tous les inspecteurs du travail faisant obstacle à ce que l’intérim soit assuré selon les modalités fixées aux articles 2 et 3, et en l’absence de tout inspecteur du travail présent dans l’unité départementale, l’intérim est assuré pour l’UC OUEST par Monsieur Patrick OSTER, directeur adjoint du travail, et pour l’UC EST par Monsieur Mickaël MAROT, directeur adjoint du travail. Article 5 : Conformément aux dispositions de l'article R. 8122-10 du code du travail, les agents mentionnés à l'article 1 participent, lorsque l'action le rend nécessaire, aux actions d'inspection de la législation du travail sur le territoire de l'unité départementale à laquelle est rattachée l'unité de contrôle où ils sont affectés. Article 6 : La présente décision annule et remplace la décision en date du 9 janvier 2020 prise par Monsieur François MERLE, Responsable de l’Unité Départementale de Meurthe-et-Moselle. RECUEIL N° 20 276 28 février 2020

Article 7 : Le directeur régional adjoint des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l’emploi de la région Grand Est, Responsable de l’Unité Départementale de Meurthe-et-Moselle, est chargé de l’exécution de la présente décision qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de Meurthe-et-Moselle.

Fait à Vandœuvre-lès-Nancy, le 28 février 2020 Le directeur régional adjoint de la DIRECCTE, Responsable de l’Unité Départementale de Meurthe-et-Moselle, François MERLE

DIRECTION INTERDÉPARTEMENTALE DES ROUTES – EST

Arrêté n°2020/DIR-Est/DIR/SG/BAJ/54-02 du 01 mars 2020, portant subdélégation de signature par Monsieur Erwan LE BRIS, Directeur Interdépartemental des Routes – Est, relative aux pouvoirs de police de la circulation sur le réseau routier national, aux pouvoirs de police de la conservation du domaine public routier national, aux pouvoirs de gestion du domaine public routier national, et au pouvoir de représentation de l’État devant les juridictions, civiles, pénales et administratives.

LE DIRECTEUR DE LA DIRECTION INTERDEPARTEMENTALE DES ROUTES – EST, VU le décret n°2004-374 du 29/04/2004 modifié, relatif aux pouvoirs des préfets, à l’organisation et à l’action des services de l’État dans les régions et les départements ; VU l’arrêté préfectoral n°19.BCI.12 du 12 juillet 2019 pris par Monsieur le Préfet de Meurthe et Moselle, au profit de Monsieur Erwan LE BRIS, en sa qualité de Directeur Interdépartemental des Routes – Est ; SUR proposition de Monsieur le Secrétaire Général de la Direction Interdépartementale des Routes – Est ; A R R E T E Article 1 : Subdélégation pleine et entière est accordée par Monsieur Erwan LE BRIS, Directeur Interdépartemental des Routes – Est, pour tous les domaines référencés sous l’article 2, ci-dessous, au profit de : - Monsieur Philippe THIRION, directeur adjoint ingénierie - Monsieur Thierry RUBECK, directeur adjoint exploitation Article 2 : En ce qui concerne le département de Meurthe et Moselle, subdélégation de signature est accordée par Monsieur Erwan LE BRIS, Directeur Interdépartemental des Routes – Est, au profit des agents identifiés sous le présent article, à effet de signer, dans le cadre de leurs attributions, les décisions suivantes : A – Police de la circulation : Mesures d’ordre général : A1 : Interdiction et réglementation de la circulation à l’occasion des travaux routiers. (Articles R411-5 et R411-9 du CDR) A2 : Police de la circulation (hors autoroutes) (hors travaux) A3 : Délivrance des permis de stationnement hors agglomération. Avis sur les permis de stationnement délivrés par les Maires en agglomération. (Article L113-2 modifié du CVR) Circulation sur les autoroutes : A4 : Police de la circulation sur les autoroutes (hors travaux). (Article R411-9 du CDR) A5 : Autorisation de circulation de matériels de travaux publics sur autoroutes. (Article R421-2 du CDR) A6 : Dérogation temporaire ou permanente, délivrée sous forme d’autorisation, aux règles d’interdiction d’accès aux autoroutes non concédées, voies express et routes à accès réglementé, à certains matériels et au personnel de la DIR – Est, d’autres services publics ou entreprises privées. (Article R432-7 du CDR) Signalisation : A7 : Désignation des intersections dans lesquelles le passage des véhicules est organisé par des feux de signalisation lumineux ou par une signalisation spécifique. (Article R411-7 modifié du CDR) A8 : Autorisation d’implantation de signaux d’indication pour les associations et organismes sans but lucratif. (Article R418-3 du CDR) A9 : Dérogation à l’interdiction de publicité sur aires de stationnement et de services. (Article R418-5 du CDR) Mesures portant sur les routes classées à grande circulation : A10 : Délimitation du périmètre des zones 30 sur les routes à grande circulation. (Article R411-4 modifié du CDR) A11 : Avis sur arrêté du Maire pris en application de l’alinéa 2 de l’article R411-8 du CDR lorsqu’ils intéressent une route classée à grande circulation. (Article R411-8 modifié du CDR) Barrière de dégel – Circulation sur les ponts – Pollution : A12 : Établissement et réglementation des barrières de dégel sur les routes nationales, et autorisation de circuler malgré une barrière de dégel. (Article R411-20 modifié du CDR) A13 : Réglementation de la circulation sur les ponts. (Article R422-4 modifié du CDR) Agents Fonctions A1 A2 A3 A4 A5 A6 A7 A8 A9 A10 A11 A12 A13 Colette LONGAS Chef SPR x x x x x x x x x x x x Florian STREB Adjoint Chef SPR x x x x x x x x x x x x Ronan LE COZ Chef DEM x x x x x x x x x x x Christophe TEJEDO Adjoint Chef DEM x x x x x x x x x x x Jean-François Chef DEB x x x x x x x x x x x BEDEAUX Damien DAVID Adjoint Chef DEB x x x x x x x x x x x Hugues AMIOTTE Chef DES x x x x x x x x x x x Rachid OMARI Chef District x x Nancy Alain MAHLE Adjoint Chef x x District Nancy Sébastien Chef District Metz x x DELBIRANI Jean-Louis TENDAS Adjoint Chef x x District Metz Vincent DENARDO Chef District x x Remiremont RECUEIL N° 20 277 28 février 2020

Ethel JACQUOT Adjoint Chef x x District Remiremont Jean-François Chef District x x BERNAUER- Vitry-le-François BUSSIER Karim BEN AMER Chef District x x Mulhouse Franck ESMIEU Chef District x x Besançon Antoine OSER Chef District x x Strasbourg

Subdélégation de signature est donnée pour le point A4 sur la section de l’A33 concernée par la régulation dynamique de vitesses, et uniquement pour la détermination de la vitesse maximale autorisée qui est proposée par le système automatisé prévu par l’arrêté en vigueur portant mise en œuvre de la régulation dynamique de vitesses sur ladite section, aux personnes désignées ci-après :

Centre d’Ingénierie, de sécurité et de Gestion du Trafic Myrabel - Metz Agents Fonction A4 Jean DOLL Chef de centre x Baptiste BECK Adjoint Chef de centre x Romain LERMET Responsable pôle temps réel / Chef de x salle Pascal THOLEY Chargé de mission informatique routière x Stéphane LALAGUE Chargé d’étude temps différé x Poste vacant Opérateur x Noël HELIG Opérateur x Frédéric BLANCHET Opérateur x Frédéric SCHNUBEL Opérateur x Boris GALBE Opérateur x Patrick ZNAK Opérateur x Thomas HELLERINGER Opérateur x Aïtor SAEZ DE BURUAGA Opérateur x

B – Police de la conservation du domaine public et répression de la publicité : B1 : Commissionnement des agents de l’équipement habilités à dresser des procès-verbaux pour relever certaines infractions à la police de conservation du domaine public routier et certaines contraventions au code de la route. (Articles L116-1 et suivants du CVR et L130-4 modifié du CDR – Arrêté du 15/02/1963) B2 : Répression de la publicité illégale. (Article R418-9 du CDR)

Agents Fonctions B1 B2 Colette LONGAS Chef SPR x x Florian STREB Adjoint Chef SPR x x Mickaël VILLEMIN SG x Marie-Laure DANIEL RH x Ronan LE COZ Chef DEM x Christophe TEJEDO Adjoint Chef DEM x Hugues AMIOTTE Chef DES x Jean-François Chef DEB x BEDEAUX

C – Gestion du domaine public routier national : C1 : Permissions de voirie. (Code du domaine de l’État – Article 53 modifié) C2 : Permission de voirie : cas particuliers pour : - les ouvrages de transport et de distribution d’énergie électrique - les ouvrages de transport et de distribution de gaz - les ouvrages de télécommunication - la pose de canalisation d’eau, de gaz, d’assainissement. (Articles L113-2 à L113-7 modifiés du CDR – Articles R113-2 à R113-11 modifiés du CDR) C3 : Pour les autorisations concernant l’implantation de distributeurs de carburants ou de pistes d’accès aux distributeurs sur le domaine public et sur terrain privé. (Circulaire TP n°46 du 05/06/1956 et n°45 du 27/03/1958 – Circulaire Interministérielle n°71-79 du 26/07/1971 et n°71-85 du 26/08/1971 – Circulaire TP n°62 du 06/05/1954, n°5 du 12/01/1955, n°66 du 24/08/1960, n°60 du 27/06/1961 – Circulaire n°69-113 du 06/11/1969 – Circulaire n°5 du 12/01/1955 – Circulaire n°86 du 12/12/1960) RECUEIL N° 20 278 28 février 2020

C4 : Délivrance, renouvellement et retrait des autorisations d’emprunt ou de traversées à niveau des routes nationales par des voies ferrées industrielles. (Circulaire n°50 du 09/10/1958) C5 : Dérogations interdisant la pose, à l’intérieur des emprises des autoroutes, de canalisations aériennes ou souterraines longitudinales. (Article R122-5 modifié du CVR) C6 : Approbation d’opérations domaniales. (Arrêté du 04/08/1948 – Arrêté du 23/12/1970) C7 : Délivrance des alignements et reconnaissance des limites des routes nationales. (Article L112-1 modifié – Article L112-2 – Article L112-3 modifié – Articles L112-4 à L112-7 du CVR – Article R112-1 modifié – Article R112-2 - Article R112-3 modifié du CVR) C8 : Conventions relatives à la traversée du domaine public autoroutier non concédé par une ligne électrique aérienne. (Décret n°56-1425 du 27/12/1956 – Circulaire n°81-13 du 20/02/1981) C9 : Convention de concession des aires de services. (Circulaire n°78-108 du 23/08/1978 – Circulaire n°91-01 du 21/01/1991 – Circulaire n°2001-17 du 05/03/2001) C10 : Convention d’entretien et d’exploitation entre l’État et un tiers. C11 : Avis sur autorisation de circulation pour les transports exceptionnels et pour les ensembles de véhicules comportant plus d’une remorque. (Article n°8 de l’arrêté du 04/05/2006 modifié) C12 : Signature des transactions : protocoles d’accord amiable pour le règlement des dégâts au domaine public routier, des dommages de travaux publics, des défauts d’entretien et des accidents de la circulation. (Article n°2044 et suivants modifiés du Code Civil) C13 : Autorisation d’entreprendre les travaux. (Arrêté préfectoral pris en application de la circulaire modifiée n°79- 99 du 16/10/1979 relative à l’occupation du domaine public routier national)

Agents Fonctions C1 C2 C3 C4 C5 C6 C7 C8 C9 C10 C11 C12 C13 Colette LONGAS Chef SPR x x x x x x Florian STREB Adjoint Chef SPR x x x x x x Denis VARNIER Chef CGP x x x x x x Ronan LE COZ Chef DEM x x x x x x x x Christophe TEJEDO Adjoint Chef DEM x x x x x x x x Jean-François Chef DEB x x x x x x x x BEDEAUX Damien DAVID Adjoint Chef DEB x x x x x x x x Hugues AMIOTTE Chef DES x x x x x x x x Rachid OMARI Chef District x x x x Nancy Alain MAHLE Adjoint Chef x x x x District Nancy Sébastien Chef District Metz x x x x DELBIRANI Jean-Louis TENDAS Adjoint Chef x x x x District Metz Vincent DENARDO Chef District x x x x Remiremont Ethel JACQUOT Adjoint Chef x x x x District Remiremont Jean-François Chef District x x x x BERNAUER- Vitry-le-François BUSSIER Karim BEN AMER Chef District x x x x Mulhouse Franck ESMIEU Chef District x x x x Besançon Antoine OSER Chef District x x x x Strasbourg

D – Représentation devant les juridictions : D1 : Coordination et représentation de l’État dans les procédures d’expertise judiciaires sur les parties du réseau routier national de leur ressort. (Circulaire du 23 janvier 2007 du Ministère des Transports, de l’Équipement, du Tourisme et de la Mer) D2 : Actes de plaidoirie et présentation des observations orales prononcées au nom de l’État devant les juridictions civiles, pénales et administratives sous réserve des obligations de représentation obligatoire par avocat, y compris ceux liés aux mesures d’expertise. (Code de la justice administrative – Code de la procédure civile – Code de la procédure pénale) D3 : Dépôt, en urgence, devant le juge administratif de documents techniques, cartographiques, photographiques, etc, nécessaires à la préservation des intérêts défendus par l’État ou toute production avant clôture d’instruction. (Code de la justice administrative – Code de la procédure civile – Code de la procédure pénale) D4 : Mémoire en défense de l’État, présentation d’observations orales et signature des protocoles de règlement amiable dans le cadre des recours administratifs relatifs aux missions, actes, conventions et marchés publics placés sous la responsabilité de la DIR – Est. (Code de justice administrative – Articles n°2044 et suivants modifiés du Code Civil) RECUEIL N° 20 279 28 février 2020

Agents Fonctions D1 D2 D3 D4 Mickaël VILLEMIN SG x x x Lydie WEBER SGA - Chef BAJ x x x Christèle ROUSSEL BAJ x x x Véronique BAJ x x x DUVAUCHEL

Article 3 : En cas d’absence ou d’empêchement des fonctionnaires désignés sous l’article 2 du présent arrêté, la subdélégation de signature qui leur est confiée par le-dit article sera exercé par l’agent chargé de leur intérim. Article 4 : Le présent arrêté emporte abrogation de l’arrêté n°2020/DIR-Est/DIR/SG/BAJ/54-01 du 30/12/2019, portant subdélégation de signature, pris par Monsieur Erwan LE BRIS, Directeur Interdépartemental des Routes Est. Article 5 : Monsieur le Secrétaire Général de la Préfecture et Monsieur le Directeur Interdépartemental des Routes Est sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté dont une copie sera adressée au Directeur Départemental des Finances Publiques de Meurthe et Moselle, pour information. Le présent arrêté sera publié au Recueil des Actes Administratifs du département et prendra effet au lendemain de sa publication.

Fait à Nancy le 28 février 2020 Le Directeur Interdépartemental des Routes Est Erwan LE BRIS

DIRECTION DÉPARTEMENTALE DE LA PROTECTION DES POPULATIONS DE MEURTHE-ET-MOSELLE

Arrêté préfectoral n° 20-DDPP-056 attribuant l'habilitation sanitaire au Dr HARTMAN MERCENIER Bénédicte.

LE PRÉFET DE MEURTHE ET MOSELLE, VU le code rural et de la pêche maritime et notamment ses articles L. 203-1 à L. 203-7, L. 223-6, R. 203-1 à R. 203-15 et R. 242-33. VU le décret n° 80-516 du 4 juillet 1980, modifié par le décret n° 90-1033 du 19 novembre 1990 et par le décret 2003-768 du 1 er août 2003, relatif à l’exécution des mesures de prophylaxie collective des maladies des animaux ; VU le décret n° 2004.374 du 29 avril 2004 modifié, relatif aux pouvoirs des préfets, à l’organisation et à l'action des services de l’Etat dans les régions et départements et notamment son article 43 ; VU l’arrêté préfectoral n° 17.BCI.92 du 29 décembre 2017 portant délégation de signature à Madame Juliette SORRENTINO, directrice départementale de la protection des populations de Meurthe-et-Moselle VU la demande présentée par le Dr HARTMAN MERCENIER Bénédicte née le 02/04/1980 et domiciliée professionnellement 22 Avenue du 69ème Régiment d’Infanterie, 54270 ESSEY-LES-NANCY ; CONSIDERANT que le Dr HARTMAN MERCENIER Bénédicte remplit les conditions permettant l’attribution de l’habilitation sanitaire; SUR la proposition de la directrice départementale de la protection des populations de Meurthe-et-Moselle; A R R Ê T E Article 1 : L’habilitation sanitaire prévue à l’article L. 203-1 du code rural et de la pêche maritime susvisé est attribuée pour une durée de cinq ans au Dr HARTMAN MERCENIER Bénédicte, docteur vétérinaire administrativement domiciliée 22 Avenue du 69ème Régiment d’Infanterie 54270 ESSEY-LES-NANCY, pour son exercice dans le département de Meurthe-et-Moselle. Article 2 : Dans la mesure où les conditions requises ont été respectées, cette habilitation sanitaire est renouvelable par période de cinq années tacitement reconduites sous réserve pour le vétérinaire sanitaire de justifier à l'issue de chaque période de cinq ans, auprès du préfet de Meurthe-et-Moselle, du respect de ses obligations de formation continue prévues à l'article R. 203-12. Article 3 : Le Dr HARTMAN MERCENIER Bénédicte s’engage à respecter les prescriptions techniques, administratives et le cas échéant financières de mise en œuvre des mesures de prévention, de surveillance ou de lutte prescrites par l'autorité administrative et des opérations de police sanitaire exécutées en application de l'article L. 203-7 du code rural et de la pêche maritime. Article 4 : Le Dr HARTMAN MERCENIER Bénédicte pourra être appelée par le préfet de son département d’exercice pour la réalisation d’opérations de police sanitaire au sein des lieux de détention ou des établissements pour lesquels elle a été désignée vétérinaire sanitaire. Elle sera tenue de concourir à ces opérations en application des dispositions de l'article L. 203-7 du code rural et de la pêche maritime. Article 5 : Tout manquement ou faute commis dans l’exercice de la présente habilitation sanitaire entraînera l’application des dispositions prévues aux articles R. 203-15, R. 228-6 et suivants du code rural et de la pêche maritime. Article 6 : La présente décision peut faire l’objet d’un recours devant le Tribunal Administratif de Meurthe-et-Moselle dans un délai de deux mois à compter de la date de notification. Article 7 : Le secrétaire général de la préfecture et la directrice départementale de la Protection des Populations sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera inséré au Recueil des actes administratifs de la Préfecture de Meurthe-et-Moselle.

Fait à Nancy le 28 février 2020 Le Préfet, Pour le Préfet de Meurthe-et-Moselle et par délégation, Pour la directrice départementale de la protection des populations et par délégation, Le Chef de Service Virginie CAROLUS RECUEIL N° 20 280 28 février 2020

Arrêté préfectoral n° 20-DDPP-050 relatif à l’abrogation de l’Arrêté préfectoral n° 19-DDPP-66 attribuant l'habilitation sanitaire au Dr LARDENOIS Jade.

LE PRÉFET DE MEURTHE ET MOSELLE, VU le code rural et de la pêche maritime et notamment ses articles L. 203-1 à L. 203-7, L. 223-6, R. 203-1 à R. 203-15 et R. 242-33. VU le décret n° 80-516 du 4 juillet 1980, modifié par le décret n° 90-1033 du 19 novembre 1990 et par le décret 2003-768 du 1 er août 2003, relatif à l’exécution des mesures de prophylaxie collective des maladies des animaux ; VU le décret n° 2004.374 du 29 avril 2004 modifié, relatif aux pouvoirs des préfets, à l’organisation et à l'action des services de l’Etat dans les régions et départements et notamment son article 43 ; VU l’arrêté préfectoral n° 17.BCI.92 du 29 décembre 2017 portant délégation de signature à Madame Juliette SORRENTINO, directrice départementale de la protection des populations de Meurthe-et-Moselle VU l’information donnée par le Dr LARDENOIS Jade née le 09/05/1992 de sa nouvelle domiciliation professionnelle située dans le département de MOSELLE ; CONSIDERANT que le Dr LARDENOIS Jade ne remplit plus les conditions permettant l’attribution de l’habilitation sanitaire en Meurthe-et- Moselle ; SUR la proposition de la directrice départementale de la protection des populations de Meurthe-et-Moselle; A R R Ê T E Article 1 : L’Arrêté préfectoral n° 19-DDPP-66 attribuant l’habilitation sanitaire du Dr LARDENOIS Jade est abrogé. Article 2 : Le secrétaire général de la préfecture et la directrice départementale de la Protection des Populations sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera inséré au Recueil des actes administratifs de la Préfecture de Meurthe-et-Moselle.

Fait à Nancy, le 20 février 2020 Le Préfet, Pour le Préfet de Meurthe-et-Moselle et par délégation, Pour la directrice départementale de la protection des populations et par délégation, Le Chef de Service Virginie CAROLUS

Arrêté préfectoral n° 20-DDPP-048 attribuant l'habilitation sanitaire au Dr LUX Anastasia.

LE PRÉFET DE MEURTHE ET MOSELLE, VU le code rural et de la pêche maritime et notamment ses articles L. 203-1 à L. 203-7, L. 223-6, R. 203-1 à R. 203-15 et R. 242-33. VU le décret n° 80-516 du 4 juillet 1980, modifié par le décret n° 90-1033 du 19 novembre 1990 et par le décret 2003-768 du 1 er août 2003, relatif à l’exécution des mesures de prophylaxie collective des maladies des animaux ; VU le décret n° 2004.374 du 29 avril 2004 modifié, relatif aux pouvoirs des préfets, à l’organisation et à l'action des services de l’Etat dans les régions et départements et notamment son article 43 ; VU l’arrêté préfectoral n° 17.BCI.92 du 29 décembre 2017 portant délégation de signature à Madame Juliette SORRENTINO, directrice départementale de la protection des populations de Meurthe-et-Moselle VU la demande présentée par le Dr LUX Anastasia née le 11/09/1990 et domiciliée professionnellement 6 Rue Jacquard, 54500 VANDOEUVRE LES NANCY; CONSIDERANT que le Dr LUX Anastasia remplit les conditions permettant l’attribution de l’habilitation sanitaire; SUR la proposition de la directrice départementale de la protection des populations de Meurthe-et-Moselle; A R R Ê T E Article 1 : L’habilitation sanitaire prévue à l’article L. 203-1 du code rural et de la pêche maritime susvisé est attribuée pour une durée de cinq ans au Dr LUX Anastasia, docteur vétérinaire administrativement domiciliée 6 Rue Jacquard, 54500 VANDOEUVRE LES NANCY, pour son exercice dans le département de Meurthe-et-Moselle. Article 2 : Dans la mesure où les conditions requises ont été respectées, cette habilitation sanitaire est renouvelable par période de cinq années tacitement reconduites sous réserve pour le vétérinaire sanitaire de justifier à l'issue de chaque période de cinq ans, auprès du préfet de Meurthe-et-Moselle, du respect de ses obligations de formation continue prévues à l'article R. 203-12. Article 3 : Le Dr LUX Anastasia s’engage à respecter les prescriptions techniques, administratives et le cas échéant financières de mise en œuvre des mesures de prévention, de surveillance ou de lutte prescrites par l'autorité administrative et des opérations de police sanitaire exécutées en application de l'article L. 203-7 du code rural et de la pêche maritime. Article 4 : Le Dr LUX Anastasia pourra être appelée par le préfet de son département d’exercice pour la réalisation d’opérations de police sanitaire au sein des lieux de détention ou des établissements pour lesquels elle a été désignée vétérinaire sanitaire. Elle sera tenue de concourir à ces opérations en application des dispositions de l'article L. 203-7 du code rural et de la pêche maritime. Article 5 : Tout manquement ou faute commis dans l’exercice de la présente habilitation sanitaire entraînera l’application des dispositions prévues aux articles R. 203-15, R. 228-6 et suivants du code rural et de la pêche maritime. Article 6 : La présente décision peut faire l’objet d’un recours devant le Tribunal Administratif de Meurthe-et-Moselle dans un délai de deux mois à compter de la date de notification. Article 7 : Le secrétaire général de la préfecture et la directrice départementale de la Protection des Populations sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera inséré au Recueil des actes administratifs de la Préfecture de Meurthe-et-Moselle.

Fait à Nancy, le 20 février 2020 Le Préfet, Pour le Préfet de Meurthe-et-Moselle et par délégation, Pour la directrice départementale de la protection des populations et par délégation, Le Chef de Service Virginie CAROLUS

Arrêté préfectoral n° 20-DDPP-049 relatif à l’abrogation de l’Arrêté préfectoral n° 19-DDPP-226 attribuant l'habilitation sanitaire au Dr CLEMENT MANGIN Pauline.

LE PRÉFET DE MEURTHE ET MOSELLE, VU le code rural et de la pêche maritime et notamment ses articles L. 203-1 à L. 203-7, L. 223-6, R. 203-1 à R. 203-15 et R. 242-33. VU le décret n° 80-516 du 4 juillet 1980, modifié par le décret n° 90-1033 du 19 novembre 1990 et par le décret 2003-768 du 1 er août 2003, relatif à l’exécution des mesures de prophylaxie collective des maladies des animaux ; VU le décret n° 2004.374 du 29 avril 2004 modifié, relatif aux pouvoirs des préfets, à l’organisation et à l'action des services de l’Etat dans les régions et départements et notamment son article 43 ; VU l’arrêté préfectoral n° 17.BCI.92 du 29 décembre 2017 portant délégation de signature à Madame Juliette SORRENTINO, directrice départementale de la protection des populations de Meurthe-et-Moselle VU l’information donnée par le Dr CLEMENT MANGIN Pauline née le 21/01/1994 de sa nouvelle domiciliation professionnelle située dans le département de l’ESSONNES ; CONSIDERANT que le Dr CLEMENT MANGIN Pauline ne remplit plus les conditions permettant l’attribution de l’habilitation sanitaire en Meurthe-et-Moselle ; SUR la proposition de la directrice départementale de la protection des populations de Meurthe-et-Moselle; A R R Ê T E RECUEIL N° 20 281 28 février 2020

Article 1 : L’Arrêté préfectoral n° 19-DDPP-226 attribuant l’habilitation sanitaire du Dr CLEMENT MANGIN Pauline est abrogé. Article 2 : Le secrétaire général de la préfecture et la directrice départementale de la Protection des Populations sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera inséré au Recueil des actes administratifs de la Préfecture de Meurthe-et-Moselle.

Fait à Nancy, le 20 février 2020 Le Préfet, Pour le Préfet de Meurthe-et-Moselle et par délégation, Pour la directrice départementale de la protection des populations et par délégation, Le Chef de Service Virginie CAROLUS

Arrêté préfectoral n° 20-DDPP-051 relatif à l’abrogation de l’Arrêté préfectoral n° 17-DDPP-108 attribuant l'habilitation sanitaire au Dr LOIZEAU Camille.

LE PRÉFET DE MEURTHE ET MOSELLE, VU le code rural et de la pêche maritime et notamment ses articles L. 203-1 à L. 203-7, L. 223-6, R. 203-1 à R. 203-15 et R. 242-33. VU le décret n° 80-516 du 4 juillet 1980, modifié par le décret n° 90-1033 du 19 novembre 1990 et par le décret 2003-768 du 1 er août 2003, relatif à l’exécution des mesures de prophylaxie collective des maladies des animaux ; VU le décret n° 2004.374 du 29 avril 2004 modifié, relatif aux pouvoirs des préfets, à l’organisation et à l'action des services de l’Etat dans les régions et départements et notamment son article 43 ; VU l’arrêté préfectoral n° 17.BCI.92 du 29 décembre 2017 portant délégation de signature à Madame Juliette SORRENTINO, directrice départementale de la protection des populations de Meurthe-et-Moselle VU l’information donnée par le Dr LOIZEAU Camille née le 02/12/1993 de sa nouvelle domiciliation professionnelle située dans le département du HAUT-RHIN ; CONSIDERANT que le Dr LOIZEAU Camille ne remplit plus les conditions permettant l’attribution de l’habilitation sanitaire en Meurthe-et- Moselle ; SUR la proposition de la directrice départementale de la protection des populations de Meurthe-et-Moselle; A R R Ê T E Article 1 : L’Arrêté préfectoral n° 17-DDPP-108 attribuant l’habilitation sanitaire du Dr LOIZEAU Camille est abrogé. Article 2 : Le secrétaire général de la préfecture et la directrice départementale de la Protection des Populations sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera inséré au Recueil des actes administratifs de la Préfecture de Meurthe- et-Moselle.

Fait à Nancy, le 20 février 2020 Le Préfet, Pour le Préfet de Meurthe-et-Moselle et par délégation, Pour la directrice départementale de la protection des populations et par délégation, Le Chef de Service Virginie CAROLUS

DIRECTION DEPARTEMENTALE DES TERRITOIRES SERVICE AGRICULTURE – FORÊT – CHASSE Unité Aides Directes – Structures

Décision 2020/DDT54/AFC-AD-S/n° 041, du 24/02/2020, portant agrément du Groupement Agricole d’Exploitation en Commun – GAEC DEMANGE à VALLOIS- 54830 – N° agrément 54-20-001.

LE PREFET DE MEURTHE-ET-MOSELLE, VU le code rural et de la pêche maritime et notamment les articles D 323-31-1, L 323-2 , L 323-7, L 323-11, L 323-12, L 323-13, R 323-7-1 et R 323-8 à R 323-51 ; VU la loi d’avenir pour l’agriculture, l’alimentation et la forêt n° 2014-1170 du 13 octobre 2014 ; VU le décret n° 2004-374 du 29 avril 2004 relatif aux pouvoirs des préfets, à l'organisation et à l'action des services de l’État dans les régions et départements ; VU le décret n° 2006-665 du 07 juin 2006 relatif à la réduction du nombre et à la simplification de la composition de diverses commissions administratives ; VU le décret n° 2006-672 du 08 juin 2006 relatif à la création, à la composition et au fonctionnement des commissions administratives à caractère consultatif ; VU le décret n° 2014-1515 du 15 décembre 2014 relatif aux conditions d’accès des groupements agricoles d’exploitation en commun totaux aux aides de la politique agricole commune ; VU le décret n° 2015-215 du 25 février 2015 relatif aux conditions et modalités d’agrément des groupements agricoles d’exploitation en commun et portant diverses dispositions d’adaptation réglementaire ; VU le décret n° 2015-216 du 25 février 2015 relatif à l’agrément en tant que groupement agricole d’exploitation en commun ; VU le décret du président de la République en date du 08 décembre 2017 nommant M. Eric FREYSSELINARD, préfet de Meurthe-et-Moselle ; VU l’arrêté du 24 mars 2015 portant approbation des statuts types des groupements agricoles en commun et relatif au modèle de note constituant le dossier de demande d’agrément ; VU l’arrêté préfectoral 05 mars 2015 fixant la composition de la Commission Départementale d’Orientation de l’Agriculture, formation spécialisée des groupements agricoles d’exploitation en commun (GAEC) ; VU l’arrêté préfectoral 07 novembre 2019 accordant délégation de signature à M. Yann DACQUAY, directeur départemental des territoires de Meurthe-et-Moselle ; VU l’arrêté préfectoral du 13 novembre 2019 portant subdélégation de signature à Mme Séverine LABORY, chef du service "Agriculture - Forêt - Chasse" ; VU la demande d’agrément déposée complète le 28 janvier 2020 par M. Mme DEMANGE Mickaël et Aurore à VALLOIS-54830 ; VU l’avis de la CDOA - formation spécialisée des groupements agricoles d’exploitation en commun (GAEC) du 13 février 2020 ; CONSIDERANT que ce GAEC correspond bien par son objet et ses statuts aux dispositions législatives et réglementaires sur les GAEC ; SUR proposition du directeur départemental des territoires de Meurthe-et-Moselle ; D E C I D E Article 1 : L’agrément du groupement agricole d’exploitation en commun : GAEC DEMANGE dont le siège social se situe à : 17 rue de la Croix – 54830 VALLOIS composé de 2 membres associés ayant le statut de chef d’exploitation est accordé en tant que GAEC total à compter de la présente décision sous le numéro 54-20-001 - Article 2 : Sous réserve de confirmation par les statuts définitifs du GAEC, le principe de transparence s'applique comme suit : - Transparence article R.323-53 nouveau du code rural : 2 - Transparence article R.323-52 nouveau du code rural : 2101 parts sociales réparties :  M. Mickaël DEMANGE : 1301 parts sociales, soit 61,92 % RECUEIL N° 20 282 28 février 2020

 Mme Aurore DEMANGE : 800 parts sociales, soit 38,07 % Article 3 : Tout changement intervenant dans le fonctionnement du GAEC (modifications statutaires nécessitant une mise à jour des statuts, modification dans la répartition des parts sociales entre associés) devra être porté à la connaissance du préfet dans le mois qui suit sa mise en œuvre.

Article 4 : Les activités extérieures, à titre accessoire, ne sont possibles que sur dérogation du préfet de Meurthe-et-Moselle, délivrée après examen de la demande individuelle motivée et justifiée adressée préalablement par le ou les associé(s) concerné(s) du groupement. Ainsi, le ou les associé(s) concerné(s) souhaitant exercer une activité à l’extérieur du groupement devra(ont) introduire une demande de dérogation auprès de la direction départementale des territoires de Meurthe-et-Moselle dans le respect des dispositions réglementaires en vigueur et notamment celles mentionnées aux articles L 323.7, R 323.31, D 323.31, R 323.31.2 du CRPM. L’exercice d’une activité extérieure du groupement qui serait réalisée par l’un ou plusieurs des associés du GAEC sans avoir, au préalable introduit une demande de dérogation auprès de la direction départementale des territoires de Meurthe-et-Moselle dans les conditions réglementaires requises, ni obtenu une dérogation du préfet autorisant la dite activité est de nature à faire encourir au GAEC le retrait de son agrément. Article 5 : Maintien exceptionnel de l’agrément. Dans les situations où les conditions de fonctionnement ne sont plus conformes aux textes réglementaires et législatifs en vigueur permettant à la société d’être regardée comme groupement agricoles d’exploitations en commun, il appartient aux associés d’en informer immédiatement la direction départementale des territoires de Meurthe-et-Moselle. Une demande de dérogation devra être introduite auprès de la direction départementale des territoires de Meurthe-et-Moselle dans le mois qui suit la survenance de l’évènement rendant le fonctionnement du GAEC non conforme. Après examen, une éventuelle dérogation portant maintien de l’agrément pourra être prononcée. La décision de dérogation mentionnera la durée de maintien de l’agrément dont la période commence à courir à compter de la survenance de l’évènement rendant le fonctionnement du GAEC non conforme. Article 6 : Le respect par les associés des critères d’agrément du GAEC, notamment leur travail effectif et permanent au sein du GAEC fait l’objet de contrôles réalisés par la direction départementale des territoires de Meurthe-et-Moselle. Dans ce cadre, il pourra être demandé aux associés du GAEC de fournir différentes pièces permettant la vérification du respect des critères d’agrément. La non-fourniture des pièces demandées est susceptible d’entraîner le retrait de l’agrément. Dans les situations de constat de non-respect des critères d’agrément, cela peut conduire à la perte de la transparence ou au retrait de l’agrément. Article 7 : Le GAEC peut exercer un recours administratif auprès du ministre chargé de l’agriculture dans le délai de deux mois suivant la notification de la décision préfectorale. Dans un délai de deux mois à compter de la réponse ou du rejet implicite du ministre chargé de l’agriculture, il peut exercer un recours contentieux devant le tribunal administratif de Nancy. "Le Tribunal Administratif peut être saisi par l'application informatique "Télérecours Citoyens" accessible par le site Internet www.telerecours.fr". Article 8 :La secrétaire générale de la préfecture de Meurthe-et-Moselle et le directeur départemental des territoires de Meurthe-et-Moselle sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs et informations officielles de la préfecture de Meurthe et Moselle.

Fait à Nancy, le 24 février 2020 Le préfet Pour le préfet et par délégation Pour le directeur départemental L'adjointe à la chef du service Agriculture – Forêt – Chasse Catherine NICOLEY

Décision 2020/DDT54/AFC-AD-S/n° 042, du 14/02/2020, portant agrément du Groupement Agricole d’Exploitation en Commun – GAEC DE LA GARDE à EPLY- 54610 – N° agrément 54-20-002.

LE PREFET DE MEURTHE-ET-MOSELLE, VU le code rural et de la pêche maritime et notamment les articles D 323-31-1, L 323-2 , L 323-7, L 323-11, L 323-12, L 323-13, R 323-7-1 et R 323-8 à R 323-51 ; VU la loi d’avenir pour l’agriculture, l’alimentation et la forêt n° 2014-1170 du 13 octobre 2014 ; VU le décret n° 2004-374 du 29 avril 2004 relatif aux pouvoirs des préfets, à l'organisation et à l'action des services de l’État dans les régions et départements ; VU le décret n° 2006-665 du 07 juin 2006 relatif à la réduction du nombre et à la simplification de la composition de diverses commissions administratives ; VU le décret n° 2006-672 du 08 juin 2006 relatif à la création, à la composition et au fonctionnement des commissions administratives à caractère consultatif ; VU le décret n° 2014-1515 du 15 décembre 2014 relatif aux conditions d’accès des groupements agricoles d’exploitation en commun totaux aux aides de la politique agricole commune ; VU le décret n° 2015-215 du 25 février 2015 relatif aux conditions et modalités d’agrément des groupements agricoles d’exploitation en commun et portant diverses dispositions d’adaptation réglementaire ; VU le décret n° 2015-216 du 25 février 2015 relatif à l’agrément en tant que groupement agricole d’exploitation en commun ; VU le décret du président de la République en date du 08 décembre 2017 nommant M. Eric FREYSSELINARD, préfet de Meurthe-et-Moselle ; VU l’arrêté du 24 mars 2015 portant approbation des statuts types des groupements agricoles en commun et relatif au modèle de note constituant le dossier de demande d’agrément ; VU l’arrêté préfectoral 05 mars 2015 fixant la composition de la Commission Départementale d’Orientation de l’Agriculture, formation spécialisée des groupements agricoles d’exploitation en commun (GAEC) ; VU l’arrêté préfectoral 07 novembre 2019 accordant délégation de signature à M. Yann DACQUAY, directeur départemental des territoires de Meurthe-et-Moselle ; VU l’arrêté préfectoral du 13 novembre 2019 portant subdélégation de signature à Mme Séverine LABORY, chef du service "Agriculture - Forêt - Chasse" ; VU la demande d’agrément déposée complète le 04 février 2020 par MM. GEORGIN François et PINCHON Clément à EPLY-54610 ; VU l’avis de la CDOA - formation spécialisée des groupements agricoles d’exploitation en commun (GAEC) du 13 février 2020 ; CONSIDERANT que ce GAEC correspond bien par son objet et ses statuts aux dispositions législatives et réglementaires sur les GAEC ; Sur proposition du directeur départemental des territoires de Meurthe-et-Moselle ; D E C I D E Article 1 : L’agrément du groupement agricole d’exploitation en commun : GAEC DE LA GARDE dont le siège social se situe à : 1 rue des Jonquilles – 54610 EPLY composé de 2 membres associés ayant le statut de chef d’exploitation est accordé en tant que GAEC total à compter de la présente décision sous le numéro 54-20-002- Article 2 : Sous réserve de confirmation par les statuts définitifs du GAEC, le principe de transparence s'applique comme suit : - Transparence article R.323-53 nouveau du code rural et de la pêche maritime : 2 - Transparence article R.323-52 nouveau du code rural et de la pêche maritime : 155 parts sociales réparties :  M. François GEORGIN : 79 parts sociales, soit 50,96 %  M. Clément PINCHON : 76 parts sociales, soit 49,03 % RECUEIL N° 20 283 28 février 2020

Article 3 : Tout changement intervenant dans le fonctionnement du GAEC (modifications statutaires nécessitant une mise à jour des statuts, modification dans la répartition des parts sociales entre associés) devra être porté à la connaissance du préfet dans le mois qui suit sa mise en œuvre.

Article 4 : Les activités extérieures, à titre accessoire, ne sont possibles que sur dérogation du préfet de Meurthe-et-Moselle, délivrée après examen de la demande individuelle motivée et justifiée adressée préalablement par le ou les associé(s) concerné(s) du groupement. Ainsi, le ou les associé(s) concerné(s) souhaitant exercer une activité à l’extérieur du groupement devra(ont) introduire une demande de dérogation auprès de la direction départementale des territoires de Meurthe-et-Moselle dans le respect des dispositions réglementaires en vigueur et notamment celles mentionnées aux articles L 323.7, R 323.31, D 323.31, R 323.31.2 du CRPM. L’exercice d’une activité extérieure du groupement qui serait réalisée par l’un ou plusieurs des associés du GAEC sans avoir, au préalable introduit une demande de dérogation auprès de la direction départementale des territoires de Meurthe-et-Moselle dans les conditions réglementaires requises, ni obtenu une dérogation du préfet autorisant la dite activité est de nature à faire encourir au GAEC le retrait de son agrément. Article 5 : Maintien exceptionnel de l’agrément. Dans les situations où les conditions de fonctionnement ne sont plus conformes aux textes réglementaires et législatifs en vigueur permettant à la société d’être regardée comme groupement agricoles d’exploitations en commun, il appartient aux associés d’en informer immédiatement la direction départementale des territoires de Meurthe-et-Moselle. Une demande de dérogation devra être introduite auprès de la direction départementale des territoires de Meurthe-et-Moselle dans le mois qui suit la survenance de l’évènement rendant le fonctionnement du GAEC non conforme. Après examen, une éventuelle dérogation portant maintien de l’agrément pourra être prononcée. La décision de dérogation mentionnera la durée de maintien de l’agrément dont la période commence à courir à compter de la survenance de l’évènement rendant le fonctionnement du GAEC non conforme. Article 6 : Le respect par les associés des critères d’agrément du GAEC, notamment leur travail effectif et permanent au sein du GAEC fait l’objet de contrôles réalisés par la direction départementale des territoires de Meurthe-et-Moselle. Dans ce cadre, il pourra être demandé aux associés du GAEC de fournir différentes pièces permettant la vérification du respect des critères d’agrément. La non-fourniture des pièces demandées est susceptible d’entraîner le retrait de l’agrément. Dans les situations de constat de non-respect des critères d’agrément, cela peut conduire à la perte de la transparence ou au retrait de l’agrément. Article 7 : Le GAEC peut exercer un recours administratif auprès du ministre chargé de l’agriculture dans le délai de deux mois suivant la notification de la décision préfectorale. Dans un délai de deux mois à compter de la réponse ou du rejet implicite du ministre chargé de l’agriculture, il peut exercer un recours contentieux devant le tribunal administratif de Nancy. "Le Tribunal Administratif peut être saisi par l'application informatique "Télérecours Citoyens" accessible par le site Internet www.telerecours.fr". Article 8 :La secrétaire générale de la préfecture de Meurthe-et-Moselle et le directeur départemental des territoires de Meurthe-et-Moselle sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs et informations officielles de la préfecture de Meurthe et Moselle.

Fait à Nancy, le 14 février 2020 Le préfet Pour le préfet et par délégation Pour le directeur départemental L'adjointe à la chef du service Agriculture – Forêt – Chasse Catherine NICOLEY

AUTRES SERVICES DIRECTION INTERREGIONALE DE LA PROTECTION JUDICIAIRE DE LA JEUNESSE GRAND EST

Arrêté portant cession d’autorisation du Centre Educatif Renforcé « Echange » géré par l’Office d’Hygiène Sociale de Meurthe-et-Moselle (OHS) au Comité Mosellan de Sauvegarde de l'Enfance, de l'Adolescence et des Adultes (CMSEA).

LE PREFET DE MEURTHE-ET-MOSELLE, VU le code de l’action sociale et des familles, et notamment l’article L. 313-1 alinéa 3 ; VUl'ordonnance n° 45-174 du 2 février 1945 modifiée relative à l'enfance délinquante ; VU le décret n° 2010-214 du 2 mars 2010 relatif au ressort territorial, à l'organisation et aux attributions des services déconcentrés de la protection judiciaire de la jeunesse ; VU l’arrêté préfectoral du 10 février 2003 portant autorisation de création du Centre Educatif Renforcé « Echange » géré par l’association Découverte, Vacances, Loisirs (DEVAL), modifié par l’arrêté préfectoral du 5 février 2004 portant changement de l’association gestionnaire du Centre Educatif Renforcé « Echange » en la personne de l’Office d’Hygiène Sociale de Meurthe-et-Moselle ; VU l’arrêté préfectoral du 10 janvier 2014 portant renouvellement d’habilitation du CER « Echange » géré par l’Office d’Hygiène Sociale de Meurthe-et-Moselle ; VU l’arrêté préfectoral du 20 mars 2014 portant modification d’autorisation du CER « Echange » géré par l’Office d’Hygiène Sociale de Meurthe-et-Moselle ; VU l’arrêté préfectoral du 5 janvier 2018 portant modification d’autorisation du CER « Echange » géré par l’Office d’Hygiène Sociale de Meurthe-et-Moselle ; VU le procès-verbal de délibération du conseil d’administration du Comité Mosellan de Sauvegarde de l'Enfance, de l'Adolescence et des Adultes (CMSEA) en date du 26 septembre 2019, par lequel cette association accepte de se voir céder par l’Office d’Hygiène Sociale de Meurthe-et-Moselle (OHS) l’autorisation délivrée au CER « Echange » ; VU le procès-verbal de délibération du conseil d’administration de l’Office d’Hygiène Sociale de Meurthe-et-Moselle (OHS) en date du 25 octobre 2019, par lequel cette association accepte de céder au Comité Mosellan de Sauvegarde de l'Enfance, de l'Adolescence et des Adultes (CMSEA) l’autorisation délivrée au CER « Echange » ; VU le traité d’apport partiel d’actif en date du 27 décembre 2019 signé par l’Office d’Hygiène Sociale de Meurthe-et-Moselle (OHS) et le Comité Mosellan de Sauvegarde de l'Enfance, de l'Adolescence et des Adultes (CMSEA) dans le cadre de l’opération de reprise du CER « Echange » ; CONSIDERANT que le CER « Echange » rencontre des difficultés importantes dans la prise en charge des jeunes accueillis, qui se sont manifestées par la multiplication d’incidents graves survenus la semaine du 8 au 14 avril 2019. Que ces infractions ont donné lieu à des dépôts de plainte par les victimes. Que les mineurs concernés par les présomptions d’agression et de dégradations ont alors été placés en garde à vue. Que suite au signalement de ces incidents par l’association gestionnaire du CER (Office d’Hygiène Sociale de Meurthe-et-Moselle), la DIRPJJ Grand Est et la DTPJJ Meurthe-et-Moselle/Meuse/Vosges ont procédé le 16 avril 2019 à une visite de contrôle sur incident. Qu’en accord avec les dirigeants de l’association gestionnaire, et face au constat partagé d’une incapacité des travailleurs sociaux du CER à poursuivre la session en cours (6 éducateurs en position d’arrêt maladie, une équipe éducative fatiguée, et notamment des cadres de direction faisant le constat d’une situation qui n’est plus sous contrôle), la DIRPJJ et la DTPJJ ont suspendu tout nouvel accueil de mineur et ont procédé dès le 16 avril 2019 à la réorientation des jeunes vers d’autres structures de prise en charge ; RECUEIL N° 20 284 28 février 2020

CONSIDERANT que suite à la rencontre du 25 avril 2019 entre le directeur interrégional de la protection judiciaire de la jeunesse Grand Est et les dirigeants de l’Office d’Hygiène Sociale de Meurthe-et-Moselle (OHS), ces derniers ont exprimé leur accord de principe pour la cession de l’autorisation du CER « Echange » auprès d’un repreneur ; CONSIDERANT que suite à la réunion de concertation qui s’est tenue le 18 juillet 2019 entre la direction interrégionale de la protection judiciaire de la jeunesse Grand Est, la direction territoriale de la protection judiciaire de la jeunesse Meurthe-et-Moselle/Meuse/Vosges et les dirigeants du Comité Mosellan de Sauvegarde de l'Enfance, de l'Adolescence et des Adultes (CMSEA), ces derniers ont exprimé leur accord de principe pour reprendre la gestion du CER Echange, sous réserve que les conditions juridiques, sociales et patrimoniales de cette opération soient sécurisées ; CONSIDERANT que le directeur interrégional de la protection judiciaire de la jeunesse a adressé le 19 juillet 2019 un courrier au président de l’Office d’Hygiène Sociale de Meurthe-et-Moselle (OHS) l’informant de sa décision de suspendre toute admission de mineur au CER Echange jusqu’à ce que l’opération de cession d’autorisation soit actée par voie d’arrêté préfectoral ; CONSIDERANT que suite à la réunion de concertation qui s’est tenue le 29 août 2019 entre la direction interrégionale de la protection judiciaire de la jeunesse Grand Est, la direction territoriale de la protection judiciaire de la jeunesse Meurthe-et-Moselle/Meuse/Vosges, les dirigeants et conseils de l’Office d’Hygiène Sociale de Meurthe-et-Moselle (OHS) et du Comité Mosellan de Sauvegarde de l'Enfance, de l'Adolescence et des Adultes (CMSEA), les modalités pratiques de l’opération d’apport partiel d’actif et de cession d’autorisation ont été convenues entre les parties prenantes ; CONSIDERANT que le Comité Mosellan de Sauvegarde de l'Enfance, de l'Adolescence et des Adultes (CMSEA) remplit les conditions pour gérer le CER « Echange » dans le respect de l'autorisation préexistante, le cas échéant au regard des conditions dans lesquelles il gère déjà, conformément aux dispositions du code de l’action sociale et des familles, d'autres établissements et services ; SUR proposition du directeur interrégional de la protection judiciaire de la jeunesse Grand Est et du directeur territorial de la protection judiciaire de la jeunesse Meurthe-et-Moselle/Meuse/Vosges ; A R R E T E Article 1 : L’Office d’Hygiène Sociale de Meurthe-et-Moselle (OHS), dont le siège social est situé 1, rue du Vivarais - 54519 VANDOEUVRE- LES-NANCY, est autorisé à céder au profit du Comité Mosellan de Sauvegarde de l'Enfance, de l'Adolescence et des Adultes (CMSEA), dont le siège social est situé 47, rue Dupont des Loges - 57006 METZ, l’autorisation qui lui a été délivrée par arrêté du 20 mars 2014 pour gérer un Centre Educatif Renforcé dénommé « CER Echange », situé 22 rue de Lorraine - 54150 d’une capacité de 8 garçons ou filles âgés de 14 à 18 ans accueillis au titre de l'ordonnance n° 45-174 du 2 février 1945 modifiée relative à l'enfance délinquante. La nouvelle dénomination du « CER Echange » est désormais « CER du Val de Briey ». Article 2 : Le CMSEA se trouve subrogé à l’OHS de Meurthe-et-Moselle dans tous les droits et obligations résultant du présent arrêté. Article 3 : Suite à cette opération de cession d’autorisation, il revient au Comité Mosellan de Sauvegarde de l'Enfance, de l'Adolescence et des Adultes (CMSEA) de présenter une demande d’habilitation du CER du Val de Briey dans les conditions prévues par le décret n° 88-949 du 6 octobre 1988. Article 4 : Le représentant de la personne morale gestionnaire devra informer le préfet de département, le directeur interrégional de la protection judiciaire de la jeunesse Grand Est et le directeur territorial de la protection judiciaire de la jeunesse Meurthe-et- Moselle/Meuse/Vosges : - conformément à l’article L. 313-1 du code d’action sociale et des familles, de tout changement important dans l’activité, l’installation, l’organisation, la direction ou le fonctionnement de l’établissement ou service par rapport aux caractéristiques prises en considération au niveau de l’autorisation ; - conformément aux articles 776, D. 571-4 et suivants du code de procédure pénale, de tout recrutement de personnel affecté dans l’établissement ou service, y compris à titre bénévole et/ou conventionnel, ainsi que de toute modification dans la composition des organes de direction de la personne morale gestionnaire de l’établissement ou service ; - conformément à l’article L. 331-8-1 du code de l’action sociale et des familles, de tout dysfonctionnement grave dans la gestion ou l’organisation de l’établissement ou service, susceptible d'affecter la prise en charge des usagers, leur accompagnement ou le respect de leurs droits et de tout évènement ayant pour effet de menacer ou de compromettre la santé, la sécurité ou le bien-être physique ou moral des personnes prises en charge ou accompagnées. Article 5 : Le CER du Val de Briey est répertorié au fichier national des établissements sanitaires et sociaux (FINESS). Article 6 : Une ampliation du présent arrêté sera notifiée aux représentants légaux de l’établissement ou service concerné. Article 7 : En application des dispositions des articles R. 312-1 et R. 421-1 du code de justice administrative, le présent arrêté peut, dans un délai de deux mois à compter de sa publication, faire l’objet : - d’un recours administratif gracieux devant le préfet du département, autorité signataire de cette décision ou d’un recours administratif hiérarchique devant le ministre de l’Intérieur ; - d’un recours contentieux auprès du tribunal administratif territorialement compétent. Le silence gardé plus de deux mois sur le recours gracieux ou administratif vaut décision implicite de rejet qui peut être contestée devant le tribunal administratif territorialement compétent ou sur www.telerecours.fr dans un délai de deux mois. Article 8 : La secrétaire générale de la préfecture de Meurthe-et-Moselle, le directeur interrégional de la protection judiciaire de la jeunesse Grand Est et le directeur territorial de la protection judiciaire de la jeunesse Meurthe-et-Moselle/Meuse/Vosges sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs.

Fait à Nancy, le 19 février 2020 Le préfet pour le préfet, la secrétaire générale Marie-Blanche BERNARD 