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DORIS DURANT! TOUS LES SAMEDIS la vedette féminine de "LA FILLE DU CORSAIRE ", qui passera en exclusi- 7 MARS 1942 — N' 6ô vité au Balzac, à partir du II mors. 2 2, RUE PAUQUET - -16» PHOTO " FRANCfNEX " PHOTOS CM. BENOIT E gros public s'imagine volontiers que les acteurs s'identifient dans Le machiniste commande aux moteurs et aux appareils de toutes sortes. la vie à leurs personnages, et il n'est pas loin de penser que les inter- prètes de Marguerite Gautier et d'Armand Du val doivent s'aimer d'un amour passionné. A travers quatre films : Barcarolle, Stradivarius, La Dame de Malacca et bientôt La Duchesse de Langeais, et une pièce, La LA MACHINERIE DU THEATRE PIGALLE n'existe pas. Dame aux Camélias, les spectateurs ont créé autour de ce couple si bien + Si Johann Strauss songeait à îaire repré- dis, travers les coulisses. Elles impriment assorti une belle histoire d'amour, qui est surtout idéale parce qu'elle senter dans toutes les villes une de ses plus au sujet un mouvement extraordinaire, avec magnifiques opérettes, sans doute ne pouvait- leurs quatre scènes mobiles qui se dépla- il penser qu'un jour — bien des années après cent comme de gigantesques plateaux d'as- Le film Mam\elle Bonaparte a un peu dérouté les amateurs de sa création à Vienne — La Chauve-Souris censeurs, disparaissent dans les « dessous » roman : Comment ! Pierre Richard-Willm n'est plus le partenaire connaîtrait à Paris, non seulement un i suc- ou s'élèvent vers les « cintres », tournant et d'Edwige Feuillère !... Ils se sont donc brouillés ?... Le « Couple Idéal » cès immense, mais encore une mise en scène retournant. Elles contribuent à former ce que a-t-il brisé sa statue symbolique ?.;. A qui avoir confiance dans la vie si unique. En effet, le « Roi de la Valse » ne l'on appelle « un climat », une ambiance mo- deux partenaires, sur lesquels les journalistes pouvaient compter pour derne et neuve, agréable et somptueuse, digne pouvait certes imaginer, pour l'avenir, !e épuiser tout leur répertoire de banalités et de lieux communs, vous jouent concours de l'électricité et de l'hydraulique. en tous points du chef-d'œuvre de Johann désormais de ces tours ?... Après une enquête sérieuse, nous sommes en Les machinerie.*-" du Théâtre Pigalle ont donc Strauss. mis en relief tout ce que l'on devinait ja- C. J. mesure de vous affirmer que la réalité est moins tragique que nous le craignions : deux étoiles de première grandeur coûtent cher à un produc- teur de films; à l'époque des restrictions, il est plus sage de baser sa publi- cité sur une seule vedette, quand elle s'appelle Edwige Feuillère. Ce n'est pas parce qu'on forme « un couple idéal » qu'on doit forcément partager son cachet avec son partenaire... Pierre Richard-Willm ayant demandé trop cher pour tourner dans Mam\elle Bonaparte, le producteur n'a pas riveauhésit.é à briser l'effigie symbolique, que a prudem- E ment recollée, pour réaliser d'après Honoré de Balzac ce merveilleux EU ° BEAUCOUP « couple personnifié par la duchesse de Langeais et le marquis de Mont- P Après cette légère fêlure du « couple idéal», qui a permis à Raymond Rouleau de pénétrer dans l'intimité de Mam\elle Bonaparte, j'ai voulu voir de près ces deux incomparables artistes, dont l'un semble le reflet de l'autre, tout au moins au cinéma... J'ai déjeuné au Berry, non loin du r eVO 1 square d'Anvers, avec le célèbre duo... Je puis d'abord vous affirmer que P»° *" In» ° w rC° 9l *r* cou*» * En P°**„ pe« rd la belle interprète de Marguerite Gautier ne vit pas de nectar et d'ambroi- à sie... Son appétit me semble aussi naturel que celui d'une simple mortelle. yOOS dAe romantiquela ville, Edwig, d'éthére Feuillèré et ed'évanescent est une jeun. e femme ravissante qui n'a rien

— Croyez-vous, me dit-elle,, que Pierre Richard-Willm est un amou- reux si passionné, que pour cette reprise de trente jours au Théâtre Héber- CORTIJO PALAC\QS sa tendresse. tot dJ'étaie Las Da?ninquiete au, xj'attendai Caméliass, lj'aa isuit dûe ..commande. r d'autres robes ?... , MAITRE DE BALLETS DE ji^TERA PRINTEMPS ! PRINTEMPS !.. 1 Professeurdedansesespagnoles. Leçons partie. Cours d'ensemble. Castagnettes. cérité son rôle d'amoureux qu'il a gâché toutes mes robes en serrant son visage plein de fond de teint sur renouveau de la nature... p mes corsages de satin blanc... De mes plus belle— Cse toilettesmonstre, ,Arman continud Duvaa Edwigl a faie tFeuillère des chiffon, jous epou aver cm une etémoigne telle sinr- Kcuouyelez votre beauté, renouvelez w 69, r. de Douai, Paris-9' - Tél. Tri. 47-98 votre visage grâce à PIERRE, le K Pudiquement, comme un collégien pris en faute, Pierre Richard-Willm baisse la tête, et sourit : Maître de la Permanente. Ses nou- m choses au point : vclles coiffures et ses nouvelles g INSTITUT GIRARD(N-MARCMAL de Marguerit— C'este entendu Gautier,, cjee soirvou,s jelaissera vous iprendra tombeir dansur sl eme tapis bras pous... r àn uen pa mètrs salie rd evotr distancee déshabill; et aué.. momen. t de la mort nuances ont séduit toutes vos amies. I Vous aussi, Madame, serez séduite, I ECOIE SUPERIEURE DE MUSIQUE Ne manquez pas de le consulter, f OURS pour élèves amateurs et I Jacques Hébertot rit aux anges : il semble arbitrer le match du « couple idéal »... C'est lui qui remet les C pour professionnels. Piano, 1 .'!, Faubourg Saint-IIonoré. ANJ. H-12. ' solfège violon, harmonie, péda- gogie,chant.t Court par corres- pondance. Ctasse d'orchestre roftt— éO npou ner peuse t tairpase mourirexécute, commr par e MmEdwige Rasime Feuillèrei de , nouvellecent quatre-vingts toilettess foismagnifique, sans abîmes... r sa robe... Elle en iimme. 10 h. Chorale mercredi 20 h. 30, I samedi 14 h. 30, sous la direction f1 ïAlice SMlVRttl S. Succursales en avec JuliettJe déplore Fabere qu. e cette reprise de La Dame aux Camélias soit si brève : Edwige Feuillère qui, dans la journée, Umim-UatM province. Diplôme de lin d'études. fait encore quelques « raccords » de La Duchesse de Langeais, veut se reposer si les producteurs de cinéma ne -S. iw #.e récrier, #•«»•<»-*" - Odé. 86-25 viennent pas troubler sa retraite... Et Pierre Richard-Willm, qui était rentré la veille de Bussang, a ramené des Vosges les décors et costumes de L'Anneau de Sakountala, qu'il jouera le mois prochain sur la scène du Gymnase, le désir de les revoir sur la scène, à l'écran... ou dans Simone ROBERT, après un triomphai I et, quand ils en ont le loisir, ils vont souvent suais à BORDEAUX, va prochainement hirfl Un couple, pour être idéal, ne doit pas s'imposer au public. Nous n'en ressentirons que plus vivement « Pierre se contente d'écrire des. lettres sa rentrée à PARIS. C'est une élève des f ironiquement... » Ainsi, le couple idéal STUDIOS NOËL purcoquetteriee et franch, aucune amitie é jalousie, aucun H qui recherchent danseuses débutantes pour au théâtre ensemble, H Formation de Mitls, et jeunes chanteuses l la vie, car ce sont les meilleurs amis du monde, o »* s hy S'adresser aux Studios NOËL d'amour à ma mère, dit Edwige Feuillère I, Fbg-St-Murtin - M" Slrasbourg-St-Denis - Tél.Bots.81-18 c'est celui qui n'est troublé par aucune W * * D'ESSAI soupçon, aucune trahison, c'est celui de la JOSETTE QUI] vient de se faire applaudir f Jean LAURENT. dans de nombreux galas de ' bienfaisance.,Elle suit les cours de claquettes et de Music-Hall (classe HOWARD VERNONI au I CONSERVATOIRE du JAZZ! Direct.artistiquee: Charles Henry » Gau,',«»- 89 4t etraiu s^foiVW o- * , 94, rue Lafayetre, Pans :X ] - PRO. 18-01

ue 5 , avenue »■. .ieuUftfl - " colore V ÉCOLE DU CINÉMA I 34 ET DU SPECTACLE DE PARIS f Directrice: EVELYNE BEAUNE S, Villa Montcalm — Paris-18' Cours de Chant, Cinéma, Ihèâtre et Danses

POUR LA TOILETTE DE \/ OT RE CHIEH, UNE SEULE ADRESSE : MARIA OUEMANI, ia jeune et talentueuse ttt-i\ tpectacle plu» "K ERliA'i UM'. — C'est par erreur que nous |, "TOU T POUR LE CHIEN" ■TOILETTAGE6 rueTOU de SMoscoS pa ACCESSOIREr SPÉCIALITÉu - EurS. RÉPUTES41-7 9S réaliste de la « Vie Parisienne » en l'honneur de avons publié cette photo comme étant celle de charmant que celui de oui, aujourd'hui 7 mars, à '17 heures, YOLANDE Georges Mauloy. Elle représente Pierre Magnier, cet deux ariisiet, qui et EDGAR ROLAND-MICHEL donneront un cock- sont à la vUiectet gens tail en leur « Vol de Nuit », 8, rue du Colonel- que nous verrons dans Femmes de bonne volonté, Renard, avec la participation de Suzy Solidor, avec Madeleine Sologne, Pierre Renoir, Gabriel- comme vous et moi, Moussia, Christiane Néré et Marcel Dieudonné. le Dorziat, Jean Marchât et Georges Mauloy. maU qui, au théâtre, sont les hérot d'un foH roman d'amour. AU PALAIS

Pierrette Vives JACQUELINE dans un des pas- sages de « La PIERRETTE VIVES Mort du Cygne » JENNY LIND Saint-Saens.

E Palais de Glace offre l'incontestable L avantage aux amateurs de sports d'hi- é d ni ne pratiquent pas niais qui regar-. e r o s signol suédois tient, de se permettre d'être frileux. Il est chauffé.* Mais ce paradoxe apparent laisse froids les patineurs, et plus encore les jambes nues des patineuses dont les cham- E nouveau film d'Usé Werner est un film son service. C'est ainsi qu'elle est admise au pionnes ont adopté une fois pour toutes, L musical de grande classe, sans cesser ce- concours de chant tiu Conservatoire, qu'elle y avec cette logique à rebours propre aux pendant d'offrir à la jeune et déjà célèbre récolte un prix et qu'elle parvient à débuter femmes comme aux jeux des, poètes, cette vedette de l'écran un fort joli rôle senti- pour de bon sur les planches. enue d'été. Du coup, le vieux Palais de mental. C'est, en effet, le début de la carrière Mais si Rantzau aime Jenny, Andersen Glace, avec ses fringants professeurs et glorieuse et brillante de la célèbre cantatrice l'aime aussi, ardemment. ses couples dansants, se sent des jarrets de suédoise que le film fait vivre devant nos Et. averti par son ami le sculpteur Thor- vingt ans. yeux. v.aldsen et par l'imprésario Upân. il se tour- Réchauffée encore par cette jeunesse Au château d'EJtettôen où la jeune Ebba meute parce qu'il croit que Jenny lui pré- virevoltante, repeinte à neuf, éblouissante Douglas réunit souvent une société brillante, on fère le puissant ministre. présente ce soir un spectacle d'amateurs. La sous les lumières, bercée par l'orchestre de Or. il n'en est rien. Jenny n'est pas plus musiciens tout blancs de Jouve et de ses Princesse et le Pâtre, conte féerique de Hans Christian Andersen, est joué par une troupe à Rantzau. qui lui a vainement demandé sa Jouvenceaux, la patinoire du rond-point des main, qu'à Andersen, qui s'est efforcé de improvisée, en tête de laquelle se dépense et Champs-Elysées apparaît bien avoir reçu l'exalter en lut distribuant des rôles poéti- sur sa coupole ce coup de baguette magique brille Jenny Lind. fille de l'instituteur. Frap- ques. dont les bonnes fées gratinent la tête de pé par tant de dons scéniques et de grâce. leurs amis chenus. Oui, le Palais de Glace, Andersen s'offre à la guider dans Copenha- Elle appartient à son art. corps et âme. Voilà tout. depuis quelques mois, vient de renaître. gue et à lui faire obtenir un vrai engage- Mais si ses après-midi et' ses soirées en ment. Jenny le prend au mot et le rejoint Thorwaldsen déclare à Andersen, réfugié ont fait le rendez-vous de l'élégant Paris, dans la capitale danoise, malgré les protesta- à Rome : c'est que son cadre tout rond, sa piste pour YVONNE GALLI tions de sa famille qui s'apprêtait à la faire « Il n'y a jamais rien eu entre Jenny et mieux dire, sert aussi plusieurs fois par convoler en justes noces. Rantzau. Les bruits que l'on fait courir sur jour à de rares attractions. II en est une. A Copenhague. Jenny n'a d'abord pas de une artiste en vogue sont atroces... Atroces en ce moment du moins, de tout premier chance. Andersen la présente vainement au parce qu'ils sont toujours faux... » directeur du Théâtre de la Cour... qui est ordre. Ce sont les danses sur glace de Une femme 1res oeeupée Alors. Andersen se reprend à espérer. Et Mlles Jacqueline et Pierrette Vivès. Il y a, trop occupé et qui n'a pas le temps de s'in- téresser à elle. Mais, finalement, elle ren- il tente de retrouver Jenny. il s'acharne à la à notre avis, pour des champions, deux chercher dans toutes les grandes villes euro- façons de séduire un public avec cette cho- contre le comte Rantzau. ministre d'Etat, qui s'éprend d'elle et met ses vastes relations à péennes où la conduisent ses succès. Entre- régraphie difficile qu'est le patinage : la prise vaine... Toujours il arrive trop tard... virtuosité et le charme. J'ai idée qu'on se Quand il débarque dans une ville, Jenny \L n '.t> a pas une Yvonne Galli. Il y lasse très vite de la virtuosité. Les toupies, — Le plus facilement du monde. Je n'ai vient précisément de la quitter... Enfin, après plusieurs. les sauts et autres acrobaties me font pen- eu qu'à me souvenir de ce que m'avait ap- une poursuite épuisante, il la retrouve à Co- ser à ces coups d'archets et à cette gym- Toutes ces Yvonne Galli ont la même pris Jacques Copeau, à qui je dois beau- penhague où elle donne un grand concert nastique digitale des violonistes virtuoses grâce charmante, ia même voix nette et coup. C'est lui qui m'a appris à aimer le avant son départ pour l'Amérique. Il peut lui qui n'ont jamais servi la grande musique. timbrée, les mêmes yeux bruns et tendres. théâtre et à le servir. parler. lui dire son amour- Le charme, lui. a servi toujours tous les iWempêche que l'activité de l'une d'entre arts, y compris surtout le patinage. Les — Aves-vous d'autres projets? Mais il est trop tard. Jenny doit poursui- sœurs Vivès sont tout le charme. Ces deux elles suffirait à remplir une existence. Et — Oui, je prépare un tour de chant pour vre sa carrière, et l'imprésario fait compren- patineuses de grande classe innovent dans lorsque l'on voit comment une seule et l'hiver prochain. dre à Andersen qu'il ne peut pas l'accompa- leur duo, du fait déjà que ce duo est fémi- même jeune femme peut se multiplier ainsi, Encore une nouvelle Yvonne Galli... gner en Amérique. Plein de douleur, le poè- nin, mais elles rajeunissent Gounod, elles on s'imagine tout de suite qu'elle doit avoir te s'incline. Mais cette ultime rencontre avec Et lorsque la speakerine, la journaliste, la femme aimée lui inspirera l'admirable rajeunissent Delibes. Leur « danse des un secret magique. A moins qu'elle n'ait l'artiste ont terminé leurs tâches, il y a la torches ». sur des motifs de Faust, leurs conte du rossignol « qu'on entend chanter simplement un cran prodigieux et un dyna- petite maman Yvonne qui reprend sa place. quand on se penche sur son cœur ». variations sur le ballet de Coppelia donnent misme de tous les diables. un sens vraiment nouveau à des œuvres Il y a les leçons à faire réciter au grand Le film, dans une atmosphère musicale ex- trop entendues. La Mort du Cygne, de Si vous le voulez bien, nous allons rendre garçon qui pioche déjà le latin et l'allemand ceptionnelle, retrace la destinée de Jenny Saint-Saëns. que Pierrette Vivès danse visite à chacune de ces Yvonne Galli. En- et dont il faut surveiller les carnets de Lind, tout entière consacrée à l'art. Les épi- seule, est. si l'on peut dire, d'une glaciale commençant par celle que le public connaît notes. sode.; de sensibilité sont traités avec une dis- mais attendrissante blancheur. le mieux : celle de la Radio. Il y a aussi Yannick, une petite potlpéi crétion, une distinction d'allure parfaites, Quand, dans leurs pittoresques costumes Vous vous souvenez, quand elle parlait de deux ans' qui a une passion : le ti lise Werner a réussi, dans ce film, une que Mine Rasimi fit pour elles, Jacqueline aux petits chanteurs amateurs, comme elle création très différente de ses rôles précé- phone. Tous les matins, elle donne dents et qui donne la mesure de l'étendue et Pierrette Vivès apparaissent sous le fais- savait les interroger gentiment et leur ins- ceau bianc des projecteurs, on peut être coup de fil s

L'hebdomadaire du théâtre, de la vie pari- ie VOTRE TOUR VIENDRA AUSSI. — Continuez, blement, vous prenez votre métro et pendant le sienne et du cinéma * Paraît la Samedi Mademoiselle, vous me semblez très douée; il trajet vous fermez les yeux et votre imagination galope; vous vous dites par exemple; «Il y aura 136 émane de votre petite chanson une poésie tout do«tVe» t <^V« ^ nne * ùo* ? t«es . Directeur : ROBERT RÉGAMEY à fait rare : je l'entends chanter très bien par une un article sur Micheline Presle, puis sur Fernand o0 Rédacteur en Chef: A.-M. JULIEN Lys Gauty. Oui, oui, oui, continuez... votre tour Gravey, etc.. etc.. Vous vous faites des paris 22, RUE PAUQUET PARIS-XVh viendra aussi... avec vous-même et arrivée chez vous, vous regar- 8 a ie ÉPRIS DE CINÉMA. — L'adresse que vous me dez si vous avez gagné. Voilà. Envoyez-moi vos 5^, co^ *^. u *Jtont Téléphone : Direction - Administration • chansons. Je serai franc... Bien que je déteste Je» Passy 28-98; Rédaction : Passy 18-97' donnez de Danielle Darzïeux est mauvaise. Heu- reusement que je connais la bonne ; mais je ne les récidivistes... &&&& s Publicité : Kléber 93-17 riO« et Chèques postaux : Paris 1790-33 vous la donnerai pas 1 « Caprices » est terminé iç LA GRANDE ILLUSION. — Votre lettre est très a» depuis longtemps. Ce film a été tourné à Billan- bien. En ce qui vous intéresse, vous devriez écrire PRIX DE L'ABONNEMENT: court. Les projets de Danielle ? Se marier ! Quant à Bertrand Fabre. Pour aimer les grands comé- à l'âge de Charles Trénet, je pense que le Fou diens que vous me citez, vous avez sûrement un O* les en«1 t^ ret «? Un an (52 numéros) 180 fr Chantant a plus de 25 ans, mais c'est un avis tout e goût délicat, d'ailleurs votre écriture le prouve 6 mois (26 — ) 9S fr. personnel, croyez-le bien. l (et je m'y connais), vous êtes artiste. Si vous avez G« je UNE RÉCIDIVISTE. — Notre journal est plus envie de faire du cinéma et du théâtre, lorsque e o»* La présentation de "Vedettes » est te aS » Vvl t e grand évidemment, mais tellement plus agréable : vous viendrez à Paris, allez trouver René Simon, 3- «aV ? tf^xte. à. "; uv V at Vie* £>o- réalisée par J. ROBICHON et G. JALOU ;„«s a tèe V de 36, boul. des Invalides, si vous êtes douée, il vous Ye alors, ne nous en voulez pas... Et puis qui vous ,deV" force à le lirè dans le métro ? Ayez plutôt de la encouragera, sinon, vous vous marierez... avec aïCe (n>e| te ^.t« ^e V patience : vous l'achetez, vous le pliez convena- moi, voulez-vous ? Ç ^ ^ S,? FÉMININE AVANT TOUT. — Raymond Rouleau 6s l L eo f *&* ° est un bon comédien, je vous comprends, vous f êtes certainement allée l'applaudir au Théâtre ^e«ca^' f, t«» Hébertot, dans « Mon Royaume est sur la Terre » où il était excellent. Il est en effet rigoureusement exact que Raymond Rouleau ne donne plus de cours d'art dramatique. ■YVONNE LUC, chanteuse ic VICTOR SERAFTNI. — Votre lettre à été trans- de charme de grande QUES mise à Louise Carletti. Sa nationalité? Marseillaise clasïe, passe actuelle-\ et non pas italienne. Son âge ? Sachez, Monsieur, ment chaque soir au que l'on ne demande jamais l'âge d'une jeune fille. Night-Club. Nous l'en- tendrons bientôt à la AUJOURD'HUI ic BRUYÈRE ET AJONCS BRETONS. — Ah ! bruyère radio et ou music-hall. et ajoncs bretons, vous avez un si ravissant pseu- Cerrc artiste, qui chante donyme si plein de poésie que je ne peux m'em- merveilleusement « Pre- \ t^few g£ de «^ >- pêcher de vous répondre. Oui, Danielle Darrieux mier Rendez-vous », nous n habite Neuilly; écrivez-lui par notre mtermédiaire. modestie jusqu'à s'oublier lui-même au prof il Sans doute vous répondra-t-elle. Votre nom est L ANCE GARDIEN promet une belle carrière. ans les de ses contemporains. Or, ce serviteur de la mu- si charmant. Vous désirez connaître des titres de sique a écrit an grand nombre d'œuvres oii se films dans lesquels elle a joué, en voici : « Mayer- reflète son tempérament de lettré délicat et sen- ling », « Un mauvais Garçon », « Battements de sible. Le Quintette, /'Oraison, la Sonate en si Cœur», «Premier rendez-vous », «Caprices» is prises de vues d'un film ne .'■■e fectue selon l'ordre prévu. Il bavarde pen- pour alto et piano sont empreints de cette dis- tout récemment. déroulent pas toujours dans l'enten- dant la pose ou entre deux scènes avec les tinction raffinée qui caractérise la pensée de leur + MADELEINE ET FRANÇOISE. — Pierre Blan- te la plus parfaite et le calme le plus acteurs: le ton de la conversation est ami- auteur et témoigne d'un esprit cultivé, d'un sens D char a tourné en zone non occupée avec Michèle (iljMilu. Souvent le metteur en scène s'éner- cal. Lucien Baroux est heureux de tourner CABARETS artistique où l'intelligence s'allie à la sensibilité Alfa « La Neige sur les pas », d'après le célèbre la plus fine. Robert Bernard est certainement roman d'Henri Bordeaux. Bientôt, il sera de retour ve à voix haute et les acteurs s'impatien- un rôle de vieux colonial, il y apporte sa l'un des compositeurs les mieux doués et les plus à Paris pour tourner un nouveau film. tent visiblement. Ici. à Courbevoie, sur le bonhomie admirable, son naturel et s. s attachants de notre époque. Il n'est que justice ic REGLNELLA QUI AIME « VEDETTES ». — Je plateau où lés films Minerva tournent L'An- dons de grand comédien ; Roger Duchesne, de faire mieux connaître son œuvre, et de passer suis terriblement flatté que vous « en pinciez ge gardien, tout sein! net. clair et pré? pour le blaguer, l'appelle « papa », car. amicalement outre à son excessive modestie. pour moi»! Mais, chut... C'est notre secret. Bien I is : chacun travaille unsr.iencieusement, dans le film, le charmant artiste est en JEAN RICAUX VOUS ATTEND AU « VERNET ». — Voici Le deuxième Concert de Musique contemporaine donc que Jean Rigaux a quitté « Le Triolet » pour s'installer sûr, Reginella, Tino a deux jolis yeux à lui, et en l'ambiance est sympathique et rare. Le met- eltet le fils de Lucien Baroux. Catherine française et allemande, organisé sous les aus- plus de cela, il a une jolie voix : c'est magnifique. dans le cabaret qui fut « Les Trois Valses ». Pourquoi le pices du groupe Collaboration et de l'Institut teur en scène, Jacques de Casembroot — à h'ontenay. de la Comédie-Française\ prête Maintenant, comprenez-moi, je n'ose vraiment ses traits à Noémie Lapierre ; Irène Cor- « Vernet » ? Tout simplement parce qu'il est rue Vcrnet. A Allemand, comprenait des œuvres de Jean Hu- pas lui demander pourquoi il a été réformé au qui l'on doit Le Perroquet vert et Les Ta- deux pas de l'avenue Ccorgc-V, dans un cadre où la pâtisserie et beaa, Tony Aubin, Jean Français et Victor Ser- bout de trois mois. En revanche, soyez certaine citurnes ainsi que différents sketches, et day, qui fut sainte Thérèse de Lisieux à venti. Elles marquent toutes un désir d'évasion que dès que je le verrai, je lui conseillerai de plus récemment Le Cachet rouge et La l'écran, est maintenant Marie, une servante le plâtre ont disparu pour faire place à une décoration nette et \. musique t:um emparai ne a été, ces temps hors des brames de l'impressionnisme agonisant, chanter pour vous « Reginella », « Le Soleil a tou- Dernière Nuit — a pleinement conscience au grand cœur. franche, le bon rire de Jean Rigaux, son esprit, sa joie de vivre .derniers, particulièrement à l'honneur. Il une recherche d'accents neufs, directs, d'une ex- convient de mettre au premier rang Vhom- jours raison » et la « Piccinina ». Ecrivez-moi sou- de son rôle de réalisateur. Ne dit-on pas vous attendent. Et Carmen Boni, la maîtresse de céans, est tou- pression franche, saine et exaltante. Si Français vent, puisque vous « en pincez » pour moi et que U y a aussi, parmi les interprètes du mage que vient de rendre à Florent Schmitt le tpie Jacques de Casembroot est un des meil- jours affable et souriante pour vous recevoir. Un coin bien fran- semble désormais prisonnier de formules dont vous êtes infirme, je me ferai un plaisir de corres- groupement de l'A.M.C. Florent Schmitt est cer- film, Jacques Varennes, Pierre Labry, nous étions en droit d'attendre autre chose, si pondre avec vous. Courage et bonne chance, leurs espoirs du jeune cinéma français ? çais, un programme sympathique où Betty Spell fait merveille. tainement l'un des maîtres les plus éminents de ta Maxime l'abert, Jean Fay, Léon Walther, Jean Rigaux reste au « Vernet » ce qu'il fut toujours, un grand V. Serventi ne se dégage pas toujours d'une cer- malgré tout. II suit fidèlement le découpage, respecte Musique Française; le Psaume XLVII, Oriane et taine grisaille, Tony Aubin et Jean Ilubeuu, par Georges Sellier et Paul Démange. Mais il "et' ic ADMIRATEUR DE DANIELLE. — Absolument les moindres détails du scénario, dirige animateur, un fantaisiste unique, un Parisien sympathique. le Prince d'Amour, la Tragédie de Salomé, Sa- contre, affirment une personnalité qui n'est sans y a surtout Elen Dosia, de l'Opéra, qui fait impossible de savoir l'adresse de Danielle Dar- avec habileté ses interprètes, éclaire et em- CHEZ « CARRERE ». — Dîner cher. « Carrère », c'est dîner lammbô, Antoine et Ciéopàtre avaient conquis, doute pas étrangère aux disciplines qu'ils ont ses débuts à l'écran et qui chantera Le Ro- bien avant la guerre, droit de cité sur les pro- rieux. C'est à Neuilly, mais où ? Dieu seul le sait... ploie avantageusement les angles intéres- i à à reçues de leur maître commun. saire sur une musique de Goublier. Quant entre amis. Ions les rais Parisiens s'y retrouvent. On serre des mains droite, on sourit gauche. Tout le monde grammes de nos associations symphoniques et et tel que je le connais il ne me le dira pas. Son Le troisième Concert, consacré aux musiciens sants et explique à chacun ce qu'il doit fai- connaît, car « Carrère ». c'est de ces centres parisiens faits de tout et de rien, de bonne humeur, de bonne cuisine, de sur l'affiche de l'Opéra. Si l'on a souvent loue, âge ? Dieu le sait aussi, mais ne m'en dira pas à la vedette, elle est toute jeune. Mais en allemands, nous a révélé le Concert à deux pia- re sans jamais montrer la moindre impa- due, de gentillesse. Un orchestre de jeunes, de bonnes attractions avec Sanas, l'homme qui sait tout, l'homme qui a appris à juste titre, le caractère dyonisiaque de telles davantage... D'autant plus que l'âge de Danielle dépit de son âge très tendre, ce n'est déjà nos de Caesar Bresgen, le Calendrier de Robert tience sur son visage. Peut-être de Casem- œuvres, on a parfois laissé dans l'ombre tout est très variable. Cela dépend beaucoup de celui plus une débutante. Nous l'avons vue pour par cœur l'annuaire du téléphone. Avec Maurice Teynac, qui a su faire de l'imitation un art véritable et qui, grâce à un Ernst et le Quatuor à cordes n° 2 de Kurt Hés- un aspect du génie de Florent Schmitt: celui que de la personne avec laquelle elle se trouve, elle broot est-il aussi le metteur en scène idéal. accessoire, un bout de perruque, un faux nez, campe en quelques attitudes, en quelques mots les silhouettes extraordinairc- senberg. De ces trois musiciens, inconnus en la première fois au cinéma dans le film révèle sa musique de chambre. Et c'est là peut- s'adapte si bien, Danielle. Elle vient de tourner Les acteurs l'écoutent et déjà l'affectionnent ; inenl ressemblantes de Saturnin Fabre, de Jean Tissier, de Carette, de Larquey et de tant d'autres. Enfin, avec Marie Bizct, , Hessenberg semble le plus personnel, Le JDÏainant Xoir, qui nous l'a révélée. être qu'on retrouve le mieux cette fraîcheur, t Caprices » et se repose pour le moment. ils essaient de lui donner satisfaction - en- bien que l'élément sensible se pare chez lui d'une Cette jeune et petite et gracieuse vedette trépidante, pleine de gaieté, de jeunesse et de mouvement, Marie Bizet, qui est en passe de devenir la meilleure des fantai- cette poésie, cette ingénuité et cette jeunesse NICK. — Un club de « Vedettes » serait évi- forme austère qui peut dérouter l'auditeur non tière en s'efforçant de suivre le plus exac- sistes du tour de citant. Une soirée chez « Carrère », ce n'est pas « une soirée perdue ». d'esprit qu'aiment en Florent Schmitt tous ceux demment une chose merveilleuse, mais trop dif- n'est autre que Carlettina, la sœur cadette averti. A défaut d'une personnalité très accusée, tement les instructions données par lut qui l'ont approché. Le Trio d'Anches de Paris, i à réaliser pour l'instant. Nous en reparlerons. de Louise Carletti, Hélène. C'est un amour AU « NICHT CLUB ». S'il est vrai, et nous en sommes certains, que l'art de bien présenter un programme est un art Caesar Bresgen témoigne d'une culture musicale avant de tourner. De leur côté, les ouvriers le Quintette instrumental Pierre Jamet, Mines de « bout de chou » qui extériorise à mer- difficile, Slcarjinsbi, nous i approfondie ; il n'est que d'entendre son Concert BEL-AMI. n sommes sûrs, est un grand artiste. Nul mieux que lui ne sait mettre en valeur un programme Lucette Descaves-Truc et Marguerite Myrtal, la clouent, construisent, scient, peignent, meu- pour se convaincre que Bach et les contrapun- veille îles qualités qui la promettent à un et personne mieux que lui ne crée une ambiance heureuse et sympathique. Cette facilité à trouver la rime juste, à com- chorale Elisabeth Brasseur ont servi dignement blent et montent les décors brossés par M. tistes de l'école France Flamande n'ont guère de bel avenir. Cette fois encore, nul doute poser le quatrain qui définit chaque consommateur, Skarjinski est le seul à la posséder. Si Rose Avril est une chanteuse la pensée de l'auteur qui fut longuement acclamé. Mary, ces décors aussi remarquables les secrets pour lui. Le Calendrier de R- Ernst, qu'elle obtienne toute !a sympathie et la fa- Quelques jours auparavant, la Société des charmante, Yvonne Luc, belle à ravir, inscrit son nom parmi la liste de ces jeunes vedettes de la chanson qu'il faut chanté avec beaucoup d'expression par Irène uns que les autres, tantôt pittoresques, tan- Concerts nous conviait à un Festival Ilonegger; ce veur du public. Dans L'Ange Gardien, Hé- suivre, car ce sont elles bientôt qui connaîtront ce qu'on appelle en terme de métier « la tète d'affiche ». |. HARDOUIN. Joachim, n'est pas indigne des grands cycles de tôt magnifiques, que l'opérateur G. Million fut pour nous l'occasion de réentendre La Dansé lène Carletti se montrera adorable, espiègle, lieder par où se sont illustrés un Schubert, un fixera sur la pellicule. Et comme l'ange gar- d£S Morts, qui garde sur le public un incontes- Brahms ou un Hugo Wolff, et son lyrisme dé- émouvante et déjà charmante. table ascendant; Pacific 231 et le Concertino dien, invoqué par l'homme pouillé de tout artifice est sur d'atteindre le pu- pour piano et orchestre, interprété par Mme à la claquette à chaque nou- Jacques de Casembroot vient de réclamer blic. Il n'est pas inutile d'insister à nouveau, sur Vauraitourg avec talent. M. Charles Miinch, dont velle scène, semble protéger le silence. Les voix qui s'interpellent dans l'intérêt de tels échauffes artistiques, qui permet- nous avons déjà vanté le mérite, fut cette fois les couloirs se sont tues, le bruit des mar- tent aux compositeurs européens de se mieux tout ce petit monde, le di- encore égal à lui-même à la tête de sa phalange. connaître et, pariant, de se mieux comprendre. Vous recteur de production. M. teaux a cesse, le rouge est mis, l'ingénieur Les semaines écoulées ont permis aux musi- Enfin, il faut louer pleinement la Société des Mugelli, si affable et actif, du son aux écoutes, l'homme à la claquette ciens de prendre mieux contact avec l'œuvre de QUOI Concerts qui réserve les répétitions générales apparaît toujours très cal- va s'avancer à pas feutrés pour annoncer le Robert Bernard. Ce compositeur, qui préside aux ES Productions MaHenti-Kilm présen- destinées de « l'Information Musicale », de la du Palais de Chuillot aux étudiants et là Maison me, heureux de s'aperce- numéro de la scène. Silence, on tourne du Droit qui organise à l'Amphithéâtre Richelieu teront bientôt La Fille du Corsaire, «Revue Musicale», de l'A.M.C, de l'Association voir que le travail s'ef- L'Ange Gardien. B. F. D des Amis d'Albert Roussel, a toujours poussé la une série de v Conférences Concerts ». un sujet fertile en aventures et en émotions, GUY FERCKAULT. PHOTOS "VEDETTES »-C.M. BENOIT adapté et dialogué par Paul Clément d'un Je neuf ? roman d'Emilio Salgari. isati, Le metteur en scène, Enrico Guazzoni, a l-E roman de Louise de Vilmorin, Le Lit à colonnes, va être porté à l'écran C'est à Charles Spaak qu'a été confié le soin délicat d'en composer l'adap- réalisé ce film avec, comme protagonistes. tation et d'en écrire les dialogues. D'ores et déjà Jean Marais et Odette Fosco Giachetti, Camillo Pilotto, Doris Du- Joyeux sont engagés par M. Roland Tuai, producteur, qui fera avec ce film ses débuts dans la mise en scène, à l'instar de Clou/.ot, Cayette et Becker. ranti et Marielle Lotti, chacun employé dans ^ïrSlr^ un rôle intrépide. CfURiSTtAN-JAQUE travaille en ce moment au itécoupuye de son praelviiu m, Le fils du gouverneur de Maracaïbo, Car- P ec film, Carmen, qu'il réalisera en Italie et en Espagne, avec Viviane Ro- 'erfe R fc * &r et '"" Sto los de la Riva, s'engage parmi les flibustiers mance. Mais Christian-Jaque n'a pas encore trouvé, parmi, les jeunes pre- s a r UDe de Zampa di Ferro, pour racheter un passé miers, le Don José idéal. Avis aux amateurs qui auraient le physique de Tentptoi. Aussitôt après, Christian-Jaque tournera Mademoiselle de Panama. orageux et avec l'intention secrète de faire sauter le « Crachefeu », navire corsaire qui J ..AN Delannoy est à la recherche d'interprètes pour le film qu'il doit terrorise la mer des Caraïbes et met à feu réaliser d'après un roman de Paul Vialar, La Maison sous la mer. Ce met- et à sang les villes de la côte, menaçant sans teur en scène donnera prochainement dans le Midi le premier tour de manivelle de 1,'Assussin a peur la nuit, de Pierre Véry. avec Louise Car- C Se Ct P Ur tt cesse Maracaïbo. Et ■ 'a là n '°n de r° Wï, ' <*tte „ W R^S, letti et François Perrler. Réalisation dans les studios de la Vietorinc, à Nice. TP Afin de mieux réaliser son dessein, Carlos feint d'être épris de Manuella, la fille du L '•: Théâtre Hlûyador est en fièvre... Henri Varna dirige inlassablement les vieux corsaire Vert, mis à mort quelques an- dernières répétitions du chef-d'œuvre de Franz Lehar, La Veuve joyeuse, qui apparaîtra sous les traits de Jeanne Aubert, donnant au rôle de Missin nées auparavant par le gouverneur, très ai- 1 "éces. Palmieri tout son éclat et tout son charme. IAI gracieuse artiste sera en- mée de tous les pirates et qui ne tardent pas tourée par Jacques Jansen, René Lendy, Robert Allard, Hélène lAinoisier. à lui rendre son affection. Une nouvelle im- ! prévue arrive : Isabelle, sceur de Carlos, et Lus prises de vues du filin Lu Loi du Printemps continuent sous la direc- nts. etc. six autres nobles jeunes filles que leurs pa- tion du metteur en scène. Daniel Norman et de l'opérateur Charles Matras. Des scènes très importantes ont été tournées cette semaine avec les prin- entié ou rents avaient envoyées en Espagne pour ortne ch.acur , ans cipaux interprètes: H. Duflos, P. Renoir, A. Field, G. Gil, li. Rollin, a«to . en compléter leur éducation, sont de retour à Pi petite Jeannette et Violette France qui fait sa rentrée à l'écran. n bord du vaisseau t L'Espérance ». * œuvrerons Cette nouvelle décidera de l'avenir et les Lv saison de mélodrame à la Porte-Saint-Martin prendra fin avec La Une S Bouquetière des Innocents. C'est le célèbre succès de fou rire de Georges ^ose °^e Irène Corday, qui fut sainte Thérèse d dernières images du film nous montreront la e s Jacques de Casembroot réalise à Courbevoie un film de Feydéau, Occupe-toi d'Amélie, gui inaugurera lu saison de vaudeville. Pour ^Cep- Charles Vildrac pour la société Minerva. Nous y verrons, Lisieux, donne maintenant la répliqu fille du corsaire périssant au cours d'une ba- la circonstance. M. Robert Ancelin, qui fera sa rentrée au théâtre, vient pour la première fois à l'écran, Elen Dosia, de l'Opéra. à la plus jeune des sœurs Carlett taille sanglante. C. J. d'engager lu grande fantaisiste Parisys pour jouer le râle d'Amélie. PHOTOS EXTRAITES DU FILM 1/ëJeiïëo U N E AVENTURE DE A RADIO- PARIS A LA RADIODIFFUSION NATIONALE

SALVATOR ROSA Dimanche 8 mars 7 h. 30: Inf. - 7 h. 40: Ce que vous devez savoir. - 7 h. 50: Disques. - Dimanche 8 mars 18 h.: Radio-Journal de Paris, 1" bul. d'inf. - 8 h. 15: Un quart d heure 8 h.: Leçon quot. de culture phys. - 8 h. 30: Inf. - 8 h. 40: Disques. - 8 h. 45: Causerie protestante Je culture physique. - S h. 30: Retransmission de la messe depuis N.-D. de Lourdes. - 9 h. 15: Ce par le prof. Arnal. - 9 h.: Tomas et ses Merry Boys. Interm. par la chorale Jean Bioules. Jazz. disque est pour vous ( 1 partie», présentation P. Hiégel. - 10 h.: La Rose des Vents. - 10 h. 15: CHAINE « B » Ce disque est pour vous (?•• partie). - 10 h. 45: «Roland de Lassus, prince des musiciens de la CHAINE « A » Renaissance ». - 11 h. 15: Les musiciens de la grande Epoque: Société des Instr. anc. H .Casadesus. 10 h.: Messe sur le «Strasbourg», à Toulon. - 10 h.: Variétés, de Paris. - 10 h. 30: « Tova- \NS une atmosphère de suggestion et d'é- la duchesse rencontre le chevalier ma.Mjué. Sa 11 h. 45: Dr. Friedrich: un journaliste allemand vous parle. - 12 h.: Déjeuner-concert. L'orchestre 11 h.: Connais ton pays: Muret. - 12 h.: Valses ritch », de J. Deval. - 12 h. 25: La Légion des vocation pittoresque, anx tableaux d'un Combat, vous parle. - 12 h. 30: Inf. - 12 h. 42: D figure forte et romanesque calme les esprits Victor Pascal, avec Pierre Jamet et Lily Donière. - 13 h.: Radio-Journal de Paris, 2e bul. d'inf. - par l'orchestre. - 12 h. 25: La Lég. des Combat, faste décoratif éclatant, remplis de beaux 13 h. 15: Raymond Legrand et son orchestre. - 14 h.: Revue de la presse du Radio-Journal de vous parle. - 12 h. 30: Inf. - 12 h. 42: Les « Ali-Baba », de Ch. Lecoq. - 14 h. 42: Les dis- de cette femme capricieuse qui retrouve sa ques des auditeurs. - 15 h.: Reportage par C. costumes, d'armures étincelantes. de détails bonté innée: la trahison de Lamberto lui est Paris - 14 h. 15: Jacqueline Schweitzer. - 14 h. 30: Pour nos jeunes: La Toison d'Or. - 15 h.: puits de sciences. - 13 h,: Le Roi. - 15 h.: Musique de chambre de Poris - 16 h. 08 : Briquet du match international de football d'une rare beauté, Salvator Rosa, le héros maintenant connue. Salvator Rosa. défenseur Grand Concert public de Rodio-Paris. Le grand orchestre de Radio-Poris, direction Hans Rosbaud. ; France-Suisse, à Marseille. - 17 h.: Orchestre napolitain. apparaît l'épée à la main, pour Solistes: Paul Derenne, ténor; Paul Tortellier, violoncelliste, et Marcel Mule, saxophoniste. Présen- Transmission du sermon de carême à N.-D. de de la duchesse trompée et des paysans op- Paris, par le R.P. Panici. - 17 h. 10: Concert de musique légère de Marseille, par l'orch. ra-- braver les méchants et protéger les faibles, à pressés, gagne la cause par un duel avec Lam- tation Pierre Hiégel. - 16 h.: Radio-Journal de Paris, 3" bul. d'inf. - 16 h. 15: Suite du grand diosymphoniq. - 18 h.: Les disq. des auditeurs. concert public. - 17 h. 05: Conférence de carême depuis Notre-Dame de Paris. - 18 h. 10: Musique symphonique par l'orchestre national. travers les scènes vigoureuses d'une vie mou- berto, forcé «le s'éloigner. Et la belle Lucrèce 18 h. 30: Pour nos prison. - 18 h. 35: Sports. - 18 h. 40: Variétés de Paris. - 19 h.: Actual. - vementée... douce. - 18 h. 30: Soirée théâtrale: « Sainte-Marie du Bout du Monde», pièce radiophonique de part pour Rome avec Formica, sous le mas- Jacques Cossin. - 19 h. 30: Radio-Paris présente son magazine sonore: La Vie Parisienne. Variétés ! 19 h. 15: Disques: un quart d'heure d'orgue de cinéma. - 19 h. 30: Inf. - 19 h. 45: Théâtre: Après la révolution et la mort de Masaniello «Nos vingt ans», d'Edmond Cuiraud, avec Mmes Françoise Rosay et Line Noro. - 21 h.: Inf. - que duquel se révèle Salvator Rosa... Distractions ! Sports ! Réalisation: Jacques Dutal. - 20 h.: Radio-Journal de Paris, 4e bul. d'inf. - — à Xaples, en 1647 — un chevalier mas- 21 h. 20: « Nos vingt ans » (suite). - 22 h.: Concert par l'Orchestre de Vichy (dir. M. C. Bailly). Ce film, réalisé par le jeune metteur en 20 h 15: Le match de football France-Suisse. - 21 h.: Lucien Lavaillotte. - 21 h. 15: Concert de - 23 h.: Inf. - 23 h. 15: Chansons (disques). - 23 h. 30: Disques. - 24 h.: Fin des émissions. qué, surnommé Formica, se moquant de la scène Alessandro lilasetti. se déroule parmi musique enregistrée. - 21 h. 30: Jean Doyen. - 21 h. 45: Suite du concert. - 22 h.: Dern. bul. d' dure politique du vîce-roi don Rodrigue d'Ar- les querelles. les ruses et les complications cos. réussit à aider les oppressés et à sauver d'un jeu moqueur et amoureux. Alessandro I 6 h. 30: Inf. - 6 h. 40: Mus. milit.- 6 h. 45: Instrum. divers. - 7 h. ■ Lundi 9 mars 7 h.: Radio-Journal de Paris, 1" bul. d'inf. - 7 h. 15: Un quart d'heure Lundi 9 mars quelques compagnons de Masaniello condam- Blasetti est venu au cinéma par le journa- Ce que vous devez sovoir. - 7 h. 10: Trois chansons. - 7 h. 20: Orch. symph.- 7 h. 40: 10 minutes nés à mort. Mais le mystérieux chevalier dis- de cuit, phys - 7 h. 30: Concert matinal. - 8 h.: Radio-Journal de Paris, répétition du 1" bul. lisme, après de longues études au Centre d'inf. - 8 h. 15: A travers la Corse et l'Italie. - 8 h. 45: Des chansons douces. - 9 h. 15: Arrêt de avec les grands musiciens. - 7 h. 50: Quelq. chansons. - 8 h.: Leçon de gymnastique - 8 h 10 • parait de Naples sans laisser de traces... C'est Expérimental de la Cinématographie à l'Aca- Svmphonique léger.- 8 h. 30: Inf.- 8 h. 45: 10 minutes de valses. - 8 h. 55: L'heure de réducat' l'émission>n.. - 111 h . 30: Le quart d'heure du travail. - 11 h. 45: Soyons pratiques: ces petits acci- nation.- 9 h. 40: Entr'aide aux prisonniers rapatriés.-9 h. 50: A l'aide des réfugiés.- 9 h. 55: Fin de a cette époque que Salvator Rosa, peintre, démie Royale de Sainte-Cécile. En 1928. il dents quotidiens, savez-vous y remédier ? - 12 h.: Déjeuner-concert: l'orchestre de Radio-Paris, poète et musicien, ennuyé de la vie trop e l'émiss.- 11 h. 30: L'actualité intellectuelle.- 11 h. 50: Orch. de valses et tziganes de la Radiodiff commençait son premier film. Le Soleil : puis, avec Lucienne Tragin, et A. Pactat. - 13 h.: Radio-Journal de Paris, 2 bul. d'inf. Nat. av. J. Visconti.- 12 h. 25: A l'appel du Maréchal.- 12 h. 30: Inf.- 12 h. 42: La Lég. des Comb bruyante de Xaples, part pour Rome. Sur - 13 h. 15: Les nouveautés de la semaine. - 14 h.: Revue.de lo presse du Radio-Journal de Paris. après, ce fut La Terre Mère et La Vieille vous parle. - 12 h. 47: Pièces pour piano.- 13 h.: Variétés. - 13 h. 30: Inf.- 13 h. 40: Les inédits son chemin, il arrive à la résidence de ta Garde. L'uanmiement, la presse exalte sa ma- - 14 h. 15: Le fermier à l'écoute. L'impôt sur les bénéfices de l'exploitation agricole. - 14 h. 30: de Paris.- 15 h.: Concert par l'Orch. de Vichy. - 16 h.: Concert de solistes. - 17 h. : L'heure de duchesse de Torniano, jeune dame proprié- Raymond Legrand et son orchestre. - 15 h. 15: Les Muses au pain sec, de Jean Calland et Odile la Femme, prés, par J.-J. Andrieu avec le concours de J. Bouillon et son orch. - 18 h.: Pour nos gnifique réussite avec (.'ne Aventure de Sal- Pascal. - 15 h. 30: Autour d'un musicien: Claude Debussy. - L'Ephéméride. - 16 h.: Radio-Journal taire d'un grand fief entre le royaume de vator Rosa. Les défis sont furieux mais prisonniers. - 18 h. S: Sports, par C. Briquet. - 18 h. 12: Disques: valses de Chopin. - 18 h. 25: de Paris, 3« bul. d'inf. - 16 h. 15: Chacun son tour... Magyari Imre, André Pasdoc, Peter Kreuder. - Chronique du Ministère du Travail. - 18 h. 30: Mélodies rythmées. - 19 h.: Actualités. - 19 h. 15: Xaples et l'Etat pontifical. Au duché, existe plaisants, les coups de scène vertigineux mais 17 h.: Villes et voyages: En traversant le Sahara, par Paluel-Marmont. - 17 h. 15: Orchestre Jean un différend entre la duchesse et les paysans Disques. - 19 h. 30: Inf. - 19 h. 45: Emission lyrique : « Cuillaume Tell », opéra en 4 actes de souriants : le jeu des méprises créé par la Yatove - 18 h.: Radio-Paris-Actualités. - 18 h. 1S: Lucien Muratore et l'ensemble Navarre, pré- H. Bis et de Jouy, musique de Rossini. Orchestre sous la direction de M. Paul Bastide. Chœurs - à cause de l'eau que l'administrateur, le comte double identité de Salvator Rosa et de For- sentation P. Hiégel. - 18 h. 45: M. et Mme Georges de Lausnay. - 19 h.: Causerie du jour. Mi- Félix Raugel. - 21 h. 30: Inf. - 21 h. 45: Présentation de « Candide ». - 21 h. 50: Concert donné Lamberto, utilise pour les fontaines ornemen- mica est conduit avec un talent plein d'astu- nute sociale - 19 h 15: «Là-haut», opérette en 3 actes, de' Maurice Yvain, avec Maurice par la Musique des Equipages de la Flotte, sous la direction de M. Paul Coguillot. - 23 h. : Inf.- Chevalier - 20 h.: Radio-Journal de Paris, 4' bul. d'inf. - 20 h 15: Concert de musique enregis- tales au lieu de la donner aux champs arides. ce mais cordial. Parmi les principaux inter- 23 h. 10 : Les émissions du lendemain. - 23 h. 15: Concert donné par l'Orchestre de Toulouse Salvator Rosa réussit à entrer dans le châ- trée - 20 h. 45: Christiqne Caudel - 21 h.: Suit? du concert. - 21 h. 30: Quintette a vent de (dir. M. R. Cuilhot). Œuvres de Mozart, Bolzoni, Boccherini, Flotow, Lalo. - 24 h.: Fin des émiss] prètes, nous reconnaîtrons Luisa Férîda. qui Paris - 21 h 45- Suite du concert. - 22 h.: Radio-Journal de Paris, dernier bulletin d'informations. teau et à se faire inviter. ïl découvre qu'une compte déjà plus de vingt-six films à son paysanne, Lucrèce, au courant des exploits actif et qui débuta au théâtre dès l'âge de I 6 h. 30: Inf.- 6 h. 40: Musique légère.- 6 h. 50: Mus. milit. - 7 h.: Ce de Formica, cherche à les imiter en faveur Mardi 10 mars |7 h.: Radio-Journal de Paris, 1 "r bul. d'inf. - 7 h. 15: Un quart d'heure Mardi 10 mars 17 ans... après s'être échappée du collège; que vous devez savoir. - 7 h. 10: Trois chansons.- 7 h. 20: Folklore. - 7 h. 30: Inf.- 7 h. 40- 10 des paysans, faisant croire à la présence de de culture physique. - 7 h. 30: Concert matinal. - 8 h.: Radio-Journal de Paris, répétition du Gino Cervi, qui vient de tourner La Cou- minutes avec les grands musiciens.- 7 h. 50: 10 minutes avec...- 8 h.: Leçon de gymnast - 8 h 10- !" bul. d'inf. - 8 h. 15: Les petites pages de la musique. - 9 h. 15: Arrêt de l'émission. - 11 h. 30: Formica. Pris dans le jeu, Salvator Rosa ronne de Fer; Rina Morelli e-tL unUilCe foullUUiCe Succès de films.- 8 h. 15: Mélodies.- 8 h. 30: Inf.- 8 h. 45: Fantaisiesur des opéras célèbres: sauve Lucrèce de la geôle ; puis il réussit Les travailleurs français en Allemagne. - 11 h. 45: Protégeons nos enfants. Quelques problèmes de 8 h. 55: Education nation.-9 h. 40: Entr'aide aux prison, rapatriés.- 9 h. 50: A l'aide des réfugiés - d'artistes réputés qui forment un ensemble^, l'adolescence. - 12 h.: Déjeuner-concert. Retransmission depuis Rodio-Bruxelles. - 13 h.: Radio- habilement à se faire nommer conseiller se- impeccable et ajoutent ieurs qualalitéî s à celle»? 9 h. 55: Fin de l'émis. - 11 h. 30: Concert par l'Orch. de Vichy (dir. M. G. Bailly). - 12 h 25- Journal de Paris, 2"' bul. d'inf. - 13 h. 15: Suite du Déjeuner-concert. - 14 h.: Revue de la presse A I appel du Maréchal.- 13 h. 30: Inf.- 12 h. 42. La Légion des combat, vous parle - 12 h 47 • cret du comte ï^amberto. qui aspire à obtenir de ce nouveau tilm. du Radio-Journal de Paris. - 14 h. 15: Le fermier à l'écoute. Les vaches laitières et beurrières. - la main de la duchesse et le fief. Il s'agit Variétés de Paris.- 13 h, 15: Pièces pr violon.- 13 h. 30: Inf - 13 h. 40: L'Initiation à la musique.- 14 h. 30: Valses et ouvertures. - 15 h.: Jacqueline Pianavia. - 15 h. 15: «Elégie provinciale», 14 h. 40: Mélodies (disques). - 15 h.: La demi-heure du poète: « Le poète des carillons et des bien entendu d'empêcher ce double dessein. présentation de Paul Courant. - 15 h. 30: Bel canto: les voix oubliées: Lucien Fugère (baryton), béguinages: Rodenbach ». - 15 h. 30: Concert par l'Orchestre de Lyon (direct. M. Jean Matras). - Ou reste, la jeune duchesse est tout enflam- Ritter Ciampi (soprano), Feodore Chaliapine, Enrico Caruso. - L'Ephéméride. - 16 h.: Radio-Journal 16 h. : Concert d'orgue donné en l'église St-Cannat à Marseille par M. Prévost. - 16 h. 30 : De mée par le désir de rencontrer le légendaire de Paris, 3? bul. d'inf. - 16 h. 15: Chacun son tour... Yvonne Blanc et son ensemble, Yvonne Tellier, Pons. Banc d'essai: « J'aime », de Marcelle Maurette. - 17 h.: Suite du concert par l'Orchestre de Formica. Une tentative pour attirer le cheva- Tommy Desserre. - 17 h.: Les grands Européens: Léonard de Vinci, artiste. - 17 h. 15: Pierre Lyon. - 17 h. 30 : Ceux de chez nous : Gaston Baty, par Jacques d'Appigny. - 18 h : Pour nos Nerini. - 17 h. 30: Face aux réalités: le quart d'heure de la collaboration. En 3 mots, de Roland prisonniers. - 18 h.: Sports. - 18 h. 12: Radio-Jeunesse-Magazine. - 18 h. 25 : Rubrique du Minist lier au masque noir par le supplice de quatre Tessier. - 17 h. 45: Un quart d'heure avec Marie-José. - 18 h.: Radio-Paris-Actualités. - 18 h. 15: complices de Lucrèce, donne lieu à un nou- de l'Agriculture. - 18 h. 30: Variétés, de Paris. - 19 h.: Actualités. - 19 h. 15: Disques. - 19 h. 30: La Société des instruments à vent et Lucienne Delforge. - 18 h. 40: Charles Panzera. - 19 h.: Inf.- 19 h. 45: Festival phonographique, par Michel de Bry. Fastes du Théâtre Français, présent, veau tour de Formica qui libère les prison- Causerie du jour. Minute sociale. - 19 h. 15: Ah I la belle Epoque ! présentation d'André Alléhaut. e de Béatrice Dussane, Mounet-Sully, P. Mounet, Eug. Silvain, Saroh Bernhardt, Const. Coquelin. - niers. Toujours impatiente, la duchesse donne 20 h.: Radio-Journal de Paris, 4 bul. d'inf. - 20 h. 15: Cd-concert varié avec les orch. V. Pascal, 21 h.: Valses.- 21 h. 30: Inf.- 21 h. 45: Concert de solistes.- 23 h.: Inf.- 24 h.: Fin des émiss secrètement la liberté à Lucrèce et fuit avec R. Legrand, Nelly Audier, J. Suscinio et ses matelots, Champi et A. Lajon. - 22 h.: Dern. bu!, d'inf. elle, à la recherche de Formica, l'n attentat avec un faux poignard, qui devait détruire Hllll Hf6 h. 30: Inf.- 6 h. 40: Instruments divers.- 7 h.: Ce que vous devez |7 h.: Radio-Joumol de Parts, 1er bul. d'jnf. - 7 h. 15: Un quart d'heure Mercredi II mars Mercredi il mars savoir.- 7 h. 10: Musique tzigane. - 7 h. 25: Musique militaire.- 7 h. 30: Inf. 7 h. 40: 10 minutes le prestige de Formica, fait tomber Salvator de culture physique. - 7 h. 30: Concert matinal. - 8 h.: Radio-Journal de Paris, répétition du Rosa dans un piège dont il est sauvé par ,r avec les grands musiciens.- 7 h. 50: Symphonique léger.- 8 h.: Leçon de gymnastique.- 8 h. 15: 1 bul. d'inf. - 8 h. 15: La chanson réaliste. - 8 h. 45: Les orchestres que vous aimez. - 9 h. 15: Folklore.- 8 h. 30: Inf. - 8 h. 45: Ballets célèbres.- 8 h. 55: Educat. nationale - 9 h. 40: Entr'aide Lucrèce, vivement éprise de lui... Finalement. Arrêt de l'émis. - 11 h. 30: Le quart d'heure du travail. - 11 h. 45: Cuisine et restrictions : To- aux prisonniers rapatriés.- 9 h. 50: A l'aide des réfugiés.- 9 h. 55: Fin émiss. Horloge parlante. - pinanbours et artichauts. - 12 h.: Déjeuner-concert. L'orchestre de Paris sous la dir. de Kostia de 11 h. 30 : Concert par la Musique de la Garde (dir. commandant Pierre Dupont). - 12 h.: Mélodies Konstantinoff. - 13 h.: Radio-journal de Paris, 2 bul. d'inf. - 13 h. 15: L'orchestre Richard rythmées. - 12 h. 25: A l'appel du Maréchal. - 12 h. 30: Inf. - 12 h. 42: La Légion des Combat, Blareau. - 14 h.: Revue de la Presse du Radio-journal de Paris. - 14 h. 15: Le fermier à l'écoute. vous parle. - 12 h. 47. Orgue de cinéma.- 13 h. 2: Suite du concert par la Musique de la Garde.- Semailles de remplacement ou de complément. - 14 h. 30: Cette heure est à vous. Présentation e 13 h. 30: Inf.- 13 h. 40: L'esprit français: Henri Rochefort par L. Treich. - 14 h.: Concert par d'André Claveau, - L'Ephéméride. - 16 h.: Radio-Journal de Paris, 3 bul. d'inf. - 16 h. 15: l'Orch. Radio-Symphonique de Paris. - 15 h.: Emission dramatique: «Jules César» de Gob. Boissy.- Chacun son tour... André Ekyan et son Swïngtette, Trio des Quatre, Barbanas von Ceczy. - 17 h.: 16 h. 30: Concert de solistes. - 17 h.: L'Actualité intellectuelle. - 18 h.: Pour nos prisonniers. - Renaissance économique des Provinces françaises : « La Savoie », par Georges Lafond. - 17 h. 15: 18 h. S: Sports, por J. Augustin.- 18 h. 12: Disques: Mouvements perpétuels. - 18 h. 20: Emission Martha Angelici. - 17 h. 30: Le grand roman radiophonique de Radio-Paris : « L'Epingle des Chantiers de lo Jeunesse.- 18 h. 30: Variétés, de Nice. - 19 h. Actualités. - 19 h. 15: Disques.- d'Ivoire», de Claude Dherelle {21* épisode). - 17 h. 45: Alec Siniavine et sa musique douce. - 19 h. 30: Inf. - 19 h. 45: Emission lyrique: « Le Comte Obligado », opérette en 3 actes, livret et 18 h.: Radio-Jaris-Actualirés. - 18 h. 15: Quatuor Bouillon. - 18 h. 45: Les duos que j'aime, lyrics d'André Barde, musique de Raoul Morettl. Orchestre dirigé par M. Jules Cressier. présent, par Charlotte Lysès, avec Alcya Baldî et André Balbon. - 19 h.: La critique militaire. - 19 h. 15: pur Mme Denyse Vautrin. - 21 h.: Inf.- 21 h. 20: Reportage de la Loterie Nationale. - 21 h. 45: L'ensemble Lucien Bellanger. - 19 h. 30: La Rose des Vents. - 19 h. 45: L'ensemble Bellanger Les jeux chez soi, présentés par Robert Beauvais. - 22 h. 10: Solistes. - 23 h.: Informations. - (suite). - 20 h.: Radio-journal de Paris, 4 bul. d'inf. - 20 h. 15: Concert de mus. enreg. - 20 h. 45: 23 h. 15 : Concert donné par l'Orchestre de Toulouse (direct. R. Guilhotl. - 24 h.: Fin des émiss. L'orch. de chambre Herwitt. - 21 h. 30: Suite concert. - 22 h.:.Radio-Journal, dernier bul. d'inf.

Jeudi 12 mars IÉ h. 30: Inf.- 6 h. 40: Musique militaire. - 6 h. 45: Musique légère. - 7 h.: Radio-Journal de Paris, 1" bul. d'inf. - 7 h. 15: Un quart d'heure Jeudi 12 mars 7 h.: Ce que vous devez savoir: - 7 h. 10: Nos grands virtuoses.- 7 h. 30: Inf.- 7 h. 40: 10 minutes de culture physique. - 7 h. 30: Concert matinal. - 8 h.: Radio-Journal de Paris répétition du avec les grands musiciens. - 7 h. 50: Variétés instrument. - 8 h.: Leçon de gymnastique - 8 h 10: I." bul. d inf. - 8 h. 15: Chanteurs de charme. - 8 h. 45: Chœurs d'enfants. - 9 h. 15: Arrêt de Folklore. - 8 h. 20: Musique pour les enfants. - 8 h. 30: Inf. - 8 h. 45: 10 minutes de chansons I émission. - 11 h. 30: Les travailleurs français en-Allemagne. - 11 h. 45: Beauté, mon beau souci: enfantines. - 8 h. 55: Education nationale. - 9 h. 40: Entr'aide aux prisonniers rapatriés. - 9 h. 50: seins de beauté. - 12 h.: Déjeuner-concert: l'orchestre de Radio-Paris. Dir. Jean Fournet. -Robert A l'aide des réfugiés. - 9 h. 55: Fin de l'émiss. Horloge parlante. - 11 h. 30 : Théâtre de traditions Jantet et Jean Deveny. - 13 h.: Radio-Journal de Paris, 2« bul. d'inf. - 13 h. 15: Suite du déjeuner- populaires, par J. Variot: « Le bon Père malgré lui » (archétype interprété en Saintonge). - 12 h.: concert: Raymond Legrand et son orchestre. - 14 h.: Revue de la presse du Radio-Journal de Paris. Les enfants chantent. - 12 h. 25: A l'appel du Maréchal. - 12 h. 30: Inf. - 12 h. 42: La Légion des - 14 h. 15: Le fermier à l'écoute. Chronique vétérinaire. - 14 h. 30: Jardin d'enfants: Cascerlé: combattants vous parle. - 12 h. 47: Variétés, de Paris. - 13 h.: Inf. - 13 h. 40: Emission dramat. le puits artésien. - 15 h.: « Intimité», une présentation d'André Alléhaut. - 15 h. 45: « Il y a de Marseille : « Antar ». - 15 h.: Disques. - 15 h. 10 : Transmission de la Comédie-Française : 30 ans», par Charlotte Lysès. - L'Ephéméride. - 16 h.: Radio-Journal de Paris, 3« bul. d'inf. - « Britannicus ».- 17 h. : La voix des fées, émission pour les enfants.'- 18 h.: Pour nos prisonniers.- 16 h. 15: Chacun son tour... Andrée Chastel et Sylva Hérard, Nelly Goletti, l'orchestre Albert Lo- 18 h. 5: Sports. - 18 h. 12: Le catéchisme des petits et des grands, par le R. P. Roguet. - 18 h. 25: catelli. - 17 h.: Les jeunes copains. Max Vignon. - 17 h. 15: Gaston Micheletti. - 17 h. 30: Le Chronique du Ministère du Travail. - 18 h. 30: En feuilletant Radio-National.- 18 h. 35 : Variétés grand roman radiophonique de Radio-Paris: « L'Epingle d'Ivoire », de Claude Dherelle (28« épi- de Pans. - 19 h.: Actualités. - 19 h. 15: Disque: « Le songe d'une nuit d'été ». - 19 h. 30: Inf. - sode). - 17 h. 45: Un quart d'heure avec Roger Tréville. - 18 h.: Radio-Paris-Actualités. - 18 h. 15: 19 h. 45 : Concert de l'Orchestre National, sous lo direction de M. D.E. Inghelbrecht : Ph. Cnubert, L'orchestre Visciano. - 19 h.: Causerie du jour: Un neutre vous porle. Minute sociale. - 19 h. 15: C. Pierné, Rimsky-Korsokow. - 20 h. 30 : Disque. - 20 h. 40 : Suite du Concert par l'Orchestre L'orchestre du théâtre national de l'Opéra, dir. Louis Fourestier. - 20 h.: Radio-Journal de Paris, National.- 21 h. 30: Inf.- 21 h. 45 : Comédie: « Monsieur de Camors », d'Oct. Feuillet, adapté par 4<- bul. d'inf. 20 h. 15: Le coffre aux souvenirs. - 20 h. 45: Ginette Neveu. - 21 h.: Concert de Mad. H. Giraud.- 23 h.: Inf. - 23 h. 15: Disques: Musique de chambre. - 24 h. : Fin des émissions. Le film où parait Gina mus. enreg. - 21 h. 30: Marcel Dupré à,l'orgue. - 21 h. 45: Suite du concert. - 22 h.: Dern. bul. Cervi dans le rôle du héros napolitain, se Vendredi I3mar—s 16 h. 30: Inf.- 6 h. 40: Symphonique léger.- 6 h. 50: Musique militaire.- déroule parmi les que- 7 h.: Radio-Journal de Paris, bul. d'inf. - 7 h. 15: Un quart d'heure q e VOUS devez 5avoir 7 h ,0: Vendredi 13 mars l î"ini ï - - Chants lyriques. - 7 h. 20: Virtuosités insrrumentales.- relles, les ruses et les de culture physique. - 7 h. 30: Concert matinal. - 8 h.: Radio-Journal de Paris, répétition du 7 h. 30: Inf - 7 h. 40: 10 minutes avec les grands musiciens. - 7 h. 50: Mélodies. - 8 h.: Leçon de complications d'un jeu I" bul. d inf. - 8 h. 15: Folklore: Auvergne, Nord et Bretagne. - 8 h. 45: Deux vedettes: Louis- gymnastique. - 8 h. 10: Musique de chambre. - 8 h. 30: Inf. - 8 h. 45: Au temps de nos grand'- moqueur et séduisant. Bory et Damio. - 9 h. 15: Arrêt de l'émission. - 11 h. 30: Le quart d'heure du travail. - 11 h. 45: meres. - 8 h. 55: Education nationale. - 9 h. 40: Entr'aide aux prisonniers rapatriés. - 9 h. 50: La vie saine. - 12 h.: Déjeuner-concert. - 13 h.: Radio-Journal de Paris, 2' bul. d'inf. - 13 h. 15: A l'aide des réfugiés. - 9 h. 55: Fin de l'émis. Horloge parlante. - 11 h. 30: Concert par l'Orchestre Suite du déjeuner-concert: l'orchestre Jean Yatove et l'ensemble Lucien Bellanger. - 14 h.: Revue de Lyon (dir. M. M. Babin). - 12 h. 20: En feuilletant Radio-National. - 12 h. 25 : A l'appel du de la presse du Radio-Journal de Paris. - 14 h. 15: Le fermier à l'écoute: cultivez des topinam- Maréchal. - 12 h. 30: Inf. - 12 h. 42: La Légion des Combattants vous parle. - 12 h. 47 : Soliste. bours. - 14 h. 30: Puisque vous êtes chez vous. Une émission de Luc Bérimont. - 15 h.: Le quart Mélodies par Mlle Ginette Guillamat. - 13 h. : Variétés, de Paris : Marboue-sur-Loire, par Ded d heure du compositeur. - 15 h. 15: Promenades dans Paris: l'île SainM-ouis et l'Hôtel Lauzun. Rysel. - 13 h. 30: Inf. - 13 h. 40: Concert donné par la Musique des Equipages de la Flotte. - Causerie de Simone Assaud. - 15 h. 30: Des chansons: Cermaine Sablon et Fred Hébert. - L'Ephé- 14 h. 10 : Mélodies.- 14 h. 25: Suite du Concert donné por la Musique des Equipages de la Flotte.- méride. - 16 h.: Radio-Journal de Paris, 3° bul. d'inf. - 16 h. 15: Chacun son tour... Lina Margy 15 h.: Disques. - 15 h. 40: Jazz: Fred Adison. - 16 h. 15: L'Actualité intellectuelle. - 16 h. 45: et son ensemble, René Hérent, Tony Muréna. - 17 h.: Entretien sur les Beaux-Arts: l'Exposition Musique de chambre. - 17 h. 40: L'actualité catholique. - 17 h. 55: Transmission du sermon de « Cent ans d'aquarelles », avec le critique d'art Jean-Marc Campagne et Georges-Louis Garnier. - 10: Le mouvemeni Carême au Grand Temple de Nîmes. - 18 h. 35 : Rubr. du Minist. de l'Agric- 18 h. 30: Variétés, 17 scientifique français. - 17 h. 15: Chez l'amateur de disques: « Disque, mon de Paris. - 19 h.: Act.- 19 h. 15: Disque.- 19 h. 30: Inf. - 19 h. 45: Emiss. lyrique : « Madame Ami ! .. » 17 h. 45: Mono Laurena. - 18 h.: Radio-Paris-Actualités. - 18 h. 15: L'orchestre de Chrysanthème », comédie music. en 4 actes, un prologue et un épilogue, d'après P. Loti, poème chambre de Paris. - 19 h.: Causerie du jour: minute sociale. - 19 h. 15: « Le Cabaret de Radio- e de C. Hartmann et A. Alexander, musique d'A. Messager. - 21 h. 30: Inf.- 21 h. 45: Présent, de Paris », R. Legrand et son orch. - 20 h.: Radio-), de Paris, 4 bul. - 20 h. 15: Concert de mus « Cringoire ».- 21 h. 50: Concert part l'Orch. de Lyon.- 23 h.: Inf - 24 h.: Fin des émissions. enreg. - 20 h. 45: G. Denys. - 21 h.: Suite du concert. - 21 h. 30: Marcel Mule. - 22 h.: Dern bul Samedi 14 mars |6 h. 30: Inf.- 6 h. 40: Symphonique léger.- 7 h.: Ce que vous devez Samedi 14 mars_ J 7 h.: Radio-Journal de Paris, 1 " bul. d'inf. - 7 h. 15: Un quart d'heure savoir. - 7 h. 15: Virtuosités instrumentales. - 7 h. 20: Fantaisie sur des opéras. - 7 h. 30: Inf. - de culture physique. - 7 h. 30: Concert matinal. - 8 h.: Radio-Journal de Paris, répétition du Les défis sont furieux 7 h. 40: 10 minutes avec les grands musiciens. - 7 h. 50: Musique légère. - 8 h.: Leçon de gym- 1" bul. d'inf. - 8 h. 15: L'opérette. - 9 h. 15: Arrêt de l'émission. - 11 h. 30: Du travail pour les nastique. - 8 h. 10: Music-Hall. - 8 h. 20: Danses anciennes. - 8 h. 30: Inf. - 8 h. 45: Variétés mais plaisants, les ieunes. - 11 h. 45: Sachez vous nourrir. - 12 h.: Déjeuner-concert. L'orch. de Rennes-Bretagne. - musicales. - 8 h. 55: Education nationale.- 9 h. 40: Entr'aide aux prisonniers rapatriés. - 9 h. 50: coups de scène 12 h. 45: Guy Berry et l'ensemble Wraskoff. - 13 h.: Radio-Journal de Paris, 2" bul. d'inf. - A l'aide des réfugiés. - 9 h. 55: Fin de l'émission. Horloge parlante. - 11 h. 30: Radio-Jeunesse. - vertigineux 13 h. 15: Concert en chansons: Priolet, Josette Martin, Tos Cani, Lucienne Boyer, Fred Hébert, 11 h. 50: Jo Bouillon présente l'Orchestre de tangos (direction d'Y. Tristan. - 12 h. 25 : A l'appel riants. Rina Morelli Annette Lajon, Joime Plana, Oamia, Roger Tréville, Fréhel, Jon Lambert, Cermaine Sablon, Chan- du Maréchal. - 12 h. 30: Inf. - 12 h. 42 : La Légion des Combattants vous parle. - 12 h. 47 : 3ino Cervi set teur sans nom, Suxy Solidor, Maurice Chevalier. -- 14 h.: Revue de la presse du Radio-Journal de Variétés, de Paris. - 13 h. 15: Soliste, de Paris. Mélodies par Mme Blanc-Audra. - 13 h. 30 : principaux Interpi Paris. 14 h. 15: Le fermier à l'écoute. Sachons bien planter nos arbres fruitiers. - 14 h. 30: Inf. - 13 h. 40 : Soliste de Paris: Trio en ut mineur (Beethoven) par MM. J. Benvenutti, R. Bene- detti et A. Navarra. - 14 h.: L'actualité intellectuelle, par Ci. Roy; et lo demi-heure des jeunes. - ie cette Balalaïkas Georges Streha. - 15 h.: De tout un peu... Les orchestres Richard Blareau et Victor Pascal avec Rose Avril, Jean Sorbier et Pierre Doriaan. - L'Ephéméride. - 16 h.: Radio-Journal de 15 h.: Musiq. de chambre.- 16 h.: Le coin de l'échiquier.- 17 h.: De Lyon: Concert de propagande: « L'Art pour tous », sous la direction de M. Jean Clergue. Présentation por E. Wuillermoz. - Paris, 3° bul. d'inf. - 16 h. 15: Suite de l'émission: De tout un peu... - 17 h.: La revue critique de 18 h. 30: Pour nos prisonniers. - 18 h. 35: Sports, por C. Briquet. - 18 h. 40: Variétés, de Nice. - la semaine. - 17 h. 15: La revue du cinéma. - 18 h.: Radio-Paris-Actualités. Prévisions sportives. - 19 h.: Actualités. - 19 h. 15: Disque: Panoramas américains. - 19 h. 30: Inform. - 19 h. 45: 18 h. 15: La belle musique. «Le cycle des 9 symphonies de Beethoven». Une présentation de Revue des variétés, de Paris. - 20 h. 45: Jazz symphonique. - 21 h. 30: Inf. - 21 h. 45 : Causerie Pierre Hiegel. - 19 h.: Critique militaire. - 19 h. 15: Au rythme du temps. - 20 h.: Radio-Journal Philippe Henriot. - 21 h. 50: Actualités de la semaine. - 22 h. 15: Fred Adison et son orchestre.- de Pans, 4» bul. d'informations. - 20 h. 15: Concert de musique enregistrée. - 22 h.: Radio- 22 h. 45 : Disques. - 23 h. : Informations. - 23 h. 15: Disques.' - 24 h. : Fin des émissions. Journal de Pans, dernier bulletin d'informations. - 22 h. 15: Fin d'émission. UILIIÉ ÎHllïi Au Theôfre lre de l'<£uvre :

FEMM E «*'"U• TROP PET.T Q 'A LE r~ '"age tT/T CŒ Hc », de F r °R Ce■ type "? *«ssiet Pu .r m "ornial s'seen so , ' tous '/7"' >àle u„~"l " mari tombe à 5 heure Venté soit l „ d 1 amants . e ...es personnagePeZ^?s» taillé^s F U WUr *S>. «lt» aust -_i . '""> co,, , ■■ Et »'. "».. personnagPerso- e de o au brouillard... Georges Jauin se Wl elle pièce. e ose résume no- "tement J,"*"" de l Ma , r'^opinion enf " débat avec un texte si obscur et si lit- CUr PAR CLAUDE BRÉVANNE >che. d;... , . ,ucface de cette œuvre trop téraire qu'en l'écoutant on a l'impres- d'un lyrisme déchaîné, d'une pré- sion de déchiffrer un rébus... Paulette flueciosit. é verbale et d'une am^iettr super- mort Pax fait une remarquable composition fa s: violente /e.. , Sgilenieiu comique de la Faille, femme galante fZt t " - "<'%T/ "*S*m Car, il faut bien le dire : ces jeux retraitée, qui possède tout le bon sens acte. supérieurs de l'esprit ne sont pas du ce A tueusequi manqu. e à la petite bourgeoise ver- "e ressemhlomble, I " deerifte r théâtre. D'abord, le style de Cromme- s, i un lynck est si littéraire, ses intentions sont cett Les deux domestiques, Minna et /' faut v Vivre », a/k' si subtiles, ses dons de styliste si ncore A . endiablé,, Xantus, personnifiés par Gilberte ' audac fios précieux, son dialogue est si imprégné ■ ■ ""oacieits,. t f- sédcr r J niât et Raymond Bussièrcs, sont des. monter ,,„ Jo'ie de /„ • '"dm de poésie, que le spectateur le plus at- "arable avec truculence par l'auteur, qui leur tentif laisse échapper les trois quarts m gaillardeprête à sl a etfoi «s« deJs plaisanter;»- assez ï'»re dans',; Ll"St0" Boty  J9"*1 *«' cettde ece pluis richessese d'étoiles, .e t sort aveuglé sous Si, , -~isantcrie. 'eut d'an,;, m°itde eut; re»duc - ci un dialogue symbolique Vo CUrH d Par s au 'anchette Brunoy, qui fit sr ' «* n Z e■ mette,,,méte . e„ °» ta théâtre de l'Œuvre, — r ébu s osses di U^"'- sa est u Ta„dA ' rc notre eett, ingénue, sensible san»s se,sensiblerie, "n ï, °rabl ; eet j v r r Jca Ce : B, Anuette Poivre, reprenant le rôle qu'elle tt C J toutes 'ïeTvelt "''P^cablT l,^ aï T* C ''' T^^Tl"s°' " uc e ' nest -,f . tf même scène il y a huit 'rouve l7 f^"ns Pafin,s, ~ J'. }/,.;. leur ;„ ln d a a é a cr sul cc C C sc C , f ans, apporte dans celte avalanche ver- '"°">s fro ,, " ène de }" '' h '^-à-dir r e :JSJ dce a s ique, mtêt „ f Qu'elle bale, qui nous donne le vertige, la fraî- '"ontéqtif J " « Per eaT" ^ tout esseé... Elit Prévu toute sa maisoh cheur de sa candide rouerie, « poivrée» "'°'."s thàâlral, "" """ " ■ elle à' souhait, mais reposante dans ce feu , tout ordonné. Ce.,u e n a •l'artifice littéraire •* 'e^t^'et jeuse petite bourgeoise a faiCettt apprene - ''aire e MontpZu , " réal> dre à ses domestiques des « Comman- Au es décors dements », qu'ils récitent toute la jour- Théâtre M cherche, c"f Pas , Georges Lacombe tourne « Le Jour- née, mais qu'ils exécutent, bien entendu ornasse ■ nal tombe à cinq heures». Les col- 'ont de travers: Je ne sais E ». - qui est KTT£ fr, laborateurs do « Vedettes » n'ont pu c agi œuvre. ' est résister à « l'atmosphère ». Sur le BAVA Si* d e c C ed «mis L . '1q sié °lZ ,!'' "Pianole plateau, Bertrand Fabre relit un ar- qui n'a ni cœur ni sens s'évacett-e c vieille deurnoui.t Poudès rqu'o ~ n porte atteinte à R, :°>»«» dial^"jamais Hé ecors. """ eu tous ticle et jenny |osane remet sa copie BRIGITTE HORNEY DANS " LA TEMPÊTE bU ojas e F, Jouée à Jean Laurent, tandis que, gravement, qiiar importe a e et d; l'acteur Jean Brochard téléphone onne —«mm i, , ^e facil 'eaux- ïafZt^f ^ibut gère rôle de t vi'Vf-M.vu KICK. i; 'f"e t h ne s Fia Virile réirne ' Z> -- nachines. de lourds marteaux, des cris- le programme nous ont fait sourire : nues, en les persuadant que leurs amou- T - AnfJ-^nidaZ 0> est un ém .ements, des grincements de chaînes, un « La moralité voulait que cette femme reux se meurent d'un mal ^/ra»ient. .. e & Prod, i L « Le Journal tombe à cinq heures » de £t QUC soin de « La Célestine », et que Rojas Tout un monde mystérieux t ( dront fut T'' ^te l'extraordinaire journaliste et roman- C*'* '««st^ePureft CH Vr n'aurait pu écrire ses vingt et un actes. 'agite et s'occupe, d'une pièce "mtile et ?pT rC-' n °!'S. de vi voyeurs' "" PPlais""sirl H9* 7 ° Sc b auto,- U L m Ce qui m'eût empêché de vous parler -a salle de rédaction, blanche cier qu'est O.-P. Gilbert. Et le décor d a "' lé oie,Vn , nés 'isés ■ ' ' -' "n plaistr" représente une salle de rédaction, adroi- de de l'interprétation assez discutable de et r des scè- Marcelle Génial dans le rôle de Céles- tement reconstituée, avec ses téléphones, saine d'une trop Petit trouble 1111 Ile „ , crudité tine, qu'elle joue avec un sens de l'effet Andréa do,, ca ses machines à écrire et son activité met » * cœu '»»naa<, """ vice., j, ch auci,,, et dans un style mégère de mélo, digne papiers-carbone et ses papiers coU r de ruche, telle du moins qu'on l'ima- transf, }n' /o"t Bra Pourtant de la mère Frochard ou de la mère t ses téléphones rageurs, iffurê son i, cieusc gine aux heures de branle-bas de depdé^Zrc^zpr Tliênardicr... C'est pourtant une excel- ts 1 .acombe surveille. 11 tourne un film st S e lente comédienne, mais combat. Le « patron », Pierre Renoir, H.T per- '"''.c des , * yie; car '" « à iilbert, Le Journal tombe à cinq heures. qu'elle „n œTSd"tcm*: °! cette n'oublie ta»""'- avec c Pei ais elle rîo d'une rare qualité dont le dénouç- est à la «composition», à côté; et le fin.'■ai t Préféré !ï!" , 'e on J aurais l'histoire nous vaudra des situations metteur en scène, Georges Lacombe, Jeunes mai,,,e K, vomie „■„ remarquables, dans un rythme nouveau le cou entouré d'un cache-nez, dirige erjean. pe de notre journal, en visite sur le pla la scène, à l'ombre de la caméra. Nous leon DURENT. sst laissé prendre à celte atmosphère sommes quelques journalistes qui « vi- île. Xos collaborateurs se sont mêlés a sitons » : et nous nous sentons chez A.-M. Julien, notre rédacteur en ch nous, comme cela arrive rarement au gueule, mèche brune et rebelle à toute onriait en clin d'ail à Pierre Renoir, de- studio. Notre consœur, l'héroïne du confrère... Notre directeur. Robert Ré- film, Marie Déa, n'est pas là, pas plus î ventripotent et hurlant, Jean Faurès infligeant des Ange nous avait déjà < toujours élégant, poli, toujours diplomates que Pierre Fresnay, son complice. Mais on aperçoit pensums, Aguettand toujours perdu dans ses « dis- sion. Et je songe au plaisant « court métrage » qu'avait prises, cigarette aux doigts, jugeait et ap- Bernard Blier, les mains dans les poches, avec son réussi à faire, il y a quelques années, J. Bernard-Derosne, fa vorablement un faux secrétaire général, tinguos », Armand chauve et Vermorel pareil au pro- air de personnage qui tombe perpétuellement et et où les statues des rues de Paris, ces « navets » que tlou... Jean Laurent exultait de joie : il en- professionnellement de la lune... fesseur Nimbus, Auriol faisant des effets de manchettes, t sa critique théâtrale hebdomadaire, confor- et Chavance arrivant à son cours avec des serviettes l'on déboulonne, vivaient une histoire de fantaisie, t installé à un bureau, tandis que Jenny ■jç MERCREDI. Chez Jean de Beer, Charles Exbrayat, bourrées de documentation... Mais moi-même? Mon tout comme des acteurs en chair et en os. Face à lui. cherchait une idée de reportage à l'auteur de « La Fille du Jardinier », nous lit « San- rêve serait d'être devenu cul-de-jatte, et qu'un appa- -fc DIMANCHE. Apr^s la surprise des « Roses écar- n de nos lectrices... A côté d'eux, notre jeune cho », sa nouvelle pièce, que peut-être Charles Dullin riteur me dépose sur ma chaire comme un « ex-voto ». lates », les Italiens nous en donnent une autre : la beauté e de rédaction, Bertrand Fabre. songeait à son se décidera à mettre en répétition. C'est un pittoresque et le charme d'Alida Valli dans « Lumière dans les papier en souriant dans le vague, rènyex- ■fr VENDREDI. Le visage de Brigitte Horney dans et poignant divertissement, dialogué dans un style ténèbres ». Le film est loin d'être parfait, mais l'hé- ligemment un encrier et s'emparant très vite à la saveur forte. Et, comme chaque fois que l'on parle « La Tempête » : l'un des visages les plus expressifs de Jean Cuvelier... Jean Brochard. insensible roïne appartient à la grande race des comédiennes de Sancho, don Quichotte n'est pas loin... La lecture qui soient — et pourtant il demeure presque toujours ces de zèle, téléphonait à la Morgue afin de impassible. Sans doute, il y a la voix du regard, mais de l'écran dont on peut tout attendre : son visage, utilement les lecteurs de sa rubrique nécro- terminée, on en vient à parler de la distribution idéale, iîr je suis persuadé que, les yeux fermés, cette comé- moins pathétique que celui de Brigitte Horney, a pour- Jacques Hardouin ne goûtait guère la plaisan- et Charles Exbrayat, sans sourire, imagine Saturnin tant la même force expressive que les traits étranges préféra écouter les derniers potins parisiens ra- Fabre personnifiant le Chevalier à la Triste Figure. dienne étonnante parviendrait à nous émouvoir, rien que par le jeu invisible de ses traits... Cette impassi- de l'actrice allemande. Alida Valli est jeune et sédui- ir Pierre Lhoste et Jean Mon fisse. Dans un coin. Je songe au premier grand don Quichotte de l'écran, sante, il faudra nous la montrer dans des œuvres moins Nieolaï flirtait avec Bel-Ami... au grand déses- bilité expressive, ce terrain offert au rêve du spec- Fédor Chaliapine quel dommage que ce fût un faciles et où son sourire aussi, qui est délicieux, pourra Xicole Moran. aussi sympathique que notre dac- chanteur et un Russe, car, autrement, on n'aurait vrai- tateur, on voudrait le comparer à l'immobilité des eaux maiue Muscat. Nino Frank interviewait Pierre figurer... ment pas pu rêver image plus prestigieuse du Chevalier. claires ou de la mer calme : toute sa puissance est Déa et Bernard Blier, principaux inter intérieure. *fc LUNDI. «Caprices», de Léo Joannon, avec Danielle Pou pet te. secrétaire pimpante et rouco JEUDI. Avec quelques compères, nous préparons Darrieux et Albert Préjean. Quand nous rendra-t-on gorge déployée avec KHsa Ruis. SAMEDI. Séance de documentaires : il y en a trois, un ouvrage assez important et assez substantiel sur le la Danielle Darrieux du « Bal » et de ses premiers ait Ariette Maréchal de ses archiv « Solesmes », « Rodin » et « le Golfe Latin », tous les cinématographe, où on essaiera, comme disait feu films ? Celle d'aujourd'hui est déjà devenue un Breton el Simone Mohy se disputaient nos trois prodigieusement intéressants, tous les trois Chamberlain, de « reconsidérer la question ». La « monstre sacré », ainsi que dit Jean Cocteau. erge Lido et André . Dino, toujours très adroits et tous les trois décrivant la beauté d'œuvres question qui nous passionne le plus — Louis Daquin, Mais il semble bien qu'un souhait tel que celui-ci ;ur table de travail, nos metteurs eu page d'art sculptées ou d'architectures. Eh bien! la caméra s'organiser en compagnie de Marcel \ ail Jean Faurès, Lucien Aguettand, Jacques Armand, ne puisse être jamais exaucé : la foule se contente, parvient à faire « jouer » ces statues : le jeu des éclai- tnt, dessinant, recoupant... Robtchon, pet Claude Vermorel, Jean-Georges Auriol, Louis Cha- aujourd'hui, d'un visage (elle en voudra un autre rages et de la photographie font qu'on s'attend à les matique ; par contre, Georges Ja) vance — est celle d'une future Université de l'Ecran, demain...) et « Caprices », qui n'est d'ailleurs guère voir bouger, qu'on pressent leur dynamisme, qu'on t étudié, recule pour juger de 1 où l'on « ferait » le jeune cinéma de demain. Et j'ai dépourvu de qualités, fera certainement une carrière ïse salle de rédaction s'emplit de \ découvre le mouvement latent de la matière... Un une vision de cauchemar : je nous vois, si je puis, dire, très brillante. Nino FRANK. vicieusement. I ne seule chose ce tous professeurs en chaire, dans vingt ans: Daquin beau film allemand sur la vie et l'œuvre de Michel- cinq heures. Le gérant : R. Régamey. — Imprimerie E. Desfossés-Néogravure, 17, rue Fondary, Paris. e DAUNOU THÉÂTRE DE L'ŒUVRE Du I 140 T. I. s. 19 h. 30 (sauf lundi) 9, RUE CHAMPOLLION, 9 17 mars rjrïl (Métro Salnt-MIchell LA VILLA UNE FEMME Le plus Parisien des Cabarets DAN 41-a Ml l.a traditionnelle gallé du Quartier Gare Montparnasse (Place de Rennes QU'A LE CŒUR TROP PETIT NOX Lûttfl. — Spectacle éblouissant. DU MONTPARNASSE 1 FERNANDEL dons Tout n'est pas noir de CROMMEIYNCK OuVèH Initie la nuit. Un programme de choix Matinées: samedi, dimanche 15 h. LE CHANTEUR SANS NOM 21 h. à l'aube ■ 27,r.Bréa - Dan. G4-B5 LE CLUB DES SOUPIRANTS Ambassadeurs-Alice Cocéa GAITË-LYRIQU E THÉÂTRE PIGALLE "CHEZ ELLE" IB, rue Volney - Tél. 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