République Française – Département de Maine et

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VILLE DE BOUCHEMAINE

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Compte rendu du Conseil Municipal

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Séance du 30 avril 2015

L'an deux mil quinze, le trente avrilà dix-neuf heures, le Conseil Municipal convoqué par lettre à domicile ou par courriel, s'est réuni à la salle d’animation des Boîtes A Culture, dans la salle ordinaire de ses séances, sous la présidence de Madame Véronique MAILLET, Maire, assistée de Robert RIVAL, Marie- BENSAADON, Patrice NUNEZ, Michèle DEVILLERS, Didier PINON, Louis POHARDY, Michelle MAUGÉ.

Etaient présents : Marie-Claire BOURGEONNEAU, Natacha DAGUET, Éliane DELFINO, Dominique BERTRAN, Christine MOREAU, Jean-François TULOUP, Julien COCHERY, Brice BOUVARD,Sophie BONNEAU, Robert MENNESSIER, José FRANCO, Yves CARRÉ, Marie-Aimée MERCIER, Sophie LEGENDRE, Lydia GOBILLIARD, Ousmane CISSAKHO, Philippe LUCAS.

Noms des Mandants Noms des Mandataires

MmeVéronique RACINEUX M. Louis POHARDY Mme Sophie GUERY M. Patrice NUNEZ M. Pascal DOMERGUE M. Robert RIVAL M. Arsène BOUCHER M. Didier PINON

Le Conseil Municipal a nommé secrétaire de séance : Brice BOUVARD

VILLE DE BOUCHEMAINE

CONSEIL MUNICIPALDU 30 AVRIL 2015

ORDRE DU JOUR

1 – Appel nominal et désignation du secrétaire de séance

2 – Procès-verbal de la séance du 26 mars 2015

3 - INTERCOMMUNALITE -Création d'un service commmun d'instruction des autorisations du droit des sols entre la communauté d'agglomération Loire Métropole et 29 des communes membres

4 - AMENAGEMENT -Aménagement du site de la Piverdière et réalisation d'un équipement public - Clôture de l'opération - achèvement de la mission du mandataire

5 - ANIMATION -Indemnisation annulation spectacle vœux du Maire

6 - VOIRIE-Changement de dénomination d'une portion de voie de la Route d'Angers

7 - CULTURE -Convention de partenariat avec l'association Bouchemaine Multi Loisirs

8 - CULTURE -Festival Bouche à Oreille, édition 2015 - Convention de partenariat avec l'association Jazz Maine pour le festival Bouche à Oreille(BAO)

9 - AFFAIRES FONCIERES -Acquisition par la Commune des parcelles cadastrées AA n°312 et 313, espaces communs du lotissement "L'Audreyne" - sis Allée des Perdrix, à la Société Immobilière PODELIHA représentée par M. Francis STEPHAN

10 - ENFANCE - JEUNESSE -Multi-accueil "Couleurs de Maine" - convention de mandatement - validation des subventions 2014 et acomptes 2015

11 - EDUCATION -ENFANCE – JEUNESSE - Tarifs éducation-enfance-jeunesse

12 - INTERCOMMUNALITE -Transfert de la compétence "Eclairage Public" de la communauté d'agglomération de Loire Développement au SIEML et de son adhésion au SIEML pour l'éclairage public

QUESTIONS ECRITES

2 – PROCES-VERBAL DE LA SEANCE du 26 mars 2015 - Approbation

Le procès-verbal de la séance du Conseil Municipal du 26 mars 2015 est adopté avec une abstention (Monsieur LUCAS) (seuls les conseillers municipaux présents à ladite séance participent au vote).

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3 – INTERCOMMUNALITE - Création d'un service commun d'instruction des autorisations du droit des sols entre la communauté d'agglomération Angers Loire Métropole et 29 des communes membres.

Madame le Maire,

Expose :

La loi pour l’accès au logement et un urbanisme rénové (dite ALUR) du 24 mars 2014 a été publiée au journal officiel du 26 mars. Elle met fin au 1er juillet 2015 à la mise à disposition S gratuite des services de l’État pour l’instruction des autorisations d’urbanisme dans les communes appartenant à des communautés de plus de 10 000 habitants. E A Cette évolution affecte 29 communes du territoire communautaire d'Angers, dont la mairie de Bouchemaine. N Le travail réalisé par les élus de l’agglomération au cours de l'année 2014 a confirmé la C nécessité de conduire une étude pour que la communauté d’agglomération se substitue à E l’État en permettant aux communes de moins de 10 000 habitants de disposer d’un service au moins équivalent.

D Deux principes fondamentaux, établis dès le départ, ont été le fil conducteur de cette étude :

U - les maires doivent rester seuls compétents pour délivrer ou non les autorisations : il s’agit de créer un service commun d’ingénierie et non d’organiser un transfert de compétence ; - la mutualisation devra se faire à coût et moyens constants sur l’ensemble du territoire. 3 La création d’un tel service s’inscrit dans l’objectif d’amélioration du service rendu aux 0 administrés, et ce, en simplifiant les procédures et en apportant une meilleure sécurité juridique. Ainsi, les missions sont définies de la manière suivante :  les 29 communes : A - instruisent seules les CUa et les DP sans création de surface, - accueillent les pétitionnaires et procèdent à l’enregistrement des demandes des V pétitionnaires et à toutes les formalités administratives (envoi du dossier à ALM, courriers, R transmission de pièces, consultation de l’ABF …).  Le service commun assure : I - l’instruction technique des autres actes (CUb, DP avec création de surface, PC, PA, PD), L - un conseil juridique de premier niveau et l’assistance en cas de recours.

La création du service commun nécessite l’élaboration d’une convention qui fixe la répartition des missions entre le service communautaire et les services communaux ainsi que 2 les modalités de refacturation et de partage du logiciel dédié. 0 Considérant l’avis favorable du comité technique de la mairie de Bouchemaine en date du 4 1 février 2015, 5 Je vous propose :

 d'approuver la création d’un service commun d’instruction des autorisations du droit des sols entre la communauté d’agglomération Angers Loire Métropole et les 29 communes du territoire communautaire dont Bouchemaine fait partie,  d'autoriser Madame le Maire à signer la convention.

Le Conseil Municipal, après en avoir délibéré, adopte à l’unanimité les propositions de Madame le Maire.

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4 - AMENAGEMENT -Aménagement du site de la Piverdière et réalisation d'un équipement public - clôture de l'opération - achèvement de la mission du mandataire

Madame le Maire,

Expose :

Par une délibération en date du 30 octobre 2014, le Conseil Municipal a décidé de ne pas donner de suite opérationnelle au projet d’aménagement du parc de la Piverdière et de réalisation, à l’entrée de ce parc, d’un équipement public à vocation festive, S ludique et culturelle. E Depuis lors, conformément à la demande de la Commune et par un courrier en date A du 2 décembre 2014, la Société Publique Locale Angers Agglomération (SPL2A) a N sollicité le retrait du permis d’aménager, valant permis de construire, délivré le 31 C janvier 2014 et obtenu ce retrait par un arrêté en date du 29 décembre 2014. Elle a par ailleurs obtenu validation des coûts de l’opération auprès de son commissaire E aux comptes dans le cadre de la clôture de l’opération.

Enfin, l’application des révisions définitives sur les différents marchés est D dorénavant possible afin de calculer le montant final du remboursement d’avance dû U à la Commune.

Compte tenu de ces éléments, je vous propose de : 3 - constater le retrait, en date du 29 décembre 2014, du permis d’aménager n° 0 PA 049 035 13 A 0001 délivré le 31 janvier 2014, - constater l’achèvement de la mission de la SPL2A, mandataire, sur le plan financier, A - acter du remboursement d’avance pour un montant définitif de 454 214,34 V €uros, R - donner quitus global de la mission du mandataire conformément à l’article 16.2 du contrat de mandat en date du 4 novembre 2011, I - rappeler que la résiliation du mandat ainsi que la renonciation à indemnité L feront, conformément à la délibération du 30 octobre 2014, l’objet d’un avenant audit contrat, - préciser que le coût (310 949,40 €) de ces études imputées en investissement 2 et qui ne seront pas suivies de travaux, doit être transféré en fonctionnement par le compte 6811 « dotations aux amortissements et provisions », 0 - décider conformément à l’instruction M14, que l’amortissement se fera sur 5 1 ans à partir de 2015, - préciser que la subvention relative à cette opération sera également amortie 5 sur une durée de 5 ans à partir de 2015 par le biais du compte 777 « quote-part des subventions d’investissement transférée au compte de résultat ».

Le Conseil Municipal, après en avoir délibéré, adopte avec 6 votes contre (José FRANCO, Yves CARRÉ, Marie-Aimée MERCIER, Sophie LEGENDRE, Lydia GOBILLIARD, Ousmane CISSAKHO) les propositions de Madame le Maire.

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5 - ANIMATION - Indemnisation annulation spectacle Vœux du Maire

Madamele Maire,

Expose :

S E Dans le cadre de la cérémonie des Vœux du Maire à la population initialement prévue le dimanche 11 janvier 2015 à 14h45, l’Équipée Belle A devait se produire et présenter le spectacle « Show Devant » pour la somme N de 1322,85 € charges comprises. C Cependant, suite aux attentats du 7 janvier 2015, contre la rédaction du E journal « Charlie Hebdo », un appel à un rassemblement pour une marche républicaine a été lancé nationalement. La population était donc invitée à se D rassembler à Angers le dimanche 11 janvier 2015 à 15h.

U La cérémonie des vœux prévue le même jour, aux mêmes horaires a donc été annulée, sans possibilité de report. 3 Compte tenu de ces circonstances particulières, il convient de trouver un 0 accord commun pour le versement d’une indemnité aux artistes, soit un montant de six cents euros (deux cents euros par artistede l’Équipée Belle). A

V Je vous propose : R I  d’approuver le protocole d’accord ci-joint, qui prévoit une indemnisationau titre de l’annulation du spectacle programmé le 11 L janvier 2015 et de la perte de revenu qui en a résulté pour les artistes de l’Équipée Belle, moyennant une renonciation à tout recours ultérieur, 2  d’autoriser Madame le Maire ou son représentant à signer ce protocole.

0 1 Le Conseil Municipal, après en avoir délibéré, adopte à l’unanimité les 5 propositions de Madame le Maire.

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6 – VOIRIE - Changement de dénomination d'une portion de voie de la Route d'Angers.

Monsieur Robert Rival, Adjoint au Maire

Expose :

En approuvant, par délibération du Conseil Municipal en date du 30 juin 2009, le principe du classement dans la voirie communale de la section de la route départementale 111 entre le Artaud et la Commune d’Angers, la Commune a adopté S la dénomination « Route d’Angers » pour l’ensemble de la voie déclassée. Cette E délibération exceptait la portion déjà dénommée « Avenue du Lac de Maine » et les hameaux situés sur la partie Sud de la Route d’Angers, qui ne verraient pas leurs A adresses modifiées et dénommées : « Montplaisir », « Le Petit Monplaisir », « La N Fraiserie », « Moirin », « La Piverdière » et le « Champ Bossé ».

C Or, cette dernière situation, notamment du fait de l’homonymie des noms des E hameaux avec des voies communales limitrophes, pose des difficultés d’adressage des courriers et colisaux habitants concernés. Par ailleurs, outre le fait qu’une adresse plus compréhensible soit demandée par les habitants du hameau et par les D services postaux, elle permettra également de mieux satisfaire aux exigences de U sécurité (repérage facilité des logements pour les services d’urgence et de secours).

Au regard de la numérotation déjà existante sur la partie Nord de la Route d’Angers, 3 du giratoire de Pruniers jusqu’à l’Avenue du Lac de Maine, il n’est pas envisageable de raccorder l’adresse des hameaux sur la route d’Angers. Face à ce constat, une 0 portion de voie de l’actuelle Route d’Angers doit être dénommée différemment en évitant toute phonétique déjà existante pour éviter de perpétuer une difficulté déjà connue. A V La section concernée par cette nouvelle dénomination est comprise entre l’intersection avec la route départementale 102 et le giratoire de Pruniers. Quant à la R numérotation des immeubles, au regard de la longueur de la voirie et afin de I conserver une souplesse numérique, il est proposé la numérotation métrique. L Par ailleurs, compte tenu de la typologie du site, il a été proposé de faire référence à un nom donné cadastralement à des parcelles contiguës au chemin de halage et 2 parallèle à la Route d’Angers et de proposer :

0 - Route de la Moncellière 1

5 Je vous propose : • de retenir la dénomination « Route de la Moncellière », • de préciser que chacun des logements du secteur, y compris ceux desservis par une voie privée connectée sur ladite voie de desserte, bénéficiera de cette dénomination, • de valider le plan de dénomination ci-annexé.

Le Conseil Municipal, après en avoir délibéré, adopte à l’unanimité les propositions de Monsieur RIVAL.

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7 - CULTURE - Convention de partenariat avec l'association Bouchemaine Multi Loisirs

MadameMarie-France BENSAADON, Adjointe au Maire,

Expose :

S L’association Bouchemaine Multi Loisirs organise une exposition de E photographies qui se déroulera en 2 temps :

A - du 22 juin au 21 septembre 2015 dans le centre bourg de Bouchemaine, N quai des Pétroles, à la base nautique de Bouchemaine et à la Pointe, C - du 2 au 23 septembre dans l’Abbaye et le hall des Boîtes à Culture.

E Cette exposition aura pour thème « Bouchemaine d’hier et d’aujourd’hui ».

D Afin d’accompagner cette manifestation, la commune de Bouchemaine met à disposition de l’association Bouchemaine Multi Loisirs : U - des moyens techniques et humains, 3 - des salles d’exposition (Abbaye et hall des Boîtes à Culture).

0 L’association Bouchemaine Multi Loisirs souhaite reconduire cette exposition en 2016 et 2017 sur des thèmes différents. A Considérant l’intérêt de cette manifestation pour l’animation de la commune, V R I Je vous propose : L - d’autoriser Madame le Maire ou son représentant à signer la convention 2 ci-jointe qui définit le partenariat entre la commune et l’association pour l’organisation de l’exposition. 0 1 5 Le Conseil Municipal, après en avoir délibéré, adopte à l’unanimité les propositions de Madame BENSAADON.

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8 - CULTURE - Festival Bouche à Oreille, édition 2015 - Convention de partenariat avec l'association Jazz Maine pour le festival Bouche à Oreille (BAO)

MadameMarie-France BENSAADON, Adjointe au Maire,

Expose :

Dans le cadre de sa politique culturelle, la commune souhaite soutenir et S accompagner des actions associatives qui visent à développer l’offre E culturelle sur son territoire. Depuis 2010, l’association Jazz Maine organise le Festival de jazz « Bouche à Oreille », présentant une programmation A d’artistes professionnels et amateurs. N C Pour cette 6ème édition, le festival programmera des animations musicales pendant quatre jours, du vendredi 22 mai au lundi 25 mai 2015, sur divers E sites de la Commune à La Pointe.

D Afin de soutenir l’association Jazz Maine dans l’organisation de cette manifestation, la commune de Bouchemaine propose : U - l’octroi d’une subvention de fonctionnement de 5000 €, 3 - l’octroi d’une subvention exceptionnelle de 3330 €, (correspondant en 2014 à la prise en charge du cachet d’un spectacle de tête d’affiche), 0 - la mise à disposition du personnel communal et de moyens techniques, selon les modalités précisées dans la convention de partenariat ci-jointe. A Je vous propose : V R - d’autoriser Madame le Maire ou son représentant, à signer la convention I avec l’association Jazz Maine et procéder aux versements des subventions qu’elle prévoit. L

2 Le Conseil Municipal, après en avoir délibéré, adopte à l’unanimité les 0 propositions de Madame BENSAADON. 1 5

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9 - AFFAIRES FONCIERES - Acquisition par la Commune des parcelles cadastrées AA n° 312 et 313, espaces communs du lotissement "L'Audreyne" - sis Allée des Perdrix, à la Société Immobilière PODELIHA représentée par M. Francis STEPHAN

MonsieurPatrice NUNEZ, Adjoint au Maire,

Expose :

Par délibération du 27 septembre 2011, le Conseil Municipal a validé le principe de l’établissement de la convention de transfert des équipements propres d’usage public S du lotissement « L’Audreyne » autorisé le 30 novembre 2011 pour la création de 6 E lots destinés à l’habitation individuelle ou collective, avec Monsieur Francis STEPHAN, représentant la Société Immobilière Podeliha. A N A l’achèvement de cette opération, la convention de transfert des équipements C communs du lotissement « L’Audreyne » prévoit la cession des parcelles appartenant à l’aménageur (cadastrées AA n° 312 et 313 ) à la Commune afin d’intégration au E domaine public communal, (cf. plan en annexe). Ces espaces sont à usage de voirie et d’espaces verts.

D Au regard des procès-verbaux de pré-réception et de réception des travaux liés à U cette opération et puisque ne subsiste aucune réserve, la rétrocession est regardée aujourd’hui comme parfaitement envisageable.

3 Selon les termes de l’article 7 de la convention précitée, la cession amiable des parcelles AA n° 312 et 313 appartenant à la Société Immobilière Podeliha, 0 représentée par M. Francis STEPHAN se fait au prix de 10 €, les frais de notaire étant à la charge du vendeur.

A M. Francis STEPHAN, représentant la Société Immobilière Podeliha a signé la V promesse de vente correspondante en date du 6 février 2015. R Je vous propose de : I L  vous prononcer favorablement sur le principe de l’acquisition par la Commune des parcelles cadastrées AA n°312 et 313 constitutives des espaces communs du lotissement « L’Audreyne» sis Allée des Perdrix, réalisé par Monsieur Francis 2 STEPHAN représentant la Société Immobilière Podeliha pour une superficie de 1053 m² conformément au plan annexé à la présente, 0  accepter, conformément à l’article 7 de la convention de transfert du 20 février 1 2010, que cette acquisition soit réalisée par la Commune au prix de 10 € (dix euros), 5  préciser que les frais de géomètres et les frais d’actes seront à la charge de la Société Immobilière Podeliha,  autoriser Madame Le Maire ou son représentant à signer l’acte d’acquisition auprès de Maître Christophe DUCHENE dont l’office notarial est domicilié 16 rue des Deux Haies – BP 12 127 à ANGERS (49021),  préciser que les parcelles considérées seront ensuite classées dans le domaine public communal.

Le Conseil Municipal, après en avoir délibéré, adopte à l’unanimité les propositions de Monsieur NUNEZ.

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10 - ENFANCE-JEUNESSE -Multi-accueil "Couleurs de Maine" - convention de mandatement - validation des subventions 2014 et acomptes 2015.

MadameMichèle DEVILLERS, Adjointe au Maire,

Expose :

Par délibération du 26 juin 2011, le conseil municipal adoptait la convention d’objectif et de moyens qui confiait la gestion du multi-accueil « Couleurs de S Maine » à l’Association Petite Enfance dont le siège social est à Angers, 2 rue E Jean Rostand, en fixant les budgets prévisionnels de 2012 à 2016.

A Ainsi, après présentation des comptes 2014 de l’association, les montants N définitifs des subventions sont arrêtés comme suit : C

Montant de la subvention E Année définitive 2012 (pour rappel) 86 201,00 € D 2013 (pour rappel) 208 698,00 € U 2014 199 902,00 € er 1 acompte 2014 104 349,00 € 3 Reste à verser 2014 95 553,00 €

0 Prévisionnel 2015 207 437,00 €

A Conformément à la convention, les acomptes basés sur l’année N-1, seront versés à l’association, à savoir pour l’exercice 2015 : V R - 50 % soit 99 951,00 €, I - 30 % soit 59 970,60 €, - le solde de 2015 après arrêt des comptes (en 2016). L

2 Je vous propose :

0  de valider le montant de la subvention 2014 et des acomptes 2015. 1 5 Le Conseil Municipal, après en avoir délibéré, adopte à l’unanimité les propositions de Madame DEVILLERS.

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11 - EDUCATION - ENFANCE - JEUNESSE - Tarifs Education-Enfance-Jeunesse

Madame Michèle DEVILLERS, Adjointe au Maire,

Expose :

S Chaque année, en avril, la commune de Bouchemaine adresse aux familles dont les enfants sont scolarisés sur le territoire, un dossier unique pour les inscriptions E scolaires et activités péri & extrascolaires. A Ce dossier est accompagné du livret d’accueil indiquant les règlements et modalités N de fonctionnement des structures, sans en indiquer les tarifs. C Afin de permettre aux parents d’avoir toutes les informations utiles pour réaliser E l’inscription de leur(s) enfant(s), il y a lieu d’avancer l’examen des tarifs Education- Jeunesse, afin de les intégrer au livret d’accueil.

D Les tarifs évoluent en moyenne de 2,3 %, correspondant à l’évolution des coûts de U ses services.

Les principaux éléments de modifications des tarifs Education-Jeunesse ont pour 3 objectif une simplification et une meilleure lisibilité pour les familles. 0 Ils sont les suivants :

 sur le secteur de la jeunesse, refonte des quatre grilles existantes selon la nature A de l’activité en une grille unique, alignement de la grille des quotients familiaux (QF) sur celle du périscolaire et augmentation de la cotisation annuelle, V R La séance est suspendue à 20h16 (absence de Madame le Maire). Reprise de la séance à 20h22 I L  mise à jour du forfait APS et du forfait Etude : le forfait APS s’appliquera pour une fréquentation supérieure à 16 séances, le forfait Etude s’appliquera pour une 2 fréquentation supérieure à 8 séances,

0  suppression du forfait APS-Etudes,  maintien de la gratuité des TAP et de l’Etude pour les quatre premières tranches 1 de QF. 5 Je vous propose :

 de fixer les tarifs des activités péri et extrascolaires selon le document de détail joint à cette délibération, qui fixe notamment les dates d’application de ceux-ci.

Le Conseil Municipal, après en avoir délibéré, adopte avec 7votes contre (José FRANCO, Yves CARRÉ, Marie-Aimée MERCIER, Sophie LEGENDRE, Lydia GOBILLIARD, Ousmane CISSAKHO et Philippe LUCAS) les propositions de Madame DEVILLERS.

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12 - INTERCOMMUNALITE - Transfert de la compétence « Eclairage Public » de la communauté d’agglomération de Saumur Loire Développement au SIEML et de son adhésion au SIEML pour l’éclairage public.

MonsieurLouis POHARDY, Adjoint au Maire,

Expose :

S E Par délibération en date du 11 décembre 2014, la Communauté d’Agglomération de Saumur Loire Développement a décidé de transférer sa A compétence « éclairage public » au profit du Syndicat Intercommunal N d’Energie du Maine-et-Loire (SIEML). C Lors du dernier Comité Syndical qui s’est tenu le 3 févier dernier, le Comité E Syndical a accepté le principe de ce transfert.

D Conformément aux dispositions de l’article L.5211-17 du Code Général des Collectivités Territoriales, il appartient aux Collectivités Territoriales U adhérentes de délibérer sur le principe d’adhésion de la Communauté d’Agglomération de Saumur Loire Développement au titre de la compétence 3 optionnelle liée à l’éclairage public.

0 je vous propose de : A  donner un avis favorable à l’adhésion au SIEML de la Communauté V d’Agglomération Saumur Loire Développement, au titre de la compétence R optionnelle de « l’éclairage public ». I

L Le Conseil Municipal, après en avoir délibéré, adopte à l’unanimité les propositions de Monsieur POHARDY. 2

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QUESTIONS ECRITES

Questions de la liste « Initiatives Citoyennes »

1)La banderole d'information des manifestations à venir sur la commune de Bouchemaine, que nous avions l'habitude de voir sur le rond point de la départementale après le pont de Bouchemaine, serait supprimée par la municipalité. La liste « Initiatives Citoyennes » souhaite savoir si cette information est exacte ? En cas de réponse positive elle souhaite connaître les raisons qui motivent cette décision ? Enfin, quel moyen, la municipalité compte-t-elle utiliser pour remplacer ce moyen de diffusion de l'information ?

Madame le Maire répond qu’en effet, la banderole a été retirée pour des raisons esthétiques et S de sécurité. Une étude est en cours pour apporter une solution de remplacement. Toutefois, le E site internet de la ville et le magazine municipal, réserve de la place aux associations, et sont des supports de communication mobilisables par les acteurs locaux. A N 2) Il a été constaté que des pierres avaient été déversées dans le fossé rue du Artaud près de l'entrée du lotissement de la Landelière. Quel est le but poursuivi avec ce déversement ? C Monsieur POHARDY répond que l’apport de pierre a été fait par les services techniques pour E renforcer la bande de roulement qui s’affaisse avec le passage du bus.

3) Lors d'une réunion de quartier avec la municipalité en 2013, de nombreux habitants du D "Domaine Merveille" dans le Val de Maine, s'étaient plaints des conditions de circulation et U de stationnement sur la rue de la Haussette. En effet, les trottoirs sont tous utilisés pour le stationnement des véhicules laissant les promeneurs, les familles avec poussettes et les enfants marcher sur les routes. Par ailleurs, le stationnement dans les virages gêne la visibilité des véhicules circulant dans le quartier. Le danger est accentué par le fait que les véhicules 3 roulent au-delà des vitesses autorisées. Nous avons, par exemple, constaté que rue Merveille 0 ou rue du Moulin des stops avaient été mis en place pour ralentir la circulation, des plots pourraient également être implantés sur les trottoirs dans les virages du lotissement. La liste « Initiatives Citoyennes » souhaite que l'adjoint à la voirie puisse se rendre sur place A afin de constater la dangerosité, qu’il rende compte au Conseil Municipal de ses observations lors de la prochaine séance du mois de mai et que des mesures adéquates puissent être V proposées pour remédier à cette situation ?

R Monsieur POHARDY répond qu’il se déplacera. Il indique qu’un groupe de travail avec les I habitants du Val de Maine et des référents de sécurité routière va prochainement être constitué pour aborder divers points de sécurité. L 4) Lors du conseil municipal du 26 février 2015, la population a été informée de la modification des horaires d'ouverture et de fermeture de l’éclairage public sur la commune. 2 La liste « Initiatives Citoyennes » salue cette initiative qui s'inscrit dans ses propres engagements écologiques qui permet également de faire de substantielles économies. 0 Dans le même temps, il a été signalé à la liste « Initiatives Citoyennes » que l'éclairage 1 extérieur de l'école du Château restait allumé tous les jours matin et soir alors même qu'il fait jour en cette période de l'année. 5 Cet éclairage diurne est inutile. Selon les personnes qui sont intervenues auprès de la liste « Initiatives Citoyennes » il semblerait qu'il ne soit pas possible d'éteindre les lampes extérieures au motif que la programmation serait annuelle et qu'il serait trop compliqué d'intervenir. La liste « Initiatives Citoyennes » souhaite par conséquent connaître les mesures qui vont être prises pour remédier à cette situation qui est en contradiction avec la décision prise de restreindre l'éclairage public sur la commune.

Monsieur POHARDY répond qu’il s’agit d’un dysfonctionnement, l’appareil de commande serait défectueux. Il indique qu’il est toutefois surpris de ce constat car les riverains signalent régulièrement en mairie les anomalies. Madame le Maire ajoute que lorsque lesparents constatent une anomalie, il vaut mieux appeler la mairie, plutôt que d’attendre les questions écritesdu Conseil municipal. 14

5) A la fin de l'année 2014, la liste « Initiatives Citoyennes » s'est vu confirmer par courrier de Monsieur le Préfet de Maine et Loire que le compte-rendu et le procès-verbal du conseil municipal pouvait être deux documents différents. Cette procédure légale va dans le sens de la transparence de la vie publique puisqu'elle permet aux habitants de connaître les débats au sein du conseil municipal et les prises de positions des élus. Elle respecte également le principe de la liberté d'expression auquel chacun est attachée. La commune de Bouchemaine a adopté le principe de rédiger un compte-rendu et un procès- verbal du conseil municipal. Ce dernier est adopté au début de chaque séance. Depuis le 30 octobre, si le compte-rendu du conseil municipal est affiché, ce qui est une mesure de publicité obligatoire, il convient d'observer que tel n'est pas le cas du procès- verbal. Or, ce dernier document est le seul qui permet à la population de connaître la position de chacune des listes et de connaître l’intervention des élus qui représentent la population. La liste « Initiatives Citoyennes » demande à Madame le Maire si elle entend respecter l'engagement pris lors du conseil municipal du 30 octobre 2014 ou elle avait déclaré que : S « le procès-verbal sera affiché dès lors qu'il aura été approuvé » ? E Madame le Maire répond que son engagement du 30 octobre ne portait que sur le procès- A verbal du 25 septembre. Elle précise que nous répondons strictement à l’obligation légale d’affichage, sans aller au-delà. N C 6) L'adjoint à l'urbanisme a donné récemment une conférence de presse sur les perspectives de développement de la commune. Il a notamment été souligné concernant la situation de E Prunier, nous citons la phrase de l’article : « on met la pédale douce ». Cette expression familière pourrait se traduire par une volonté de ne pas construire plus que de raison sur Prunier. Or, il convient de rappeler que sur Prunier Angers Loire Habitat a procédé à D l'acquisition d'une parcelle de 6000 m² M² au prix de 700 000 euros afin d'y construire 10 logements libres de droit, 10 logements en accession à la propriété et 10 logements sociaux. U Lors de la campagne électorale, l’actuelle majorité « Bouchemaine un projet à partager » s'était engagée à réaliser auprès des associations de quartier « des logements locatifs et privés et logements pour personnes âgées ». 3 Dans ces conditions, l'interview de l'adjoint à l'urbanisme a suscité de nombreuses 0 interrogations.

Celles-ci peuvent être résumées en cinq questions. 1 - Le projet d'Angers Loire Habitat est-il toujours d'actualité ? A 2 - Si oui à quelle échéance au regard des déclarations de l'Adjoint à l'urbanisme ? V 3 - Les engagements pris à l'égard des associations seront-ils respectés ? 4 – Que va devenir le terrain acquis pour 700 000 euros ? R 5 - La commune ne va-t-elle pas être obligée de racheter le terrain à Angers Loire Habitat si I aucun projet ne voyait le jour ?

L Monsieur NUNEZ répond qu’il n’est, à l’heure actuelle, pas possible de répondre à ces questions. Les réponses seront rendues publiques lors de la réunion du 29 mai de présentation du PLUi. 2 7) Il a été constaté que toutes les barrières entourant le stade du Château ont été retirées il y a 0 quelques semaines. Pouvez-vous nous dire précisément ce qui se prépare sur cet espace et 1 quand ce sera réalisé ? Le programme électoral de l'équipe de Mme MAILLET n'était pas d’une grande clarté sur ce point ? 5 Madame le Maire répond que les barrières ont été enlevées car elles étaient inutiles. Les riverains en sont d’ailleurs satisfaits. Ce terrain a vocation à être en libre accès, pour la pratique de loisirs sportifs. Il sert également aux écoles et à la boite anim’. Nous faisons à ce titre appel au civisme de tous pour laisser ce terrain propre.Elle interpelle à ce sujet les membres de la liste Initiatives Citoyennes. Monsieur LUCAS souhaite avoir des explications. Madame le Maire lui répond qu’elle en apportera après le Conseil municipal.

8) Il a été constaté que le rond point du Chemin de la Gaudraie, de la rue de la Piverdière et de l'Allée des Rochelles qui assure la desserte de la RD 102 n’est pas respecté par de très nombreux véhicules. La liste « Initiatives Citoyennes » demande à ce que 4 panneaux de signalisation soient

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apposés sur ce carrefour afin d’obliger les véhicules à respecter le code de la route. A quelle échéance ce dispositif peut-il être mis en place ?

Monsieur POHARDY répond qu’aucun obstacle n’est autorisé au centre des carrefours à sens giratoire franchissable. Nous ne pouvons donc répondre favorablement à cette demande. Un riverain a eu à ce titre l’information. Monsieur LUCAS demande s’il est possible de modifier le rond-point. Monsieur POHARDY répond par la négative.

9) A l'issue des élections de mars dernier, les citoyens sollicités pour la tenue des bureaux de votes n'ont eu ni remerciements, ni même un pot de l'amitié...comme par le passé. Est ce par souci d'économies, par défaut d'organisation ou par manque de courtoisie?

Madame le Maire répond qu’un pot a été offert au deuxième tour, après la signature du procès-verbal centralisateur. S E

A Questions de la liste « Avec vous pour Bouchemaine »

N C 1)Abattage en site classé Rue du Pont de Pruniers, pour faire suite au courrier de M. E NUNEZ du 9/04/15 Vous avez été alerté sur l’abattage sauvage d’arbres en site classé, site inscrit au titre des rives de Maine : D • Quelles démarches avez-vous entreprises vis-à-vis de cet acte de vandalisme (rejet U des arbres coupés sur la falaise, risque au niveau de la sécurité, mauvaise image sur un lieu de passage des promeneurs) ? • Les propriétaires disposaient-ils d’une autorisation d’abattage ? 3 • Avez-vous reçu les bénéficiaires de l’autorisation d’urbanisme et obtenu les explications nécessaires ? 0 Monsieur NUNEZ répond que l’infraction est en cours de définition. En effet, la limite de propriété n’est pas nécessairement la clôture. Dans un premier temps, le nettoyage sera A demandé. Une rencontre est proposée le 7 mai aux propriétaires, difficilement joignables. Monsieur FRANCO interroge sur la correspondance entre la clôtureetle bornage cadastral. V Monsieur NUNEZ répond qu’une vérification est en cours.

R 2) Le Loire Princesse I Le Loire Princesse accoste maintenant à Bouchemaine : • Quels sont les retours de la compagnie et des Bouchemainois ? L • Quels effets, avantages et inconvénients, en tirez-vous dès à présent ? • Quels investissements prévoyez-vous (parking, ponton, aménagements 2 particuliers…) et qui en supportera les coûts ? • A qui sont imputés les frais de fonctionnement comme la consommation d’eau ? 0 • Comment est géré le risque vis-à-vis de la sécurité sur le chemin de halage lorsque le 1 bateau est alimenté en eau au niveau de la base nautique (présence d’un tuyau sur le passage des vélos) ? 5 • Qu’avez-vous envisagé sur la question des déchets générés (collecte, tri, pollution visuelle…) ? Monsieur RIVAL répond que nous avons de bons retours de la compagnie et des bouchemainois. Des contacts ont été pris pour des échanges commerciaux, certains ont déjà eu lieu. Des négociations sont en cours pour la prise en charge des investissements. Par ailleurs, un sous-compteur d’eau va être installé pour permettre la refacturation de la consommation d’eau. Enfin, l’alimentation en eau du bateau ne présente pas de risque majeur pour la sécurité. Le tuyau ne se situe pas sur le passage de la Loire à vélo. Enfin, Croisieurope a pris contact avec ALM pour la question des déchets, qui seront ramassés à la base nautique.

Monsieur FRANCO répond que cela reste un chemin de halage.

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Monsieur RIVAL répète que le tuyau de faible diamètre n’est pas dangereux.Des chemins sont plus dangereux dans d’autres communes. Madame LEGENDRE demande si une estimation de la consommation d’eau est connue. Monsieur RIVAL répond qu’un seul remplissage de 2mètres cube a été effectué et sera facturé. Il indique que les futurs investissement ne sont pas connus car le lieu de stationnement n’est pas définitif.

3) La piscine intercommunale Couzé’o Les habitants déplorent l’absence de communication par la commune de Bouchemaine sur cet équipement intercommunal (fonctionnement, prix et horaires d’ouverture). • Ce projet intercommunal fera-t-il l’objet d’un article complet dans le journal 49.080 ? • Quels seront les moyens de transport mis en place cet été pour que les jeunes s’y rendent, compte tenu de la non-ouverture de la piscine d’été de Bouchemaine en 2015 ?

S Monsieur NUNEZ répond que le SICAB a décidé que la communication sur Couzéo serait à E sa charge et à celle de Carilis. Il souhaite en avoir la maitrise. Toutefois, une information est prévue dans le prochain 49080, qui renverra sur notre site internet, où se trouve un article A complet. Par ailleurs, l’offre de transport public permet aux bouchemainois de se rendre à toutes les piscines de l’agglomération (en 31-32 minutes du bourg à Couzéo, avec un N changement et en 39 minutes pour aller à Aqua Vita) C Monsieur FRANCO demande s’il est prévu un transport spécifique, avec un lieu de rassemblement. E Monsieur NUNEZ répond par la négative. Le minibus serait un moyen inadapté et ridicule vu le besoin.

D 4) La communication U Les moyens de communication de la municipalité ne sont pas très explicites : • Quels sont les modes de communication des avis de réunions publiques auprès de la population, notamment pour la réunion sur le Plan Particulier d’Intervention (journal, 3 affichage, boîtes à lettre…)? • Comment la commune s’assure-t-elle que la population a été informée ? 0 Monsieur RIVAL répond que la communication est adaptée à chaque évènement. Elle peut passer par des affiches, la presse, le journal municipal, le site internet, des tracts, un courrier A ou du mailing. Monsieur FRANCO estime que vu le faible nombre de participants à la réunion publique V d’hier, on peut s’interroger. Les habitants de l’ancien périmètre n’ont pas été informés par courrier. R Monsieur RIVAL répond que la commune s’est conformée à la décision de la préfecture. I 5) Demandeurs d’emploi L La question de l'accès à l'emploi touche bon nombre de bouchemainois, de tous âges. • Pouvez-vous nous donner le nombre de demandeurs d'emploi sur la commune ? • Quelles information et publicité ont été faites autour du forum de l'emploi de 2 Beaucouzé, auprès des habitants et particulièrement les demandeurs d'emploi de notre 0 territoire ? • A-t-il été mis en place une proposition de transport pour les demandeurs d'emploi de 1 la commune ayant des soucis de mobilité pour se rendre au Forum de l'emploi le 28 avril dernier ? 5 • Quels sont nos liens avec le Point Emploi communautaire de Beaucouzé ?

Monsieur PINON répond qu’il y avait 216 demandeurs d’emploi sur la commune en février. La communication sur le forum de l’emploi a été faite dans la précipitation puisque les informations nous sont parvenues une semaine avant l’évènement. Nous avons mis à disposition les flyers fournis dans les lieux où il y a du public. Beaucoup de personnes étaient présentes au forum de l’emploi. Aucune demande de transport ne nous est parvenue. Par ailleurs, les liens avec le point emploi communautaire sont nuls (le référent est parti en juillet et nous avons fait connaissance de son successeur il y a un mois seulement). Monsieur CARRE souligne que le PEC pourrait être sollicité, afin de faire vivre la relation.

6)Les Gourgeauderies

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1 - En Conseil municipal de septembre 2013, nous avons autorisé Mme le Maire à solliciter auprès de M. le Préfet du Maine & Loire l’ouverture d’une enquête préalable à la déclaration d’utilité publique dans le cadre du projet d’aménagement du Chemin des Gourgeauderies concernant les quelques parcelles privées sur ce linéaire viaire. L’engagement de la procédure D.U.P. était envisagé ultérieurement à mars 2014, en raison des élections municipales. Quelle suite avez-vous donnée ou pensez-vous donner à cette D.U.P. et sur le besoin de rénovation et de sécurisation de cette chaussée ?

2 - Vous avez récemment été interpellés par les habitants des Gourgeauderies sur la reprise illégale d’activité de chaulage de matériaux inertes par la société RE ACTI et des nuisances diverses générées par cette activité. Qu’en est-il à ce jour, suite à la mise en demeure que vous avez notifiée début avril auprès du propriétaire des lieux ? Rappelons que notification avait été faite à cette société d’interrompre cette activité et de S trouver un autre lieu d’exploitation. Force est de constater que, si l’interdiction d’activité a E bien été dans un premier temps respectée pendant plusieurs mois, ce n’est plus le cas aujourd’hui. A Monsieur RIVAL répond qu’une dernière négociation a été engagée pour l’acquisition à N l’amiable des parcelles du chemin des Gourgeauderies. Concernant la reprise de l’activité de C chaulage, il s’avèrerait qu’elle bénéficie d’une autorisation préfectorale. Elle reste toutefois en infraction au titre de l’urbanisme. Nous avons sollicité la DREAL à ce sujet. E

D Levée de séance : 21h23 U

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A V R I L

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République Française – Département de Maine et Loire

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VILLE DE BOUCHEMAINE

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Procès-Verbal du Conseil Municipal

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Séance du 26 février 2015

L'an deux mil quinze, le vingt-six février à dix-neuf heures, le Conseil Municipal convoqué par lettre à domicile ou par courriel, s'est réuni à la salle d’animation des Boîtes A Culture, dans la salle ordinaire de ses séances, sous la présidence de Madame Véronique MAILLET, Maire, assistée de Robert RIVAL, Marie-France BENSAADON, Patrice NUNEZ, Didier PINON, Véronique RACINEUX, Louis POHARDY, Michelle MAUGÉ.

Etaient présents : Natacha DAGUET, Éliane DELFINO, Dominique BERTRAN, Sophie GUERY, Christine MOREAU, Jean-François TULOUP, Pascal DOMERGUE (arrivé en cours de séance), Julien COCHERY, Brice BOUVARD, Robert MENNESSIER, José FRANCO, Yves CARRÉ, Marie-Aimée MERCIER, Lydia GOBILLIARD, Ousmane CISSAKHO, Philippe LUCAS.

Noms des Mandants Noms des Mandataires

M. Arsène BOUCHER M. Didier PINON Mme Marie-Claire BOURGEONNEAU Mme Marie-France BENSAADON (arrivée en cours de séance) Mme Sophie BONNEAU Mme Véronique MAILLET Mme Michèle DEVILLERS M. Louis POHARDY Mme Sophie LEGENDRE Mme Lydia GOBILLIARD

Le Conseil Municipal a nommé secrétaire de séance : Sophie GUERY

L’intégralité des débats est accessible par l’écoute de l’enregistrement réalisé à chaque séance du Conseil Municipal

VILLE DE BOUCHEMAINE

CONSEIL MUNICIPAL DU 26 FEVRIER 2015

ORDRE DU JOUR

1 – Appel nominal et désignation du secrétaire de séance

2 – Procès-verbal de la séance du 29 janvier 2015

3 - ADMINISTRATION GENERALE - Démocratie locale - Désignation d'un référent de quartier

4 - CITOYENNETE - Dispositif «Participation citoyenne»

5 - JUMELAGE - Convention avec le Comité de Jumelage

6 - FINANCES - Site de la Piverdière - Aménagement paysager et valorisation - Demandes de subventions

7 - FINANCES - Espaces verts – Marché publics Maintenance des espaces verts communaux urbains et/ou ruraux – Appel d’offres ouvert 2014.08

8 - AMENAGEMENT - Convention avec Angers Loire Métropole portant sur la réalisation de travaux d'aménagement de voirie en faveur des bus et de mise en accessibilité des arrêts de bus

9 - AFFAIRES FONCIERES - Convention d'usage et d'entretien de la parcelle communale située rue de la Chapelle et cadastrée BA n°56, consentie à Monsieur et Madame Jean-Yves et Christiane THENIER

10 - AFFAIRES FONCIERES - Acquisition par la Commune de la parcelle cadastrée AV n° 268, espace commun du lotissement "Clos du Artaud" - sis rue du Artaud, à Madame Sophie BONNEAU et Monsieur Xavier NASSIF

11 - AMENAGEMENT - Versement de fonds de concours au SIEML pour les opérations d'extension, de rénovation, de dépannage et de remplacement d'appareils du réseau d'éclairage public - année 2015

12 - SPORT - Convention de mise à disposition d'un équipement public pour le Comité Départemental Sport Adapté de Maine-et-Loire

QUESTIONS ECRITES

Madame BENSAADON souhaite que le Conseil municipal ait une pensée particulière pour Isabelle Prime, angevine et amie, enlevée et séquestrée depuis mardi.

QUESTIONS SUR LES DIA ET DECISIONS MUNICIPALES

Aucune question n’est posée.

S E A N C E

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2 – PROCES-VERBAL DE LA SEANCE du 29 janvier 2015 - Approbation

Monsieur LUCAS souhaite savoir, en cas d’absence à un prochain conseil municipal, s’il peut voter avant ou après la séance. Madame le Maire répond par la négative. Monsieur LUCAS demande dans ce cas pourquoi Monsieur Cissakho a pu voter S au Conseil municipal de janvier auquel il n’a pas assisté. E Madame le Maire répond que son pouvoir était parvenu par mail. Monsieur CISSAKHO confirme. A Monsieur LUCAS déplore la leçon de morale que Monsieur Cissakho peut N donner. Il constate qu’il n’a pas le droit de voter avant ou après un Conseil C municipal et qu’il ne peut pas donner pouvoir. Madame le Maire réfute en confirmant sa possibilité de donner un pouvoir. E Arrivée de Pascal Domergue (19h15). D Monsieur CISSAKHO souhaite connaitre le taux de logement sociaux dans le U projet Khor. Madame le Maire répond que cette question n’a pas été posée lors du Conseil 2 municipal, la réponse ne figure donc pas dans le compte-rendu. Elle sera apportée ultérieurement. 6 Monsieur NUNEZ indique qu’il ne dispose pas de la réponse. Il souligne que Monsieur Cissakho fait une confusion entre différentes questions. F Monsieur CISSAKHO note que la réponse sera donnée ultérieurement.

E V Le procès-verbal de la séance du Conseil Municipal du 29 janvier 2015 est R adopté à l’unanimité (seuls les conseillers municipaux présents à ladite séance participent au vote). I E R

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Annexe : procès-verbal du conseil municipal précédent

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3 - ADMINISTRATION GENERALE - Démocratie locale - Désignation d'un référent de quartier

Madame le Maire,

Expose :

S Par délibération du 27 mai 2014, le Conseil Municipal a créé les conseils de E quartier et a désigné Mesdames DELFINO et ROUSSEAU référentes du quartier de La Pointe. A N Madame ROUSSEAU ayant démissionné de son mandat de conseillère C municipale, il convient de la remplacer.

E Monsieur MENNESSIER est candidat.

D Je vous propose : U  de désigner Monsieur Robert MENNESSIER, référent du quartier La Pointe, 2 en remplacement de Madame Isabelle ROUSSEAU.

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F Le Conseil Municipal, après en avoir délibéré, adopte à l’unanimité les propositions de Madame le Maire. E V R

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4 - CITOYENNETE - Dispositif « Participation citoyenne »

Madame le Maire,

Expose :

La Gendarmerie a présenté aux conseillers municipaux le dispositif de S « Participation citoyenne ». Ce dernier consiste à associer les habitants E d’ensembles résidentiels à la protection de leur environnement par une participation citoyenne, dans le but de : A N  rassurer la population, C  dissuader les individus malveillants de poursuivre leurs projets dans le secteur concerné, E  améliorer la réactivité des forces de sécurité contre la délinquance d’appropriation, D  accroitre l’efficacité de la prévention de proximité des forces de sécurité,  promouvoir de bonnes pratiques citoyennes de nature à renforcer la solidarité U de voisinage.

2 Le dispositif doit permettre d’alerter la Gendarmerie de tout évènement suspect ou de tout fait de nature à troubler la sécurité des personnes et des biens dont ils 6 seraient les témoins.

F La mise en place de « Participation citoyenne » se fait en plusieurs phases. Suite à l’avis favorable du Conseil municipal, le dispositif est présenté à la population, E notamment en réunion publique. La population est ensuite consultée afin que les V futurs référents citoyens puissent se faire connaître. Les candidats retenus sont R sensibilisés aux bonnes pratiques par la Gendarmerie Nationale, en délimitant les rôles de chacun. Une convention, fixant le cadre général de l’action concertée, I est ensuite signée par le Préfet, le Procureur de la République, le Maire et le E commandant de groupement de la Gendarmerie de Maine-et-Loire. Le suivi du R dispositif est réalisé en étroite collaboration avec la Gendarmerie.

2 Je vous propose : 0  d’émettre un avis favorable à la mise en place du dispositif « Participation 1 citoyenne » 5  d’autoriser Madame le Maire ou son représentant à signer le protocole fixant le cadre général de l’action concertée

Monsieur FRANCO indique que pour que le dispositif soit efficace, il faut une signalétique posée soit à l’entrée de la commune, soit à l’entrée de tous les quartiers, selon lui préférable. Il souhaite savoir quel choix sera fait. Par ailleurs, une enquête sera menée sur les volontaires. A son sens, les adjoints et les référents de quartier doivent systématiquement être inscrits sur la liste des volontaires. Cela fait l’objet d’une demande de sa liste. 6

Arrivée de Mme Bourgeonneau (19h23)

Madame le Maire répond que la question de la signalétique n’a pas encore été évoquée. Elle répond favorablement à la demande d’une signalétique développée. Elle est également favorable à la participation des élus à ce dispositif. Il est nécessaire que des gens raisonnables s’inscrivent, qui auront un accès direct à la Gendarmerie, plus efficace qu’un appel en mairie. Monsieur CISSAKHO salue, en tant qu’habitant du Chandoiseau, l’initiative. L’association de quartier avait d’ailleurs proposé cette action. Monsieur LUCAS souhaite savoir si, à part la gendarmerie, quelqu’un connaitra le nom des référents. Madame le Maire répond qu’en effet seule la gendarmerie connaitra les S référents.

E A N Le Conseil Municipal, après en avoir délibéré, adopte à l’unanimité les propositions de Madame le Maire. C E

D U

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F E V R I E R

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5 - JUMELAGE - convention avec le Comité de Jumelage

Monsieur RIVAL quitte la séance.

Madame le Maire,

Expose :

S E Par délibération en date du 30 juin 2009, il a été adopté le principe de confier les actions internationales de jumelage à un comité de jumelage, association para- A municipale. N C Une convention a été signée entre la Commune et le comité de jumelage en août 2010. E Considérant que cette convention est arrivée à échéance, il y a lieu de: D  redéfinir les missions du Comité de Jumelage, U  préciser les modalités de versement des subventions.

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6 Je vous propose :

F  d’autoriser Madame le Maire ou son représentant à signer la convention ci- jointe qui définit les modalités de fonctionnement du Comité de Jumelage, E  de verser une subvention de fonctionnement pour l’année 2015 de 1 500 €. V R

I Madame MERCIER souhaite savoir pourquoi la subvention a été réduite de 500 E euros. R Madame le Maire invoque les contraintes financières. Madame MERCIER demande si, en cas de manifestations exceptionnelles, il y aura un don supplémentaire. 2 Madame le Maire répond que la demande sera vue avec Monsieur Nunez, 0 adjoint aux finances. Monsieur LUCAS cite l’article 4 (« organisation des manifestations officielles 1 chaque fois que le Conseil Municipal en exprimera le souhait »). Il craint son 5 caractère abusif et souhaiterait le limiter. Madame le Maire rappelle l’article 1, qui précise l’objet de l’association, qui est clair, et encadre donc la convention. Monsieur LUCAS s’interroge sur l’alinéa suivant de l’article 4 (« solliciter les aides européennes), les demandes de subvention revenant à la commune. Enfin, il conteste l’application du tarif administratif pour le remboursement des frais de transport, cette mesure étant sévère. Madame le Maire invoque sur cette question les contraintes financières.

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Monsieur LUCAS évoque de l’article 10 et le vérificateur aux comptes. Il veut savoir s’il s’agit d’un commissaire aux comptes, qui aura un coût. Madame le Maire indique que cette disposition n’entrainera pas de surcoût.

Il est précisé que la disposition sur les subventions européennes visait essentiellement l’AFFCRE, qui octroie des aides aux comités de jumelage. Il n’est pas exclu que la commune demande également des subventions auprès de l’Union européenne.

Madame MERCIER interroge sur le refus de l’école de musique de prendre en charge les frais de transport vers Lamego des professeurs. Madame BENSAADON répond que l’école de musique est intercommunale. Or S le jumelage ne concerne que Bouchemaine. L’école de musique a donc fait un refus. Le jumelage incombe à chaque commune. E Monsieur LUCAS demande si le remboursement sur le tarif administratif est A revu. N Madame le Maire répond pour le moment par la négative, pour des raisons financières. Cela pourra être revu ultérieurement si la situation s’améliore. C Monsieur LUCAS indique que si la situation est à ce point, alors il faut réduire E les indemnités d’élus. Madame le Maire estime qu’il s’agit d’une réflexion démagogique.

D U Le Conseil Municipal, après en avoir délibéré, adopte à l’unanimité les propositions de Madame le Maire. 2 6

Monsieur RIVAL réintègre la séance F E V

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Annexe : convention

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6 - FINANCES - Site de la Piverdière - Aménagement paysager et valorisation. Demandes de subventions

Monsieur Patrice NUNEZ, Adjoint au Maire,

Expose :

Dans le cadre de la reconversion du site de la Piverdière, des études et des S travaux sont prévus pour aménager le site, pour conserver son aspect naturel et E valoriser ainsi des espaces remarquables.

A Compte tenu de l’intérêt de cette opération, ces études et travaux pourront N bénéficier de deux subventions du Conseil Régional, sur proposition d’Angers C Loire Métropole dans le cadre du Nouveau Contrat Régional 2013/2020 :

E  une subvention de 80 175 € sur la base d’une tranche d’opération arrêtée à 160 350 € HT, D  une subvention de 100 000 € sur la base d’une tranche d’opération arrêtée à 200 000 € HT. U Les plans prévisionnels de financement suivants ont été établis : 2 Montant de l’opération ……160 350 € HT 6 Subventions : F Région (nouveau contrat région, commune UNESCO) ...... 80 175 € Part de la commune: ………… ...... 80 175 € E V Montant de l’opération ……200 000 € HT R Subventions : I Région (nouveau contrat région)...... 100 000 € E Part de la commune: ……………… ...... 100 000 € R Vu le Code Général des Collectivités Territoriales,

2 Je vous propose : 0  d’approuver les plans de financement de cette opération. 1  de solliciter l’attribution et le versement des subventions concernées, la 5 Commune s’engageant à prendre en charge ce qui résulterait d’une diminution des subventions.  d’autoriser Madame le Maire ou son représentant à signer les conventions d’attribution correspondantes.

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Monsieur FRANCO souhaite savoir quels travaux et aménagements sont prévus. Monsieur NUNEZ souligne que les montants correspondent à une tranche de travaux. Il répond que les travaux seront discutés en commission. Il indique que la consultation pour la maitrise d’œuvre pour l’aménagement du belvédère est lancée. Des carottages ont été réalisés sur le plateau bas. Monsieur LUCAS rappelle que seuls 70 000 euros ont été budgétés. Or la demande porte sur un montant supérieur. Il veut savoir si on calera le montant des travaux sur la subvention obtenue, et donc en l’absence de subvention, il n’y aura pas de travaux. Monsieur NUNEZ indique qu’il y aura débat sur les travaux. Monsieur LUCAS déplore l’absence de plan pluriannuel d’investissement, un an après élection. Il souhaite savoir d’où on en est. S Monsieur NUNEZ procède au vote.

E A N Le Conseil Municipal, après en avoir délibéré, adopte avec 6 abstentions (José FRANCO, Yves CARRÉ, Marie-Aimée MERCIER, Lydia C GOBILLIARD – bénéficiant du pouvoir de Sophie LEGENDRE, Ousmane E CISSAKHO) les propositions de Monsieur NUNEZ.

Monsieur CISSAKHO indique qu’on met la charrue avant les bœufs. D Monsieur NUNEZ répond que le débat est clos. U

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7 - FINANCES - Espaces verts – Marchés publics Maintenance des espaces verts communaux urbains et/ou ruraux - Appel d’offres ouvert 2014.08

Monsieur Patrice NUNEZ, Adjoint au Maire,

Expose :

S Les marchés relatifs à la « Maintenance des espaces verts urbains et/ou ruraux » E viennent à expiration et il convient de relancer une consultation afin de choisir des prestataires pour les différents lots pour le début de l’année 2015. A N Compte tenu du montant global des contrats, cette consultation a nécessité le C lancement d’une procédure d’appel d’offres ouvert, telle que décrite aux articles 57 à 59 du Code des Marchés Publics. Il s’agit d’un marché à bons de E commande au sens de l’article 77 du même code.

D La Commission d’Appel d’Offres en date du 3 février 2015, a décidé d’attribuer les lots sur la base des devis quantitatifs estimatifs aux entreprises suivantes : U Montant HT en Euros Lots Désignation Nom des entreprises sur la base du devis retenues 2 quantitatif estimatif 6 Les Ateliers de l’ADAPEI à Lot 1- Entretien des espaces verts 83 647,20 euros HT Avrillé - 49240 Elagage et abattage d’arbres et de AUBANCE ELAGAGE à F Lot 2- haies, débroussaillage de haies et 6 997,50 euros HT Notre Dame d’Allençon - de bois 49380 E Entretien de chemins de Les Ateliers de l’ADAPEI à Lot 3- 1 386,00 euros HT V randonnées et liaisons douces Avrillé - 49240 Association Départementale R Entretien de ruisseaux, ripisylves des Restos du Cœur 49 à Lot 4- I et bassins d’orage 2 334,00 euros HT St Barthelemy d’Anjou - 49124 E Entretien de prairies naturelles/espaces naturels, haies, MOREAU & Associés à R Lot 5- 31 010,80 euros HT accotements, talus et fossés en Andigné - 49220 rives de voies 2

0 Je vous propose : 1 5  d’autoriser Madame le Maire à signer les marchés correspondants avec les entreprises retenues,  de préciser que les dépenses seront imputées au chapitre 11 de la section de fonctionnement du budget communal.

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Monsieur FRANCO souhaite connaître le montant inscrit en dépense. Des économies sont-elles réalisées ou le même montant a-t-il été inscrit ? Monsieur NUNEZ précise que les chiffres mentionnés ne correspondent pas au budget, le coût dépend de l’activité de l’année qu’on ne connait pas. Le budget alloué sera respecté. Monsieur FRANCO craint que le marché soit alloué au moins disant et qu’il y ait une perte de qualité. Monsieur NUNEZ répond que des critères qualitatifs, sociaux et environnementaux ont été fixés. Monsieur LUCAS rappelle que les mêmes inquiétudes ont été soulevées sur les espaces verts au cours du précédent mandat. L’entretien avait fait l’objet de coupes sombres. Il souhaite savoir si le plan d’entretien des espaces verts sera S revu ou maintenu. Monsieur POHARDY répond que les espaces verts sont en mutation. Certaines E contraintes sont imposées, notamment au sujet de l’utilisation des produits A phytosanitaires. Une étude est en cours pour revoir les méthodes et les procédés, N pour conserver la qualité. Monsieur LUCAS indique que les riverains étaient amenés à entretenir les voies C délaissées. Il veut savoir si on s’inscrit dans ce plan là ou si on le revoit. Le E problème se trouvait notamment dans le Val de Maine. Monsieur POHARDY répond qu’on va enherber certains chemins en falun car les traitements vont devenir interdits. Nous devons pouvoir passer avec des D engins. U Monsieur LUCAS constate qu’il n’y a donc pas de changement.

2 6 Le Conseil Municipal, après en avoir délibéré, adopte à l’unanimité les propositions de Monsieur NUNEZ.

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8 - AMENAGEMENT - Convention avec Angers Loire Métropole portant sur la réalisation de travaux d'aménagement de voirie en faveur des bus et de mise en accessibilité des arrêts de bus

Monsieur Patrice NUNEZ, Adjoint au Maire,

Expose : S E Par une délibération en date du 29 mars 2011, le Conseil Municipal avait A autorisé la signature d’une convention avec Angers Loire Métropole en vue de N l’aménagement et de la mise en accessibilité des arrêts des lignes urbaines du C réseau de transports en commun d’agglomération.

E Cette convention, signée le 21 juin 2011, avait une durée de quatre ans, non renouvelable. Aussi, conformément à la Loi du 11 février 2005 pour la D participation et la citoyenneté des personnes handicapées et en application de son Schéma Directeur d’Accessibilité des transports collectifs approuvé par U délibération du 12 février 2009, Angers Loire Métropole propose aux communes la signature d’une nouvelle convention pour une durée de deux ans. Celle-ci a 2 été approuvée par le Conseil Communautaire en sa séance du 8 décembre 2014.

6 Cette convention a pour objets principaux de :  valider le fait que la Commune assure la maîtrise d’ouvrage du F réaménagement et de la mise en accessibilité des arrêts de bus,  préciser les conditions techniques dans lesquelles les travaux doivent être E exécutés par la Commune, V  définir les modalités de financement des travaux, par Angers Loire R Métropole, dans le cadre d’un fonds de concours et conformément à l’article L. 5216-5 VI du Code Général des Collectivités Territoriales. I E Compte tenu de ces éléments, je vous propose de : R  valider le principe et les termes de la convention jointe à la présente (cf. annexe) ayant pour objet de fixer les rôles respectifs de la Commune de Bouchemaine et d’Angers Loire Métropole lors de la réalisation des 2 aménagements susvisés et les modalités de leur financement, 0  d’autoriser Madame le Maire ou son représentant à signer la convention au nom de la Commune. 1 5 Monsieur FRANCO rappelle qu’il n’y a pas de PPI, donc aucune visibilité. Il souhaite connaître l’avancement de la mise en accessibilité des équipements et de la question du passage du bus dans la rue des reinettes. Monsieur NUNEZ répond qu’ALM fait une étude sur la desserte du réseau de bus sur Bouchemaine. Madame le Maire assure qu’il s’agit d’un sujet qui tient à cœur l’équipe et qui sera défendu à ALM pour qu’il avance. Monsieur FRANCO veut savoir si des informations sur le programme de mise en accessibilité seront prochainement communiquées. 14

Madame le Maire répond par la positive. Monsieur CISSAKHO rappelle que la loi exige un programme. Madame le Maire répond que la commune respectera ses obligations. Monsieur NUNEZ précise qu’un plan pluriannuel sera élaboré. Il souligne qu’on ne part pas de grand-chose. Les BAC ne sont pas actuellement accessibles. Il y a une identification à faire puis un débat à organiser. L’échéance pour le dépôt du programme est fixée à septembre. Madame le Maire indique qu’une commission accessibilité sera constituée. Monsieur CARRE rappelle que l’objet de la commission est de revisiter tout nouvel aménagement, pour adapter au plus près des besoins. Monsieur POHARDY indique que des rencontres ont été organisées avec les résidents de Pastel de Loire, qui ont formulé des demandes. On recense S actuellement les ERP qui demandent des mises aux normes.

E A N Le Conseil Municipal, après en avoir délibéré, adopte à l’unanimité les propositions de Monsieur NUNEZ. C E

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Annexe : Projet de convention

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9 - AFFAIRES FONCIERES - Convention d’usage et d’entretien de la parcelle communale située rue de la Chapelle et cadastrée BA n° 56, consentie à Monsieur et Madame Jean-Yves et Christiane THENIER.

Monsieur Patrice NUNEZ, Adjoint au Maire,

Expose :

S E La Commune est propriétaire d’une parcelle non bâtie située rue de la Chapelle et cadastrée BA n° 56 (cf. plan joint). Cette parcelle est constitutive d’un chemin A en impasse et fait partie du domaine privé communal. N C Dans le cadre d’une division en vue de construire de la parcelle qui lui est mitoyenne, cadastrée BA n° 184, un accès depuis ce chemin a régulièrement été E autorisé en même temps que la construction d’un lot détaché (permis de construire référencé PC 049 035 13 A 0025 en date du 18 novembre 2013 et ses D modificatifs).

U Par une précédente délibération en date du 25 septembre 2014, le Conseil Municipal a consenti à ce qu’une servitude soit établie à l’initiative et au profit 2 d’ERDF afin qu’une canalisation de ligne électrique souterraine basse tension soit implantée à demeure dans l’emprise du chemin privé communal. 6 Il convient dorénavant d’autoriser les propriétaires de la parcelle BA n° 184, en F les personnes de Monsieur et Madame Jean-Yves et Christiane THENIER, à réaliser les travaux de desserte en réseaux et d’accès roulant sur l’emprise privée E communale. V R Dans l’immédiat, et aux fins de permettre les travaux de viabilisation avant qu’une servitude puisse être actée devant notaire, cet accord peut revêtir la forme I d’une convention d’autorisation et d’entretien, stipulant les conditions E suivantes : R - M. et Mme Jean-Yves et Christine THENIER sont autorisés à faire procéder aux travaux de viabilisation de leur terrain à bâtir selon les modalités et tracés validés préalablement par les services techniques communaux, 2 - s’agissant d’équipements propres à l’autorisation de construire au sens de 0 l’article L.332-15 du Code de l’Urbanisme, la maîtrise d’ouvrage de la totalité des travaux sera assurée par M. et Mme Jean-Yves et Christiane THENIER 1 sous leur propre responsabilité, 5 - le chemin devra impérativement recouvrer son état initial après réalisation des travaux, - seul le passage, notamment roulant, sera autorisé depuis l’espace privé communal ; tout stationnement étant formellement interdit, - le chemin sera non clos et l’accès à la parcelle communale ne devra pas être entravé par quelque occupation que ce soit, - l’accès sera permis de façon permanente aux bénéficiaires de la convention mais également aux services techniques communaux et aux concessionnaires de réseaux ayant éventuellement à intervenir, 16

- Monsieur et Madame THENIER s’engagent à l’entretien régulier des éléments végétaux présents sur ce chemin, conjointement avec les autres riverains, - la convention sera effective jusqu’à la signature de l’acte authentique établissant la servitude correspondante,

Ces modalités seront reprises dans l’acte notarié établissant la servitude de passage (roulant et tous réseaux).

Au regard de ces éléments, je vous propose de :  autoriser Monsieur et Madame Jean-Yves et Christiane THENIER à faire procéder aux travaux de viabilisation de leur terrain à bâtir selon les S modalités et tracés validés préalablement par les services techniques communaux, E  autoriser Madame Le Maire ou son représentant à signer la convention liant A M. et Mme Jean-Yves et Christiane THENIER à la Commune pour l’usage et N l’entretien de l’emprise privée communale cadastrée BA n° 56,  autoriser Madame Le Maire ou son représentant à effectuer toutes les C démarches et signer tous actes nécessaires à l’établissement de la servitude E correspondante (servitude de passage de réseaux et d’accès roulant) qui sera passée ultérieurement devant Maître Christophe DUCHENE, domicilié 16 rue des deux haies –BP 12 127 – 49 021 ANGERS cedex 02. D U Monsieur LUCAS indique que le report a permis de faire le point sur ce dossier, notamment sur place. Il précise que les concessionnaires sont passés et que le 2 chemin n’a plus le caractère ancien, auquel on tenait. Il est souhaitable qu’à 6 l’avenir, les concessionnaires veillent à ce que les chemins soient remis en état.

F E Le Conseil Municipal, après en avoir délibéré, adopte à l’unanimité les V propositions de Monsieur NUNEZ.

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Annexes : - n° 9-1 plan masse de la parcelle privée communale cadastrée BA n° 56 17

- n° 9-2 projet de convention avec M. Mme THENIER

10 - AFFAIRES FONCIERES - Acquisition par la Commune de la parcelle cadastrée AV n° 268, espace commun du lotissement "Clos du Artaud" - sis rue du Artaud, à Madame Sophie BONNEAU et Monsieur Xavier NASSIF.

Monsieur Patrice NUNEZ, Adjoint au Maire, S Expose : E A Par délibération du 26 janvier 2010, le Conseil Municipal a validé le principe de N l’établissement de la convention de transfert des équipements propres d’usage public du lotissement « Clos du Artaud » autorisé le 17 mars 2010 pour la création de 4 lots C maximum destinés à l’habitation individuelle ou collective, avec Madame Sophie E BONNEAU et Monsieur Xavier NASSIF.

A l’achèvement de cette opération, la convention de transfert des équipements communs D du lotissement « Clos du Artaud » prévoit la cession de la parcelle appartenant aux aménageurs (cadastrée AV n°268) à la Commune afin d’intégration au domaine public U communal, au même titre que la parcelle communale AV n° 266 qui lui est adjacente (cf. plan en annexe 10-1). Ces deux espaces sont à usage de cheminements et d’espaces verts. 2 6 Au regard des procès-verbaux de pré-réception et de réception des travaux liés à cette opération et puisque ne subsiste aucune réserve, la rétrocession est regardée aujourd’hui comme parfaitement envisageable. F E Selon les termes de l’article 7 de la convention précitée, la cession amiable de la parcelle AV n°268 appartenant à Madame Sophie BONNEAU et M. Xavier NASSIF se V fait au prix de 10 €, les frais de géomètres et de notaire étant à leur charge. Les R aménageurs ont signé la promesse de vente correspondante en date du 1er février 2015.

I Je vous propose de : E R  vous prononcer favorablement sur le principe de l’acquisition par la Commune de la parcelle cadastrée AV n°268 constitutive des espaces communs du lotissement « Clos du Artaud » réalisé par Madame Sophie BONNEAU et Monsieur Xavier 2 NASSIF pour une superficie de 12 m² conformément au plan annexé à la présente (annexe 10-2), 0  accepter, conformément à l’article 7 de la convention de transfert du 20 février 2010, 1 que cette acquisition soit réalisée par la Commune au prix de 10 € (dix euros),  préciser que les frais de géomètres et les frais d’actes seront à la charge des 5 aménageurs (Madame Sophie BONNEAU et Monsieur Xavier NASSIF),  autoriser Madame LE MAIRE ou son représentant à signer l’acte d’acquisition auprès de Maître Alain LE MEUT dont l’office notarial est domicilié Avenue Jean Jaurès à TRELAZE (49800),  préciser que la parcelle cadastrée AV n°268 sera ensuite classée dans le domaine public communal au même titre que la parcelle privée communale cadastrée AV n° 266.

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Monsieur LUCAS demande s’il y a encore des rétrocessions dans les voiries communales à faire. Monsieur NUNEZ répond par la positive. Il s’agit d’un gros travail. Monsieur POHARDY indique que les rétrocessions se font aujourd’hui plus régulièrement, à la fin des dossiers. Monsieur LUCAS souhaite avoir un état des lieux, surtout en vue du passage en communauté urbaine. Monsieur FRANCO souligne que les rétrocessions sont longues en raison de la problématique de la remise en état des voies. S E A Le Conseil Municipal, après en avoir délibéré, adopte à l’unanimité les N propositions de Monsieur NUNEZ. C E Madame MAILLET n’utilise pas le pouvoir qu’elle détient de Madame BONNEAU, qui ne participe donc pas au vote.

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Annexes :  n° 10-1 : plan de délimitation des ouvrages objet de la convention de transfert du lotissement « Clos du Artaud »,

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 n° 10-2 : plan cadastral de la parcelle à acquérir par la Commune.

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11 - AMENAGEMENT - Versement de fonds de concours au SIEML pour les opérations d'extension, de rénovation, de dépannage et de remplacement d'appareils du réseau d'éclairage public - année 2015

Monsieur Louis POHARDY, Adjoint au Maire,

Expose :

En application de l’article L. 5212-26 du Code Général des Collectivités S Territoriales et conformément à la délibération du Comité Syndical du SIEML E en date du 12 octobre 2011 décidant les conditions de mise en place des fonds de concours, il appartient aux communes adhérentes au SIEML, dont fait partie A Bouchemaine, de délibérer pour le versement de fonds de concours assortis aux N travaux énumérés dans le règlement financier du SIEML.

C Au regard du budget primitif 2015, voté par délibération du Conseil Municipal E du 18 décembre 2014, les opérations d’éclairage public, concernées par le cadre procédural listé ci-après, s’élèveront au maximum à 5 000,00 euros Hors Taxes pour 2015 : D U Fonds de concours demandé à la Opérations concernées Commune - 30 % du montant HT des travaux travaux d'effacement des réseaux basse 2 - 75 % maxi pour Communes ne tension électriques et d'éclairage public 6 versant pas la taxe sur l'électricité travaux d'effacement des réseaux d'éclairage 75 % du montant HT des travaux public (seuls) extension du réseau d'éclairage public (hors 75 % du montant HT des travaux F lotissement d'habitation et d'activités) E rénovation du réseau d'éclairage public - lanterne autre que classée classe A+ et/ou - 75 % du montant HT des travaux V mât R - lanterne classée classe A+ et/ou mât - 65 % du montant HT des travaux rénovation du réseau d'éclairage public : 75 % du montant HT des travaux I mise en place d'horloges et d'armoires, de E prises guirlandes, etc… R Par ailleurs, il est à noter que la participation relative à la maintenance du réseau d’éclairage public est estimée, pour 2015, à 28 000,00 euros. Cette dernière 2 intègre deux modes de financement inscrits en section de fonctionnement du 0 budget communal :  un fonds de concours pour les opérations de réparation suite à la détérioration 1 de lanternes, mats, armoires ou tableaux de commande, 5  un appel à contribution pour la maintenance préventive des installations.

Enfin, au regard des différents travaux exécutés au cours du dernier semestre 2014, faisant l’objet d’une charge à rattacher au budget 2014 sur l’exercice 2015, le montant du fonds de concours à verser par la Commune au profit du SIEML est décliné comme ci-après :

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 pour les opérations de catégorie n°5 - Rénovation du réseau d'éclairage public: mise en place d'horloges et d'armoires, de prises guirlandes, etc…, le montant du fonds de concours à verser par la Commune au profit du SIEML est de 75% du montant HT des travaux et représente à ce jour 3 726,03 euros HT, selon le détail ci-dessous :

Fonds de concours Montant de la Montant en Référence Site Complément dépense en Taux euros - euros INVESTISSEMENT 035-14-574 Rue du Clos de Beauvais remplacement du coffret C15 1 351,88 75% 1 013,91 HT 035-14-572 Rue du Petit Vivier remplacement du coffret L13 1 974,43 75% 1 480,82 HT 035-14-576 Les Durelleries remplacement du coffret L16 1 344,27 75% 1 008,20 HT 035-14-604 Rue de l'Abbaye pose d'une prise guirlande 297,46 75% 223,10 HT S TOTAL DCM du 25/02/2015 4 968,04 HT 75% 3 726,03 HT

E  pour les opérations de catégorie n°6 – dépannage du réseau d’éclairage A public, d’horloges et d’armoires, le montant du fonds de concours à verser par N la Commune au profit du SIEML est de 75% du montant TTC des travaux et représente 7 901,45 euros TTC (en section de fonctionnement), selon le détail C ci-dessous : E Date du Montant de la Fonds de concours Référence Lieux dépannage dépense Montant D Fonctionnement Taux Fonctionnement 035-14-585 05/08/2014 Dépannage curatif d'aout 1 070,87 TTC 75% 803,15 TTC U 035-14-588 18/08/2014 Square des Perches 478,64 TTC 75% 358,98 TTC Dépannage curatif de 035-14-594 25/09/2014 septembre 5 661,07 TTC 75% 4 245,80 TTC 2 035-14-597 15/10/2014 Rue de la Poste 1 437,66 TTC 75% 1 078,25 TTC Dépannage curatif de 6 035-14-600 28/10/2014 novembre 517,98 TTC 75% 388,49 TTC 035-14-605 10/11/2014 Le Vallon panne généralisée 276,08 TTC 75% 207,06 TTC F 035-14-606 13/11/2014 Rue de la Fontaine 276,08 TTC 75% 207,06 TTC Dépannage curatif de E 035-14-613 18/12/2014 décembre 816,89 TTC 75% 612,67 TTC TOTAL DCM du 25/02/2015 10 535,27 TTC 75% 7 901,45 TTC V R Compte tenu de ces éléments, je vous propose de :  autoriser, dans les conditions susvisées, le versement d’un fonds de concours I pour 2015, d’un montant maximal de 5 000 euros Hors Taxes, au profit du E Syndicat Intercommunal d’Energies de Maine-et-Loire, dans le cadre des R opérations de rénovation du réseau listées ci-dessus,  autoriser le versement du fonds de concours pour les opérations de rénovation du réseau d'éclairage public : mise en place d'horloges et d'armoires, de prises 2 guirlandes, etc…, pour un montant de 3 726,03 euros Hors Taxes (ces 0 dépenses seront imputées au compte 204 – subventions d’équipements versées – en section d’investissement du budget communal), 1  autoriser le versement du fonds de concours pour les opérations de dépannage 5 du réseau d’éclairage public, d’horloges, d’armoires pour un montant de 7 901,45 euros Toutes Taxes Comprises, réalisées en 2014 (cette dépense sera imputée au compte 65 - autres charges de gestion courante – en section de fonctionnement du budget communal),  préciser que les modalités de versement du fonds de concours seront conformes aux dispositions du règlement financier arrêté par le SIEML, en date du 12 octobre 2011.

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Monsieur FRANCO s’interroge sur la prise guirlande rue de l’abbaye. Monsieur POHARDY répond que cette prise permettra de brancher les décorations de Noël. Monsieur FRANCO souhaite connaitre l’avancement du programme de renouvellement des candélabres. Monsieur POHARDY indique qu’il y a surtout un gros problème avec les lampes non conformes qui ne se font plus. Monsieur FRANCO demande si on va utiliser le stock avant de mettre en place des lampes plus économiques. Monsieur POHARDY répond que la commune n’a pas les moyens de tout changer. Madame le Maire rappelle que cette compétence passera à la communauté S urbaine. Monsieur POHARDY souligne qu’il y a de plus de plus de règles. Les lampes E énergivores et inefficaces sont à remplacer. A Monsieur FRANCO s’interroge plus particulièrement sur les candélabres. Il y a N un programme de renouvellement à faire. Il va falloir faire des investissements pour faire des économies. C Monsieur POHARDY confirme qu’un programme pluriannuel doit être fait, car E le coût est très important (300 000 euros). Madame le Maire souligne que la question sera vue dans le cadre de la communauté urbaine. D Monsieur LUCAS répond qu’ALM va solliciter le SIEML pour connaitre l’état U de notre patrimoine. Monsieur POHARDY précise qu’il y a beaucoup d’incertitudes à ce sujet. Monsieur LUCAS rappelle que l’éclairage public est une charge de la commune. 2 La communauté urbaine ne prendra pas tout en charge. Il manifeste son 6 inquiétude, accrue au regard de la voirie (longueur et état). Les attributions de compensation seront impactées. Madame le Maire répond qu’ils seront vigilants sur le transfert de charges. F Monsieur NUNEZ indique que le SIEML a été sollicité pour refaire un état des E lieux. Il n’est peut-être pas nécessaire de changer tous les candélabres. Il V s’interroge sur la pertinence des 300 000 euros.

R I E Le Conseil Municipal, après en avoir délibéré, adopte avec une abstention (Philippe LUCAS) les propositions de Monsieur POHARDY. R

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12 - SPORT - Convention de mise à disposition d'un équipement public pour le Comité Départemental Sport Adapté de Maine et Loire

Madame Michelle MAUGE, Adjointe au Maire,

Expose :

S Par délibération en date du 27 octobre 2009, le Conseil Municipal a défini les E principes de mise à disposition des salles communales pour les associations. Il a été ainsi adopté le principe d’un tarif pour tout prêt de salles aux associations A hors commune. N C Le Comité Départemental Sport Adapté de Maine et Loire souhaite organiser à Bouchemaine une journée de jeux gymniques dans le cadre de son programme E « Sport Adapté Jeunes », projet de développement des activités physiques et sportives auprès des jeunes en situation de handicap physique ou sensoriel. D Cette journée est prévue le jeudi 26 mars 2015 dans la salle de gymnastique du U complexe sportif du Petit Vivier, de 9h à 15h30. Sur le planning actuel, seuls les créneaux de l’accueil APS (12h-13h30) et de l’IME du Graçalou (13h30-15h30) 2 seront décalés avec un possible repli dans la salle de danse ou la salle de tennis de table. 6 Par ailleurs, la salle du Val de Maine sera mise à disposition, pour le temps de la F restauration des participants à cette journée, de 12h à 13h30. Cette salle est actuellement libre sur ce créneau horaire. E V Considérant l’intérêt de cette manifestation, et afin d’encourager et soutenir cette R initiative, je vous propose, de prêter gracieusement la salle de gymnastique du complexe sportif du Petit Vivier et la salle du Val de Maine, par le biais d’une I convention de mise à disposition d’équipements publics. E R Je vous propose :

2  d’approuver le principe de la mise à disposition gratuite de salles au Comité 0 Départemental de Sport Adapté de Maine et Loire pour cette manifestation,  d’approuver le projet de convention annexé, 1  d’autoriser Madame le Maire ou son représentant à signer cette convention. 5

Le Conseil Municipal, après en avoir délibéré, adopte à l’unanimité les propositions de Madame MAUGE.

Annexe : convention

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QUESTIONS ECRITES

Questions de la liste « Initiatives Citoyennes »

1) La revue de presse est adressée tous les jours aux membres du Conseil Municipal par les services municipaux et c’est une très bonne chose. La liste « Initiatives Citoyennes » entend remercier le personnel municipal qui réalise ce travail parfois ingrat mais précieux pour tous les élus communaux. Toutefois, nous avons pu observer que l’article de presse intitulé « Le S Directeur du Tourisme embarrassait-il la droite ? » publié par le journal Ouest E France et rédigé par Arnaud WADJZIK n’a pas été reproduit dans la revue de presse. Cet article mentionne deux élus du conseil municipal de Bouchemaine A et notamment le maire de Bouchemaine dans ses fonctions de Vice Présidente N d’Angers Loire Métropole. Nous y apprenons notamment que le Directeur d’Angers Loire Tourisme aurait été sanctionné soit pour des « insuffisances » C soit pour une proximité avec une candidate de gauche au Conseil Général. E La liste « Initiatives Citoyennes » souhaite savoir pourquoi cet article n’a pas été adressé aux membres du Conseil Municipal ? Elle souhaite également savoir quelles sont les règles qui régissent la transmission ou non des articles D de presse ? U Madame RACINEUX répond que l’article mentionné n’a pas été transmis car il ne concernait pas Bouchemaine. En effet, seuls les articles concernant 2 directement Bouchemaine sont intégrés à la revue de presse et diffusés à ce 6 titre. Les pratiques précédentes n’ont pas été modifiées. Monsieur LUCAS demande s’ils auront des informations sur les élections. Madame le Maire répond par la négative et invite à acheter directement la F presse. E V 2) La liste « Initiatives Citoyennes » souhaite que lui soit confirmé le nom de l’imprimerie qui assure l’impression du bulletin municipal, le montant de la R réalisation de chaque numéro et la durée du marché signé avec la société. I E Madame RACINEUX répond que le prestataire retenu pour l’impression du journal municipal est Connivence. Le marché a été conclu pour une durée R d’un an, renouvelable deux fois (durée de trois ans maximum). Au regard du secret commercial, il n’est pas autorisé de rendre public le détail des prix. Le 2 montant de la facture pour le premier numéro sera par conséquent communiqué par mail à l’ensemble des conseillers municipaux. 0 1 3) Des habitants du Val de Maine ont constaté que l'éclairage public de ce 5 quartier serait coupé plus tôt le soir. La liste « Initiatives Citoyennes » souhaite savoir si cette information est exacte ? Si tel est le cas elle souhaite connaître les raisons qui motivent cette décision ?

Monsieur POHARDY répond, comme l’indique l’information accompagnant la convocation à cette séance de Conseil municipal, qu’il a été décidé l’extinction systématique de l’éclairage public entre 23h30 et 5h45. Cette décision a été prise afin de réduire nos dépenses de fonctionnement et la pollution lumineuse. 25

Monsieur LUCAS déplore l’information tardive sur cette question. Madame BENSAADON rappelle qu’un article dans le premier 49080 y avait été consacré.

Questions de la liste « Avec vous pour Bouchemaine »

1) Les élus d’AVPB vous questionnent sur le devenir de la piscine d’été de Bouchemaine conformément à l’engagement que vous avez pris vis-à-vis des Bouchemainois.

S Sur le sujet, vous avez lancé, à l’automne 2014, un marché à procédure adaptée pour une mission de maîtrise d’œuvre concernant la rénovation de la E piscine d’été : ce MAPA faisait état d’une date de remise des plis pour le 14 A novembre 2014 à 12 heures, délai de rigueur. N Nous avons également relevé dans ce MAPA que l’enveloppe prévisionnelle C affectée aux travaux était estimée à 540 000€ HT soit 648 000€ TTC, E enveloppe à laquelle devra être ajoutée les frais d’étude initiés, portant le montant total à un niveau nettement supérieur à celui pour lequel vous vous êtes engagés. D’autre part, nous considérons cet investissement inopportun au D regard de la mise en service de Couzéo, piscine intercommunale ouverte toute U l’année pour un coût de fonctionnement plus que raisonnable.

2 Force est de constater qu’à ce jour, les élus municipaux de Bouchemaine, et a fortiori les Bouchemainois, n’ont pas été informés de la suite donnée à cette 6 consultation, que ce soit en conseil municipal ou en commission idoine.

F Qu’en est-il aujourd’hui : E ••• du résultat de cette consultation V ••• du devenir de votre projet de réhabilitation de la piscine d’été, que ce soit R en termes de réalisation des travaux et en coût total d’investissement ?

I Monsieur NUNEZ répond que la consultation mentionnée a été déclarée sans E suite le 3 décembre 2014. Le programme sera revu afin de respecter R l’enveloppe financière allouée. Les délais de réalisation des travaux ne sont pas à ce jour fixés. L’objectif reste de remettre en état la piscine. Monsieur FRANCO souhaite connaitre le montant du budget. 2 Monsieur NUNEZ répond que le budget est de 500 000 euros - 550 000 euros 0 HT. Monsieur CISSAKHO indique qu’il s’agit d’un engagement fort, il souhaite 1 entendre le maire à ce sujet. 5 Madame le Maire confirme qu’il s’agit d’un engagement fort. Les travaux seront réalisés dans le cadre de cette enveloppe. Monsieur CISSAKHO estime que ce n’est pas réalisable. Madame le Maire répond qu’elle est persuadée du contraire.

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2) Sur l'arrêt du bail de la Lpo et l'affectation du local de la place Rouzebouc.

Par la presse nous avons appris que la Ligue protectrice des Oiseaux ne pourra plus bénéficier de son espace public sur le local de la Pointe par votre équipe prochainement. Deux questions à ce sujet: ••• Pourquoi exclure cette association protectrice de la biodiversité et qui bénéficie d'un certain rayonnement sur le site de la pointe sans lui proposer un nouvel emplacement public de qualité sur Bouchemaine, afin de conserver une synergie animation et conscientisation à la protection de la faune, rayonnement des artisans, et espaces de restauration et de détente sur la S pointe. (Ceci afin de valoriser ce site remarquable à l'aide des acteurs E structurants et complémentaires à l'animation et à la réputation de cet espace) ••• A Quel sera le devenir de ce local et son affectation au regard des attentes des artisans - créateurs de la pointe? Quelles sont les instances de N concertation sur ce projet ? C E Monsieur RIVAL répond que la LPO n’était pas satisfaite du local devenu trop exigu. L’association n’a répondu favorablement à aucune de nos propositions de relogement. Concernant la nouvelle affectation de ce local, D plusieurs projets sont à l’étude, visant à développer le tourisme, l’économie et U l’activité des artisans d’art. Madame MERCIER demande qui sont les artisans d’art, si ce sont ceux de Bouchemaine. 2 Monsieur RIVAL répond qu’ils n’étaient plus intéressés mais qu’ils le sont à 6 nouveau. Madame MERCIER indique qu’il est fait état dans la presse d’un local pour la Loire à vélo et pour les artisans. Elle s’interroge sur la conciliation des F deux. E Monsieur RIVAL répond que les deux projets sont à l’étude. La priorité est donnée aux artisans d’art. V Madame MERCIER demande si ce sont ceux de la Pointe. R Monsieur RIVAL répond que ce sont les artisans d’art en général. I Madame MERCIER souhaite savoir s’il y avait un contentieux sur le loyer. Monsieur RIVAL répond par la négative. E Madame MERCIER demande s’ils sont épaulés par des professionnels du R tourisme. Monsieur RIVAL répond que c’est le cas et qu’une rencontre aura lieu le 6 mars. 2 Monsieur FRANCO souligne que les artisans d’art ont entendu beaucoup de 0 choses, notamment sur des projets préjudiciables à leur activité. Il demande 1 s’il est possible de conclure une convention précaire pour prolonger la LPO le temps de trouver un relogement. Beaucoup d’inquiétudes persistent. Il 5 souhaite savoir s’il existe une autre solution de relogement que la Poste. Monsieur RIVAL répond que les espaces proposés ne convenaient pas. Il n’y a pas d’autres espaces à proposer. Ils ont trouvé aujourd’hui un autre local. L’espace que la LPO occupe actuellement sera libre à partir du 14 juillet.

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3) Sur l'aménagement de l'arrivée du LOIRE PRINCESSE à Bouchemaine Quelles sont les chances de voir arriver les croisiéristes sur Bouchemaine, avec quel impact en termes de circulations de bus, sur les quais, et quelles réelles retombées sur la cité ?

Monsieur RIVAL répond que nous n’avons pas tous les détails. Croisieurope arrivera bien à Bouchemaine mais la date n’est pas officielle. La date du 20 avril a été annoncée, qui sera probablement avancée. Il n’y a pas de problème pour les bus. Il n’y a pas d’autre demande. Lors de certaines manifestations, il ne sera pas possible d’accueillir Croisieurope. S Monsieur FRANCO souhaite avoir des détails techniques. E Monsieur RIVAL indique que la réponse technique est simple. Le bateau est A doté de 4 moteurs, il peut tourner sur lui-même. L’appontage se fera sur le quai de la Noë avec des corps morts financés par Croisieurope. Les pontons N sont toujours la propriété du Conseil général. Nous en deviendrons surement C propriétaires. Aucune demande d’autorisation ne devait nous parvenir. E

D U Levée de séance : 20h55

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F E V R I E R

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COMMUNE DE BOUCHEMAINE – Acquisition par la Commune des parcelles cadastrées AA n° 312 et 313, espaces communs du lotissement « L’Audreyne » - sis Allée des Perdrix, à la Société Immobilière PODELIHA représentée par M. Francis STEPHAN.

Annexe : Plan cadastral des parcelles à acquérir par la Commune

AA n° 312

AA n° 313

COMMUNE DE BOUCHEMAINE – Acquisition par la Commune des parcelles cadastrées AA n° 312 et 313, espaces communs du lotissement « L’Audreyne » - sis Allée des Perdrix, à la Société Immobilière PODELIHA représentée par M. Francis STEPHAN.

Annexe : Plan cadastral des parcelles à acquérir par la Commune

AA n° 312

AA n° 313

CONVENTION DE PARTENARIAT

Entre les soussignées,

La Ville de Bouchemaine, dont le siège social est situé au 5 Quai de la Noë, 49080 BOUCHEMAINE, représentée par Mme Véronique MAILLET, agissant en sa qualité de Maire, autorisée par délibération du Conseil Municipal du 30 avril 2015, ci-après dénommée « la Commune », d’une part, et

L’Association Jazz Maine, dont le siège social est situé au 13, Quai de la Noë, 49080 BOUCHEMAINE représentée par Madame Anne-Marie DELANGLE, agissant en sa qualité de Présidente, habilitée par une délibération du Conseil d'Administration du 15 janvier 2011, ci-après dénommée « l’Association », d’autre part.

Il a été convenu et arrêté ce qui suit :

PREAMBULE

Dans le cadre de sa politique culturelle, la Commune souhaite soutenir les actions associatives qui visent à développer l’offre culturelle sur son territoire. C’est dans ce sens que la Commune soutient et accompagne le festival « Bouche à Oreille », festival de jazz qui propose, sur quatre jours en 2015, une programmation d’artistes professionnels et amateurs.

ARTICLE 1 - OBJET ET ORIGINE DU PARTENARIAT

Le partenariat a débuté lors de la 1 ère édition du festival qui s’est tenue en 2010.

La présente convention a pour objet d’établir le partenariat entre les parties pour l’organisation et la mise en œuvre de la manifestation qui se déroulera du 22 au 25 mai 2015, au parc du Petit Serrant et ses alentours.

DRACTE – MéR Page 1 sur 5 avril 2015

ARTICLE 2 – MODALITES DE SUIVI DE LA CONVENTION

Les parties conviennent de se rencontrer régulièrement au moins trois fois dans l’année, afin de faire le point sur la réalisation des objectifs et de mettre en place la manifestation tant au niveau technique que sur des aspects de communication.

ARTICLE 3 – LES OBLIGATIONS DE LA COMMUNE

La Commune décide d’accompagner l’Association dans la mise en place technique du festival selon un cahier des charges très précis fourni par elle, qui précisera, quelques mois à l’avance, les besoins en matériel.

La Commune s’oblige à : • mettre à disposition à titre gracieux, la Base Nautique (gîte compris) et l’occupation du domaine public, • mettre à disposition à titre gracieux, les matériels municipaux (tables, chaises, barrières, barnums, buvette, podium, blocs de secours, extincteurs…) dans la limite des quantités disponibles, • délivrer les arrêtés de débit de boissons nécessaires, • délivrer les autorisations d’occupation du domaine public, • délivrer les arrêtés de voirie nécessaire (stationnement et circulation) et la signalétique correspondante dans la limite des quantités disponibles, • s’engager à faire les démarches auprès du Conseil Général pour demander une limitation de vitesse à 50 km/h sur la D111, • organiser le travail des services administratifs et techniques en soutien aux bénévoles de l’Association en amont et en aval de la manifestation, • informer par courrier les riverains des modifications de circulation pendant la manifestation, • prendre à sa charge un vin d’honneur pour l’ouverture du festival auprès des officiels (50 personnes environ).

ARTICLE 4 – LES OBLIGATIONS DE L’ASSOCIATION

L’Association s’oblige à : • organiser la manifestation dans tous ses aspects administratifs et techniques et dans ses moindres détails, • fournir le budget prévisionnel précis à la Commune, • finaliser toute demande de matériel et d’organisation de la manifestation avant le mercredi 13 mai 2015. Passée cette date, la Commune ne sera plus en mesure de répondre favorablement aux sollicitations de l’Association, • mettre tout en œuvre pour assurer la sécurité des participants quel que soit leur statut, • mobiliser les bénévoles nécessaires au bon déroulement de la manifestation, • mettre tout en œuvre pour disposer de bénévoles (un planning de présence des bénévoles sera établi en concertation avec la Commune, selon les besoins), qui viendront renforcer les équipes des services techniques, pour le montage et le démontage du matériel, • procéder au démontage et rangement du petit matériel tel que livré (tables, chaises, etc.), • rendre les locaux et le matériel mis à disposition dans un état de propreté tel qu’ils ont été trouvés, • présenter un bilan de la manifestation permettant d’apprécier les points forts et les points faibles de son organisation et présentant de manière transparente l’exécution des recettes et des dépenses. DRACTE – MéR Page 2 sur 5 avril 2015

ARTICLE 5 – DISPOSITIONS TECHNIQUES PARTICULIERES : INSTALLATION D’UN CHAPITEAU AU PARC DU PETIT SERRANT

Un chapiteau de 17x22 m, loué par l’Association au Collectif MOBIL CASBAH 378 route de Ste Luce 44300 Nantes, tel : 02 53 97 54 92, sera implanté sur le site du parc du Petit Serrant au niveau du chemin en stabilisé et à cheval sur celui-ci du mercredi 20 mai 2015 au mardi 26 mai 2015. Un technicien de la mairie accueillera la société au parc du Petit Serrant ; en cas d’urgence, il pourra être sollicité dans la journée.

Ce chapiteau pourra accueillir 370 personnes en configuration spectacle (avec alignements de chaises) ou 500 personnes si le public reste debout.

Cette implantation nécessitera le déplacement, par les services de la Commune, de certains bancs situés le long de ce chemin.

Au regard de la réglementation liée à la mise en place d’un chapiteau accueillant du public dans le cadre d’une manifestation, l’Association, en tant que locataire de la structure, doit respecter certaines dispositions : - l’Association doit obtenir l’autorisation du Maire pour ouvrir le chapiteau au public, - l’emplacement doit être défini conjointement et préalablement avec la Commune, - au préalable, l’Association doit fournir, huit jours au moins avant la manifestation, l’extrait du registre de sécurité se composant des documents suivants : • partie réservée au propriétaire du chapiteau :  numéro du registre de sécurité  nom, raison sociale et adresse du propriétaire,  date de la visite de réception, lieu, autorité qui a délivré la conformité,  dimension et coloris du chapiteau,  référence des procès-verbaux de réaction au feu (si non-marquage NF),  date et visa du bureau de vérification qui a délivré l’extrait (partie réservée au propriétaire) et qui atteste de la conformité des installations,  mention de la conformité au règlement des installations électriques propres à l’établissement et date de la dernière vérification (arrêté du 10 juillet 1987). • partie réservée à l’organisateur de la manifestation :  nom, raison sociale et adresse de l’organisateur,  activité(s) prévue(s),  effectif(s) du public reçu (en fonction des activités prévues)  le plan des aménagements intérieurs doit être joint à l’extrait du registre de sécurité (arrêté du 7 mars 1988), - l’Association s’engage à faire contrôler les installations techniques (montage du chapiteau, installations électriques, podium…) par un organisme agréé et à fournir la copie des rapports de contrôle à la Commune.

La Commune fera visiter le chapiteau, avant l’ouverture au public, par la commission de sécurité, au titre des ERP, notamment pour ce qui concerne : • l’implantation, • les aménagements, • les sorties et les circulations.

DRACTE – MéR Page 3 sur 5 avril 2015

ARTICLE 6 – DISPOSITIONS FINANCIERES

Par délibération du Conseil Municipal du 30 avril 2015, la Commune versera une subvention de fonctionnement de 5 000 € pour l’édition 2015 à l’Association, au vu du budget prévisionnel et du programme présentés pour le festival « Bouche à Oreille » ; ainsi qu’une subvention exceptionnelle, à hauteur de 3 330 € correspondant au cachet d’un concert, comme cela est stipulé dans la délibération du Conseil Municipal en date du 18 décembre 2014 à l’annexe B1.7 du budget primitif 2015.

La Commune encaissera les recettes en provenance de l’occupation du domaine public (sous la forme d’une régie municipale de recettes) pour tous les commerçants ambulants présents sur le site, sauf en cas d’annulation de la manifestation.

En outre, la Commune prend à sa charge et dans la limite d’un budget maximum de 2 250 €, les locations suivantes : - de deux groupes électrogènes de 100 et 60 KVA, y compris le carburant consommé, - d’un sanitaire supplémentaire au parc du Petit Serrant (soit au total deux sanitaires).

Restent à la charge de l’Association : - la location d’un chapiteau au parc du Petit Serrant, - le coût de passage d’un organisme de contrôle technique pour le chapiteau, - les cachets artistiques et techniques, - la location du matériel de sonorisation, - le catering des artistes et des techniciens.

Les autres dépenses (non listées dans cette convention) ou recettes du festival seront respectivement à la charge ou au profit de l’Association.

En cas d’annulation de la manifestation, un bilan financier des dépenses engagées (au vu des justificatifs) sera dressé. L’Association pourra être amenée à reverser à la Commune une partie de la (des) subvention(s).

ARTICLE 7 – COMMUNICATION

L’Association s’engage à valoriser la participation financière de la Commune par l’apposition du logo de Bouchemaine sur tous les documents informatifs ou promotionnels (plaquettes, affiches, tracts, site internet…) ainsi que lors de chaque spectacle. Elle s’engage en outre à mentionner que la Commune est le premier partenaire de l’Association sur le festival.

Le Maire ou l’un de ses représentants sera systématiquement associé aux diverses présentations du festival (presse, partenaires…).

La Commune valorisera le festival sur l’ensemble de ses supports de communication : site internet, journal municipal, panneaux électroniques … En parallèle, l’Association fournira le logo du festival à la Commune, sans contrepartie financière.

DRACTE – MéR Page 4 sur 5 avril 2015

ARTICLE 8 - ASSURANCE

L’Association est exclusivement responsable de l’exercice de ses missions. A ce titre, elle assurera son matériel et son personnel (l’ensemble des bénévoles de la manifestation devenant collaborateurs occasionnels de l’Association), ainsi que tous les risques liés à l’accueil du public.

L’assurance de l’Association prendra aussi en charge tout dommage lié aux biens, aux personnes ou causé à un tiers.

ARTICLE 9 - RESILIATION DE LA CONVENTION

La présente convention pourra être résiliée de plein droit par l’une ou l’autre des parties en cas de non-exécution de l’un des articles ci-dessus, après mise en demeure par lettre recommandée avec avis de réception, restée infructueuse pendant un délai d’un mois.

Pour ce faire, la partie requérante devra, à l’issue de ce délai, notifier par lettre recommandée avec avis de réception, le motif de la résiliation de la présente convention. Celle-ci sera réputée résiliée dès réception de cette lettre, ou à défaut, quinze jours après sa date d’expédition.

Tout manquement à l’application de cette convention fera l’objet d’un avertissement écrit. La répétition et/ou la gravité de ces manquements pourront entraîner la suppression de la (les) subvention(s) accordée(s), voire une dénonciation immédiate de la présente convention.

La présente convention sera rendue caduque quinze jours après la manifestation.

ARTICLE 10 - ATTRIBUTION DE COMPETENCE

En cas de désaccord persistant entre les parties, le tribunal administratif de Nantes sera seul compétent pour trancher les litiges relatifs à l’interprétation ou à l’exécution de la présente convention.

Fait à Bouchemaine, le

Pour l’Association, Pour la Commune,

La Présidente de Jazz Maine, Le Maire,

Anne-Marie DELANGLE Véronique MAILLET

DRACTE – MéR Page 5 sur 5 avril 2015

Commune de Bouchemaine – Direction des Relations Associatives, Culturelles, Touristiques et Européennes

CONVENTION DE PARTENARIAT

Entre les soussignés,

La Ville de Bouchemaine, représentée par Madame Véronique MAILLET, en sa qualité de Maire Quai de la Noë, 49080 BOUCHEMAINE N° SIRET : 21490035900016 Code APE : 8411Z N° téléphone : 02.41.22.20.15 Fax : 02.41.22.20.01 Mail : [email protected]

d’une part, et L’Association : Bouchemaine Multi Loisirs Dont le siège social est situé 3 rue Chevrière Représentée par Monsieur Jean-Jacques PEYRE, agissant en sa qualité de Président, N° téléphone : 06.58.00.04.27 Mail : [email protected]

d’autre part.

Il a été convenu et arrêté ce qui suit :

ARTICLE 1 - OBJET ET ORIGINE DU PARTENARIAT

La présente convention a pour objet d’établir le partenariat entre les parties pour l’organisation et la mise en œuvre d’une exposition photographique, en extérieur, d’une durée maximale de 3 mois consécutifs chaque année, et en intérieur, proposée par l’association Bouchemaine Multi Loisirs dans la commune de Bouchemaine. Ce partenariat est reconductible deux fois ; sa reconduction fera l’objet d’un avenant à cette convention pour chacune des deux années suivantes. Pour l’année 2015, l’exposition se tiendra du 22 juin 2015 au 21 septembre 2015, dans le centre-bourg de Bouchemaine, le quai des Pétroles, la base nautique de Bouchemaine et à la Pointe ; puis, du 2 au 23 septembre 2015 dans l’Abbaye et le hall des Boîtes à Culture. Elle aura pour thème « Photos d’hier et d’aujourd’hui ».

ARTICLE 2 – OBLIGATION DES PARTIES

En 2015, la commune :

• apportera un soutien logistique pour l’aide au montage/démontage des photographies en extérieur, dans la limite de 47 heures de travail, • mettra à disposition, à titre gratuit, pendant trois semaines (du 2 au 23 septembre 2015 :

Commune de Bouchemaine – Direction des Relations Associatives, Culturelles, Touristiques et Européennes

- le sous-sol et le grenier de l’Abbaye (pour information, valorisation de la mise à disposition : 1 050 €) - le hall des Boîtes à culture (pour information, valorisation de la mise à disposition : 480 €).

L’association s’oblige en contrepartie à :

• collecter les photographies, les sélectionner, les reproduire, les transporter, • prendre en charge la totalité des frais financiers liés à la manifestation (achat et/ou locations de matériels, reproductions, communication, vernissage, etc…), • installer les expositions (en intérieur et extérieur) par ses propres moyens avec le soutien logistique communal tel qu’indiqué dans le paragraphe précédent, • communiquer la fréquentation des expositions en intérieur, • procéder au démontage et enlèvement des matériels, • rendre les locaux désignés ci-dessus dans un état de fonctionnement et de propreté tel qu’ils ont été trouvés. Par ailleurs, si l’association souhaite exposer des photographies sur les murs ou enceintes de propriétés privées, et sous couvert de l’autorisation des services de l’urbanisme, l’association devra obtenir l’autorisation de chaque propriétaire concerné.

ARTICLE 3 – COMMUNICATION

L’association prend à sa charge tous les supports de communication de quelque nature que ce soit tels que : affiches, flyers, cartons d’invitation, etc…

L’association s’engage à faire apparaître sur tous ses documents de communication informatifs ou promotionnels (plaquettes, affiches, tracts, site internet…) la participation de la commune par l’apposition du logo de Bouchemaine.

La commune de Bouchemaine s’engage à valoriser l’exposition sur ses supports de communication tels que site internet, journal municipal, panneaux électroniques.

ARTICLE 4 - ASSURANCE

L’association souscrira toutes les polices d’assurances nécessaires pour garantir sa responsabilité civile ainsi que le matériel lui appartenant en propre. Elle paiera les primes et cotisations de ces assurances afin que la Commune ne puisse en aucun cas être inquiétée.

L’association fournira les attestations correspondantes.

ARTICLE 5 – DUREE DE LA CONVENTION

La présente convention est conclue pour une durée d’un an, reconductible deux fois (en 2016 et 2017), sous réserve d’un bilan positif après chaque manifestation. La reconduction de ce partenariat fera l’objet, chaque année, d’un avenant à cette convention.

Commune de Bouchemaine – Direction des Relations Associatives, Culturelles, Touristiques et Européennes

ARTICLE 6 – RESILIATION – RESTRICTION

Une résiliation de la présente convention peut intervenir à tout moment pour raisons exceptionnelles, chaque partenaire étant tenu d’en d’informer l’autre au moins deux mois à l’avance.

Les lieux (salles et espaces communaux) sont mis à disposition de l’association pour ce festival photographique qui se veut artistique, la municipalité se réservant, comme pour toute exposition, la possibilité de faire retirer toute photographie risquant de perturber l’ordre public.

Fait à Bouchemaine, le

Le Président de Bouchemaine Par délégation du Maire, Multi Loisirs, l’Adjointe en charge de la Culture et de la Mémoire,

Jean-Jacques PEYRE Marie-France BENSAADON

Commune du Bouchemaine Annexe à la DCM du 30 avril 2015 Changement de dénomination d'une portion de voie de la Route d'Angers.

Voie à dénommer

Route d’Angers

Avenue du Lac de Maine

PROTOCOLE D’ACCORD

Entre

La Commune de Bouchemaine représentée par Madame Véronique MAILLET, en sa qualité de Maire, autorisée par délibération du Conseil Municipal du 30 avril 2015, dont le siège social est situé au 5 quai de la Noë 49080 BOUCHEMAINE, d’une part,

Et

L’Équipée Belle, représentée par Monsieur Eric BOLO, en sa qualité de Mandataire, dont le siège social est situé au 28A La Rochette 44640 VUE, d’autre part,

PREAMBULE

Les parties soussignées entendent préalablement rappeler ce qui suit :

Dans le cadre de la cérémonie des Vœux du Maire à la population initialement prévue le dimanche 11 janvier 2015 à 14h45, l’Équipée Belle devait se produire et présenter le spectacle « Show Devant » pour la somme de 1322,85 € charges comprises.

Cependant, suite aux attentats du 7 janvier 2015, contre la rédaction du journal « Charlie Hebdo », un appel à un rassemblement pour une marche républicaine a été lancé nationalement. La population était donc invitée à se rassembler à Angers le dimanche 11 janvier 2015 à 15h.

La cérémonie des vœux prévue le même jour, aux mêmes horaires a donc été annulée, sans possibilité de report.

Compte tenu de ces circonstances particulières, il convient de trouver un accord commun pour le versement d’une indemnité aux artistes, soit un montant de six cents euros (deux cents euros par artiste de l’Équipée Belle).

CECI EXPOSÉ, IL EST CONVENU ENTRE LES PARTIES

Article 1er : Prise en charge de l'indemnisation et responsabilités Les parties signataires au présent protocole conviennent que le versement de l'indemnité convenue et son acceptation ne vaut aucune reconnaissance de responsabilité de l'une des parties signataires.

Article 2 : Objet du présent protocole L'objet du présent protocole est de permettre d'éviter tout contentieux entre les parties et de déterminer les conditions dans lesquelles la commune de Bouchemaine pourra indemniser les artistes de l’Équipée Belle.

Article 3: Montant de l'indemnisation Monsieur Eric BOLO accepte, en règlement, le versement d'une indemnité forfaitaire d'un montant total net de 600 € (six cents Euros) pour l’Équipée Belle, soit le versement de 200 € (deux cents Euros) par artiste : Madame Pascale LE BIHAN, Monsieur Bruno SABATHE et Monsieur Eric BOLO.

Article 4 : Modalités de paiement de l'indemnité Le paiement de l'indemnité définie à l'article 3 du présent protocole se fera selon les règles de la comptabilité publique par mandatement administratif.

Article 5 : Engagement de non recours Il est convenu entre les signataires que le présent protocole d'accord est conclu d'un commun accord entre les parties, par référence aux articles 2044 et suivants du Code civil, et que, dès lors, suivant l'article 2052 du même Code, ledit accord doit être vu comme ayant entre les parties l'autorité de la chose jugée qui s'y trouve attachée, et ne pourra être attaqué ni pour cause d'erreur de droit, ni pour cause de lésion.

En contrepartie de l'indemnisation qui est versée, les artistes de l’Équipée Belle (cités à l’art.3) renoncent à exercer tout recours, de quelque nature qu'il soit, au titre de l’annulation du spectacle programmé le 11 janvier 2015 et de la perte de revenu qui en a résulté pour eux.

Fait à Bouchemaine, en deux exemplaires, le

Pour l’Équipée Belle, Pour la Commune, le Mandataire, le Maire,

Eric BOLO Véronique MAILLET

Proposition de tableau de répartition des tâches pour les communes et Angers Loire Métropole

N° Phase de la procédure Collectivités

I. Dépôt de la demande :

1 Accueil et information du public pour le dépôt du dossier Commune Réception des demandes et vérification du nombre d'exemplaire requis par les 2 Commune articles R 423-1 et R 423-2 Affectation d'un numéro d'enregistrement réglementaire, enregistrement du dossier 3 sur le logiciel informatique mis à disposition par ALM et délivrance d'un récépissé Commune au pétitionnaire 4 Tamponnage et numérisation des pièces Commune Affichage en mairie des avis de dépôt de demande de permis ou de déclaration, 5 avant la fin du délai des 15 jours suivant le dépôt, et conservation d'un exemplaire Commune de la demande et du dossier qui l'accompagne Si nécessaire, transmission immédiate avant la fin de la semaine qui suit le dépôt, 6 Commune d'un exemplaire de la demande à l'Architecte des Bâtiments de France, Transmission au préfet, dans la semaine qui suit le dépôt, d'un exemplaire de la 7 Commune demande au titre du contrôle de légalité (ou selon pratiques validées avec la préfecture) Transmission, dans la semaine qui suit le dépôt, d'un exemplaire supplémentaire à 8 la Direction Régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement, si Commune le projet est situé dans un site classé ou une réserve naturelle. Transmission du dossier au service instructeur commun par navette ou par courrier en deux exemplaires papier (minimum) et un exemplaire numérisé, idéalement dans un délai de 8 jours ouvrés pour les PC et les DP avec un délai majoré et 4 9 Commune jours ouvrés pour les DP à 1 mois et les CUb.

Le Maire informe le service instructeur de la date des transmissions précitées. II. Phase instruction Communication de l'avis d’opportunité du Maire qui ne peut excéder : 10 - 10 jours pour les DP à 1 mois et CUb, Commune - 15 jours pour les DP avec un délai majoré et les PC Enregistrement dans le logiciel et transmission au service instructeur commun des 11 Commune avis des services consultés dès réception (au plus tard 3 jours après réception) Vérification du caractère complet du dossier, et de la saisie faite par la commune Angers Loire 12 dans le logiciel Métropole Angers Loire 13 Détermination du délai d'instruction au vu des consultations restant à lancer Métropole Procède aux consultations des personnes publiques, commissions et services Angers Loire 14 intéressés par le projet conformément aux dispositions du code de l'urbanisme et Métropole (consultations qui n'ont pas été faites par la Mairie) Si le dossier déposé justifie d'un délai d'instruction supérieur au délai de droit commun ou se révèle incomplet, proposition au maire, soit d'une notification de Angers Loire 15 pièces manquantes, soit d'une majoration ou d'une prolongation de délai, soit des Métropole deux. Transmission de cette proposition au maire par courrier électronique, Angers Loire 16 accompagnée le cas échéant d'une note explicative ; cet envoi se fait au plus tard Métropole 8 jours avant la fin du 1er mois d'instruction. Le cas échéant, notification au pétitionnaire, par les services de la mairie, de la liste des pièces manquantes, de la majoration ou de la prolongation du délai d'instruction, avant la fin du 1er mois, par lettre recommandée avec demande 17 d'avis de réception postale ou remise en main propre contre récépissé. Commune Transmission au Préfet des courriers de notification (sous format numérique à ALM) Dès réception, tamponnage, enregistrement, numérisation et transmission des pièces complémentaires remises par le pétitionnaire

ANGERS LOIRE METROPOLE Aménagement et Développement des Territoires – Autorisations Droit des Sols 1 03/04/2015 Examen technique du dossier, notamment au regard des règles d'urbanisme Angers Loire 18 applicables au terrain considéré. Métropole Recueil et synthèse des avis obtenus Rédaction d'un projet de décision tenant compte du projet déposé, de l'ensemble des règles d'urbanisme applicables et des avis recueillis ; dans le cas d'un avis défavorable de l'Architecte des Bâtiments de France transmis dans les délais Angers Loire 19 impartis, proposition : Métropole - soit d'une décision de refus - soit d'une décision de prolongation de trois mois du délai d'instruction, si le maire décide d'un recours auprès du préfet de région contre cet avis. Transmission de cette proposition au maire en PDF et en WORD par messagerie, accompagnée éventuellement d’une note explicative, au plus tard : - Pour les PC et les DP à délais majorés : 2 semaines avant la fin du délai d’instruction, Angers Loire 20 - Dans les autres cas : 1 semaine Métropole

Le service transmettra à la commune les dossiers complets avec les plans validés accompagné le cas échéant d'une note explicative et des avis de services présentant un caractère particulier. Notification au pétitionnaire, par les services de la mairie, de la décision conformément à la proposition du service instructeur, par lettre recommandée avec demande d'avis de réception ou remise en main propre contre récépissé, avant la fin du délai d'instruction ; simultanément, le maire informe l'agglomération de cette 21 Commune transmission et transmet sous format numérisé l’arrêté signé par le Maire. En cas de décision non conforme à celle préconisée par le service instructeur d’Angers Loire Métropole, la commune devra l’informer et lui notifier la décision finale. Délivrance sur simple demande du demandeur de l’attestation de permis de 22 Commune construire, de déclaration préalable ou de CUb tacite Transmission de la décision aux services préfectoraux, au titre du contrôle de 23 Commune légalité Transmission à l'Etat (DDT) des informations nécessaires au calcul et à la 24 Commune liquidation des taxes dans un délai d’un mois à compter de la date de la décision NB : Lors de l’instruction, possibilité d’accueil par le service instructeur en commune ou sur le site centralisé en cas de dossiers complexes et/ou à la demande du Maire.

III Contrôle de la conformité des travaux

25 Réalisation de tous les récolements Commune

26 Délivrance des attestations portant sur la conformité Commune

NB: pour l'instruction des dossiers relevant de la compétence du Maire pour le compte de l'Etat, il existe une répartition particulière : 27 Examen de la recevabilité et du caractère complet du dossier 28 détermination du délai d'instruction au vu des consultations restant à lancer consultation des personnes publiques commissions, et services intéressés par le 29 projet conformément aux dispositions du code de l'urbanisme transmission au demandeur, le cas échéant soit d'une notification des pièces Commune avec 30 manquantes, soit d'une majoration ou prolongation de délai, soit les deux. l’expertise d’Angers examen de la conformité aux règles d'urbanisme et servitudes d'utilité publique Loire Métropole 31 affectant l'utilisation du sol applicables au terrain et au projet considéré, à l'examen technique du dossier. Au recueil du projet de décision compte tenu du projet déposé, de l'ensemble des 32 règles d'urbanisme applicables et des avis recueillis. 33 Rédaction de l'avis du Maire sur proposition des services de la mairie

ANGERS LOIRE METROPOLE Aménagement et Développement des Territoires – Autorisations Droit des Sols 2 03/04/2015 1/2 Montant à population montant/hab NBRE DE verser pour la municipale (2012) et 1/2 Commune LOGEMENTS période du 1er 2015 (base montant PLUi mai au 31 2012) objectifs décembre 2015 logements PLUi

BEAUCOUZE 4 889 750 14497 9664 BEHUARD 124 0 171 114 BOUCHEMAINE 6 459 533 14419 9612 2 751 208 5945 3963 CANTENAY EPINARD 2 047 225 5149 3433 ECOUFLANT 3 775 943 14955 9970 ECUILLE 617 61 1482 988 2 172 156 4608 3072 LA MEIGNANNE 2 175 295 6050 4033 LA MEMBROLLE/LONGUENEE 2 012 465 7582 5055 MONTREUIL JUIGNE 7 174 700 17131 11421 MÛRS ERIGNE 5 370 611 13723 9149 PELLOUAILLES LES VIGNES 2 499 365 7220 4813 LE PLESSIS GRAMMOIRE 2 295 206 5295 3530 LE PLESSIS MACE 1 256 250 4317 2878 ST BARTHELEMY 8 837 1154 24118 16079 ST CLEMENT LA PLACE 2 049 185 4739 3159 STE GEMMES S/LOIRE 3 648 402 9187 6125 ST JEAN DE LINIERES 1 779 417 6765 4510 ST LAMBERT LA POTHERIE 2 541 339 7009 4673 ST LEGER DES BOIS 1 563 295 5205 3470 ST MARTIN DU FOUILLOUX 1 651 190 4241 2828 ST SYLVAIN D'ANJOU 4 458 1365 20260 13507 SARRIGNE 816 80 1952 1302 SAVENNIERES 1 393 95 2903 1936 SOUCELLES 2 609 121 4849 3233 SOULAINES SUR AUBANCE 1 194 105 2732 1822 SOULAIRE ET BOURG 1 455 92 2958 1972 VILLEVEQUE 2 858 394 8015 5343 TOTAL 11002 227 478 € CONVENTION POUR LA CREATION D’UN SERVICE COMMUN D’INSTRUCTION DES AUTORISATIONS DU DROIT DES SOLS ENTRE LA COMMUNAUTE D’AGGLOMERATION ANGERS LOIRE METROPOLE ET 29 DE SES COMMUNES MEMBRES

Entre :

La communauté d’agglomération Angers Loire Métropole, sise 83 rue du Mail - CS 80011 - 49 020 ANGERS cedex 02, représentée par M. Christophe BECHU, président de la communauté d’agglomération d’Angers Loire Métropole, en vertu de la délibération du Conseil d’Agglomération du 13 avril 2015, Désignée ci-après, par le terme «Angers Loire Métropole» D’une part,

Et La commune de Bouchemaine, sise 5 quai de la Noë (49080), représentée par Mme Véronique MAILLET, maire de la commune de Bouchemaine, en vertu de la délibération du conseil municipal du 30 avril 2015, Désignée ci-après, par le terme « la commune » D’autre part,

Vu le Code général des collectivités territoriales, et notamment son article L. 5211-4-2,

Vu le Code de l’urbanisme, et notamment ses articles R.410-5, R.422-5, R.423-15,

Vu les statuts de la communauté,

Vu l’avis favorable du comité technique du centre de gestion du Maine et Loire, en date du 2 février 2015

Vu les avis favorables des comités techniques des autres communes,

Vu l’avis favorable des comités techniques de la ville d’Angers et d’Angers Loire Métropole, des 5 et 6 février 2015,

Considérant que 29 communes et Angers Loire Métropole souhaitent créer un service commun d’instruction des autorisations du droit des sols, en dehors des compétences qui ont été transférées à cette dernière.

La présente convention s’inscrit dans l’objectif d’amélioration du service rendu aux administrés au travers de la simplification des procédures et d’une meilleure sécurité juridique. Elle vise à définir des modalités de travail en commun entre le maire, autorité compétente, et le service commun d’instruction du droit des sols relevant d’Angers Loire Métropole, qui, tout à la fois : • respectent les responsabilités de chacun d’entre eux ; • assurent la protection des intérêts communaux ; • garantissent le respect des droits des administrés.

Les obligations que le maire et le service commun d’instruction du droit des sols s’imposent mutuellement ci-après en découlent.

Il est donc convenu ce qui suit :

1

Article 1er - Objet de la convention

La commune et la communauté décident de créer un service commun d’instruction des autorisations du droit des sols, compétences non transférées à la communauté conformément aux statuts susvisés. La répartition des tâches entre la commune et Angers Loire Métropole est définie dans les articles suivants et dans l’annexe 1 à la présente convention.

Article 2 – champ d’application

La présente convention s’applique à toutes les demandes et déclarations déposées durant sa période de validité, hormis celles visées au point b ci-dessous.

Elle porte sur l’ensemble de la procédure d’instruction des autorisations et actes dont il s’agit, à compter du dépôt de la demande auprès de la commune jusqu’à la notification par le maire de sa décision (annexe 1 : tableau de répartition des tâches entre la commune et le service instructeur).

a) Autorisations et actes dont le service commun assure l’instruction :

Le service commun d’instruction du droit des sols instruit les autorisations et actes relatifs à l’occupation du sol délivrés sur le territoire de la commune, relevant de la compétence communale, à l’exception de ceux transmis au-delà des 15 jours suivant le dépôt, afin de garantir la bonne marche de la procédure ; tout retard de transmission dans ces conditions ne permettant pas de proposer les actes à la signature dans le respect des délais réglementaires.

Ainsi, les actes instruits par le service commun sont les suivants :

• permis de construire, y compris les PC modificatifs, les transferts et les retraits de PC ; • permis d’aménager ; • déclaration préalable de division de terrain ; • déclarations préalables à l’exception de celles ne générant pas de taxe d’aménagement part communale et part départementale. Cela exclut entre autre les clôtures 1, les ravalements de façades, la pose de panneaux photovoltaïques en toiture, les modifications d’ouvertures et la pose de fenêtre de toit n’engendrant pas de création de surface de plancher, la transformation d’un garage en pièce de vie, les préaux, les éoliennes de toit posées par les particuliers … • permis de démolir mentionnés aux articles R421-28 et R421-27 du code de l’urbanisme 2 • certificats d’urbanisme article L. 410-1 b du code de l’urbanisme (pré opérationnels) ;

b) Autorisations et actes instruits par la commune :

Les actes relatifs à l’occupation du sol non cités ci-dessus sont instruits par les services de la commune qui peuvent bénéficier, en tant que de besoin, d’une assistance juridique et technique ponctuelle apportée par le service commun d’Angers Loire Métropole. Il s’agit des actes suivants :

• déclarations préalables ne générant pas de taxe d’aménagement, part communale ou départementale telle que notamment les clôtures, les ravalements de façades, la pose de panneaux photovoltaïques en toiture, les modifications d’ouvertures et la pose de fenêtre de toit n’engendrant pas de création de surface de plancher, la transformation d’un garage en pièce de vie, les préaux, les éoliennes de toit posées par les particuliers … • certificats d’urbanisme article L. 410-1 a du code de l’urbanisme (de simple information)

Dans l’hypothèse ou le maire n’est pas en mesure de transmettre au service commun d’instruction du droit des sols les demandes devant être instruits par celle-ci, au plus tard dans les 15 jours suivant le dépôt, la mairie conserve ces dossiers et les instruit.

1 Doit être précédé d’une déclaration préalable l’édification d’une clôture située dans une commune ou partie de commune où le conseil municipal ou l’organe délibérant de l’établissement public de coopération intercommunale compétent en matière de plan local d’urbanisme a décidé de soumettre les clôtures à déclaration (R.421-12d) 2 Démolitions situées dans une commune ou partie de commune où le conseil municipal a décidé d’instituer le permis de démolir

2 c) Contrôle de la conformité des travaux (récolement) :

Les enregistrements des déclarations d’ouverture de chantier, les déclarations d’attestation d’achèvement, le contrôle de la conformité des travaux et les récolements obligatoires 3 ou non sont assurés par la commune.

Les attestations de non-contestations de la conformité certifiant que la conformité des travaux avec le permis ou la déclaration n’a pas été contestée (article R462-10), lorsque aucune décision n’est intervenue dans le délai prévu à l’article R.462-644, seront établies par la commune qui les adressera au pétitionnaire dans un délai de 15 jours suivant la requête de ce dernier, selon un modèle mis à disposition de la commune par le service commun d’instruction du droit des sols.

Article 3 : Tâches assurées par la commune En préalable, le maire transmet au service instructeur toutes les décisions prises par la Commune concernant l’urbanisme et ayant une incidence sur le droit des sols : • institution de taxes ou participations ainsi que les modifications de taux • tout projet d’aménagement faisant l’objet d’un règlement et tout document opposables au tiers (ZAC, PAE, lotissement, servitudes ….). Toutes évolutions ultérieures (modifications, suppression, création) de ces informations seront portées SANS DELAI à la connaissance du service instructeur.

Pour tous les actes et autorisations relatifs à l’occupation des sols relevant de sa compétence et entrant dans le cadre de la présente convention de mise à disposition, le maire assure les tâches suivantes :

a) Phase du dépôt de la demande :

• Accueille et informe le public • Réception des demandes et déclarations adressées • Enregistrement du dossier et affectation d’un numéro d’enregistrement (tamponnage). et délivrance d’un récépissé au pétitionnaire via le logiciel commun mis à disposition par Angers Loire Métropole (voir infra article 9) • affichage en mairie d’un avis du dépôt de la demande de permis ou de la déclaration, avant la fin du délai des 15 jours suivant le dépôt • si nécessaire, transmission immédiate et en tout état de cause avant la fin de la semaine qui suit le dépôt, d’un exemplaire de la demande à l’Architecte des Bâtiments de France • transmission au préfet, dans la semaine qui suit le dépôt, d’un exemplaire de la demande au titre du contrôle de légalité ·transmission, dans la semaine qui suit le dépôt, d’un exemplaire supplémentaire à la Direction Régionale de l’Environnement, de l’Aménagement et du Logement, si le projet est situé dans un site classé ou une réserve naturelle. • Autre transmission le cas échéant : ERDF, GRDF (ou SIEML), DRAC, DIRECT.... (une fiche de saisine sera élaborée par le service commun d’instruction : conseils et modèle)

Le maire informe le service commun d’instruction du droit des sols de la date des transmissions précitées. Hormis l’Architecte des Bâtiments de France les services consultés répondent directement au service commun d’instruction du droit des sols. L’avis de l’architecte des bâtiments de France reçu par la commune est transmis par cette dernière sans délai au service instructeur d’Angers Loire Métropole.

b) Phase de l’instruction :

• Transmission, dans les meilleurs délais de deux (minimum) dossiers papier, avec pour objectif un délai de 8 jours ouvrés pour les DP avec un délai majoré et les PC et 4 jours ouvrés pour

3 Immeubles inscrits ou en secteur sauvegardé ou en site inscrit ou classé, immeubles de grande hauteur, établissements recevant du public, secteurs couvert par un plan de prévention des risques 4 A compter de la date de réception en mairie de la déclaration d’achèvement, l’autorité compétente dispose d’un délai de 3 mois pour contester la conformité des travaux au permis ou à la déclaration. Le délai de 3 mois est porté à 5 mois lorsqu’un récolement des travaux est obligatoire en application de l’article R.462-7.

3 les DP à 1 mois et les CUb, suivant le dépôt du ou des dossiers nécessaire au service commun d’instruction du droit des sols pour instruction. • Avis d’opportunité du maire, transmission au service commun d’instruction du droit des sols de toutes instructions nécessaires (fiche avis maire) : o Pour les CUb et les DP à 1 mois : dans les 10 jours suivant le dépôt, o Pour les DP avec un délai majoré et les PC : dans les 15 jours suivant le dépôt • Envoi dans les trois jours ouvrés de tous les avis transmis par les services extérieurs, avec les remarques éventuelles des services municipaux sur lesdits avis, et, pour les PC et DP à délais majorés, au plus tard 20 jours avant la date limite d’instruction (avis ABF, desserte en réseaux du projet, présence éventuelle de bâtiments générateurs de nuisances à proximité, présence de tiers en cas d’implantation de bâtiment agricole, etc….) • Le cas échéant, notification au pétitionnaire, par les services de la mairie, de la liste des pièces manquantes, de la majoration ou de la prolongation du délai d’instruction, avant la fin du 1 er mois, par lettre recommandée avec demande d’avis de réception postale ou remise en main propre contre récépissé. • Transmission au Préfet des courriers de notification d’incomplet, de modification de délai. Ces pièces seront transmises par voie numérique à ALM • Transmission des pièces complémentaires remises par le pétitionnaire à ALM dès réception c) Notification de la décision et suite :

En cas d’accord avec la proposition du service instructeur : • notification au pétitionnaire, par les services de la mairie, de la décision conformément à la proposition du service commun d’instruction du droit des sols, par lettre recommandée, avec demande d’avis de réception ou remise en main propre contre récépissé, avant la fin du délai d’instruction ; simultanément, le maire informe le service commun d’instruction du droit des sols de cette transmission et adresse sous format numérisé l’arrêté signé par le Maire ; • délivrance sur simple demande du demandeur, du déclarant ou de ses ayants-droit de l’attestation de permis de construire ou déclaration préalable ou CUb tacite. 5 • transmission de la décision aux services préfectoraux, au titre du contrôle de légalité ; parallèlement, le maire en informe le pétitionnaire ; • Transmission à l’État des informations nécessaires au calcul ou à la liquidation des taxes dans un délai d’1 mois à compter de la date de la décision.

A tout moment, en cas de désaccord sur le projet de décision présenté par le service instructeur, Angers Loire Métropole et le maire de la commune s’obligent à mettre en place, dans des délais compatibles avec l’expiration des délais d’instruction, une conciliation. Le service instructeur rencontrera le maire pour rechercher une solution au différend. Cette rencontre de conciliation est un préalable à toute décision et chaque collectivité pourra y présenter ses arguments.

Si le désaccord persiste, le maire pourra modifier lui-même le document envoyé par le service instructeur dans sa version modifiable et dans ce cas la responsabilité d’Angers Loire Métropole ne pourra pas être engagée.

d) Contrôle de la conformité des travaux (récolement) :

• Réalisation de tous les récolements • délivrance des attestations portant sur la conformité

Article 4 : Tâches assurées par le service commun Le service commun d’instruction du droit des sols assure l’instruction réglementaire de la demande, depuis sa transmission par le maire jusqu’à la préparation et l’envoi au maire du projet de décision lorsqu’il est nécessaire.

Dans ce cadre, il assure les tâches suivantes :

5 Article R*424-13 En cas de permis tacite ou de non-opposition à un projet ayant fait l'objet d'une déclaration, l'autorité compétente en délivre certificat sur simple demande du demandeur, du déclarant ou de ses ayants-droit. En cas de permis tacite, ce certificat indique la date à laquelle le dossier a été transmis au préfet ou à son délégué dans les conditions définies aux articles L. 2131-1 et L. 2131-2 du code général des collectivités territoriales

4

a) Phase de l’instruction : • Vérification de la saisie faite par la commune dans le logiciel et information de la commune en cas d’anomalies rencontrées • détermination du délai d’instruction au vu des consultations restant à lancer ; • vérification du caractère complet du dossier ; • si le dossier déposé justifie d’un délai d’instruction supérieur au délai de droit commun ou se révèle incomplet, proposition au maire, soit d’une notification de pièces manquantes, soit d’une majoration ou d’une prolongation de délai, soit des deux ; • transmission de cette proposition au maire par courrier électronique, accompagnée le cas échéant d’une note explicative ; cet envoi se fait au plus tard 8 jours avant la fin du premier mois d’instruction ; • examen technique du dossier, notamment au regard des règles d’urbanisme applicables au terrain considéré ; • consultation des personnes publiques, services ou commissions intéressés (autres que celles déjà consultées par le maire lors de la phase du dépôt de la demande).

Le service commun d’instruction du droit des sols agit sous l’autorité du maire et en concertation avec lui sur les suites à donner aux avis recueillis. Ainsi, elle l’informe de tout élément de nature à entraîner un refus d’autorisation ou une opposition à la déclaration.

b) Phase de la décision :

• Conformément à l’esprit de la réforme des autorisations de construire de 2007, les déclarations préalables favorables ne comprenant ni prescription ni participation pourront être laissées tacites en cas de non-respect des délais de transmission par la commune ou d’engorgement du service commun, charge à la mairie de délivrer l’attestation prévue à l’article R424-13 du code de l’urbanisme à la demande du pétitionnaire (article 3 c). • Rédaction d’un projet de décision tenant compte du projet déposé, de l’ensemble des règles d’urbanisme applicables et des avis recueillis ; dans le cas d’un avis défavorable de l’Architecte des Bâtiments de France transmis dans les délais impartis, proposition : o soit d’une décision de refus ; o soit d’une décision de prolongation de trois mois du délai d’instruction, si le maire décide d’un recours auprès du préfet de région contre cet avis ; • Transmission de cette proposition au maire, accompagnée le cas échéant d’une note explicative, au plus tard : o deux semaines avant la fin du délai d’instruction, pour les PC et DP à délais majorés o une semaine dans les autres cas.

En cas de notification hors délai de la décision, il est rappelé que les conséquences juridiques et financières qui en découlent sont : • une fragilité juridique des autorisations tacites délivrées en cas de recours des tiers ou du préfet dans le cadre du contrôle de légalité • un risque de recours indemnitaire à l’encontre de la commune

c) Assistance technique

Le service commun d’instruction du droit des sols s'engage à mettre à disposition de chaque mairie, des fiches récapitulant toutes les tâches incombant aux communes et tous les outils indispensables pour l'instruction des dossiers. De plus, elle s’engage à informer régulièrement les secrétaires et directeurs généraux de mairie ainsi que leur personnel concerné des évolutions réglementaires et fournir les conseils nécessaires à l’exercice de ces missions.

d) Phase de transition avec l’État

La période du 1 er mai au 30 juin 2015 est une période de « tuilage » avec le service de l’État qui instruit les dossiers d’autorisation du droit des sols pour les communes. Cette période est divisée en deux temps :

5 - Du 1 er mai 2015 jusqu’à la mise en service du logiciel commun « droit de cité » : les communes transmettent les dossiers des pétitionnaires à la DDT - À compter de la mise en service du logiciel, les communes transmettent les dossiers au service commun d’instruction du droit des sols La date de mise en service sera communiquée aux communes par courrier électronique dès qu’elle sera connue et au plus tard une semaine avant celle-ci. Suivi des dossiers : Le principe est que le service qui a reçu le dossier à instruire, l’instruit, établit l’acte et en assure le l’assistance juridique. Cependant, l’État assurera un « passage de relai » dans le cadre notamment des permis d’aménager dont la procédure est longue et dont découlera d’autres autorisations (PC).

Article 5 : Modalités des échanges entre le service commun d’Angers Loire Métropole et la commune Dans le souci de favoriser une réponse rapide au pétitionnaire, les transmissions et échanges par voie électronique seront privilégiés entre la commune, le service commun d’instruction du droit des sols et les personnes publiques, services ou commissions consultées dans le cadre de l’instruction.

Le service commun d’instruction du droit des sols transmettra à la commune toutes les propositions uniquement sous format numérique à l’adresse électronique spécifiée par la commune. Celle-ci mettra en place une organisation permettant une consultation de sa boite électronique selon une fréquence qui assure la tenue des délais.

Les informations qui ne peuvent être obtenues par le biais des documents réglementaires devront faire l’objet d’une transmission spécifique au service commun d’instruction du droit des sols dans le cadre de l’instruction.

Il s’agit des informations suivantes : -date d’envoi de la lettre de demande de pièces complémentaires -date de réception par le demandeur de la demande de pièces complémentaires -date de notification de la lettre modifiant les délais -date de réception par le demandeur de la lettre modifiant les délais (notification) -date de réception en Mairie des pièces complémentaires (par tampon des pièces) -date de signature de la décision -date de notification de la décision -date de transmission au contrôle de légalité

Il est convenu entre la commune et le service commun d’instruction du droit des sols que le conseil en amont relatif aux projets non déposés est assuré en premier lieu par la commune ; cette dernière n’invitant les demandeurs à prendre l’attache du service commun que dans l’hypothèse où la demande nécessite une réponse technique à caractère exceptionnel. Une adresse électronique sera spécifiquement créée pour permettre aux pétitionnaires d’adresser leur demande au service commun.

Article 6 : Classement – archivage – statistiques Le service instructeur d’Angers Loire Métropole : - Assure la fourniture des renseignements d’ordre statistiques demandés par la commune, - Met à disposition des requêtes publiées (registre, nombre de dépôts, nombre de logements, liste des DAACT, ...) permettant à la commune d’exploiter elle-même les renseignements enregistrés sur les dossiers ADS de son territoire.

Les dossiers se rapportant aux autorisations et actes relatifs à l’occupation du sol seront classés et archivés par la commune ; le service instructeur d’Angers Loire Métropole en conservera un exemplaire le temps nécessaire à l’expiration des voies de recours contentieux.

Dans la mesure du possible, les communes s’engagent à transmettre une version numérique des dossiers instruits afin d’en faciliter la conservation temporaire.

6 Article 7 : Établissement des taxes Pour les demandes d’Autorisations du Droit des Sols (ADS) déposées depuis le 1 er mars 2012, les services de l’État chargés de l’urbanisme dans le département sont seuls compétents pour établir et liquider les taxes (Taxe Aménagement, Redevance Archéologie Préventive).

La taxe d’aménagement et la pénalité dont elle peut être assortie en vertu de l’article L. 331-23 sont recouvrées par les comptables publics compétents comme des créances étrangères à l’impôt et au domaine. La commune devra transmettre sans délai au service instructeur et à la direction des territoires, toutes délibérations créant ou modifiant les taxes ou participations applicables sur son territoire.

La commune fournit aux services de l’État mentionnés à l’article R.331-9, dans un délai d’un mois à compter de la date soit de la délivrance de l’autorisation de construire ou d’aménager ou du permis modificatif, soit du transfert de ces autorisations, soit de la naissance d’une autorisation tacite de construire ou d’aménager, soit de la décision de non opposition à une déclaration préalable, soit du procès-verbal constatant l’infraction : 1. Un exemplaire du formulaire de déclaration ou de demande d’autorisation 2. Le formulaire de déclaration des éléments nécessaires au calcul des impositions, prévu par arrêté du ministre chargé de l’urbanisme, accompagné de ses pièces jointes 3. Selon le cas, une copie de la décision, la date à laquelle l’autorisation ou la décision de non opposition à la déclaration préalable est devenue tacite ou le procès-verbal constatant l’infraction 4. Le cas échéant, le certificat d’urbanisme applicable, 5. La référence du secteur de la taxe d’aménagement déterminé en application de l’article L.331- 14, dans lequel se situe le projet de construction ou d’aménagement, 6. La référence du secteur du seuil minimal de densité déterminé en application de l’article L.331-36, dans lequel se situe le projet de construction

La commune assurera la mise en recouvrement des participations dont le permis de construire constitue le fait générateur.

Article 8 : contentieux - infractions pénales - assurances La gestion des contentieux et des infractions pénales demeurent de responsabilité communale. Le choix du recours à un avocat relève de la commune qui en assume la charge financière.

À la demande du maire, le service instructeur d’Angers Loire Métropole apporte, dans la limite de ses compétences, son concours à la commune pour l’instruction des recours relatifs à des autorisations instruites par le service commun. Les recours contentieux devant la juridiction compétente relatifs aux autorisations ou actes visés à l’article 2 sont portés par la commune. Le service instructeur d’Angers Loire Métropole apporte conseil et assistance pour l’organisation de la défense de la commune dans le cadre de ces recours à l’exception de ceux dont la décision contestée est différente de la proposition faite par le service instructeur.

Par ailleurs, à la demande du maire, le service instructeur d’Angers Loire Métropole porte assistance à la commune dans les phases de la procédure pénale visée aux articles L. 480-1 et suivants du code de l’urbanisme en ce qui concerne la constatation des infractions à la réglementation des autorisations d’urbanisme, et à l’interruption des travaux.

Il appartient à la commune de contracter une assurance pour l’exercice des compétences transférées en matière d’urbanisme. Il s’agira d’une assurance de responsabilité civile, qui vise à couvrir notamment les dommages causés au tiers dans le cadre de l’exercice d’une compétence

L’assureur garantit les conséquences pécuniaires des responsabilités que la commune peut encourir, y compris celles résultant d’erreurs de fait ou de droit, omissions ou négligences commises dans l’exercice des compétences qui lui ont été transférées dans les domaines de l’urbanisme en application de la loi 83-8 du 7 janvier 1983 et les textes pris pour son application.

7 Article 9 : Logiciel mis à disposition

Article 9-1 : conditions de mise à disposition Pour les missions relatives à la présente convention Angers Loire Métropole propose la mise à disposition gratuite du droit d’utilisation de la solution logicielle « Droit de Cité », solution commercialisée par la société OPERIS. La direction des systèmes d’information communautaire (D.S.I.C.) assure la gestion du système d'information d’Angers Loire Métropole et de la Ville d’Angers. À ce titre, elle a fait l’acquisition du progiciel dédié à la gestion de l’urbanisme réglementaire et de l’action foncière auprès de la société OPERIS. Angers Loire Métropole met à la disposition de la commune la solution logicielle Droit de Cité, via internet. Les agents des communes pourront se connecter à l’application informatique Droit de Cité à partir de leur poste de travail. Aucun matériel ne sera mis donc à disposition par Angers Loire Métropole dans le cadre de cette convention. Le progiciel « Droit de Cité » permet à chaque commune de : - saisir le dépôt d’une demande d’autorisation du droit des sols, - délivrer l'acte, - consulter les renseignements des actes d'urbanisme relatifs à la commune, - Saisir les Déclaration d’Intention d’Aliéner (DIA) - éditer des statistiques….

La mise à disposition du progiciel est accordée à toutes les communes d’Angers Loire Métropole, le droit d’utilisation n’étant ni transférable, ni exclusif. Il est expressément convenu que l’application mise à disposition est uniquement utilisée par lesdites communes pour les usages ci-dessus indiqués. La commune informera Angers Loire Métropole de toute modification dans l’organisation mise en place (changement d’environnement technique, nouveaux intervenants, modifications de coordonnées…). « Droit de Cité » est accessible aux agents des communes : • à partir d’un ordinateur connecté à INTERNET, équipé de Microsoft Internet explorer V7 ou de Mozilla firefox V6 (ou versions supérieures),

Pour instruire les demandes, la commune doit respecter les prérequis techniques suivants : • Navigateur internet explorer V7.0 ou supérieure avec accès Internet • Acrobat Reader V8.0 ou supérieure • Système d’Exploitation du poste de travail Windows XP ou supérieur,

Une connexion haut-débit est conseillée pour un meilleur confort d’utilisation. Dans l’hypothèse d’une évolution, les nouveaux prérequis seront acceptés par voie d’avenant au présent contrat. L’accès au logiciel Droit de Cité se fait par le protocole sécurisé HTTPS afin de garantir la sécurité de l’authentification et de l’échange des données.

L’application est accessible 7j/7, 24h/24 sauf dysfonctionnement ou nécessité de maintenance. La DSIC d’Angers Loire Métropole mettra tout en œuvre afin de diminuer l’impact sur les utilisateurs. Toute demande d'accès à Droit de Cité de la part d’une commune doit faire l'objet d'une validation par la responsable du service communautaire de droit des sols, qui conservera une trace écrite des demandes. La commune veillera par la suite à demander la suppression des accès devenus injustifiés.

Correspondants des communes : Sur les aspects fonctionnels : le service instructeur désignera l’interlocuteur à la commune Sur les aspects techniques : le service instructeur, en privilégiant les courriels comportant les copies d’écran des messages d’erreur. Le service instructeur transmettra les demandes au service Assistance de la DSIC. Si besoin la DSIC contactera directement les utilisateurs.

8

Angers Loire Métropole se réserve le droit de faire modifier l’application de manière à en faire évoluer les spécifications sans que la commune puisse s’y opposer. Dans le cas d’une évolution ayant des impacts sur la structure des données déjà saisies, Angers Loire Métropole effectuera leur reprise d’antériorité de manière à ce que les mises à jour soient les plus transparentes possibles pour la commune Les procédures d’évolution et de maintenance seront mises en œuvre par la Direction des Systèmes d’Information Communautaires d’Angers Loire Métropole. Les coûts de maintenance et d’évolutions seront pris en charge par Angers Loire Métropole.

Article 9-2 : propriété La commune est informée que les licences d’utilisation de la solution logicielle «Droit de Cité», ainsi que la documentation y afférant, sont la propriété d’Angers Loire Métropole et que la mise à disposition de la solution logicielle Droit de Cité n’entraîne le transfert d’aucun droit de propriété. La commune s’engage à ne pas porter atteinte directement, indirectement ou par l’intermédiaire de tiers auxquels elle serait associée, au droit de propriété sus rappelé. En conséquence, la commune prendra toutes les mesures nécessaires à la protection desdits droits. Les informations et données transmises à Angers Loire Métropole par la commune restent la propriété desdites communes.

Article 9-3 : responsabilités Quant à la sécurité : Les données relatives à la gestion de l’urbanisme réglementaire et de l’action foncière des communes sont conservées en intégralité dans les systèmes d'information d’Angers Loire Métropole. Les systèmes d’information gérés par la direction des systèmes d’information communautaires (DSIC) d’Angers Loire Métropole respectent la politique de sécurité des systèmes d’information de la collectivité (PSSI). Les chapitres de cette PSSI qui s’appliquent dans le cadre de cette convention sont précisés ci-dessous. La PSSI est consultable sur demande auprès du responsable de la sécurité des systèmes d’information d’Angers Loire Métropole. Les procédures détaillées en annexe à cette PSSI sont confidentielles. Elles pourront faire l’objet d’une présentation aux communes sur sa demande, dans le cadre d’une visite des installations techniques d’Angers Loire Métropole.

Quant à la confidentialité des données : Angers Loire Métropole s’engage à respecter les obligations suivantes et à les faire respecter par son personnel et ses prestataires : • ne prendre aucune copie des documents et supports d’informations qui lui sont confiés, à l’exception de celles nécessaires à l’exécution de la présente convention et avec l’accord préalable de la commune ; • ne pas utiliser les documents et informations traités à des fins autres que celles spécifiées dans la présente convention ; • ne pas divulguer ces documents ou informations à d’autres personnes, qu’il s’agisse de personnes privées ou publiques, physiques ou morales ; • prendre toutes mesures permettant d’éviter toute utilisation détournée ou frauduleuse des fichiers informatiques.

La commune veillera à faire respecter par leur personnel la confidentialité des identifiants et mots de passe attribués, ainsi que la procédure normale de renouvellement de mots de passe (calendrier, force des mots de passe). Déclaration de conformité (CNIL) « Droit de Cité » traite des données à caractère personnel et utilise des données cadastrales. Le responsable de ce traitement automatisé de données est le M. le Président d’Angers Loire Métropole. Ce traitement a fait l’objet d’une déclaration de conformité auprès de la commission nationale informatique et libertés (CNIL). La commune contribuera au maintien de cette conformité légale, pour son périmètre, en :

9 - autorisant l’accès uniquement aux personnes autorisées de par leur fonction. - collectant uniquement des données à caractère personnel pertinentes au regard de la finalité recherchée - se conformant au cadre légal pour la communication de données à caractère personnel - participant à l’information des demandeurs de leurs droits en la matière - se conformant aux limitations légales en matière de réutilisation des données En cas de demande par une personne de la communication de l’intégralité des informations la concernant détenue dans « Droit de Cité », Angers Loire Métropole apportera son concours technique aux communes pour satisfaire à la demande. Renonciation à recours En aucun cas, Angers Loire Métropole ne pourra être tenue pour responsable des dysfonctionnements inhérents au titre de l’exécution des tâches réalisées par la solution logicielle «Droit de Cité» dans le cadre de cette convention et notamment : - En cas de préjudice causé aux tiers résultant d’une inexécution ou de non-respect des règles d’utilisation, de fonctionnement ou de connexion données par Angers Loire Métropole; - En cas de préjudice matériel ou immatériel subi par une commune résultant de l’exécution ou de l’exécution fautive ou défectueuse de ses obligations, ou d’actions engagées par des tiers

Article 10 : Composition du service dans le cadre du service commun

Article 10-1 : Détail des postes et des missions entrant dans le champ de la mutualisation

Poste ouvert au tableau Intitulé du poste Responsable Missions du poste mutualisé des emplois de : mutualisé hiérarchique

 Relations avec les Elus sur le volet Autorisations Droit des Directeur de Sols avec la responsable du Service Instruction Responsable du l’aménagement et  Améliorer la qualité de l’instruction des autorisations (tant que service droit niveau urbanistique que juridique) Ville d’Angers du développement des sols  Accueillir les porteurs de projets et négocier avec eux les du droit des sols adaptations nécessaires  Suivre les évolutions du POS et la conception du règlement du futur PLU  Assurer le pilotage de l’activité du service commun Responsable du  Veiller à la qualité d’instruction des dossiers Responsable de  Veiller à l’application des documents d’urbanisme applicables service droit des Angers Loire Métropole l’instruction  Relations avec les Elus sur le volet Autorisations Droit des sols Sols  Accueillir les porteurs de projets et négocier avec eux les adaptations nécessaires en lien avec la commune

Responsable de  Assurer la pré-instruction des dossiers d’ADS (avant dépôt Personnel Angers Loire 4 instructeurs officiel) l’instruction Métropole  Assurer l’instruction des demandes d’ADS  Instruire les certificats d’urbanisme opérationnels

Article 10-2 : La situation des agents des services communs

Les fonctionnaires et agents non titulaires communautaires qui remplissent en totalité ou en partie leurs fonctions dans un service ou une partie de service mis en commun sont de plein droit mis à disposition de la commune pour le temps de travail consacré au service commun.

10 Les agents sont individuellement informés de la création du service commun dont ils relèvent.

Les agents sont placés, pour l’exercice de leurs fonctions, sous l’autorité fonctionnelle des maires ou du président, en fonction des missions qu’ils réalisent.

Le maire ou le cas échéant, le président, peut saisir, en tant que de besoin, l’autorité de nomination d’un agent communautaire pour mettre en œuvre une procédure disciplinaire.

Les dommages susceptibles d’être causés dans le cadre de l’exécution des missions confiées par la commune aux agents des services mutualisés relèvent de la responsabilité exclusive de cette dernière, dans le cadre des contrats d’assurance souscrits à cet effet.

Article 10-3 : La gestion des services communs

Le service commun sera géré par la communauté d’agglomération Angers Loire Métropole. Dans ce cadre, la notation des agents exerçant leurs missions dans un service commun d’instruction des autorisations du droit des sols relèvera de la compétence de la communauté.

Article 11 : Dispositions financières Article 11-1 : Modalités de remboursement

Angers Loire Métropole, en qualité de gestionnaire du service commun, déterminera le coût de son fonctionnement, chaque année, à partir des dépenses inscrites dans le dernier compte administratif, actualisées des modifications prévisibles des conditions d’exercice de l’activité au vu du budget primitif de l’année. Les dépenses devront comprendre :

- les charges de personnel ; le service étant composé de 4 instructeurs cadre B et de 0,8 ETP de catégorie A pour l’encadrement (0,2 pour la responsable du service droit des sols et 0,6 pour la responsable de l’instruction au sein de ce service);

Sont pris en compte  Les remplacements santé  Les agents recrutés dans le cadre d’un accroissement temporaire ou saisonnier  Les stagiaires étudiants  Les agents en maintien en emploi sauf s’ils restent pris en compte par le service d’origine. Ne sont pas comptabilisés dans les charges de personnel, les agents en congé de longue maladie, en congé de longue durée ou en maladie professionnelle de plus de trois mois

- le forfait par poste de travail arrêté à 3000/agents selon la méthode ci-dessous : Dans le cadre du compte d’exploitation, un forfait arrondi à 3 000 euros par poste de travail sera appliqué, correspondant au « coût standard » de gestion (valeur 2011) décrit ci-dessous :

Coûts moyens pour 1 agent

Type Coût ratio Mode calcul Frais de gestion RH 897 Charges RH /nbre paies sur 2010 Frais bureautique 2 000 Coût moyen 1 poste 2010 (Amortissement poste de travail compris) Mobilier 1 armoire 334 279€ hors taxes 1 bureau 291 243€ hors taxes

1 fauteuil 445 372€ hors taxes 107 Amortissement sur 10 ans Total 3 004 11 D’autres dépenses pourront être comprises dans le coût de fonctionnement, à la condition que les parties l’acceptent, par voie d’avenant, avant l’expiration du délai prévu au 3 du présent article et qu’elles aient un lien avec le fonctionnement du service.

Le remboursement par la commune du coût du service s’effectue au prorata de sa population pour 50% et de ses objectifs logements pur 50 %. La répartition par commune pour l’année « n » est jointe en annexe 2. Si les objectifs logements sont fixes pour toute la durée de la convention, un nouveau recensement officiel de la population sera immédiatement pris en compte sans nécessité d’avenant.

Pour 2015, le coût du service sera facturé au prorata du nombre de mois d’exercice du service, soit 8/12 ème , le service étant créé à compter du 1 er mai 2015.

11.2. Délai de calcul du montant du remboursement

Le coût du service sera porté à la connaissance de la commune, par Angers Loire Métropole, chaque année, avant la date d’adoption du budget, prévue à l’article L.1612-2 du Code général des collectivités territoriales.

11.3. Délai de remboursement

Le remboursement prévu au présent article s’effectuera une fois par an, à compter de la date de notification du montant du remboursement à la collectivité bénéficiaire par un titre de recettes. Ce titre sera émis après les votes des budgets et au plus tard en septembre de l’année n.

Article 12 - Comité de suivi

Un comité de suivi est créé pour : - réaliser un bilan annuel de la mise en œuvre de la présente convention, - examiner les conditions financières de ladite convention ; - le cas échéant, être force de proposition pour améliorer la mutualisation des services entre la communauté d’agglomération Angers Loire Métropole et les communes.

Il est composé des maires des communes concernées ou leur adjoint délégué et du vice-président en charge de l’urbanisme, des directeurs généraux des services des communes liées par les conventions relatives à ce service commun.

Article 13 - Durée de la convention et dénonciation

La présente convention est conclue, à partir de la date de prise de fonction des 4 agents issus des communes soit le 1 er mai 2015 et pour une durée de trois ans, Elle pourra être modifiée, par voie d’avenant accepté par les parties.

Elle ne pourra pas être dénoncée par l’une ou l’autre des parties, pendant cette durée.

Article 14 - Juridiction compétente en cas de litige

En cas de litige résultant de l’application de la présente convention et d’échec des négociations amiables, le Tribunal administratif de Nantes est compétent.

Fait à Bouchemaine,

Le

La communauté Angers Loire Métropole, La commune de Bouchemaine

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