La commune de Vieux ()

Fig. 1. Vue du versant sud en direction du village et des coteaux qui le dominent.

Implantée sur les coteaux calcaires situés à une dizaine de kilomètres au nord de , la commune de Vieux, d’une superficie de 695 ha, est traversée d’est en ouest par la rivière de la Vère qui ménage une vallée fertile dans laquelle le village s’est implanté. Le territoire communal se poursuit sur une petite partie du versant sud de la vallée de la Vère et se développe au nord sur les coteaux pour se terminer en pointe au contact des communes de Campagnac et de Saint-Bauzile.

Mission d’inventaire du patrimoine - CAUE du Tarn 1 À l’ouest se trouve la commune du Verdier, dont la limite est matérialisée en partie par une route communale. Au sud, s’étend la vaste commune de Cahuzac-sur-Vère ; à l’est, se succèdent les deux petites communes d’ et d’Alos. Deux routes départementales desservent la commune. La D1 rejoint Cahuzac à l’est et Le Verdier à l’ouest ; la D 26 raccorde Vieux à Alos au nord.

Fig. 2. La commune de Vieux (carte IGN au 25000 e).

Mission d’inventaire du patrimoine - CAUE du Tarn 2 Territoire et paysages

Les coteaux calcaires du nord sont sillonnés par deux ruisseaux, celui de la Sesquière, à l’est et celui de Marines, à l’ouest, qui s’écoulent du nord au sud pour se jeter dans la Vère. Prenant leur source dans la commune d’Alos pour le premier, et de , pour le second, ils ménagent un paysage de vallée qui entaille le plateau ponctué de pechs n’excédant pas 250 m d’altitude. Les ruisseaux marquent la toponymie des paysages de vallée. La Sesquière et la Sesquière Basse, dans la vallée du ruisseau du même nom, sont mentionnés sur le plan cadastral de 1812, Sesquière métairie et Sesquière Hameau. Le hameau de Marines, dont l’implantation est ancienne, domine la vallée du ruisseau. Ce paysage de douces collines est ouvert et ponctué par un habitat clairsemé, réparti sur le plateau et sur les points dominants, ou le long des vallées. Les propriétés agricoles ont ainsi une partie importante de leurs terrains orientés au sud en retombée progressive jusqu’à la vallée de la Vère. Le village s’est établi rive droite et rive gauche de La Sesquière, dans la vallée de la Vère, en amont du point de confluence des deux cours d’eau. L’église, rive droite, est dominée par le château qui s’est implanté à une date postérieure sur la plateforme dominant la vallée.

Fig. 3. Le village de Vieux (source : Google 2009).

Mission d’inventaire du patrimoine - CAUE du Tarn 3 La vallée de la Vère, autrefois quadrillée par d’étroites parcelles a fait l’objet en 1972- 1973 d’un réaménagement du cours et d’un remembrement bouleversant le parcellaire originel. Le versant sud de la vallée au relief ondulé est ponctué de doux coteaux sur lesquels se sont implantées les fermes principales.

Fig. 4. Vue lointaine de la ferme de Lescure, située sur le versant sud.

Les cultures animent encore le paysage et la vigne est toujours présente sur le territoire de la commune malgré les différentes campagnes d’arrachages.

Fig. 5. Vignes plantées en 1932 au Caussé.

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Fig. 6. Vignes sur le plateau.

Fig. 7. Vignes plantées dans la partie sud de la commune.

Bien que la polyculture ait toujours prédominé, la spécialisation dans la viticulture a fortement marqué le paysage au XIX e siècle. Les pigeonniers, marqueurs de cette culture sont présents dès la fin du Moyen Âge, à Pech de l’Homps, et généralisés au XIX e siècle dans toutes les fermes pratiquant la culture de la vigne.

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Fig. 8. Pigeonnier du Pech de l’Homps de la fin du Moyen Âge et pigeonnier de la 2 e moitié du XIX e siècle rattaché à une autre propriété.

Dans la deuxième moitié du XIX e siècle, grâce au développement de la viticulture, des fermes se construisent, les autres s’agrandissent et se développent. Les maisons de vigneron s’élèvent non seulement dans le village mais aussi au milieu des vignes, dès le milieu du XIX e siècle et dans le troisième quart du XIX e siècle.

Fig. 9. Maison de vigneron, située au milieu des Fig. 10. Maison de vigneron, au milieu des vignes. vignes.

Mission d’inventaire du patrimoine - CAUE du Tarn 6 Quelques productions sur le territoire

Le pastel 1 était cultivé à la fin du XV e siècle sur la paroisse. Les habitants de Vieux devaient en effet la dîme du pastel au chapitre en 1493 2. Le sol argileux et calcaire produisait au XIX e siècle du froment et du maïs. L’anis était aussi cultivé ainsi que le lin et le chanvre. Le chanvre était cultivé dans la vallée de la Vère mais aussi le long du ruisseau de Marines. « Les gens qui avaient un peu de terre le long de la Vère bêchaient et y semaient du chanvre. Après, ils le mettaient à tremper dans la Vère. Et ensuite ils le broyaient pour couper la tige et il restait le fil »3.

Le lin et le chanvre étaient cultivés sur des parcelles que l’on nommait les canavals . Des petits fossés étaient pratiqués le long de la rivière afin de faire rouir le chanvre. Les canavals de Marines étaient réputés. Il est probable qu’après la crise de phylloxéra, ces cultures prirent un certain regain. Dans ce pays de polyculture, la vigne a toujours été cultivée mais au XIX e siècle, elle connaît une véritable expansion. En 1862, sur les 695 ha, 118 étaient cultivés en vigne et 445 ha étaient labourables 4.

Une occupation ancienne

Cette partie du territoire a été colonisée à la Préhistoire. Des silex taillés ont été trouvés au nord-ouest de la commune non loin de Marines. Ils peuvent être, de même que pour Le Verdier du paléolithique moyen et supérieur5. Le nom de Peyrouselles fait d’ailleurs allusion aux pierres rousses, de la couleur du silex trouvé dans le secteur. Des meules en silex, composées de plusieurs morceaux étaient d’ailleurs extraites au lieu dit « Combe de Sagui »6, elles équipaient les moulins.

1 Ratier, 1999, p. 104. 2 Rossignol, 1865, p. 331. 3 Loddo, 1997, p. 77. Témoignage recueilli à Vieux. 4 Tranier, 1862, p. XLVI-XLVII. 5 Cf. Delpech, Farenc, 1956, p. 314-321. 6 Ratier, 1999, p. 104. Mission d’inventaire du patrimoine - CAUE du Tarn 7

Fig. 11. Sur cette carte centrée sur Le Verdier, apparaissent les gisements situés près de Peyrouselles, Le Causse et Bourdonnel (carte extraite de Delpech, Farenc, 1956, p. 316.)

Un menhir, classé au titre des Monuments Historiques en 1977, s’élève dans la vallée de la Vère. Il peut être daté de 4000 ou 5000 ans avant J.C. De 3,05 m de haut, il présente des cupules sur sa face occidentale 7 et révèle l’établissement d’une communauté à la période néolithique.

Fig. 12. Vue du menhir dans la vallée de la Vère. Fig. 13. Détail du menhir.

7 Picou, 1928. Mission d’inventaire du patrimoine - CAUE du Tarn 8 Il faut pourtant attendre la fin du IX e siècle pour voir apparaître la première mention du lieu de Vieux, « locum nuncupatum viancio », dans un don de la comtesse Sénégonde de 861 8. Viancio , issu de viantium , est dérivé de viare , « voyager », avec le sens de « station, relais »9. Le toponyme est à mettre en étroite relation avec la présence de reliques dans le sanctuaire de Vieux. Le don de la comtesse Sénégonde en 861 est en faveur de la collégiale qui abrite les reliques de saint Amarand, saint Eugène et sainte Carissime. Saint Amarand, évangélisateur martyr de l’Albigeois, était auparavant vénéré dans un premier sanctuaire se trouvant dans les environs immédiats d’. Saint Eugène, évêque de Carthage, exilé à Albi, était venu mourir près du tombeau de saint Amarand. Ce n’est qu’au IXe siècle, probablement peu de temps avant la donation, que la translation des reliques des deux saints fut effectuée à Vieux où fut construit un premier lieu de culte. La mention de sainte Carissime, en 861, sainte albigeoise, révèle le rôle d’attraction joué par les deux premiers. Aux IX e et X e siècles, un abbé est à la tête d’un chapitre qui dessert le lieu de dévotion et de pèlerinage 10 . En 931, il est mention de reliques de deux autres saints, originaires d’Afrique, saint Longin et saint Vindémial, saints évêques contemporains de saint Eugène 11 . L’église acquiert un rayonnement certain au X e siècle, ceci étant confirmé par les dons de la famille comtale de Toulouse-Rouergue, en 961 et en 972 12 . C’est entre 1037 et 1041 que le comte de Toulouse Pons et l’évêque d’Albi, Amiel, établissent une sauveté à Vieux 13 . Elle s’inscrit alors dans le processus déjà engagé de création des sauvetés amorcée en 1035. Le document daté de 987 et faisant état de la création d’une sauveté est bien un faux, fabriqué à la fin du XII e siècle, entre 1175 et 1180, par les chanoines d’Albi pour établir leurs droits sur Vieux. La création de la sauveté a été suivie de l’implantation de croix destinées à délimiter son territoire. Des bornes sont encore visibles en limite de commune sur les planches du cadastre de 1812 et numérotées de 1 à 34.

8 Histoire générale de Languedoc , t. V, p. 243. 9 Le Pottier, 1990, p. 539. 10 Lacger, 1922, p. 235. 11 Lacger, 1922, p. 222. 12 Biget, 1990, p. 19. 13 Biget, 1990, p. 27. Mission d’inventaire du patrimoine - CAUE du Tarn 9

Fig. 14. Extrait du plan cadastral de 1812, limite est de la section C1, bornes numérotées de 1 à 6. (© Archives départementales du Tarn, 3 P 316)

L’église, élevée sur la rive gauche de La Sesquière, a donné naissance à un premier habitat aggloméré sur la rive droite, établi face à cette dernière 14 . L’espace se trouvant autour de l’église était quant à lui très probablement rattaché au chapitre et autres religieux de l’église. À la fin du X e siècle, un prévôt remplace l’abbé à la tête du chapitre et le resta jusqu’en 1340. En 1294, la seigneurie de Vieux est assignée à un laïc, Géraud de Casaubon, qui établit alors sa résidence dans la partie haute du village. La construction du château va générer un deuxième pôle aggloméré établi dans l’alignement de l’accès à de dernier. Peu structuré et développé, il se poursuit sur un maillage assez lâche qui fut progressivement comblé au XVIII e siècle.

14 Cf dossier d’étude sur le village, IA81011968. Mission d’inventaire du patrimoine - CAUE du Tarn 10 Le territoire sous l’Ancien Régime

Le toponyme « Le Chapitre » au nord-est de la commune fait probablement référence aux possessions du chapitre de l’église. Cette ferme conserve quelques vestiges d’ouvertures caractérisés par l’emploi du chanfrein qui peut attester de l’ancienneté du lieu.

Fig. 15. Carte de Cassini, 2 e moitié du XVIII e siècle (© Archives départementales du Tarn, 1 Fi 352-1).

La Maladrerie figure sur la carte de Cassini sur le versant sud de la vallée de la Vère. Elle est mentionnée dans les textes au XVII e siècle 15 mais l’absence de vestiges ne permet pas de la situer avec précision. La carte de la 2 e moitié du XVIII e siècle mentionne quelques lieux- dits présentant encore de nos jours des vestiges anciens. L’exemple de Lescure est probablement le plus significatif. Dans la partie centrale du corps de bâtiment, construit en grand appareil bien assisé, deux arcs chanfreinés attestent de l’ancienneté du bâtiment pouvant remonter à la fin du Moyen Âge. Plus tard, ces baies ont été fermées par de petites fenêtres rectangulaires pouvant être datées du XVIIe siècle, période qui peut être retrouvée dans le mur de clôture oriental percé d’une porte au linteau chanfreiné et aux piédroits traités en quart-de-rond.

15 Ratier, 1999, p. 71. Mission d’inventaire du patrimoine - CAUE du Tarn 11

Fig. 16. Lescure, partie centrale Fig. 17. Détail de l’arc chanfreiné à Fig. 18. Détail d’un départ d’arc. construite en grand appareil. piédroits en quart-de-rond.

Le pigeonnier du Pech de l’Homps, pouvant être daté de la fin du XV e siècle ou du début du XVI e siècle, est encore un témoin de l’ancienneté des métairies dépendant du château.

Fig. 19. Pigeonnier du Pech de l’Homps.

Des maisons de la fin du Moyen Âge et du XVII e siècle sont encore visibles dans le village 16 . Le château lui-même est entièrement reconstruit au début du XVII e siècle.

16 Cf. dossier du village, IA81011968. Mission d’inventaire du patrimoine - CAUE du Tarn 12 À La Borie Blanche, d’étroites petites ouvertures chanfreinées témoignent d’une période ancienne pouvant remonter au plus tard au XVII e siècle. Cette métairie dépendait du château au même titre d’ailleurs que celle de Puech Aymon. Quelques informations historiques sur la ferme de Puech Ferrand permettent de savoir que la ferme était déjà en activité au milieu du XVII e siècle. Même si les vestiges sont diffus sur la commune, il n’en demeure pas moins, et ceci au même titre que la commune voisine du Verdier, que l’implantation de l’habitat remonte pour une partie au Moyen Âge et que le XVII e siècle fut une période de construction notable incarnée par la construction imposante du château et certaines maçonneries et vestiges de fenêtres à meneau dans le Hameau de Marines. En 1671, Vieux comptait 156 feux, environ 600 habitants alors qu’en 1862, il n’en comptait que 438.

Fig. 20. Fenêtre à meneau sur le mur pignon d’une maison à Marines.

La première moitié du XVIII e siècle ne semble pas avoir été une période faste sur le territoire de la commune. La reprise économique se traduit par de nouvelles constructions dans le dernier quart du siècle, principalement dans le village mais aussi dans certaines fermes importantes, 1777 au Mas de la Bise, 1776 et 1795 à Lescure, 1790 à Puech Ferrand.

Mission d’inventaire du patrimoine - CAUE du Tarn 13 L’expansion du XIX e siècle

Au début du XIX e siècle, des agrandissements et des restructurations sont effectués dans les fermes. Des dates portées témoignent du déplacement de la grange-étable contre le logis à Pech de l’Homps en 1811 ou au Clairou en 1833, par exemple. Vers le milieu du XIX e siècle, de nouveaux bâtiments destinés à l’activité viticole se construisent telle une cave à Lescure, par exemple. Des maisons de vigneron sont construites dans le village abritant la cave sur une partie ou la totalité du rez-de-chaussée. Dans la deuxième moitié du XIX e siècle, la généralisation de cette activité se traduit à travers l’agrandissement des fermes par la construction de locaux destinés à la vinification et de nouvelles fermes voient le jour 17 . Durant cette période, des maisons de vigneron sont construites au milieu des vignes dans les années 1860-1870 et parallèlement des petites fermes de polyculture, sans spécialisation de la vigne apparente, s’élèvent sur les territoires des grosses exploitations ou non loin 18 . Cette évolution générale se retrouve aussi dans le village avec la construction et la structuration de nouvelles fermes. La première moitié du XX e siècle a peu marqué le paysage architectural, et ce contrairement à la commune voisine du Verdier, mais la ferme des Garrigues est totalement restructurée en 1914.

Fig. 21. Ferme de Grategaline, construite entre 1879 et 1882.

17 C’est le cas des fermes de la Rexigne, Grategaline, La Vergnade. 18 C’est le cas à Lescure, près de la Borie Blanche, au Trouilhet mais aussi au Pech de l’Homps. Mission d’inventaire du patrimoine - CAUE du Tarn 14 Adeline Béa Chargée de l’inventaire du Patrimoine, CAUE du Tarn Juin 2010 © Conseil général du Tarn ; © Inventaire général Région Midi-Pyrénées

SOURCES

Archives communales de Vieux,

Registre des propriétés bâties, 1813. Agrandissement de l’école, 1973.

Archives Départementales du Tarn,

1 Fi 352-1, Cassini, Carte, Albi, 2 e moitié du XVIII e siècle. 2 O 316, bâtiments communaux. 3 P 316, plans cadastraux de la commune de Vieux, 1812. 3 P 2366, Registre des Augmentations et des Diminutions, 1833. 3 P 2367, 1882, Propriétés bâties. 3 P 2368, Registre des propriétés bâties, 1914.

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